Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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Encore soumise sur son lieu de travail.
*** Semaine 2 *** Mardi ***
Après une nuit agitée, je ne suis pas plus avancée que la veille. Ma soumission trop facile à Daniel continue de me troubler. Je n'arrive pas à trouver d'idées pour échapper au contrôle de mon stagiaire. Donc, je dois accepter que je suis son animal de compagnie au bureau… pour le moment.
Dire que j'ai hâte de retourner au bureau serait mentir. Toutefois, il faut que je fasse face à la situation avec toutes les conséquences que cela entraîne.
Je sais que Daniel a une idée très précise de l'apparence et du comportement de son animal de compagnie. Il veut que je sois sa bimbo de bureau, éclatant et sexy. Mais peu importe à quel point ce voyou me tient sous sa domination, je suis déterminée à garder une apparence professionnelle au travail. Après tout je suis une des directrices de la société.
C'est pourquoi je m'habille avec une tenue professionnelle classique comprenant un chemisier blanc et une jupe étroite noire tombant mi-cuisse. En dessous, je porte un soutien-gorge et un string en dentelle noire. Enfin, je combine cette tenue avec des escarpins noirs, en daim et à bout ouvert.
La jupe serrée ainsi que les collants transparents noirs me donnent l'air assez sexy et les talons aiguilles de dix centimètres font ressortir mon joli petit cul tout rond. Je pense que ça devrait convenir aux règles idiotes de Daniel. La tenue est élégante et sexy sans être trop audacieuse.
Après être arrivée au travail, il se passe une demi-heure avant que la porte s'ouvre et que Daniel entre dans mon bureau sans frapper bien sûr. De toute évidence il ne veut pas perdre de temps.
- Montre !
C'est tout ce qu'il dit avant de s'appuyer contre le mur, dans une posture détendue, attendant que je réagisse. Il veut que je lui montre ma tenue, alors je me lève de mon fauteuil et m'éloigne de mon bureau avant de tourner sur moi-même.
- Qu'est-ce que tu crois être ? Dit-il méchamment, visiblement pas trop content de mon choix de vêtements.
- Je suis votre animal de bureau Monsieur Daniel. Bégayé-je, prise de court par son ton agressif.
- Je suppose que tu ne sais pas t'habiller comme une Pute de Bureau hein ? As-tu oublié la règle numéro 1 ? L'habillement d'une bimbo de bureau ?
Je n'ai pas oublié ses règles stupides. Ma tenue ne ressemble pas à une tenue qui montre mes charmes. Toutefois je suis fière de moi. Il n'y a rien de pire qu'une femme qui s'habille pour plaire, mais qui ne sait pas travailler. J'ai toujours méprisé ces poupées sexy qui ne savaient pas réfléchir mais qui avaient tout sur un plateau d'argent.
Je n'ai jamais accepté l'aumône et je n'ai jamais rien pris pour acquis. J'ai travaillé d'arrache-pied pour être acceptée comme une femme d'affaire avisée par mes collègues masculins. J'ai la réputation d'être sérieuse et forte dans les négociations. Et j'ai toujours insisté pour que le travail et la vie privée soient séparés. Mais aujourd'hui, ça semble ne plus avoir d'importance. Un de mes stagiaires me traite de « Miss Pute de Bureau ».
- Ouvre ton chemisier que je vois ton soutien-gorge ! Ordonne mon tourmenteur.
Cet ordre me met en colère. Qu'il fasse ce qu'il veut avec moi mais qu'il laisse mes vêtements en dehors de ça ! C'est ce que je veux lui crier mais je garde la bouche fermée. Pourtant je reste tendue et je ne bouge pas.
Je vois ses yeux se rétrécir quand je ne réagis pas. Alors, effrayée, je me décide à obéir. Les doigts tremblants, je touche le premier bouton pour le détacher. Ce macho me fait déboutonner mon chemisier jusqu'au niveau de mes tétons, ce qui provoque une grande ouverture de mon chemisier. Je remarque que le bord supérieur de mon soutien-gorge noir est presque visible.
C'est trop ! Je ne peux pas afficher un tel décolleté devant mes subordonnés. Le bord de mon soutien-gorge est constamment sur le point de se voir. Il faut que je sois prudente à chacun de mes mouvements.
- Montre moi ta chatte ! Ordonne Daniel avant que je ne puisse dire quoi que ce soit.
Fermant les yeux de frustration, je retrousse ma jupe crayon noire sur mes hanches, montrant ainsi mon string noir sous mon collant.
- String et collant ne font pas vraiment animal de compagnie, n'est-ce pas Miss Pute de Bureau ? Demande-t-il.
Puis il commande :
- Enlève ton string salope ! Maintenant !
Rapidement, je lui obéis, car j'ai peur qu'il crie dans mon bureau. Je ne veux pas que quiconque se rende compte de ce qu'il se passe ici. J'enlève mon collant et mon string.
- Il faut que nous fassions quelque chose de ce collant ! Dit Daniel alors que je me tiens devant lui, la jupe retroussée, exhibant ma chatte nue.
Après un moment de réflexion, il ajoute :
- Je veux que ton entrejambe soit libre et accessible !
Je le regarde avec une expression perplexe sur le visage. Qu'est-ce qu'il veut dire ? Ce sont des collants et non des bas.
