Texte de Xmaster.
*****
Dès que la jeune femme est sortie de la voiture, les deux hommes
l'encadrent et la supportent pour l'aider à monter l'escalier, puis entrent dans la
demeure.
Le hall d'entrée est assez sobrement décoré, un vieux tableau, un grand
miroir et un portemanteau perroquet. Trois portes et un escalier donnent sur
le reste de la maison.
Denis lâche la jolie blonde et s'empresse d'ouvrir la porte face à l'entrée
qui donne sur un grand salon. En invitant les deux personnes dans un grand
geste théâtral, il demande à Brigitte :
- Café ? Ou on continue au whisky ?
- Allez ! Soyons fous, whisky mon brave...
Michel, tenant toujours la jeune femme par le bras, fronce les sourcils et
demande d'une voix dure :
- Mais comment tu t'adresses au maître de ces lieux toi, dis donc ?
Prise de court, la pauvre balbutie quelques excuses en disant :
- C'est pour rire…
.. Je ne voulais pas...
- Tâches de montrer un peu plus de déférence à mon ami, ou nous allons
finir par croire ton imbécile de mari quand il dit que tu n'es qu'une petite
traînée !
Plus que les propos encore, le ton dur et sec, la voix qui résonne dans la
grande pièce et la pression subite sur son bras, dégrise tout d'un coup la jolie
blonde qui commence à se demander ce qui lui a pris de suivre ces deux
inconnus.
Denis invite tout le monde à prendre place dans le canapé ou les
fauteuils. Michel dépose sans ménagement la jeune femme sur le fauteuil
juste en face du canapé et va s'installer tranquillement pendant que son ami
apporte les verres et un vieux whisky écossais de plus de douze ans d'âge. Il
répartit les trois verres larges et commence à verser le breuvage.
- Alors comme ça, tu as eu un trophée en boîte ce soir ? Demande Denis,
sachant parfaitement de quoi il en retourne.
- Oui, une jolie salope m’a offert sa culotte…
Tu te souviens, Brigitte ?
Les yeux écarquillés, la blonde se remémore rapidement la scène, puis,
de la même voix pâteuse, répond :
- ha oui ! C’était trop rigolo… sous les yeux de l’autre con !
- Raconte-moi ça Michel, demande encore le maître des lieux.
- En fait, ça c’est passé assez vite, pendant que tu discutais avec le mari
de madame. Après avoir passé ma main sous la jupe de notre amie très
coquine, j’ai tâté le haut des bas, puis la cuisse nue, et enfin j’ai attrapé la
dentelle de la petite culotte… Tu me connais, gentleman jusqu’au bout des doigts, j’ai demandé à la
belle si je pouvais lui voler sa culotte. Comme elle a accepté, j’ai fait glisser la
fine dentelle jusqu’à mi-cuisse, et là, comme son mari ne regardait pas dans
ma direction, je me suis accroupi et j’ai fini sous la table… Fallait voir ses mignonnes petites chevilles se soulever pour me laisser
retirer le beau petit trophée !
Et, sur ce, Michel plonge sa main dans sa poche, et en ressort l’objet
volé, un peu comme un prestidigitateur sort un lapin de son chapeau.
- Mais alors, Brigitte, tu ne portes plus de culotte pour le moment !
- Non !
- Tu nous montres le petit trésor que protégeait cette petite culotte ?
Dans un mouvement lent et doux, la blonde se lève de son fauteuil,
avance au milieu de la pièce en titubant légèrement, puis, fixant les deux
hommes dans les yeux alternativement, elle soulève lentement sa jupe.
- Tu ne nous mettrais pas un peu de musique, s'il te plaît, Denis ?
- Oui ! Bien sûr.
Mais avant de se lever, l’homme, les yeux fixés sur le pubis lisse de la
blonde, prend une profonde aspiration. Puis, debout, il se dirige vers le coin
de la pièce où se trouve la chaîne HI-FI. Il met un morceau doux et suave, et
se retourne vers la jolie femme et lui dit :
- Ne voudrais-tu pas nous faire un petit strip-tease, par hasard ?
