samedi 15 décembre 2018

Mon aventure Ch. 01

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Soumise à mon voisin.

Il s'agit d'une longue histoire. Elle a commencé sur un flirt et s'est transformé en quelque chose de plus grand. Ma vie est pleine de surprises tous les jours. Je vais vous raconter.

Je suis une petite femme. Je n'ai jamais atteint les 1m60. J'ai 39 ans mais j'en parais 29. Mes seins sont assez gros et toujours ronds et fermes. On dit de moi que je suis bien conservée.

Je n'ai jamais dépassé les 50 kilos sauf quand j'étais enceinte. Je me suis mariée à la sortie du lycée, assez jeune pour avoir besoin de la permission de mes parents. J'ai rencontré Jack la dernière année du lycée. Nous sommes sortis ensemble pendant environ 6 mois puis nous nous sommes mariés.

Nous avons eu notre première fille en septembre, 10 mois après notre mariage. Puis vint Avril et ensuite notre fille surprise Janvier, peu de temps après.

Jack a un excellent travail. Financièrement nous sommes bien. Notre vie familiale est épanouie et continue de s'améliorer, surtout depuis les récents événements.

Septembre a maintenant 20 ans avec de longs cheveux blonds. Elle est grande. Elle était pom-pom girl. Donc vous pouvez vous imaginer ses longues jambes, son joli petit cul et une belle poitrine.

Avril a 19 ans avec des cheveux châtains. Elle n'est pas aussi grande que sa sœur mais est construite de la même façon. Elle est mince et bronzée car elle a fait partie de l'équipe de tennis de son école et elle a participé à quelques épreuves d'athlétisme.

Mes deux filles les plus âgées ont eu des petits amis au lycée mais elles sont libres actuellement. Je suis certaine que ni l'une ni l'autre n'était vierge quand elles ont obtenu leur diplôme. Une mère sent cela.

Janvier a 18 ans. C'est mon bébé. Oui nous avons donné comme prénom à nos filles leur mois de naissance. Jack plaisante souvent sur le fait que nous aurions pu faire un calendrier.

Janvier est différente de ses sœurs. Elle a les cheveux foncés, des jambes bien musclés et un gros cul. Mais elle n'a pas de poitrine. Ses seins n'ont jamais poussé plus gros que deux tasses.

Depuis leurs naissances, j'ai vu mes filles nues. Je sais maintenant que Jack aussi. Janvier semble être la plus timide mais cela ne veut rien dire. Elle porte toujours des mini-jupes avec seulement un string généralement.

En tant qu'adolescente, elle ne fait pas toujours attention à sa manière de se tenir autour de la maison. Et elle se sait pas ou ne se soucie pas que quelqu'un puisse avoir une belle vue quand elle monte ou descend les escaliers.

Mes filles s'habillent dans leurs chambres. Donc il n'est pas rare de les voir dans le couloir entre la chambre et la salle de bain avec une seule serviette sur elles.

Je suis à peu près sûre que Janvier a déjà fait des trucs avec les garçons, et peut-être avec des filles aussi. Mais je ne pense pas qu'elle soit expérimentée, peut-être seulement des jeux de mains avant les événements récents.

Pour ma part, j'ai eu quelques petits amis et quelques aventures avant Jack. Je n'ai jamais eu de problèmes à lui ouvrir les jambes ou la bouche au début. Jack et moi avons fait différentes choses au fil des ans afin de garder vivace notre vie sexuelle.

Jack mesure 1m80 avec une bite épaisse de 18 centimètres. J'ai pris cette queue volontairement dans mes trois orifices. Nous jouons souvent dans une relation de domination soumission avec moi comme soumise. A 39 et 40 ans nous sommes très actifs et mon mari aime bien pimenter les choses.

L'été dernier, j'eut une semaine de repos. Je décidai alors de travailler au jardin. Jack partit au boulot pendant que je prenais mon café dehors, examinant nos plantations de fleurs.

