Traduction Par Coulybaca d'un texte de Black Demon
*****
Le dépucelage de Mademoiselle Emerson.
Assis au second rang, Dwight Nelson regardait la prof inscrire sur le tableau la solution du problème. C'était la seconde année qu'il fréquentait la classe tenue par cette ravissante prof toujours si élégamment habillée. Le seul problème qu'il se posait était :
- Comment pourrai-je bien faire pour me la sauter ?
Mais il savait qu'il n'avait aucune chance de coucher avec elle, du moins en employant les voies normales. Cependant il aimait rêver que la jolie jeune femme soit attirée par ses charmes.
Au collège Wilson, tout le monde considérait Dwight Nelson comme un pauvre type, un handicapé social. Il se situait dans la marge basse de la classe en Education Physique, et ne se maintenait dans cette classe que grâce à ses capacités intellectuelles bien supérieures à la moyenne.
Des aînés aux plus jeunes, tout le monde se moquait de lui. Lorsque les cours commencèrent, cette année, un arrogant étudiant blanc fit l'erreur de le brutaliser pour impressionner les jeunes filles de première année, il avait arraché les livres des mains de Dwight et les avait lancés dans la poubelle, obligeant Dwight à se ridiculiser pour les reprendre.
Ce jeune athlète, inscrit de fraîche date, ignorait que Nate Thompson, le musculeux joueur de foot américain, était le meilleur ami de Dwight, son protecteur. Il pesait 125 kg et était une des vedettes de l'équipe de football. A eux deux, ils alliaient force et intelligence et formaient une étroite paire d'amis depuis la maternelle. Dwight aidait Nate dans ses études, et Nate protégeait Dwight des brutalités des collégiens qui se montraient violents à son égard.
L'année précédente, un joueur de baseball fit l'erreur fatale de ridiculiser Dwight devant ses coreligionnaires, cet élève postulait pour une bourse, il devait l'obtenir s'il se montrait aussi performant que l'année précédente, malheureusement, avec un bras cassé, une mauvaise fracture, on ne peut pas prétendre réaliser une bonne saison sportive.
Comme l'infortuné athlète qui venait de lancer les livres de Dwight dans la poubelle, il ne sut jamais qui l'avait agressé. La seule chose qu'il savait c'est qu'il gisait par terre, les lèvres fendues, trois dents cassées, il avait alors entendu une voix grommeler :
- Si touches à un seul cheveu de Dwight, ou si tu le brutalises à nouveau, tu ne pourras plus bouffer que de la purée...
Une seconde plus tard, il vomissait tripes et boyaux après avoir reçu un coup de pied dans les couilles. La mâchoire fracturée, tenue par des broches, le jeune athlète était bien incapable d'intégrer l'équipe de basket.
C'était assez surprenant de voir un couple d'amis si dissemblable, Dwight ne s'intéressait qu'à la lecture, ils se réunissaient principalement lorsque Nate avait besoin d'aide pour faire ses devoirs, ce qui arrivait presque tous les deux jours.
Ils habitaient deux immeubles voisins, et Dwight était habituellement si solitaire que ses parents s'étaient réjouis quand ils avaient vu qu'il avait un véritable ami, étrangement, ils riaient avec les camarades qui se gaussaient de leur paradoxale amitié. Dwight se referait à son ami l'appelant : - l'athlète noir muet alors que Nate se moquait de son pauvre visage boutonneux de blanc.
Athlète talentueux, Nate avait beaucoup d'admiratrices au collège, alors que Dwight n'avait jamais fréquenté de fille, et que cela n'entrait pas ses projets. Nate cherchait à convaincre son ami de se lancer, et de ne pas se tracasser parce qu'une fille lui tournait le dos.
Un soir, alors qu'une fois de plus il cherchait à convaincre Dwight de draguer les filles, il lui demanda :
- Y-a-t-il une fille dans le collège qui te donne la trique ?
Voyant son ami hocher la tête, il se demanda qui ce pouvait bien être, ça demandait une petite enquête. Alors que Dwight l'aidait à solutionner son problème de math, Nate le poussa du coude, l'interrogeant sur le nom de sa dulcinée. Il voyait que son copain était très embêté.
- Allons Dwight... Tu sais que ça restera entre nous... Dis-moi qui te fait bander...
Grinçant des dents, ayant besoin d'exprimer son amour pour son adorable prof, Dwight allait le dire à son seul et unique ami.
- D'accord Nate... Mais tu me jures que ça restera entre nous, et que personne n'en saura rien...
Le voyant hocher la tête en signe d'approbation, il hésita quelques secondes, puis se lança :
- La seule qui me fasse vraiment bander , c'est... Mademoiselle Emerson...
Ebahi parce qu'il venait d'entendre, Nate regardait son ami les yeux vides, il lui demanda de confirmer :
- Mademoiselle Emerson ? Ta prof de maths ?
Dwight murmura un oui misérable. Effaré Nate retomba dans son fauteuil et soupira profondément. Il avait déjà croisé la jolie mademoiselle Jennifer Emerson dans les couloirs du collège, mais il ne l'avait jamais approchée d'assez près pour avoir la trique à sa vue. Il n'avait jamais fréquenté ses classes et ne les fréquenterait jamais, elle n'exerçait que dans les classes accueillant des surdoués.
Nate ne se moqua pas de Dwight. Un jour qu'il était convoqué au bureau du principal, il passa par les couloirs et s'arrêta pile en face de la salle de classe de mademoiselle Emerson. elle était assise à son bureau, ses longues jambes sexy croisées l'une sur l'autre. Il vérifia que personne ne l'observait, il se rua alors sur la porte et toqua pour l'attirer au dehors. Elle se leva découvrant largement ses cuisses qu'il put mater, et vint ouvrir la porte pour voir qui avait toqué, mais Nate était déjà reparti.
- Bordel, Dwight... Elle est drôlement baisable ta prof... C'est pas une de ces stupides minettes avec lesquelles on baise facile... J'ai pas plus de chance que toi de m'la faire... As-tu vu qu'elle porte une alliance... Comme c'est là elle va bientôt épouser un de ces poseurs de blanc... Et t'aimerai te la faire bien sûr... cette salope...
Bien qu'entêté, Nate était incrédule. Maintenant qu'il avait dévoilé son secret à son seul et unique ami, Dwight voulait lui en dire plus.
- Je rêve d'elle chaque nuit depuis que je l'ai vue l'année dernière dans sa classe. Elle... Elle, je ne pense qu'à elle quand je suis en classe... et le soir dans mon lit... commenta-t-il pour son ami.
- J'aimerai qu'elle voit en moi un homme... pas un élève... Ou un pauvre type... continua-t-il rêveusement.
- Eh mon gars... Fais attention où tu mets les pieds... Tu ne pourras jamais la baiser... Tout ce que tu risques c'est de te faire virer... Tu n'es qu'un de se élèves... Tous les élèves se payent une de ces triques quand ils la croisent... La salope, ce que j'aimerai passer la nuit dans son lit... Mais pour ça faudrait l'enlever... La violer... Oublie ça mon ami... lui conseilla finalement son copain.
C'était la deuxième année que Jennifer Emerson effectuait, elle était chargée de la classe des surdoués et prenait cela comme un honneur. Agée de 25 ans, elle était toute excitée à l'idée d'épouser Tim Harrington son amour des années collèges. Sa licence d'enseignement en poche, elle avait été toute surprise d'être contactée par le principal du lycée pour prendre en main la classe des surdoués. Au départ cela l'effrayait un peu d'enseigner à un niveau bien supérieur à celui du collège. Ce genre de poste, fort bien rémunéré, était rarement proposé à un débutant. Pour l'enseignant chargé de ces élèves qui sortaient de l'ordinaire, c'était une attestation de sa compétence, mais le principal du lycée était un ami de son censeur et il l'avait chaudement recommandée. C'était le pourquoi de cette proposition.
Elle fut convaincue en apprenant qu'elle n'aurait affaire qu'à de jeunes étudiants sérieux et doués, qu'elle n'enseignerait que dans les classes d'élite. On n'y trouvait pas de drogués ou d'élèves grossiers encore moins des fauteurs de troubles. Cette constatation du principal la mit à l'aise et elle accepta le poste espérant y obtenir la qualification idoine pour enseigner à ce niveau.
