dimanche 5 novembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch.07

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Le plan n'a pas aussi bien marché que prévu.

***** Semaine 2 ******

Le lundi suivant, j’arrive au travail de très bonne humeur. J’ai passé un des meilleurs week-ends depuis bien longtemps. Le chantage de Daniel m’avait mise dans un certain état d’excitation et j’avais fait la fête toute la nuit avec certaines de mes amies.

Le danger que l’on sache que je suis une cheffe d’entreprise qui couche avec son stagiaire a disparu. Mon plan a parfaitement fonctionné. Toutes les photos que Daniel avait prises ont été supprimées. J’ai réussi à déjouer ce voyou arrogant avant que ma réputation soit ternie. Si jamais il ose m’approcher de nouveau avec son air vicieux, je le foutrai dehors du bureau. Honnêtement, je suis pressée de voir ça. Ça sera mon triomphe. Je veux voir la défaite sur son visage.

Le vendredi, j’étais restée chez moi pour travailler et je n’avais pas eu de nouvelles de Daniel. Apparemment il avait dû être occupé avec ses amis et n’avait pas vérifié les photos. Et cette semaine, comme je suis en séminaire avec quelques collaborateurs, il faut que j’attende avant de voir sa réaction.

Au cours des jours qui suivent, ma vie revient comme avant. Comme d’habitude, mon travail en séminaire se déroule bien. Cependant, curieusement, je remarque que mes collègues me traitent avec plus d’attention qu’auparavant. Je n’y fais pas trop attention et je me dis que c’est le temps ensoleillé qui les pousse à être plus courtois. Mais bientôt je découvre la vraie raison.

Après quelques jours, je m’aperçois que non seulement ils sont beaucoup plus amicaux avec moi, mais qu’ils font aussi beaucoup plus attention à mes tenues et mon corps. Bien que je ne m’en sois pas rendu compte, j’ai commencé à m’habiller différemment pour travailler. Au lieu de tailleurs stricts avec des chemisiers à col fermé, je me suis mise à porter de jupes crayon moulantes et des chemises avec décolleté pour accompagner mes vestes. J’ai aussi remplacé mes confortables chaussures basses par des talons hauts élégants. Au final je montre la naissance de ma poitrine et je roule un peu du cul en marchant sans raison valable.

Cette réalité me frappe un jour. Que cela me plaise ou non, le traitement que m’a fait subir Daniel m’a changée. Bien que je me sois rendu compte de mon nouveau style vestimentaire, je n’en change pas. Je suis sexy, mais toujours chic et bien habillée. Donc il n’y a pas de mal à ça. Mais surtout, j’aime l’attention que l’on me porte. Je me sens spéciale, plus féminine et plus convoitée que jamais.

En plus de mon nouvel habillement, autre chose est différent. Au début, je n’ai pas trop su ce que c’était, juste une agitation intérieure qui ne me laisse pas tranquille. Mais au fil du temps, je me suis surprise à penser aux défis vicieux que Daniel m’avait fait subir encore et encore.

Quelque chose dans ma psyché s’est ouvert comme une porte menant à un endroit sombre et sale. Et maintenant, je ne peux plus le fermer. Après avoir expérimenté mon côté vicieux et exhibitionniste de mon subconscient, j’étais presque devenue accro. Comme un train qui passe dont vous pouvez ne vous empêcher de regarder, la curiosité l’emporte. Malgré le danger de ce côté noir, j’en ai encore plus envie. Ma vraie nature sexuelle semble apparaître.

Les premiers jours, je me maudissais pour ces pensées ridicules. Et j’essayais de réprimer tous mes sentiments. Mais mon envie commença à me submerger. Daniel avait exposé une facette de moi que je ne connaissais pas auparavant. Et le besoin d’explorer ce côté sombre devenait de plus en plus fort chaque jour.

Si bien qu’un jour, je me suis retrouvée dans ma chambre d’hôtel à parcourir des sites pornographiques pour regarder des vidéos de salopes se faisant défoncer et baiser dans des lieux publics. Mais ça ne réprime pas ma faim. Alors je commence à lire des histoires sur l’humiliation sexuelle et la domination masculine. Et j’essaie de me mettre dans la peau des soumises. Certaines choses lues me dégoûtent, mais m’excitent aussi. Mais ça ne suffit pas, je suis de plus en plus affamée de sexe. J’ai besoin de réel.

Maintenant, il me semble passer tous les jours étourdie par une envie pressante. Curieusement, plus le travail est stressant et exigeant, plus j’ai envie de me glisser dans un rôle de soumise. Essayer d’oublier ma vraie nature ne fonctionne pas. Au contraire, je suis constamment distraite. Je dois en venir à bout. Je dois en savoir plus sur moi. Pourquoi est-ce si excitant pour moi d’être traitée comme une pute ? Pourquoi est-ce si agréable pour moi d’être utilisée comme une salope bon marché. Pourquoi ai-je aimé servir ces jeunes machos et me faire humilier pour leur amusement ? La vérité est assez évidente. Rien ne m’excite plus.

 **** Semaine 2 – Jeudi

Le jeudi, je n’en peux plus. J’ai besoin qu’on m’aide. Je dois vivre tous ces fantasmes qui me remplissent la tête. Comme je suis dans une ville où je ne suis pas connue, je peux essayer de tenter ma chance et saisir l’occasion si elle se présente.

Le soir, je m’habille dans une élégante robe rouge de soirée qui descend à mi-cuisse et laisse une belle vue sur mon décolleté. La couleur vive et la longueur de la robe me donne un aspect assez sexy sans être salope. J’associe à la robe des bas noirs, un soutien-gorge et une culotte en dentelle noire. Puis je mets des escarpins rouges à talons aiguilles assortis. Je m’habille pour me montrer et impressionner.

Je prends un taxi et je demande au chauffeur de m’emmener dans un bar situé dans un quartier typique de la classe ouvrière. Celui qu’il choisit n’est certainement pas un établissement haut de gamme, mais un bar classique d’ouvriers. Comme j’y arrive un peu tard, certains consommateurs ont déjà pas mal bu. Quand j’entre, ma tenue rouge et mon décolleté démarque totalement du lieu.

Je m’assois seule dans un coin du bar et je commande un verre. Alors que je commence à boire, un gars m’aborde. Il a l’air assez costaud avec un sourire effronté et un air suffisant. Avec sa coupe de cheveux courts et un début de barbe, il a plutôt l’air d’être dominant, exactement ce que je cherche.

Il s’approche clairement pour me draguer, ce qui fait accélérer mon pouls. Nous commençons à bavarder. Il s’avère qu’il est maçon. Il n’est pas très intelligent, mais ça n’a pas d’importance. Je cherche à me faire baiser, pas à avoir une conversation interminable.

Normalement je n’aurais jamais discuté avec ce type d’homme. Mais aujourd’hui c’est différent. Son attitude désinvolte et confiante m’a convaincue. D’après notre conversation j’ai compris que c’est le genre de gars qui prend ce qu’il veut sans se poser trop de questions. Il semble voir les femmes comme des consommables que l’on jette après s’en être servi. Je souhaite en faire partie.

L’homme met rapidement sa main sur mon genou et me caresse la jambe. Mon Dieu, je désire tellement qu’il glisse sa main sous ma robe. Ma tête fantasme et ma chatte palpite. Néanmoins nous continuons à flirter et à bavarder pendant qu’il boit encore quelques bières.

Quelques heures plus tard, nous sommes finalement assis dans un taxi en route pour son appartement. Je suis nerveuse mais encore plus excitée. Je me sens salope et vicieuse.

Arrivés chez lui, l’homme ne se soucie de rien. Il ne m’offre même pas à boire. Au lieu de ça il commence à m’embrasser dès que nous franchissons la porte. Arrivée à la chambre, j’ai déjà perdu ma robe rouge et mes talons hauts.

Il me pousse simplement en arrière pour me faire tomber sur le lit. Une seconde plus tard, il est sur moi, poussant sans ménagement son sexe dans ma chatte. Et l’alcool fait son effet. Il passe à peine dix minutes à me baiser avant d’éjaculer dans mon ventre, de rouler sur le côté du lit et de s’endormir.

Quelle amère déception ! Que je suis déçue ! Aucune de mes attentes n’a été remplie. Mes désirs ne sont pas satisfaits. Cet homme est ennuyeux. Ce n’est pas la séance de baise agressive et rude que j’espérais. Au contraire c’est la coucherie la plus pathétique de ma vie. Mes fantasmes et mes besoins n’ont pas été rassasiés.

 **** Semaine 3 – Lundi

Malgré ce revers, je n’ai pas laissé la frustration prendre le dessus sur mes pensées. M’être débarrassée de Daniel est une raison d’être heureuse ; tout le reste n’est pas grave. Je ne laisserai pas ma déception me faire perdre le moral. Tout au long du week-end, je continue à explorer mes fantasmes sur les sites en ligne.

Le lundi suivant, je m’assure de m’habiller de manière plus stricte, car je m’attends à rencontrer Daniel. Et je souhaite mettre l’accent sur mon autorité retrouvée. Je porte donc une jupe de costume grise étroite qui m’arrive au genou, une veste de costume grise avec un col en V assez haut et une ceinture assortie. Je prends des bas noirs avec porte*jarretelles et des escarpins noirs classiques.

Je commence juste à regarder mon courrier reçu que la porte de mon bureau s’ouvre violemment. Daniel fait irruption et se plante devant mon bureau. Il est évident qu’il me soupçonne d’avoir supprimé les photos. Après tout, il a eu une semaine pour le comprendre. Étonnamment pourtant, il ne semble pas être très énervé. Il me salue sur un ton sarcastique :

- Regarde-toi Miss Intello ! Tu as l’air très heureuse. Tu penses avoir quelque chose à fêter n’est-ce pas ? Tu pensais que je ne découvrirais pas qui a effacé les photos hein ?

Alors je lui réponds de façon sévère :

- Woah ! Faites attention à ce que vous dîtes ! Vous parlez à votre supérieure.

Il réplique alors :

- Ahah, tu es redevenue une garce. Je sais exactement à qui je parle ! Je parle à la chienne que j’ai baisée, à la salope qui essaie de me faire un petit dans le dos.

La façon dont il parle sonne étrangement. Il semble plus moqueur que fâché. Si bien que je suis confuse. Je m’attendais à ce qu’il soit énervé et en colère. Toutefois je ne me soucie pas vraiment de ce qu’il pense. J’en ai fini avec lui. Je hausse les épaules et je lui dis :

- Je ne sais pas de quoi vous parlez ! Je ne sais pas ce qui est arrivé à vos photos. Sortez de mon bureau !

Mais au lieu de partir, Daniel réplique :

- Tu sais exactement ce qui s’est passé, putain de salope. Personne ne touche à mon portable, je l’ai toujours avec moi. Je ne l’ai perdu de vue que quelques instants quand tu m’as enlevé mon pantalon dans ma cuisine.

Je commence à sentir la colère monter.

- Ooooh, je suis vraiment désolé. Vous ne pouvez plus vous vanter de votre conquête. c’est dommage !

Mais il ne réagit pas à mes moqueries de la façon dont je le voudrais. Il dit :

- Héhéhé, tu penses être très intelligente n’est-ce pas ? Ça va te piquer le cul Miss Allumeuse !

J’en ai marre de ces conneries ? Je ne veux plus laisser ce petit macho arrogant m’humilier. J’ai assez souffert de son comportement odieux. j’essaie alors de mettre fin à cette discussion ridicule en disant :

- Je peux vous faire virer de ce bureau en quelques instants. Alors vous feriez mieux de vous taire et de retourner au travail.

Pour enfoncer le clou, je me détourne de lui et je me concentre sur mes mails.

- Héhéhé ! L’entends-je dire au-dessus de moi.

Il n’a pas quitté mon bureau et il se moque de moi avec un comportement arrogant. Sa réaction me prend par surprise. Qu’est-ce qu’il prépare ? Il continue de rire et me dit :

- C’est une bonne blague petite chatte. J’ai été gentil avec toi petite salope. Je ne t’ai pas baisée au bureau n’est-ce pas ? J’ai gardé ta réputation intacte n’est-ce pas ? Tu ne peux pas nier que tu t’es amusée dans le centre commercial n’est-ce pas ? Et que tu t’amusais comme une chienne en chaleur dans mon jardin n’est-ce pas ? Et toi qu’est-ce que tu fais ? Tu essaies de me rouler dans la farine.

Le sang me monte à la tête alors que j’entends ses paroles. Je suis de plus en plus en colère. Qui pense-t-il être ce petit con arrogant et macho ? Je lui rétorque alors :

- Mais oui bien sûr ! Tu m’a traité gentiment et respectueusement , fils de pute !

En réponse il m’assène :

- Je t’ai traitée de la façon dont tu avais besoin. Peu importe si tu l’avoues ou non. Je t’ai aidé à explorer ton côté sombre de salope que tu gardais au fond de toi. Et tu sais que j’ai raison.

Cette déclaration me fait déglutir et me réduit au silence. Je ne peux pas vraiment nier ses dires. Ses soirées après le travail ont été incroyablement excitantes et m’ont fait jouir comme jamais de ma vie.

Le stagiaire a fait disparaître ma colère. Ça ne se passe pas comme je l’avais imaginé. Je veux juste qu’il se taise et qu’il quitte mon bureau. Ce que nous avons fait est du passé. Son chantage est terminé. Cependant Daniel ne semble pas vouloir sortir de la pièce. Il continue de se moquer de moi.

- Mémo à Miss allumeuse ! Tu n’es pas aussi intelligente que tu le penses. Tu as supprimé les photos de mon téléphone portable et tu penses être tranquille. Mais laisse-moi te montrer quelque chose !

D’une manière ou une autre, la discussion a échappé à mon contrôle. Le latino a pris le dessus. Il sort son mobile et le présente devant mon visage. J’ai le souffle coupé et mon cœur s’arrête de battre pendant une seconde.

Ce n’est pas possible ! Ce n’est pas vrai ! Daniel me présente une photo sur son portable qui me montre nue au soleil sur mon transat, les jambes écartées, en train de tripoter les seins pendant que Daniel me doigte la chatte.

- Hé hé, tu as oublié Trévor.

Le jeune latino rigole en voyant mon air atterré. Il ajoute :

- C’est une bonne chose que nous ayons échangé nos numéros de portable après la journée dans ta cour. Il a été assez gentil de m’envoyer ses photos quand les miennes ont disparu. Et ses images sont encore mieux que les miennes tu sais ! Elles montrent que vous êtes la pute de votre stagiaire.

Non ! Non ! Non ! Une voix hurle dans ma tête. C’est sûrement un cauchemar. Je regarde Daniel la bouche bée. Que se passe-t-il ? Qu’ai-je fait au bon Dieu ? Pourquoi ces deux bâtards sont-ils restés en contact l’un avec l’autre ?

J’ai l’impression qu’il vient de me gifler. Toute ma joie du week-end a disparu. Comment aurais-je pu savoir que Trévor m’avait aussi photographié ? Comment pouvais-je savoir qu’il était resté en contact avec Daniel ?

Il faut que je fasse face à la situation. Le latino a toujours prise sur moi. Ma tentative de supprimer des preuves a été vaine et a eu pour résultat d’énerver mon tourmenteur. En fait, ça se retourne contre moi et me met dans une situation délicate. Il n’y a aucun moyen de s’échapper. Daniel a de nouvelles preuves de ma conduite lubrique. Et cette fois, il a sûrement fait des copies qu’il a cachées quelque part. Je suis à court de mots. Je ne sais pas quoi faire. Daniel prend mon silence pour une reddition. Et il recommence à commander :

- Oublie Miss Allumeuse ! Maintenant c’est Miss Pute de Bureau ! Fini les soirées après le travail ! Tu as loupé ces occasions. A partir de maintenant, tu vas t’habituer à être la salope du bureau que tu es réellement.

Ses paroles me frappent tel un coup de fouet. Chaque mot sonne à mes oreilles comme un coup de tonnerre.
«  Miss Pute de Bureau » ? « salope du bureau » ? Que se passe-t-il ?

- Pour le reste du stage, tu vas être mon animal de compagnie personnel. Tu vas continuer à être une salope, mais tu le feras ici, dans ce bureau. Compris salope ?

Sans attendre de réponse il continue son discours :

- A partir de maintenant, tu suivras mes règles à la lettre. Tout d’abord, tu t’habilleras toujours comme une bimbo de bureau avec des talons d’au moins dix centimètres.

Il énumère les règles et s’attend à ce que je hoche la tête de façon affirmative avant de continuer.

- Deuxièmement, tu feras une pause tous les trois heures et tu te masturberas pendant cinq minutes, mais sans jouir. Troisièmement, tu ne me sors pas ton discours de femme d’affaires quand je suis là, mais seulement des paroles de salope. Quatrièmement, tous les jours tu auras un défi au bureau que tu exécuteras quoiqu’il soit. Cinquièmement, tu me feras jouir tous les jours au bureau. Sixièmement, tu n’es pas autorisée à avoir un orgasme sans mon autorisation.

Il conclut enfin.

- Six petites règles ! Ça ne devrait pas être trop difficile à retenir, même pour une stupide garce comme toi. Agis comme une bonne soumise de bureau jusqu’à ce que mon stage soit terminé et tu récupéreras toutes les photos.

Daniel me laisse entrevoir une lueur d’espoir avant de continuer :

- Mais n’oublie pas ça avant d’essayer quelque chose d’aussi stupide que l’autre jour Miss Pute de Bureau !

J’acquiesce silencieusement. Je suis tellement anéantie que toute lueur d’espoir est bonne à prendre.

- Crois-tu que ce soit une réponse appropriée Miss Pute de Bureau ? Me demande Daniel d’un ton sévère.

Je ferme les yeux et pense « ressaisis-toi ma fille ». Puis en regardant directement dans les yeux le jeune latino, je fais de mon mieux pour lui plaire.

- Oui Monsieur Daniel. Votre pute de bureau comprend les règles ! Dis-je avec autant d’assurance que possible.

Je me sens tellement mal de me traiter de pute de bureau. Mais qu’est-ce que je suis censée faire ? Je ne veux pas attiser la colère de Daniel et aggraver la situation. Celui-ci me répond alors :

- C’est un bon début Miss Pute de Bureau ! Mais tu comprendras que je ne peux pas laisser passer ton arnaque de l’autre jour sans te punir n’est-ce pas ? Je pense que tu dois encore apprendre qui est le maître ici n’est-ce pas ?

Je déglutis. Mon estomac est noué. Je sens tous les muscles de mon corps tendus à l’extrême. J’ai un mauvais pressentiment. Je sens que ça ne va pas bien se finir pour moi.

- Oui Monsieur Daniel ! Je ferai ce que vous dites Monsieur ! Réponds-je néanmoins avec obéissance.

Le choc est trop violent pour que je puisse objecter quoi que ce soit.

- C’est la bonne attitude ! S’exclame Daniel satisfait de mon obéissance avant de faire demi-tour et sortir de mon bureau.

Le jeune latino me laisse simplement assise là, complètement abasourdie et submergée de honte. Qu’ai-je fait ? Je laisse échapper un sanglot pathétique alors que le surnom « Pute de Bureau » ne cesse de résonner dans mes oreilles comme une mauvaise blague.

Pendant une heure, je ne vois ni n’entends Daniel. Une brume de stupeur a envahi mon cerveau alors que je réalise que je suis coincée. Je n’ai pas réussi à me débarrasser de ce voyou macho. Et de plus il a augmenté son pouvoir sur moi. Il est sur le point d’étendre ses manigances dans mon entreprise et je ne peux rien faire pour l’empêcher.

J’ai joué avec le feu et je suis sur le point d’en subir les conséquences. Je ne peux m’empêcher de tourner dans ma tête la menace de Daniel. Je me sens tellement impuissante. Je suis réduite à une simple subordonnée sexuelle.

Une partie de mon esprit me dit que tout est de ma faute. J’ai essayé de le tromper et il a dû réagir. Il doit faire un exemple. Il doit s’assurer que je n’oublierai jamais plus les règles. En tant que femme d’affaires et supérieure hiérarchique, je sais comment il faut donner l’exemple. Je ne suis pas facile quand il faut que je traite avec des subordonnés qui ne travaillent pas suffisamment.

Hein ? Mais d’où me viennent ces pensées ? Je ne suis pas la coupable ici ! Il ne faut pas que je me trompe. Rapidement je réprime tout sentiment de culpabilité. Toutefois, un mauvais goût me reste dans la bouche. Je dirige mes subordonnés de manière très juste et je ressens le besoin l’être tout autant quand je suis responsable de mes actes. Je ne donnerai pas le plaisir à ce voyou macho le plaisir de me briser. Je vais sourire et supporter tout ce qu’il me fera faire.

Durant le reste de la journée, j’essaie désespérément de trouver le moyen de me sortir de cette situation difficile. Mais je n’arrive pas à me concentrer. Maintes et maintes fois je pense à la menace de Daniel et je me demande ce qui m’attend. Je réalise qu’il a transféré sa salope au bureau. Je suis directrice dans cette entreprise. Je suis sa patronne ici, c’est mon territoire. Pourtant il est sur le point d’en faire son terrain de jeu et de m’utiliser comme son animal de compagnie obéissant.

Après trois heures j’ai presque oublié la règle numéro 2. Avec quelques minutes de retard, je me rappelle que je dois faire une pause et jouer avec mon corps pendant cinq minutes. Cependant je ne peux pas le faire dans mon bureau. Les chances d’être prise en flagrant délit sont trop importantes. Alors je vais aux toilettes et je m’enferme dans une cabine. Je m’assieds sur le couvercle de la cuvette et j’ouvre un des boutons de ma veste grise. Tout en commençant à tripoter mes seins à travers mon chemisier et mon soutien-gorge blanc, je frotte mes cuisses l’une contre l’autre.

Mes tétons deviennent durs. Relevant ma jupe, je commence à caresser ma jupe à travers ma petite culotte en dentelle noire. Malgré, ou justement à cause de la situation, ma chatte est en train de mouiller. Je commence à ressentir des petites décharges électriques sur la peau et ma chatte réclame plus. Je vais jouir !

RIIIINNNGGGGG !

L’alarme de mon téléphone portable retentit pour m’indiquer que les cinq minutes sont écoulées. C’est une épreuve si vicieuse et dégradante. Pourtant, je ne veux pas m’arrêter. Mais je ne veux pas enfreindre une règle dès le premier jour. Alors, à contrecœur, je cesse de toucher mon corps. Bon sang, c’est décevant de ne pas avoir le droit de se masturber au travail.

«  Mais que t’arrive-t-il ma fille ? » Me suis honteusement demandée. Bien que je ne me touche plus l’excitation est restée et me distrait de mon travail. Je suis si nerveuse que je n’arrête pas de frotter mes cuisses l’une contre l’autre et que je n’arrive pas à travailler.

Une heure s’écoule encore avant que Daniel ne pénètre de nouveau dans mon bureau. Une fois de plus, il ne prend même pas la peine de frapper. Il entre simplement dans la pièce et croise les bras devant sa poitrine, d’une manière arrogante. Il ne dit pas un mot, attendant que je concentre mon attention sur lui.

- Pourquoi suis-je ici ? Me demande-t-il quand je le regarde nerveusement.

Je ne bronche pas. Ce voyou macho semble absolument calme et avoir le contrôle. Pourtant il ne bouge pas. C’est évident ce qu’il va se passer n’est-ce pas ? Il n’est pas nécessaire d’en dire plus. Pourquoi ne fait-il simplement pas les choses. Quoiqu’il veuille faire de moi, je veux seulement en finir. Cependant, je sais qu’il joue avec moi, pour me faire sentir sa domination et son pouvoir.

- Vous êtes ici pour donner à votre animal de compagnie une leçon sur le respect de vos règles Monsieur Daniel. Je suis désolé de vous avoir déçu l’autre jour Monsieur. Dis-je gentiment.

La façon dont je réponds me rend nauséeuse. j’agis de manière totalement soumise. Pourquoi j’offre si peu de résistance ? Est-ce vraiment la peur pour ma carrière ? Pourquoi je ne me rebiffe pas ? Je suis fâché contre moi-même de mon comportement, portant je continue de me montrer soumise. Daniel hoche la tête et commence à m’expliquer ce qu’il a prévu pour moi.

- Ok, voilà ta tâche pour la journée. Dans quinze minutes tu m’apporteras une tasse de café Miss Pute de Bureau. Et avec ce café tu me donneras une note sur laquelle tu auras marqué un numéro. Ce numéro va m’indiquer combien de gifles tu vas te donner quand je reviendrai dans ton bureau. Compris petit animal de compagnie ?

Chaque mot résonne à mes oreilles. Je commence à avoir des douleurs dans l'estomac. Je n'avais pas pensé à cela. Des gifles ? Je ne peux guère imaginer quelque chose d'autre de plus terrible qui puisse démontrer clairement le pouvoir de Daniel sur moi. Je le regarde dans les yeux, mais je sens les derniers restes de confiance en moi disparaître. Il sourit quand il me voit trembler.

- Tu ferais mieux de choisir un nombre qui indique de façon convaincante que tu es désolée du tour que tu m'as joué. Sinon tu auras une autre punition, petite Pute de Bureau. Ajoute le latino sévèrement.

Regardant un trou dans le sol, je ne dis pas un mot. Je ressens le besoin de me rebiffer, mais je ne le fais pas. Je ne le supplie pas non plus de revoir sa punition. De toute façon ça ne serait pas bon pour moi.

Je sais que mon silence est autant un aveu de culpabilité qu'une acceptation de la peine. Mais il me reste assez de fierté en moi pour ne pas plaider en faveur de sa miséricorde. Je ne me soumettrai pas complètement à ce macho.

La façon détaillée dont Daniel présente son plan perfide n'est pas anodine. Je sais ce que je dois faire. Je sais ce qu'il attend de moi. Je sais ce qu'il va se passer. Et l'anticipation de ce plan mesquin et méchant augmente ma nervosité au-delà de mon imagination.

- Tu as des questions Miss Pute de Bureau ? Me demande Daniel d'une voix dure.

Après un long silence, je secoue la tête. Je ne veux plus rien dire, mais je sais ce qu'il attend de moi. Alors d'une voix que j'essaie de rendre ferme, je lui réponds :

- Non Monsieur Daniel. Je ferai ce que vous dites Monsieur.

J'ai à peine prononcé ma capitulation qu'il est déjà parti. Je ressens le besoin urgent de fuir bien loin. Mais quelque chose me retient, comme une paire de menottes invisible. A présent, je sais que c'est le pouvoir qu'il exerce sur moi, la manière assurée dont il me domine. Il prend ma soumission pour acquise. Et pour en être sûr, il veut que je me gifle sans que je me rebiffe. Une fois de plus, je suis étrangement fascinée par l'arrogance et la confiance en soi de ce jeune stagiaire envers une femme d'affaire mature comme moi.

J'ai quinze minutes pour sceller mon destin, mais je n'arrive pas à penser correctement. La pensée des photos de mes idioties dans ma cour me fait frissonner. Et je pense amèrement qu'il est temps de payer pour la suppression des photos sur le portable de Daniel.

Je prends plusieurs grandes inspirations pour essayer de me calmer, mais ça ne m'aide pas vraiment. Je suis complètement perdue. Toutefois le temps me manque. Il faut que je trouve un nombre approprié pour ma punition. Combien dois-je mettre ? Combien puis-je supporter ? Je n'en ai pas la moindre idée. Je trouve profondément dégradant de trouver le nombre de gifles que je dois me donner. Je trouve humiliant de participer activement à ma punition. Mais c'est exactement ce que veut sûrement ce voyou.

A quoi m'attendrais-je en tant que responsable de l'un de mes subordonnés ? Je m'attendrais à une preuve qui montre qu'il est totalement impuissant et obéissant.

Mais quel nombre vais-je mettre ? Je n'en ai aucune idée. Une gifle au visage est bien pire qu'une claque sur le derrière. Je ne pense pas pouvoir en supporter plus que cinq. Mais cinq ne me semble pas convaincant. Il risque d'avoir l'impression que je ne le prends pas au sérieux. Et dix ? Puis-je supporter dix gifles ? Puis-je me résoudre à me gifler dix fois.

Je frissonne à cette idée. Néanmoins, je prends un morceau de papier et j'écris un gros 10 avec un marqueur. Ensuite je plie le papier, et je me lève. Je descends les escaliers les genoux tremblants et j'entre dans la cuisine du bureau pour préparer deux cafés.

Une tasse de café dans chaque main, j'entre dans l'espace des stagiaires qui se trouve juste en face de la cuisine. J'espère que les autres stagiaires seront absents. Je vais avoir trop honte si quelqu'un me voit servir un café comme une bonniche au jeune stagiaire. Après tout je suis un des numéros deux de l'entreprise.

Cependant, je n'ai pas de chance. Il y a six postes de travail qui se font face dans la pièce des stagiaires. Chaque compartiment est séparé par une cloison à hauteur d'épaule qui cache les regards sur les écrans d'ordinateur. Et malheureusement, trois postes de travail sont occupés. Justin, vêtu d'un polo blanc de marque et Matt, vêtu d'une chemise noire avec les deux boutons du haut ouverts sont assis à gauche de la pièce, tandis que Daniel est assis dans le coin le plus à droite.

Je dois passer près de Justin et Matt pour arriver à Daniel. Bien sûr, ils sont intéressés par ma présence.  Par contre, Daniel ne me regarde pas. Ça me vexe même si je sais que ça fait partie de son jeu de pouvoir avec moi. Les regards attentifs des deux autres jeunes hommes augmentent ma nervosité et font trembler mes mains. Si bien que lorsque je pose la tasse de café sur le bureau de Daniel, un peu de liquide s'échappe. Le jeune voyou s'en aperçoit et me regarde.

- Apporte-moi une nouvelle tasse ! Dit-il cyniquement.

Immédiatement ma figure tourne au rouge betterave. Il n'a pas parlé fort, mais je ne sais pas si les autres l'ont entendu ou non. Quoi qu'il en soit, ils ont sûrement remarqué la manière dominante avec laquelle il se comporte envers moi, sa supérieure hiérarchique. Je suis tellement gênée que je ressens le besoin de me rebiffer. Mais mon esprit me met en garde et m'invite à me calmer. C'est son jeu, ses règles. Il veut m'humilier et ça ne fera qu'empirer si je me révolte.

Je prends la tasse et retourne dans la salle de café pour en préparer un autre. En chemin je fais de mon mieux pour ne pas regarder les deux autres stagiaires. J'ai du mal à supporter leurs regards posés sur moi. Je reviens et je pose la tasse sur le bureau de Daniel, sans problème cette fois.

- Voilà ! Commente-t-il ironiquement à voix basse.

Je prends le morceau de papier plié et je le pose à côté de sa tasse. Je reste debout à côté de son bureau et je le regarde prendre son temps pour déplier la note et la lire. Je sens les regards de Justin et Matt sur mes fesses et j'ai envie de m'enfuir de ce bureau. La honte me brûle les joues. Toutefois je reste debout et immobile jusqu'à ce que Daniel hoche la tête. En silence, je me retourne et je sors de la pièce. Pendant tout le trajet, je garde les yeux rivés au sol car je ne peux me résoudre à regarder les deux autres jeunes hommes en face.

En respirant lourdement, je m'assois devant mon bureau. Le macho peut arriver à tout moment. Je ne peux pas me concentrer sur autre chose que la punition imminente que va m'infliger ce voyou. Mais il ne vient pas tout de suite. A chaque fois que j'entends des pas dans le couloir, je remue d'appréhension sur ma chaise. Mais ce n'est pas lui. Maintes fois je regarde la porte et je prie pour que ce soit lui. Je veux en finir avec cette histoire. L'attente est presque aussi terrible que la punition. Daniel me laisse mijoter dans mon inquiétude jusqu'à une heure avant la fin du travail.

Finalement la porte s'ouvre et il entre dans mon bureau. Je suis presque soulagée qu'il soit là et que nous commencions. C'est stupide non ? Mais l'attente m'a rendu folle.

- ORTEGA et O'BANNON ont quitté l'immeuble pour assister à une réunion à l'extérieur. Me dit Daniel.

Apparemment il attendait leur départ. Au moins, il ne veut pas que quiconque nous voit. Théoriquement, quelqu'un peut entrer à tout moment dans mon bureau et assister à la scène de punition que je redoute. Mais ORTEGA et O'BANNON étant à l'extérieur, il est peu probable qu'une autre personne se le permette. Par précaution, j'avais prévu sur mon agenda en ligne une réunion privée pour qu'aucun de mes subordonnés ne me dérange. Malgré tout, je me lève de ma chaise et je vais fermer la porte à clé.

Daniel attend simplement que je m'assoie de nouveau à mon bureau. Il tient le morceau de papier à la main.
Son sourire de macho arrogant et prétentieux me rappelle immédiatement les gifles qui m'attendent. Je suis totalement humiliée. Nous le savons tous les deux, il a mis tout cela en scène.

- Qu’est-ce qui va se passer maintenant mon petit animal de compagnie ? Me demande-t-il sur avec un air narquois.

Il veut que je le dise moi-même. Il veut se délecter de mon humiliation.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, laissez-moi me gifler dix fois. Réponds-je faiblement.

Soudain le jeune latino se penche sur mon bureau et attrape mon menton. Il me fait mettre debout et me fait pencher sur le bureau jusqu'à ce que mon visage soit face au sien.

- Vous savez Mme ADDAMS, ce ton ne me semble pas ferme et vrai. Lors de vos réunions, vous parlez comme une véritable femme d'affaire, une dirigeant d'entreprise. Alors dis-moi que tu es mon animal de compagnie. Essaie de me convaincre que tu es une pute de bureau ! Grogne-t-il en face de mon visage.

Je déglutis. Je suis trop obsédée par la séance de gifles qui m'attend. Il veut tout d'abord bien m'humilier. Il veut que la fière femme d'affaire rampe devant lui. Il veut savourer son triomphe au maximum. Mes nerfs sont à vif. Je veux seulement que tout cela finisse. Malgré tout, j'ai du mal à lui accorder ces préliminaires dégradants. Je lui dis alors gentiment :

- Je suis ici pour apprendre une leçon sur le respect de vos règles Monsieur Daniel. S'il vous plaît Monsieur, laissez-moi me gifler dix fois pour vous montrer que j'apprends. S'il vous plaît, laissez-moi me claquer dix fois la figure pour que je me rappelle ma place.

Si cela ne suffit pas, je ne sais pas que dire d'autre. Je me suis humiliée plus que jamais dans ma vie. Mon visage est rouge de honte. Tout en restant penchée sur le bureau j'attends la réaction de mon tourmenteur. Il ne dit pas un mot, lève la main et la pose sur ma joue droite. Ce contact me fait trembler et je ferme les yeux. Mais je ne bouge pas mon visage. Il garde sa main sur ma joue pendant un moment, savourant le pouvoir qu'il a sur moi.

- Ouvre tes yeux ! Et regarde-moi en te giflant salope bon marché !

Et il ajoute en enlevant sa main de ma joue :

- Compte chaque gifle !

J'ouvre les yeux et je fixe son regard noir et froid. J'ai du mal à rester à le regarder. Soumise j'ai envie de regarder le sol. L'heure a sonné. La punition débute.

Tout mon corps tremble quand je lève la main droite. Je n'arrive pas encore à réaliser que je vais me gifler pour l'amusement de ce voyou arrogant. C'est pire que s'il me giflait lui-même. C'est vraiment le signe de ma reddition.

La gifle tombe sur ma joue droite et je ressens une légère brûlure. Je l'ai vraiment fait ! La femme d'affaires respectée que je suis est penchée sur son bureau et gifle son visage. Je me sens tellement pathétique dans mon tailleur strict. Habituellement c'est un signe de mon autorité, mais là, je ne ressemble plus à rien.

Donc voilà ce que j'ai ressenti. La gifle ne m'a pas faite hurler et je n'ai pas fermé les yeux sous l'impact. Le claquement a à peine été audible. Je ne me suis pas frappée très fort. Tout simplement, je n'ai pas été capable de le faire.

- Un ! Merci Monsieur ! Dis-je d'une voix ferme.

Je vois un léger signe de déception dans les yeux du latino. Je ne me suis pas frappée assez fort à son goût. Il n'est pas convaincu. Je dois me claquer plus fort sinon il me donnera une autre punition. Et je ne veux pas que ça se produise. Celle-ci est déjà assez méchante.

Je lève à nouveau la main et je frappe la même joue une seconde fois. Cette fois-ci, ma joue commence à me brûler.

- Deux ! Merci Monsieur ! Dis-je avec un petit gémissement.

L'expression dans les yeux de Daniel n'a pas changé. La gifle n'a pas encore été assez forte pour lui. Je dois y mettre plus d'entrain et de force. Je dois vraiment me punir.

Rapidement je me donne une troisième et quatrième gifle sur la joue gauche. Les claquements retentissent dans le bureau comme le signe humiliant de mon auto-dégradation. Ma joue gauche commence à me brûler alors que je reprends ma posture et que je continue à compter les gifles.

Finalement Daniel semble satisfait de la force que je mets dans ma main. C’est douloureux et ça me brûle mais ce n’est pas trop difficile encore. L’humiliation de cet acte est bien pire que la douleur elle-même.

Je continue en claquant rapidement la joue droite et la joue gauche deux fois avant de faire une pause. Chaque gifle me fait gémir entre mes dents. Debout, penchée sur mon bureau, je respire difficilement avec mon visage brûlant. Je sais que mes joues doivent être dans une teinte rouge vif très visible.

- Neuf ! Merci monsieur ! Dis-je en gémissant après avoir appliqué l’avant-dernière gifle sur ma joue droite.

- Dix ! Merci MONSIEUR !

Je crie presque après la dernière claque sur ma joue gauche.

