Récit de Lecteur9 (2007)
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Jeune enseignante sous influence.
Catherine De Montfort, est une jeune enseignante de vingt-sept ans. Son mari est un haut fonctionnaire de l'ambassade de France en Tunisie.
Mariée depuis quelques mois, c'est la première fois qu'elle quitte le cercle très fermé de la haute bourgeoise parisienne. Au début, Catherine s'ennuyait, dans leur luxueuse villa de Tunis.
Catherine est une superbe jeune femme, très élégante à la beauté racée, rousse, les yeux verts, la peau laiteuse et douce. Pourvue par la nature d'une poitrine prodigieuse elle attire beaucoup trop les regards et les désirs. Ses seins blancs et fermes aux larges auréoles pointent tels des obus sous les chemisiers et tee-shirts, qu'elle mette ou non un soutien-gorge.
Le ventre plat, les reins légèrement cambrés soulignent une croupe ronde et plantureuse. Ses fesses d'une blancheur excitante sont douces et remuent de façon suggestive à chaque fois que elle met une jupe un peu trop serrée. Son sexe fin et délicat, surmonté d'une toison rousse légère et bouclée, rendrait fou de désir tous les hommes.
A cause de ses formes trop généreuses pour son mari, tous les regards des hommes la déshabillent lorsqu'ils la croisent. Fidèle à son mari, elle ne cherche pas d'aventures extra-conjugales bien que sur le plan sexuel son mari, par manque d'imagination ne la satisfasse plus complètement. Elle adore son corps et en prend le plus grand soin, pudique de nature et par éducation, elle fantasme souvent sur des scénarios d'exhibition mais son statut de femme mariée et de plus son éducation bourgeoise lui interdisent plus.
Issue de la haute bourgeoisie parisienne, Catherine a épousé Claude, son mari, sans l'accord de ses parents pour échapper au carcan familial qui lui pesait. Son mari, brillant diplomate, destiné à une très prometteuse carrière, l'avait séduite par ses récits de voyage et sa vie trépidante. Au début, la jeune femme avait eut du mal à s'habituer a cette nouvelle vie, mais peu à peu elle était devenue la coqueluche de la haute société tunisienne.
Un soir, lors d'une réception organisée chez des amis, la conversation tournait autour des doléances de l'ambassadeur en matière d'éducation. En effet, il y avait un collège français à Tunis, qui reçoit des jeunes, pour la plupart de milieu très modeste, avec pour but de les instruire. Or, un professeur titulaire de physico-chimie était tombé gravement malade peu avant la rentrée et son remplaçant ne serait libre que dans quelques mois.
Claude, qui savait que sa femme aimait bien les enfants et de plus, qu'avant de l'épouser, elle avait acquis de solides connaissances en physique-chimie, proposa à l'ambassadeur de demander à sa femme si elle était d'accord pour un remplacement. Catherine n'était pas vraiment ravie, mais poussée par toutes ses amies, et par envie de s'occuper, la jeune femme décida d'accepter.
La rentrée arriva, et la jeune femme, qui était habituée a commander à ses domestiques n'eut aucun mal avec les classes mêmes les plus difficiles. Toutefois, Catherine, n'arrivait pas à avoir de vrai contacts avec le corps enseignant, par une éducation et un style de vie trop différents. Ses relations se résumaient a quelques échanges de banalités avec quelques personnes qu'elle jugeait intéressantes.
Après un mois de cours, Catherine réussi à aménager son emploi du temps pour faire les heures de cours nécessaires et cela l'occupait, elle ne comptait pas toutefois en faire son métier. Un matin, pressée, elle prit par erreur des documents confidentiels que son mari avait rapporté. Elle s'en rendit compte dans l'après-midi et les lui fit livrer. Ce soir là, Catherine devait rester plus tard afin de surveiller les dortoirs, ceci étant dû à l'absence d'une surveillante.
Soudain, alors que la jeune rousse traversait le dortoir, aux alentourx de 23 heures elle entendit :
- Madame !
Intriguée l'institutrice s'approcha du lit et découvrit Joussouf, un de ses élèves dont le regard dur semblait la déshabiller en cours, ce qui la gênait et la troublait plus que ce qu'elle n'osait se l'avouer.
- Je n'arrive pas a dormir... j'ai mal...
Il s'était blessé au ventre au cours de l'après-midi. Elle esquissa un mince sourire et s'asseyant sur le bord de son lit. La jeune femme jeta un coup d'œil à son pansement.
- Tu sais, je ne crois pas que cela soit grave mais je vais vérifier.
Alors qu'elle souleve le pansement, Joussouf repousse ses draps, exhibant ses cuisses nues et un sexe court, dressé qui vient taper contre sa main élégante. Sursautant, Catherine rougit et fait mine de se lever quand le gamin attrape sa main et lui dit d'une voix ferme.
- Restez là... vous allez me faire un petit plaisir... ou sinon... je raconte tout.
- Mais de quoi parle tu ? dit-elle, indignée, prête à se lever.
- Ben ! Des papiers !! On cherchait nos copies, et on est tombé sur de drôles de papiers !
Catherine sentit le pouls s'accélérer pendant le gamin continuait.
- Alors, on a fait des photocopies !! Vous imaginez si on le patron de votre mari, il apprend qu'il perd ses papiers ! C'est mauvais ça !! Alors, voilà !! Je vous donne les photocopies et vous, vous me rendez un petit service !! Hein ?
Complètement suffoquée, pâlissante, Catherine ne put que répondre.
- Mais ! Comment oses-tu ? lâche-moi immédiatement ou tu risques d'avoir de très gros ennuis !
Mais loin de se démonter, il la fixait l'œil mauvais.
- Vous n'avez pas le choix je crois Madame !!!
Le ton sarcastique employé pour prononcer le dernier mot la fait paniquer. Les jambes flageolantes, la jeune professeur bafouille stupidement :
- Mais je suis... je suis ta maîtresse et je... je ne...
- Ferme la... allez vas-y !! c'est l'heure de ma branlette !!! ah ah ah !
Ces mots se bousculent dans sa tête et des images sales l'envahissent, le tutoiement la paralyse, elle pâlit et réalise alors qu'elle n'a pas d'autre choix, Catherine se sent piégée. La jeune rousse avait le pressentiment que un jour ou l'autre cela finirait par arriver, que cela tournerait mal.
Toutes les fois où elle mettait des jupes trop courtes qui découvraient bien ses cuisses, ou des bustiers amples qui ne faisaient que mouler son arrogante poitrine. Ces regards, qui l'épiaient et la reluquaient dès que la jeune rousse tournait le dos, la troublaient, mais elle continuait par jeu et un peu par vice. Des fois le soir en se couchant, elle les imaginait qui la dévoraient des yeux, tremblante de honte, ses rêves troublés par leurs commentaires qu'elle s'imaginait obscènes.
Ces moments étaient très brefs, et elle secouait la tête toujours avant que sa main ne glisse lentement vers son intimité moite. Alors Catherine De Montfort se relevait le souffle rauque, les joues rouges, et honteuse elle se jetait sous la douche froide pour purifier son corps et ôter toutes les pensées coupables qui l'envahissaient.
Mais là, ce n'était plus son imagination, c'était le cauchemar qui prenait vie. La jeune femme sortit de sa torpeur alors que des larmes lui montent aux yeux, et dégoûtée, elle s'approche du jeune magrehbin et elle tend une main tremblante.
La jeune rousse lui touche le sexe, qu'elle prend petit a petit entre ses doigts fins. Elle ferme les yeux, tournant la tête, pleurant de honte, humiliée. Catherine sent cette chair chaude qui durcit vite entre ses doigts, elle fait lentement glisser sa main le long de ce petit sexe, les yeux fermés, des larmes coulant le long de ses joues brûlantes de honte de devoir obéir à ce gamin impertinent.
Dans son dos, son copain Mahoui s'était levé et regardait la scène en silence. Il la regarde, elle, jeune rousse, à la peau laiteuse et délicate, assise près de son ami, faisant aller et venir sa main blanche le long de son sexe qui contraste avec le teint mat du jeune arabe.
Joussouf, jette un coup d'oeil par dessus ses épaules et croise le regard brillant de son copain. La tête baissée, les yeux clos, la rousse ne s'aperçoit pas des regards qu'ils s'échangent, ni de la présence de Mahoui.
Catherine continue à le masturber, les narines pincées, elle se réfugie dans ses rêves pour oublier la réalité. Joussouf se met à respirer plus vite et pose un regard narquois sur la jeune bourgeoise. Elle n'ose plus lever la tête, activant ses mouvements du poignet afin d'en finir au plus tôt avec ce cauchemar.
Mais Joussouf a d'autres idées en tête, déjà il savoure ce moment où lui, enfant des quartiers pauvres, il tient le jeune rousse en son pouvoir. Il prend plaisir à rabaisser cette jeune femelle occidentale, si hautaine et distante, qui prend très au sérieux son rôle de jeune bourgeoise mariée.
