mardi 4 décembre 2018

A la merci de mon beau-frère. Ch 10

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Le déménagement.


Il ne se passa rien de particulier le reste de la semaine. Je passai la plus grande partie de mes journées lovée sur une couverture sur le canapé. Je ne sais pas si j'avais un air de grippe ou si je souffrais des suites du viol de Richard. Quelle qu'en soit la raison, j'étais molle, vidée de toute énergie et je ne trouvai pas la force de m'intéresser à quoi que ce soit. J'aurai aimé rester au lit, mais j'avais encore en mémoire les nombreux viols que j'y avais subi.

Jean se tracassait de me voir ainsi et prenait soin de moi, faisant tout ce qu'il pouvait pour me ragaillardir bien qu'il ne comprenne pas de quoi je souffrais. Au contraire Yan se montrait rugueux et insensible, comme d'habitude. Il m'avait traînée dans sa chambre un soir que Jean s'était absenté, pour prendre des photos pour son site internet. Je me laissai faire mollement, je posai selon ses indications. Je me laissai faire tout aussi passivement lorsqu'il voulut m'enculer.

Il me dit avec un grand sourire railleur qu'il se faisait plein de blé avec les photos et les vidéos de ma dégradation sur son site, mais il aurait pu en parler à une autre femme que je n'aurai pas plus réagi.

Le samedi arriva enfin, Yan devait emménager ailleurs ce jour-là. Tous ses effets étaient emballés sous cartons, on les transporta dans la camionnette. Jean me persuada de les accompagner et j'acceptai. J’espérai que de voir Yan évoluer dans un autre lieu m'aiderait à sortir de mon apathie.

Nous arrivâmes à son nouveau logement, une petite maison près du centre-ville. Les hommes transportèrent les cartons alors que je cherchai comment mettre en route le chauffage.

- Chérie ? Me dit alors Jean.

- j'ai une faveur à te demander... On va remonter le reste des cartons, puis on devra aller faire des courses... On se demandait si tu pouvais rester ici pour terminer de peindre la chambre d'amis...... Tu es une si bonne décoratrice, je suis sûr que tu ne refuseras pas ce petit service à Yan !

J'hésitai quelques instants mais je n'avais pas de bonne raison de refuser, j'aimai exercer mes talents de décoratrice, et puisque Yan ne serait pas là, j'acceptai.

Yan me mena à l'étage et fouilla dans un carton pour en sortir de vieux vêtements, il me donna un tee-shirt et un sweat-shirt avec un vieux pantalon de training, puis il me montra où se trouvait l'attirail de peinture et me quitta. Pour une fois il s'était abstenu de ses vicieux commentaires habituels, se contentant de me remercier de l'aider.

Je me consacrai à ma tâche, me calmant tout en travaillant. J'avais fini, et je nettoyais les brosses et pinceaux dans la salle de bains quand les hommes revinrent. Jean me félicita de mon travail et m'embrassa avant de repartir chercher le reste des fournitures. Le mobilier de la maison était constitué d'un lit, d'un canapé, et une table basse en verre. Je me rendis compte que Yan n'était pas reparti avec Jean qu'en sortant de la salle d'eau.

- Merci de ton aide ma chère belle-sœur ! Me dit Yan d'une voix traînante.

Il recula pour me laisser descendre les escaliers.

- J'ai encore besoin de ton aide pour une toute petite chose !

 Nous avions atteint le bas de l'escalier. Sans défiance je me retournai lui demandant ce qu'il attendait de moi. A ma grande horreur il me colla mon masque familier sur le visage et me poussa violemment dans la salle de séjour. Un solide gaillard me rattrapa m'évitant de tomber, je jetai un coup d'œil circulaire, Richard me reluqua des pieds à la tête.

Me retournant, je m'aperçus que j'étais au centre d'un cercle d'hommes nus. J'en reconnus plusieurs que j'avais connu au cours des escapades que m'avaient imposé Yan. Maudissant ma stupidité, je cherchai à m'évader de ce cercle, ils le refermaient devant moi me repoussant d'un côté à l'autre, chaque fois que j'étais poussé contre un des membres du cercle, il m'arrachait une pièce de vêtements, bientôt je ne portais plus que mes sous-vêtements.

On m'arracha mon soutien-gorge, puis des mains impatientes m'empoignèrent, me levèrent les jambes afin de me dépouiller de ma petite culotte. D'innombrables mains et bouches exploraient les détails intimes de mes charmes. Plus je protestais et cherchais à me débattre, plus ils persistaient dans leurs intentions. Ils m'écartèrent les jambes en grand et je frissonnais alors qu'une bouche avide fouillait ma foufoune. Je cherchai à m'enfuir, mais je n'y parvins pas.

On me caressait les nibards, et deux bouches s'attaquaient à mes tétons affolés. Une sensation familière courait dans mes nerfs, tourbillonnant dans mon bas-ventre. Mes protestations ne furent bientôt plus que des murmures, on pouvait même croire qu'il s'agissait maintenant de gémissements de plaisir. Une dure queue pointa à l'orée de ma féminité et glissa aisément dans ma chatte embrasée. Je gémis, mes sphincters vaginaux se crispèrent sur l'affolant visiteur.

