jeudi 27 décembre 2018

Mon aventure Ch. 02

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Soumise à mon mari et vieux souvenirs.

Je finis dehors. Je pense que je suis passée d'une tâche à une autre pour remettre les choses en place. Je n'arrivai pas à me concentrer.

Ce n'était pas le short humide ou la pensée du sperme dégoulinant de ma petite chatte qui me dérangeaient. C'est l'idée de m'être donnée si facilement à un autre après 20 ans de mariage fidèle.

Je fus séduite et je devins une participante volontaire. Il eut été facile de blâmer mon voisin noir mais je réalisai que je n'avais pas vraiment eu peur et qu'il ne m'avait pas vraiment forcée. Il avait donné un ordre et j'avais obéi.

Je fus honteuse de cette soumission mais je fus aussi excitée. J'entrai et pris une longue douche. Je nettoyai aussi bien l'intérieur que l'extérieur afin d'enlever toute trace de ma rencontre de cet après-midi.

Mais, rapidement, la sensation d'avoir été utilisée m'excita et je frottai mes petites lèvres savonneuses jusqu'à ce qu'un orgasme me terrasse. Je ne pus m'empêcher d'être excitée par ses souvenirs.

Plus tard, je me replongeai dans ma vraie vie. Les filles arrivèrent, discutant de choses et d'autres. Je fis le dîner et laissai les filles le manger. Puis j'attendis pour dîner avec Jack.

Il était plus tard que d'habitude et Jack semblait différent quand nous nous assîmes pour manger. Je ne pus savoir pourquoi mais il était plus calme et semblait avoir quelque chose en tête.

Juste après le dîner, il monta et m'appela. Jack était dans notre chambre, nu, la porte grande ouverte. Il me dit d'approcher. Je commençai à fermer la porte quand il me dit de la laisser ouverte. Je fus étonnée mais je laissai la porte et je me tournai vers Jack. Il tendit la main et me déshabilla. Puis il me mit à genoux. Je jetai un coup d'œil à la porte ouverte. Mais il me tourna de façon que la porte soit derrière moi, hors de ma vue. Bientôt sa bite fut devant mon visage et j'ouvris la bouche.

Automatiquement, je mis mes mains dans le dos alors que je le suçai. Un frisson d'excitation me traversa et ma chatte se réchauffa à l'idée d'être baisée à nouveau. La pensée de la porte ouverte restant à mon esprit, je m'appliquai dans ma fellation pour faire jouir au plus vite mon mari. Celui-ci, sa bite à peine dure, attrapa l'arrière de ma tête et commença à baiser mon visage.

Je regardai Jack pendant que je suçai sa bite et je le vis jeter un regard à la porte par-dessus ma tête. J'essayai de regarder mais il retint ma tête. Il me leva en me tenant par les cheveux pour ne pas regarder la porte puis il me poussa face contre le lit. Mes pieds touchaient le sol et il les écarta. Je sentis un liquide froid sur mon cul. Je sus que qu'il allait m'arriver.

Jack n'a pas hésité, mettant sa bite à l'entrée de mon cul et poussant jusqu'à ce qu'elle soit entièrement enterrée dans mon fondement, un long coup sans hésitation. Habituellement, me faire enculer est un processus lent, qui me permet de m'habituer à la pénétration. Mais là, ce fut un enculage direct. Je gémis sous l'excitation d'être pris aussi rudement et je retins un cri sous la douleur d'être sodomisée sans préparation.

Il tint mes cheveux et mon visage enfoui dans le lit. Je pouvais voir la tête de lit mais pas la porte ouverte derrière moi. J'oubliai cette pensée de chambre ouverte car, aujourd'hui, mon dernier trou était pénétré par une deuxième bite

Jack se conduisit comme un animal en me baisant avec de grands coups de reins. Sa main tenait mes cheveux pour me maintenir en place. Son autre main s'approcha de ma bouche pour que je suce ses doigts.

Ensuite, je sentis qu'il mettait deux de ses doigts mouillés dans ma chatte. Mouillés par ma salive ils glissèrent facilement dans mon vagin. Il me baisa le cul et la chatte en même temps.

Puis mon mari me souleva et poussa mes genoux vers mes seins. Il remit sa bite dans mon cul et continua à me baiser. Il sortit un gros godemiché de la table de nuit et l'enfonça dans ma chatte sans avertissement. J'oubliai complètement la porte ouverte.

Il baisa mon cul violemment et ma chatte encore plus rudement avec le gode épais en caoutchouc. Il poussa sa bite et l'objet en rythme pendant une vingtaine de coups puis il alterna le mouvement. J'eus l'impression d'être pilonné par un marteau-piqueur.