Soudain elle sent ses doigts sur sa nuque, Catherine sursaute, éprouvant un sentiment de dégoût. Mais il continue, caressant de ses doigts épais aux ongles grossiers sa peau si blanche et satinée. Le gamin a sentit sa répulsion et avec sadisme il caresse son cou fin et délicat, puis frôle ses joues brûlantes de honte.
Il passe un doigt qu'elle devine sale, sur les contours de sa bouche. La jeune femme détourne la tête mais il continue, il touche ses lèvres si douces et pulpeuses, les écartant un peu. Il joue à écarter ses lèvres, à les frôler de ses doigts en suivant le contour de sa bouche. Malgré sa répulsion, Catherine sent sa peau s'hérisser, et une vague de chaleur l'envahit, parcourant sa colonne vertébrale.
- C'est bien ! mais maintenant petite pute, j'ai envie de ta bouche ! allez !!
Elle ouvre les yeux de stupeur, tremblante, n'ayant jamais imaginé que cela irait jusque là. Mais le sale vicieux l'attrape par la nuque et abaisse son visage à quelques centimètres de son sexe dressé.
- Tu la vois bien ! ma grosse cochonne ! tu sais que je me branle souvent en pensant à ton cul ! maintenant tu vas bien ouvrir ta bouche ! et sors moi ta langue ! allez connasse ! magne toi !
Horrifiée, Catherine n'arrive même pas à protester, n'osant pas lui avouer que elle ne l'a jamais fait, pas même à son mari. Mais Joussouf qui savoure son triomphe lui ordonne :
- Vite ! et mets toi a genoux ! vite salope !!!
L'insulte lui fait l'effet d'une gifle mais affolée et complètement soumise, la jeune femme s'exécute. Changeant de position, elle descend du lit, toujours courbée. L'institutrice n'a pas remarqué Mahoui derrière elle qui savoure le panorama que la jeune femme lui offre ainsi. Joussouf qui la tient toujours par la nuque et appuie sur sa tête.
- Allez ! sors moi ta langue ! oui ! comme ça ! encore plus !!!
Les larmes aux yeux, le corps secoué de sanglots, elle darde sa langue hors de ses lèvres dans une attitude complètement soumise et obscène.
- Bien... allez... lèche moi ! comme ca... lentement... et après tu la prends bien dans ta bouche.
La rousse sent une odeur acide et sale mais docile, du bout de la langue elle lui lèche le gland, puis parcourt sa hampe avec sa langue. Catherine réprime une nausée lorsqu'il appuie sur sa tête et que son sexe emplit sa bouche, sa queue plantée entre ses lèvres. Les yeux emplis de larmes, elle serre ses lèvres délicates autour du sexe dur de l'adolescent. Joussouf ricane et dit:
- T'as pas l'habitude de sucer, hein !! t'inquiètes pas ma belle, tu vas vite apprendre avec la bouche que tu as !
Il passe un main derrière et attrape sa chevelure rousse et imprime un mouvement à sa tête, faisant coulisser son sexe entre ses lèvres généreuses. De l'autre main il caresse ses joues brûlantes de l'infamie, caresse ses épaules et descend vers sa poitrine nue sous la fin chemisier. Il prend un de ses seins généreux, le palpe avec douceur, joue avec la pointe de son mamelon qui, à sa grande horreur, durcit.
- C'est bien... mmmm... continue... tu as de belles miches tu sais... bien fermes... je suis content que t'ais pas de soutien-gorge... ca t'excite non !!! Tu sais en cours ca nous faisait bander ta poitrine... tu nous excitais avec tes décolletés... tes tee-shirts assez moulants... mais là tu ne fais plus la fière... hein !!!
Derrière elle, Mahoui ne bouge pas, il regarde. Il la voit, elle, sa maîtresse, une jeune et très belle blanche, cambrée, la tête entre les cuisses maigres de Joussouf et regarde ce dernier la palper sans vergogne. Courbée, la jeune femme lui présente de façon impudique ses fesses.
Mahoui admire ses escarpins noirs à talons, les bas foncés en résille qui gainent ses jambes superbes, il aperçoit sous les mailles fines des bas la peau laiteuse. Il contemple en gros plan, les fesses de la jeune rousse qui ondulent, moulées dans le tissu gris de la jupe tailleur. Cette dernière dans sa posture, déjà très courte, est remontée haut sur ses cuisses, découvrant la bordure de ses bas en dentelle et une bande blanche de sa peau. Les boutons qui ferment sa jupe derrière sont a moitié défaits, ouvrant la jupe pratiquement jusqu'à ses fesses.
