Récit de Vadrouille.
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Mise en bouche.
-Regarde-la, derrière son guichet, elle n’arrête pas de te regarder, elle te suit du regard chaque fois que tu passes ! Me dit mon collègue.
Cela faisait quelques mois que j’avais été muté dans ce bureau, agence de la grande entreprise où je travaillais. J’avais déménagé dans cette région et ne connaissais personne. Il y avait donc, me dis-je, des possibilités avec cette nana.
Renseignements pris c’était une petite dame, Aline, bon chic bon genre, veuve depuis un an ou deux, quarante-cinq ans, ça devait certainement commencer à la chatouiller entre les jambes, mère de quatre enfants, un garçon et trois filles dont deux... mmmmmm assez canons mais ceci est une autre histoire que je ne tarderai pas à raconter.
Discrètement, je fis des approches pour prendre contact sans trop montrer mon intérêt. Échange de banalités, elle était souvent vêtue classique, petite bourge et c’est là que je me suis dit :
- Toi, tu vas devenir ma salope, je ferai ce que je veux de toi, tu vas être ma chose, mon jouet, que je prêterai à d’autres hommes ou femmes quand et où je le voudrais.
Ma décision était prise, cette Aline allait devenir mon objet. En fait c’est elle qui me proposa un jour d’aller au ciné ensemble, je l’avais appâtée.
- Pourquoi pas ! Dis-je d’un air détaché en ayant l’air de ne pas y toucher.
Fallait bien commencer par du commun et j’avais envie de la freiner pour pouvoir, lorsque je le déciderai, tirer les cales et en faire la plus salope que je n’ai jamais eu…
Le jour vint, le film se passe, je lui fais une très légère avance et je lui prends la main, c’est tout. La pression de sa réponse me fit comprendre qu’elle a envie de… Mais doucement je veux qu’elle tire la langue qu’elle supplie de se faire baiser pour pouvoir avancer dans mon projet d’en faire une machine à baiser.
A la fin du film, je lui propose de prendre un verre chez moi. Dans sa réponse affirmative je sens déjà une certaine excitation. « Tu auras juste un peu » pensé-je.
Il faut que je me maîtrise pour que ses envies de bite ou plutôt de bites, mais ça elle ne le sait pas encore, l’empêchent d’avoir des remords de moralité.
Assise à côté de moi dans la voiture je regarde ses jambes. Elle a une jupe assez stricte mais fendue ce qui me laisse voir ses jambes qui, ma foi, sont assez jolies et je devine qu’elle a des bas et non ces stupides collants.
Chez moi, à mon invitation à s’asseoir, elle préfère le divan. A sa déception je prends le fauteuil en face d’elle. Moi, j’ai une vue d’ensemble et je comprends que en fait elle aime que je la regarde. La femelle veut de la bite, mais elle va être déçue. Je la veux salope et elle ne l’est pas encore assez pour moi. Ce n’est qu’une question de dressage. Avec une petite mère modèle il faut que je manœuvre bien pour en faire une parfaite petite pute en mon pouvoir.
Lui apportant un verre de vin je m’assois à côté d’elle et reprends la position bêtement main dans la main. La fente de sa jupe s’est déjà ouverte un peu plus et lorsque je l’embrasse, je comprends qu’elle en veut. C’est là que je deviens certain que j’arriverai à faire de cette mère poule une poule baiseuse.
Lorsque ma main glisse le long de sa jambe j’entends un « mmmmmmmmmmm » de satisfaction. « Connasse, tu crois que c’est toi qui es arrivée à tes fins » pensé-je, « Tu vas voir... »
Ma foi, elle embrasse divinement. Sa langue s’entortille autour de la mienne, bouge sans cesse, passe de la mollesse tendre à la fermeté de celle qui veut découvrir.
- J’aime ta façon d’embrasser ! Dit-elle
- Toi aussi, dis-je , tu as une langue qui me fouille et joue bien avec la mienne.
- Nos deux langues s’entendent à merveille.
Et moi de penser : « ta langue, il va falloir qu’elle aille un peu partout, qu’elle serve pour lécher ma bite et celles que je te dirai de lécher ». Perdu dans cette pensée, distraitement ma main n’arrête pas de monter le long de sa jambe. C’est bien ce qu’il me semblait, elle a des bas et un porte-jarretelle !!!! J’adore ça, comme beaucoup d’hommes je pense. La manière d’écarter les jambes dès que j’approche de sa culotte me confirme dans l’idée qu’elle est une salope qui s’ignore.
Doucement me dis-je tu dois, aujourd’hui, juste l’exciter à mort faut qu’elle bave et te supplie de baiser. Au contact de sa culotte, je m’aperçois qu’elle est trempée. Elle mouille comme une fontaine.
- Tu as des mains douces.
- Oui, ta culotte me fait penser que tu aimes ça…
- Oooooh oui, depuis le temps qu’on ne m’a plus touchée…
Je passe un doigt sous l’élastique de sa culotte.
- Mmmmmmmmmmmm !
- Tu aimes ? Dis-je en fouillant sa toison à la recherche de la source de rivière.
- Mmmmmmmmmm !!!! Oooooh Ouiiiiiiii ton doigt…
Trop tard, mon doigt commence à la pénétrer. Elle veut enlever sa culotte, je la laisse faire en me disant surtout ne pas la baiser aujourd’hui.
- Ce sera plus facile comme ça ! Dit-elle en achevant de tirer sa petite culotte.
Mon doigt a été rattrapé par un deuxième dans son con et joue les va et vient en frôlant le clitoris.
- Aaaaaah c’est bon, Ouiiiiiiii.…
Ma bouche ferme la sienne en un baiser endiablé, les langues jouent de nouveau ensemble. Trois doigts maintenant s’enfoncent dans sa chatte. Et elle m’encourage à y aller plus fort encore en appuyant sur ma main qui la pénètre pendant que l’autre lui caresse les seins qu’elle a de la taille de la main d’un « honnête homme ». J’ai le sentiment que jouer avec ses seins l’excite encore plus ! Elle aime ça aussi la petite pute !!!
- Prends-moi, fais-moi l’amour, je te veux !
- Laisse-moi jouer avec toi, j’aime comme tu es trempée, mes doigts sont mouillés de ton jus. Tu sais que tu es bonne ?
- On ne m’a jamais dit ça. Faut dire aussi qu’on n’a pas souvent joué avec mon corps !
- Et ton mari ?
Il fallait que je la secoue un peu, tout en maintenant l’excitation
- Mmmraaaaaaaaahh… Dit elle.
Et arrivant à marmonner :
- Luiiiii juste faire l’amour, pas de raaaaaaaaah comme çàààààààà…
Et haletante, elle me dit encore :
- Prends-moi, fais-moi l’amouuuur s’iiiiil te plaiiiiit.
C’est là que je comprends que je vais pouvoir en faire ce que je veux, une salope de femme, une suceuse, bref un corps qui va assouvir toutes mes envies. Mais surtout il faut la laisser sur sa faim, meilleure sera la suite des évènements et du dressage de cette bourgeoise qui lentement glisse vers le point de non-retour.
Inventant un prétexte à la con genre « je ne veux pas que tu couches le premier jour tu vaux plus que çà... », je lui dis qu’on se reverrait demain au bureau. Elle retourne chez elle. Elle bavait la salope par la bouche et par sa boîte à mouille. Elle en a même oublié sa petite culotte sur le sol, un trophée !!!! Je vais en faire la plus pute des mamans bourges. Elle va apprendre le verbe sucer en nombre et en genre et à tous les temps de conjugaison.
Mais là est une autre histoire (des autres histoires) car je ne me suis pas arrêté à elle, n’oublions pas qu’elle avait deux splendides filles et moi une autre maîtresse, Véro, que je voulais faire lécher par Aline…
A suivre...
hummm, superbe début, j'ai hate de lire la suite
RépondreSupprimerExcellente entame, j'attends la suite avec impatience...
RépondreSupprimerTrès belle mise en bouche, j’attend la suite avec impatience
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