lundi 7 octobre 2024

Qui suis-je vraiment - Ch. 05

Récit de Realbluetit (2013)

*****

Toujours plus soumise Laurence decouvre sa vraie nature.

Pendant plusieurs jours je n'eus aucune nouvelle de mon amant. J'en étais folle, j'avais vraiment envie de lui et des turpitudes qu'il m'obligeait à faire.

Seul un SMS vînt trancher ce silence pour m'indiquer qu'en son absence je pouvais en profiter pour parfaire ma garde robe de tenues sexy voire de salope. Comme à l'accoutumé je suivis les ordres et fît des emplettes répondant à ses exigences. En clair, j'achetai entre autres des strings bien transparents dont deux ficelles, deux nouveaux porte-jarretelles ainsi que des bas, blanc, couleur chair et noir, mais aussi une guêpière. Quant aux vêtements « cachant » ces dessous, j'agrémentai mon vestiaire d'une robe ultra moulante grise en laine, qui mettrait en valeur le moindre de mes dessous ; d'une jupe écossaise avec des boutons sur le devant ; et pour finir j'achetai deux chemisiers très échancrés et légèrement transparents ainsi qu'un T-shirt dont la large ouverture des manches permettait de voir mes seins ou mon soutien-gorge dès que je levais le bras.

Tous ces achats m'avaient excitée et je n'avais qu'une envie, m'exhiber devant Nietzsche avec ces tenues. Les jours passèrent sans nouvelles de lui, j'appelai même pour savoir s'il était là mais rien, donc ce fut  sans réponse de lui que je partis donc en séminaire pour mon travail.

Je ne sais pas en tout cas si c'est mon changement d'habits ou ma façon d'être, mais j'eus droit à bon nombre d'attentions notamment de mon supérieur hiérarchique qui de manière discrète me fît la cour. J'aimais cela mais je lui fis comprendre que je n'étais plus seule. Même si ses yeux continuaient de me désirer il en resta là. Heureusement qu'il ne savait pas quelle salope j'étais devenue dans ma vie privée, car son attitude à mon encontre aurait été toute autre.

Au retour de mon voyage, mon amant me manquait plus que jamais. Il fallut que j'attende deux jours supplémentaires pour avoir de ses nouvelles enfin. Au son de sa voix je crus défaillir, mais j'étais heureuse de l'entendre.

- Bonjour Laurence comment vas-tu ?

- Nietzsche... je suis contente de vous entendre.

- Moi aussi ma petite salope, moi aussi. Alors ces nouveaux habits comment sont-ils ?

- Ils m'habillent un peu et en montrent beaucoup.

- C'est bien, de toute façon tu adores cela t'exhiber, mais surtout être baisée par des inconnus. Bon, veux-tu me rencontrer à visage découvert ?

- Oh oui je voudrais bien.

- Alors tu vas pouvoir découvrir mon visage. Mais cela signifie que tu acceptes de te soumettre à moi. Tu en es bien consciente ?

- Oui je le suis. Que voulez vous que je fasse ?

- Je veux que tu ailles nager mais cette fois-ci tu porteras l'autre maillot de bain... celui qui fait une taille de moins. Tu vois de quel maillot je parle ?

- Le maillot une pièce blanc.

- Oui celui-là même. Et pour que tu révèles à tous les nageurs ta vraie nature, je veux que tu ôtes le film de coton qui protège ton pubis. Comme cela tout le monde pourra admirer ton sexe épilé.

J'imaginai déjà la vue que j'allais offrir. Ce maillot que j'avais acheté à sa demande ne dévoile rien du corps si le Lycra en quoi il est constitué n'est pas étiré. Mais je dus acheter une taille en dessous, sans oublier que l'eau sur le blanc renforcera la transparence. Alors découper le tissu de coton au niveau de mon sexe c'était m'offrir à tous les hommes de la piscine. J'en rougis mais ne pensai aucunement me défiler. J'avais franchi le cap.

- D'accord Monsieur Nietzsche.

- Ta soirée ne sera pas finie, j'ai une autre surprise avant que je te montre mon visage. Mais je te rappellerais pour te dire quoi mettre. Aller, bonne baignade ce soir, mais n'oublie pas de t'habiller aussi comme une salope pour aller au bureau.

- Comment voulez vous que je m'habille ?

- Jupe moulante et porte- jarretelles, et interdiction de croiser les jambes pour manger afin que tes collègues puissent profiter de ton intimité.

Il avait raccroché et je mouillai après ses paroles. J'étais bien une salope comme il le soulignait. Alors que j'étais prête à partir au bureau, je repartis dans ma garde-robe pour ajuster ma tenue aux attentes de mon maître. Pour le haut, je mis donc un petit débardeur moulant afin de mettre en relief mes seins.

Le résultat fût rapide puisqu'au bureau je pouvais voir des regards masculins se retourner à mon passage. C'est en allant aux toilettes que je compris mieux pourquoi. La jupe était remontée au fur et à mesure de mes pas ce qui dévoilait la limite de mes bas, et l'effet moulant révélait automatiquement que je portais un string ficelle et un porte-jarretelles. J'étais cramoisie, pourvu que mon chef ne voit pas cela sinon il penserait automatiquement que je suis une allumeuse qui refuse ses avances.

Il en fût autrement puisque mon responsable me demanda dans son bureau. Ces yeux semblèrent ne pas y croire, mais passé l'étonnement il joua avec moi et je passai toute l'après-midi à travailler avec lui dévoilant de si de là le haut de mes cuisses ou la base de mes seins.

Ayant interdiction de croiser les jambes, il put même voire la nudité du haut de mes cuisses, ce qui dût le satisfaire, car à la fin de la journée il me demanda « de garder la même ligne de conduite en termes vestimentaires ». En même temps qu'il me dit cela, ses yeux fixaient ma croupe.

J'avais honte car ma nouvelle condition commençait à être connue dans le cadre de mon travail.

Je partis donc rapidement pour ma deuxième humiliation de la journée... la piscine.

Il ne fallut pas longtemps pour que comprendre ce qui allait advenir. En effet, en mettant les bretelles du maillot trop serré celui-ci s'enficha dans mon sexe. Avec la main je décidai d'extraire le maillot de mon sexe mais cette fois-ci ce sont mes seins qui sortirent.

Comment faire ? Je ne pouvais pas refuser la demande de mon amant. Je décidai donc de protéger avant tout mes seins et d'utiliser ma serviette pour cacher aux gens ma chatte.

J'entamai donc mon départ vers les bassins, mais je sentis rapidement le lycra s'insérer entre mes lèvres. Le frottement fît le reste. Je commençai à mouiller et mon clitoris se gonflait, faisant monter mon plaisir éclipsant par là-même la gène de m'exhiber ainsi.

Je me jetai alors sous la douche pour cacher mon excitation. Mais de blanc, mon maillot devînt transparent, même au niveau de mon pubis. Plus personne d'attentionné ne pouvait manquer le fait que mon sexe était lisse et que le maillot rentrait entre mes lèvres.

Pour éviter néanmoins d'être l'attrait de la journée dans ce lieu public, je me précipitai vers les bassins et me jetai dans l'eau bien froide à mon goût. Je me mis alors à nager et contrairement à la première fois je portais des lunettes afin de pouvoir refroidir quelques les ardeurs de quelques voyeurs timorés.

Toutefois, avec la brasse, je fis profiter de mon entrejambe et de mes lèvres. Mais que faire quand vous ne savez pas faire plus de 50 mètres en crawl. Je voyais bien que cela ne laissait pas de froid quelques nageurs devenus en l'occasion voyeurs. Je pouvais même constater que certains avaient déployés leurs « quilles » naturelles pour ne pas dériver et rester dans la même voie d'eau que moi.

Je faisais comme si de rien n'était, mais mon maillot tellement étroit frictionnait beaucoup trop mon clitoris. Si cela continuait j'allais jouir dans la piscine. Aussi, de manière discrète, je retirai le maillot incrusté dans ma chatte, ce qui automatiquement fît déborder mes tétons du haut.

Je préférai poursuivre ma séance de sport ainsi, et voir en face à face les voyeurs. Et si heureusement ils y'en avaient qui n'osaient pas affronter mon regard, d'autres ne se gênaient point de me faire face m'obligeant à détourner ma vue de leurs yeux excités. Mon caractère de soumise reprenait inconsciemment le pouvoir sur mon être.

En tout cas le spectacle fût apprécié, car lorsque je sortis de la piscine, ma ligne d'eau comptait deux fois plus de nageurs que les autres lignes. Cela me fît sourire et oublier que je dévoilais ostensiblement la majeure partie de mon sexe épilé.

Une fois sortie de l'enceinte de sport, mon téléphone se mît à sonner.

- C'est bien Laurence, tu es vraiment la salope soumise que je cherche.

- Merci Monsieur.

- Mais je t'ai dis que ce n'est pas fini. Tu vas rentrer chez toi et te préparer. Ok ?

- Oui, oui. Que voulez vous que je porte ?

- Tu vas porter la robe droite avec les boutons devant. Dessous, je te veux en porte-jarretelles et bas couleur chair. Pour la culotte n'importe quel string fera l'affaire mais auparavant tu t'introduiras le plug, et pour le soutien-gorge tu prendras un en dentelles.

- Et pour les chaussures ?

- Merci, tu mettras des chaussures à haut talon. Pour finir je te veux avec un maquillage soutenu mettant en avant tes lèvres de suceuse et tes yeux de soumise. Bon, va te préparer, tu as deux heures pour cela. Je te rappellerai pour te dire le lieu de notre rendez-vous.

Apprêtée selon les indications, il me rappela pour m'informer du lieu de notre rencontre. L'endroit, en fait, je le connaissais déjà puisqu'il s'agissait du restaurant où j'avais dû m'exhiber quelques jours auparavant.

Tout d'un coup, je repensai au serveur qui avait profité de mes atours de façon soutenu. En revenant dans ce lieu, cela indiquait que j'étais prête à ce qu'il m'observe et me touche à nouveau. De manière plus crue, si je revenais c'est que j'étais une petite salope qui aimait cela.

J'avais certes franchi des caps dans mes péripéties sexuelles, mais l'obstacle à franchir était grand. D'un autre côté, j'allais enfin connaître Nietzsche, et puis je suis sûre qu'il me protègerait des exubérances du serveur. Le cœur battant donc, je pris le taxi. Le plug bien fiché dans l'anus générait quant à lui une intense et diffuse chaleur dans mon bas-ventre, entraînant l'humidification abondante du mince tissu de ma culotte.

Au cours du trajet je n'arrêtai pas de penser à ce serveur. Comment réagir s'il me relevait la jupe ? Comment faire s'il me palpait les seins ? Le repousser brutalement au risque qu'il me traite, à juste raison, d'hypocrite et d'allumeuse aux vues et sus de tous les clients présents. Non j'aurais trop honte.

Le repousser doucement mais dans ce cas là, il pourrait penser que c'est juste un refus de façade. Ou bien le laisser faire et lui donner libre accès à mon corps, au risque qu'il exige l'impensable : M'exhiber devant ses collègues, me faire sauter par lui dans les toilettes, j'avais en fait plein d'idées pour quelque chose de soi-disant impensable.

Ca y'est j'étais arrivée. C'est alors qu'un SMS réveilla mon portable. C'était Nietzsche qui me donnait ses derniers « conseils » pour la soirée :

« Ton serveur préféré est là, alors pour le remercier tu ne vas garder que cinq boutons sur les dix de ta robe... Bon choix !!! »

La solution face à cette équation fût rapide à résoudre. Les deux boutons du bas tout d'abord car bien qu'ils rendent perceptibles la présence de bas au lieu de collants, la robe en me serrant un peu la taille laissait de toute façon deviner mon porte-jarretelles. Quant aux autres boutons, je m'empressai de défaire les deux du haut pour offrir une vue plongeante sur mes seins. Restait le dernier ; je choisis celui placé entre mon nombril et mon pubis. Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement, parce qu'en marchant les deux parties de la robe restaient plaquées sur mon corps, et cachaient ainsi ma peau nue. Le hic, c'est qu'en étant assise, les deux pans s'ouvriraient suffisamment pour montrer une bonne partie de mes sous-vêtements.

