A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)
************
Le déménagement.
Il ne se passa
rien de particulier le reste de la semaine. Je passai la plus grande partie de
mes journées lovée sur une couverture sur le canapé. Je ne sais pas si j'avais
un air de grippe ou si je souffrais des suites du viol de Richard. Quelle qu'en
soit la raison, j'étais molle, vidée de toute énergie et je ne trouvai pas la
force de m'intéresser à quoi que ce soit. J'aurai aimé rester au lit, mais
j'avais encore en mémoire les nombreux viols que j'y avais subi.
Jean se
tracassait de me voir ainsi et prenait soin de moi, faisant tout ce qu'il
pouvait pour me ragaillardir bien qu'il ne comprenne pas de quoi je souffrais.
Au contraire Yan se montrait rugueux et insensible, comme d'habitude. Il
m'avait traînée dans sa chambre un soir que Jean s'était absenté, pour prendre
des photos pour son site internet. Je me laissai faire mollement, je posai
selon ses indications. Je me laissai faire tout aussi passivement lorsqu'il
voulut m'enculer.
Il me dit
avec un grand sourire railleur qu'il se faisait plein de blé avec les photos et
les vidéos de ma dégradation sur son site, mais il aurait pu en parler à une
autre femme que je n'aurai pas plus réagi.
Le samedi
arriva enfin, Yan devait emménager ailleurs ce jour-là. Tous ses effets étaient
emballés sous cartons, on les transporta dans la camionnette. Jean me persuada
de les accompagner et j'acceptai. J’espérai que de voir Yan évoluer dans un
autre lieu m'aiderait à sortir de mon apathie.
Nous
arrivâmes à son nouveau logement, une petite maison près du centre-ville. Les
hommes transportèrent les cartons alors que je cherchai comment mettre en route
le chauffage.
- Chérie ?
Me dit alors Jean.
- j'ai une
faveur à te demander... On va remonter le reste des cartons, puis on devra
aller faire des courses... On se demandait si tu pouvais rester ici pour
terminer de peindre la chambre d'amis...... Tu es une si bonne décoratrice, je
suis sûr que tu ne refuseras pas ce petit service à Yan !
J'hésitai
quelques instants mais je n'avais pas de bonne raison de refuser, j'aimai
exercer mes talents de décoratrice, et puisque Yan ne serait pas là,
j'acceptai.
Yan me mena
à l'étage et fouilla dans un carton pour en sortir de vieux vêtements, il me
donna un tee-shirt et un sweat-shirt avec un vieux pantalon de training, puis
il me montra où se trouvait l'attirail de peinture et me quitta. Pour une fois
il s'était abstenu de ses vicieux commentaires habituels, se contentant de me
remercier de l'aider.
Je me
consacrai à ma tâche, me calmant tout en travaillant. J'avais fini, et je
nettoyais les brosses et pinceaux dans la salle de bains quand les hommes
revinrent. Jean me félicita de mon travail et m'embrassa avant de repartir
chercher le reste des fournitures. Le mobilier de la maison était constitué
d'un lit, d'un canapé, et une table basse en verre. Je me rendis compte que Yan
n'était pas reparti avec Jean qu'en sortant de la salle d'eau.
- Merci de
ton aide ma chère belle-sœur ! Me dit Yan d'une voix traînante.
Il recula
pour me laisser descendre les escaliers.
- J'ai
encore besoin de ton aide pour une toute petite chose !
Nous avions atteint le bas de l'escalier. Sans
défiance je me retournai lui demandant ce qu'il attendait de moi. A ma grande
horreur il me colla mon masque familier sur le visage et me poussa violemment
dans la salle de séjour. Un solide gaillard me rattrapa m'évitant de tomber, je
jetai un coup d'œil circulaire, Richard me reluqua des pieds à la tête.
