Sévices militaires - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Vidéo de la femme du capitaine.Vendredi soir.
Comment ai-je pu en arriver là ? C'est la question que je n'arrête pas de me poser depuis que David et ses sbires ont fait de moi une véritable chienne, une salope soumise. Je déambule dans mon logement de fonction uniquement vêtue d'une nuisette transparente avec des bas noirs retenus par un porte-jarretelle. Je suis perchée sur des talons aiguilles de 12 cm. Il est à peine 20h00. Mes enfants sont chez ma mère pour le week-end. Ce n'est pas que j'en avais envie mais David me l'a ordonnée. Il a des projets et m'a demandé d'être disponible pour tout le week-end.
On sonne à ma porte et je vais ouvrir, le cœur battant la chamade. David entre et apprécie d'un coup d'œil ma tenue pour l'accueillir. Il m'avait demandé d'être habillée en pute. Il m'embrasse goulûment, sa langue s'enroulant autour de la mienne. Sa main me malaxe durement un de mes seins à travers la soie de la nuisette. Il me donne une claque sur les fesses et me pousse dans le salon.
- Tes enfants sont chez ta mère ?
- Oui, comme vous me l'avez demandé.
Je lui réponds avec respect. Suis-je devenue folle ? Accroc au sexe ? Je me souviens des orgasmes que j'ai eus depuis que je connais David. Il sort un DVD de la poche de son treillis.
- T'as un lecteur ?
J'acquiesce et mets le DVD dans la machine. Le film démarre. Il fait sombre, c'est mal tourné, un film amateur à n'en pas douter. J'entends de la musique, des cris, des rires. Je reconnais David et Audrey. Plusieurs hommes, six, sont dans la pièce que je ne reconnais pas mais qui ressemble à mon propre salon. J'en conclus donc qu'il a été tourné chez une des épouses d'officiers devenues les esclaves sexuelles de David. Les hommes sont pour la plupart masqués.
Une musique retentit soudain, une musique que je connais. C'est la chanson de Joe Cocker rendue célèbre dans le monde entier par le film « 9 semaines ½ », la fameuse scène ou Kim Basinger fait un strip-tease d'enfer à Mickey Rourke. Des sifflets retentissent, des éclats de rire. La caméra se tourne vers l'escalier qui conduit aux chambres et je distingue une paire de jambes qui les descend. Gainées de bas, terminées par des escarpins, je me demande à qui elles appartiennent. Je ne suis pas vraiment surprise quand je reconnais Elisabeth, la femme du capitaine. Elle est rougissante et baisse la tête quand la camera la filme en gros plan.
Elle est habillée d'une robe courte assez classe genre « robe de cocktail ». Des mains la poussent au milieu du salon et elle doit se déhancher sur la chanson de Joe. David s'approche de moi et plonge deux doigts dans ma chatte.
- Ça a été tourné hier soir, tu vas voir, elle en a pris plein le cul l'épouse du capitaine.
Ma respiration s'accélère. L'index de David explore mon intimité et je donne des petits coups de bassin. Sur l'écran, la scène continue. Elisabeth a enlevé sa robe. Elle est maintenant nue à part ses bas et ses talons. Des hommes s'approchent d'elle et commencent à lui palper ses seins. Ils jouent avec. Ils s'amusent à les soulever, les lécher. Ils lui mordillent les tétons. Elisabeth pousse des couinements par moment. On entend des commentaires.
- Quels seins ! Des vraies pies de vaches.
Éclats de rire. Gémissements d'Elisabeth. On lui intime l'ordre de se mettre à quatre pattes sur la moquette du salon. Les hommes se positionnent tous sur le canapé, le sexe à l'air, en érection, prêt à recevoir l'offrande de la belle bouche de cette bourgeoise avilie. Elle doit avancer, son cul remuant sous les yeux de ces pervers. On lui donne une tape sur les fesses à chaque passage. Ses gros seins bougent à chaque pas. Elle s'arrête devant le 1er homme et elle empoigne la bite dressée avec sa main manucurée. Celui qui filme fait un gros plan et on aperçoit parmi les nombreuses bagues de valeur qui ornent sa main, l'alliance rutilante.
David me pousse vers mon canapé et me positionne à quatre pattes également mais les yeux tournés vers le téléviseur pour que je puisse continuer à « mater » le film. Je pousse un gémissement sourd quand il introduit son index dans mon anus.
- Je vais t'enculer salope. Me susurre-t-il dans le creux de l'oreille.
Je frémis. Il fait coulisser son doigt et une fois de plus, je réponds en ondulant du bassin.
Sur l'écran, Elisabeth s'active sur toutes les queues qui se présentent à elle. Sa tête monte et descend avec professionnalisme. On a l'impression de regarder un film X. Pendant qu'elle pompe avec vigueur une queue, un des hommes se met derrière elle et l'enfourne. Elisabeth pousse un cri étouffé par la bite qu'elle suce. L'homme lui claque les fesses et commence à s'activer sur elle, lui donnant de grands coups de reins l'emmanchant totalement.
Je sens la queue de David forcer mon trou du cul et je me crispe bien malgré moi. Je n'ai pas encore l'habitude. Il pousse et mon anus s'ouvre d'un coup, lui facilitant le passage. Je pousse un hurlement quand je sens sa bite qui s'introduit dans mes fesses. Dans un réflexe, David me bâillonne avec sa main et rien que ce geste suffit à me faire jouir. Il commence à bouger, me donnant des coups de reins de plus en plus violents
La pauvre Elisabeth est maintenant occupé avec trois hommes. Empalée sur une bite dressée, elle en suce un autre pendant qu'un troisième l'encule sauvagement. Les 3 hommes alternent leurs coups de queues. Ses gros seins ballottent dans tous les sens. On entend plus que les gémissements de la femme du capitaine, les crépitements des flashs des appareils photo, et les rires gras des hommes.
David me bourre comme un sauvage. Il sort par moment pour s'enfoncer encore plus loin m'arrachant un cri de douleur à chaque pénétration. Il alterne entre mon cul et ma chatte. Je le sens qui s'enfonce de toute sa longueur.
Les cris d'Elisabeth font écho avec les miens. A tel point que j'ai l'impression qu'elle est dans la pièce avec moi. Elle est en train de se faire prendre en levrette par un black qui a une queue énorme. Elle pousse un hurlement déchirant quand il l'encule. Ses fesses blanches tressautent sous les formidables coups de boutoir du black. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Elisabeth secoue sa tête dans tous les sens, le suppliant d'arrêter. Pour la faire taire, un des hommes lui enfonce sa bite dans sa bouche et l'empoignant par les cheveux, il commence à la guider.
David se retire et m'asperge le visage de son foutre poisseux. Des filets de spermes giclent. J'en ai dans les cheveux et sur mon menton. Je sens des filaments qui coulent et vont s'écraser sur mes seins.
Elisabeth est à genoux au milieu de la pièce, entourée par les 6 hommes qui se branlent frénétiquement. Elle doit en sucer encore quelques-uns, palper leurs couilles. Puis un par un ils éjaculent, arrosant son visage de leurs semences.
Le film s'arrête là. David récupère le DVD pendant que je m'essuie le visage. Il me donne alors ses dernières instructions. Il m'explique qu'après avoir subi ce gang-bang, Elisabeth lui a parlé de sa belle-mère, Brigitte, la très distinguée épouse du Député que David rêve de posséder et d'avoir dans son « cheptel » de femmes soumises. Il semble difficile de la piéger. Elle n'a, à priori, jamais trompé son mari. Une femme exemplaire, lance t'il en ricanant. On a donc décidé de forcer le destin. Il m'explique le piège ignoble dans lequel il compte précipiter l'épouse du Député.
Samedi après-midi.
Nous roulons en direction du centre-ville, David en civil, conduit la voiture du commandant qu'il a emprunté. Je suis vêtue d'un chemisier en satin violet sur une mini-jupe en cuir noir avec des bas coutures. David a exigé que je m'habille comme ça pour m'humilier bien sûr. Je tremble à l'idée de croiser quelqu'un de ma connaissance. David se gare et nous nous dirigeons vers la galerie commerçante où se trouve plusieurs magasins de luxe. Les bourgeoises de la ville viennent y faire leurs emplettes le samedi et la galerie est bondée. Nous nous dirigeons vers une boutique de lingerie fine d'une marque réputée. Je la connais, j'y ai déjà acheté des bas et des porte-jarretelles.
David me désigne une femme d'âge mur qui semble hésiter entre une guêpière et un soutien-gorge qui doivent certainement coûter un an de salaire d'un ouvrier moyen. Je reconnais Brigitte. Elle est vêtue d'une jupe droite avec un chemisier blanc. David me pousse dans le dos.
- Vas-y, tu sais ce que tu dois faire.
Je le sais en effet. Il m'a tout expliqué hier soir. Le responsable de la sécurité de la galerie est un ancien de l'armée qui connait David. Je dois m'arranger pour glisser dans le sac à main de Brigitte un sous-vêtement quelconque ce qui aura pour effet de faire sonner l'alarme quand elle sortira du magasin. Le vigile, complice bien sûr, s'occupera du reste.
Je rentre dans le magasin et m'approche mine de rien de l'épouse du Député. David prend un risque. Elle pourrait me reconnaître, je l'ai croisé lors de la cérémonie où Elisabeth a été baisée dans les bois par David. Mais Brigitte ne me voit même pas, trop occuper à regarder la lingerie affriolante qui s'expose sous ses yeux. Elle ne se rend compte de rien quand je glisse subrepticement un string dans son sac à main. Je m'éclipse aussitôt. Rejoignant David qui me félicite en me flattant discrètement la croupe. Brigitte se dirige vers la caisse, elle a choisi une guêpière blanche, et elle paie avec sa carte bleue.
Quand elle veut sortir, la sonnerie de l'alarme carillonne la faisant sursauter et violemment rougir. Tous les regards se tournent vers elle et le vigile se précipite demandant à fouiller son sac. Rouge de honte, la femme du Député proteste :
- Mais vous plaisantez j'espère ! C'est votre appareil qui a un dysfonctionnement ! Vous ne savez pas qui je suis !
Le vigile n'en démord pas et, arrachant presque le sac, l'ouvre et y découvre le string. Brigitte devient encore plus rouge et bafouille :
- Mais, mais, comment ? je vous assure que…
- Mais oui, mais oui Madame. Vous allez me suivre.
Le vigile et Brigitte sortent du magasin et passent devant nous. Je baisse les yeux, honteuse. Je regarde Brigitte qui continue de protester de son innocence, tenue fermement par le vigile qui l’entraîne vers le bureau de la sécurité.
A suivre...
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