- Allez salope, débrouille-toi.
Je vois qu'il commence à s'impatienter. Je sais que je dois réagir et me conformer à ses instructions, mais je n'aime pas ce que je vais faire.
Je remonte mon collant, je m'assois sur ma chaise de bureau et j'écarte les jambes. Puis j'attrape le fin tissu avec mes deux mains à l'endroit où il couvre ma chatte.
CRAC !
Le son remplit mon bureau. Je déchire mes précieux collants. Je grimace sous le bruit. Je suis dévastée quand je vois le résultat de mon geste. Je viens de faire un grand trou rond dans mon collant noir. Mon Dieu ! Qu'ai-je fait ? Toute mon entrejambe est à l'air libre.
Mes pauvres collants sont foutus. Mes yeux commencent à se remplir de larmes. Mes vêtements sont importants pour moi. J'ai toujours été fière de mes tenues. Et je déteste les abîmer volontairement.
Est-ce que ça va suffire pour faire plaisir à Daniel ? Vais-je avoir l'air assez salope ? Je n'ose pas le demander.
Le jeune garçon me regarde des pieds à la tête et me dit :
- Maintenant, c'est plus une tenue pour une pute de bureau. Demain et les jours suivants, essaie de suivre cet exemple, petite bimbo. Je laisse passer cette infraction aux règles pour le moment. Mais ne me le fais pas regretter.
Je comprends la menace sous-jacente à ses mots. Détruire mes collants est une raison suffisante pour comprendre la leçon. Je n'oublierai pas les règles une autre fois.
Mais Daniel n'a pas terminé. Il dit :
- Alors tu veux porter des culottes ? Bien ! Je parie que tu vas aimer le défi au bureau d'aujourd'hui, un défi irritant. Tu vas mettre ton string par-dessus ton collant. Met tu vas le mettre devant derrière…
Je le regarde les yeux grands ouverts. Je comprends à peine ce qu'il me dit. Je n'ai jamais fait ça. N'est-ce pas suffisant que je détruise mon collant ?
C'est un string ! Il n'y a qu'une petite ficelle à l'arrière. Et cette ficelle va rentrer dans ma chatte, je vais la sentir tout le temps.
- Obéis salope ! Ordonne Daniel sur un ton qui ne permet pas de répliquer.
Je sursaute et je récupère mon string noir. Puis je l'enfile à l'envers. En le tirant vers le haut, je comprends pourquoi il a appelé ça un défi irritant. La petite ficelle glisse entre les lèvres de ma chatte et vient appuyer sur mon clitoris.
Je vais le sentir tout le temps et il n'y a pas moyen d'y échapper. La corde va constamment toucher et irriter ma chatte et mon clitoris sensible. Ça va me rendre dingue comme un supplice chinois.
- Fais le tour du bureau, Miss Pute de Bureau ! Commande Daniel.
En lui obéissant, j'ai l'impression d'être une salope qui s'exhibe sur une piste. Je défile dans ma tenue de travail débraillée et à chaque pas, je sens la ficelle du string. C'est irritant et inconfortable. Et mon clitoris attire immédiatement mon attention. Mon petit organe sensible commence à me picoter sans pitié. Comment vais-je faire pour survivre toute ma journée de travail comme ça ?
Au moins, la déchirure du collant n'est pas visible. Ma jupe crayon noire est assez longue pour la couvrir pour le moment. Mais nous savons tous ce qui arrive d'un accroc dans un bas n'est-ce pas ? Il devient de plus en plus grand. Plus je me promènerai, plus le trou s'agrandira. Finalement il se verrait malgré la longueur de la jupe.
Daniel commente alors la façon dont j'avance mes jambes à chaque pas, comme si j'essayais de me gratter d'une démangeaison :
- On dirait que tu en profites bien non ? Je sens que tu vas bien t'amuser aujourd'hui.
Puis il ajoute avec un sourire narquois :
- Maintenant appliquons la touche finale. Tu as gagné ça !
Il tire quelque chose de sa poche et le tient devant mon visage. Mon Dieu, c'est vraiment une surprise. Mais une surprise qui ne me fait pas sourire. Il s'agit d'un bracelet en argent avec une petite règle.
- C'est ta marque de salope Miss Pute de Bureau. Explique le latino arrogant en fixant le bijou autour de mon poignet.
- A partir de maintenant, tu le porteras au travail pour te rappeler la place que tu occupes ici. Ajoute-t-il.
Je regarde le bracelet en argent autour de mon poignet et je ne sais pas que dire. Je l'aurai toujours dans mon champ de vision et il me rappellera sans cesse la punition que j'ai reçue hier. Je ne peux pas m'empêcher de regarder ce signe de ma soumission. C'est tellement évident que j'ai finalement accepté mon rôle d'animal de compagnie personnel de Daniel au bureau et que je ne me révolterai plus.
- Maintenant, va nous chercher un café salope !
Le macho me sort de ma rêverie. Il s'assoit sur mon fauteuil et pose ses pieds sur mon bureau pour me montrer qui est vraiment le patron.