Me
retournant, je m'aperçus que j'étais au centre d'un cercle d'hommes nus. J'en
reconnus plusieurs que j'avais connu au cours des escapades que m'avaient
imposé Yan. Maudissant ma stupidité, je cherchai à m'évader de ce cercle, ils
le refermaient devant moi me repoussant d'un côté à l'autre, chaque fois que
j'étais poussé contre un des membres du cercle, il m'arrachait une pièce de
vêtements, bientôt je ne portais plus que mes sous-vêtements.
On m'arracha
mon soutien-gorge, puis des mains impatientes m'empoignèrent, me levèrent les
jambes afin de me dépouiller de ma petite culotte. D'innombrables mains et bouches
exploraient les détails intimes de mes charmes. Plus je protestais et cherchais
à me débattre, plus ils persistaient dans leurs intentions. Ils m'écartèrent
les jambes en grand et je frissonnais alors qu'une bouche avide fouillait ma
foufoune. Je cherchai à m'enfuir, mais je n'y parvins pas.
On me
caressait les nibards, et deux bouches s'attaquaient à mes tétons affolés. Une
sensation familière courait dans mes nerfs, tourbillonnant dans mon bas-ventre.
Mes protestations ne furent bientôt plus que des murmures, on pouvait même
croire qu'il s'agissait maintenant de gémissements de plaisir. Une dure queue
pointa à l'orée de ma féminité et glissa aisément dans ma chatte embrasée. Je
gémis, mes sphincters vaginaux se crispèrent sur l'affolant visiteur.
L'instant
d'après un terrible orgasme me terrassait. Mes agresseurs applaudirent à tout
rompre alors que la bite enfouie dans mes profondeurs tressautait follement
alors que son propriétaire jouissait, planté au fin fond de mon utérus. Je fus
soulagée de voir qu'il avait enfilé une capote, il se retira alors et une autre
bite remplaça sa mentule ramollie.
Je perdis le
compte du nombre d'hommes qui me sautèrent. Je n'avais été jamais baisée
suspendue en l'air, je goûtais ainsi à de nouvelles sensations. Je jouis deux
fois de plus avant qu'ils ne m'aient tous baisé chacun à leur tour.
Ils me
jetèrent visage en avant sur la table basse. Avant même que je ne réalise ce
qu'ils voulaient, je me retrouvais liée à l'armature de la table. Des inconnus
pénétrèrent à nouveau ma foufoune, alors qu'une paire de participants se
glissait sous la table pour mignoter mes nichons. Yan était agenouillé face à
moi, il me sourit railleusement.
- Je suppose
que tu es heureuse qu'on en finisse de cette façon avec toi !
Sur ces mots
il saisit sa bite et la pressa contre me lèvres.
- Je mords
tout ce que tu me mettras dans la bouche ! Le menaçai-je sèchement.
Yan me
saisit les cheveux.
- Ecoute-moi
bien maintenant petite pute ! Tu vas coopérer et tu suceras toutes les bites
qu'on fourrera dans ta bouche ou j'utiliserai ceci ! Me menaça-t-il dressant un
énorme godemiché sous mes yeux affolés.
Il faisait
bien 35 cm de long et était aussi épais que mon poing.
- Quelle
différence entre ce gode et ce qui va m'arriver ? Lui demandai-je amèrement.
- Là voici !
Dit-il couvrant l'ovibos d'une capote de caoutchouc couverte de picots, et avec
ceci on peut te ramoner la chatte ou même le cul ! Tu comprends ?
Je ne
pouvais m'empêcher de trembler à la vue de cette infâme menace, il savait que
j'obéirais à ses ordres. Il me présenta
à nouveau sa bite et j'ouvris la bouche à contrecœur. Dès qu'il m'eut rempli la
bouche de son foutre chaud une autre mentule envahit ma bouche.
Bientôt je
n'avais en plus en bouche que le goût salé du sperme de mes agresseurs alors
que mon con s'engourdissait à force d'être malmené. J'essayais de m'abstraire
de cette épreuve en cherchant à savoir combien d'hommes avaient abusé de mes
charmes, et je calculais que j'avais au moins appartenu à 8 assaillants.