Dès les premières notes de musique, Brigitte se met à bouger
doucement. Et comme on lui demande si gentiment, excitée comme elle est,
elle n’a qu’une envie, danser nue ! Aussi elle se met à se dandiner, sa jupe
retombée, en commençant par défaire les boutons de son chemisier.
Alors que Denis est revenu s’installer à côté de son pote sur le canapé,
les deux hommes n’ont d’yeux que pour le joli spectacle qui se déroule à
quelques mètres, à peine, d’eux.
Malgré son manque visible d’équilibre, la jolie blonde se trémousse et se
déshabille doucement. D’abord tombe le chemisier, puis le soutif, et enfin la
jupe.
C'est ce moment que choisissent les deux types pour se lever de concert
du canapé. Et, pendant que Michel vient à la rencontre de la femme nue pour
la prendre dans ses bras, Denis en profite pour se mettre nu lui aussi.
Maintenant, Michel embrasse fougueusement Brigitte et l’attire
doucement vers le canapé et vers son pote en attente. Une fois à côté du
grand sofa, il passe le relais à Denis qui est nu et arbore déjà une fière
érection.
Le brun prend la jeune femme dans ses bras puissants, l’embrasse
lentement, presque tendrement, et se rend compte de l’haleine chargée
d’alcool. Mais il n’en a cure, il tripote les gros seins qui tombent un tout petit
peu, puis commence à prendre les fesses à pleine main.
Brigitte s’est à peine rendu compte du changement de cavalier. Ses
seins malaxés tendrement, ainsi que ses fesses flattées lui procurent des
picotements au creux des reins. Sa chatte s’humidifie et elle commence à
ressentir une envie des plus troubles.
Pendant ce temps-là, Michel, rapidement, se dévêt à son tour. Dès qu’il
est nu, jusqu’aux chaussettes retirées, il vient se coller au dos de la blonde et
frotte sa queue contre les fesses rebondies. Ensuite, il pousse doucement le
couple jusqu’à ce que son ami Denis soit contraint de s’asseoir, entraînant à sa suite la jeune femme.
Le sexe trempé de la jeune femme accueille d’un coup le membre dur et
droit de Denis. Le pénis s’enfonce au plus profond de la matrice féminine,
arrachant au passage un cri à la blonde quand il vient taper contre le col de
l’utérus.
- Cette salope a pris ma bite d’un seul coup, et je t’assure qu’elle est
déjà trempée !
- Je te propose que tu la limes comme tu sais si bien faire, en lui glissant
des doigts dans l’anus, pour me faire le passage...
- Ça marche mon pote.
Et Denis commence de longs et rapides va-et-vient de sa belle queue
dans cette chatte gluante et glissante, chaude à souhait.
Brigitte grimpe vite aux rideaux et commence à entonner un chant
d’amour qui motive les deux hommes.
Très vite, alors, l’homme glisse un premier doigt dans le cul de la
blonde, puis un deuxième, ensuite un troisième.
Michel ne perd pas une miette du spectacle vivant qui se déroule sous
ses yeux. Il tripote son sexe pour le garder bien en forme et savoure chaque
cri de la blondinette écervelée.
Bientôt, Denis, estimant que la femme est suffisamment préparée pour
ce que lui et son complice projette de faire, retire ses doigts et demande à son
pote :
- Allez, viens, tu lui prends le cul, on se la fait en double.
Dans son état alcoolisé, Brigitte commence par refuser mollement quand
elle sent un gland au contact de son anus, mais les coups de reins de son
amant du moment redoublent de puissance et elle recommence à jouir.
Michel n’a pas besoin de pousser beaucoup pour franchir l’entrée de la
dame, très vite il pousse sa bite le plus loin possible dans ce gros intestin si
accueillant. Il sent le membre de son ami s’affairer dans l’autre partie de la
femme.
- Putain ! Cette enculée a tout pris d’un coup ! Elle doit avoir l’habitude
de se faire mettre par le cul !
- Vas-y, fais-toi plaiz… Défonce-lui le pot...
Denis empoigne les beaux gros nichons de la blonde, les presse
fermement, puis, la repoussant un peu en arrière et en la regardant droit dans
les yeux, lui demande :
- T’aimes ça te faire prendre par le cul, toi, non ?