La cuisine de la société est au premier étage. Il me faut un certain temps pour y arriver car je ne peux pas vraiment marcher vite. La ficelle du string est impitoyable et presse mon clitoris entre mes petites lèvres. Je sens mon petit bouton durcir de plus en plus.
C'est très calme à l'étage. La plupart des subordonnés d'ORTEGA sont en réunion d'équipe et la plupart des miens sont à l'extérieur sur des projets. Il n'y a plus que quatre employés et trois stagiaires au premier étage.
Je n'entends aucun bruit dans la cuisine quand je m'approche. Au lieu de cela, les bruits les plus importants proviennent du claquement de mes escarpins sur le sol. Toutes les portes de bureau sont fermées. J'espère seulement que personne ne va sortir pour voir qui fait autant de bruit dans le couloir.
J'entends mon cœur battre un peu plus fort à chaque fois que je passe devant la porte d'un bureau. Mais pour une fois j'ai de la chance. Les employés sont trop occupés. Toutefois, le string à l'envers continue de me troubler. Les frottements incessants et irritants sur ma chatte et mon clitoris me donne l'impression que je ne vais pas tenir debout très longtemps. Mes jambes vont céder, je me sens bancale et mal à l'aise. Et je suis aussi terriblement excitée.
Malheureusement, je dois passer devant le bureau des stagiaires pour me rendre à la cuisine. C'est un problème car ils n'ont pas un bureau fermé mais juste un espace ouvert séparé par des cloisons. Il n'y a pas moyen de passer sans se faire remarquer, en particulier lorsque des bruits de cliquetis des talons sur le sol vous accompagnent dans le couloir. Je suis sûre que les stagiaires m'ont entendu venir de très loin. Lorsque je passe devant leur bureau, je peux voir trois paires d'yeux qui attendent avec impatience de voir quelle femme fait ces cliquetis sur le sol.
J'essaie d'être aussi discrète que possible. Pourtant je sens leurs yeux détailler ma tenue. Ouf ! Je pousse un soupir de soulagement quand je suis dans la cuisine, hors de leur vue.
Je me rends compte que la déchirure de mon collant s'est agrandie. Elle atteint maintenant le dessous de l'ourlet de ma jupe à l'intérieur de ma cuisse droite.
Mince ! Avec mon chemisier grand ouvert et mon collant déchiré je dois faire plus attention.
Plus je reste à la cuisine, plus je sens ma chatte me démanger. Je mouille autant de l'irritation du ,au string inversé que par le fait de devoir traverser l'entreprise en salope. La peur que quiconque puisse voir mon décolleté et mon soutien-gorge se transforme en excitation. Et je ne peux rien y faire.
Un café dans chaque main, je sors de la cuisine. Bien sûr, les trois stagiaires surveillent toujours le couloir.
Et c'est alors que Justin, l'idiot au polo m'interpelle :
- Mme ADDAMS ! Pourriez-vous m'aider s'il vous plaît ? Où puis-je trouver la charte graphique sur le serveur ? Vous m'avez dit que vous aviez besoin de la présentation finie aujourd'hui.
Je m'arrête net devant leur espace de bureau. De cette façon, ces jeunes ont bien le temps de me détailler des pieds à la tête. Je sais très bien qu'ils peuvent apercevoir le bord de mon soutien-gorge noir.
C'est fait exprès ! Bien sûr qu'ils le font exprès ! Ils veulent que je passe dans leur bureau pour mieux me voir. Mais que puis-je faire cependant ? J'ai vraiment besoin de cette présentation. C'est urgent.
Je veux fuir. Toutefois, à contrecœur, j'entre dans l'espace des stagiaires et je vais au bureau de Justin. Je me penche vers son ordinateur et je lui montre où trouver les dossiers du serveur.
CRAAAAAAACCC…
Mes yeux s'agrandissent de panique lorsque j'entends mon collant se déchirer encore plus de quelques centimètres. Effrayée, je regarde ma jambe et je remarque que la déchirure descend maintenant en dessous de ma jupe à l'intérieur de ma jambe droite. Je peux même sentir un souffle d'air frais frapper ma peau nue où le collant est ouvert.
Au même moment, je vois Taylor, le stagiaire noir sportif se pencher en arrière et faire courir son regard le long de mes jambes. Immédiatement, je serre mes jambes l'une contre l'autre pour cacher la déchirure du collant. Mais je suis certaine qu'il a vu le gigantesque accroc.
Je suis complètement concentrée sur mon problème de collant et j'ai oublié le reste de ma tenue. Mais seulement jusqu'à ce que je sente le regarde de Matt sur ma poitrine. Le souffle coupé, je réalise que mes seins sortent presque de mon chemisier. Mon soutien-gorge noir est bien visible. Je dois résister à l'envie de fourrer mes gros seins dans mon chemisier et le reboutonner. Ma nervosité augmente de plus en plus tandis que le string inversé taquine sans merci mon clitoris.
Alors que je cherche désespérément le fichier sur l'ordinateur de Justin, je fais de mon mieux pour paraître détendue. Mais je dois rester dans cette position inconfortable. Et chaque seconde passée dans cet état me semble une heure.
Quand enfin je trouve le fichier, je le montre à Justin. Puis rapidement je me détourne et je quitte l'espace des stagiaires. Leurs regards lubriques s'accrochent à mes fesses jusqu'à ce que je disparaisse de leur vue. Dans le couloir, je les entends jaser. Et bien sûr, je suis le principal sujet de conversation avec ma, tenue débraillée.