Jennifer mettait un point d'honneur s'habiller élégamment, elle voulait se montrer professionnelle jusqu'au bout des ongles. Elle savait d'expérience, elle l'avait maintes fois constaté dans ces années collège, que les hommes se sentaient attirés par elle, elle en avait parfois joué, s'habillant de façon parfois un rien suggestive. Tout le monde la complimentait sur sa beauté, mais ces compliment l'embar-rassaient, elle en était assez peu friande.
Sa beauté naturelle avec ses longs cheveux bruns faisait tourner la tête des hommes, beaucoup pensait qu'lle était modèle de mode, ce qui lui aurait d'ailleurs assez plu. Dans l'exercice de ses fonctions, elle s'habillait élégamment mais de façon très classique, parfois même sévère. De toute manière, quoi qu'elle porta, elle charmait l'oeil de ses étudiants et des membres de l'équipe éducative. Elle était si absorbée par la préparation et la tenue de sa classe qu'elle ne prêtait aucune attention aux regards concupiscents qui se posaient parfois sur elle.
Comme les cours se terminaient à la mi-juin, elle espérait épouser son futur fin juin. Ces deux dernières années, Tim travaillait dans une ville éloignée, leurs relations se bornaient à des échanges téléphoniques, et aux rencontres du week-end.
Maintenant que Tim avait obtenu son transfert, ils avaient pu fixer la date des noces, ils avaient même consacré une somme assez importante à l'achat d'un petit pavillon dans la banlieue.
On arrivait à la troisième semaine de mai, et Jennifer voulait voir les travaux à effectuer dans leur pavillon aussi vite que possible. Ils en avaient pris possession la semaine précédente, et avaient déjà acheté un tas de fournitures, ils avaient demandé leur livraison à la mi-juin à l'issue de l'année scolaire.
Jennifer considérait que le début des vacances formait un moment privilégié pour prendre possession d'un nouveau domicile. Tim devait retourner à son ancien appartement pour faire ses bagages et préparer son déménagement, en fait Tim avait accumulé certains achats à son domicile et il fallait maintenant les rapatrier. Comme Tim terminerait son déménagement à la mi-juin, elle avait décidé de faire ses propres préparatifs ces trois week-ends.
Elle se sentait excitée. A la vue des nombreux articles qu'elle avait déjà emballés, elle se félicitait d'avoir loué un camion de déménagement et demandé à un de ses étudiants de l'aider.
De retour dans sa chambre, Nate se moqua un peu de son ami et de ses envies luxurieuses. Il voulait le convaincre qu'il n'avait aucune chance de tirer la jolie prof et qu'il fallait l'obliger à affronter la réalité.
- Navré mon ami, mais il ne te reste qu'à rêver d'elle la nuit, comme on espère un bon dessert. Mais bordel, fais face mon ami, tu n'as aucune chance de seulement te retrouver seul avec la ravissante demoiselle Jennifer Emerson, pas plus que d'autres d'ailleurs !
Dwight sourit tout excité :
- Bon , je vais te dire... Hier, mademoiselle Emerson a demandé si quelqu'un voulait gagner une paire de dollars le prochain week-end, apparemment elle déménage dans un pavillon de banlieue qu'elle a acheté pour y vivre avec le type qu'elle épouse. J'ai sauté sur l'occasion et je me suis proposé pour l'aider. Bien sûr je n'ai aucune chance de me la faire. Mais je suis tout excité rien qu'à l'idée de me trouver seul avec elle toute la journée !
- Ca alors... tu vas être tout seul avec ta ravissante prof ! s'exclama Nate ébahi.
Il ne se serait jamais attendu à ce que son malheureux copain prit l'initiative de proposer son aide, ce qui allait lui permettre de rester seule avec sa belle prof. Secouant la tête avec incrédulité, Nate ne parvenait pas à le croire, mais Dwight avait l'air sérieux. Il lui demanda :
- As tu préparé un plan ?
Dwight haussa les épaules lui répondant :
- Tu... Tu penses qu'elle me giflerait si je tentais de l'embrasser !
Il soupira, sachant que son copain avait raison, il n'avait aucune chance de se la faire, il révéla :
- Je rêve toujours d'embrasser ses lèvres si douces, puis de glisser mes mains sous son corsage pour jouer avec ses jolis tétons. Et une fois que je lui aurai caressé les seins, elle me laisserait lui sucer la chatte et nous ferions l'amour !
- Si t'essayes de l'embrasser, elle t'arrachera les yeux Dwight... le prévint Nate.
Il ne voyait pas comment l'aider, mais il sentait sa queue s'ériger à l'idée ce qu'ils pourraient faire avec la jolie prof de maths. Son copain était mal embarqué, il y avait un large ravin entre ses rêves et la réalité, il ne pouvait l'en blâmer, lui aussi aimerait bien se la faire. Il cherchait comment son copain pourrait profiter de cette journée seul avec la jolie prof pour concrétiser ses rêves. Peut-être bien qu'il existe un moyen d'en profiter tous les deux.
Il réfléchissait.
- Hey, Dwight... Est-ce que tu veux vraiment te faire mademoiselle Jennifer Emerson ? Si oui, je connais bien un moyen sûr de la baiser... l'informa Nate.
Dwight s'était figé, il fixait Nate les yeux écarquillés, ce dernier ajouta :
- Tu vas te livrer à un travail physique pour l'aider à déménager... Un moment donné, elle t'offrira sûrement un rafraîchissement... pendant une pause... Quand elle sera distraite, tu glisses une pilule dans son verre, ça l'assommera ou tout au moins ça sapera sa résistance.
- Tu penses à la... A la violer ! demanda Dwight effrayé par la proposition de son ami.
- Je veux lui faire l'amour, c'est sûr... Mais de là à la violer !
- Enfin si tu veux te la faire... il suffit de corser sa boisson... Mais je ne sais pas où trouver une drogue... Crois-tu que je puisse l'acheter en pharmacie ? s'enquit-il.
Nate secoua la tête.
- Avec tes connaissances tu crois que je pourrai en trouver ?
- Mais bordel, y'a plein de dealers dans cette foutue école, tu peux te procurer tout ce que tu veux en rodant dans les couloirs. Mais tel que je te connais, tu t'adresserais à la mauvaise adresse et tu te ferais casser. Allez, je vais m'en occuper, mais j'aurai aussi le droit de me la faire en second. Je vais te dégotter une drogue qui va l'assommer totalement, ça va être d'enfer tu pourras la baiser tout ton saoul, éveillée et sans lutte. Imagine là se tortillant sous tes assauts quand tu lui mettras ta bite dans la chatte. T'en fais pas copain je lui maintiendrais les bras immobiles, comme ça elle ne pourra pas t'arracher les yeux et tu pourras la baiser dans son petit trésor.
Et le week-end suivant, Dwight se présenta à l'heure juste au rendez-vous de Jennifer Emerson. Poliment il salua la ravissante jeune prof. Il suivait ses instructions, emportant les cartons étiquetés de la chambre à la porte d'entrée. Cette tache effectuée, ils firent de même avec les paquets qui encombraient la salle de bain, puis ils chargèrent la camionnette. Enfin ils démontèrent quelques étagères qu'il faudrait remonter dans le pavillon.
Alors que Dwight travaillait à son rythme, Jennifer s'affairait fiévreusement, emplissant de nouveaux cartons, cherchant à déterminer les choses dont elle pourrait se passer plusieurs semaines. Puis le téléphone sonna, Jennifer répondit. C'était le magasin où son fiancé et elle même avaient commandé des fournitures.
- Ok, c'est d'accord, livraison le mercredi 18 juin, c'est noté... vers 10 heures, bien je serai là... ce sera parfait, ainsi tout sera terminé pour le 21... l'adresse... Oui c'est ça... 355 rue du port... Dites à votre livreur que la maison est beige avec des volets brun sombre.
Comme tous les intellectuels, Dwight avait toujours un stylo et un carnet sur lui, mademoiselle Emerson avait pris le coup de téléphone dans la chambre pendant qu'il empilait les caisses dans la salle de séjour. Saisissant son stylo et son carnet, il nota l'heure, le jour et l'adresse de livraison. Dwight était si anxieux qu'il n'avait même pas remarqué la tenue habituelle de la jeune prof. Au lieu des tenues ultra classique qu'elle arborait au collège, dans son appartement elle circulait pieds nus, ses longues jambes dépassant d'une courte jupe. S'en rendant compte Dwight se sentit tout excité, sa queue frémissait dans son pantalon.