Lorsqu'ils
ne me baisaient pas, ils s'étendaient sur le canapé buvant des canettes de
bière tout en encourageant ceux qui me labouraient frénétiquement. Juste à
l'instant où je pensais que les choses ne pourraient pas être pires, Richard
s'agenouilla devant moi, et m'agrippa les cheveux me forçant à le regarder.
- Te
souviens-tu de moi ? M'interrogea-t-il l'air menaçant.
Je me
souvenais que trop de lui, et réagissant instinctivement, je lui crachais au
visage. Il s'essuya dans mes cheveux,
puis il me fit une grimace qui me fit trembler d'anxiété. Il se posta dans mon
dos et je sentis alors la fraîcheur d'un lubrifiant quelconque dont on
m'enduisait le trou du cul. Puis son énorme bite fora son trou dans mon
fondement, exactement comme la semaine précédente. J'aurai voulu hurler ma
douleur, mais dès que j'ouvris la bouche, une grosse mentule s'y engouffra.
Je gisais,
sans défense, ligotée sur la table basse. Richard m'épinglait sur la surface de
la table me martelant de vigoureux coups de boutoirs. J'aurai dû lui être
reconnaissante d'avoir lubrifié copieusement mon trou du cul auparavant. Il
jouit alors que mon boyau s'adaptait tant bien que mal à ses mensurations.
Richard
informa les autres participants de sa performance, et bien sûr ils voulurent
tous m'enculer. Ma seule consolation était que maintenant mon anus avait été
suffisamment distendu par la bite de Richard pour accueillir sans trop de mal
leurs calibres.
Enfin ils
semblèrent se lasser de me violer, je commençais à penser que c'était la fin de
cette ignoble épreuve. C'est alors que j'entendis une voiture se garer à
l'extérieur, Yan se précipita à la fenêtre.
- Ah merde, c'est Jean !
- Montez moi
vite cette salope dans la chambre à l'étage ! Et pourquoi ne verriez-vous pas à
combien vous pouvez la baiser en même temps !
Des mines
réjouies saluèrent cette suggestion. Ils me délièrent et m'emmenèrent
rapidement dans la chambre, ils me disposèrent à quatre pattes sur le lit. Un
homme se coucha sous moi et m'attira sur son érection, un second s'agenouilla à
la tête du lit et me fourra sa bite dans la bouche, un troisième se posta dans
mon dos et enfourna sa grosse bite dans mon trou du cul plus du tout secret,
puis deux mecs posèrent leurs bites dans mes mains m'invitant à les branler
tout de go.
J'entendais
la voix de mon mari au rez-de-chaussée, puis je l'entendis avec horreur grimper
à l'étage. Yan l'emmena dans la chambre d'amis, je l'entendis apprécier à voix
haute mon travail. Puis je les entendis se diriger vers la chambre où je me
trouvais. J'enfouissais désespérément mon visage dans l'entrejambe de l'homme
posté devant moi, espérant que Jean ne me reconnaîtrait pas.
- Regarde le
cadeau que m'ont offert les copains pour fêter la pendaison de la crémaillère.
Avança Yan cyniquement.
- Une
pute... Elle adore les grosses bites ! .... Quel que soit la façon qu'on la
prenne ! .... Regarde-moi ça ! ... Six en même temps ! .....Elle adore même se
faire bourrer le trou du cul !
- Mon Dieu
Yan, je ne parviens pas à le croire ! Dit mon mari visiblement révulsé par ce
spectacle.
- Hey viens
Jean, elle adore se faire baiser ! Lui proposa Yan donnant un coup de pied dans
le lit.
Paniquée, je
décidais de coopérer pour les voir partir plus tôt, je me mis à gémir comme si c'était
le meilleur coup que je tirais de toute ma vie. Les hommes qui me baisaient
prirent ces gémissements pour des encouragements, ils redoublèrent d'efforts.