Il n'a qu'à se baisser pour reluquer entre les cuisses entrouvertes de la jeune rousse et contempler le haut et l'intérieur de ses cuisses et dans les zones d'ombre il peut discerner la cambrure de ses fesses. Il se lève, le pantalon baissé, le sexe en érection et échange une oeillade bestiale avec Joussouf.
Catherine ne l'a pas entendu, les joues baignées de sanglots et rouges de honte autant que de écoeurement, elle s'active sur le sexe du jeune arabe, afin de bâcler au plus vite cette hallucination trop réelle. Joussouf gémit de plaisir et d'une voix enrouée:
- Ouuui... continue... et tu sais que Mahoui lorgne ton beau cul... ma belle !!! ah ! ah ! ah ! tu vas te laisser faire hein ?
Catherine n'a pas le temps de saisir ce qu'il lui dit quand soudain elle sursaute, sentant deux mains se fixer sur ses fesses, mais Joussouf la tient bien et elle ne peut remuer. La jeune femme réalise alors ce qui se passe et elle hoquete de honte et de dégoût. La jeune rousse devine alors la pose humiliante dans laquelle elle se trouve, elle se sent offerte de façon si sale et sa jupe tailleur à moitié ouverte ne cache pas grand chose de son intimité. Catherine se sens si nue et si vulnérable qu'elle arrive à peine à prononcer :
- Laiss... laissez moi... je vous en prie... vous ne pouvez...vous n'avez pas le droit de...
Mais sa voix tremble de peur et d'anxiété.
- Chuuut !!! tu vas réveiller tout le dortoir... et ce n'est pas cela que tu voudrais... Hein! non ? Alors laisse toi faire salope !!!
Terrorisée par l'esclandre qui pourrait s'ensuivre, les sens affolés et humiliée par l'injure, la jeune rousse cède. Avec des sanglots elle grimpe à quatre pattes sur le matelas, sous leurs insultes et commentaires, entre les jambes de Joussouf qu'elle a dû conserver dans sa bouche. Entre les deux jeunes arabes, affolée, Catherine sait qu'elle ne peut plus se dérober et à cette pensée, elle éclate en sanglots, écœurée et avilie. La jeune femme pense à son époux qui doit somnoler en l'attendant.
Sans scrupule, Mahoui défait un à un les boutons de sa jupe qui s'ouvre révélant ses fesses généreuses et découvertes. Il faillit éjaculer en regardant le léger string noir qui lui rentre entre les fesses. D'une claque sur les cuisses, il lui fait écarter les jambes. Obéissante, elle s'offre, livrant pleinement son intimité à peine cachée par le mince string à la vue du gamin.
Le jeune magrehbin s'approche et lui palpe les cuisses, caressant l'intérieur, la faisant tressaillir, puis il joue avec ses bas, parcourant la lisière du tissu puis sans avertissement la rousse le sent sur ses fesses, les écartant comme dans le plus pénible de ses cauchemars. Catherine n'arrive pas à reconnaître que c'est elle qui subit tout cela, une jeune femme mariée très bcbg, soumise aux appétits de deux de ses élèves. Elle gémit, Mahoui vient de fesser doucement sa croupe, il admire l'élasticité des fesses opalines et soyeuses qui lui sont offertes.
L'institutrice frissonne et ferme les yeux, s'appliquant sur la bite de Joussouf qu'elle suce avec application et à sa grande honte, avec moins d'aversion que précédemment. Tout d'un coup un faisceau éclatant jaillit, c'est Mahoui qui, muni d'une lampe de poche, fouille entre ses cuisses écartées. La jeune femme ne frissonne même plus au moment où elle le sent repousser l'élastique du string et guider le rayon sur sa vulve découverte, ou entre ses fesses qu'il écarte avec ses doigts.
Il éclaire son trou du cul si sensible et vierge puis plus bas ses lèvres soignées et délicates qui malgré elle, commencent à s'humidifier. Puis en riant il repose la lampe et sonde le cul que la jeune rousse lui offre si somptueusement. Il écarte ses fesses au maximum et passe un doigt dans son sillon, frôlant son anus qui se contracte.
Puis il regarde tous ses orifices, Catherine gémit plus violemment quand elle le sent écarter ses lèvres et fouiller son vagin avec fougue. La jeune femme étouffe un cri quand il la force avec deux de ses doigts, palpant les parois ruisselantes et douces de son vagin. Catherine n'en peut plus, elle voudrait s'échapper mais la honte et une indéniable excitation la paralyse.
La jeune institutrice n'arrive pas à croire qu'elle, une jeune femme si bcbg, à quatre pattes sur un lit crasseux, est en train de sucer un jeune arabe et qu'elle offre avec une écœurante docilité son ventre aux doigts d'un autre derrière elle. Un élève qui lui fouille le ventre, caressant son anus si sensible, commentant ses réactions avec son copain. Le pire c'est que ce sont deux de ses élèves et qu'en dépit de sa honte, la jeune rousse commence a éprouver de singulières sensations.
Mahoui se branle d'une main et de l'autre tripote son clitoris. Catherine remue les fesses en gémissant, bâillonnée par la queue de Joussouf qui va et vient entre ses lèvres pulpeuses. Ce dernier a glissé une main sous elle et ayant défait les boutons de son chemisier, il l'ouvre, laissant pointer ses gros seins laiteux et fermes. Il se met à les flatter, malaxant les pointes dures, les étirant, pétrissant les globes de chair qui le faisaient tellement fantasmer en cours.
Derrière, Mahoui a complètement abaissé le string de la jeune femme et dénude bien son sexe. Très nerveux par le spectacle que la jeune rousse lui offre, le contraste entre les cuisses et ses fesses blanches et les bas résilles noirs lui rend la gorge sèche. Il sait que jamais il ne pourra recommencer avec une jeune blanche comme cette splendide rousse alors il frotte sa courte queue contre la fente trempée et fait entrer le gland.
Catherine gémit et frissonne autant de honte que de volupté. Il se tient à ses hanches en remontant son chemisier sur ses reins, afin de bien voir la croupe cambrée et découverte de la jeune femme. Puis il s'introduit par petits coups de rein dans son ventre jusqu'à ce que ses couilles heurtent ses cuisses. Alors il se met à aller et à venir, la défonçant avec ardeur, poussant la jeune femme éplorée en avant.
Catherine ne résiste même plus, dans un état second elle se contente à peine de bouger, humiliée et profanée au plus profond d'elle. Mais le petit sexe qui la pénètre lui procure comme une sorte de soulagement et écoeurée elle essaye de le dissimuler.
Sous les assauts de Mahoui, la queue de Joussouf s'enfonce plus profond dans sa bouche et les seins lourds de la rousse viennent à chaque coups frôler la couverture rêche, achevant d'ériger plus les tétons de ses seins. Les deux jeunes arabes font pénétrer leurs sexes dans ses orifices, elle, leur maîtresse à quatre pattes.
Joussouf jouit le premier, éjaculant dans la bouche de Catherine, puis c'est le tour de Mahoui qui éjacule en se fichant au plus profond de son ventre, ses ongles sales crochés dans la chair laiteuse de ses fesses. La jeune femme se redresse, ayant évité une nausée lors de l'éjaculation de Joussouf, les cheveux roux en désordre, la bouche humide, les yeux brillants, la respiration saccadée.
Pour la première fois de sa vie Catherine De Montfort a dû avaler du sperme et la jeune femme en ressent un profond sentiment de souillure. Mahoui la serre dans ses bras par derrière, pétrissant ses seins douloureux qui pointent tels des obus. Catherine tente de le repousser et de se lever.
- Lâchez-moi... vous... sniff...vous avez eu ce que vous vouliez... alors... laissez-moi maintenant...
Joussouf se redresse à son tour et la regardant droit dans les yeux lui répond:
- Okay... tu peux y aller ma belle pute... c'était bien... tu as été très obéissante... et... euh... au fait... inutile de mettre un soutien-gorge ou une culotte en cours demain !!!!
- Mais... mais... de quel droit... vous...
- Tu oublies que tu n'a pas la choix salope !!! allez femelle, tire-toi avant que j'ai envie de ton beau petit cul... allez ! ah ! ah ! ah ! Ah !
Les larmes aux yeux, les joues cuisantes de honte, la jeune institutrice quitte le dortoir entendant longtemps les rires assourdis des deux gamins. Elle se rhabille en marchant, les mains tremblantes et rentre en hâte chez elle, désertant la garde une heure en avance.
Catherine prend une douche, se sentant misérable, aussi bien physiquement que moralement et alla s'étendre auprès de son mari qui dormait déjà. La jeune rousse s'effondre dans son lit en pleurs, cachant sa tête entre les draps.
A suivre...
vivement lasuite
RépondreSupprimerSuperbe! Merci!
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