La jolie mademoiselle Emerson portait un chandail, avec une courte jupe bleue clair et un corsage, Dwight avait bien du mal à décoller les yeux de ses pieds nus et de ses longues jambes. Une heure plus tard, elle posa une main sur son épaule, suggérant de faire une pause en buvant un coca. Assis à même la carpette, le dos appuyé contre le mur, Dwight sirotait son coca. Ebahi, il vit mademoiselle Emerson prendre son coca et venir s'asseoir à ses cotés, sur le tapis. Il nota qu'elle s'y prenait habilement pour s'asseoir, plissant sa jupe contre ses jambes, pour ne rien révéler de son intimité.
Ils récupéraient ainsi côte à côte. Dwight aurait bien aimé que dans un coup de folie elle lui tombe dans les bras, ce qui lui aurait permis de raconter à Nate que tout était consommé.
Ils discutèrent à bâtons rompus pendant quelques minutes. Elle le questionnait sur ses intérêts hors travaux scolaires, elle semblait vraiment s'intéresser à lui et juste au moment où il allait lui confier ses désirs, le téléphone sonna à nouveau. Il la regarda se ruer dans la chambre pour répondre à l'appel, abandonnant son coca sur la carpette.
- Salut chéri... Je te manque tant que ça... j'espère que tu reviens ce week-end... l'entendait Dwight répondre au téléphone.
A cet instant le plan concocté avec Nate lui revint à l'esprit, à l'entendre discourir avec son bien-aimé au téléphone, il comprit qu'il n'avait aucune chance de se la faire autrement qu'en suivant le plan de Nate. Il prit donc la pilule que Nate lui avait remis plus tôt, et il la glissa dans la boite de coca de mademoiselle Emerson. Puis il la secoua brièvement pour faciliter la dissolution de la pilule dans le breuvage épais avant de l'amener à mademoiselle Emerson, conversant avec son fiancé, assise sur le lit.
Sirotant une lampée de son coca, il tendit sa boite à mademoiselle Emerson, elle lui sourit en remerciement tandis qu'il repartait continuer sa tache. Abandonnant mademoiselle Emerson dans la chambre, il se rendit dans la salle de bain, hors de vue de la belle. Coeur battant la chamade, il se dirigea tout droit vers le carton de vêtements sales qu'il avait remarqué plut tôt. Il ouvrit le couvercle et jeta un oeil sur le contenu. Le carton contenait des petites culottes roses, des soutien-gorges et encore d'autres sous-vêtements. Il prit un des soutien-gorges, et la main en cloche sur le bonnet il apprécia la taille des seins de la belle. Drapant le soutien-nibard sur le carton il prit alors une soyeuse petite culotte rose, la portant à ses narines, il inhala fortement se régalant des flagrances intimes de la jolie prof, puis il lécha avidement le fond de la petite culotte.
Jennifer écoutait Tim lui préciser ce qu'il faisait, quels effets il emballait.
- Oui, l'élève dont j'ai loué les services m'aide à démonter les étagère du salon et de la salle de bain, je vais emmener le plus possible de cartons ce week-end. Ce garçon me donne un bon coup de main, je suis contente d'avoir loué ses services...
Mademoiselle Emerson aurait été bien étonnée en voyant le garçon si réservé se branler dans une de ses petites culottes.
Ayant juté dans la petite culotte de sa prof adorée, Dwight retourna dans la salle de séjour d'où il pouvait surveiller la chambre. Il se remit à bander instantanément au spectacle de ces longues jambes dénudées. Tout à la conversation avec son fiancé, Jennifer ne prenait pas garde à ce que sa position révélait de ses charmes.
Tout en conversant avec son fiancé elle but une large rasade de son coca elle avait presque vidé la boite. Dix minutes plus tard, elle termina son coca et jeta la boite vide dans la poubelle. Nate l'avait informé que la drogue mettait une quinzaine de minutes à faire son effet.
- Bordel... Je vais enfin la baiser... Grognât-il en prenant sa veste accrochée au portemanteau.
Il rechercha les numéros d'appel pour prévenir Nate qu'elle avait ingurgité la drogue.
Jennifer roucoulait dans le combiné :
- J'en ai marre d'attendre chéri... Je ne pourrai pas attendre d'être devenue officiellement madame Tim Harrington... Je t'aime chéri... Oui je comprends... Appelle moi dimanche soir... Après ta visite à ta grand-mère... Au revoir chéri...
Jetant un oeil dans la chambre, il vit mademoiselle Emerson se diriger lentement vers son lit. Elle s'approcha, légèrement chancelante, de la porte qu'elle ferma. Un moment plus tard, elle réapparut, elle s'était changée et portait maintenant un pantalon bleue pâle.
- Dwight, tu m'attends 5 minutes... Je descends nous prendre une pizza pour ce midi...
Lorsque mademoiselle Emerson revint dans l'allée du garage, il était évident que la drogue agissait. la voyant tituber accrochée au portail, Dwight sauta sur ses pieds, s'informant :
- Eh bien mademoiselle Emerson, ça ne va pas...
Il l'agrippa alors par la taille. Coeur battant la chamade, il pensait :
- Ca y'est... Je peux enfin mettre mes mains sur son corps... Ohhh... Sa peau est si douce... si sexy...
Une main autour de sa taille, il l'affermit et constata :
- Vous feriez mieux de vous allonger un instant, Mademoiselle Emerson. Je vais vous aider à vous allonger.
Il l'aida à s'asseoir sur le lit, puis il lui suggéra de s'étendre. Tendant les mains, il la prit sous les mollets gainés de bas en nylon, et lui remon-ta les jambes sur le lit, il sentait sa bite grossir alors qu'il glissait la main sur ses cuisses les insérant sous sa jupe. Le simple fait de toucher ses cuisses faisait grincer des dents Dwight. Il sentait son excitation grandir considérablement, mais il ne voulait pas se vider les couilles si vite, il disposait de toute la nuit pour cela.
Il entendit clairement tourner la poignée de porte et la porte s'ouvrit. Il savait que c'était Nate muni de la caméra vidéo que lui avait donné Dwight avant de venir aider mademoiselle Emerson.
En constatant que mademoiselle Emerson commençait à perdre la notion de la réalité, tournant la tête en tous sens, Dwight poursuivit les caresses mains toujours insérées sous sa jupe. Clignant des yeux, cherchant à récupérer un peu de lucidité, elle constatait que son élève était assis à ses cotés sur le lit.
- Que... Que se passe-t-il ? se demanda-t-elle le sentant caresser ses cuisses.
"Oh... Mon Dieu... Il a glissé ses mains sous ma jupe !" réalisa-t-elle soudain.
- Nonnnn... Nonnn... .Dwight... Que fais-tu ? Nonnnn.... balbutia-t-elle paniquée.
- Arrête... Cesse ce petit jeu... rugit-elle trouvant un peu de force pour le repousser.
Depuis l'entrée, Nate regardait son ami caresser sa dulcinée. Il trouva un bon endroit où disposer la caméra lorsqu'il s'agirait de filmer les scènes de baise dans le lit. Voyant la jolie prof chercher à repousser Dwight, il se rua vers le lit. La voyant sur le point de hurler, il la bâillonna de la main. Il était temps, il étouffa son cri dans sa gorge. De sa main libre, il saisit l'un de ses bras et le tira au dessus de sa tête, le coinçant sous un de ses genoux, puis il fit de même avec l'autre bras. Ouvrant d'une chiquenaude le couteau suisse qu'il avait posé sur le lit, il l'agita devant les yeux effrayés de la jeune prof.
- Si tu cries, prof chérie... Je te défigure...
la prof pétrifiée de peur fixait des yeux la lame acérée. Puis il captura facilement ses poignets, l'empêchant de se débattre. Il interpella alors Dwight
- Ca y'est... Tu peux y aller !
A la vue de sa tête s'agitant de plus en plus mollement, Nate comprit que l'effet de la drogue s'amplifiait. Elle serrait et desserrait convulsivement ses petites menottes manucurées, Nate les repoussa sur la bosse qui gonflait sa braguette lui disant :
- C'est ici que ça se passe prof chérie... agrippe-le bien !
