Récit de Bayle (2013)
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Coincée dans les sanitaires.
Il était vingt trois heures passées lorsque j’arrivai au camping. J’ôtai immédiatement ma robe qui me collait à la peau et je la jetai dans le panier à linge. J’enroulai une grande serviette autour de mon corps et je me dirigeai vers les sanitaires avec mon shampoing et une poire de lavement. Oui, avec ses douches collectives suspendues, pas facile de soigner son intimité !
J’empruntai l’allée centrale afin de ne pas tomber une nouvelle fois sur le vigile, et puis si je le rencontrais, il y avait encore assez de monde qui déambulait ou qui prenait l’air à leur emplacement pour être sauvée des griffes du gros lard.
J’entrai dans les douches, où il n’y avait apparemment personne. Je dénouai ma serviette que je jetai sur le dessus de la porte, les patères ayant été arrachées. L’eau ruisselait sur mon corps pour mon plus grand plaisir, je me savonnai des pieds à la tête avec la délectation d’être une femme et non une souillon malpropre. J’emplis la poire d’eau chaude et introduisant la canule entre mes lèvres remplissant de liquide chaud mon utérus. C’était si bon de sentir le liquide gicler dans ma vulve, que je répétai l’opération à plusieurs reprises. Mes sens se réveillèrent de nouveau, et au moment d’introduire le tube entre mes lèvres dégoulinantes d’eau, je le positionnai sur mon anus, l’enfonçant plus lascivement que je n’eusse dû le faire. Je pressai la poire par petites poussées pour le plaisir d’éprouver la jouissance d’être comblé et inondé comme si un homme déchargeait sa semence en moi. Tout en pressant la poire, j’insinuai mes doigts entre mes lèvres puis j’astiquai mon clitoris qui sortit rapidement de son capuchon de chair. Je réitérai ce plaisir jusqu’à obtenir l’orgasme convoité. Et plutôt que de pousser dans mon ventre pour évacuer le liquide, je le laissai suinter à sa guise pour ruisseler le long de mes cuisses. Je me savonnai une dernière fois et je me rinçai avant de m’essuyer.
Horreur ! Ma serviette avait disparue ! Je regardai sous le battement de la porte pour constater qu’elle n’était pas tombée à l’extérieur. J’étais nue, sans rien à me mettre ! J’attendis quelques minutes dans l’angoisse quand quelqu’un arriva.
- S’il vous plaît ? Excusez-moi, pourriez-vous me prêter une serviette, j’ai oublié la mienne ?
- Vous pouvez sortir mouillé, il fait chaud, et vous sècherez en rentrant !
Bien sûr, je n’allais pas dire que j’étais toute nue ! Il se passa de très longues minutes avant que je n’ose passer la tête par la porte. Personne n’était en vue. Cachant mon sexe d’une main et ma poitrine de l’autre, je me hasardai à sortir, bêtement sur la pointe de mes pieds nus pour ne pas éveiller ma présence.
J’arrivai à la porte des sanitaires où, comme à la porte de la douche, je passai ma tête dans l’entrebâillement. Toujours personne ! J’allais sortir quand une voix d’homme derrière moi lança :
- Très joli cul madame !
Je me retournai, effrayée. Un homme d’une soixantaine, poilu, en short et avec ma serviette autour du cou me contemplait en souriant.
- Donnez-moi ma serviette ! Hurlai-je.
- Venez la chercher !
Les mains croisées sur mes intimités je me postai devant l’homme qui tenait toujours fermement la serviette autour de son cou.
- Vous la donnez ?
Pour toute réponse de sa part, il me poussa dans une grande cabine pour handicapé dont la porte était ouverte. Il la referma en la cadenassant.
- Tu vas pas partir toute mouillée, laisse-moi te sécher !
- Pourquoi faites-vous ça, vous êtes un pervers !
- Pervers ? Sans doute, dit-il d’un sourire vicieux, mais toi tu es une belle petite salope d’après les exploits du vigile. Alors, quand je t’ai vu passer tout à l’heure près de ma caravane, je me suis dit que…
- Que quoi ?
- Que j’irais te sécher comme une pute se doit de l’être, ou bien c’est à poil que tu traverses le camp pour rentrer, tu choisis. Enfin, moi si j’étais toi, j’aimerais pas tombé nu sur le vigile à cette heure, non ?
Comme je ne répondis pas, et dans un sens il avait raison, je le laissai s’approcher et poser la serviette sur ma poitrine pour me sécher.
- Voyons voir si je l’ai bien épongé ?
Il posa sa main sur mon sein en le contournant pour en prendre la forme et le volume et en fit de même avec le second, sa caresse se fit plus polissonne, avant de carrément la pétrir et pincer mes tétons d’une manière vicelarde. Je le toisai et le défiai de mon regard qu’il soutint.
- Le vigile avait raison, t’as de belles mamelles bien pleines. Maintenant, mets-toi à genoux que je t’essuie le dos !
Bien qu’un peu réticente je m’exécutai et je me mis à genoux sur le carrelage blanc. Il sécha mon dos, puis il jeta la serviette. J’allais me relever lorsqu’une de ses mains se plaqua sur ma nuque pour m’empêcher de me redresser. Son autre main m’asséna une claque sur mes fesses.
- Avant de partir je vais explorer tout ça !
Ses doigts glissèrent entre mes fesses et vinrent se faufiler entre mes lèvres moites. Je resserrai les jambes, une autre claque plus vive s’abattit sur mes chairs.
- Laisses-toi faire salope ! Ou tu rentres à poil !
De ses pieds il me fit bien écarter mes cuisses, et ses doigts me forcèrent, deux, puis trois puis quatre doigts taraudèrent ma vulve rageusement. Je geignis, mais pas de plaisir, je me consolai en me persuadant que lorsqu’il aurait fini, je pourrais rentrer, Alors je pris mon mal en patience sous sa perversité. Il cracha sur mon anus pour renouveler ce qu’il venait de faire avec mon sexe.
- T’es une belle pute ! Il paraît que t’aime te faire enculer, non ?
Tant il me faisait mal, je poussai un cri sans lui répondre. Il prenait un malin plaisir à dilater mon anus en vrillant ses doigts dans mes intestins. Puis sans prévenir, il baissa son short et vint éjaculer sur mes fesses en me traitant de tous les noms. Je pensai mon calvaire fini, cependant il vint se placer derrière moi pour me sodomiser. Après avoir été distendue, sa verge souillée de son sperme, il me posséda sans tiraillement.
- Enculer, c’est un plaisir que ne me donne pas ma femme, heureusement qu’il y avait une trainée comme toi dans le camp, hein ma petite salope !
Heureusement son pénis redevint vite flasque, et il se dégagea en me crachant dans l’anus.
- Allez ! Essuie mon sperme !
Il m’avait tiré par les cheveux pour présenter son sexe à ma bouche, et je dûs le sucer et avaler les restants de sperme que son méat retenait encore. Il s’en alla, laissant la porte ouverte. Pauvre conne ! Me dis-je. Puis je me douchai de nouveau. Quelle attitude aurais-je demain ? Tout le camp va connaître leurs exploits, à qui le tour penseront-ils ?
A suivre...
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