Récit de Lecteur9 (2007)
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Humiliée dans sa classe.
Le lendemain matin les yeux rougis par les pleurs, Catherine se leva comme un automate, son mari venant de partir travailler. Seule, la jeune femme réfléchissait à sa position, et elle comprit qu'elle ne pouvait pas endurer un scandale dans la position sociale où elle se trouvait. La jeune rousse ne pouvait pas non plus se permettre d'obéir à ces deux gamins dépravés.
Pourtant comme lui avait dit Joussouf, elle n'avait aucun choix, mais de là, à leur obéir et à subir.
Puis repensant à la nuit dernière, Catherine sentit son visage s'empourprer et sentit un frémissement lui parcourir la colonne vertébrale. La jeune professeur avait aimé, oui elle en était sûre, elle avait adoré cela.
Puis escomptant qu'elle ne l'avait pas trop montré et dégoûtée par ce que Catherine découvrait en elle, la jeune femme se promit de tout faire pour contenir ce chantage. Elle alla se vêtir, choisissant une robe noire en coton, assez légère et ample, assez sobre mais boutonnée devant et au décolleté profond, dénudant sa poitrine plus que ce qu'elle n'aurait voulu. La jeune femme l'enfila, pressée et fébrile, se représentant les réactions que cela susciterait chez les deux élèves.
Puis au dernier moment elle décida qu'il était hors de question de leur obéir et la jeune rousse enfila une petite culotte en dentelle noire, sexy, dont la bande de tissu s'insinuait bien entre ses fesses. Mais elle restait la poitrine dégagée, la laissant ressortir sous le fin tissu de la robe.
Catherine se coiffa en chignon, enfilant un collier en or et s'examinant, elle découvrit dans la glace une superbe jeune femme élégante et raffinée, à la silhouette et aux formes très voluptueuses.
La jeune femme arriva en cours un peu troublée, et prenant une profonde inspiration, elle entra dans la classe. Catherine poussa un petit soupir de soulagement en découvrant la classe entière, turbulente à son habitude mais personne ne semblait être au courant de ce qui s'était passé la veille. Elle aperçut Joussouf et Mahoui au fond de la classe, en grand conciliabule mais ne faisant pas de bruit, manigancant à voix basse, la dévisageant un instant quand la jeune femme entra.
L'institutrice commença son cours qui se déroula sans interventions puis pour les travaux pratiques de physique la classe se divisa en deux. Il restait une quinzaine d'élèves dont Joussouf et Mahoui. Elle leur énonca les expériences à faire et parcourut les rangs pour expliquer ou aider ceux qui le lui demandaient. Soudain Joussouf leva la main et l'appella doucement.
- Madame... pouvez vous venir s'il vous plaît ?
La jeune rousse ébaucha un bref sourire et elle se dirigea sans gêne apparente, du moins l'espérait-elle, vers les deux élèves dont la table se trouvait à l'écart au fond de la classe. Ils semblaient travailler et Catherine se pencha un peu vers Joussouf, debout entre les deux élèves assis sur leur hauts tabourets. Ce dernier lui montra une feuille blanche et murmura en fixant son décolleté à vingt centimètres de son visage :
- Mhmmm..tu vois... ca te va mieux d'être la poitrine nue sous ta robe...
Catherine sursauta comme sous l'effet d'une douche froide, jetant un coup d'oeil vers la classe mais personne ne semblait avoir entendu. Les autres élèves étaient assez éloignés et tous plongés dans leur expériences. La jeune femme répondit d'une voix aussi ferme et assurée que possible.
- Cela suffit... il n'est pas question que cela continue ainsi... Et encore une réflexion de ce style et je ferais mon possible pour vous faire renvoyer.
Pour des enfants infortunés comme eux, être dans cette école était un privilège extraordinaire et son avertissement était très sérieux aussi pensait-elle avoir gagné en voyant l'air ébahi et incrédule de Joussouf. Mais ce dernier se reprit vite et soupirant il murmura:
- T'es réellement trop conne. Tu crois qu'on va te laisser, mais tu n'a pas de choix. Si tu ne veux pas que ce soit toi qui soit renvoyée !!!!! Et de plus, ajouta-t-il avec un air dépravé, je ne crois pas que cela t'ai déplu hier soir... non ?