Totalement sous l'influence de la puissante drogue, Jennifer leva la tête vers le visage du noir qui la surplombait, ce visage lui semblait assez familier. Elle serra soudain les mains, agrippant quelque chose, elle pressa la bosse épaisse, ignorant totalement ce dont il s'agissait, elle caressa alors la hampe sur toute sa longueur, au travers de l'épais jean. Dans sa tête enfiévrée elle subodorait qu'il devait s'agir d'un serpent, d'un grand serpent captif.
Bien que totalement inexpérimenté, Dwight, pris d'un courage soudain, agrippa la ceinture de sa petite culotte, et roula bas et slip sur ses chevilles, dénudant ses longues jambes crémeuses. Il lui ôta ses hauts talons et la débarrassa alors de sa petite culotte et de ses bas qu'il jeta au sol roulés en boule. Il pouvait maintenant apprécier la douceur de la peau de ses cuisses. Nate l'appela alors le sortant de sa béatitude :
- Allez Dwight... Baise-la... Qu'attends tu pour t'installer entre ses cuisses... Vire lui sa jupe...
Coeur battant la chamade, bite frémissant dans son pantalon, il s'assit sur le lit et entreprit de dégrafer sa jupe. N'ayant jamais déshabillé de jeune femme, anxieux et inexpérimenté, il arracha le bouton du haut puis tira sur la jupe qui se déchira.
Les frôlements à sa taille et la déchirure de sa robe ramenèrent momentanément Jennifer dans la réalité. Affaiblie par la puissante drogue, les yeux vitreux, elle cherchait désespérément à lever la tête, alors quelqu'un la bâillonna à nouveau tandis qu'une main secourable était glissée sous sa nuque, l'aidant à lever la tête. Elle pouvait maintenant voir que sa jupe lui avait été enlevée et que les mains de son élève couraient entre ses cuisses.
- Nonnn... Nonnnn... Dwight... Cesse... Arrête... Je t'en prie... cesse cette folie... Immédiatement...
Elle essayait d'adopter un ton autoritaire. D'au dessus de sa tête, une voix rauque rugit :
- Allez mon pote... Elle est à toi, maintenant... Tu peux la baiser jusqu'à l'os comme dans tes rêves...
Jennifer ne pouvait pas croire ce qui lui arrivait, elle aurait voulu repousser le jeune ado à grands coups de pieds, mais ses jambes ne lui obéissaient pas, elle se sentait si faible. Elle balbutia :
- S'il te plait... Nonnnn... Je t'en prie... Arrête...
Dwight ôta ses chaussures rapidement et les jeta au loin. Très excité, il retira son tee-shirt et déboutonna son jean. une seconde plus tard, nu au pied du lit, la bite à la main, il contemplait la ravissante prof. N'ayant jamais couché avec une fille auparavant, il restait figé, la bite à la main. Nate l'interpella alors :
- Regarde ce joli chaton soyeux...Tu vas commencer par lui bouffer le gazon... Tu vas goûter ta première femme... Montre lui quel genre d'homme tu es... Bouffe lui la chatte... Allez vas y...
Lui bouffer la chatte, que voulait donc dire Nate ? Il n'allait tout de même pas lui demander, et lui montrer ainsi son ignorance dans les questions sexuelles. Se reculant, il saisit mademoiselle Emerson aux chevilles, lui écartant les cuisses en grand, l'empêchant de les refermer. Puis il pressa son visage contre ses cuisses crémeuses, frottant son visage contre sa peau soyeuse. Bien installé entre ses cuisses, il se réjouissait du désespoir de mademoiselle Emerson qui se tortillait cherchant à échapper à son étreinte murmurant d'une voix misérable :
- S'il te plait... Je t'en prie... Arrête... Dwight... S'il te plait... Cesse... C'est si sale...
Le nez de Dwight était maintenant au niveau de sa toison. Inhalant profondément, il s'emplit les narines des flagrances intimes de sa belle. Alors, instinctivement il enfouit son visage dans sa fourche et se mit à lécher ce qu'il avait à sa portée, parcourant de sa langue sa fente charnue.
- Ohhhhhhh... Ohhhhh... Arrête... Tu n'es qu'un sale pervers... sanglotait la ravissante prof.
Mais cela ne servait qu'à l'exciter, alors qu'il pénétrait maintenant sa fente de la pointe de la langue.
- Ohhhhh... Mon Dieu... Ohhhhh... Mon Dieu... ahhhhh... ahhhhh... oh, s'il te plait... Oh... ohhh... ohhh... ahhhhhhhhhhh ! gémissait Jennifer à gorge déployée, son corps se tortillant sur le lit sous les caresses de son jeune élève pervers.
- Arrête... Je t'en prie... Cesse... Ohhhhh... S'il te plait... le suppliait-elle alors que son corps innocent vibrait sous les ondes de plaisir, un plaisir qui la submergeait toute.
Répondant à ces stimulations inattendues, son corps s'arquait, talons enfoncés dans le lit, les cuisses tétanisées, grandes ouvertes ventre frémissant.
- Ohhhhh... ahhhhhhh... ohhhhhhhhh ! gémit-elle, la langue frétillant toujours dans sa fente.
Elle s'arc-boutait sur les talons, tendant son ventre, se cambrant pour mieux offrir ses babines à la langue fouineuse. Dwight se sentait très fier, en entendant mademoiselle Emerson grommeler :
- Ohhhhhhhhh... ohhhhhhhhh... Mon Dieu...
C'est alors qu'il trouva le bouton magique, son clitoris décapuchonné, érigé hors de son petit nid. Il se mit à le lui mâchonner, le mordiller, son corps trembla comme pris de convulsions.
- Ohhhhhhhh... Mon Dieu... Ohhhh,oui... Ouiiiiii...
Enfouissant son visage dans sa fourche, la langue profondément enfoncée dans sa fente ruisselante de ses secrétions, il n'en revenait pas de réussir à faire jouir ainsi une jolie femme, de lui faire pousser de tels cris d'extase.
- Eh bien, mon gars... Tu l'as drôlement fait jouir... Tu lui as bouffé le gazon... Elle a apprécié ta belle mademoiselle Emerson... entendit-il Nate s'exclamer.
Fièrement il releva la tête et sourit à son ami, lui montrant sa figure rayée des filaments des secrétions intimes de la ravissante mademoiselle Emerson. Jetant un oeil sur sa délicieuse prof, Dwight fixait sa toison luisante des secrétions intimes de la belle et de sa salive. Il était tenté de se branler pour gicler sur son corps. Nate l'interpella à nouveau :
- Ben quoi gars... Tu ne sais pas comment la fourrer ?
Nerveusement, Dwight enfourcha sa dulcinée. Espérant que Nate ne remarquerait pas son anxiété, il s'installa entre ses cuisses et se guidant d'une main il parcourut la fente détrempée de son bourgeon turgescent. Il plongea son gland dans les méandres enfiévrés de ses babines détrempées, elle poussa des gémissements de plaisir. Incapable de se retenir, Dwight empoigna sa jolie prof aux hanches et d'un seul élan forcené il s'engouffra dans sa moule accueillante.
- Aieeeeeeeeeeee... owwwwwwwwww... nonnnnnnnnn... oh, nonnnnnnnnnnn ! sanglota à nouveau la jolie prof se tortillant sur le lit, puis elle noua ses chevilles dans son dos, étreignit sa bite dans un gant de velours, lui faisant perdre tout contrôle.
Il était parcouru par des spasmes de plaisir, alors qu'il se vidait dans sa cramouille affolée. Une seule pénétration, et déjà il jutait. Il entendit alors son copain éclater de rire :
- T'es une vraie merveille de baiseur... T'as battu des records... C'est toi moins d'une minute !
- Non... Tout ça n'est qu'un rêve... Ca ne peut pas m'arriver... pensait-elle anxieusement.
Secouant la tête de droite à gauche, ses longs cheveux bruns s'étalant sur son visage, Jennifer faisait d'intenses efforts pour revenir à elle... Pour sortir de ce cauchemar.
- Comment peut-on rêver d'une telle absurdité ?