- Waouuuhhh ! Vous avez vu ça ! Ça devrait être l'uniforme obligatoire pour les femmes d'affaire. S'exclame Matt.
- Hahahha ! Je parie qu'il s'agit d'une stratégie pour sa carrière. Plaisante Justin.
- je dois dire qu'elle a trois qualités professionnelles : un cul d'enfer, des seins à ressusciter un mort, et une tenue de vraie cochonne. Ajoute Taylor en riant.
Je peux entendre leurs railleries tout au long du couloir. Merde ! Les commérages commencent. Je vais perdre toute crédibilité en tant que directrice dans la société. Il faut que ça s'arrête très vite. Cette fois, il s'agit seulement des stagiaires, mais c'est déjà bien assez grave.
Finalement, quand je reviens à mon bureau à l'étage supérieur, j'ai l'impression de laisser une longue traînée humide de jus de chatte sur le sol. Mon sexe me démange et me picote plus qu'une piqûre de moustique.
Daniel prend son temps pour boire son café. Il sait très bien comment me rendre dingue. Il me dit de prendre une gorgée de café et de faire un tour dans le bureau. Je ne suis autorisée à prendre une autre gorgée que lorsque le tour est fini. Et je dois répéter ça jusqu'à ce que ma tasse soit vide. Cela me prend des années, et pendant tout ce temps, mon clitoris est taquiné par le string inversé.
Après le premier tour, je dois exposer mes seins. Daniel me fait tirer le chemiser blanc sur les côtés et me fait sortit mes gros seins juteux hors des bonnets de mon soutien-gorge. Le tour suivant, je dois remonter ma jupe crayon noire sur mes hanches, exhibant ainsi mon collant déchiré et le string à l'envers. Au troisième tour, je dois marcher tout en tirant et tordant mes mamelons.
Je n'arrive pas à croire que je m'expose ainsi dans mon bureau. A tout moment un de mes subordonnés peut frapper à la porte. Pire encore, ORTEGA mon rival pourrait entrer. Je veux quitter le bureau. Je veux envoyer paître Daniel. Mais je ne le fais pas. Après la punition d'hier, je sais qu'il vaut mieux pas que je joue avec lui.
Je transpire à chaque tour, jetant un coup d’œil nerveux vers la porte constamment. Je suis certaine que quelqu'un va entrer et me voir dans cette position obscène. Et en même temps, les picotements sans merci dans ma chatte détournent mon attention. Je suis tellement excitée. Le string est presque sur le point de me faire jouir. Mais ça n'arrive pas. C'est tellement frustrant.
Au bout de cinq tours, j'ai finalement vidé ma tasse. Daniel se lève de mon fauteuil et se dirige vers moi. Il attrape mes gros seins et les serrent fortement. Je tombe presque à genoux sous la force et la stimulation soudaine. Je suis si proche de jouir !
CLAC !
CLAC !
Il vient de donner une claque sur chacune de mes fesses douloureuses avant que je ne bénéficie de mon excitation. Mon cul me brûle et me rappelle la punition d'hier, éloignant l'orgasme. Pourtant ma chatte continue à me démanger furieusement.
- Maintenant, descends et ramène les tasses à la cuisine, les seins à l'air Miss Pute de Bureau. Ordonne subitement Daniel.
En l'entendant, j'ai l'impression que je vais avoir une crise cardiaque. Je ne suis pas loin de m'évanouir. Veut-il vraiment que je passe devant l'espace des stagiaires avec mes seins à l'air et ma jupe retroussée aux hanches. Il n'est pas sérieux ? Je dois vraiment avoir l'air très choquée car mon expression provoque un éclat de rire de mon tourmenteur.
- Tu devrais le faire, ça serait amusant non ?
Mais il ajoute :
- Toutefois, je ne veux pas que quiconque découvre notre arrangement au bureau. C'est trop amusant pour que ça se termine si tôt. Je pense que je vais garder ça pour un autre jour. Il faut que je garde quelque chose dans ma manche non ? Ah ah ah !
Je prends une profonde respiration quand je réalise qu'il est simplement en train de jouer avec moi. Je ne suis qu'une idiote, un jouet pour lui. Mais on ne sait jamais avec ce sale voyou macho…
Bien que Daniel me laisse seule dans mon bureau les heures suivantes, j'ai du mal à me ressaisir. La ficelle frottant mon clitoris ne m'aide pas non plus. Ça me distrait tout le temps. Tous les petits mouvement que je fais se répercutent sur mon clitoris et ça me rend dingue. Mon corps prend le contrôle de mon esprit. Tous mes sens sont concentrés sur la démangeaison dans ma chatte.
Et la règle numéro deux ne m'aide pas non plus. Frustrée, il faut que j'attende trois heures pour prendre une pause et jouer avec mon sexe pendant cinq minutes. Et quand le moment vient, je suis tellement excitée que j'ai du mal à me forcer à ne pas jouir.
A la fin de la journée de travail, je mijote dans mon jus. Je n'ai jamais été aussi excitée auparavant. Chaque petit contact sur mon corps est comme une décharge électrique. L'envie de me toucher est hypnotisant.