Jack me fit jouir quand il vida ses couilles dans mon cul. A ce moment je pus lever la tête et regarder derrière moi. Je vis ma fille Janvier dans le couloir, regardant fixement la scène. Quand nos yeux se rencontrèrent, elle se détourna et s'éloigna.

Jack me laissa dans cette position, les jambes écartées, le sperme coulant de mon cul, un gros gode encore logé dans ma chatte. Il entra dans la salle de bain sans rien dire et bientôt j'entendis la douche couler.

Je regardai la porte en prenant mon temps pour sortir l'objet en caoutchouc. Même si jack m'avait fait jouir, j'étais encore excité. Je promenai le gode sur mon clitoris, d'avant en arrière et de haut en bas. Puis je le passai sur mon cul pour l'enduire de sperme avant de revenir sur mon clito. J'étais excitée. Mes yeux se fermèrent et je gémis quand je me souvins tout d'un coup de la porte.

J'ouvris les yeux et je vis Avril, les yeux exorbités, regarder ma chatte ouverte et le gode qui frottait mon clitoris. Bizarrement, je pensai alors que je n'avais jamais vu ce godemichet. Il n'était pas à moi.

La bouche d'Avril était ouverte et je vis sa langue passer sur ses lèvres avant qu'elle ne s'éloigne dans le couloir. Je fus bouleversé par mon embarras et par un orgasme. Je sautai par terre et je fermai la porte. Je remis mon short ainsi qu'un tee-shirt propre. Jack sortit de la salle de bain nu. Je marmonné quelque chose et je descendis au salon.

Quand je revins à l'étage quelques heures plus tard, la porte de la chambre était ouverte et jack était couché sur le lit, nu et endormi. Il était sur le dos, et son sexe était à demi-dressé sur une cuisse. Je fermai la porte et je décidai d'aller prendre un bain. J'avançai dans le couloir quand je trouvai une autre porte ouverte. Avril était sur son lit, tout comme mon mari, nue et endormie.

Je restai un moment pour la regarder. Son jeune corps se levait et retombait sous l'effet de sa respiration. Ses seins, avec des mamelons roses, étaient parfaits et bien fermes. Ses jambes étaient assez ouvertes pour que je puisse voir sa chatte rasée et ses petites lèvres luisirent à la lumière du couloir. Même avec trois éjaculations dans mon corps et des orgasmes, j'étais encore un peu excitée.

En voyant Avril comme ça, de vieux souvenirs sont remontés dans ma tête. 

*****

Je trouvai un très bon travail juste après le lycée donc je n'eus pas à aller à l'université. Mais il m'est arrivée quelque fois de faire des soirées pyjama au lycée.

Nous avons eu notre nuit « masturbation » avec d'autres filles. Nous nous sommes assises en cercle et nous avons observé les techniques des autres, les doigts frôlant les clitoris, les doigts jouant avec les petites lèvres, les doigts pénétrant les vagins.

Pas de jouets à ce moment-là mais nous avons eu d'autres nuits où nous avons utilisé des godes, des vibromasseurs, et même une brosse à cheveux une certaine fois pour se faire jouir. Certaines filles aidaient d'autres à atteindre l'orgasme et ça devint une habitude. Nous nous sommes beaucoup rapprochées cet été, avec des séances où nous désignions une esclave.

Toutes les filles se réunissaient dans une maison pour le week-end. Tous les noms allaient dans un chapeau. Certaines filles aimaient se mettre ensemble mais nous choisissions un nom pour qu'elle soit notre salope tout le week-end. Parfois, elle passait son temps à lécher chatte sur chatte. N'importe quelle fille pouvait l'appeler et elle devait lécher sa chatte jusqu'à l'orgasme.

Un week-end, je fus la salope désignée et je dus lécher six chattes, orgasmes après orgasmes, du vendredi soir au dimanche matin. J'appris ce que chaque fille aimait et je me retrouvai dans des positions intéressantes. Un jour, une fille s'avança vers moi et souleva sa jupe courte. Je me mis à genoux et je vis qu'elle ne portait pas de culotte. Elle marcha vers moi et chevaucha mon visage jusqu'à ce que je la lèche et qu'elle ait un orgasme.

Souvent je me retrouvai sur un lit, à plat ventre, mon visage entre les cuisses d'une fille pour la faire jouir. Je fus sous la table pendant que les filles jouaient aux cartes, passant d'une chaise à l'autre, jusqu'à ce que chaque chatte soit satisfaite. Je dus aussi lécher des chattes très juteuses : Des filles avaient rendez-vous avec leurs copains, se faisaient baiser et revenaient à la maison avec du sperme dans leur sexe. Je devais les lécher pour qu'elles aient l'orgasme que leurs copains ne leur avaient pas données.