- Sacré Dieu... Je n'en crois pas mes yeux... Tu lui pris son pucelage... Qui aurait cru qu'elle était encore pucelle ? Tu viens de dépuceler la ravissante mademoiselle Emerson... Elle était vierge... Imagine la tête du pauvre cocu qui espérait cueillir sa fleur... s'esclaffa Nate qui avait noté le cri de désespoir lorsque Dwight s'était enfoncé impitoyablement en elle, et avait vu ses petites menottes se crisper.
Elle réalisa que tout était vrai, que ce n'était pas un cauchemar, à la violente douleur et fugitive douleur irradiant brusquement son pubis et à l'annonce de son dépucelage par le comparse de Dwight. Jennifer sanglota de plus belle, se refusant à comprendre qu'après toutes ces années d'attente pour se présenter vierge au soir de la nuit de noce, en un fatal instant on venait de lui dérober son pucelage. Elle avait été prise de force par un de ses élèves ! Elle se sentait si gênée, si humiliée, comment pourrait-elle épouser Tim maintenant ? C'est alors qu'elle sentit sa main s'ouvrir, libérant la bite rigide qu'elle étreignait à pleine main.
En descendant du lit, Dwight jeta un oeil à Nate qui se préparait à prendre sa place. Il resta muet de stupéfaction à la vue du gourdin de chair que Nate tenait dans sa main. C'était la première fois qu'il voyait la bite de Nate, et il réalisait qu'elle était deux fois plus longue et plus épaisse que la sienne.
- Tu... Tu vas la tuer... Avec une telle bite... Elle ne pourra jamais... t'es bien trop gros... Trop long... bégaya-t-il effaré.
Nate éclata de rire en entendant les commentaires effarés de Dwight, sachant que mêmes les pires salopes et les putes expérimentées mettaient un certain laps de temps à s'habituer à ses mensurations hors du commun.
- T'inquiète pas... Je n'vais pas la tuer... Juste lui dévaster la chatte... dégrader la camelote de son futur... Je vais la dilater de façon conséquente... lui dit Nate s'installant entre les cuisses de mademoiselle Emer-son.
Parcourant du gland les replis de sa fente, il lubrifia son bourgeon au jus épais qui suintait de sa moule. Se pressant contre la fente détrempée, il jeta un oeil sur le visage angoissé de la jolie prof, ses yeux exprimaient de l'horreur comme elle réalisait ce dont elle était à nouveau menacée. Comme elle allait pousser un cri d'horreur, Nate la bâillonna vivement de la main.
- Ma jolie prof chérie, tu vas apprendre comme c'est bon de baiser... Tu as une sacré veine que ce soit Dwight qui t'ait dépucelé avec sa petite queue... Je vais maintenant te dévaster la moule mademoiselle Emerson... Je vais te préparer pour ta nuit de noce... Je vais te dilater la cramouille, il te prendra à l'aise... lui murmura Nate à l'oreille se positionnant pour la pourfendre.
- J'espère que tu prends la pilule... Même la première fois tu peux attraper le gros ventre... rigola Nate.
D'une vigoureuse poussée de ses hanches, il vainquit la résistance de l'étroite entrée de son vagin, ce dernier céda soudain enveloppant son épais bourgeon de sa moite chaleur.
- Mmmphhhhhhh... mmmphhhhhhhhfffff ! fusa le cri étranglé de la malheureuse prof de math qui se tortillait pour échapper à l'assaut.
Nate sourit se réjouissant de voir la grimace angoissée qui enlaidissait le visage de la jeune femme horrifiée.
- Mademoiselle Emerson... c'est vraiment délicieux... T'es si étroite... Ohhhh chérie... Le sang de ton pucelage colle à ma bite... T'es vraiment étroite... Si je ne t'avais pas vu saigner quand Dwight s'est enfoncé dans ta chatte, t'es si étroite que je croirai que t'es toujours pucelle...
Il la chopa aux hanches pour faciliter son effraction, elle cherchait toujours désespérément à échapper au viol, à la douleur cuisante que lui infligeait le jeune noir.
- Mmmmmpffffffffff... nnnnnnnnn... nnnnnnnnnnn !
C'étaient les seuls sons qui parvenaient à s'échapper de sa gorge. Elle griffa ses épaules, ses bras cherchant toujours à se dégager.
- Ohhhhh... Mais oui chérie... Oui... défends-toi... frappes moi de tes petits poings... Encore... grommelait Nate.
Et voyant Dwight saisir ses poignets pour l'immobiliser, il lui dit :
- Non... .Lache ses mains... Laisse la se défendre... C'est beaucoup plus amusant... Prends plutôt la caméra... Et prends moi en train de lui dévaster la chatte... lui conseilla-t-il.
A la vue du menu corps de la petite prof de maths secoué de sanglots, Nate enleva sa main de sa bouche et posa ses lèvres sur les siennes. Comme elle grommelait, il profita de cette opportunité pour insinuer sa langue dans sa bouche, lui roulant une pelle. Il savait qu'il affolait la ravissante prof. Il chercha entrer en contact avec sa langue, à la première touche, elle retira sa langue rapidement, un deuxième essai entraîna la même réaction. Jennifer frémissait de révulsion en sentant la langue de son agresseur explorer sa bouche.
- Oh, Mon Dieu... ohhhhhhh, Mon Dieu... S'il te plait... Dis lui d'arrêter... S'il te plait... Pourquoi me faire ça ? pleurnichait Jennifer désespérée.
Jennifer pleurait de plus en plus au fur et à mesure de la pénétration de la monstruosité de Nate dans son tunnel d'amour qu'il élargissait de force, Jennifer n'était plus qu'une boule de douleur, il lui semblait qu'on la pourfendait en deux. Elle grinçait des dents en le sentant forer son logement.
- Oh,Mon Dieu... Oh, Mon Dieu... Même pas un homme... Même pas un homme... Ce serait moins humiliant... Un adolescent... un de mes élèves... Ce n'est pas possible... Nonnnnnn... Ca fait mal... Arrête, Je ne peux pas en prendre plus... Il me va me déchirer... .Nonnnnn J'ai trop mal... S'il vous plait... Arrêtez... Je vous en prieeeeee... Pleurnichait-elle alors que centimètre après centimètre il se logeait inexorablement dans sa cramouille distendue, alors qu'il continuait l'exploration de sa bouche de la langue.
- Aieeeeeeeee... ahhhhhh ! gémit-elle dans la bouche de son agresseur, alors que d'un mouvement rageur, il progressait encore dans son tunnel explosé.
Yeux fermés, l'énorme pine entamant des allées et venues douloureuses dans son bas ventre, bouche explorée par la langue de ce maudit bâtard, Jennifer ressentait d'un seul coup une sensation totalement inattendue d'un plaisir diffus, une onde électrique parcourut son corps, sa langue vint enrober celle de son suborneur noir.
La drogue produisait maintenant son plein effet, la projetant dans un monde fantasmé. Son expérimenté violeur constatant qu'elle flottait dans les brumes d'un monde fantasmagorique, chassant la réalité pour la remplacer par un cocktail de sensations lascives, il se propulsa une fois de plus dans sa cramouille qui cette fois l'accueillit avec plaisir.
Soudain Nate la sentit reprendre pied, elle retira sa langue, alors qu'il allait et venait dans sa chatte. Il ne voulait pas qu'elle imagine se faire baiser par son fiancé, il voulait qu'elle sache que c'était lui, Nate, qui la baisait jusqu'à l'os.
- Alors ça te plait la prof ? Je vais bientôt me vider les couilles dans ton vagin prof chérie. Nate va te faire grimper aux rideaux mademoiselle Emerson... Et par la suite, prof chérie, tu ne pourras plus te passer des grosses queues noires...
Jennifer essayait de reprendre le contrôle de son corps, refusant de céder aux ondes de plaisir qui couraient de ses reins à sa tête. Cependant, inconsciemment, elle étreignit la bite noire de ses muscles vaginaux. Mais à chaque va et vient de l'énorme bite dans sa cramouille, son ventre frottait contre le clito érigé de la belle enseignante, déclenchant des éclairs entre ses cuisses alors que ses muscles vaginaux se contractaient puis se relâchaient massant l'énorme hampe.
- Oh, Mon Dieu... Faites que... Faites que je ne prenne pas de plaisir à cet immonde viol... Nonnnnnnnnn... Oh, nonnnnnn... grommelait-elle inquiète alors qu'une puissante vague de plaisir déferlait dans son corps et son cerveau.
Sentant le corps de la jolie prof onduler de plaisir, Nate compris qu'elle prenait son pied tandis qu'elle nouait ses chevilles dans son dos. Sa langue jouait maintenant avec la sienne. Jamais elle n'oublierait cette baise pensait-il fièrement.
Il refréna sa propre excitation, alors qu'elle s'arcboutait sur les talons approfondissant les pénétrations. Alors, très lentement, il sentit le corps de la ravissante prof se décontracter, elle revenait sur terre. Juste à l'instant où mademoiselle Emerson épuisée, relâchait son étreinte, laissant retomber bras et jambes sur le lit, Nate sentit monter sa jouissance, alors que sa bite coulissait de plus en plus vite dans sa caverne détrempée. Cessant momentanément ses baisers, il lui chuchota à l'oreille :
- Tu diras à l'homme qui va t'épouser que c'est tu t'es faite violer et dévaster la chatte par un de tes élèves noirs ! Tu lui diras qu'il t'a rempli le vagin de sa semence épaisse... De sa crème de bébé...
A nouveau capable de raisonner, elle comprit toute l'horreur de sa situation.
"Oh, Nonnnnn... Nonnn .. Il crache son venin dans mon ventre... Enceinte d'un bébé blanc c'est déjà une chose difficile à endurer... Mais comment pourrai-je expliquer accoucher d'un bébé noir !" rationalisait déjà son esprit.
Jennifer poussait sur ses épaules, cherchant désespérément à l'obliger à se retirer. De toute manière il était trop tard, il l'embourbait déjà depuis quelques secondes.
- Ohhhh... Nonnnnn... pas ça... grognait-elle misérablement.
La martelant comme un marteau piqueur, Jack se vidait à gros bouillon dans la cramouille embrasée de la jolie mademoiselle Emerson, espérant l'engrosser :
- Profites en chérie... Tu sens mon foutre épais... Sûr, dans neuf mois t'accouches d'un bébé noir... Sûr... J'te mets la dose... Aahhhhhhhhhhhhh... yeaaaaaaaaahhhhhhhhhh ! grognait-il inondant ses profondeurs intimes d'une chaude gelée fertile.
Sa jouissance provoqua un nouvel orgasme chez Jennifer qui noua à nouveau ses chevilles dans son dos, tandis qu'elle plantait ses griffes dans la chair de ses épaules. Le corps arqué, elle rejoignait son violeur dans un puissant orgasme qui submergeait leur deux corps unis dans la jouissance.
Un moment plus tard, Il se retira de son entrecuisse. Ce faisant, il sourit à la ravissante prof recroquevillée dans une position foetale, sanglotant et pleurant de honte. Il s'essuya la bite dans le drap blanc, puis il remarqua la large tache visqueuse au centre du lit.
Relevant la main, il tapa dans celle de son copain pour célébrer leur fait d'arme, le viol de la ravissante prof de maths de Dwight.
Comme la jolie prof, épuisée, s'était endormie, Nate en profita pour lui enlever son chandail et son soutien-gorge, dénudant ses seins. Il se mit ensuite à sucer ses tétons, alors que son ami contemplait les cuisses, la toison et le sexe béant de sa jolie prof.
Tout l'après-midi et la nuit qui suivit, Nate et Dwight se succédèrent entre les cuisses de la ravissante prof.
Mademoiselle Emerson, totalement sous l'influence de la drogue, ne manifesta pas de révolte. Encore et encore elle ouvrit en grand ses cuisses pour leur permettre de tirer de son corps tout le plaisir qu'ils escomptaient. A chaque fois, enfoui dans ses profondeurs intimes, ils bombardèrent son utérus de leur foutre crémeux.
Elle était bien incapable de dénombrer le nombre de fois qu'ils l'avaient possédé, satisfaisant leur insatiable lucre.
Epuisés, ils l'abandonnèrent au petit matin, gisant sur le dos, cuisses grandes ouvertes, sperme s'écoulant de sa chatte inondée, poissant le drap de lit. Un rayon de soleil frappant son visage la réveilla brusquement, elle remua et grommela, elle subissait un terrible mal de tête, alors qu'une lancinante douleur émanait de son entrecuisse.
Incapable d'affronter ses étudiants, et plus spécialement Dwight Nelson, Jennifer se fit porter malade pendant toute la semaine. Elle se sentait incapable de retourner dans sa classe tant que ses violeurs arpenteraient les couloirs. Mais la semaine écoulée, Jennifer réalisa qu'elle ne pouvait pas, pour autant, sacrifier ses autres élèves qui comptaient sur elle, aussi, malgré sa répulsion, elle reprit la classe la dernière semaine.
Elle constata avec une certaine joie que Dwight Nelson s'était assis au dernier rang et non pas au second comme il le faisait habituellement, malgré tout elle se sentait angoissée en faisant classe. Elle frémit en voyant Nate l'épier au travers de la fenêtre,. Elle se figea muette d'effroi alors qu'il la déshabillait du regard, la replongeant dans les affres du viol qu'elle venait de subir. Elle était très heureuse de n'avoir qu'une semaine de classe avant les vacances d'été.
Regardant sa montre, elle finit rapidement sa tasse de café, et se précipita vers le pavillon, elle ne voulait pas manquer le camion de livraison qui apporterait le lit géant et la chambre qu'ils avaient choisi ensemble. Reprenant quelques cartons dans son appartement, elle se dirigea alors vivement vers sa nouvelle maison.
Depuis l'immonde viol, de la semaine précédente, Jennifer se posait des questions sur son mariage, ce problème quittait plus son esprit. Mais, elle ne voyait pas comment expliquer à tous le report de leur mariage alors que tout était programmé depuis un an. Elle avait donc décidé de faire comme si rien n'était, elle suivrait le programme prévu.
Quelques instants après son arrivée au pavillon, le camion de livraison apparut. Indiquant au livreur le chemin de la chambre conjugale, elle les regarda monter le lit et le disposer ainsi que prévu. Une fois les livreurs partis, elle prit les draps neufs fraîchement lavés et entreprit de faire le lit, puis elle enveloppa les oreillers dans leurs taies et les mit en place. Lissant les oreillers elle contempla le grand lit qu'elle devait partager avec Tim le restant de ses jours.
A l'insu de Jennifer, le pavillon avait été forcé la nuit précédente, ses deux jeunes violeurs se tenaient cachés dans la chambre d'amis. Ils avaient consulté les notes de Dwight et avaient décidé de tester le lit immédiatement.
Tranquillement, les deux ados se dirigèrent vers la chambre principale. Une fois dans la chambre, ils étaient prêt à agir. Nate empoigna la jolie prof, couvrit sa bouche d'une main tandis que Dwight lui face. Tendant la main, Dwight agrippa le col de son chemisier et d'une brusque saccade il l'arracha, le soutien-gorge subit le même sort, puis il s'agenouilla la dépouillant de son short.
A quatre pattes sur le lit, Jennifer ouvrit la bouche pour hurler, alors que le démoniaque élève cherchait à introduire sa bite en elle. Elle était figée par l'angoisse, il ne cherchait pas à la prendre par la voie ordinaire, mais il essayait de lui forcer le trou du cul.
- Nonnnnn... mpffffffhhhhhhhhh !
Le cri s'étrangla dans sa gorge, interrompu par la grosse queue noire qui venait d'envahir sa bouche.
Quelques instants plus tard, Jennifer gisait sur le ventre dans le lit conjugal. Elle frissonnait de douleur, une bite enfouie profondément dans son boyau culier, alors qu'elle s'efforçait d'avaler les flots de foutre chaud qui avaient fusé dans sa bouche, lui inondant la gorge. Elle grogna à nouveau lorsqu'on la prit aux hanches, la repositionnant à quatre pattes alors que les deux jeunes ados échangeaient leurs places.
L'épreuve subie par Jennifer aux mains des deux ados se poursuivit encore et encore. Elle fut le jouet de tous leurs désirs, ils réalisèrent toutes leurs fantaisies. Le pire, pour Jennifer fut d'être prise en sandwich, Nate lui ravageant la chatte alors que Dwight lui perforait le cul.