La blonde, un peu dessaoulée par la douleur dans ses seins, ouvre les
yeux et commence à balbutier :
- Non mais dis donc...
Maintenant que les torses ne se touchent plus, l’homme lâche les
grosses mamelles et attrape les tétons, puis les pince violemment.
- Ta gueule connasse, tu es juste une enculée, alors avoue que tu aimes
te faire ouvrir ton gros cul !
Durant l’échange de politesses, Michel n’a pas perdu son temps et
commence, à présent, à bien limer. C'est vrai qu’elle est loin d’être serrée
comme ces pucelles du cul qu’il déflore analement régulièrement.
La pauvre femme ne sait plus où elle en est ! Pour la première fois de sa
vie, elle accueille deux hommes en elle, elle aime cette bestialité, mais en
même temps, elle aimerait que ce soit plus romantique. Pourtant, même cette
vive brûlure de ses tétons lui donne du plaisir, elle mouille de plus en plus et
ne contrôle plus du tout son grand corps de femelle.
Les deux hommes se font un clin d’œil complice, et, en même temps,
accélère encore le rythme et l’amplitude des mouvements, des allers-retours.
Ils se démènent tous les deux, comme s’ils avaient décidé de faire mourir la
blonde de plaisir.
Là, l’alcool aidant, la blonde n’en peut plus et elle commence à gueuler :
- Ho putain ! Que c’est bon ! Salauds !
Mais comme elle ne gère plus rien de son corps, la nature reprend ses
droits et la jeune femme, ne contrôlant plus ses sphincters, finit par déféquer
sur le sexe qui lui martèle l’intestin.
- Cette pute vient de me chier sur la bite !
Et l’homme retire son sexe du conduit gluant, attrape le menton de la
femme, lui tord le cou et lui enfile sa queue sale dans la bouche.
- Oui, suce grosse dégueulasse ! Quand on se fait enculer, on ne chie pas
sur la bite qui te fait jouir, connasse !
Ainsi menée, et dans une sorte de monde parallèle, Brigitte suce la bite
polluée, sans réellement se rendre compte de ce que ces deux salauds sont en
train de lui faire faire.
Denis attrape son téléphone portable et prend des gros plans de la
scène. On voit parfaitement que la femme a des excréments au tour de la
bouche, mais qu’elle ne s’arrête pas à ça et suce avec bonheur. L’homme
prend même un petit film des plus explicites. Et il commente :
- Voici une grosse pute blonde, de celles qui sucent après la sodomie,
même si la bite est pleine de merde !
- Suce, pétasse, tu vas prendre mon jus de couilles dans les amygdales !
Puis, Michel se crispe, garde la tête suceuse fermement empoignée et
éjacule en courtes saccades très énergiques, sans mot dire. Il reste quelques
instants comme figé, puis lance :
- La vache ! Elle m’a bien vidé, cette connasse.
De son côté, Denis, tout aussi vicieux, en profite pour ressortir sa bite de
la chatte détrempée, et de l’enfoncer dans l’anus graissé par les excréments.
- Tu as raison, mon pote, elle est habituée à en prendre plein le cul !
Brigitte, totalement dépassée par les évènements, se laisse faire, même
le goût âcre de sa propre merde n’arrive pas à la sortir de son semi-coma. L’homme s’amuse à soulever la jeune femelle, puis à la laisser retomber
sur sa queue dure et droite, arrachant à chaque fois un cri de la pétasse
blonde. Puis, il annonce à son complice :
- Tu as raison, je vais aussi lui faire bouffer sa merde à cette connasse.
Et il agrippe les cheveux blonds, pousse Brigitte sur le côté du canapé,
se lève d’un bond, et enfourne à son tour sa queue, elle aussi suintant un jus
marron d’une odeur peu ragoutante, dans cette bouche, si prompt
habituellement à se rebeller contre tout et n’importe quoi.
Elle suce, elle avale, une sorte de rêve ou de cauchemar et elle tombe
lourdement sur le côté quand l’homme lui lâche les cheveux. Là, elle ne bouge
plus, au bord du coma éthylique.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours