Texte de Xmaster.
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Obligée de se prostituer.
Béatrice se lève à son tour, attrape son manteau d'hiver et va rejoindre son mari qui l'attend dans la cuisine. Toujours dans un silence religieux, l'homme ouvre la porte qui donne sur le sous-sol et descend les quelques marches. Il ouvre la porte du garage et monte dans la voiture. Les yeux pleins de larmes, l'épouse soumise monte à son tour dans le véhicule. Alors que la voiture démarre et sort du garage, après avoir reniflé et dans un sanglot, elle commence à dire :
- Tu ne m'aimes plus !
- Parce que c'est par amour que tu t'es faite enfiler par les quatre arabes qui nous coûtent une fortune aujourd'hui ?
Un bon quart d'heure plus tard la voiture s'arrête aux portes de la base nautique qui est fermée à cette heure tardive. Le mari se tourne vers sa femme et lui dit :
- Allez, vas faire la pute, ça te feras peut être réfléchir aux conséquences de tes actes la prochaine fois...
Blessée dans son amour propre car ces mots lui rappellent qu'effectivement elle est à l'origine de tout ce qui se passe en ce moment, la blonde descend de la voiture et ferme la portière derrière elle sans une autre parole. Elle voit son mari faire demi-tour et repartir.
Maintenant seule, elle se sent honteuse d'être dehors à cette heure, nue sous un manteau qui n'est pas de saison et qui lui donne effectivement le look d'une prostitué qui attend le client. Après être restée quelques minutes figée devant le lourd portail de la base, elle décide d'aller se mettre à couvert sous les arbres qui sont à quelques pas à peine de là où elle se trouve. A nouveau l'attente recommence. A chaque voiture qui passe ou ralentit, elle croit mourir. L'attente dure un bon quart d'heure quand elle entend finalement marcher derrière elle. Elle se retourne et voit un homme masqué qui lui ordonne :
- Tourne-toi et ne regarde pas...
La blonde se retourne donc et attend. Maintenant qu'elle sait définitivement que tout ceci n'est pas une farce, elle commence à trembler de peur.
- Bouge pas...
Elle sent que l'homme est tout près d'elle, elle voit quelque chose de noir passer devant ses yeux et elle se retrouve avec un bandeau à cause duquel elle ne voit maintenant plus rien. Elle sent encore que l'homme passe devant elle et ouvre son manteau qu'elle essaye encore de tenir fermé quand elle entend :
- Je vérifie, tu permets !
Cette fois elle se laisse faire en s'attendant à quelques attouchements désagréables, mais rien ne se passe. Elle entend encore l'homme tapoter sur un portable, puis dire :
- C'est OK, vous pouvez venir.
Encore quelques instants d'attente avant qu'une voiture ne s'arrête près d'elle. Elle est prise par la main et dirigée pendant quelques pas. Là, on lui tient la tête pour la baisser, et on la guide dans la voiture. L'homme monte après elle à ses cotés. Puis elle entend :
- Voici notre star !
Béatrice a reconnu la voix d'Ahmed, mais ce n'est pas parce que le ton qu'il emploie est plutôt bienveillant qu'elle est rassurée pour autant. D'ailleurs, elle sent déjà une main qui lui écarte les cuisses. Puis deux doigts essayent en vain de s'enfoncer dans son sexe sec en lui arrachant un cri :
- Aie !
- Eh bien ! Tu ne mouilles pas à l'idée de faire ton premier client ?
- Oh ça va hein !
- Doucement salope, n'oublie pas que j'ai toujours une cassette dont je peux tirer quelques photos pour les distribuer à la sortie du lycée de ton gamin...
Puis Ahmed s'adresse en arabe à quelqu'un d'autre qui lui répond en français :
- Oui, oui, j'ai bien envie de lui mettre ma grosse bite dans le cul à cette vieille pétasse.
Cette fois c'est la grosse voix de Moustafad que la femme vient de reconnaître et elle se souviens que l'homme est monté comme un âne, aussi, son désespoir pointant dans le ton de sa voix, implore-t-elle :
- Je vous en supplie, pas mon anus...
- Mais si, un bon petit coup dans le cul avant d'aller au charbon...
- Pitié ! Mon mari me punit tous les soirs en me mettant le gode que vous m'avez laissé l'autre jour ! C'est déjà assez douloureux comme ça !
Les deux hommes assis à côté d'elle se fendent d'un rire gras. Puis Ahmed enchaîne :
- Il est malin le mari, il pourra peut être mettre sur le tapin sa salope pour rembourser ce qu'elle nous a donné !
- Allez, montre-moi ton cul salope ! Demande Moustafad sur un ton ne supportant aucune contradiction.
Béatrice sent des mains puissantes qui s'emparent de sa tête et la penche sur le coté. Elle se retrouve très vite à moitié allongée sur des jambes qu'elle pense être celles d'Ahmed. Elle sent alors que l'autre homme tire sur son manteau puis le remonte sur son corps. Tout de suite après, elle sent des grosses paluches qui lui écartent les fesses sans douceur.
- C'est vrai qu'elle est très dilatée du petit ! S'étonne Moustafad en s'adressant à son ami comme si il parlait d'une simple chose.
Puis, sans prévenir, il enfonce trois de ses gros doigts dans l'anus offert.
- Aie ! S'écrie la pauvre femme.
- Incroyable, je lui mets directement trois doigts dans le cul et ils passent tous seuls !
- Impeccable ! comme ça nous n'aurons plus aucun remord à nous vider dans ses intestins ! répond Ahmed avec dédain.
- J'ai une de ces envie de l'enculer ! Je ne t'en parle même pas...
- Te gène pas, elle est là pour ça ! Cette vieille salope n'est là que pour notre plaisir.
Béatrice voudrait se rebiffer, hurler, mais elle sait parfaitement qu'elle n'en a pas les moyens. De plus, et aussi bizarre que cela lui paraisse, la brûlure dû au passage des doigts s'estompe très vite et elle sent monter aux creux de ses reins une sourde excitation.
Moustafad sort sa grosse queue déjà partiellement en érection de son pantalon, se masturbe pendant quelques instant pour la faire durcir tout en jouant à roder l'anus à la portée de ses trois doigts qu'il fait coulisser. Les doigts qui entrent et sortent de son cul mettent la pauvre femme dans un état second. Étant très clitoridienne, elle faufile sa main gauche entre ses cuisses et commence à se caresser elle aussi.
L'homme, sortant une dernière fois ses doigts de l'anus pour enfiler une capote quand il estime être suffisamment excité, s'aperçoit que la blonde est en train de se donner du plaisir. Avec un sourire vicieux, il annonce à son pote :
- Elle se branle la vieille chaude ! Tu te rends compte d'une salope toi ?
- Bourre lui bien le cul alors...
Puis s'adressant à la femme il poursuit :
- C'est bien, je suis content de toi ma salope, régale-toi bien avec la grosse bite de Moustafad dans ton cul, comme ça, tu seras plus en forme encore pour ton premier client...
Les mots se bousculent dans le cerveau de Béatrice. A nouveau, et tout comme la première soirée, les insultes l'excitent et commencent à lui faire perdre la tête. Tout se passe en elle comme si elle rêvait secrètement de devenir une putain, même si cette idée la rebuterait dans d'autres conditions, maintenant et ici, elle commence à prendre son pied en se masturbant.
Moustafad présente son gros dard à l'entrée de l'intestin, puis, dans un geste rapide et puissant, il s'enfonce dans la blonde de toute la longueur de sa queue. L'objet qui vient lui remplir les boyaux lui parait énorme, pourtant, et grâce aux nuits pluggées qu'elle a passé, Béatrice accepte tout à fait l'engin qui la pénètre. Très vite, sous les assauts de cette grosse lance, elle commence à miauler de plaisir.
- Hé, hé, hé, ricane Ahmed en voyant le manège.
Il a une sorte de sixième sens qui lui permet de comprendre ce que les femmes ressentent quand elles font l'amour, il poursuit en s'adressant à la blonde :
- Tu vois, je te l'avais bien dis, tu es presque mure pour te faire enculer par un cheval...
Les paroles qu'elle perçoit, les va-et-vient dans ses entrailles, le fait d'être ainsi en voiture et susceptible d'être vue dans la rue, tout concourt au plaisir de Béatrice. Elle pousse des cris à chaque fois que la bite va au plus profond d'elle. Moustafad lime comme un démon. Il sait qu'il n'a pas toute la nuit devant lui, et, en bon égoïste qu'il est, il s'occupe de son plaisir sans penser une seul seconde à celui de la blonde. Et comme il s'est imaginé toute la journée enculer cette femelle encore jolie pour son âge, il ne tient pas très longtemps à ce rythme. Béatrice sent que l'orgasme monte, elle crie de plus en plus fort et s'acharne maintenant sur son bouton d'amour.
- Prends ça pétasse, crie l'homme en éjaculant dans sa capote.
La femme sent les longues giclées s'écraser au fond du préservatif, cela la met encore plus en transe et elle se laisse aller à jouir comme une folle.
- Putain ! Qu'est-ce qu'elle est bonne cette vieille salope !
- Ouais... Je me trompe rarement dans le choix de mes salopes tu sais Moustafad, répond Ahmed comme si l'homme voulait lui faire un quelconque compliment.
- C'est vrai que tu es un chef pour nous trouver des grosses truies comme celle-là !
- Bon ! T'oublie pas de lui donner ton foutre à boire...
- Bien sûr ! Et un jus de capote pour la petite dame.
Joignant le geste à la parole, l'homme retire prestement son préservatif et le tend à son ami et complice. Celui-ci s'en empare de sa main gauche, attrape les cheveux blonds de l'autre main et contraint la pauvre femme à tourner la tête. Il la fixe dans les yeux et ordonne encore :
- Tiens salope, voilà ta récompense...
Et comme la blonde reste avec la bouche fermée en regardant effrontément l'homme qui lui tire les cheveux, elle entend encore, mais cette fois le ton est beaucoup plus dur :
- Bois salope...
Sentant qu'elle n'aura pas le dessus avec son tortionnaire, elle finit par ouvrir sa bouche et laisser entrer dedans l'épais jus qui coule de la capote usagée.
- Voilà, c'est bien...
Il faut que tu t'y habitues rapidement à ce genre d'exercice, les clients à qui tu auras à faire bientôt seront très généreux si tu fais ce genre de chose sous leurs yeux...
A nouveau les yeux de la pauvre Béatrice s'embrument de larmes. Maintenant qu'elle vient de jouir, maintenant que ses nerfs sont calmés, toute l'horreur de la situation remonte en elle.
Bientôt la voiture ralentit, tourne et entre dans un grand parc. Après quelques dizaines de mètres, elle stoppe enfin au pied d'un escalier monumental. Une fois le moteur coupé, Ahmed donne ses consignes à ses amis en arabe, puis il sort de la voiture et escalade l'escalier. Peu de temps après il revient, ouvre la portière et attrape Béatrice sans ménagement par le bras pour la faire sortir du véhicule. Dès que la pauvre femme est dehors, il s'adresse, toujours en arabe, à ses complices qui sortent à leur tour. Tout ce petit monde monte les marches et entre dans la grande demeure qui ressemble plus à un château qu'à une maison bourgeoise. La pauvre femme blonde se laisse conduire n'ayant pas trop d'autre choix. Et si le bandeau lui empêche de distinguer quoi que se soit, elle arrive néanmoins à se rendre compte qu'elle vient d'entrer dans un lieu très éclairé. L'étreinte sur son bras se relâche, puis elle sent qu'on tente de lui retirer son manteau. Elle tente de s'y opposer quand elle entend la voix dure d'Ahmed lui dire :
- A poil salope, que Monsieur Roger puisse te voir en détail !
Sachant qu'il serait vain, voir dangereux de résister, la blonde se laisse enlever son manteau sans, pour autant, faire le moindre effort. Mais tout de suite après, elle sent le froid sur son poignet droit, puis le dit poignet enfermé dans un bracelet de métal. Ses mains rejointent dans son dos, puis le deuxième poignet enfermé à son tour.
- Voilà, avec les menottes tu seras plus sage...
- Salaud !
- T'as pas intérêt à jouer à ce petit jeu quand je te laisserai entre les mains de Monsieur Roger ! Sinon, tu sais ce qui arrive... C'est bien compris cette fois salope ?
- Oui...
Ahmed attrape à nouveau le bras gauche de la blonde et l'attire devant une grande porte en bois sculptée. Là il s'arrête et frappe à la porte.
- Entrez.
L'homme ouvre la porte et pousse devant lui la pauvre femme aux yeux bandés et aux mains menottées. Une fois entré à son tour, il annonce au mystérieux inconnu :
- Voici notre nouvelle star du porno amateur. Cette salope se nomme Béatrice, cinquante ans, mariée, mère de deux enfants, secrétaire.
- Je vous remercie Ahmed, vous pouvez nous laisser.
- Nous sommes à l'office, si vous avez quoi que se soit comme problème avec cette traînée, appelez nous et nous lui ferons passer le goût de la rébellion à coups de ceinture.
- Je ne pense pas avoir besoin de vos services, mais, toutefois, je retiens votre offre. Merci et à demain matin mon cher Ahmed.
- Au revoir Monsieur Roger.
Et l'homme ressort de la pièce en refermant soigneusement la lourde porte derrière lui.
FIN
Est-ce déjà la fin?! J’avoue être resté sur ma faim et aurais aimer découvrir ce qui attendait Béatrice avec Monsieur Roger. Quoiqu’il en soit , ce fut un récit des plus excitants. Bravo et merci pour cette publication.
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