Finalement, plusieurs heures plus tard, ils lui permirent de remettre ses vêtements sur son corps englué de sperme. Assise sur le bord du lit, frémissant de honte, elle lissa ses bas sur ses longues jambes avant d'enfiler les hauts talons blancs que lui tendait Dwight.
Hormis le soutien-gorge et la petite culotte, elle était maintenant vêtue comme pour son mariage.
Elle avait été si humiliée de se tenir nue devant ses deux élèves, c'était pire maintenant ayant été obligée de revêtir sa robe de mariée sous leurs yeux. Elle s'accroupit devant le petit salaud comme il lui disait :
- A genoux mademoiselle Emerson et suce moi pour me remercier !
Le musculeux copain noir de Dwight appuya ses mains sur ses épaules la forçant à obéir à la requête de Dwight. Les larmes ruisselèrent sur ses joues à l'idée de cette dernière dépravation. Agenouillée sur la carpette, vêtue de sa robe de mariée, elle sanglota alors qu'il levait son voile. Elle ouvrit les lèvres accueillant la visqueuse virilité entre ses lèvres. Heureusement il jouit rapidement, se vidant rapidement les couilles dans sa bouche.
Une fois le stupre de son copain satisfait, Nate prit sa place et releva à son tour le voile de la future mariée. Il souriait goguenardement en lui jetant un oeil, il plaça sa main sur sa nuque, sous le voile et tonna :
- Il est temps d'avaler ton bol de sperme noir... Allez chérie suce moi... Encore... Suce...
Le nez collé à sa toison crépue, Jennifer avait du mal à respirer, la grosse bite lui obstruant la bouche. Elle cherchait désespérément à le repousser pour respirer librement. Alors qu'il venait et allait dans sa bouche, elle frissonna de dégoût devant cet acte méprisable qu'il lui imposait.
Nate baissa les yeux sur la ravissante petite prof dans sa robe de mariée, agenouillée entre ses cuisses tandis qu'il fourrait sa grosse bite dans sa bouche domptée. Il se moquait la voyant au bord de la suffocation, la bouche emplie de sa grosse biroute. Se retirant lentement à l'orée de ses lèvres il lui permit de respirer un grand coup, puis il s'enfonça loin au delà des amygdales en dépit de ses nausées et il vomit ses dernières salves dans sa gorge apprivoisée. Il la sentait tenter de le repousser mains agrippées à ses hanches. Nate aurait aimé que son futur époux soit là pour voir sa future agenouillée entre ses cuisses suçant sa grosse bite. Il le lui dit d'ailleurs.
- Je ne regrette qu'un chose : que ton futur époux blanc n'assiste pas à ta fellation ! Il aurait pu voir la pute qu'il va épouser en pleine action... Pourquoi essayer de me repousser ma prof chérie... Tu ne veux plus avaler mon sperme chaud ?
La tenant fermement par la nuque, il continuait à lui asperger la glotte et tandis qu'elle suffoquait, ayant de la peine à déglutir, il ajouta :
- Eh bien mademoiselle Emerson, on ne veut plus de mon sperme chaud ?
Et il éclata de rire comme elle tentait vainement de retirer la grosse bite frémissante de sa bouche. Il paraissait intarissable, jet après jet il tapissait sa gorge de sa semence gluante, terminant en se retirant et aspergeant de ses dernières le corsage de sa robe de mariée.
Tout en sanglotant de honte, Jennifer voulut effacer la tache visqueuse qui maculait le satin soyeux du corsage de sa robe de mariée, mais elle ne fit qu'en enduire totalement ses doigts. Elle regardait désespérément la tache sur son corsage et ses doigts poisseux lorsqu'elle entendit Dwight lui dire :
- Viens ici ma prof chérie... Regarde moi et viens ici...
Elle gémit le voyant braquer une caméra sur elle, réalisant qu'elle avait été filmée les suçant dans sa robe de mariée. L'immature Dwight Nelson s'approcha d'elle susurrant :
- Etends-toi sur le lit, ma jolie mademoiselle Emerson, je veux te baiser dans ta robe de mariée ! Ainsi, s'il te venait l'idée de nous dénoncer, tous les élèves recevraient une photo de toi nous suçant à genoux, vêtue de ta robe de mariée le corsage maculé de sperme.
Continuant à la filmer, Dwight se délectait de voir son angoisse s'afficher sur son visage, il savait, de plus, que tout ce qu'ils disaient étaient captés par le micro de la caméra.
- C'est ça ma jolie, étends-toi comme ça, c'est très bien... Maintenant retrousse ta robe de mariée et montre nous ta chatte...
Puis, il tendit la caméra à Nate, et grimpa sur le lit pour enfourcher sa jolie prof de maths.
- Chérie, tu es si belle dans ta robe de mariée... Oui c'est ça ma prof adorée... Écarte tes cuisses... Bien mademoiselle Emerson... Oh ouiiii... Ouiiiii...
Cette fois Dwight ne put se retenir plus de deux minutes avant d'exploser dans sa cramouille distendue.
- Ahhhhhh... Je jouis... Je me vide les couilles dans ta foufoune... Que c'est bon !
Dwight était trop inexpérimenté pour réaliser que sa ravissante prof était juste couchée sur le dos, subissant ses assauts sans manifester d'émotion, sans réagir tandis qu'il se démenait entre ses cuisses pour prendre son plaisir.
Mais elle ne put cacher ses sensations lorsque Nate s'installa entre ses cuisses. Il était décidé à la faire grimper aux rideaux. Il la voyait tenter de se contrôler, se refusant à répondre à ses lubriques assauts, mais son expérience lui donnait un sacré pouvoir : celui de la circonvenir.
Regardant au travers de la visée de la camera, Dwight vit sa prof adorée nouer ses chevilles dans le dos de Nate s'arc-boutant pour amplifier la pénétration dans sa chatte embrasée. Il l'entendait grommeler, gémir, ce qu'elle n'avait pas fait sous lui :
- Ohhh... Ohhhh... Ohhhhh... Ouiiii... Ouiiiiii... Encore... Plus pro-fond... .Ohhhh... Oui...
- Dis moi ce que tu veux ma prof chérie... Dis le moi ou j'arrête de te baiser... s'esclaffaNate.
Et Dwight vit, à sa grande surprise, mademoiselle Emerson supplier :
- Nonnnn... Nonnnnn... n'arrête pas... Mon Dieu... S'il te plait... Nonnnn... Nonnnnn... N'arrête pas... Oh ouiiiiii...
Le contraste était énorme, le musculeux colosse noir baisait vigoureusement la délicate et menue prof blanche qui s'agrippait à lui chevilles nouées dans son dos, bras refermés sur ses épaules. Encore plus excitant était de constater qu'il la baisait dans sa robe de mariée, amidonnée de semence masculine. Les capacités de contrôle de Nate effaraient Dwight qui le voyait chevaucher la ravissante prof depuis dix bonnes minutes, enfin il entendit Nate gémir :
- Ohhhh... Je vais jouir... Ma jolie prof je vais t'embourber... Veux-tu que je me retire ?
L'impensable réponse retentit alors :
- Nonnnn... Nonnnnn... Ne te retire pas... Nonnnn... Jute... Jute dans ma moule... Ouiiiii... Ouiiiii... C'est bon... Mon Dieu... Je jouis... ohhhhh oui... Je Jouisssss !
La nuit même, couchée dans la chambre conjugale qu'elle devait bientôt partager avec Tim, Jennifer se débarrassa de sa robe de mariée la jetant au sol. Elle s'était douchée, curant son corps des souillures extérieures, se disant en elle-même :
- Comment... Comment ai-je pu supplier ce bâtard d'ado de jouir dans ma foufoune... Mon Dieu, Tim ne mérite pas de se déshonorer avec une pute comme moi... Et... Et ils ont tout filmé... Dieu sait ce qu'ils voudront encore obtenir de moi...
Toute la nuit elle se tourna et se retourna incapable de trouver le sommeil. Au petit matin, elle était décidée à annuler le mariage. Elle ne savait comment l'annoncer à Tim, sans le blesser, mais elle se sentait trop salie pour l'épouser. De plus elle voulait lui cacher qu'elle avait été violée et peut-être même engrossée par un de ses élèves et son copain noir.