Une fois de plus, je me retrouve à désirer que Daniel entre dans mon bureau. Je ne l'ai pas encore fait éjaculer aujourd'hui et il ne va pas manquer ça non ? Je suis presque prête à descendre chez les stagiaires pour lui demander de remonter avec moi. Cependant, je ne laisserai pas à ce jeune latino avoir cette victoire. Ça ressemblerait trop à une reddition totale. Je suis son petit animal de bureau soumis mais je ne veux pas devenir une vraie salope rampant pour avoir sa queue.
Encore une fois, l'heure de quitter le bureau arrive et Daniel n'est pas encore revenu. Je n'en peux plus. J'ai besoin de me calmer. Alors je vais dans les toilettes femme et je m'asperge le visage d'eau froide, ce qui m'aide un petit peu.
Au retour dans mon bureau, le latino est assis dans mon fauteuil et me salue avec son sourire arrogant.
- Comment vas-tu Miss Pute de Bureau ? Me demande-t-il.
Il peut voir que je ne vais pas bien. Il peut voir mon excitation. Pourtant il veut que je le dise bien clairement. J'essaie d'éviter tout contact visuel car je suis trop gênée pour admettre mon état. Mais il ne fait rien, attendant que je réponde. C'est trop dur pour moi à supporter. Je peux à peine rester debout. Je suis prise de vertiges.
- Monsieur, aidez-moi ! S'il vous plaît Monsieur, laissez votre Pute de Bureau jouir.
Je lâche ces mots malgré moi et je sens une vague de honte pour cette vulgarité. Daniel se moque de moi :
- Qu'est-ce que tu dis ? Mme ADDAMS suppliant de pouvoir jouir comme une salope facile ? Tu imagines ça ? Tu crois que tu mérites un orgasme ?
Je le supplie maintenant, disant tout ce qui me vient à l'esprit :
- S'il vous plaît Monsieur Daniel ! Je vous servirai volontiers. S'il vous plaît, laissez-moi être votre animal de compagnie. Laissez-moi être votre sac à foutre ! S'il vous plaît !
Mon Dieu ! Je crois que les derniers morceaux de fierté et de respect pour moi me quittent. Je supplie sans vergogne un jeune latino en lui promettant de le servir 24 heures sur 24. Mon excitation contrôle complètement mes pensées.
- Va chercher la règle alors. Et fais-toi jouir avec ! Dit alors Daniel.
Mon estomac se nouer. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. Je dois utiliser l'instrument de ma punition pour m'aider à jouir. C'est vraiment humiliant. Mon stagiaire l'a utilisé pour me battre et maintenant je dois l'utiliser pour me soulager. Une voix dans ma tête crie pour que je résiste. Mais c'est beaucoup trop tard, je suis submergée par les sensations lancinantes de ma chatte.
Mon esprit est trop embrumé pour réaliser sur l'instant. Mais après y avoir réfléchi, l'utilisation de la règle comme jouet de plaisir est une autre étape dans l'abandon total à Daniel. Ça relie ma soumission à mon plaisir. Et à chaque fois que je regarderai le bracelet en argent, je ressentirai une pincée de plaisir mélangée à ma soumission.
Prenant la règle dans ma main, je m'accroupis, le dos tourné à la porte. Je remonte bien ma jupe noire aux hanches, présentant mon collant déchiré et mon string inversé à Daniel. Les jambes écartées, je pousse la ficelle sur le côté pour dégager ma chatte rasée et brillante. Enfin, je pousse la règle contre mon clitoris palpitant.
- OOOOOHHHH !
Je gémis et je mords rapidement mon avant-bras gauche pour étouffer mes gémissements. C'est tellement bon. C'est exactement ce dont j'ai besoin, aussi dégradant soit-il et quel que soit l'instrument.
Mes jambes tremblent follement et je mordille mon avant-bras pour me taire. Le danger de voir un collègue entrer et m'interrompre est complètement oublié.
Je colle la règle dans ma chatte pour remplir mon désir ardent avec quelque chose. Mes petites lèvres sont tendues sur le bord en bois de la règle pendant que je la force dans et hors de mon ventre. Je sors mon bras gauche de ma bouche pour commencer à frotter mon clitoris.
C'est rapide ! J'explose d'extase pure. L'orgasme me frappe si fort que je glisse sur mes pieds et que je tombe sur le cul. Mes jambes toujours écartées, mon jus jaillit de ma chatte qui se contracte et mouille mes mains et mes jambes. Je viens d'avoir un puissant orgasme dans mon bureau alors que ma tête nage dans le bonheur. Quelle salope facile suis-je !
Daniel applaudit doucement et moqueusement ma prestation alors que je me remets de ma jouissance. Et je redeviens consciente de mon environnement. Je suis assise cul nu sur le sol de mon bureau alors que des collègues se promènent dans le couloir. Tout d'un coup je suis terriblement gênée. Comment ai-je pu laisser cela aller si loin ? Comment puis-je me soumettre à mes besoins si facilement ?
- Il est temps pour toi de faire ton boulot Miss Pute de Bureau.
Daniel me rappelle que j'ai une tâche à accomplir. Il a déjà sorti sa bite bien dure de son pantalon. Le danger de voir des collègues entrer dans mon bureau me rend hésitante. Toutefois mon stagiaire vient de me permettre d'avoir l'orgasme le plus fantastique de tous les temps, donc il est juste que je le remercie n'est-ce pas ? Lentement je me relève, ma jupe noire toujours retroussée à la taille et je me dirige vers mon tourmenteur assis sur le fauteuil de mon bureau.
- Allez petite salope, montre-moi tes seins ! Ordonne-t-il quand je suis devant lui.
Je pousse les pans de mon chemisier sur les côtés pour bien exposer mon soutien-gorge en dentelle noire. Saisissant les bonnets, je les abaisse pour libérer mes gros nichons. Mes mamelons se tiennent droits et fiers.
- Prépare ma bite pour ta chatte et tourne ton cul vers la porte. Commande-t-il ensuite.
Une fois encore, il s'amuse de moi et de mes peurs. Il sait à quel point je redoute que quelqu'un soit témoin de mon comportement soumis au travail. Donc il joue avec ça.
Néanmoins, je me plie avec obéissance à sa volonté. Je me penche en avant jusqu'à ce que mon visage plane au-dessus de sa queue. Et en même temps, j'écarte mes petites lèvres avec les mains, exposant obscènement mon sexe à la porte, alors que mes gros seins pendent sous moi.
Daniel a complètement sorti son engin et ses couilles. Je sais ce qu'il veut alors je commence à glisser une de ses couilles dans ma bouche et je la lèche avidement. Tandis que je m'applique sur ses boules, le latino s'amuse à frapper mon visage avec sa grosse queue tendu. Il s'agit d'un rappel humiliant de la façon dont je me suis giflée pour lui hier. Puis il semble prêt pour la phase suivante alors il me dit :
- Allez petite pute, monte sur ma queue. Mais d'abord tourne-toi vers la porte pour accueillir tes collègues.
Sa moquerie m'envoie un frisson de peur dans le dos. Nous approchons de l'heure de la débauche. O'BANNON et ORTEGA peuvent partir à tout moment. Et s'ils passent la tête par la porte pour me dire au revoir ?
Je n'ai pas l'occasion de dire quelque chose. Daniel agrippe mes hanches et me retourne. Face à la porte, ma grosse poitrine sortant de mon chemisier blanc, j'écarte mes jambes et je chevauche le jeune garçon, abaissant lentement ma chatte sur sa bite.
Je sens son membre fendre mes petites lèvres et commencer à pénétrer mon intimité. Je suis si humide que la barre de chair glisse facilement à l'intérieur. Cette introduction est délicieuse si bien que rapidement je plie les genoux et je fait monter et descendre ma chatte sur la grosse queue.
Bougeant sur la grosse bite, un bruit à l'extérieur me surprend. J'entends des pas assez lourds dans le couloir. Ça doit être O'BANNON qui part. Je retiens mon souffle alors qu'inconsciemment je continue à me soulever jusqu'à ce que le sexe de Daniel soit sur le point de sortir avant de retomber dessus pour qu'il s'enfonce complètement dans mon ventre. Comme je suis une des numéros deux de l'entreprise, il ne serait pas étonnant que le PDG vienne me dire au revoir.
- Agite ta poitrine vers la porte salope !
Il semble que Daniel ait senti ma nervosité. Je gémis de désespoir, mais je prends mes seins en coupe. Et je bouge mes mains pour faire tressauter mes gros nichons. C'est absolument ridicule de faire bouger ma poitrine devant la porte.
Tout en obéissant au jeune latino, j'entends le bruit des pas dans le couloir devenir de plus en plus fort. Ils se rapprochent de mon bureau. Et soudain ils s'arrêtent complètement. O'BANNON doit être debout devant ma porte. Dans un instant il va l'ouvrir et il va assister à la scène orgiaque. Toute ma carrière va finir dans un battement de cœur.
Je voudrais glisser des jambes de Daniel et me cacher derrière mon bureau, mais ce macho me saisit fermement les hanches pour me retenir en place. Je ne peux que me préparer à l'inévitable pendant que je continue à chevaucher le membre de mon stagiaire et à secouer ma grosse poitrine laiteuse. J'ai fait tout ce qu'il voulait pour sauver ma carrière et bientôt tout va être fini. Toutes les humiliations que j'ai subies n'ont servi à rien, à l’exception des orgasmes fantastiques que j'ai ressentis.
Soudain, j'entends des voix derrière la porte. Je n'arrive pas à reconnaître les voix, mais il doit s'agir d'ORTEGA qui s'adresse à O'BANNON. Ils doivent discuter avant de quitter l'entreprise juste devant ma porte de bureau. Ils vont me voir tous les deux s'ils ouvrent la porte pour me dire au revoir.
A ce moment précis, Daniel tire fortement sur mes hanches tout en soulevant ses fesses pour m'empaler plus profondément sur sa queue. Je sens sa bite palpiter et décharger son sperme dans mon ventre. Ce macho arrogant laisse échapper un grognement grave et lent qui me fait retenir mon souffle. Les deux hommes discutent encore dans le couloir. Ils l'ont peut-être entendu gémir ? Tandis que ma chatte trait la queue de Daniel, j'essaie de me concentrer sur la conversation derrière la porte. Comme elle continue, je comprends qu'ils n'ont rien entendu.