Janvier traversa la cour, me criant qu'elle allait voir un ami. Avril fit de même en disant qu'elle était en retard pour son travail au magasin de vidéo. Septembre rit en regardant ses deux sœurs et elle s'arrêta près de moi pour me donner un bisou sur la joue. Puis elle partit travailler dans son restaurant.

Quand je vérifiai ma montre, je réalisai que ce qui m'avait semblé quelques minutes était devenu une heure et demi. Je décidai de me mettre au travail. Comme en ce début de matinée il commençait déjà à faire chaud, je partis me changer. J'enlevai mon tee-shirt et mon jean pour prendre un débardeur et un short.

Je fus surprise quand je retournai dehors. Un grand homme noir était appuyé contre la clôture de derrière et me regardait. Il me sourit et je rougis. Il se présenta. Il s'appelait Sam et était un voisin dans la rue. Nous bavardâmes alors que je commençai à travailler. Il décida alors de m'aider à déplacer les choses : les chaises, la table de jardin, les pots de fleurs. Nous lavâmes les meubles de jardin et taillâmes quelques buissons. Bientôt nous étions en train de travailler côte à côte et je le sentais me frôler.

J'eus plus que quelques picotements quand son avant-bras frotta ma poitrine, quand sa main frôla mon cul et quand je pus sentir son souffle dans mon coup. Je le remerciai pour son aide et je lui offris de l'aider en retour.

- Je vous le rappellerai. Me dit-il.

Je sentis une douleur dans mon ventre et je réalisai qu'il était midi passé et que je n'avais pas mangé. Comme je me pliai sous la douleur, Sam s'approcha. Et quand je trébuchai vers lui, il enroula son bras musclé autour de moi tout en posant sa main sur mon cul.

Je retrouvai mon équilibre et Sam me libéra. Je lui demandai s'il voulait venir déjeuner avec moi. Un fois à l'intérieur, Il me demanda où étaient les toilettes. Je lui désignai le couloir et j'enlevai mes gants de jardinage.

J'étais en train de me laver les mains quand Sam arriva derrière moi. Il pressa son aine contre mon cul et il passa ses mains pour attraper mes seins.

J'attrapai une serviette et je m'échappai de son étreinte. Il recula et commença à enlever son pantalon. Bien sûr, je commençai à protester jusqu'au moment où sa bite à moitié raide apparut.

Je fus désorientée. Je voulais parler mais je ne pouvais pas. Je suis marié, j'aime mon mari mais je ne sus pas que faire.

Sam sourit à mon hésitation et il me montra son sexe du doigt en disant :

- Suce ma bite!

Il s'approcha et posa ses mains sur mes épaules.

- Cela n'a rien à voir avec ton mari. Je ne cherche pas de petites amies ou de femmes. C'est juste du sexe. Dit-il catégoriquement.

Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux. Et il ajouta :

- D'ailleurs, tu m'as proposé de m'aider à chaque fois que je le voudrais. J'ai donc besoin de ton aide maintenant.

Je me retrouvai à genoux, face à sa bite, à quelques centimètres d'une grosse et longue bite noire pour la première fois de ma vie. Je haussai les épaules et commençai à avancer la main. Ce ne serait pas la première queue que je sucerai.

Dans ma tête, mes pensées tourbillonnaient : « Que dirai-je à Jack? Devrai-je le faire? Comment avais-je pu me mettre dans cette situation? »

Je me résignai à en finir puis de l'expliquer à Jack avec tact et de lui promettre de ne pas recommencer. Ma saisit le membre quand mon voisin dit d'une voix plus grave :

- Si je voulais qu'une main fasse le travail, je le ferais moi-même. Je t'ai dit de me sucer.

J'enlevai ma main et ouvrit la bouche pour avaler la bite. Je la sentis grandir en suçant le gland. Puis je bougeai ma bouche sur le bout de la queue tout en faisant tourner ma langue. Comme la queue durcissait, je commençai à l'avaler complètement et à bouger ma bouche de haut en bas.

Mes mains voulaient le toucher. Mais quelque chose dans sa façon de parler me fit me sentir impuissante. Je mis mes mains dans mon dos. Il me sembla qu'il était content.

Cette bite était plus grosse que celle de Jack mais pas tant que ça. Ma bouche s'habitua à la taille et l'avala complètement. Puis je reculai et baissai mon visage pour pouvoir lécher et sucer ses couilles.

Il gémit alors que je suçais chaque couille. Je retournai à sa bite, bougeant ma tête de haut en bas. Sa queue était humide et s'enfonçait un peu plus dans ma bouche à chaque coup. Je le sentis gicler un jet de sperme pendant qu'il laissa échapper un long gémissement. Il y eut un deuxième jet puis un troisième. Je ne pus m'empêcher d'attraper son membre.

J'avalai son sperme et pressai sa bite en la tirant dans ma bouche pour récupérer toute sa semence. Puis je reculai et enroulai mes lèvres sur son gland en aspirant. Il me repoussa, sa bite sortant de ma bouche avec un « pop ».

- Maintenant, je suis prêt à déjeuner. Dit-il.

Il s'installa sur une chaise sans remettre son pantalon. Il ne portait qu'une chemise. Je me souviens avoir regardé ses pieds et m'être demandée quand il avait pu enlever ses chaussures et ses chaussettes.

Je me retournai et préparai le déjeuner, le goût de son sperme dans ma bouche jusqu'à ce que je prenne un verre de thé glacé. Je lui servis un sandwich avec des frites et un verre de thé. Je m'assis en face de lui. Il n'avait toujours pas remis son pantalon. Je ne savais pas que dire et je me demandai ce qu'il pensait. Je commençai à manger quand il dit :

- Enlève tes vêtements que je ne sois pas tout seul à être nu.

Je levai la tête, surprise par ces paroles. Ce n'était pas une demande, c'était un ordre. Il ajouta :

- Je vais te baiser après le déjeuner.

Mon esprit voulut protester. Mais je me dis que j'étais déjà aller si loin. Je me levai et enlevai mon débardeur. Alors que je le tenais devant moi, Sam fit un geste pour me demander d'approcher. Il prit le vêtement et le laissa tomber sur le sol.

Il prit mes mains et les mit sur mes côtés. Son pouce et son index tordirent et roulèrent mes mamelons. Ceux-ci durcirent alors que je ne bougeais pas, les mains sur les côtés comme s'il les avait attachées. Plusieurs minutes s'écoulèrent pendant qu'il manipula ma poitrine. Il me pinça les tétons et j'eus mal. Il m'attira vers lui et suça chaque mamelon. Puis, ayant goûté aux deux, il me relâcha et se pencha en arrière sur la chaise.

- Le short maintenant! Dit-il.

Je descendis mon short le long de mes jambes. J'étais nerveuse en pensant à Jack et mes filles, mais je ne voyais pas d'autre solution. Je sortis de mon short et je me tins devant lui avec seulement une culotte.

Il tendit la main et passa le majeur entre mes jambes. Puis il me regarda et fit un geste. Je baissai les yeux, embarrassée soudainement à l'idée d'être nue devant cet homme. Je réfléchis et je me résignai à finir le travail. J'enlevai ma culotte.

Sam me regarda et revint à son assiette. J'étais mal à l'aise, debout nue alors qu'il commençait à manger. Alors je suis allée m’asseoir sur ma chaise en face de lui. Nous avons discuté comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Nous avons mangé, parlé du quartier, de nos emplois, de la famille. Sam avait l'air très intéressé par ma famille et surtout par mes filles. Je compris pourquoi plus tard.

Après le déjeuner, je jetai les assiettes en papier à la poubelle et j'allai à l'évier avec mon verre. Sam fut de nouveau derrière moi et il posa ses mains sur mon cul.

Je ne savais pas que faire, me retourner et m'échapper ou juste en finir. En fin de compte, j'ouvrai mes jambes et arquai mon cul vers lui. Je sentis ses doigts séparer mes petites lèvres par derrière alors que son autre main montait à mes seins pour tordre et pincer à nouveau mes tétons.

Ses doigts jouèrent avec ma fente pendant quelques minutes et soudain je sentis un doigt me pénétrer. Sa main glissa contre ma peau. Je me rase le sexe. Je laisse juste un peu de poils pubiens taillés en v au-dessus de ma chatte.

Je sentis son doigt me pénétrer jusqu'à ce qu'il soit complètement à l'intérieur. Ma chatte devait déjà être humide car elle n'offrit aucune résistance. Un frisson traversa mon corps.

Je poussai mon corps en arrière sur son doigt alors qu'il le faisait tourner dans mon vagin. Puis il commença lentement à l'enlever et le remettre. Je sentis que ma chatte était vraiment humide. Ses doigts tirant sur mes mamelons envoyaient des ondes de choc à mon clitoris. Comme s'il lisait dans mes pensées, ses doigts trouvèrent mon clito et le frottèrent de haut en bas. Je pus sentir à quel point ses doigts étaient humides alors qu'il caressait cet endroit sensible.

Enfin, il me détourna de l'évier et me plia sur la table. Il écarta mes jambes. Puis il remit son doigt dans ma chatte et me baisa avec pendant quelques secondes. Puis tout d'un coup le doigt ne fut plus dans mon vagin et je le sentis près de ma bouche.

Il glissa son doigt entre mes lèvres et je goûtai mon propre jus. Après l'avoir bien sucé, Sam recula pour regarder ma chatte ouverte et humide. Il dit :

- Peut-être que la prochaine fois je baiserai aussi ton cul.

Mon esprit se perdit dans l'idée qu'il y aurait une prochaine fois. Puis je fus ramenée à la réalité par la sensation d'une bite frottant mon sexe. Je la sentis à l'entrée, puis je sentis le gland dans ma chatte. Sam avança et quelques centimètres de sa queue entrèrent.

Sa bite était plus grande que celle de Jack, mais pas tellement plus par contre elle était plus épaisse. Je gémis alors qu'il se retira un peu afin de pousser à nouveau pour mieux enfoncer son engin dans ma petite chatte. Bien qu'ayant eu trois enfants, ma chatte était encore petite et serrée.

Elle s'ouvra pour l'accueillir mais je la sentais bien. Sam était beaucoup plus grand et costaud que moi. Pendant un moment je pensai à la scène que verrait quelqu'un : Un grand homme noir mettant sa grosse bite dans une petite chatte blanche.

Au bout d'un moment, il fut complètement à l'intérieur de moi. Je pouvais sentir ses poils pubiens contre mon cul. Il resta un moment immobile, content de m'avoir complètement pénétrée.

Ma chatte était remplie et je m'habituai à cette sensation. Puis Sam recula et s'avança de nouveau. Il le fit lentement, sortant presque toute la longueur de sa queue avant de la glisser de nouveau à l'intérieur. Mes seins étaient écrasés sur la table et je réalisai que mes mains tenaient le bord opposé alors qu'il pilonnait ma chatte encore et encore.

Mon sexe serra sa queue à chaque coup de reins. Pour s'adapter à mon gabarit ses genoux étaient pliés. Après quelques coups de plus, il se retira en disant :

- Maintenant c'est le moment de bien baiser.

Il me retourna. Il me bougea comme une poupée de chiffon, plaçant mon cul au bord de la table. Il attrapa mes chevilles et écarta mes jambes largement. Je sentis son sexe se présenter à l'entrée du mien puis il poussa vers l'avant dans s'arrêter. Je sentis ses poils pubiens sur mon clitoris.

- Mmmmmm, belle petite chatte serrée. Gémit-il.

Je me souvins que je n'avais rien dit depuis que nous avions fini de manger. Maintenant je m'entendis gémir alors qu'il me baisait avec fougue. Quelque chose dans sa façon de faire et de me parler m'excitait. Il m'appela « sa petite salope blanche ». Cela sembla l'exciter lui aussi.