Ses yeux se posèrent alors que la cassette vidéo que les deux élèves avaient posés sur la commode avant de partir. La saisissant elle poussa un gémissement misérable en lisant le titre ; "Le dépucelage de mademoiselle Emerson". Elle n'avait pas remarqué que ces deux pervers l'avaient filmée se faisant violer dans son appartement lorsqu'ils l'avaient droguée. Elle se rappela alors les derniers mot de Dwight avant de la quitter :
- C'est une copie pour toi ma chérie... Je garde l'original dans mon sac... Maintenant on va faire une copie de la cassette où tu te fais baiser dans ta robe de mariée.
Le lendemain, assise à coté du téléphone, elle le décrochait pour appeler Tim, mais le reposait immédiatement. Elle ne parvenait pas à lui annoncer la rupture de leurs engagements sans lui en donner la véritable raison. Elle était perdue, ne sachant comment résoudre cette pénible situation.
Soudain la sonnerie du téléphone retentit, elle se saisit du combiné pour répondre. Elle avait fait le report d'appel de son appartement au pavillon, et c'était l'un de ses élèves préféré qui tout excité lui dit :
- Avez regardé les nouvelles à la télé mademoiselle Emerson ?
- Non, je n'ai pas allumé la télé... Qu'est-il arrivé ? demanda Jennifer.
La conversation terminée, Jennifer s'assit sur le lit, sous le choc, cherchant à rassembler ses idées et à réfléchir. Le téléphone sonna à nouveau. Cette fois elle regarda quel numéro s'affichait sur l'écran récepteur. C'était Tim qui l'appelait de son mobile. Coeur battant la chamade elle se rassit le laissant sonner, réalisant qu'elle avait besoin de plus de temps de réflexion. Elle se tourna alors vers la télévision et se brancha sur le canal local qui traitait les nouvelles locales pour vérifier l'information sur laquelle son jeune élève avait attiré son attention. Elle s'assit écoutant religieusement chaque parole. L'accident était survenu une demi-heure plus tôt, le reporter disait :
- Deux voitures faisaient la course sur le périphérique, lorsque l'une des deux quitta la route, dévala un ravin et prit feu.
Les deux élèves du lycée Wilson avaient été tués sur le coup, alors que leur voiture brûlait après avoir fait plusieurs tonneaux. Les deux jeunes tués dans l'accident avaient été identifiés, il s'agissait des jeunes Dwight Nelson et Nate Thompson.
A voir les photos de la voiture accidentée, on constatait qu'elle était totalement détruite tout avait brûlé.
Jennifer laissa échapper un soupir de soulagement, elle savait que la bande originale du viol se trouvait dans le sac de Dwight et qu'il n'avait pas eu le temps matériel d'effectuer une copie. Ses craintes de se voir soumise à un chantage s'évanouissaient, les deux détenteurs de la cassette compromettante étaient morts dans l'accident, la bande vidéo était détruite.
Deux semaines plus tard, Tim Harrington rayonnant d'orgueil regardait sa belle épouse traversant l'allée centrale de l'église pour le rejoindre. Elle était si belle dans sa robe de mariée de satin blanc, elle semblait si innocente, il ne pouvait croire qu'il était si chanceux, il était impatient de l'aimer pour la première fois. Il ne pouvait se douter qu'elle avait déjà copieusement était utilisée et de plus dans sa robe de mariée.
Quelques larmes perlèrent aux yeux de Jennifer qui, cachée sous son voile, regardait Tim, elle avait rêvé de ce moment depuis des années. Après le viol enduré récemment et l'accident dans lequel était morts ses violeurs, elle avait décidé d'épouser Tim comme prévu initialement. Elle ne se sentait plus sous l'épée de Damoclès, les éventuels maîtres chanteurs et la cassette compromettante avaient disparus dans l'accident.
Elle eut à nouveau l'envie de mettre fin à cette comédie de mariage, mais que pouvait-elle faire maintenant, alors que les invités étaient installés dans l'église. Ayant toujours eu un cycle régulier, comme ses règles n'étaient pas venues au moment escompté, elle craignait d'être enceinte, mais elle avait bien trop peur des ragots pour aller se procurer un test de grossesse avant même son mariage. Pensant à son futur époux, elle se disait : "Comment ai-je bien pu te faire ça mon chéri ! Je me présente à toi comme une promise virginale alors qu'en réalité j'ai été dépucelée, dévastée, souillée, par deux pervers. Je viens vers toi un polichinelle dans le tiroir... Je n'espère qu'une chose : que ce soit Dwight le géniteur."
Cinq semaines plus tard, début août, Jennifer assistait à la réunion habituelle réunissant personnel enseignants et autres personnels du lycée dans la cafétéria du lycée. Tous les nouveaux professeurs, le staff technique, les gardiens, étaient réunis, ainsi tout le monde pouvait associer le visage à la fonction. Les salles de classe étaient prêtes, les consignes avaient été distribuées, les élèves disposaient de leurs emplois du temps et avaient identifié les lieux. Le principal présenta les nouveaux membres de l'équipe.
Léon Smith revenait en tant que concierge dans l'école où il avait terminé sa scolarité deux ans plus tôt. Il connaissait la plupart des enseignants, mais une nouvelle tête attira son attention, il nota son nom lorsque le principal avisa joyeusement les participants :
- Comme vous le savez certainement, il y a eu un changement important cet été, mademoiselle Emerson est devenue madame Harrington... Allez venez chère Jennifer, ne soyez pas si timide, levez vous...
Léon devait vider les armoires encore occupées pour les préparer pour l'année à venir, tous les élèves savaient qu'ils devaient libérer leurs casiers à la fin de l'année scolaire. Effectuant ce travail, Léon tomba sur un casier encore cadenassé. Il se rendit au bureau des entrées pour s'informer de l'identité de l'élève enregistré sous ce numéro pour le prévenir de venir vider son armoire.
Ayant identifié le détenteur du casier, la secrétaire appela le principal pour avoir ses consignes. Le principal répondit qu'il se chargeait du problème et il convoqua Léon dans son bureau. Là Léon apprit que le casier avait été occupé par Nate Thompson, un des deux élèves décédé dans un accident de la route cet été. Il lui commanda de briser le cadenas et de remettre les effets du jeune homme au secrétariat, qui contacterait les parents et se conformerait à leurs voeux.
Le principal voulait que Léon inspecte les effets de façon à éliminer tout ce qui pouvait s'avérer illégal avant de les remettre au secrétariat. Les secrétaires n'avaient pas à savoir s'il avait trouvé de la drogue ou quoi que ce soit d'illégal. Les parents avaient déjà assez de problèmes sans leur en ajouter, la perte de leur fils suffisait à leur chagrin, il était inutile qu'ils apprennent éventuellement que leur fils se livrait à des activités illégales.
Léon força donc le cadenas du casier de Nate Thompson, puis il se rendit à la salle de maintenance. Chemin faisant, il croisa la ravissante madame Harrington qui venait vers lui dans le couloir, ils échangèrent quelques mots, et Léon quitta la jolie prof alors qu'elle entrait dans sa classe. Il se mit à bander et se murmura :
- Toi chérie, j'aimerai bien faire un tour dans ton lit ! jeune mariée de cet été... Mon Dieu... Ces longues jambes doivent faire le bonheur d'un petit mari blanc.
Les affaires du jeune Nate Thomson se trouvaient dans un sac d'école, il referma le sac et une fois rendu dans la salle de maintenance il commença le tri avant d'emporter le contenu au secrétariat. Ouvrant un petit compartiment sur le coté du sac, il comprit combien le principal avait eu le nez fin en lui demandant de trier les effets du jeune homme avant de les remettre aux secrétaires.
Léon jeta les deux paquets de préservatifs sur son bureau, ainsi que les sachets de sheet, un sachet contenait des pilules et d'autres drogues. Léon secoua la tête regardant s'il ne restait rien dans le petit compartiment, puis il ouvrit le compartiment central, qui était rempli de livres, de cahiers et de magazines, il confisqua les magazines pour homme. Sentant une épaisseur dans le fond du sac, il tendit la main et ramena une cassette vidéo, le titre était claire : le dépucelage de mademoiselle Emerson.
Se pouvait-il qu'il s'agisse de la même mademoiselle Emerson, la nouvelle madame Harrington ?
Léon se réjouit, il rangea la cassette se promettant de la visionner dès son retour dans son petit appartement, il se sentait tout excité dans la perspective de ce qu'il espérait.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours