Une Femme à Satisfaire

 Traduction d'un texte de TeddyBare53

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Permettez-moi de commencer par une description de ma femme Margot. Elle mesure un mètre soixante-cinq avec une fine silhouette et des cheveux roux et courts. C'est une femme avec une grosse poitrine qui n'a pas été affectée par l'âge. Les hommes ont l'habitude de regarder ses seins avant son visage.

Lorsque cette histoire s'est produite, Margot approchait des cinquante ans et sa soif de sexe augmentait de plus en plus. Nous étions très créatifs sexuellement dans notre chambre et depuis peu j'avais introduit la notion d'hommes étrangers dans nos fantasmes sexuels. Pendant plusieurs semaines, cela avait intensifié son imagination et son bonheur orgasmique.

Lentement et délibérément de ma part, nos discussions avaient dérivé vers le fantasme où Margot était baisée par un groupe d'étrangers qui la traitaient de salope et l'obligeait à s'humilier et se dégrader. J'étais surpris de voir à quel point ma femme acceptait et appréciait ce genre de jeu. Si bien que je me demandais combien d'hommes je pourrais faire intervenir pour ce fantasme.

Ayant bien observé Margot, je voulais qu'elle soit initiée au sexe en groupe avec des inconnus. J'ai noué de nombreux contacts au cours des dernières années, avec des hommes en les rencontrant après avoir bavardé sur l'ordinateur sur des forums de sites pornos, soit avec des partenaires d'affaires. Certains de ces hommes ont pu rencontrer Margot et ils ont tous faits l'éloge de son sex-appeal. Il m'a donc pas été difficile de passer à la prochaine étape.

C'était trois semaines avant le cinquantième anniversaire de Margot que j'ai parlé à Noël. Il a 62 ans, une longue bite et c'est un échangiste de longue date. Je lui ai parlé de mon intention de surprendre Margot avec un gang-bang le jour de son anniversaire pour satisfaire son appétit sexuel. La réaction de Noël fut enjouée. Il me parla de son envie de la baiser depuis qu'il l'avait rencontrée, de l'envie d'avoir ses douces lèvres autour de sa bite.

Puis j'ai appelé Kévin, qui, à 51 ans, a une bite bien épaisse. Je lui ai raconté la même histoire. Il fut très volubile sur ce qu'il allait faire à ma femme et comment il allait la soumettre.

Ensuite j'ai demandé à un ami de longue date, Jim, qui lui n'a que 48 ans. Il a l'attribut le plus épais que je n'ai jamais vu. Lui aussi fut extrêmement content de l'opportunité de pouvoir baiser Margot de toutes les manières possibles.

Puis ce fut Terry qui n'avait rencontré Margot que plusieurs années auparavant avant de déménager assez loin. Il a 52 ans et une queue de bonne taille. Il fut ravi que je lui permette de baiser ma femme en m'avouant qu'en secret il en avait toujours rêvé.

Enfin, j'ai demandé à Cameron qui est le plus jeune du groupe à 29 ans. C'est celui qui a la plus longue bite et qui est presque aussi grosse que celle de Jim. Depuis un an, il me demandait de proposer à Margot un plan à trois où il pourrait participer. Alors, quand je lui ai expliqué mon plan, il fut immédiatement excité et il accepta mon invitation.

Le groupe était formé, il était donc temps de penser à finaliser l'affaire. Nous avons prévu d'organiser la soirée dans la ferme de Noël, en pleine campagne, loin de tout voisin. Nous ne serions pas dérangés. Les gars attendraient que j'arrive avec Margot vers 22 heures. J'avais prévu d'emmener ma femme dans un petit restaurant feutré pas très loin de la ferme et de la faire boire un peu afin de lui ôter ses inhibitions. Je lui dirais que puisque nous étions dans la région, je pourrais passer voir Noël pour récupérer des affaires que je lui avais prêtées il y a plusieurs semaines. Je vais donc vous raconter cette inoubliable soirée.