Il me semble que les dernières gifles étaient si fortes qu’elles devaient être clairement audibles depuis le couloir. Je me mords les lèvres pour ne pas trop gémir et des larmes coulent sur mes joues rougeoyantes. Ayant fini, je me redresse lentement. Daniel me caresse alors les joues, me faisant sentir combien elles sont chaudes et à quel point elles sont devenues sensibles.

- Alors Mme ADDAMS, pensez-vous que le nombre de gifle soit convaincant ? Demande-t-il.

J’ai mal aux joues et je suis épuisée. Je me suis résignée à mon destin. Cependant, je vois une expression déçue dans ses yeux. Étrangement, je ressens un pincement d’orgueil blessé. Comme je l’ai déjà dit, je suis une personne fière et mes paroles sont toujours suivies de l’action adéquate. Et là, j’ai l’impression d’avoir échoué. Et je sais que Daniel va m’infliger une autre punition s’il n’est pas satisfait de celle-ci.

L’envie de limiter les dégâts me saisit. Mais est-ce vraiment la peur d’une punition supplémentaire ou seulement de la soumission ? Je ne sais pas. Sans trop penser, je laisse échapper une suggestion qui me surprend moi-même.

- S’il vous plaît Monsieur Daniel, montrez-moi comment punir correctement un vilain animal de compagnie. Donnez-moi dix gifles pour m’apprendre comment on fait !

Au moment même où je formule cette proposition incroyable, je grimace intérieurement. Ai-je vraiment dit cela ? Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Est-ce que je veux vraiment que ce voyou grossier m’utilise et me batte ? Est-ce que je veux vraiment lui prouver que je peux être un bon animal de compagnie bien obéissant ?

Le côté rationnel de mon esprit proteste, mais le côté émotionnel accepte. Peu importe combien je peux détester ce gars, je sais que le traitement qui m’est réservé est celui que je recherche depuis une semaine.

Daniel a un petit rire et il dit :

- J’admire ton initiative Miss Pute de Bureau ! Mais ton visage est déjà assez brûlant. Je ne veux pas exagérer et blesser mon petit animal de compagnie. Je pense, qu’à la place, je vais rougir ton cul.

Mon ventre se noue en entendant ses paroles. Dans quelle histoire me suis-je mise ? Je me sens vraiment idiote. Je viens de donner à mon tourmenteur de nouvelles idées. A cet instant j’ai vraiment l’impression d’être une simple bimbo sans cervelle.

- Je pense que dix est un bon chiffre… si je prends cette règle.

Daniel ne me laisse pas le temps de réagir. Il attrape ma règle en bois sur mon bureau et la présente devant mon visage. C’est là que je réalise que je ne peux plus rien faire.  Dix coups de règles sur le cul vont vraiment me faire souffrir. Mais, étrangement, je pense aussi que c’est la bonne chose pour me punir de mes actions.

Je sais, ça doit paraître étrange. Mais, d’une certaine façon, je suis fascinée par la manière dont Daniel me domine sur mon lieu de travail. Son comportement sévère et autoritaire me pousse à l’obéissance.

- Enlève ta culotte, penche-toi sur le bureau et relève ta jupe Miss Pute de Bureau ! Ordonne le latino.

J’obéis à son commandement sec avec des frissons dans le dos. Il est vraiment sérieux et c’est l’occasion pour moi de prouver à quel point je veux sauver ma carrière.

Sans hésitation, je quitte ma veste de tailleur et je passe ma main sous ma jupe grise pour retirer ma petite culotte noire. Je la laisse glisser le long de mes jambes. Après l’avoir jetée sur le côté je m’avance vers  le bureau jusqu’à ce que mes cuisses le touchent. Je me penche jusqu’à ce que mes seins soient appuyés sur le dessus. Je sens ma jupe se resserrer sur la courbe de mes fesses. Je passe mes mains derrière moi et je remonte ma jupe jusqu’aux hanches, laissant à découvert mes bas noirs et mon porte-jarretelles. Enfin je saisis les bords de mon bureau.

Je suis prête pour la punition, tendant mon cul nul pour la règle en bois. Daniel s’approche de moi et inspecte mon cul. Je le sens qui passe sa main sur la courbe bien ronde de mes fesses.

- Qu’est-ce que tu veux que je fasse Salope de bureau ? Crache-t-il.

Il veut encore que je m’humilie pour son plaisir. Sa supérieure est penchée sur son bureau, cul nu, attendant la fessée. Bien sûr, il veut savourer le moment au maximum. Il faut que je m’humilie encore plus. Il veut que Mme ADDAMS se soumette de manière convaincante.

- Je suis Jessica ADDAMS, votre supérieure hiérarchique. Je suis ici pour prouver que je peux être un bon animal de compagnie soumis. Je m’incline devant vous Monsieur Daniel et je souhaite que vous m’utilisiez à tout moment en tout lieu. S’il vous plaît Monsieur, abusez de votre animal de compagnie comme bon vous semble.

Putain ! Je n’ai jamais vraiment eu l’intention de me soumettre aussi abjectement à ce voyou macho. C’est venu sans que je réfléchisse vraiment. Quelle reddition ! Quelle honte ! Toutefois, mes paroles semblent avoir convaincu Daniel de ma soumission.

- Ouvre la bouche ! Ordonne-t-il en se penchant sur moi.

J’obéis et il s’empresse de fourrer rudement ma culotte dans ma bouche. Puis il passe lentement la règle en bois devant mes yeux pour me laisser voir l’instrument de ma punition. A ce moment-là je crois que j’aurais tout donné pour qu’il arrête. Mais je ne peux pas me résoudre à le faire. Après avoir offert mon cul pour une bonne séance de fessée, je ne peux que subir.

La règle siffla dans les airs, suivie d’un grand bruit de claque. Mes fesses me piquent immédiatement de douleur. Je ne peux pas m’en empêcher, je dois crier. La culotte dans ma bouche étouffe le son, ne permettant qu’un bruit assourdi. Le coup de règle est terriblement douloureux et je voudrais poser mes mains sur mes fesses. Mais au lieu de ça, j’agrippe avec force les côtés du bureau, pendant que je remue mon cul pour essayer d’évacuer la brûlure.

Daniel attend je me calme et que je ne bouge plus avant de me donner un autre coup violent. Encore une fois, je remue mon cul douloureux tout en serrant très fort les bords de mon bureau. Je peux sentir l'empreinte de la règle incrustée dans mes fesses.

Le latino continue de donner des coups puissants sur chacune de mes fesses, mais il attend à chaque fois que je cesse de bouger pour recommencer. Il est vicieux, il attend que la douleur diminue légèrement afin que je puisse bien sentir le prochain coup. Mon cul me brûle horriblement, j'ai l'impression que de la lave s'écoule sur mon derrière. Des larmes coulent de mes yeux, je ne peux pas m'empêcher de pleurer. Heureusement que ma petite culotte est fourrée dans ma bouche. Sans cela mes cris auraient été entendus dans tout l'étage où se trouve mon bureau. Ce n'est que dix coups de règle, mais chacun restera gravé dans mon esprit pour toujours. Quand Daniel a fini, j'ai l'impression que mon cul est en lambeau.

- Alors ? Que dois-tu dire Mme ADDAMS ? Me demande-t-il après avoir tiré sur mes cheveux pour me relever la tête et sortir la culotte de ma bouche.

Je suis toujours agrippée au bureau et je regarde le voyou avec mes yeux maculés de larmes.

- Merci Monsieur Daniel. J'espère que vous savez maintenant que je suis prête à vous servir en tant qu'animal personnel de bureau. Dis-je en gémissant.

- Et si je veux te donner dix coups de plus avec la règle ? Me répond-il.

Je le regarde stupéfait, un masque de peur s'affichant sur mon visage. Je sais qu'il me teste. Ce n'est pas une simple question qu'il me pose. Il n'y a qu'une seule réponse. Je me penche de nouveau sur le bureau et je relève ma jupe pour lui présenter mon cul brûlant et strié de lignes rouges. Alors Daniel rigole et dit :

- Héhéhé ! C'est une bonne réaction Miss Pute de Bureau. Cependant ce cul est bien assez rouge. Et il est temps que je me soulage.

Il remet ma culotte dans ma bouche et passe derrière moi. Quelques secondes plus tard, je le sens qui frappe sa bite contre mes fesses rouges. Chaque coup me fait grimacer sous la douleur.

- Présente-moi ton cul salope ! Ordonne-t-il avec arrogance.

Je réalise que je suis sur le point de me faire sodomiser. Avec mon cul brûlant, ce n'est pas une chose que j'attends avec impatience. Mais je crois que je n'ai pas mon mot à dire non ? C'est toujours mieux qu'une nouvelle raclée. Et je peux difficilement commencer ma vie de Pute de Bureau en lui refusant de m'enculer.

Je me redresse légèrement et je passe mes mains derrière moi. Je saisis mes fesses et je sens la chaleur qui s'en échappe. J'ai mal. Malgré tout, je les écarte afin de montrer mon petit trou du cul serré. Je frissonne de dégoût lorsque je sens le latino cracher sur mon cul et barbouiller mon petit trou. Pourtant, je le remercie d'ajouter un peu de lubrifiant. Cinq secondes plus tard, je sens la bite de Daniel se poser et presser mon trou du cul. Il ne se soucie pas de, préliminaires. Sa queue est dure comme une barre de plomb, ne laissant aucune chance à mon trou du cul de résister. Il ne perd pas de temps et enfonce son membre dans mon cul avec tout la force qu'il peut y mettre. Mon corps tout entier est secoué d'avant en arrière contre le bureau tandis que j'ai l'impression d'un tisonnier brûlant qui ouvre mon cul en deux.

Le voyou me saisit par les épaules pour affirmer sa prise et commence à marteler mon cul. Il m'encule si brutalement qu'il faut que je m'agrippe au bord de mon bureau pour rester stable. J'ai mal au cul d'être aussi brutalement sodomisée mais ce n'est qu'une douleur parmi d'autres. A chaque poussée, la chair rouge et brûlante de mon cul est giflée par ses hanches et je ressens des traits de douleur dans tout mon corps.

Contrairement à mes attentes, Daniel ne s’essouffle pas. Au contraire il prend son temps. Coup de rein par coup de rein, il possède mon cul  et je dois dire que je l'accueille bien. Je suis dans un tel esprit de soumission que la façon dont il utilise mon corps  et il pilonne mon cul m'excite intérieurement. Je prends sa bite bien dure au fond de mon cul et ça me rend folle de désir malgré la douleur qui irradie mon corps. Bien au contraire, j'ai l'impression que ça ne m'excite que mieux. Je ne peux rien faire d'autre que tenir solidement le bureau et de gémir, la culotte dans ma bouche. 

Après un bon moment à m'enculer pour me soumettre, la queue du latino se met à trembler. A présent mon trou du cul est desserré et chaque pénétration inonde de plaisir chaque fibre de mon corps. Daniel poignarde mon cul encore quelques fois avant que son sexe entre en éruption. Après une dernière poussée, il garde sa queue au fond de moi et se libère de tout son foutre profondément dans mon trou du cul. Jet après jet il remplit mon fondement. Finalement, quand il retire sa queue, mes genoux sont sur le point de céder. Je suis plus que fatiguée.

- Laisse mon sperme dans ton cul jusqu’à ta maison ! Ordonne Daniel en remettant son pantalon.

Je suis étonnamment calme alors que je roule vers mon domicile. Pendant tout le trajet, je sens le foutre du jeune latino sortir de mon trou du cul, couler le long de mes jambes et mouiller ma belle jupe grise. Je ne suis que trop consciente de la grande tache mouillée sur le derrière de ma jupe quand je sors de ma petite voiture de sport pour entrer chez moi. Je regarde nerveusement autour de moi pour vérifier qu'il n'y a pas de voisin regardant par sa fenêtre pour me voir dans cet état. Heureusement je ne vois personne.

Ce soir-là, je bois plusieurs verres de vin et je fais de mon mieux pour rassembler mes pensées. Mais elles sont trop complexes et diffuses pour que je réussisse. Mon plan pour supprimer les photos compromettantes du téléphone portable de Daniel s'est complètement retourné contre moi. Maintenant je suis son petit animal domestique et je ne sais pas comment y échapper. Je ne peux plus établir de plan pour le moment.

Cependant, je ne vais pas abandonner aussi facilement. Je m'accroche à l'espoir de pouvoir inverser la tendance. Mon premier plan avait bien fonctionné , mais j'avais simplement négligé un petit détail. Il faut que je trouve un autre plan et que cette fois, je m'assure de bien tout prévoir. Ma volonté de résister n'est pas encore brisée.

Toutefois, je suis troublée de la façon dont je me suis aussi facilement soumise à Daniel aujourd'hui. Je ne peux pas le nier, avec sa présence dominante, je me suis glissée dans un comportement soumis et, encore une fois, je me suis plu d'être dans cette position.

A suivre…

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