Catherine paniqua, ainsi ils avaient découvert sa faiblesse. La jeune femme réfléchit à toute vitesse mais trop épouvantée elle ne sut quoi répondre et la jeune rousse vit Joussouf la dévisager et questionner d'une voix plus forte.
- Au fait... C'est bien d'étaler tes grosses miches... mais tu n'as pas mis de culotte j'espère... Cul nu et ta belle chatte à l'air comme on te l'avait demandé ???
Catherine blêmit, levant les yeux mais personne ne semblait avoir fait attention et apeurée la jeune rousse murmura :
- Moins fort, je vous en prie... Doucement...
Joussouf sourit et lui dit qu'il était satisfait qu'elle redevienne « raisonnable », c'était dans son intérêt. Mahoui qui n'avait pas dit un mot, recula peu à peu son tabouret et s'approcha un peu d'elle. Catherine sentit son souffle s'accélérer et un frissonnement honteux lui parcourir le ventre. Joussouf fixa la jeune femme dans les yeux et prenant sa main gauche il la coinça contre son entrecuisse.
- Bouge pas... laisse-toi faire gentiment... sinon...
Abdiquant sa fierté, la jeune femme était incapable de résister, l'anxiété mêlée à l'humiliation la laissait sans force. Catherine sentait le sang affluer vers ses joues et malgré elle une jouissance sale l'envahit, comme si la jeune femme prenait plaisir à ce qui arrivait. Mais les larmes aux yeux elle comprit l'avertissement de Joussouf et la jeune rousse faillit hoqueter de stupéfaction et de confusion quand elle sentit Mahoui prendre l'ourlet de sa robe et entreprendre de relever le tissu.
- Non... je vous en prie... arrêtez... pas ça...
Mais Catherine prononça ces mots d'une voix faible et hachée. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier, les joues cramoisies par la honte, la main droite crispée contre la table, elle fixait le mur, n'osant pas regarder Joussouf, l'air railleur et triomphant. Ce dernier tenant son autre main la forçait à l'effleurer à travers son jean. La jeune institutrice sentait son sexe se raffermir sous ses doigts.
Mahoui, lui, se délectait de la situation, lentement il découvrait les jambes longues et soyeuses de la jeune rousse, ravi de lui infliger cela. Il remontait la robe sur elle, parvenant à mi-cuisse et là, trop nerveux il la souleva d'un coup et la rabattit sur les hanches de la jeune femme.
Elle faillit hurler de honte et d'humiliation, fixant la classe les yeux écarquillés, écarlate mais nul ne semblait s'apercevoir de ce qui de passait. En effet la table haute et avec un rebord, fermée devant ne laissait voir que son torse pour les autres élèves. Pour Mahoui, le spectacle qu'il vit, faillit le faire éjaculer sur place. Catherine se rendait bien compte de ce qu'elle lui offrait.
La culotte-string, faisait rentrer une mince bande de tissu en dentelle noire entre ses fesses rondes et blanches. Le contraste devait être saisissant entre le tissu noir qui semblait ouvrir son cul et ses fesses plantureuses et laiteuses de vraie rousse. Soudain Catherine le sentit tâter d'une main son fessier, caressant sa peau douce et satinée, quant il lui murmura à l'oreille.
- C'est mieux comme ça, non ? Et dis-moi... ça te plaît de montrer ton cul bien blanc en plein jour. Tu as raison, tu es bandante, une vraie salope soumise...
Et en disant cela il glissa un doigt vers son sexe et écartant le tissu sentit l'humidité honteuse que la jeune rousse laissait deviner. Joussouf lui fit signe de se dépêcher, alors tirant sur l'élastique de la culotte il la fit tomber à ses chevilles. Complètement affolée, Catherine halète presque, le sexe en feu à sa grande stupeur et le fait de se savoir nue, exhibant ses fesses en cours, la troubla et lui arracha un gémissement qu'elle parvint à contrôler.
La jeune femme sentit alors Mahoui lui écarter les fesses et glisser un objet froid contre son anus qui se mit à palpiter. Joussouf lui dit alors :
- Serre bien les fesses ma jolie... oui comme ca... serre les bien... alors ça fait quoi d'avoir un bouchon de stylo contre le petit trou ?