- Tu peux te
la faire si tu veux ! Offrit Yan.
- On utilise
tous des capotes, comme ça aucun risque !
- Merci,
mais je suis marié, et heureux de l'être, au cas où tu l'aurais oublié ! Rétorqua
Jean dédaignant son offre.
- Linda fait
plus que me satisfaire, merci quand même !
- C'est
vrai, mais je suppose qu'une femme aussi réservée que ta femme ne s'est jamais
laissée enculer ! ... Et je suppose que comme tous les hommes tu as toujours
désiré sodomiser une femme ! .... C'est le bon moment ! ..... Ta femme n'en
saura jamais rien !
Je me raidis
sous l'outrage de cette suggestion, priant pour que mon mari la repousse
vivement. Ma tension soudaine fut trop forte pour mon enculeur, il se vida les
couilles avec un sourd mugissement de plaisir.
- Profites
en, t'en aura peut-être jamais plus l'occasion ! Insistait Yan.
- Je te
remercie mais c'est non ! Confirma Jean fermement.
- Quand tu
tomberas amoureux et que tu te marieras, tu découvriras ce que cela veut dire. Je
me refuse à partager l'intimité d'autres femmes que la mienne ! Je vais aller
jeter un œil à la station de bus voir si elle y est, puis je rentrerai à la
maison. Je te souhaite une bonne partie de jambes en l'air frangin !
J'oublie
parfois pourquoi j'aime mon époux, alors il dit ou fait quelque chose épatant
et c'est comme si je retombais follement amoureuse. En dépit de tous ces hommes
qui s'étaient vidés les couilles en moi, j'étais sûre de mon amour pour Jean.
Bientôt ils
eurent tous joui et ils retournèrent dans la salle de séjour où ils avaient
installé la télévision. Je me traînais sous la douche et m'appuyais
douloureusement au mur alors que l'eau cascadait sur mes charmes. Yan rentra
dans la salle de bain et jeta mes habits sur le sol, il me rejoignit sous la
douche et me savonna gentiment, ses doigts glissants dénichèrent mon clito et
le mignotèrent lascivement.
- En souvenir
de nos amours passés je veux t'entendre jouir encore une fois !
A contrecœur je sentais mon corps vibrer sous
ses caresses. Il m'agrippa par les fesses et me souleva, sa bise glissa dans ma
chatte embrasée, il passa ses bras sous mes genoux pour écarter mes cuisses en
grand et agrandir les frictions de nos deux corps l'un contre l'autre. Il me
serrait fermement les fesses au rythme de ses poussées plongeant sa tête entre
mes miches pour mieux sucer mes tétons. Mon corps commença à trembler alors que
je m'accrochais à ses épaules, j'haletais alors que des ondes de plaisir
parcouraient mon corps des pieds à la tête. La mine satisfaite qu'arborait Yan
ne faisait qu'accroître mon excitation, peut-être bien que de savoir que ce
serait la dernière fois que Yan me sauterait y contribuait aussi, mais bientôt
un orgasme incontrôlable me terrassa. Je hurlais mon plaisir en frétillant dans
ses bras. Impitoyablement Yan continua à me labourer jusqu'à ce que je jouisse
une seconde fois, de façon encore plus intense que la première.
Lorsqu'il me
délaissa, je glissais au sol de la douche, les jambes tremblantes, folle de
honte.
- J'ai dit à
Jean que t'étais partie lorsque mes copains sont arrivés, que t'avais
l'intention de faire une partie de lèche vitrines avant de retourner à la
station de bus. M'informa Yan fortuitement :
- De toute
façon, n'oublie de me laisser le masque, à moins que tu ne veuilles le garder
en souvenir !
Puis il
partit en ricanant. Je me lavais des pieds à la tête et remis mes vêtements. Je
me glissais discrètement jusqu'à la porte, priant pour que personne ne
m'empêche de partir.
A suivre…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours