lundi 17 décembre 2018

A la merci de mon beau-frère. Ch 11

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Aidée d'une amie elle se venge de son beau-frère.

Je passais les semaines qui suivirent mon épreuve dans la nouvelle maison de Yan, au lit. Je ne me levais plus, gisant dans mon lit jour après jour. Jean se tracassait énormément de me voir dans cet état, il faisait de son mieux pour prendre soin de moi, je ne parvenais pas à sortir de cette déprime. Je me conduisais en victime impuissante.

D'étranges idées me traversaient : je m’imaginais que si je sortais, le premier homme que je croiserai me sauterait dessus pour me baiser. Aussi restais-je bien à l'abri, en sécurité sous mes couvertures, revivant chaque instant de mes viols. Le pire c'était d'évoquer les instants ou je répondais aux assauts de Yan, jouissant sous lui. Alors que j'aurai dû être révulsée, j'avais joui avec une belle constance. Peut-être bien que Yan avait raison, que j'étais la dernière des salopes.

Bien sûr Jean avait insisté pour que je lui confie ce qui me tracassait. Je ne pouvais pas lui dire la vérité, mais je tentais de lui fournir une maigre explication. Aussi lui racontais-je que Richard, l'ami de Yan, m'avait violée. Il était incontestablement choqué, il m'entourait de toute sa sympathie. Il chercha à m'aider, et parvint rapidement à la conclusion que je devais consulter des professionnels de ces traumatismes.

Aussi un matin ensoleillé me retrouvais-je dans la salle d'attente d'un psychiatre. La réceptionniste s'excusa du retard qu'avait pris les consultations et m'offrit un thé aux herbes aromatiques. Les magazines dans la salle d'attente ne m'intéressaient pas aussi engageais-je la conversation avec l'unique autre occupante de la salle d'attente. Il s'agissait d'une jeune femme d'une beauté stupéfiante, elle semblait très confiante.

Les semaines suivantes je la vis régulièrement, ses rendez-vous précédaient généralement les miens. Bien que le psychiatre fît de son mieux pour m'aider, j'avais beaucoup de mal à lui confier mes épreuves et mes sentiments. Il s'avère que je discutais plus de mes stress avec April qu'avec mon psychiatre. Je ne comprenais pas pourquoi April consultait un psychiatre, jusqu'au jour où elle me dit que jusqu'à ce jour elle était un homme.

Lorsque je fus remise du choc, je lui confiais ce qui m'était arrivé. April était une auditrice des plus sympathiques et me tint à peu près le même discours que le psychiatre. Cependant elle différait sur une chose importante. Elle me disait que je n'étais en aucun blâmable pour ce qui m'était arrivé mais elle ajoutait que le seul moyen de retrouver la paix serait de me venger de Yan.

Chaque semaine elle avait de nouvelles idées de conduire ma vengeance, certaines étaient cinglées et parfois cruelles. Je résistais à la tentation jusqu'au jour où je reçus un coup de fil de Yan. Il me téléphonait pour me dire qu'il n'avait pas retrouvé de filles avec une chatte aussi accueillante que la mienne, aussi voulait-il que je reprenne mon service. Il me menaça, si je refusais, d'envoyer à Jean, une paire de photos compromettantes sur lesquelles je me faisais baiser à couilles rabattues par plusieurs hommes à la fois.

J'arrivais à ma visite chez le psychiatre tremblante comme une feuille, choquée April me fit lui dire ce qui m'arrivait. Elle me dit que si je ne faisais rien, Yan me ferait chanter, me forçant à baiser avec n'importe qui tant qu'il en aurait envie. Je dus bien admettre qu'elle avait raison, aussi me penchais-je sur ses plans avec beaucoup plus d'attention.

En conséquence, le week-end suivant, je me retrouvais assise dans une baraque noire dans l'arrière salle d'un infâme troquet, attendant la venue de Yan. Je lui avais téléphoné la veille et lui avais dit que je ferai tout ce qu'il voudrait. Son rire satisfait avait dissipé mes derniers doutes, j'adhérais alors étroitement au plan concocté par April.

J'aperçus Yan se dirigeant vers moi dans le noir, je plongeais en avant dissimulant mon visage sous le capuchon de ma cape. Yan avait une bière à la main, il s'assit dans le box juste à côté de moi. Il eut juste le temps de siroter une gorgée de sa bière avant qu'April ne se glisse à côté de lui. Elle portait une tenue excrément provocante : une robe minuscule, les jambes gainées de soie noire. Je n'entendis pas ce qu'elle lui murmurait à l'oreille, mais tout de go il se mit à rire avec elle alors qu'il posait sa main sur sa cuisse. Aussitôt ils se roulèrent des pelles passionnées et j'entendis clairement Yan inviter April à venir le voir chez lui.

- Pourquoi attendre si longtemps ? Lui susurra voluptueusement April.

- Je te veux maintenant ! Allez mec, baise-moi sur l'heure !

- Tu veux que je te baise ici ? La questionna Yan incrédule.

- Et pourquoi pas... Ces box sont bien cloisonnés, personne ne nous verra baiser ! Si je m'agenouille sur la banquette tu peux te poster face à moi pour me sauter ! Et je te dis que si tu me baises ici, tu pourras même m'enculer !

Yan réfléchit quelques secondes et entreprit de déboutonner sa braguette. Il se posta devant April exactement comme elle le lui avait suggéré, et je les entendis bientôt grogner et gémir en chœur. Toutefois April avait demandé au propriétaire du club, un de ses amis, de les laisser installer une caméra dans ce box. Je voyais clairement ce qui se passait sur un écran, tout comme d'autres consommateurs pouvaient le voir.

Yan semblait adorer ce qu'il faisait, et apparemment April passait un bon moment. Juste à l'instant ou Yan jouissait, April cligna de l'œil vers la caméra, se saisit de la main de Yan et la posa fermement sur sa bite. 

Absorbé par son plaisir Yan mit un moment à réaliser ce que signifiait ce qu'il tenait en main. Il poussa un cri outragé et se jeta en arrière, la bite crachant ses derniers jets dans l'air. Connaissant Yan comme je le connais, je ne fus pas surprise lorsqu'il leva la main pour gifler April en pleine figure. 

Mais il fut tout surpris de voir sa main saisit dans une forte étreinte. Se retournant il se vit encerclé par une meute de jeunes gars vêtus de cuir qui jouaient au billard quelques instants plus tôt. Il s'agissait là de copains d'April. Sans dire un mot l'un d'entre eux lui colla un uppercut en pleine face, puis ils le traînèrent vers la table de billard et le penchèrent dessus. Ils lui retirèrent son pantalon et son caleçon, et l'enculèrent chacun à leur tour.

Je me sentais envahie de pitié en l'entendant hurler, je me rappelais ce que j'avais ressenti lorsque j'avais dû subir la même épreuve. April, au contraire, semblait ravie. Elle faisait le tour du billard en filmant chaque instant de la dégradation de Yan.

Lorsqu'ils eurent fini de l'enculer, ils le forcèrent à s'agenouiller pour nettoyer leurs bites souillées. Lorsqu'il faisait mine de se rebeller, ils le frappaient, puis ils le menacèrent de lui foutre un énorme godemiché dans le cul, un leurre semblable à celui dont il m'avait menacé.

Apitoyée, je ne voulais pas en entendre et en voir plus. Je m'avançais pour faire cesser son épreuve. Je m'adressais à April pour lui demander de dire à ses amis de cesser. Elle me jeta un coup d'œil compatissant et me dit d'écouter attentivement ce que Yan leur disait. Lorsqu'il n'avait pas de bite en bouche, il les suppliait d'attendre un peu.

-  Une fille doit me rejoindre... Elle est vraiment très chaude, une vraie salope, vous pourrez la baiser par tous ses trous ! Elle sera là dans quelques minutes... Les gars croyez-moi ! Sa chatte est très étroite et son trou du cul accueillant... Elle suce les bites comme une vraie pro ! Dans quelques instants elle sera là, je lui dirai de faire tout ce que vous voudrez !

Je ne sais pas pourquoi je ne m'attendais pas à ce qu'il m'offre à sa place. Mon apitoiement s'enfuit aussi vite qu'il m'était venu. Avant notre départ, April montra à Yan quelques rushs des films qu'elle avait enregistrés et quelques photos de lui se faisant enculer comme une fiote.

- Tu vas fermer le site que tu as ouvert dont mon amie est la vedette ! Lui intima-t-elle.

Yan se rendit alors compte de ma présence, sa mâchoire s'en décrocha de stupeur.

- Je veux aussi que tu détruises toutes les photos, les négatifs et les bandes vidéo dont elle est la vedette. Sinon, les photos et cassettes que nous venons de tourner apparaîtront dans des endroits qui t'embarrasseront énormément. En outre si tu lèves encore ne serait-ce que le petit doigt sur elle, ou si tu la menaçais de quelque façon que ce soit, mes amis te rendront une petite visite. Nous avons emprunté la clef que tu as donnée à ton frère et on en a fait une copie. A bon entendeur !

- C'est d'accord... Soupira Yan anéanti, me fusillant du regard.

- Bien, et juste pour t'aider à t'en souvenir prends ça !

Et, sans aucun avertissement, elle lui enfila l'énorme gode dans le trou du cul. En partant on entendait encore ses hurlements de douleur qui retentissaient dans la nuit.

Je ne sais pas si c'est le résultat de ma vengeance, mais je me suis sentie définitivement débarrassée de ce poids et de plus en plus confiante au fur et à mesure des jours qui s'écoulaient. De voir la personne qui m'avait si ignominieusement forcée à lui obéir se retrouver à son tour dans la position de la victime me permit de comprendre que ce n'était pas de ma faute si Yan avait fait de moi son esclave sexuelle.

De plus je n'avais plus à trembler de peur à chaque fois que le téléphone sonnait pour nous inviter à une réunion de famille. Yan faisait de son mieux pour m'éviter, visiblement il avait pris les menaces d'April au sérieux.

Ma vie reprit un cours plus ou moins normal. En fait, Les conséquences à long terme des actes que Yan m'avait obligés à accomplir se firent positives. Non seulement j'ai gagné une amie très chère en la personne d'April, mais ma vie sexuelle avec Jean s'est notablement enrichie, ce qui ne fit que renforcer notre mariage.

Aussi ne me plains-je plus maintenant d'avoir été à la merci de mon lubrique beau-frère.

FIN

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