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Le vendredi soir arrive enfin. Je suis un peu inquiet avec mon plan et je me demande si je n'aurais pas dû avertir Margot. Mais il est trop tard. J'ai demandé à ma femme qu'elle s'habille aussi sexy qu'elle le peut pour me faire plaisir. Je lui ai dit que nous serions loin de chez nous et que personne ne la reconnaîtrait. Je lui ai aussi demandé qu'elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge. Elle m'a dit que j'étais un vieil homme vicieux, mais je lui ai assuré que ça en vaudrait la peine. Elle m'a demandé, avec un sourire lubrique, si nous jouerons à nos jeux quand nous reviendrions à la maison. Je lui ai souri et je lui ai assuré que oui.

Quand elle descend les escaliers, Margot porte un chemisier argenté et échancré qui met en valeur ses gros seins. Elle porte également une jupe noire qui tombe au-dessus de ses genoux et qui est fendue sur ses cuisses. Des hauts talons noirs complètent sa tenue. Elle est diablement sexy et je peux sentir que ma bite commence à gonfler dans mon pantalon.

- Tu es trop sexy ! Dis-je.

Margot sourit et répond :

- Pour une vieille dame !

- Non, tu as toujours été sexy. Et quiconque te verra ce soir aura envie de te baiser.

Elle rit et me rappelle que nous devons partir sinon nous allons être en retard pour notre réservation au restaurant.

Nous prenons quelques apéritifs avant que notre commande nous soit apportée. Et comme je lui ai demandé, lorsque le serveur arrive, Margot se penche en avant. L'homme ne peut s'empêcher de regarder dans son décolleté et il rougit avant de partir précipitamment quand il remarque que ma femme le regarde.

- Je te l'avais dit ! Dis-je.

Ma femme est surprise et me demande si elle a l'air aussi sexy que ça. Bien sûr je lui dis la vérité en lui faisant un clin d'œil :

- Tu as des seins pour lesquels les hommes se battraient.

Quelques verres plus tard, Margot est un peu éméchée. Je regarde ma montre et je vois qu'il est temps de régler l'addition et de partir. Le serveur revient et essaie de jeter un nouveau regard sur la poitrine de ma femme. Celle-ci lui facilite la vue en se penchant et en laissant son chemisier s'entrouvrir. Il a l'air vraiment satisfait quand il repart. Et moi aussi je crois.

Nous montons dans la voiture et je tends la main pour la poser sur l'entrejambe de Margot. Je suis surpris de voir à quel point sa chatte est humide. Avec un petit rire, elle écarte les cuisses pour me permettre de la caresser avant de partir. En conduisant, je lui dis alors que nous sommes très proches de la ferme de Noël et je lui demande si ça ne la dérange pas que nous y passions pour récupérer mes affaires. Elle me dit d'accord du moment que nous faisons vite et que nous rentrions à la maison pour s'amuser. Bientôt nous arrivons et nous nous garons dans la grande allée devant la maison. Noël vient nous saluer.

- Qu'est-ce que tu fais ici ? Me demande-t-il joyeusement.

Je lui dis que nous passions dans le coin. Il nous invite alors à prendre un verre. Margot sort de la voiture en titubant un peu sous les effets de l'alcool.

Quand nous entrons dans son salon dans le noir, Noël allume la lumière et tous les gars crient :

- Surprise !

En effet, Margot est si surprise qu'elle sursaute. Elle demande :

- Que faites-vous tous ici ?

Noël lui dit alors qu'ils ont un cadeau spécial pour elle. Les autres acquiescent. Noël atténue la lumière alors que Margot me regarde avec un sourire perplexe. Tous les gars s'assoient sur les chaises environnantes. Ma femme se retrouve seule au milieu de la pièce. Elle regarde tous les hommes qui la déshabillent du regard.

- Et maintenant ? Demande-t-elle.

Kévin est le premier à parler :

- Margot, nous sommes là pour faire de toi notre salope. Tu feras tout ce qu'on te dit quand on te le dira. Nous t'utiliserons comme une pute parce que c'est ce que tu es, compris ?

