Juge Kimmy- récit érotique domination soumission viol chantage Interracial
Traduction d'un récit de Doctor_devon.
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Au tour du petit ami.
Cette partie du récit est tirée de la tête d'Éric, le petit ami de Kimmy.
Ma mâchoire me fait mal après avoir été baisée par une grosse bite noire pendant plusieurs minutes. J'ai tout fait pour ne pas être étouffé. Comment diable suis-je arrivé à cette situation? Moi, un homme blanc d'âge moyen avec une bonne carrière professionnelle et une petite amie régulière? Comment en suis-je arrivé là et pourquoi ma bite est si raide?
Mes pensées me ramènent plus tôt dans la journée chez moi quand je reçois un colis. Il n'y a pas d'adresse d'expéditeur dessus. Je l'ouvre et je remarque qu'il y a une enveloppe et une bande vidéo. Sur l'enveloppe est marqué « Voir d'abord la vidéo ». Je glisse la cassette dans le magnétoscope que j'ai gardé dans ma chambre. Dire que j'ai failli le jeter quand j'ai acheté des lecteurs de DVD. L'image apparait et je sens mon pouls accélérer. Sur l'écran, il y a ma petite amie Kimmy. Elle est nue, couverte de ce qui semble être du sperme et elle regarde la caméra. De chaque côté d'elle, il y a un homme noir et elle a leurs bites dans chacune de ses mains. Alors que cette image me brûle les yeux, Kimmy parle à la caméra :
- Pour celui qui regarde, je suis une salope, une vraie salope pour les bites des noirs.
Je n'arrive pas à décider ce que je dois faire alors que sur l'écran, elle commence à sucer une des queues noires tout en continuant de branler l'autre. Je me dis qu'il faut que j'éteigne cette horreur, mais quelque en moi veux...non, a besoin de voir. C'est alors que je réalise que je bande.
La colère, la confusion, le sentiment d'être trahi me frappe tous à la fois. Je repense à tous ces rendez-vous remis ces derniers mois. Je pense au nombre de fois où, quand nous étions seuls, elle trouvait une excuse pour de pas vouloir de rapports sexuels avec moi.
Tandis que je suis plongé dans mes pensées, l'énorme bite qu'elle suce avidement explose et gicle de nouvelles charges de sperme sur son visage déjà souillé. Elle ne pers pas de temps et se tourne vers la bite qu'elle masturbe et elle la glisse dans sa bouche. La caméra fait un gros plan puis descend le long du corps de ma petite amie. Je regarde fixement l'écran et je vois qu'elle se masturbe en suçant ces blacks.
Une vague d'humiliation me traverse. J'ai envie de pleurer, mais j'ai besoin d'autre chose. Mon sexe, pour des raisons que je ne comprends pas, est complétement érigé. Je me déshabille et je m'assois sur mon lit en continuant de regarder l'amour de ma vie sucer une grosse bite noire. J'ai besoin de me libérer tout de suite. Je commence à me masturber, mes yeux fixés sur l'écran. Je pense à mon bébé qui sert de putains à des hommes noirs et que j'aime ça, assis à la maison, caressant ma queue qui est clairement plus petite que celles des deux hommes dans la vidéo.
A ce moment-là, le deuxième homme jouit. Il tient Kimmy par l'arrière de sa tête pour lui faire tout avaler. La quantité doit être énorme car je remarque que ça dégouline à la commissure de ses lèvres et elle a l'air d'être sur le point d'étouffer. Au même moment je me rends compte d'une chose que je connais bien, Kimmy un orgasme. Cela m'excite à l'extrême et moi aussi je jouis. Je tombe en arrière sur le lit, mes jets de sperme sont si forts que certains atterrissent sur mon visage et ma poitrine. Je ne me souviens pas avoir joui aussi fort dans ma vie. Je reste allongé, me masturbant lentement pour faire sortir la dernière goutte. J'entends ma petite amie parler à nouveau :
- Mon Dieu, j'ai besoin de plus, s'il vous plaît, donnez-moi plus de queues noires!