Il respirait fort et me baisait rapidement, claquant sa bite dans mon vagin. Bien que je ne le dise pas à haute voix, je pensai « Oh oui, fourre cette grosse bite dans ma chatte, prends-moi »

Je levai la tête alors qu'il tenait mes jambes ouvertes avec ses avant-bras. Je regardai se bite me pénétrer et je fus étonnée que non seulement ma petite chatte acceptait cette grosse bite noire mais qu'elle semblait la sucer.

J'étais en feu et excitée par cet homme qui me baisait. Il alla de plus en plus vite et poussa un grognement alors qu'il se vidait en moi. Je n'avais pas pensé à son sperme dans ma chatte mais je l'acceptai naturellement. Je prenais la pilule alors je ne m'inquiétai pas de tomber enceinte. Je me mis plutôt à penser à mon mari et à sa réaction s'il savait que ma chatte accueillait le sperme d'un autre homme. En fin de compte, j'étais ce que Sam disait : Une petite chatte blanche et chaude.

Après avoir vidé ses couilles en moi, il fit quelques va-et-vient supplémentaires avant de se retirer. Il recula les mains sur les hanches puis il me regarda pour voir son foutre couler le long de mes petites lèvres écartées.

Je vis sa bite, brillante de sperme entre mes seins qui se soulevaient. J'étais en train de reprendre mon souffle quand il fit un geste vers le bas en ordonnant :

- Suce et nettoie!

Je n'hésitai pas. Je me mis à genoux et je le pris dans ma bouche. Comme une bonne fille, je tins mes mains derrière mon dos. J'utilisai ma bouche et ma langue pour nettoyer entièrement sa queue jusqu'à ce qu'elle ne soit plus recouverte de sperme mais seulement de ma salive. Je travaillai encore sous sa queue et sur ses couilles pour enlever les dernières gouttes de foutre.

- Bonne fille! Me dit-il.

Je me sentis fier. Son sperme dégoulinait de ma chatte sur mes jambes et je réalisai que je n'avais pas joui. Il me sembla naturel que je fusse là pour le satisfaire et non le contraire. En fin de compte cette idée m'excita.

Je voulais aller dans ma salle de bain pour frotter son foutre sur mon clitoris jusqu'à ce que je jouisse. Mais il me regarda et je constatai soudainement qu'il tenait un téléphone portable et qu'il prenait des photos de moi, sa bite dans ma bouche. Il me sourit et rangea le téléphone. Puis il m'expliqua qu'il allait dorénavant me baiser où et quand il le voudrait.

Il ajouta qu'il allait me fixer des règles. Je ne devrais plus porter de culotte en dehors de la maison. A la maison, je devrais porter une jupe, une nuisette ou rien. Les soutien-gorge et les culottes m'étaient interdits.

Je fus encore plus excitée quand il me dit que j'étais son jouet et qu'il allait me partager avec ses amis quand il le voudrait. J'étais sa vide-couilles et il me raconta avec beaucoup de détails ce qu'il prévoyait pour moi.

Toutes pensées de vie privée m'abandonnèrent. Je me retrouvai avec mes doigts enterrés dans ma chatte. Toujours à genoux, je l'écoutai tout en titillant mon clito jusqu'au moment où j'eus un orgasme fracassant. Sam me regarda tout du long et ria lorsque l'orgasme m'envahit, me faisant haleter et trembler.

- Suce et nettoie tes doigts. Commanda-t-il.

J'obéit et je pus goûter son sperme mélangé à mon jus.

Je l'avais entendu mais je ne l'avais écouté qu'à moitié. C'est seulement après son départ que je pensai à ma famille. « N'importe où et n'importe quand » commença à prendre un autre sens quand je me mis à penser à Jack et à mes filles.

En m'habillant, je décidai de parler à Jack et de ne plus voir Sam. Mais inconsciemment, j'obéis aux règles en remettant mon short mais pas ma culotte.

Je pensai à porter un short plutôt qu'une jupe. Et je me sentis un peu vaseuse alors que ma chatte palpitait d'avoir été pilonnée. Mes pensées passèrent d'un monde à l'autre. Je me demandai auquel j'appartenais. Étais-je une femme et mère dévouée ou une salope pour bite noire?

A suivre...

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