Sévices militaires - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
L’épouse du Député sombre dans la débauche.
Samedi après-midi.
David me prend par le bras et nous suivons Brigitte et le vigile. L'épouse du Député ne proteste plus, elle semble abattue d'un coup. Le vigile l’entraîne vers une porte qu'il ouvre en tapant une série de chiffres sur un digicode. Ils s'engouffrent dans un couloir. Nous attendons un peu et David ouvre la porte en tapant le code. Le couloir est sinistre, mal éclairé, mes talons aiguilles claquent sur le sol et j'entends ceux de Brigitte ainsi que ses exclamations :
- - Mais enfin ! Ou m'emmenez-vous ? C'est ridicule ! Je vous casserais, J'ai des relations.
J'entends une porte s'ouvrir et claquer. Nous arrivons devant celle-ci mais, à ma grande surprise, David continue de marcher dans le couloir et se dirige vers une autre porte qu'il ouvre avec une clef.
La pièce est petite, ça ressemble plus à un débarras. Mais ce qui surprend tout de suite, c'est le miroir qui permet de voir à l'intérieur de la pièce ou viennent de rentrer Brigitte et le vigile. D'ailleurs, elle est là, se tenant debout à côté du vigile. Un homme est assis à un bureau, le string à la main.
- C'est un miroir sans tain m'explique David. Voir sans être vu ! lâche-t-il en ricanant.
Il y a également des moniteurs qui sont visiblement reliés aux caméras de surveillance de la galerie. Mais ces caméras ne doivent pas être approuvées par la direction. Elles sont camouflées dans les cabines d'essayage des magasins de prêt à porter et de lingeries. Le copain de David m'a l'air d'être tout aussi pervers que lui.
David observe un instant une adolescente qui, se croyant seule dans la cabine d'essayage, enlève son pantalon taille basse pour enfiler une jupe ultra courte.
David se dirige vers une espèce de console rempli de boutons qui clignotent et de manettes. Il appuie sur un bouton et la voix de l'homme derrière le bureau retentit soudain dans la pièce me faisant sursauter. C'est une véritable installation d'espionnage que le chef de la sécurité à emménagé dans ce local.
- Pas mal hein ? C'est un vrai piège à filles ! Si tu savais tout ce qu'on peut y voir.
Je ne réponds pas, je veux bien le croire.
Dans la pièce à coté, Brigitte tente d'expliquer au chef de la sécurité (David m'apprend qu'il s'appelle Alain), qu'elle n'y est pour rien et qu'elle n'explique pas la présence de ce string dans son sac à main.
Avec un sourire bien ignoble, Alain se lève et fait le tour de son bureau. Il est très grand, le crâne rasé, une musculature impressionnante. Brigitte semble toute petite à côté de lui malgré la hauteur de ses talons.
- Je ne demande qu'à vous croire Mme Dumont, et je suis prêt à passer l'éponge.
Le soulagement se peint sur le visage de Brigitte.
- Malheureusement, pour être certain de votre bonne foi, je vais être contraint de procéder à une fouille corporelle.
La femme du Député Dumont blêmit et je crus qu'elle allait s'évanouir.
- - Mais, mais...Est-ce vraiment obligée ? bafouille-t-elle.
- Je dois m'assurer que vous ne dissimulez aucun autre article sur vous, Madame.
Derrière elle, l'autre vigile a un ricanement qui me glace le sang. Pauvre Brigitte.
Alain lance soudain à Brigitte d'une voix devenue menaçante :
- Alors ! Ça vient ? Enlevez votre veste !
Brigitte baisse la tête, rougissante, et commence à déboutonner sa veste. Elle apparait en chemisier blanc, ses seins, énormes, crevant le tissu. On aperçoit un peu en transparence le soutien-gorge bien rempli. Alain s'approche de Brigitte et inspecte la veste, fouillant les poches. Puis, il la pose sur une chaise. Brigitte le dévisage et demande d'une voix craintive comme une petite fille.
- Dois-je continuer ?
Alain hoche la tête et Brigitte déboutonne d'une main tremblante les boutons nacrés de son chemisier en satin. Son opulente poitrine apparait, arrogante. Ses seins sont à peine dissimulés par le soutien-gorge tant ils sont gros. Voyant qu'Alain les matte sans aucune gêne, Brigitte rougit de plus belle. Alain s'approche et dit d'une voix saccadée :
- Je vais devoir vérifier que vous n'avez rien dissimulé dans vos sous-vêtements, Madame, ça s'est déjà vu.
On ne voit pas bien comment c'est possible. Mais l'épouse du Député ne proteste pas. Alain empoigne les seins de Brigitte à pleines mains, les triturant, les malaxant, soufflant comme un porc. Brigitte dans un sursaut de pudeur veut repousser le chef de la sécurité mais le deuxième vigile l'en empêche en lui tenant solidement les bras. Alain continue de lui empoigner les seins, il les soupèse. Il baisse brutalement les balconnets et se penche suçant avec avidité les pointes des seins de Brigitte qui bafouille :
- Non. Non. Ce n'est pas possible. Laissez-moi. Je vais porter plainte.
Alain ne l'écoute pas, il continue de lui sucer les seins alternant entre les deux. Il lui mordille les tétons et Brigitte, se contorsionnant pour échapper à ses agresseurs, lâche un gémissement. Alain s'éloigne et essoufflé accepte le fait qu'elle ne cache rien dans son soutien-gorge. Brigitte, le souffle court, les joues toutes rouges, tente maladroitement de remettre ses seins dans les balconnets.
- Soulevez votre jupe maintenant. Lance Alain.
- Non, ça suffit maintenant ! Vous outrepassez vos droits !
Ricanant, le vigile qui la tient par derrière lui soulève sa jupe. Brigitte proteste et se débat. Aidé par Alain, ils arrivent à retrousser tant bien que mal la jupe qui se retrouve tirebouchonnée autour de la taille de Brigitte. Elle apparait en collant couleur chair. Alain semble déçu et lui reproche de n'avoir pas mis de bas. Encore un fétichiste. Il s'agenouille et, à travers le collant fin, il commence à masser délicatement la vulve de Brigitte. Son visage s'empourpre et elle rue. Les caresses d'Alain se font de plus en plus précises et il sent, à travers le sous-vêtement, la cyprine mouiller le string de la si distinguée épouse du Député. Brigitte arrête de ruer, de protester. Elle devient toute molle d'un coup et le vigile la lâche. Alain continue de la masturber et son collant est trempé. Alain le lui baisse soudain le laissant à mi-cuisses et le string, trempé, suit le même chemin. Sa chatte est rasée, toute lisse. Alain passe un doigt sur sa vulve, lui titillant le clitoris. Elle pousse un feulement rauque et se mord les lèvres pour étouffer un gémissement, honteuse. Alain lui enfonce son index et son majeur dans sa chatte dégoulinante et commence un va et vient rapide pendant que le deuxième vigile lui lèche les seins tout en les soupesant.
Pendant ce temps-là, David n'en pouvant plus m'a forcé à m'accroupir et il exige de moi que je lui sorte son sexe de son pantalon. Je m'exécute fébrilement et sa bite jaillit, tendue comme un ressort. Il m'appuie sur la tête et docile j'aspire son membre. Ma langue s'enroule autour de son gland et je commence à le pomper avec application, lui malaxant les couilles par moment avec ma main. Il donne des petits coups de reins pour s'enfoncer encore plus loin. J'entends les gémissements de Brigitte et cela m'excite au plus haut point. David agrippe mes cheveux et m'oblige à accélérer ma fellation. Ma tête monte et descend sur sa bite dressée.
Alain continue de branler Brigitte. Il lui aspire le clitoris, le mordillant, provoquant un bruit de succions qui produit chez Brigitte un sentiment paradoxale de répulsion et d'excitation. Elle donne un coup de reins involontaire. Les caresses des deux hommes commencent à lui monter à la tête. Elle ne sait plus si elle doit protester ou se laisser faire. Ça fait longtemps que son mari ne la touche plus et elle n'a pas couché avec un homme depuis des mois. A 56 ans, c'est encore une belle femme avec des besoins sexuels toujours présents : Une proie facile pour des hommes sans scrupules comme David et Alain. Elle pousse un cri. Alain vient de lui enfoncer plusieurs de ses doigts dans son vagin la remplissant et l'autre vigile lui introduit son index dans son cul. Là, elle proteste qu'elle ne veut pas et rue de nouveau. Mais les deux hommes la branlent très vite agitant leurs doigts à l'unisson. L'épouse du Député lâche un gémissement sourd et se tord dans tous les sens en poussant des petits cris mais plus de protestations cette fois. Elle halète, les joues rouges, gémit. Elle pousse un hurlement déchirant quand l'orgasme la submerge et elle faillit s'effondrer sur le sol , les jambes coupées.
David m'a relevé et me pousse contre une table ou il me contraint à me courber. Il soulève ma jupe en cuir dévoilant mes bas. Il me caresse les jambes gainées de nylon. Le crissement soyeux me fait frémir. Il s'enfonce brutalement dans mon con et, les mains accrochées à mes hanches, commence à me besogner à grands coups de reins.
Brigitte, elle, a été contrainte de s'agenouiller sur le sol, les seins à l'air, la chatte encore dégoulinante de mouille qui coule sur ses cuisses. Alain lui présente un sexe dur et épais. Il lui effleure ses lèvres pulpeuses qu'elle garde obstinément fermées, ne voulant pas s'abaisser à lui tailler une pipe comme une vulgaire pute. La moralité est encore présente dans son esprit de bourgeoise respectable.
Alain force le passage de ses lèvres et réussit à lui engouffrer toute la longueur de sa queue. Brigitte pousse un gémissement étouffé. La bite d'Alain lui déforme la bouche. Le vigile lui appuie sur la nuque et elle entame un mouvement de va et vient, ses lèvres rouges entourant la bite d'Alain, coulissant autour, le suçant. Très vite, elle s'active sur la bite d'Alain avec avidité, elle lui tète le gland, lui lèche les couilles sur ses instructions. Le vigile, derrière elle, lui a introduit deux doigts dans sa chatte et lui caresse sa vulve. Bientôt, c'est deux queues qu'elle doit sucer alternant entre le vigile et Alain qui l'insulte la traitant de bourgeoise perverse, de salope, de trainée. N'en pouvant plus, Alain la positionna à quatre pattes en lui donnant des claques sur son cul. Elle crie sous la douleur. Alain, le sexe dressé, s'enfonce dans son vagin et commence à la bourrer pendant que le vigile continue de se faire sucer.
David n'en finit pas de me défoncer. Je n'en peux plus, j'ai déjà eu deux orgasmes. Il semble infatigable. Cela doit l'exciter comme un fou de voire cette femme d'âge mur mais encore bandante, si bourgeoise, si distinguée, à quatre pattes en train de se faire baiser comme la dernière des chiennes. Son ventre claque contre mes fesses, sa queue s'enfonce de plus en plus loin dans ma chatte et je pousse un cri à chaque aller-retour.
Les mains crochées dans les hanches grasses de l'épouse du Député, Alain donnent des coups de reins de plus en plus violents. Les fesses de Brigitte tressautent à chaque coup de piston. Ils veulent changer de position et Brigitte se retrouve empalée sur le membre dressé du vigile qui s'est allongé par terre. Elle monte et descend s'enfonçant sur la queue, ses gros seins ballotant sous les yeux du vigile. Pendant ce temps, Alain positionne sa bite sur l'ouverture des reins de Brigitte qui le sentant hurle qu'elle ne veut pas. Sans aucune pitié, Alain force le barrage de ses reins, s'enfonçant dans le cul de la femme du Député qui pousse un hurlement déchirant. Les deux hommes attendent un peu lui laissant le temps de s'habituer puis ils commencent à alterner les coups de reins, la baisant par ses deux trous. Brigitte, en sueur, les yeux fous, les cheveux en bataille, gémit de plus en plus fort. Elle halète comme une noyée cherchant à reprendre sa respiration.
Je suis à genoux devant David qui se masturbe au-dessus de mon visage. Il m'ordonne d'ouvrir la bouche et j'obéis, docile, soumise. Le sperme gicle allant s'écraser sur ma langue, mes lèvres, coulant sur mon menton.
Alain et le vigile continuent de pistonner Brigitte qui pousse des gémissements plaintifs. Alain accélère ses mouvements dans le cul de l'épouse du Député et celle-ci a soudain un orgasme qui la laisse pantelante. Les deux hommes se retirent la laissant cuver son orgasme, affalée sur le sol, les jambes ouvertes dans une totale impudeur. Ils se positionnent autour d'elle, la bite à la main, se masturbant comme des fous en grognant comme des fauves. Le vigile éjacule, les trainées de sperme fusent, allant s'écraser sur le visage de Brigitte, les lèvres, le menton, les joues. Puis ce fut le tour d'Alain mais celui-ci veut encore humilier cette bourgeoise si prétentieuse qu'il vient de baiser comme une chienne. Il lui soulève la tête, la forçant à avaler sa queue une dernière fois. Elle le suce un peu et il lâche un torrent de sperme qui gicle sur son palais, l'étouffant à moitié. Il la contraint à tout avaler et elle doit déglutir le sperme avec une grimace de dégout. Alain se retire de sa bouche avec un soupir de satisfaction et elle se penche recrachant le trop plein de sperme qu'elle a réussi à ne pas avaler.
C'est à ce moment précis que David entre avec moi dans le bureau. Brigitte veut cacher son visage, rouge de honte et elle réprime un sanglot d'humiliation.
- Pas la peine de te cacher, lui lance David, un sourire aux lèvres, on a tout filmé.
Brigitte regarde David et Alain avec horreur. Ces yeux se posent sur moi, j'ai les seins à l'air, la jupe relevée dévoile ma fente et mes cuisses sont maculées de sperme. Et elle semble comprendre dans quel piège ignoble elle vient de tomber.
- Si tu ne veux pas que ton mari reçoive un film de cul avec toi comme actrice principale, tu devras nous obéir à partir de maintenant. A moi et mon copain David que tu ne connais pas encore mais qui connait très bien ta belle-fille, Elisabeth.
Brigitte, les yeux ronds, découvre que sa belle-fille est tombée dans les griffes de ces pervers. Alain continue :
- Et tu viendras une fois par semaine nous vider les couilles.
Brigitte et moi reprenons une tenue décente et Alain lance à David :
- Dépêche-toi, j'attends encore deux nouvelles.
Sous le regard interrogateur de David, Alain explique qu'il y a deux semaines, ses vigiles ont attrapé deux jeunes filles d'une vingtaine d 'années qui volaient des CD. Après les avoir menacées d'appeler la police, elles ont accepté le contrat qu'Alain leur proposait. Pas compliqué de comprendre lequel. Elles ne vont pas tarder à revenir accompagnées de leurs mères respectives. Qui ne se doutent pas encore de ce qui les attend
Nous sortons David et moi accompagnés de Brigitte et longeons le couloir. Nous croisons en effet, les deux jeunes filles, mignonnes comme tout, accompagnées de deux femme, vêtues de tailleur élégant, l'air hautain, escortées par un des vigiles dont je constate qu'il mate leurs jambes gainées de nylon et leurs culs moulés par leurs jupes droites. J'en connais qui vont passer un sale quart d'heure.
A suivre...
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