Margot me regarde avec perplexité et un peu choquée. Je me contente de hocher la tête et dire :

- C'est ce que tu veux depuis longtemps, donc j'ai préparé ça pour ton anniversaire. Ne déçois pas les gars !

Ma femme baisse la tête et répond :

- Oui je comprends Monsieur !

Cameron dit :

- Enlève tes vêtements, salope ! Et dépêche-toi !

Margot fait passer son chemisier par-dessus sa tête et révèle sa somptueuse poitrine.

- Regardez ces putains de nichon ! S'exclame Terry.

- Putain, ils sont magnifiques ! Dit Jim.

Ensuite Margot déboutonne sa jupe et la laisse tomber au sol. Ainsi sa chatte bien taillée se révèle aux regards indiscrets.

- A genoux, salope ! Ordonne Kévin.

Ma femme s'agenouille au milieu de la pièce. Les gars se lèvent et s'empressent d'enlever leurs vêtements. Leurs queues déjà bien raides, ils se dirigent vers elle. Ils commencent alors à la tripoter. Ils lui pincent ses tétons et malaxent toute la chair qu'ils peuvent trouver. Cameron se penche en avant et embrasse passionnément ma femme. Il fait tourbillonner sa langue dans sa bouche alors que les autres commencent à toucher sa chatte humide.

Quand Cameron finit de l'embrasser, Kevin tend la main et attrape Margot par les cheveux pour l'attirer vers sa bite.

- Ouvre la bouche ! Ordonne-t-il.

Elle obéit et Kévin enfonce son engin dans la gueule ouverte.

- Tu es une salope et les salopes ont besoin qu'on leur baise la bouche.

Terry ne peut plus attendre et pousse ma femme sur ses mains et ses genoux. Kévin ajuste sa position pour continuer à lui baiser la bouche. Terry enfonce sa bite profondément dans la chatte de Margot par-derrière. Elle glisse facilement tellement le sexe est humide. Il saisit les hanches de ma femme et commence des va-et-vient violents.

Margot est au bord de son premier orgasme quand Kévin saisit sa tête pour tenir sa queue enfouie dans sa bouche afin d'éjaculer au fond de sa gorge. Quand il se retire, Noël prend aussitôt sa place et étouffe ma femme avec sa grosse bite :

- Grosse salope, grosse pute, étouffe-toi sur cette putain de grosse queue ! Hurle-t-il en lui baisant sauvagement la bouche.

Terry est maintenant en train de décharger son sperme dans sa chatte en enfonçant sa bite au plus profond. Le claquement de leur deux corps ensemble résonne dans la pièce.

- Prends ça ! Prends ça ! Dit-il en remplissant la chatte bien baisée.

Noël continue d'être brutal avec ma femme. Ses doigts agrippent la chevelure rousse alors qu'il martèle sa bite dans la bouche ouverte.

- Avale mon foutre, vieille salope de cinquante ans ! Avale chaque goutte grosse pute mariée !

Sur ces mots, sa prise se resserre sur les cheveux et il vide de grandes quantités de sperme chaud dans sa gorge. Margot lutte pour tout avaler, mais elle le fait docilement.

Alors que Terry et Noël se retirent, épuisés, Cameron se place au-dessus d'elle.

- Tu es une salope, n'est-ce pas ? Demande-t-il.

Margot est à quatre pattes, la tête baissée.

- Je te parle, salope !

- Oui Monsieur, désolé Monsieur, je suis une salope. Répond doucement ma femme.

Cameron l'attrape par les cheveux et la traîne jusqu'à la table basse. Il l'allonge sur le dos afin que sa tête pende à une extrémité.

- Tu veux que je te baise, n'est-ce pas salope ? Tu veux que ma grosse bite baise ta vieille chatte jusqu'à ce que tu cries, n'est-ce pas salope ? Aboie-t-il.