Mahoui laissa retomber le tissu de la robe et se penchant ramassa la petite culotte qu'il posa bien en évidence sur la table. Le fait de voir sa culotte en soie noire, un de ses dessous les plus suggestifs posé là, sur les carreaux blancs de la table humilia fortement la jeune femme. Alors qu'elle restait là sans bouger, comme pétrifiée, Joussouf ajouta en lui caressant les fesses :
- Tu vas continuer le cours avec ça dans le cul. Sûr que tu trouveras un moyen pour mouiller encore plus !!! Et gare a toi si tu écartes trop tes grosses fesses. Imagine un peu quel effet cela produirait... allez... dégage...
Catherine l'imaginait sans peine, et la jeune rousse se redressa, serrant les fesses, sentant l'objet intrus contre son anus, prêt a tomber si elle se relâchait. La jeune institutrice marchait lentement vers son bureau mais elle n'osa pas s'y asseoir de peur de faire tomber le capuchon du stylo. Elle continua à surveiller les travaux pratiques, comme dans un cauchemar, la jeune femme sentait le bouchon bouger à chacun de ses pas, venant frotter contre l'entrée de ses reins. Catherine voyait Joussouf et Mahoui ricaner en voyant son allure coincée et ces derniers, sadiques, l'appelaient souvent.
Lorsque la jeune rousse arrivait, tremblante, Joussouf lui demandait si cela lui plaisait et ils l'obligeaient à rester entre eux, les mains sous la table. Catherine devait plaquer une main sur leurs braguettes qui à chacune de ses visites se déboutonnaient un peu plus. La jeune rousse en avait les larmes aux yeux, morte de honte, mais serrant les fesses pour que le bouchon ne tombe pas.
Enfin la sonnerie retentit et les élèves sortirent pour la pause. Seuls Mahoui et Joussouf restèrent assis. Elle les vit et crut que son coeur allais s'arrêter de battre. Quand tout le monde fut parti, Joussouf s'approcha d'elle et arrivé à quelques mètres, il s'assit à son bureau et dit :
- Allez... ça suffit... tu as été gentille ! Tourne-toi et penche-toi bien, on va te l'enlever !
A ces mots il éclata de rire, la mortifiant dans sa honte. Mais comme résignée, la jeune femme se tourna, se penchant, cambrant bien ses fesses qui se moulaient dans le tissu de la robe. Mahoui alla fermer la porte restée ouverte et Joussouf s'approcha et d'un coup sec, remonta la robe jusqu'aux hanches nues de l'institutrice.
- C'est vrai que tu as un beau cul.
Puis lui tâtant les fesses :
- Bien douces et blanches comme tes miches ! Dommage que tu ne le montres pas plus souvent, mais enfin t'inquiètes pas !!! On va changer ça, avec nous tu vas bien bronzer. Allez maintenant, penche-toi bien, plie un peu les genoux ! Je veux que tu me tendes bien ton cul, mais sans l'ouvrir !!
Les joues baignées de larmes, Catherine obéit avec une écoeurante faiblesse, humiliée et se pencha bien en avant, jambes pliées, les fesses tendues, la tête à quelques centimètres du sol. Mahoui vint devant elle et la bloqua dans cette position. La jeune rousse gémit et les suppliait mais en vain.
- C'est bien... Passe tes mains derrière, tu vas bien t'ouvrir le cul, mais lentement. Compris salope ?
Elle murmura un « oui » étouffé dans ses sanglots et prenant ses fesses blanches dans ses mains, Catherine les ouvrit peu a peu, les écartant pour faire tomber le bouchon. La jeune bourgeoise s'ouvrait et s'offrait de la façon la plus obscène qu'il soit. Les fesses assez écartées elle ne comprenait pas pourquoi le bouchon ne tombait pas, c'est alors que la jeune femme comprit que Joussouf le retenait. Dans un souffle rauque il lui dit:
- Oui comme ça ! Ouvre bien, écartes plus que le bouchon tombe !! mmhhh, quelle jolie rondelle dans ce sillon poilu. C'est une vraie forêt rousse... humm et si douce... c'est bandant comme ça... mais il faudra quand même que l'on te rase un peu... hein ! ah.ah.ah !!