Après avoir fini d’éjaculer dans mon vagin, le jeune latino me repousse doucement de ses genoux. Je tombe sur le sol et je sens le sperme sortir de mon sexe. Je suis à genoux les seins à l’air quand l’inévitable se passe. La porte du bureau s’ouvre.
Nooooooonnnnnnn !
Ça ne peut pas arriver ! Pas maintenant ! Pas comme ça !
Totalement paralysée par la frayeur, je regarde la porte s’ouvrir au ralenti. Deux hommes entrent. Ils me voient à genoux sur le sol, les seins à l’air
- Hé ! Regarde notre salope de gang ! Prête à servir ! c’est ce que j’appelle une bonne pute.
Oh mon Dieu !
Les deux hommes sont Lucio et Franco, deux voyous copains de Daniel appartenant au gang « LGZ ». Apparemment le petit maigre chauve et le musclé mal rasé sont venus au bureau pour récupérer leur ami. Je suppose que la réceptionniste en bas est déjà rentrée chez elle. Sinon elle n’aurait pas laissé entrer dans l’immeuble ces deux voyous vêtus comme des membres de gang typiques avec des chemises à carreaux et des bandanas.
Cependant, je ne peux pas dire à quel point je suis heureuse de voir ces deux jeunes homes grossiers. N’importe qui est mieux que O’BANNON et ORTEGA. Mon rival et le dirigeant de l’entreprise ne m’ont pas vu. Ma carrière est sauvée pour aujourd’hui, même si le futur est peu engageant, ce que je n’aime pas du tout.
Dès que les deux jeunes latinos ont fermé la porte, ils s’approchent de moi. Se plantant au-dessus de moi, chacun d’eux attrape un de mes gros seins et le secoue et malaxe brutalement.
- Ooooohhhh !
Je ne peux pas m’empêcher de gémir après ce traitement vulgaire.
- Tu es si pressée que ça de mettre tes mains sur nos bites ? Se Moque Lucio.
Sans réfléchir, je hoche la tête. En quelque sorte, je me sens redevable. C’est comme ci ses deux latinos m’avaient évitée d’être prise en flagrant délit de baise au bureau par mes collègues. Ils méritent un cadeau pour les remercier. Putain, Je suis plus que disposée à leur faire la meilleure fellation de leur vie.
Tout en les laissant me tripoter mes gros nichons, je sors leur bite de leur pantalon kaki et je commence à branler chaque queue avec mes mains. Puis je m’avance et je passe mes douces lèvres sur le gourdin de chair de Franco. Je l’avale jusqu’à ce que son gland frappe ma gorge. En bougeant ma bouche de haut en bas, je laisse mes lèvres glisser sur sa queue avec ferveur.
Après l’avoir sucé pendant deux minutes, je laisse la bite de Franco sortir de ma bouche et je m’applique sur celle de Lucio. Alternativement je suce les deux latinos. Toutefois ils veulent plus que ma bouche.
- Va t’appuyer contre la porte salope ! Ordonne Franco en retirant sa queue de ma bouche.
Après avoir été « sauvées » par eux, je suis tellement soumise que je ne pose pas de questions. Je me lève et je me dirige vers la porte, ma jupe retroussée aux hanches, exhibant ainsi mon collant déchiré et du sperme séché qui couvre l’intérieur de mes cuisses.
En plaçant les mains contre la porte, j’écarte les jambes comme un suspect qui va subir une fouille. Un des deux gars s’approche, met son bras autour de ma taille, serre fort et me chuchote à l’oreille :
- Je vais te baiser comme jamais pute de gang ! Tu es notre pute, n’importe où. Je vais profiter de toit sur ton lieu de travail ! Héhéhé !
Ses mots me donnent la chair de poule. Pourtant je gémis quand il fait suivre ses mots d’action. Il glisse sa queue dans ma chatte qui n’offre aucune résistance. Il n’est pas gentil et s’enfonce rudement bien au fond. Il met ses mains sur mes hanches pour bien me tenir pendant qu’il me baise avec violence. J’essaie de me tenir à la porte avec mes mains. Ses coups de rein puissants font rebondir me seins. La chair de mes gros nichons commence à cogner conte le panneau de la porte, produisant un bruit sourd.
BOUM ! BOUM ! BOUM !
Un frisson me parcoure le dos quand je comprends que ce tambourinement peut être entendu du couloir. Après tout, je ne sais pas si O’BANNON et ORTEGA ont quitté le bureau ou sont toujours là. Mais je ne peux pas résister à l’assaut de Franco. Après avoir été excitée si longtemps, mon corps est content d’avoir une deuxième bite en lui de la journée. Malgré mon orgasme précédent avec la règle, mon corps s’embrase à nouveau.
Martelant ma chatte à un rythme effréné, Franco ne peut tenir très longtemps. Avec un grognement bruyant, il tire sa bite de mon sexe et le pointe vers mon cul. Il éjacule en jets puissants et répand son sperme sur mes fesses, tachant complètement mon collant noir.
Dès qu’il s’écarte, Lucio prend la place. Il attrape mes épaules et me retourne. En me soulevant avec ses bras puissants, il empale ma chatte dégoulinante sur son pieu dressé. J’enroule mes jambes autour de sa taille pendant qu’il commence à me pilonner contre la porte fermée. Ça fait de nouveau un bruit sourd chaque fois qu’il m’empale et frappe mon cul contre la porte
Mais le bruit est plus fort qu’avant. Et donc, le danger de me faire prendre encore plus grand.
Pourtant, je ne peux que me mordre les lèvres pour m’empêcher de gémir bruyamment pendant que mon corps profite de chaque poussée dans ma chatte.
BOUM ! BOUM ! BOUM !
- C’est un bruit étrange non ?
Mes yeux s’ouvrent lorsque j’entends la voix de O’BANNON dans le couloir. Cette fois, c’est bien lui, il n’y a aucun doute à ce sujet. J’ai bien reconnu sa voix.
- Peut-être que Mme ADDAMS est en train de redécorer son bureau au lieu de travailler.
La voix d’ORTEGA résonne dans le couloir, décrivant tout son antipathie pour moi.
Merde ! Merde ! Merde !
Ils ont entendu le bruit ! Et ils sont sûrement sur le point de vérifier ce que je suis en train de faire dans mon bureau. Ils vont entrer d’un moment à l’autre. Mon pire cauchemar devient réalité. J’avais été sauvée , mais ça n’a pas duré longtemps.
J’enfonce mes doigts dans le dos de Lucio et je fais de mon mieux pour que mes fesses ne claquent pas contre la porte. Je dois arrêter ce bruit à tout prix.
BOUM ! BOUM ! BOUM !
Le latino est trop fort pour moi, je ne suis qu’un chiffon dans ses bras. Il continue à me baiser sauvagement et ma chatte réagit de manière complètement contraire à ce que mon esprit veut. Elle commence à se contracter et un orgasme majeur éclate dans mon corps
Je jouis alors que mon rival et mon directeur écoutent le bruit de mon cul qui tape contre la porte de mon bureau, et que je me fais baiser par un voyou latino. Cette seule idée me fait rougir de honte.
- Et bien, vous avez sûrement raison. Elle doit réorganiser son bureau. Ce n’est pas important. Je suis en retard, je dois partir.
Dans le brouillard de mon orgasme, j’entends au loin la voix de O’BANNON. Et ORTEGA répond sur un ton dédaigneux :
- Oui, je me fiche de la façon dont Mme ADDAMS aménage son bureau. En tant que manager, seul la qualité des performances est prise en compte.
Peu de temps après j’entends leurs pas. Ils s’éloignent de mon bureau. Les deux hommes quittent la société sans vérifier ce qui fait les bruits. Je souffle de soulagement.
Au moment où la tension retombe, un autre orgasme me frappe de plein fouet. Tout danger disparu, mon corps s’est abandonné au plaisir. Ma chatte se resserre sur la bite de Lucio si fermement qu’il se libère. Tout en me poignardant avec sa queue, il gicle son foutre tout au fond de mon antre, tout en me tenant fermement.
Quand finalement il me lâche, je tombe à genoux sur le sol. Sans que l’on me le demande, j’embrasse les deux bites et je lèche nos secrétions jusqu’à ce que les deux membres soient propres. Daniel et ses deux copains sont partis depuis longtemps alors que je suis encore assise à mon bureau et que je me nettoie.
De retour à la maison, je suis consternée par ce que j’ai fait. J’ai à peine lutté au bureau pour résister au chantage de Daniel. J’ai perdu ma volonté et j’ai cédé complètement à la domination de mon stagiaire. Pire encore, j’ai été soumise à mon travail, et, à mon grand embarras, j’ai eu un fantastique orgasme.
Mon plaisir sexuel dans mon bureau avait été si important que j’en avais perdu toute raison. Il avait fallu un certain temps pour que le brouillard se dissipe. Cependant, plus je retrouvais mes esprits, plus j’étais honteuse de mon comportement. J’étais encore en train de m’habituer avec ma nature soumise. Mais mon envie d’être abusée comme une salope pas chère, d’être traitée comme une pute et d’être ridiculisée pas des voyous de classe inférieure me trouble.
Intérieurement, je sens une partie de moi prête à embrasser ma deuxième nature et d’en jouer aussi longtemps qu’elle reste dans ma vie privée. Mais pas au travail ! Ça me gêne de voir à quel point je me suis soumise à l’endroit où je suis censée être une patronne. Et encore plus, je suis effrayé de me rendre compte à quel point j’ai failli me faire découvrir par mon patron après seulement une seule journée.
Quand je me couche, j’ai la certitude de ne pas laisser ça se reproduire de nouveau. J’ai peur de me perdre et je ne veux pas accepter ça. C’est une chose d’agir comme une chienne facile le week-end, mais c’est une chose différente d’être une bimbo et une putain au travail. Je suis une dirigeant d’entreprise avec un avenir prometteur. Je peux devenir PDG de l’entreprise après tout.
Je suis responsable du désordre que j’ai créé. Il faut que je résiste pendant les semaines restantes du stage de Daniel et que je réduise les dégâts. Mais il faut surtout que je m’assure que ça ne va plus m’affecter.
A suivre…
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