Margot, les yeux mouillés et le sperme dégoulinant de sa bouche, lève les yeux et dit :

- Oui Monsieur, s'il vous plaît baisez-moi ! Je ne suis qu'une vieille salope qui a besoin d'une bite.

Margot regarde alors sa queue et ses yeux s'écarquillent en la voyant. Cameron saisit ses jambes et les lèvent un peu afin de commencer à pousser son monstre dans la chatte humide et déjà bien utilisée. Instantanément, ma femme commence à gémit haut et fort.

- Jim, viens baiser la bouche de cette vieille pute pour la faire taire ! Demande Cameron.

Jim s'exécute aussitôt et commence à enfoncer sa queue entre les grosses lèvres et sur la langue couverte de sperme. La bouche de ma femme est de nouveau bien remplie et étirée par la bite de Jim. Si bien qu'elle convulse de nouveau sous l'effet d'un orgasme explosif. Ça ne fait qu'inciter les deux hommes à intensifier leur baise sauvage. Le gros membre de Jim s'enfonce dans la gorge de Margot et je vois de la salive mélangée à du foutre couler le long de la commissure de ses lèvres. En même temps, Cameron claque son gourdin jusqu'à la garde dans la chatte bien étirée de mon épouse.

Margot enchaîne les orgasmes alors que Cameron l'empale violemment. Tandis que l'énorme engin remplit totalement son sexe, la bite de Jim remplit sa bouche et sa gorge, déformant son visage et ses joues.

- Putain de salope, je jouis ! Hurle Jim en tenant la tête de Margot et en remplissant sa gorge.

Puis il sort sa bite et éjacule sur son visage et ses cheveux. Quand il a fini, il essuie sa queue sur sa figure et dans ses cheveux pour la nettoyer en disant :

- C'est comme ça qu'une pute doit être traitée, n'est-pas salope ?

- Oui Monsieur, merci Monsieur ! Répond ma femme soumise et essoufflée.

Cameron continue de baiser la chatte de ma femme et celle-ci continue à jouir encore et encore. Son corps tremble de façon incontrôlable, ses yeux roulent dans sa tête alors qu'elle gémit sous sa jouissance. Cameron lui demande alors :

- Tu veux que je remplisse ta bouche de mon foutre, sale putain ?

- Oui Maître ! Gémit Margot.

- Tu veux goûter mon sperme mélangé au jus de ta chatte, salope ?

Encore une fois, ma femme gémit :

- Oui s'il vous plaît, Maître.

Cameron sort sa bite de la chatte bien étirée puis il se penche sur son visage en disant !

- Ouvre grand ta bouche, salope !

Lorsque Cameron enfonce sa queue dans la bouche ouverte, Margot atteint son apogée. Cameron ne peut plus se retenir en voyant cette rousse sexy de cinquante ans, couverte de sperme, baisée et humiliée, allongée en train de sucer sa grosse bite.

- Oh putain je jouis.... OH PUTAIN !

Cameron claque sa bite dans et hors de la bouche pendant que ma femme jouit à nouveau. De grosses quantités de foutre sortent de la bite et inonde la gorge de la salope. Elle avale tout et aime ça.

- AHHHHHH OUIIIII ! Gémit Cameron en continuant d'éjaculer dans la gueule ouverte.

Puis tout comme Jim, il se retire et éclabousse son visage, couvrant ses yeux et son nez. Puis il s'essuie dans ses épais cheveux roux.

Margot essuie le foutre sur ses yeux et lève le regard vers les hommes qui l'entourent. Elle a un air heureux et satisfait. Du foutre coule sur son menton.

- Merci à tous, mes Maîtres !

- Joyeux anniversaire, salope ! Disent-ils ensemble.

- Bon, que lui faisons-nous ensuite ? Demandé-je.

L'odeur du sexe et de la sueur a envahi la pièce. Ce qui vient de se passer et l'anticipation de la suite m'enivrent. J'entends Margot crier et je la regarde. Kévin qui bande de nouveau vient de pousser à nouveau ma femme à quatre pattes et il est en train d'enfoncer lentement sa bite dans son cul. Nous n'avons jamais pratiqué la sodomie auparavant, Margot n'y montrant aucun intérêt. Mais je crois que Kévin va changer cette situation. Mon épouse grimace et serre les dents.

- Oooooohhhhhhhh ! Gémit-elle alors que la queue la pénètre complètement.

Les doigts de Kévin agrippent les hanches de Margot et il commence à marteler sans répugnance ses fesses charnues et blanches. Le son de la chair contre la chair résonne dans le salon.

Les soupirs excités de ma femme sont ponctués par le claquement de la chair contre la chair. Kévin continue impitoyablement l'invasion du petit trou autrefois vierge de Margot. Coup après coup, sa bite s'enfonce profondément dans ses entrailles.

Les yeux de mon épouse sont fermés alors que sa bouche reste ouverte pendant son enculage brutal. C'est trop dur à regarder pour Terry. Alors il s'approche de la tête de ma femme avec sa grosse bite bien raide dans la main et il commence à lui gifler le visage avec.

- Tu veux sucer ma bite, salope ? Lui demande-t-il.

- Oui Monsieur, s'il vous plaît Monsieur, puis-je sucer votre queue ? Supplie Margot.

La fierté m'envahit. Je regarde ma femme supplier e gémir comme une vraie pute soumise. Mon cœur se remplit d'une nouvelle admiration et d'un nouvel amour pour cette femme, cette salope soumise qui aime la bite.

- Baise sa bouche, Terry ! Crié-je de joie alors que les lèvres de Margot entourent la bite et que sa langue tourne autour.

Terry, qui n'est pas homme à manquer une opportunité, pousse sa bite au fond de la gorge ouverte, l'étouffant instantanément pendant que Kévin continue à l'enculer violemment. Les deux hommes baisent en rythme la femme soumise, leurs queues disparaissant entièrement dans ses trous. J'ai l'impression que Margot ronronne, mais il s'agit plus d'un bruit guttural qui sort du plus profond d'elle pendant qu'elle se fait baiser par les deux bout.

- Je veux jouer avec sa bouche ! Dit Kévin à Terry.

Il retire sa bite du cul de ma femme et les deux hommes changent de place.

- Ooohhhh ! Hmmmmmppp !

Margot s'étrangle quand la grosse bite de Terry s'enfonce dans son cul et que la bite de Kévin plonge dans sa bouche ouverte, remplissant son nez de puanteur, puis sa bouche d'un goût acre et piquant.

- Oui.... OUI... OUI... ! Rugit Kévin alors que jets après jets il remplit la bouche de ma femme de son foutre épais et l'oblige à avaler.

Terry ne peut plus se retenir non plus et il explose dans le cul de Margot, autrefois vierge, mais maintenant souillé.

- OH PUTAIN ! Hurle-t-il alors que sa tête couverte de sueur se redresse pour faire face au plafond.

Il s'enterre profondément dans le cul de Margot et projette son sperme au fond de ses entrailles. Le corps de ma femme convulse et tremble alors qu'elle est submergée par un énorme orgasme. Elle gémit, hurle, crie, elle se tord pour finalement s'effondrer sur le sol, bien baisée et entièrement soumise.

Jim et Cameron se lèvent alors et se regardent avant que Jim ne dise :

- Chatte !

- Cul ! Dit alors Cameron.

Jim s'allonge alors sur le dos à côté de Margot et dit en agitant sa bite bien raide :

- Grimpe-moi dessus, salope !

Ma femme se traîne jusqu'à lui et monte sur son torse. Elle s'empale sur la bite bien épaisse et bien dure qui entre sans problème dans sa chatte bien lubrifiée. Jim saisit ses mamelons et les tord entre ses doigts pour la faire se tortiller. Cameron se positionne derrière elle et pousse son gland dans le trou dégoulinant et béant. Bien sûr, Cameron force un peu pour que le cul s'adapte à la circonférence de sa bite. Puis avec un grognement et une forte poussée, il fait disparaître sa queue dans le fondement de mon épouse.

En quelques secondes, Margot est de nouveau assaillie par un orgasme puissant. Elle jette sa tête en arrière, le corps couvert de petites gouttelettes de sueur, les cheveux emmêlés, son visage couvert de salive et de sperme. Un nouveau gémissement guttural s'échappe de ses lèvres pulpeuses.

Noël se place alors au-dessus d'elle en masturbant son sexe. Ma femme ouvre grand la bouche pour accepter cette offrande et la sucer. Je regarde mon épouse devenue pute utiliser ses joues et sa langue pour sucer la queue. Puis je la vois avec admiration avaler d'un seul coup la bite de Noël jusqu'à ses poils pubiens.

Margot ressemble à une salope, elle baise comme une salope, et elle jouit comme une salope. Elle est devenue un jouet de baise, une soumise dégradée, que je pourrais utiliser de toutes les manières que je voudrais et par les personnes de mon choix. Elle est là, chevauchant la grosse bite de Jim pendant que Cameron l'encule avec rudesse, la bouche et la gorge pleines de la queue de Noël.

Bientôt celui-ci sort son engin avec un « plop » et il éjacule sur le visage de ma femme, couvrant son nez, ses joues et ses lèvres.

Ma bite est dure comme de la pierre et je ne suis pas loin de jouir ; alors je me déplace vers le beau visage de Margot couvert de foutre. J'attrape ses cheveux roux emmêlés et ses yeux rencontrent les miens. Elle me sourit et murmure « Merci » avant que j'enfonce mon sexe dans cette bouche chaude et humide.

Jim et Cameron continuent de baiser rudement sa chatte et son cul. Mais bientôt je les entends se libérer dans le corps bien utilisé de ma femme. Les actions de Margot durant cette soirée ont fait de moi un homme heureux et le Maître de cette femme merveilleuse. J'enfonce ma bite profondément au fond de sa gorge et je déverse mon foutre dans son ventre. Ma libération est si intense que je plie aux genoux et que je dois tenir la prose que j'ai sur sa tête. Quand Margot a fini d'avaler mon sperme, je lui lève la tête en la tenant par le menton. Je la regarde, je regarde son visage, le visage d'une femme bien baisée et complètement satisfaite. Et je lui murmure :

- Je t'aime.

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J'ai aujourd'hui 54 ans et j'ai pris au sérieux mon rôle d'épouse soumise. Mon mari Ted me partage avec beaucoup de ses amis et parfois des étrangers aussi.

Je m'appelle Margot et ce qui suit s'est produit à la fin de l'année dernière. j'espère que vous l'apprécierez autant que moi.

Mon mari possède une chaîne de magasins prospères. En août dernier, il apprend que l'un de ses jeunes vendeurs les plus performants, Tom, va se marier en octobre. Ted et moi sommes invités au mariage, même si je n'ai jamais rencontré ses employés, préférant rester à l'écart de ses affaires.

Alors que l'évènement approche à grands pas, Ted est invité à la soirée pour l'enterrement de la vie de garçon de Tom. Ce doit être une soirée classique dans une maison privée avec une strip-teaseuse. Une trentaine d'hommes doit y participer.

Le soir de l'enterrement de vie de garçon, Ted me dit de rester à la maison et de me masturber sans jouir jusqu'à son retour. Je sais qu'il sera très excité à son retour, alors je suis contente de le faire.

Vers 21h30 ce soir-là, Ted me téléphone et me dit de me doucher rapidement. Il faut que je mette mon soutien-gorge ouvert et rouge, des porte-jarretelles et des bas noirs. Puis, je dois me couvrir d'un imperméable avant d'aller à la fête. Ted me donne l'adresse et me dit de l'appeler lorsque je serais juste à l'extérieur de la maison.

Je sais que ça risque de devenir bizarre, mais je ne remets pas en question ses ordres, je ne vis que pour lui. Je me douche, je m'habille, je saute dans ma voiture et je vais à cette fête. Vingt minutes plus tard, je suis devant la maison. j'entends à l'intérieur de jeunes garçons s'amuser avec bruits. J'appelle mon mari qui me répond tout de suite. Il me dit de l'attendre, il va venir me chercher.

Bientôt Ted se penche à la fenêtre de ma voiture. Il m'explique alors ce qu'il se passe. La strip-teaseuse payée pour la soirée était trop pudique. Les invités de la fête sont contrariés, car elle ne s'est pas laissée toucher et elle n'a pas voulu ôter tous ses vêtements. En fin de compte elle est partie.

Mon mari me demande alors d'entrer par la porte de derrière, puis de venir dans le salon et me déshabiller pour les garçons. Il me dit également de faire tous ce qu'ils veulent.

Je suis un peu nerveuse. En fin de compte j'ai 54 ans et j'ai un peu de graisse par-ci par-là. Et je suis sur le point de me déshabiller pour une bande de jeunes de 20 ans. Que va-t-il se passer s'ils ne m'apprécient pas ? Je reprends un peu courage en me disant que de toute façon ils ne savent pas qui je suis. J'entre dans la maison par-derrière.

Quand j'arrive dans le salon faiblement éclairé je vois une vingtaine de gars qui regarde des films pornos sur le grand écran. Je me place alors au milieu de la pièce et je commence à danser lentement. Les garçons commencent alors à crier et siffler. Des chants paillards commencent alors à résonner dans le salon bondé. D'autres jeunes arrivent encore pour voir ce qu'il se passe. Je mouille d'excitation alors je commence à enlever mon imperméable sous les acclamations. Mes gros seins balancent hors de mon soutien-gorge ouvert et ma chatte bien taillée est facilement visible.

Jim, le jeune homme qui doit se marier est poussé au centre de la pièce à côté de moi. Il est grand avec un corps musclé et bien construit. Je danse autour de lui comme une pute en manque de sexe. Il sait que je suis excitée. Il tend la main et attrape un de mes seins. Il dit alors à ses amis à quel point mon nichon est gros et gras. Ses amis l'encouragent à continuer. Il me regarde dans les yeux et me dit que je suis une vieille salope qui doit s'agenouiller et sucer sa bite.

Instantanément je tombe à genoux et je saisis sa fermeture éclair. Il m'ordonne de continuer. Je baisse sa braguette et je vais pécher à l'intérieur de son pantalon sa bite déjà raide. Elle est grande et grosse. J'ouvre la bouche, l'enfourne et je commence à le sucer. Tout le monde crie, applaudit et siffle à la vue de cette vieille femme en train de faire une fellation comme une pro.

Jim me saisit la tête et enfonce ses doigts dans mes cheveux. Il commence à baiser mon visage, lentement au début puis il augmente le rythme jusqu'à s'enfoncer profond et violemment au fond de ma gorge. De la bave suinte aux coins de mes lèvres pendant que je reste à genoux et laisse ce jeune taureau brutaliser ma bouche devant ses amis.

Bientôt je sens sa bite se crisper et ses doigts agripper plus fort ma tête. Il commence alors à crier :

- Putain de salope !

Et il décharge son sperme dans ma bouche et dans ma gorge, me faisant étouffer avec sa grosse bite jusqu'à ce qu'il ait fini de se vider. Satisfait il relâche alors mes cheveux et dit à ses amis d'utiliser la chambre pour baiser cette salope.

Je suis traînée dans la chambre et je suis penchée sur le lit. Un autre jeune homme s'empresse d'enfoncer sa queue profondément dans ma chatte humide pour me baiser. Une bite est pressée contre mes lèvres et une voix me dit d'ouvrir la bouche.

Mes seins sont malaxés et pincés, ma chatte est pilonnée et ma bouche est violée par ces jeunes mâles. Je réalise que je ne suis qu'une pute, une vide-couilles pour eux, pour leur seul plaisir.

La jeune queue dans ma bouche explose et le foutre jaillit. Le sperme coule aux commissures de mes lèvres, car je ne peux pas tout avaler. Puis la bite dans ma chatte gicle elle aussi et se retire, me laissant très excitée et en voulant plus.

Un autre garçon s'allonge alors sur le lit et me fait le chevaucher. Je sens alors une autre queue pénétrer mon trou du cul. Les deux jeunes me baisent en rythme. Je me concentre sur les deux membres qui m'empalent quand mes cheveux sont saisis à nouveau et qu'une énorme bite s'enfonce dans ma bouche. Elle est très grosse et étire ma bouche et mes lèvres au point de se déchirer presque. L'homme commence à forcer son monstre dans ma gorge, me donnant des hauts le cœur et m'étouffant. Je me plains en gémissant, mais ça ne fait que l'exciter encore plus. Alors il attrape ma tête et enfonce sa bite de tout son long dans ma gorge. J'essaie de le repousser avec mes mains, mais quelqu'un les attrape et les attache derrière mon dos avec une cravate. Je ne peux plus les combattre. Je suis maintenant à la merci de ces jeunes hommes remplis de testostérone et de sperme.

Le jeune garçon à la grosse bite change de place avec son ami qui m'enculait. Je sens l'énorme bite étire mon pauvre petit trou du cul. Il me sodomise violemment. La bite qui vient de sortir de mon cul est maintenant poussée dans ma bouche. Je sens le goût âcre pendant qu'il baise mon visage.

Puis la queue dans ma chatte éjacule et le jeune homme se retire. Il est suivi par celui qui jouit dans ma bouche. Enfin la grosse queue est retirée de mon cul et il l'enfourne de nouveau dans ma gorge. J'étouffe alors qu'il me remplit de foutre. Je suis sur le point de perdre connaissance quand il se retire et nettoie sa bite en la frottant sur mon visage. Le garçon me regarde alors et me traite de vieille pute avant de me cracher dessus. Cela me provoque un orgasme, car j'aime être utilisée et dégradée de cette façon.

Les jeunes continuent de me violer dans la chambre pendant les trois heures suivantes. Grosses bites, petites bites, bites moyennes, bites malodorantes, bites bien dures, bites molles, plus de trente jeunes hommes baissent leur pantalon et la plupart veulent vider leurs couilles dans ma bouche. Ils remplissent mon ventre avec une quantité de sperme que je n'aurais jamais pu imaginer. Pendant ces trois heures je ne vois pas mon mari, mais je sais que quelque part, il regarde.

Maintenant, je suis allongée sur le lit, couverte de sperme, les mains déliées en train de me reposer. Mais le jeune homme à l'énorme bite entre, m'attrape par les cheveux et me traîne à quatre pattes vers les toilettes. Il me dit de m'agenouiller à côté de la cuvette et de tenir sa bite pendant qu'il pisse. J'enroule ma main autour de sa bite ramollie qui me semble bien plus grosse que la plupart des queues raides que j'ai connues. Il commence à pisser.

Quand il a fini, il pousse mon visage dans la cuvette et m'ordonne de boire. C'est dégoûtant, mais excitant. Puis il relève mon visage et de nouveau il agresse brutalement ma bouche.

Il me traite encore de vieille pute, de sac à foutre, de sale vide-couilles tout en forçant sa queue profondément et violemment dans ma gorge. J'ai de la bave qui ressort par mon nez, mes yeux pleurent, la salive coule sur mon menton. Quand je lève le regarde vers lui, je vois un sourire sadique.

- Tu seras ma pute quand je le voudrais ! Dit-il.

Je sais que je ne pourrais pas lui résister. Il maintient ma tête immobile, enfonce sa queue aussi profondément que possible et il jouit.

Il retire sa bite de ma bouche malmenée et il me crache dessus à nouveau. Cette fois-ci ça atterrit dans mes yeux. Il me dit que nous nous reverrons. Je m'effondre sur le sol des toilettes, totalement perdue, mais heureuse. Enfin je tombe dans un profond sommeil, soumise et satisfaite.

FIN.