Texte de IcedSugar (2010)
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Je m’appelle Marine. Je suis mariée, mère d’une ravissante petite fille de sept ans. On me dit plutôt jolie et mon mari, Patrick, ne tarit pas d’éloges sur ma chute de reins à damner un saint. Lui est plutôt bel homme. Sexuellement, ça marche bien entre nous et je n’ai jamais cherché à voir ce qui se passait ailleurs bien que je soupçonne mon homme d’avoir à plusieurs reprises, donné quelques coups de canif dans notre contrat de mariage.
Je n’avais jusqu’à présent jamais parlé à quiconque de ce que je me propose de vous raconter maintenant. Même mon mari n’est pas au courant, même si, à plusieurs reprises, à mots couverts, j’ai essayé de le lui faire comprendre la situation.
Je travaille dans une grande administration où j’occupe un poste à responsabilité. Dernièrement, un nouveau directeur, genre premier de la classe, a débarqué dans nos murs. Il avait l’air de m’avoir à la bonne et du coup, je ne manquais jamais de lui rendre ses sourires.
Ce soir-là, je m’apprête à quitter mon bureau comme d’habitude très tardivement lorsque mon téléphone sonne. C’est le nouveau directeur qui me demande de passer à son bureau aussi rapidement que possible.
Pour moi, la hiérarchie ça veut dire quelque chose, aussi, sans réfléchir à l’heure on ne peut plus tardive, je me présente aussitôt devant sa porte. Il me fait entrer, puis me demande ou plutôt m’ordonne de relire un document de travail que je lui ai fait parvenir dans la journée.
Le ton de sa voix est sans appel aussi je lui obéis sans même réfléchir. Je me dirige vers la table de travail pour commencer ma lecture et chercher ce qui cloche, ne faisant pas attention à ce qui se passe derrière moi.
Tout à coup, je le sens tout près, derrière moi. Avant même que je n’ai le temps d’esquisser le moindre geste, il me plaque contre la table et d’une main, me force à me pencher en avant, torse à même la table.
Je sens immédiatement à sa poigne qu’il est beaucoup plus fort que moi et qu’il est inutile de tenter une épreuve de force avec lui. Je le laisse me plaquer sur la table comme il en a envie puis, tandis qu’une de ses mains, me parcourt les reins, je lui demande :
— Qu’est-ce que vous faites ? vous n’allez quand même pas me violer ?
Il ne répond pas mais sa main passe sous ma jupe pour parcourir lentement le galbe de mes fesses, ce qui me fait frissonner malgré moi. La rapidité, mais surtout l’inconcevabilité de cette situation, me font perdre mes moyens. D’un geste, il soulève ma jupe sur mes reins pour découvrir mes fesses au milieu desquelles doit disparaître la minuscule ficelle de mon string.
Tout de suite, ses cuisses se plaquent contre mes fesses, me faisant réaliser qu’il s’est débarrassé de son pantalon, mais peut-être l’avait-il déjà enlevé alors qu’il me téléphonait. Cette constatation m’envoie illico une décharge d’adrénaline à la base de mon cerveau. Un nouveau grand frisson me parcourt la colonne vertébrale pour finir dans mon bas-ventre.
Je sens maintenant la puissance de son désir de me posséder appuyé contre mes fesses. J’essaie de le raisonner, car dans quelques secondes, je sais que je vais sentir son gland se frayer un chemin entre mes lèvres intimes.
Bizarrement, au lieu de paniquer, de crier, hurler, pleurer, me débattre, je sens l’excitation me gagner, me remuer les tripes jusqu’à me faire mouiller contre ma volonté.
Sans un mot, il écarte la ficelle de mon string, puis, à petits coups de reins, il cherche nerveusement l’entrée de ma chatte que je sais déjà mouillée à souhait. Je me tortille pour l’empêcher de me pénétrer, mais sa queue est déjà bien calée entre mes fesses.
Je passe mes mains derrière mon dos pour essayer de le repousser, mais il réussit à les attraper puis les bloquer avec une seule main sur mes reins. Dès lors de sa main libre, il cherche l’entrée de ma vulve pour mieux y glisser sa queue que je sens en pleine érection. S’apercevant de mon excitation il me souffle :
— Arrête de faire la mijaurée, ta chatte parle pour toi, t’es trempée !
Ses paroles me brisent net dans mon dernier élan de résistance. C’est vrai, je sens que ma chatte est inondée et le doigt qu’il a plongé dans mon intimité s’en est vite rendu compte.
Vaincue, je me laisse retomber sur la table ce qui lui permet de m’ajuster tranquillement. En deux secondes, son gland posé dans l’entrée de ma vulve me pénètre lentement mais sûrement. Son ventre bute déjà contre mes fesses. Il pousse un soupir de satisfaction :
— T’es trop bonne. Je crevais d’envie de te la mettre dès la première fois que tu es entrée dans mon bureau !
J’avais cessé toute résistance devenue inutile. Il était planté dans ma chatte jusqu’à la garde et commençait à coulisser nerveusement entre mes fesses.
— T’as un cul magnifique !
Ses mains, qui jusqu’à présent n’avaient servi qu’à m’immobiliser, parcourent maintenant mon corps, allant de mes fesses à mes reins en flattant mes flancs. Ses va-et-vient dans mon intimité trempée émettent des bruits insupportables de lubricité, me rappelant que je suis en train de me faire mettre par un homme qui n’est pas mon mari.
Lui n’en a que faire de mes états d’âme. Il me ramone en profondeur, m’arrachant des soupirs bien malgré moi. Ses mains posées sur mes fesses les écartent sans retenue. Il se rince l’œil le salaud. Peut-être a-t-il envie de me sodomiser comme la plupart des hommes qui m’ont possédée. Je le laisse faire, docile.
Au point où nous en sommes, mon image de femme respectable en a pris un sérieux coup. Un de ses doigts me flatte maintenant l’anus. Il entre, ressort, rentre encore, ressort pour tout à coup plonger jusqu’à la garde en tournant sur lui-même pour m’ouvrir un peu plus. Je pousse immédiatement ce qui le fait plonger encore plus profond dans mon intimité.
— Tu aimes ça, on dirait.
Je ne réponds pas. Mon cul parle de lui-même, lui aussi. Je sens qu’il s’ouvre au rythme des contractions de plaisir que je ne manque pas de ressentir. Un deuxième doigt rejoint le premier pour une joyeuse sarabande dans mon fourreau culier. Je l’accueille avec les mêmes égards. Mon violeur en est « baba ». Il sent que je suis prête à recevoir sa bite entre mes fesses.
— Je peux ?
Sans attendre ma réponse, le voici déjà en train de se retirer de ma chatte pour pointer devant ma petite porte, sa queue raide d’excitation. Avant même que je n’ai le temps de sentir sa poussée sur ma pastille, il s’enfonce sans hésiter, en terrain conquis.
C’est seulement à ce moment que je laisse échapper un râle de plaisir. Mon enculeur n’est pas dupe. Il sait que c’est ce que je préfère. Mon mari, à mon grand désespoir, ne m’encule pas souvent pourtant, ce n’est pas faute de le lui avoir demandé.
— Bourre-moi. Casse-moi le cul. Je vais jouir si tu t’y prends bien.
— Tes désirs sont des ordres, ma chérie.
Joignant le geste à la parole, mon violeur s’agrippant à mes hanches, s’enfonce inexorablement entre mes fesses. Je le sens progresser en moi. Ça m’excite un max de me sentir prise par-derrière. Je me sens chienne, soumise, à la merci du dard qui me pourfend. L’humiliation suprême. Le plaisir est dément, pile au rendez-vous. Je l’agresse maintenant verbalement.
— Plus fort, plus vite. Fais-moi sentir ta bite dans mon cul. Domine-moi !
Mes paroles semblent le désarçonner quelque peu, mais il continue à plonger en moi sans ménagement, m’amenant inexorablement vers un orgasme dévastateur. Je glisse ma main sous mon ventre pour débusquer mon clito en pleine effervescence. A peine deux ou trois frottements appuyés et me voilà partie pour le grand voyage. J’explose en silence mais mon baiseur ne se laisse pas surprendre. Il redouble d’effort en me soufflant :
— Oui, vas-y ! jouis, laisse-toi aller, jouis ma belle !
La jouissance a été longue et puissante. Épuisée, je me laisse à nouveau retomber à plate poitrine sur la table de baisage du grand patron. Lui accélère ses mouvements pour exploser à son tour dans mon postérieur. Il se bloque tout au fond, pour déverser en moi sa semence.
Je préfère ça plutôt qu’il m’éjacule sur les fesses ou le dos comme certains hommes adorent le faire en dégueulassant nos vêtements. Ses spasmes sont puissants, il me met la dose, c’est sûr. Il prend son pied dans mon cul le salaud.
— Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C’est trop bon !
La fête est finie. On reste un moment accouplé, lui figé dans mon cul, moi dans une position de femme soumise, les bras en croix sur la table des sacrifices. J’ai envie qu’il me libère rapidement, mais il semble apprécier les lieux et l’emprise qu’il a sur moi. Enfin, il se penche en avant pour m’embrasser tendrement le haut de l’épaule puis, il se dégage avec un bruit qui m’exaspérera toujours.
L’homme se rajuste, passe derrière son bureau pour enfiler son pantalon laissé au pied de son fauteuil puis revient vers moi, souriant, charmeur.
— J’ai adoré te faire l’amour. Merci Marine c’était vraiment trop bon.
— Au risque de vous déplaire Monsieur, ce que vous venez de faire c’est tout bonnement un viol, un simple viol, mais je reconnais avoir pris mon pied comme cela m’arrive peu souvent la première fois avec un inconnu.
— J’ose espérer que tout cela restera notre petit secret ?
— Je ne sais pas encore. J’y réfléchirais !
Le lendemain de cette soirée, je reçus un disque vidéo sur lequel on voyait une séquence de nos ébats soigneusement sélectionnée. J’y apparaissais à plat ventre sur la table de travail en train de me faire sodomiser par mon patron tandis que je l’encourageais d’une voix déformée par le plaisir.
Depuis, consciente de l’emprise qu’il a sur moi, il me fait venir dans son bureau presque tous les jours que Dieu fait, pour me baiser et surtout s’occuper de cette partie de mon anatomie que j’aurais tant aimé qu’elle intéresse un peu plus souvent mon mari. Peut-être est-ce d’ailleurs la véritable raison qui me font accepter ce droit de cuissage que d’aucun pense qu’il n’existe plus.
FIN
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