Ce jeu de « salope esclave » a évolué dans le week-end. Je fus ligotée, mes seins furent giflés, de la cire chaude fut versée sur mes mamelons, des pinces à linge furent attachées à mes petites lèvres, mon clitoris et mes tétons. Enfin j'eus divers objets enfoncés dans ma chatte.

Une fille arriva avec son petit ami. J'étais nue comme la salope désignée doit toujours être. La fille me demanda de la lécher jusqu'à l'orgasme pendant qu'elle regardait son petit ami me baiser le cul.

J'étais dans mon avant-dernière année quand ces week-ends ont commencé. Et nous nous sommes souvent réunis jusqu'à ma dernière année, environ toutes les deux-trois semaines. Et je crois qu'aucune jeune fille n'en a jamais parlé. Pour autant que je sache, aucun des parents ne sut ce qu'il se passait. Pourtant j'ai un doute sur un certain week-end.

Je fus la salope choisie et j'ai immédiatement senti ma chatte se serrer lorsque mon nom a été tiré au sort. Je me déshabillai rapidement et j'attendis les ordres. 

Lorsque Jack me connut il me demanda avec combien d'hommes j'avais eu des relations sexuelles. Je lui ai toujours donné le nombre de 3. Mais je n'ai jamais inclus ce week-end. La raison est que je n'ai jamais su ce qui c'était passé.

Je ne devrais pas le dire de cette manière car je connais certaines parties et j'ai entendu beaucoup de rumeurs sur une fille qui avait fait certaines choses. Aucun nom n'a jamais été donné et les rumeurs sont devenues légende urbaine. Je me suis toujours demandée si j'étais cette fille.

Au fur et à mesure que les rumeurs évoluaient, la fille avait baisé toute l'équipe de football mais parfois c'était l'équipe de basket ou tous les professeurs de l'école. Dans une autre version c'était le directeur, les entraîneurs et même le concierge qui utilisaient la fille. Ma version préférée c'est celle où ce sont les parents et en particulier les pères qui baisaient la fille sans la connaître car ils avaient tous les yeux bandés. Personne n'a jamais réalisé que la fille avait été baisée par son père et avait léché la chatte de sa mère.

Peu importe qui était cette fille. Mon week-end fut complètement fou. Comme d'habitude, ma copine Holly fut prête dès que le nom de la salope fut tiré. Elle enleva son jean et sa culotte, s'assit sur le canapé et glissa en avant jusqu'à ce que son cul soit au bord du coussin. Elle me montra sa chatte du doigt et écarta ses jambes très larges. Holly était toujours la première à être servie. Je remplis mon devoir, la léchant de son trou du cul à sa toison pubienne, enfouissant ma langue dans sa chatte, faisant glisser ma langue sur son clitoris, jusqu'à ce qu'elle jouisse et me repousse.

Ensuite, je léchai d'autres chattes. Puis quelqu'un vint derrière moi et me banda les yeux. Je fus conduite dehors et penché sur une table. Le verre recouvrant cette table de patio avait été enlevé, si bien que mes seins purent se balancer librement.

Mes chevilles furent attachées aux pieds du meuble très écartés. Mes mains furent liées au cadre de la table. J'étais sur une terrasse en béton, les jambes écartés, penchée. Si bien que mon cul en l'air, ma chatte et mon trou du cul étaient à la disposition de tous ceux qui voulaient m'utiliser.

On fit glisser une paire d'écouteurs sur ma tête et de la musique commença à en sortir. Maintenant, j'étais complètement soumise, attachée, incapable de voir ou entendre autour de moi. Quelqu'un me donna une fessée. Je sentis des mais sur mes seins et mes tétons furent tirés et pincés. Quelqu'un s'avança sur mon visage et je sortis ma langue pour trouver une fente qui attendait d'être léchée. Je gardai ma langue en mouvement jusqu'à ce que je sente qu'elle se retirait.

Je fus laissée seule pendant un certain temps et je reposai ma tête du mieux que je pus contre le métal froid du cadre de la table. En fait, je somnolai jusqu'au moment où je sentis quelque chose sonder ma chatte. Je sentis mes lèvres s'ouvrir et quelque chose pousser contre mon sexe. Ça n'a pris qu'une seconde avant que je réalise que j'étais baisée. Un homme était derrière moi et fourrait sa bite en moi.

Je fus baisée longtemps. Il y avait au moins deux hommes mais surement plus. J'eus deux bites à la fois à un moment : une dans la bouche et une autre dans le cul. Je compris vite que soit les deux gars récupéraient vite, soit ils étaient plus nombreux. A la fin ma chatte et mon cul restèrent ouverts et je dus satisfaire hommes et femmes.

Mon visage et mes cheveux furent recouverts de sperme. Je sentis le foutre dégouliner de mon cul et de ma chatte sur mes jambes. Je me sentis fatiguée et bien utilisée mais aussi plus vivante que je ne l'avais jamais ressenti.

Plus tard, quand les rumeurs se sont répandues, je me masturbai à l'image de mon père aux yeux bandés qui me baisait pendant que je léchai la chatte qui me mit au monde.

Le deuxième jour, je fus pénétrée par des bites expérimentées. Plus tard je me dis que c'était surement mes professeurs préférés. Je pouvais sentir la différence entre ces queues et celle qui m'avaient prises le premier jour. Ce jour-là, le verre de la table fut remis et on m'attacha au cadre, bandeau sur les yeux et écouteurs en place. Cette fois cependant, j'étais sur le dos. Mon cou était au bord de la table et une légère traction permettait à qui le voulait de chevaucher mon visage ou se faire lécher ou sucer.

On me laissa quelques pauses, mais je fus disponible la plupart du temps, aussi bien le jour que la nuit. J'ai avalé beaucoup de foutre et je sais que d'autres filles s'amusaient bien car j'eus quelques chattes pleines de sperme à nettoyer.

Après la première nuit, je fus placée sous la douche. Mon bandeau ne fut enlevé que lorsque je fus dans la salle de bain. Et quand je me retournai, j'étais seule. Je pris une longue douche chaude.

Les filles m'ont souri et m'on fait des câlins et des bisous quand je suis finalement descendu pour manger quelque chose. J'étais affamée. Et les filles semblaient bien satisfaites car elles ne me demandèrent pas de les lécher. Seules six filles étaient là, donc les autres devaient être partis. Je mangeai lentement, assise nue à la table. Des filles s'assirent avec moi et nous bavardâmes d'un peu tout, de l'école, des garçons et des ragots.

Je ne fus pas la première à être maltraitée mais je fus surement la première et peut-être la seule à être traitée comme une salope à partouze. Ensuite je ne fus pas à chaque fête ou soirée pyjama et je ne fus pas au courant d'autres orgies. Probablement pour que je n'apprenne pas l'identité des personnes qui m'avaient utilisées. Ainsi comme ça, à l'extérieur, je ne souffrirai pas de culpabilité.

La deuxième nuit, enduite de sperme et de jus de chatte, et peut-être même de pipi, mon cul et ma chatte étaient grand ouverts et douloureux lorsque je fus libérée et conduite à la salle de bain. Mon bandeau fut laissé et on me plongea dans un bain chaud. Je n'eus pas à faire le moindre geste car j'eus des mains partout sur moi. Je fus amoureusement savonnée et lavée des pieds à la tête.

Je fus conduite hors du bain et séchée avec de serviettes moelleuses. On enduit de lotion chaque pouce de mon corps, de mes bras et de mes jambes. Je fus mise sur le lit et des mains me massèrent. Il n'était pas important que l'esclave jouisse lors de ces week-ends. Elle était là pour servir ceux qui voulaient. Et si elle ne jouissait pas, elle pouvait jouer avec elle-même en attendant que quelqu'un ait besoin de ses services.

Cependant, cette fois, je sentis une langue sur mon clitoris, qui le léchait en tournant dessus. Mon clito avait été négligé pendant que mes trous étaient utilisés. Mes mamelons étaient douloureux d'avoir été tirés, pincés et tordus. Après l'excitation et les abus subis du week-end, la langue fut non seulement la bienvenue mais elle fit nécessaire. Je jouis dans une explosion qui me fit trembler de la tête au pied. L'orgasme fut si intense que je perdis connaissance. La seule dont je me souviens c'est d'être seule dans l'obscurité, dérivant entre conscience et sommeil.

Le dimanche matin, j'étais en forme. Je me réveillai à côté de deux filles qui s'enlaçaient dans un 69. Je me sentis normale, rafraîchie, sans douleurs persistantes ou autres effets indésirables. J'avais été l'héroïne d'une orgie et je me sentais très bien physiquement et moralement. Avant la fin du week-end, je léchai toutes les filles jusqu'à l'orgasme au moins une fois.

****

Tous ces souvenirs revinrent à moi en regardant la poitrine d'avril qui bougeait en rythme avec sa respiration. J'admirai son corps quand elle bougea tout d'un coup. Ses jambes s'écartèrent et je vis distinctement sa chatte rasée et lisse, ses lèvres gonflées. Des sentiments contradictoires me submergèrent. Je savais que c'était ma fille. Mais cela faisait 20 ans que je n'avais pas mangé une chatte si douce. Alors je ne pus m'empêcher d'imaginer ma langue entre les lèvres de cette adolescente.

A suivre ...

2 commentaires:

  1. je bande comme un malade de lire cette histoire et me retiens pour ne pas juté ,j'adore merci

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci, ça fait toujours plaisir de voir que son travail est apprécié :)

      Supprimer

Merci de vos retours