Catherine sanglotait et écartait les fesses de plus en plus, la jeune femme poussait bien, s'ouvrant bien a fond. Joussouf bandait comme un fou, il retenait le bouchon, fixant l'étroite ouverture de son anus. Il la voyait, elle, sa maîtresse, forcer et s'ouvrir du mieux que la jeune rousse pouvait. Cette scène lui paraissant irréelle, il aurait voulu la prendre de suite, dans cet anus qui commençait à s'ouvrir et à palpiter.
Soudain alors que la jeune femme poussait, son anus s'entrouvrit un peu et le bouchon poussé par Joussouf força l'ouverture de ses reins et s'enfonça de moitié dans son cul. Joussouf, stupéfait, éclata de rire, imité par Mahoui. Catherine sanglota et éclata en pleurs, humiliée comme jamais.
La jeune femme tenta de se redresser mais Mahoui lui bloquait la nuque d'une main et de l'autre caressait sa gorge découverte et glissait une main dans son décolleté soupesant les seins lourds à tour de rôle.
- Allons, doucement !! Tu ne vas pas faire d'histoires pour un simple bouchon dans le cul, non ?
Mais, affolée, Catherine n'écoutait même plus les insultes et les commentaires et elle essayait de se relever. Les contractions eurent pour conséquences de faire sortir le bouchon de son anus avec un bruit de succion obscène. Joussouf, toujours derrière la jeune rousse, lui écarta les fesses qu'elle avait lâché et passa un doigt dans son sillon.
- Ohhh, mais tu es moite et trempée chérie. Et ça alors, tu mouilles autant du cul que de la fente. Ben ma cochonne !
Il glissa un doigt vers son anus pendant que de l'autre main il jouait avec son sexe. De sentir leurs mains tripoter ses seins, les pointes dures, fouiller son sexe et caresser l'entrée de ses reins, la jeune professeur poussa un gémissement qui les fit rire. Catherine halète, épuisée par le plaisir immonde qui monte en elle mais quand la jeune rousse sent le doigt de Joussouf essayer de forcer son anus, elle ne peut retenir un cri.
- Eh mais ! Tu es étroite, encore vierge de ce côté ? Noonnn ! Pas avec le cul que tu as !!! Ton mari n'a jamais essayé de te faire sauter la rondelle ??
A ces mots, la jeune femme ne peut s'enpêcher de penser qu'elle offre plus à ces deux gamins, que ce que son mari n'avait jamais pu obtenir d'elle, bien que ce ne soit pas faute d'avoir essayé. Puis Joussouf, pensif, la lâcha, imité par Mahoui.
Catherine se releva les jambes tremblantes, le visage écarlate, les cheveux défaits, la poitrine se soulevant avec rapidité. La jeune rousse était superbe dans sa honte, les yeux étincelants, la bouche humide, les narines pincées. Elle détourna la tête, morte de honte, se repeignant avec des gestes fébriles. Puis elle lissa sa robe, froissée et elle rattacha les boutons de son décolleté que Mahoui avait défait, et qui montraient largement ses seins blancs qui pointaient, aux tétons durs et érigés.
Joussouf l'attrapa par le poignet et sans douceur la força à s'asseoir sur le bureau...
Il vint devant la jeune femme, la fixant dans les yeux et remonta sa robe devant, révélant ses cuisses nues et bloquant le tissu sur ses hanches, il lui écarta les cuisses. Catherine resta ainsi face à la porte, cuisses écartées, montrant sa toison rousse et bouclée et plus bas sa fente et son clitoris tendu. Muette, la jeune femme ne savait comment réagir quand elle vit Joussouf prendre un gros feutre noir.
Mahoui passa derrière elle et lui bloqua les poignets. Affolée et inquiète la jeune rousse les supplia de la lâcher. Elle vit alors Joussouf prendre le feutre et dessiner sur sa cuisse très haut un énorme sexe dont le gland frôlait sa toison.
La jeune institutrice se débattit mais en vain, il lui bloqua l'autre cuisse et écrivit en gros sur sa peau laiteuse « Baisez-moi ».
Le contraste entre l'encre noire et les cuisses blanches de la jeune femme tranchait et elle se sentit sale et obscène. Il recula et contempla son oeuvre avec un rire gras. Elle entendit Mahoui faire de même. Catherine était assise devant lui sur le bureau les bras bloqués derrière, la poitrine tendant sa robe, cuisses bien écartées, humiliée. Pendant un moment la jeune rousse crut qu'ils allaient l'obliger à rester ainsi jusqu'à ce que les élèves rentrent. Elle paniqua mais finalement Mahoui la lâcha et elle se releva hagarde, rabaissant sa robe.
Joussouf reposa le feutre et ils restèrent à la regarder dans un silence humiliant et pervers.
Catherine ne savait plus où se mettre et finalement, en sanglots, la jeune femme se précipita vers la porte, courant dans les couloirs vides jusqu'aux toilettes, entendant les rires des deux jeunes arabes résonner dans les couloirs. Elle resta cinq minutes à pleurer en silence, enfermée dans les toilettes puis reprenant courage la jeune femme retourna en cours.
En entrant, elle vit la classe en train de discuter mais au fond Catherine aperçut Joussouf et Mahoui en train de parler avec trois de leurs camarades, des mauvais élèves comme eux. Ils se turent en la voyant rentrer et la jeune institutrice crut mourir de honte en voyant les regards moqueurs que lui lançaient les cinq jeunes magrehbins.
Elle s'assit à son bureau, prête à faire une crise de nerfs quand le silence revint et que les élèves s'assirent. La jeune femme vit, tremblante, deux des gamins avec qui parlaient Joussouf et Mahoui, venir s'asseoir juste devant son bureau. Machinalement dans un geste inutile la rousse serra les cuisses sachant que sa longue robe cachait bien ses jambes et surtout les traces humiliantes du feutre.
Sachant que Catherine ne pourrait pas tenir un cours, énervée, elle leur donna une interrogation surprise qui fut mal acceptée par la classe. Pour éviter les regards gênants des élèves, la jeune professeure se plongea dans la lecture d'un livre, jetant de temps en temps un coup d'oeil pour voir les élèves concentrés à réfléchir. Cela faisait une vingtaine de minutes que l'interrogation avait commencé quand levant les yeux la jeune femme vit un des deux élèves devant elle, Sidi, faire des gestes discrets.
Catherine le fixa quand il la regarda et montrant sa robe de son menton lui fit signe discrètement de la remonter. Son bureau sans planche était presque collé contre leur table. Catherine pâlit et fit mine de feindre la colère sachant tout au fond d'elle que la jeune femme était terrorisée et qu'un plaisir diffus la poussait à obéir. Devant son regard, il lui montra Joussouf, qui lui fit comprendre par gestes que la jeune institutrice devait lui obéir ou sinon...
Elle jeta un regard circulaire et puis discrètement les mains tremblantes, elle fit remonter un peu sa robe jusqu'à ses genoux. Jetant un regard, la jeune femme vit les deux arabes les yeux rivés sur ses jambes et elle en éprouva un dégoût profond pour son obéissance.
N'osant pas les regarder, Catherine tourna la tête, mais elle sentit un pied taper contre le sien et levant les yeux la jeune femme comprit que ca ne suffisait pas. Affolée et humiliée la jeune rousse ne savait comment réagir, et elle s'interrogeait sur les conséquences d'un refus. Elle baissa la tête, se replongeant dans la lecture espérant que cela les découragerait mais il n'en fut rien.
Le premier geste d'obéissance de la jeune femme leur avait fait comprendre qu'ils la tenaient. Sidi lui donna un deuxième coup plus poussé et elle leva les yeux dans un réflexe. Il fixait la jeune rousse, d'un regard dur et cupide, son voisin, Ali faisait de même. Catherine sentit sa force la quitter.
Sidi lui montra une ligne invisible sur sa cuisse et du menton lui ordonna de la relever plus. Heureusement pour la jeune femme, eux seuls pouvaient voir sous le bureau. Complètement soumise et honteuse, la jeune bourgeoise glissa ses mains sur la robe et tournant la tête elle fit remonter le tissu, les cuisses serrées dans un dernier sursaut de dignité. Catherine pouvait sentir leurs regards palper sa chair.
La jeune femme remonta doucement le tissu, leur dévoilant ses cuisses nues et laiteuses et elle s'arrêta, la robe remontée à cinq centimètres de son sexe. L'humiliation lui cuisait les joues, même les cuisses serrées la jeune rousse savait qu'ils pouvaient voir en partie les traces au marqueur. Catherine tourna lentement la tête et elle les vit, penchés sur leur table ne perdant pas une miette du spectacle qu'elle leur offrait.
Elle ferma les yeux un moment, avilie et pourtant la jeune rousse sentait un nouveau plaisir la gagner. En les ouvrant, Catherine vit Sidi qui la regardait, l'air moqueur et sûr de lui, puis, par gestes, il lui montra les hanches. La jeune institutrice fit non de la tête mais au fond de la classe, elle vit Joussouf se lever lentement.
Paniquée, elle obéit et remonta sa jupe sur ses hanches, la jeune rousse mit une main devant ses yeux pour cacher les larmes de honte. Mais Catherine pouvait les voir, Sidi et Ali fixant le haut de ses cuisses puis les boucles de sa toison rousse et enfin une partie de ses hanches nues. La jeune professeur s'exhibait devant ces deux arabes, ayant perdue toute notion de pudeur.
Sidi la fixa à nouveau et avec ses mains, il lui fit comprendre qu'il désirait qu'elle écarte les cuisses. Comme dans un cauchemar trop réel, Catherine obéit, écartant ses cuisses d'un vingtaine de centimètres. La jeune femme les vit sourire en découvrant les dessins obscènes sur ses cuisses. Ali sortit sa langue et il fixa la jeune rousse en caressant sa braguette, murmurant « baisez-moi ».
Catherine pâlit, le ventre s'humidifiant, les pointes des seins dressées malgré elle, en le voyant sortir son sexe en demi-erection. Sidi lui fit encore et encore écarter les cuisses, et la jeune femme obéissait avec de moins en moins de dégoût, jusqu'à ce que la jeune rousse soit complètement ouverte et offerte, le sexe en avant, la vulve bien découverte.
Catherine De Montfort avait honte d'elle, jamais la jeune femme n'aurait pensé que l'on pouvait s'offrir de cette façon. Elle ne pouvait soutenir leurs regards brillants et vicieux alors baissant les yeux la jeune femme réprima ses sanglots.
Soudain Catherine vit un papier roulé que l'on jetait sur son bureau. Levant les yeux, inquiète, la jeune femme fixa la classe mais tout le monde semblait travailler même Sidi et Ali. Défroissant le papier la jeune institurice lut :
- C'est très bien, mais maintenant tu vas remonter ta robe très haut sur tes hanches ma belle. Je te veux cul nu sur la chaise...
Tremblante, elle vit Sidi et Ali ricaner, et glissant une main mal assurée vers la robe la jeune rousse obéit. Elle remonta lentement le tissu fin sur ses hanches, la tête baissée, ne pouvant regarder la classe. Il lui semblait que tous savaient ce qu'elle faisait. Doucement, aussi discrètement que possible la jeune femme tira sa robe dans son dos, se soulevant un peu. Catherine se rassit, posant ses fesses nues et delicates sur le bois de la chaise. A ce contact la jeune femme eut un frisson de honte violent.
La jeune bourgeoise resta dans la même position, cuisses écartées, le sexe en avant, offerte et humiliée. Les narines pincées, elle les fixait, les yeux sur leurs sexes sortis et nus, durs. Ils se masturbaient devant elle, fixant la jeune rousse d'un air merdeux et ironique. La vision de ces gamins hautains, devant lesquels pour la première fois elle s'offrait impudiquement, provoqua un spasme violent qui la secoua entièrement tel un frisson qui lui parcourait le corps. Catherine ne put soutenir leurs regards lubriques et elle baissa les yeux, essayant d'oublier la situation mais en vain. Quelques minutes après, la jeune femme vit Sidi lancer une feuille pliée sur le bureau.
Catherine ne voulait pas la voir, ayant peur de ce qui pouvait lui être encore demandé. Mais d'une main hésitante l'institutrice prit le papier et l'ouvrit :
"Chère madame,
Quelques mots pour dire ce que je vois. Il faut bien que vous appreciez la situation à sa juste valeur. Pour la classe vous êtes très sérieuse avec votre robe classique malgré votre poitrine trop arrogante. Mais il suffit que l'on se penche et là alors tout devient différent. Là, tu es cuisses bien ouvertes, et les inscriptions sur tes jambes ne font que confirmer ce que l'on voit. Tu as une toison superbe, douce et légère mais assez fournie, il parait que tu as la raie très poilue. Mais ces poils roux sur cette peau blanche, c'est fichtrement bandant, surtout qu'ils dévoilent bien ta fente que je crois un peu mouillée, non ???
T'as pas l'habitude de te montrer hein ? Mais tu vas vite apprendre avec nous."
Complétement avilie, Catherine se rendit compte de sa pose et d'un geste nerveux elle rabattit la robe sur ses cuisses. Les joues cuisantes de honte la jeune femme n'osait les regarder mais elle entendait leurs rires étouffés et leurs remarques obscènes. C'est à ce moment que la cloche se mit à sonner. Dans un brusque réflexe la jeune professeur resserra ses jambes, réajustant sa tenue, afin de retrouver une allure normale.
Mais devant elle, les deux jeunes arabes ne paraissaient ni pressés ni gênés. Ils ne firent que rabattre leurs tee-shirts sur leurs braguettes ouvertes afin de dissimuler leurs sexes que la jeune rousse devinait tendus. Catherine essaya de cacher sa gêne quand les élèves se levaient pour me rendre leurs copies en sortant. Mais son coeur battait de plus en plus fort à chaque fois que la salle se vidait petit a petit.
Elle ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'oeil vers les deux arabes qui semblaient penchés sur leurs copies. Mais son regard se troublait lorsque la jeune femme pensait à leurs tenues. Soudain alors que Catherine les fixait, Sidi leva les yeux et croisa son regard. Il lui sourit avec une lueur ignoble dans les yeux et posa sa main sur son entrecuisse, fixant la jeune rousse d' un air ironique.
Affolée, elle détourna la tête, honteuse et avilie, ne remarquant pas qu'un élève lui tendait sa copie avant de sortir. La jeune femme la prit avec précipitation, les mains tremblantes. Joussouf se leva à ce moment et en lui rendant sa copie, il murmura « Ce n'est qu'un début », qui la fit frémir et Catherine dut se contrôler afin de ne pas s'enfuir en courant. Les élèves sortirent un par un. Il ne restait plus que Sidi et Ali dans la classe.
A son grand soulagement ils se levèrent rhabillés et Ali lui rendit sa copie et sortit sans un mot. Sidi s'approcha de sa jeune institutrice, elle recula, mais avec un sourire amusé il lui lanca un papier sur le bureau et dit :
- Demain, viens une heure avant les cours pour suivre les instructions que l'on te donnera ! ah ! ah ! Et je te rendrais la copie... si tu es gentille ah ! ah !
Surprise et soulagée de le voir partir la jeune femme resta assise quelques minutes pour se calmer puis elle prit le papier et le glissait avec ses copies sans le lire, le ventre noué par la peur. Ce matin Catherine était résolue à arrêter ce chantage odieux mais maintenant la jeune femme faiblissait. Elle se rendait compte avec horreur qu'elle continuerait même si les situations devenaient de plus en plus éprouvantes et humiliantes, enfin surtout si elles le devenaient...
La faiblesse et ce plaisir nouveau et sale lui faisait perdre toute notion de logique et l'empêchaient de penser aux risques encourus. Catherine rentra chez elle, et seule, la jeune rousse resta assise à penser à ce qui s'était passé aujourd'hui et se rappelant de leurs sourires ignobles, des frissons malsains lui parcourèrent le corps. Elle se coucha de bonne heure. Lorsque son mari rentra, la jeune femme fit semblant de dormir, espérant qu'il n'oserait pas la réveiller. Au milieu de la nuit, elle se réveilla, haletante, la respiration saccadée, constatant avec honte son ventre trempé. Enfin le matin arriva, et Catherine se leva, laissant dormir son mari et elle courut prendre une douche froide pour effacer les traces de cette nuit agitée et calmer ses sens affolés.
A suivre...
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