La fin du film arrive sur ces mots. Je ne regarde plus la télé. Je reste sans bouger et je pense à tout ça. Je remarque que je bande encore et c'est peut-être pour ça que l'humiliation me fait faire ce que je fais ensuite. Je tends la main et ramasse mon sperme sur mon visage pour le lécher ensuite. Ce n'est pas une chose que je fais d'habitude et ça a un effet imprévu : Avec ma main libre je ramasse le sperme sur ma poitrine et ma bite pour l'avaler. Mon autre main recommence à caresser ma bite encore dure. Ces images de ma petite amie baisée par des blacks, l'humiliation de ce que je fais et le goût de mon sperme m'excite au plus haut point. Si bien que j'éjacule à nouveau. Mais qu'est-ce qui ne va pas avec moi? Pourquoi fais-je ça?
Je vais à la salle de bain et je prends une douche la plus chaude que je puisse supporter. Je me brosse les dents. Je remarque que ma bite n'a pas encore débandé. Après m'être séché, je retourne dans ma chambre et je regarde l'enveloppe. Je l'ouvre. A l'intérieur se trouve un simple morceau de papier qui dit : « Vous voulez en savoir plus? Rendez-vous ce soir à 19h00. »
Il y a une adresse qui semble être celle d'un motel. Je pose la feuille sur ma table de nuit et je m'endors rapidement alors que le déroulé de ce qui vient de se passer tourne dans ma tête.
Lorsque je me réveille, il me semble que tout ce qui s'est passé était un rêve. Mais la feuille sur ma table de nuit me dit le contraire. Mon sexe est en érection et je n'y fais pas attention.
J'ai une boule au creux de l'estomac et j'ai besoin de voir Kimmy. Je dois lui demander ce qui se passe. C'est alors que je remarque l'heure : 18 heures, juste assez de temps pour aller au motel. Mais ai-je envie d'y aller? Je me pose la question pendant que je m'habille. Puis je me dirige vers la porte. Mon premier souhait est d'aller voir Kimmy. Je m'en fous de celui qui m'a envoyé la bande, j'ai besoin de voir Kimmy.
Lorsque j'arrive chez elle, je remarque une voiture garée devant, une voiture que je n'ai jamais vue. Combien de fois est-ce arrivé sans que je le remarque? Mon cœur bat très fort alors que je fais le tour de la maison plutôt que d'aller à la porte d'entrée. Kimmy a une grande terrasse à l'arrière avec une grande baie vitrée qui donne sur son salon. Je sais qu'il n'y a pas de rideau et je veux voir si elle est seule. Je sais que j'aurais dû frapper.
Même si j'étais préparé un petit peu, je ne m'attendais vraiment pas à ce que je voie. Dans son salon, Kimmy est penchée sur le dos de son canapé et se fait baiser par un black. Je peux clairement voir l'expression de plaisir sur son visage. Je me positionne de façon à bien tout voir tout en restant invisible à moins qu'une personne ne vienne vers la baie vitrée. J'ai pensé retourner à l'entrée pour la prendre sur le fait mais mon corps me fait réagir autrement. Je constate que je bande de nouveau.
Je ressens encore un sentiment d'humiliation lorsque je me rappelle que Kimmy a annulé notre rendez-vous de ce soir soi-disant parce qu'elle devait travailler. Mon besoin de me libérer est encore plus intense qu'avant, alors je sors ma bite de mon pantalon et je commence à me masturber. Bien que les sons soient étouffés, je peux entendre ce qui se passe dans le salon.
- Tu aimes ma grosse bite noire n'est-ce pas salope?
- Oui s'il te plaît, baise-moi plus fort, viole ma chatte!
Je ne peux croire que ces mots sortent de la bouche de ma copine si pudique. Elle n'a jamais agi de la sorte avec moi. Je pousse mon pantalon sur mes chevilles tandis que l'humiliation de pouvoir être vu m'assaille. Je sens que je vais jouir bientôt même si un certain malaise me tord les tripes. Mais je ne peux pas arrêter ou tourner le regard.
Soudainement l'homme noir sort d'elle, la retourne et la pousse à genoux. C'est la première fois que je vois sa bite. Mon Dieu, elle doit bien faire 25 centimètres. La mienne à côté ressemble à une saucisse de hot-dog bon marché. Il commence à éjaculer, recouvrant le visage de ma petite amie de son foutre. Elle en attrape un peu dans sa bouche puis rapidement elle engouffre le gourdin pour le sucer. Ça suffit pour me faire jouir sur le sol devant moi. Une partie de mon sperme resta dans mes doigts et inconsciemment je lève la main vers ma bouche. Pour la deuxième fois de la journée, je lèche mon propre sperme. Mon humiliation augmente alors que je pense que c'est mon foutre.
Je remonte rapidement mon pantalon et je rejoins ma voiture. Il est presque 19 heures. J'ai encore le temps de me rendre à l'adresse donnée. Il faut que j'y aille pour savoir ce qu'il se passe avec Kimmy. Et il faut que je comprenne pourquoi je réagis ainsi.
Je suis devant la porte de la chambre du motel. J'ai froid. J'ai autant envie de frapper à la porte que de retourner dans ma voiture et partir très vite.
Mais soudain, la porte s'ouvre et un homme noir apparait. Il dit simplement :
- Tu vas rester là toute la nuit ou tu viens à l'intérieur?
J'entre. Sans un mot l'homme allume un magnétoscope dans la chambre. Sur l'écran je vois apparaître Kimmy mais c'est différent de la vidéo de ce matin. Elle est baisée par cinq blacks et elle a l'air d'aimer ça.
- C'est quoi ce bordel? Demandé-je.
Les minutes suivantes, un flot d'informations me submerge, je ne sais même pas si je comprends tout. Je saisis quand même l'histoire du chantage de Kimmy et sa participation maintenant volontaire comme salope à blacks. Je me sens malade et je veux vomir. Puis je suis horrifié de sentir ma bite remuer dans mon pantalon.
Le noir qui m'a seulement donné « Devon » comme nom m'explique que tant que Kimmy obéit à ses ordres, elle est à l'bri de toute divulgation au public. Son destin est entre ses mains. Puis il m'indique qu'il a besoin d'un garçonnet blanc pour certains de ses clients et que j'ai le choix entre me soumettre à ses demandes ou la vie de ma petite amie ruinée.
J'aurais voulu lui faire avaler ses mots. Pendant un moment je pense même à laisser Kimmy à sa nouvelle vie, laisser cette salope obtenir ce qu'elle mérite. Cependant je réfléchis et je me dis qu'elle n'est peut-être pas aussi disposée qu'il le dit. Peut-être qu'elle est simplement prise au piège, terrifiée à l'idée d'être exposée au public et même emprisonnée pour son implication. Tandis que toutes ces idées me traversent la tête, j'entends la porte s'ouvrir derrière moi.
Je suis éberlué quand je vois l'homme, qui, quelques temps plus tôt, baisait ma petite amie, franchir la porte avec un sourire suffisant sur le visage.
- C'est ta seule chance! Dit Devon.
- Que veux-tu de moi? dis-je faiblement.
Le deuxième homme sourit encore plus largement alors que Devon m'explique qu'il est un de ses clients, un bisexuel qui aime baiser des couples. Je sens ma bite réagir à ces propos. Merde, pourquoi mon corps réagit à cette humiliation. Le deuxième homme avance vers moi.
- Alors, est ce que tu es prête petite chienne? Dit-il simplement.
Je me sens faible et vaincu. Pire encore, j'ai l'impression que quelque chose en moi veut cela. Le visionnage de la bande, puis voir Kimmy sucer cet homme enfin le fait que j'avais avalé mon propre sperme me frappe instantanément et je réalise que ma bite est raide debout.
- Que voulez-vous que je fasse? demandé-je.
Il m'ordonne de me déshabiller. J'obéis et en enlevant mes vêtements j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre. Evidemment les deux noirs remarquent mon érection.
- Regarde Devon, cette petite chienne aime ça? Dit le deuxième homme.
- Je suppose que les salopes qui se ressemblent s'assemblent. Répond Devon en rigolant.
L'autre homme me pousse à genoux et sort sa queue à demi raide de son pantalon. Je constate sue Devon filme les évènements. Une vague d'humiliation me submerge quand le black présente sa queue à ma bouche.
- Suce petite chienne, suce et lèche le jus de ta copine.