L'instant d'après un terrible orgasme me terrassait. Mes agresseurs applaudirent à tout rompre alors que la bite enfouie dans mes profondeurs tressautait follement alors que son propriétaire jouissait, planté au fin fond de mon utérus. Je fus soulagée de voir qu'il avait enfilé une capote, il se retira alors et une autre bite remplaça sa mentule ramollie.

Je perdis le compte du nombre d'hommes qui me sautèrent. Je n'avais été jamais baisée suspendue en l'air, je goûtais ainsi à de nouvelles sensations. Je jouis deux fois de plus avant qu'ils ne m'aient tous baisé chacun à leur tour.

Ils me jetèrent visage en avant sur la table basse. Avant même que je ne réalise ce qu'ils voulaient, je me retrouvais liée à l'armature de la table. Des inconnus pénétrèrent à nouveau ma foufoune, alors qu'une paire de participants se glissait sous la table pour mignoter mes nichons. Yan était agenouillé face à moi, il me sourit railleusement.

- Je suppose que tu es heureuse qu'on en finisse de cette façon avec toi !

Sur ces mots il saisit sa bite et la pressa contre me lèvres.

- Je mords tout ce que tu me mettras dans la bouche ! Le menaçai-je sèchement.

Yan me saisit les cheveux.

- Ecoute-moi bien maintenant petite pute ! Tu vas coopérer et tu suceras toutes les bites qu'on fourrera dans ta bouche ou j'utiliserai ceci ! Me menaça-t-il dressant un énorme godemiché sous mes yeux affolés.

Il faisait bien 35 cm de long et était aussi épais que mon poing.

- Quelle différence entre ce gode et ce qui va m'arriver ? Lui demandai-je amèrement.

- Là voici ! Dit-il couvrant l'ovibos d'une capote de caoutchouc couverte de picots, et avec ceci on peut te ramoner la chatte ou même le cul ! Tu comprends ?

Je ne pouvais m'empêcher de trembler à la vue de cette infâme menace, il savait que j'obéirais à ses ordres.  Il me présenta à nouveau sa bite et j'ouvris la bouche à contrecœur. Dès qu'il m'eut rempli la bouche de son foutre chaud une autre mentule envahit ma bouche.

Bientôt je n'avais en plus en bouche que le goût salé du sperme de mes agresseurs alors que mon con s'engourdissait à force d'être malmené. J'essayais de m'abstraire de cette épreuve en cherchant à savoir combien d'hommes avaient abusé de mes charmes, et je calculais que j'avais au moins appartenu à 8 assaillants.

Lorsqu'ils ne me baisaient pas, ils s'étendaient sur le canapé buvant des canettes de bière tout en encourageant ceux qui me labouraient frénétiquement. Juste à l'instant où je pensais que les choses ne pourraient pas être pires, Richard s'agenouilla devant moi, et m'agrippa les cheveux me forçant à le regarder.

- Te souviens-tu de moi ? M'interrogea-t-il l'air menaçant.

Je me souvenais que trop de lui, et réagissant instinctivement, je lui crachais au visage.  Il s'essuya dans mes cheveux, puis il me fit une grimace qui me fit trembler d'anxiété. Il se posta dans mon dos et je sentis alors la fraîcheur d'un lubrifiant quelconque dont on m'enduisait le trou du cul. Puis son énorme bite fora son trou dans mon fondement, exactement comme la semaine précédente. J'aurai voulu hurler ma douleur, mais dès que j'ouvris la bouche, une grosse mentule s'y engouffra.

Je gisais, sans défense, ligotée sur la table basse. Richard m'épinglait sur la surface de la table me martelant de vigoureux coups de boutoirs. J'aurai dû lui être reconnaissante d'avoir lubrifié copieusement mon trou du cul auparavant. Il jouit alors que mon boyau s'adaptait tant bien que mal à ses mensurations.

Richard informa les autres participants de sa performance, et bien sûr ils voulurent tous m'enculer. Ma seule consolation était que maintenant mon anus avait été suffisamment distendu par la bite de Richard pour accueillir sans trop de mal leurs calibres.

Enfin ils semblèrent se lasser de me violer, je commençais à penser que c'était la fin de cette ignoble épreuve. C'est alors que j'entendis une voiture se garer à l'extérieur, Yan se précipita à la fenêtre.

 - Ah merde, c'est Jean !

- Montez moi vite cette salope dans la chambre à l'étage ! Et pourquoi ne verriez-vous pas à combien vous pouvez la baiser en même temps !

Des mines réjouies saluèrent cette suggestion. Ils me délièrent et m'emmenèrent rapidement dans la chambre, ils me disposèrent à quatre pattes sur le lit. Un homme se coucha sous moi et m'attira sur son érection, un second s'agenouilla à la tête du lit et me fourra sa bite dans la bouche, un troisième se posta dans mon dos et enfourna sa grosse bite dans mon trou du cul plus du tout secret, puis deux mecs posèrent leurs bites dans mes mains m'invitant à les branler tout de go.

J'entendais la voix de mon mari au rez-de-chaussée, puis je l'entendis avec horreur grimper à l'étage. Yan l'emmena dans la chambre d'amis, je l'entendis apprécier à voix haute mon travail. Puis je les entendis se diriger vers la chambre où je me trouvais. J'enfouissais désespérément mon visage dans l'entrejambe de l'homme posté devant moi, espérant que Jean ne me reconnaîtrait pas.

- Regarde le cadeau que m'ont offert les copains pour fêter la pendaison de la crémaillère. Avança Yan cyniquement.

- Une pute... Elle adore les grosses bites ! .... Quel que soit la façon qu'on la prenne ! .... Regarde-moi ça ! ... Six en même temps ! .....Elle adore même se faire bourrer le trou du cul !

- Mon Dieu Yan, je ne parviens pas à le croire ! Dit mon mari visiblement révulsé par ce spectacle.

- Hey viens Jean, elle adore se faire baiser ! Lui proposa Yan donnant un coup de pied dans le lit.

Paniquée, je décidais de coopérer pour les voir partir plus tôt, je me mis à gémir comme si c'était le meilleur coup que je tirais de toute ma vie. Les hommes qui me baisaient prirent ces gémissements pour des encouragements, ils redoublèrent d'efforts.

- Tu peux te la faire si tu veux ! Offrit Yan.

- On utilise tous des capotes, comme ça aucun risque !

- Merci, mais je suis marié, et heureux de l'être, au cas où tu l'aurais oublié ! Rétorqua Jean dédaignant son offre.

- Linda fait plus que me satisfaire, merci quand même !

- C'est vrai, mais je suppose qu'une femme aussi réservée que ta femme ne s'est jamais laissée enculer ! ... Et je suppose que comme tous les hommes tu as toujours désiré sodomiser une femme ! .... C'est le bon moment ! ..... Ta femme n'en saura jamais rien !

Je me raidis sous l'outrage de cette suggestion, priant pour que mon mari la repousse vivement. Ma tension soudaine fut trop forte pour mon enculeur, il se vida les couilles avec un sourd mugissement de plaisir.

- Profites en, t'en aura peut-être jamais plus l'occasion ! Insistait Yan.

- Je te remercie mais c'est non ! Confirma Jean fermement.

- Quand tu tomberas amoureux et que tu te marieras, tu découvriras ce que cela veut dire. Je me refuse à partager l'intimité d'autres femmes que la mienne ! Je vais aller jeter un œil à la station de bus voir si elle y est, puis je rentrerai à la maison. Je te souhaite une bonne partie de jambes en l'air frangin !

J'oublie parfois pourquoi j'aime mon époux, alors il dit ou fait quelque chose épatant et c'est comme si je retombais follement amoureuse. En dépit de tous ces hommes qui s'étaient vidés les couilles en moi, j'étais sûre de mon amour pour Jean.

Bientôt ils eurent tous joui et ils retournèrent dans la salle de séjour où ils avaient installé la télévision. Je me traînais sous la douche et m'appuyais douloureusement au mur alors que l'eau cascadait sur mes charmes. Yan rentra dans la salle de bain et jeta mes habits sur le sol, il me rejoignit sous la douche et me savonna gentiment, ses doigts glissants dénichèrent mon clito et le mignotèrent lascivement.

- En souvenir de nos amours passés je veux t'entendre jouir encore une fois !

 A contrecœur je sentais mon corps vibrer sous ses caresses. Il m'agrippa par les fesses et me souleva, sa bise glissa dans ma chatte embrasée, il passa ses bras sous mes genoux pour écarter mes cuisses en grand et agrandir les frictions de nos deux corps l'un contre l'autre. Il me serrait fermement les fesses au rythme de ses poussées plongeant sa tête entre mes miches pour mieux sucer mes tétons. Mon corps commença à trembler alors que je m'accrochais à ses épaules, j'haletais alors que des ondes de plaisir parcouraient mon corps des pieds à la tête. La mine satisfaite qu'arborait Yan ne faisait qu'accroître mon excitation, peut-être bien que de savoir que ce serait la dernière fois que Yan me sauterait y contribuait aussi, mais bientôt un orgasme incontrôlable me terrassa. Je hurlais mon plaisir en frétillant dans ses bras. Impitoyablement Yan continua à me labourer jusqu'à ce que je jouisse une seconde fois, de façon encore plus intense que la première.

Lorsqu'il me délaissa, je glissais au sol de la douche, les jambes tremblantes, folle de honte.

- J'ai dit à Jean que t'étais partie lorsque mes copains sont arrivés, que t'avais l'intention de faire une partie de lèche vitrines avant de retourner à la station de bus. M'informa Yan fortuitement :

- De toute façon, n'oublie de me laisser le masque, à moins que tu ne veuilles le garder en souvenir !

Puis il partit en ricanant. Je me lavais des pieds à la tête et remis mes vêtements. Je me glissais discrètement jusqu'à la porte, priant pour que personne ne m'empêche de partir.

A suivre…

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