Récit de Bayle (2013)
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Partagée par son mari.
Le temps était bon malgré un vent à décorner les bœufs, et j’avais revêtu une jupe, un chemisier et une veste. Lorsque nous sommes arrivés sur l’esplanade, le vent se mit à souffler et les nuages commencèrent à pointer le bout de leur nez. La météo l’avait prédit, qu’un coup de tabac s’annonçait, peut être même de l’orage. Le temps se dégradait au fil des minutes, et les touristes se faisaient plus rares.
Nous descendions sur un ponton où une flottille de bateaux était amarrée, et désirant comme tout estivant immortaliser le lieu, mon mari me demanda d’aller au bout de l’estrade de bois pour prendre une photo. Sitôt que je m’éloignais de lui, une rafale de vent vint retrousser ma jupe et dévoiler mes fesses que la ficelle de son string ne pouvait occulter à son regard. La bourrasque me fouettant les cuisses je ne m’en aperçus pas. Ce n’est que lorsque des quolibets fusèrent depuis une goélette et que je me retournais vers deux hommes qui se rinçaient l’œil du spectacle d’où je compris la situation. Cette scène de me voir ainsi exhibée l’excita et que d’autres profitent de mes charmes le ravissait, et il se mit à me photographier. Plutôt que plaquer ma jupe contre mes cuisses, je laissais les rafales de vent disposer de ma tenue. Je m’amusais de la situation, tant pour le regard de mon mari qu’à celui des marins.
- Venez boire un verre avec nous ! Lança l’un d’eux.
- T’as un des plus beaux culs que j’ai jamais vu ! Tu ne portes pas de culotte ? Hurla l’autre.
- Désolée, je suis avec mon mari, et encore désolée pour vous, je porte une culotte ! Répondis-je.
- Il n’est pas partageur ?
- Il faudrait le lui demander !
Je m’approchais de la goélette laissant ma jupe flotter au gré du vent et découvrir mes cuisses et le petit triangle blanc de mon string. Greg était resté à quelques dix mètres de nous, spectateur de la scène, n’intervenant pas. Il continua de me prendre en photos.
- Allez ! Monte cinq minutes pour discuter un peu !
J’acceptais en faisant un signe à Greg de me rejoindre. Les deux hommes nous invitèrent dans la cabine plutôt que de souffrir des rafales de vent sur le pont. L’un se nommait Mickael et était un bel homme d’une trentaine d’années, tandis que le second, Charles, malgré ses presque soixante dix ans paraissait avoir encore de beaux restes. Je m’asseyais sur une banquette avec à mes côtés nos deux hôtes, alors que mon mari prenait place face à nous dans un fauteuil.
- Vous avez une très jolie femme, qui grâce au temps sait montrer ses atouts ! Dit Charles,tandis que Mickael nous préparait un grog.
- Merci pour le compliment, répondit Greg, et j’ai remarqué que vous les aviez appréciés.
- Malheureusement qu’une toute petite partie, rétorqua Charles, et en vous invitant à venir boire un verre, j’espérais bien en découvrir d’autres. Mais j’ai posé la question à Madame tout à l’heure, peut être n’êtes vous pas partageur ?
Tout en interrogeant mon mari, son regard se posa sur ma poitrine puis sur mes cuisses que ma jupe découvrait dans ses moitiés.
- Je partage déjà, puisque tout à l’heure vous lui avez reluqué ses fesses, non ?
- Ne dites pas que vous avez acceptez notre invitation que pour boire un grog, lança Mickael qui préparait les boissons.
Et toi, m’interrogea-t-il, pourquoi t’as dit à ton mari de venir, t’avais envie de quoi ? D’un mec comme moi, ou d’un vieux ?
Tout en fixant du regard mon mari pour connaître sa réaction, Charles posa sa main droite sur mon genou, elle glissa sur ma cuisse, la découvrant un peu plus en retroussant ma jupe. La seule réaction de Greg fut de se caler de tout son aise dans son fauteuil pour me regarder me fourrager par ce vieux de soixante dix ans !
- Ton mari à l’air d’aimer le spectacle, me dit-il d’un sourire vicieux, et toi aussi t’as l’air d’aimer ça hein ? Tu jouais la petite bourgeoise tout à l’heure sur le quai, mais t’aime bien aussi qu’on s’occupe de ton cul, non ?
Je ne répondais pas, un peu à l’écoute de la réaction de mon mari, mais la seule qu’il eut, fut un sourire de complaisance à l’égard du vieux qui poursuivit sa caresse.
- Voilà un homme civilisé et courtois, lança Mickael qui s’assit à ses côtés en posant les grogs sur la table basse. Puis nous bûmes nos verres, où il devait y avoir plus de rhum que d’eau dans la boisson. Nous discutions de nos vacances, du bassin d’Arcachon… Alors que les doigts de Charles s’étaient glissés sous mon string, après avoir retroussé ostensiblement ma jupe sur mon ventre. Comme pour provoquer mon mari, il dévoila mon sexe à leurs regards en écartant le peu de tissu qui le cachait.
Presque viscéralement je laissais mes cuisses s’entre ouvrir, pour facilité les doigts sillonner mes lèvres qui s’attardaient de temps à autre pour agacer mon clitoris, qui sous l’excitation, sortit de son capuchon de chair comme un bourgeon. L’alcool faisait déjà son effet, et lorsque je sentis les phalanges s’insinuer dans ma vulve, je m’entendis geindre.
- Une vraie petite fille, dit Charles, avec son sexe lisse, mais une vraie femme qui mouille bien !
- Une vraie salope ! Rétorqua Mickael, si tu permets, en s’adressant à Greg,
- Pourquoi déguiser les mots ? Dit Greg en finissant son verre.
Mickael resservit une seconde tournée. Charles abandonna mon entre cuisses pour porter ses doigts maculés de ma quintessence féminine à ses lèvres, puis il déboutonna entièrement mon chemisier. Sa main glissa sous mon soutien gorge et sur ma poitrine pour décalotter mes seins du sous vêtement. Il se mit à les caresser et les malaxer tour à tour, et se penchant sur mon visage il plaqua sa bouche contre la mienne, forçant mes lèvres de sa langue. Ses doigts pinçaient et vrillaient mes tétons pour les supplicier et les distendre. De sa bouche il aspirait ma langue à m’en faire mal, nos salives barbouillaient nos visages. Il guida ma main vers sa braguette ouverte, d’où j’en extirpais une queue rabougrie d’où suintait de son méat un liquide à moitié liquoreux.
- Va me sucer ma belle !
Je me mettais à genoux entre ses jambes, et c’est avec écœurement que je me mis à le masturber en lapant son gland poisseux, alors que courbé sur moi il continua à me presser ma poitrine.
Presque habituée à son odeur repoussante, je pris sa verge dans ma gorge qui enfin prit une raideur plus consistante. Mickael était venu derrière moi et avait retroussé ma jupe sur mes reins puis ôté mon string. De ses mains il écarta mes fesses pour y plonger son visage. Sa langue se mit à parcourir mes lèvres en remontant lentement vers mon anus, où il s’y attardait, essayant de le pénétrer du bout de son appendice.
Devant le plaisir qu’il m’apportait, je me cambrais davantage pour mieux m’offrir à cette langue qui me fit gémir. Charles appuyait sur ma nuque pour bien garder en moi sa queue odorante, alors que je vis mon mari, maintenant vautré dans le fauteuil en train de se masturber. Après m’avoir bien léché et enduit mes parties intimes de sa salive, Mickael m’enfonça lentement l’un de ses doigts dans mon anus, voyant que je ne protestais pas, et qu’au contraire je me cambrais encore, trois de ses doigts vinrent le tarauder. Après avoir longuement amadoué mon œillet, il vint se masturber entre mes fesses, appuyant au passage sur son gland qui butait sur ma rosette violacée. Puis je sentis sa verge glisser dans les chairs de mes intestins jusqu’à ce que son ventre vienne se plaquer contre mes fesses. Tout en suçant le vieux, je me mis à haleter et gémir.
- Encule-la pour moi Mike, défonce la bien !
Devant le spectacle que j’offrais à Charles et la soudaine frénésie de son ami à me sodomiser, je sentis des spasmes parcourir le ventre du vieux. Maintenant c’est de ses deux mains qu’il me retenait par la nuque, quand son sperme vint souiller ma langue et ma gorge.
- Avales tout ! Bougonnait-il.
Son sperme âcre envahit ma bouche par un écoulement lent. Je laissais sa semence s’écouler aux commissures de mes lèvres, tandis que Mickael se déchainait à clouer mon anus de manière violente. Sa brutalité à me posséder déclencha en moi un orgasme. Je recrachais la verge devenue molle de Charles pour haleter de toute ma gorge. Il m’écrasa mon visage sur son pénis gluant en exhortant son ami :
- Défonce-la ! Eclate lui son cul !
Soudain Mickael cessa son va et vient dévastateur pour se raidir plaqué contre mes fesses. En même temps qu’il poussa un râle guttural je perçus sa semence chaude doucher par saccade mes intestins. Sa jouissance me procura un nouvel orgasme et mon corps fut parcouru de soubresauts incontrôlables. Ce n’est que lorsqu’il se retira dans un chuintement de sussions, où de mon anus béant ruisselait son sperme, que je m’avachis sur le canapé, jouissant encore des bien faits sa verge encore raide.
Quelques instants plus tard, pas tout à faite remise de mes émotions, le sperme de mon mari souilla mes fesses, en se mêlant à celui de Mickael qui engluèrent mon entre cuisses. Nous partîmes aussitôt après. Ils nous demandèrent de revenir pour le lendemain, par politesse nous acceptions, bien que nous ne n’y soyons pas rendu.
FIN
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