Mon humiliation augmente quand je réalise que je suis en train de goûter le jus de ma petite copine sur une grosse bite. Je sens qu'il y a un autre goût, quelque chose qui me rappelle mon sperme que j'ai avalé. Je me rends compte que du liquide pré-éjaculatoire dégouline de la bite qui raidit de plus en plus.
L'homme attrape l'arrière de ma tête et commence à baiser mon visage comme si c'était une chatte. Je peux à peine prendre son sexe en entier dans ma bouche même s'il pousse profondément. Je suis bâillonné et étouffé presque sur le point de vomir. Tout ça a un effet sur moi qui me surprend même si je m'y attendais à moitié. Ma bite me fait mal tellement elle est dure.
On me tire les cheveux et ça me ramène au présent. Le black me regarde dans les yeux alors qu'il sort son gourdin de ma bouche :
- Tu aimes sucer ma grosse bite noire, n'est-ce pas petite chienne.
« Oui » est tout ce que je peux dire.
Il me donne une grande claque du revers de la main. Il y met une telle force que je serais tombé à la renverse s'il ne me tenait pas par les cheveux.
- Oui qui?
- Oui Monsieur.
- Suce ma bite salope, suce ma bite de nègre comme ta pute de petite copine.
Je retourne m'appliquer sur sa bite. Ou plutôt, sa bite est revenue dans ma bouche. Il m'ordonne de jouer avec ma petite bite de blanc. Alors je commence à me masturber. J'ai un peu mal après m'être déjà masturbé deux fois aujourd'hui. Je ne me rappelle m'être déjà masturbé trois fois dans une même journée.
Des vagues d'humiliation remplissent ma tête alors que je pense à la caméra qui enregistre la bite que je suce tout en me masturbant. Puis ça arrive, je sens le sexe de l'homme s'immobiliser pendant qu'il remplit ma bouche de son foutre. J'imaginai qu'il ne jouirait pas beaucoup après avoir baisé ma petite amie mais je me suis trompé. La quantité de sperme est si importante qu'il ressort le long de sa queue pour dégouliner sur mon menton. Et encore, beaucoup de foutre est descendu dans ma gorge. Je sens que je suis sur le point de jouir moi-aussi quand il retire sa bite et m'ordonne de ne plus me masturber.
- Regarde la caméra petite chienne!
Je le fais sans poser de questions.
- Tu aimes être ma salope?
- Oui Monsieur.
- Dis le à tout le monde alors!
Je regarde la caméra que Devon tient. Je ne touche plus ma bite et je peux sentir du liquide pré-éjaculatoire en sortir, même si on me refuse de jouir.
- Je suis une salope! Dis-je humblement.
- Et? Dit-il.
- J'aime sucer les bites de mes maîtres noirs.
Je n'ai aucune idée d'où sortent ces mots mais il semble que ça plait à l'homme. Il m'ordonne de me terminer en fixant l'objectif de la caméra. Ma main saisit ma bite et je me masturbe avec une force que je n'avais jamais déployée auparavant.
- Tu aimes l'idée que l'on baise ta petite amie?
- Oui Monsieur, j'aime ça.
Je réalise que j'ai répondu sans aucune hésitation. Et le plus important c'est que c'est vrai. C'est la dernière humiliation. Je jouis si fort que j'ai mal au sexe. Je gicle plus que je ne l'aurais imaginé et du sperme s'écoule sur mes doigts.
- Mange Chienne!
Il n'avait pas besoin de me le dire. Je lèche avidement mon propre sperme tout en continuant de torturer ma bite en regardant la caméra. Puis Devon éteint celle-ci. Je n'arrête pas de me masturber car on ne m'a dit de le faire. L'homme donne de l'argent à Devon et s'en va.
Devon me regarde et m'explique qu'il m'enverrait des gens qui m'utiliseraient comme ils le voudraient. Il me dit que si je refuse un seul d'entre eux les enregistrements faits de Kimmy seraient rendus publics ainsi que le mien. Il m'ordonne aussi de ne plus voir ma petite amie pour le moment. Puis il me laisse là, jouant avec ma bite à moitié raide.
Quelque chose a été réveillé en moi. Je me demande si c'est la même chose que ressent Kimmy. Je continue à me masturber et quelques minutes plus tard je jouis de nouveau. Cette fois, la douleur est intense mais seulement une petite quantité de foutre est sortie de ma bite. Je n'attends pas pour la manger. Mon Dieu... Que suis-je devenu?
FIN.
Ma mâchoire me fait mal après avoir été baisée par une grosse bite noire pendant plusieurs minutes. J'ai tout fait pour ne pas être étouffé. Comment diable suis-je arrivé à cette situation? Moi, un homme blanc d'âge moyen avec une bonne carrière professionnelle et une petite amie régulière? Comment en suis-je arrivé là et pourquoi ma bite est si raide?
Mes pensées me ramènent plus tôt dans la journée chez moi quand je reçois un colis. Il n'y a pas d'adresse d'expéditeur dessus. Je l'ouvre et je remarque qu'il y a une enveloppe et une bande vidéo. Sur l'enveloppe est marqué « Voir d'abord la vidéo ». Je glisse la cassette dans le magnétoscope que j'ai gardé dans ma chambre. Dire que j'ai failli le jeter quand j'ai acheté des lecteurs de DVD. L'image apparait et je sens mon pouls accélérer. Sur l'écran, il y a ma petite amie Kimmy. Elle est nue, couverte de ce qui semble être du sperme et elle regarde la caméra. De chaque côté d'elle, il y a un homme noir et elle a leurs bites dans chacune de ses mains. Alors que cette image me brûle les yeux, Kimmy parle à la caméra :
- Pour celui qui regarde, je suis une salope, une vraie salope pour les bites des noirs.
Je n'arrive pas à décider ce que je dois faire alors que sur l'écran, elle commence à sucer une des queues noires tout en continuant de branler l'autre. Je me dis qu'il faut que j'éteigne cette horreur, mais quelque en moi veux...non, a besoin de voir. C'est alors que je réalise que je bande.
La colère, la confusion, le sentiment d'être trahi me frappe tous à la fois. Je repense à tous ces rendez-vous remis ces derniers mois. Je pense au nombre de fois où, quand nous étions seuls, elle trouvait une excuse pour de pas vouloir de rapports sexuels avec moi.
Tandis que je suis plongé dans mes pensées, l'énorme bite qu'elle suce avidement explose et gicle de nouvelles charges de sperme sur son visage déjà souillé. Elle ne pers pas de temps et se tourne vers la bite qu'elle masturbe et elle la glisse dans sa bouche. La caméra fait un gros plan puis descend le long du corps de ma petite amie. Je regarde fixement l'écran et je vois qu'elle se masturbe en suçant ces blacks.
Une vague d'humiliation me traverse. J'ai envie de pleurer, mais j'ai besoin d'autre chose. Mon sexe, pour des raisons que je ne comprends pas, est complétement érigé. Je me déshabille et je m'assois sur mon lit en continuant de regarder l'amour de ma vie sucer une grosse bite noire. J'ai besoin de me libérer tout de suite. Je commence à me masturber, mes yeux fixés sur l'écran. Je pense à mon bébé qui sert de putains à des hommes noirs et que j'aime ça, assis à la maison, caressant ma queue qui est clairement plus petite que celles des deux hommes dans la vidéo.
A ce moment-là, le deuxième homme jouit. Il tient Kimmy par l'arrière de sa tête pour lui faire tout avaler. La quantité doit être énorme car je remarque que ça dégouline à la commissure de ses lèvres et elle a l'air d'être sur le point d'étouffer. Au même moment je me rends compte d'une chose que je connais bien, Kimmy un orgasme. Cela m'excite à l'extrême et moi aussi je jouis. Je tombe en arrière sur le lit, mes jets de sperme sont si forts que certains atterrissent sur mon visage et ma poitrine. Je ne me souviens pas avoir joui aussi fort dans ma vie. Je reste allongé, me masturbant lentement pour faire sortir la dernière goutte. J'entends ma petite amie parler à nouveau :
- Mon Dieu, j'ai besoin de plus, s'il vous plaît, donnez-moi plus de queues noires!
La fin du film arrive sur ces mots. Je ne regarde plus la télé. Je reste sans bouger et je pense à tout ça. Je remarque que je bande encore et c'est peut-être pour ça que l'humiliation me fait faire ce que je fais ensuite. Je tends la main et ramasse mon sperme sur mon visage pour le lécher ensuite. Ce n'est pas une chose que je fais d'habitude et ça a un effet imprévu : Avec ma main libre je ramasse le sperme sur ma poitrine et ma bite pour l'avaler. Mon autre main recommence à caresser ma bite encore dure. Ces images de ma petite amie baisée par des blacks, l'humiliation de ce que je fais et le goût de mon sperme m'excite au plus haut point. Si bien que j'éjacule à nouveau. Mais qu'est-ce qui ne va pas avec moi? Pourquoi fais-je ça?
Je vais à la salle de bain et je prends une douche la plus chaude que je puisse supporter. Je me brosse les dents. Je remarque que ma bite n'a pas encore débandé. Après m'être séché, je retourne dans ma chambre et je regarde l'enveloppe. Je l'ouvre. A l'intérieur se trouve un simple morceau de papier qui dit : « Vous voulez en savoir plus? Rendez-vous ce soir à 19h00. »
Il y a une adresse qui semble être celle d'un motel. Je pose la feuille sur ma table de nuit et je m'endors rapidement alors que le déroulé de ce qui vient de se passer tourne dans ma tête.
Lorsque je me réveille, il me semble que tout ce qui s'est passé était un rêve. Mais la feuille sur ma table de nuit me dit le contraire. Mon sexe est en érection et je n'y fais pas attention.
J'ai une boule au creux de l'estomac et j'ai besoin de voir Kimmy. Je dois lui demander ce qui se passe. C'est alors que je remarque l'heure : 18 heures, juste assez de temps pour aller au motel. Mais ai-je envie d'y aller? Je me pose la question pendant que je m'habille. Puis je me dirige vers la porte. Mon premier souhait est d'aller voir Kimmy. Je m'en fous de celui qui m'a envoyé la bande, j'ai besoin de voir Kimmy.
Lorsque j'arrive chez elle, je remarque une voiture garée devant, une voiture que je n'ai jamais vue. Combien de fois est-ce arrivé sans que je le remarque? Mon cœur bat très fort alors que je fais le tour de la maison plutôt que d'aller à la porte d'entrée. Kimmy a une grande terrasse à l'arrière avec une grande baie vitrée qui donne sur son salon. Je sais qu'il n'y a pas de rideau et je veux voir si elle est seule. Je sais que j'aurais dû frapper.
Même si j'étais préparé un petit peu, je ne m'attendais vraiment pas à ce que je voie. Dans son salon, Kimmy est penchée sur le dos de son canapé et se fait baiser par un black. Je peux clairement voir l'expression de plaisir sur son visage. Je me positionne de façon à bien tout voir tout en restant invisible à moins qu'une personne ne vienne vers la baie vitrée. J'ai pensé retourner à l'entrée pour la prendre sur le fait mais mon corps me fait réagir autrement. Je constate que je bande de nouveau.
Je ressens encore un sentiment d'humiliation lorsque je me rappelle que Kimmy a annulé notre rendez-vous de ce soir soi-disant parce qu'elle devait travailler. Mon besoin de me libérer est encore plus intense qu'avant, alors je sors ma bite de mon pantalon et je commence à me masturber. Bien que les sons soient étouffés, je peux entendre ce qui se passe dans le salon.
- Tu aimes ma grosse bite noire n'est-ce pas salope?
- Oui s'il te plaît, baise-moi plus fort, viole ma chatte!
Je ne peux croire que ces mots sortent de la bouche de ma copine si pudique. Elle n'a jamais agi de la sorte avec moi. Je pousse mon pantalon sur mes chevilles tandis que l'humiliation de pouvoir être vu m'assaille. Je sens que je vais jouir bientôt même si un certain malaise me tord les tripes. Mais je ne peux pas arrêter ou tourner le regard.
Soudainement l'homme noir sort d'elle, la retourne et la pousse à genoux. C'est la première fois que je vois sa bite. Mon Dieu, elle doit bien faire 25 centimètres. La mienne à côté ressemble à une saucisse de hot-dog bon marché. Il commence à éjaculer, recouvrant le visage de ma petite amie de son foutre. Elle en attrape un peu dans sa bouche puis rapidement elle engouffre le gourdin pour le sucer. Ça suffit pour me faire jouir sur le sol devant moi. Une partie de mon sperme resta dans mes doigts et inconsciemment je lève la main vers ma bouche. Pour la deuxième fois de la journée, je lèche mon propre sperme. Mon humiliation augmente alors que je pense que c'est mon foutre.
Je remonte rapidement mon pantalon et je rejoins ma voiture. Il est presque 19 heures. J'ai encore le temps de me rendre à l'adresse donnée. Il faut que j'y aille pour savoir ce qu'il se passe avec Kimmy. Et il faut que je comprenne pourquoi je réagis ainsi.
Je suis devant la porte de la chambre du motel. J'ai froid. J'ai autant envie de frapper à la porte que de retourner dans ma voiture et partir très vite.
Mais soudain, la porte s'ouvre et un homme noir apparait. Il dit simplement :
- Tu vas rester là toute la nuit ou tu viens à l'intérieur?
J'entre. Sans un mot l'homme allume un magnétoscope dans la chambre. Sur l'écran je vois apparaître Kimmy mais c'est différent de la vidéo de ce matin. Elle est baisée par cinq blacks et elle a l'air d'aimer ça.
- C'est quoi ce bordel? Demandé-je.
Les minutes suivantes, un flot d'informations me submerge, je ne sais même pas si je comprends tout. Je saisis quand même l'histoire du chantage de Kimmy et sa participation maintenant volontaire comme salope à blacks. Je me sens malade et je veux vomir. Puis je suis horrifié de sentir ma bite remuer dans mon pantalon.
Le noir qui m'a seulement donné « Devon » comme nom m'explique que tant que Kimmy obéit à ses ordres, elle est à l'bri de toute divulgation au public. Son destin est entre ses mains. Puis il m'indique qu'il a besoin d'un garçonnet blanc pour certains de ses clients et que j'ai le choix entre me soumettre à ses demandes ou la vie de ma petite amie ruinée.
J'aurais voulu lui faire avaler ses mots. Pendant un moment je pense même à laisser Kimmy à sa nouvelle vie, laisser cette salope obtenir ce qu'elle mérite. Cependant je réfléchis et je me dis qu'elle n'est peut-être pas aussi disposée qu'il le dit. Peut-être qu'elle est simplement prise au piège, terrifiée à l'idée d'être exposée au public et même emprisonnée pour son implication. Tandis que toutes ces idées me traversent la tête, j'entends la porte s'ouvrir derrière moi.
Je suis éberlué quand je vois l'homme, qui, quelques temps plus tôt, baisait ma petite amie, franchir la porte avec un sourire suffisant sur le visage.
- C'est ta seule chance! Dit Devon.
- Que veux-tu de moi? dis-je faiblement.
Le deuxième homme sourit encore plus largement alors que Devon m'explique qu'il est un de ses clients, un bisexuel qui aime baiser des couples. Je sens ma bite réagir à ces propos. Merde, pourquoi mon corps réagit à cette humiliation. Le deuxième homme avance vers moi.
- Alors, est ce que tu es prête petite chienne? Dit-il simplement.
Je me sens faible et vaincu. Pire encore, j'ai l'impression que quelque chose en moi veut cela. Le visionnage de la bande, puis voir Kimmy sucer cet homme enfin le fait que j'avais avalé mon propre sperme me frappe instantanément et je réalise que ma bite est raide debout.
- Que voulez-vous que je fasse? demandé-je.
Il m'ordonne de me déshabiller. J'obéis et en enlevant mes vêtements j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre. Evidemment les deux noirs remarquent mon érection.
- Regarde Devon, cette petite chienne aime ça? Dit le deuxième homme.
- Je suppose que les salopes qui se ressemblent s'assemblent. Répond Devon en rigolant.
L'autre homme me pousse à genoux et sort sa queue à demi raide de son pantalon. Je constate sue Devon filme les évènements. Une vague d'humiliation me submerge quand le black présente sa queue à ma bouche.
- Suce petite chienne, suce et lèche le jus de ta copine.
Mon humiliation augmente quand je réalise que je suis en train de goûter le jus de ma petite copine sur une grosse bite. Je sens qu'il y a un autre goût, quelque chose qui me rappelle mon sperme que j'ai avalé. Je me rends compte que du liquide pré-éjaculatoire dégouline de la bite qui raidit de plus en plus.
L'homme attrape l'arrière de ma tête et commence à baiser mon visage comme si c'était une chatte. Je peux à peine prendre son sexe en entier dans ma bouche même s'il pousse profondément. Je suis bâillonné et étouffé presque sur le point de vomir. Tout ça a un effet sur moi qui me surprend même si je m'y attendais à moitié. Ma bite me fait mal tellement elle est dure.
On me tire les cheveux et ça me ramène au présent. Le black me regarde dans les yeux alors qu'il sort son gourdin de ma bouche :
- Tu aimes sucer ma grosse bite noire, n'est-ce pas petite chienne.
« Oui » est tout ce que je peux dire.
Il me donne une grande claque du revers de la main. Il y met une telle force que je serais tombé à la renverse s'il ne me tenait pas par les cheveux.
- Oui qui?
- Oui Monsieur.
- Suce ma bite salope, suce ma bite de nègre comme ta pute de petite copine.
Je retourne m'appliquer sur sa bite. Ou plutôt, sa bite est revenue dans ma bouche. Il m'ordonne de jouer avec ma petite bite de blanc. Alors je commence à me masturber. J'ai un peu mal après m'être déjà masturbé deux fois aujourd'hui. Je ne me rappelle m'être déjà masturbé trois fois dans une même journée.
Des vagues d'humiliation remplissent ma tête alors que je pense à la caméra qui enregistre la bite que je suce tout en me masturbant. Puis ça arrive, je sens le sexe de l'homme s'immobiliser pendant qu'il remplit ma bouche de son foutre. J'imaginai qu'il ne jouirait pas beaucoup après avoir baisé ma petite amie mais je me suis trompé. La quantité de sperme est si importante qu'il ressort le long de sa queue pour dégouliner sur mon menton. Et encore, beaucoup de foutre est descendu dans ma gorge. Je sens que je suis sur le point de jouir moi-aussi quand il retire sa bite et m'ordonne de ne plus me masturber.
- Regarde la caméra petite chienne!
Je le fais sans poser de questions.
- Tu aimes être ma salope?
- Oui Monsieur.
- Dis le à tout le monde alors!
Je regarde la caméra que Devon tient. Je ne touche plus ma bite et je peux sentir du liquide pré-éjaculatoire en sortir, même si on me refuse de jouir.
- Je suis une salope! Dis-je humblement.
- Et? Dit-il.
- J'aime sucer les bites de mes maîtres noirs.
Je n'ai aucune idée d'où sortent ces mots mais il semble que ça plait à l'homme. Il m'ordonne de me terminer en fixant l'objectif de la caméra. Ma main saisit ma bite et je me masturbe avec une force que je n'avais jamais déployée auparavant.
- Tu aimes l'idée que l'on baise ta petite amie?
- Oui Monsieur, j'aime ça.
Je réalise que j'ai répondu sans aucune hésitation. Et le plus important c'est que c'est vrai. C'est la dernière humiliation. Je jouis si fort que j'ai mal au sexe. Je gicle plus que je ne l'aurais imaginé et du sperme s'écoule sur mes doigts.
- Mange Chienne!
Il n'avait pas besoin de me le dire. Je lèche avidement mon propre sperme tout en continuant de torturer ma bite en regardant la caméra. Puis Devon éteint celle-ci. Je n'arrête pas de me masturber car on ne m'a dit de le faire. L'homme donne de l'argent à Devon et s'en va.
Devon me regarde et m'explique qu'il m'enverrait des gens qui m'utiliseraient comme ils le voudraient. Il me dit que si je refuse un seul d'entre eux les enregistrements faits de Kimmy seraient rendus publics ainsi que le mien. Il m'ordonne aussi de ne plus voir ma petite amie pour le moment. Puis il me laisse là, jouant avec ma bite à moitié raide.
Quelque chose a été réveillé en moi. Je me demande si c'est la même chose que ressent Kimmy. Je continue à me masturber et quelques minutes plus tard je jouis de nouveau. Cette fois, la douleur est intense mais seulement une petite quantité de foutre est sortie de ma bite. Je n'attends pas pour la manger. Mon Dieu... Que suis-je devenu?
FIN.
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