Lorsque j'arrivai devant la porte d'entrée, j'eus une bouffée de chaleur car j'étais attendue. Avec un large sourire, le serveur que je redoutais tant m'ouvrît. Je sentis mes jambes trembler, quand tout d'un coup sa main se plaqua sur mes fesses et appuya afin de me faire avancer. Je sursautai, mais ne me retournai pas de peur d'exposer mon visage en feu.

Contrairement à ce que je croyais, il m'emmena dans une zone plus discrète du restaurant, et non la « tribune » lors de ma première visite. Il me fît asseoir et m'indiqua qu'il serait bien de rester ainsi pendant tout le repas avec un large sourire. Je baissai les yeux pour constater que l'absence du bouton du milieu laisser bailler ma robe, offrant ainsi une magnifique représentation de mon porte-jarretelles et de mon string. Sans plus attendre, il me proposa un apéritif en attendant la venue de mon convive. Confuse par ce qui venait de se passer, je commandai un whisky ce qui était fort imprudent puisqu'à jeun.

Il revînt quelques minutes après avec mon apéritif. Seule pendant cinq minutes je sirotai mon verre embrumant mon esprit un peu plus. J'imaginai mon amant et ce qu'il allait bien pouvoir me dire ou me demander.

Sur ces entrefaits, je reçus un nouveau texto m'indiquant qu'il était désolé pour ce retard mais qu'en attendant je devais aller aux toilettes pour hommes et proposer au premier qui rentrerait de lui tailler une pipe.

J'étais mortifiée, il fallait désormais que je me rabaisse à supplier un inconnu de le sucer. Quel avilissement ! Demander à quelqu'un de me faire plaisir à ce que je lui procure du plaisir.

D'un autre côté, si j'étais ici c'était que j'aimais aussi cela me soumettre à ses demandes. Les inhibitions en partie éteintes avec l'effet de l'alcool je me levai et me dirigeai vers les toilettes.

Une fois dans la pièce exiguë, je m'appuyai sur le lavabo attendant avec anxiété l'heureux élu. Ma patience ne fût néanmoins pas trop éprouvée et quelques instants après, un homme heureusement séduisant apparût. Etonné de ma présence il me regarda avec insistance me faisant baisser les yeux. Tétanisée par ce que j'avais à réaliser, j'entamai la discussion en bafouillant.

- Bonsoir.

- Bonsoir Madame, me serais-je trompé de toilettes ?

- Non, euh en fait c'est moi qui ne suis pas au bon endroit.

- Je préfère... alors bonne soirée.

Ce faisant il ferma la porte des WC. J'attendis alors qu'il rouvre, honteuse de mon attitude. La porte s'ouvrît, et il me fît face avec un regard plutôt ombrageux, réduisant le peu de courage qui me restait.

- Excusez-moi mais qu'attendez-vous ici Madame ?

- Euh... en fait euh... j'ai envie de vous... de vous... de vous sucer, voilà.

- Quoi ? j'ai du mal comprendre ?

- J'ai envie de vous faire une gâterie car vous me plaisez.

- Mais vous allez bien madame ?

- S'il vous plaît laisser moi vous procurer ce plaisir ?

- Mais vous êtes une vraie nymphomane !!!

- En partie, c'est un pari que j'ai perdu et c'est mon gage que je dois faire à présent.

- C'est bien ma veine... une allumée !!! Si c'est ça alors je vous veux à poil pour me sucer.

Son regard s'était transformé. Il était désormais le chasseur en face de sa proie ne pouvant fuir. Humiliée par ce que je venais de dire et ce que j'allais faire, j'ôtai les quelques boutons pour me mettre nue, et m'agenouillai en face de la fermeture éclair de son jean.

- Et en plus on met des dessous de pute pour tailler des pipes. C'est vraiment mon jour de chance. Dis-moi, t'aime cela, sucer les inconnus ?

- Euh, en fait pour vous dire la vérité, c'est mon amant qui me l'a demandé... et je souhaite lui faire plaisir.

- En clair j'ai droit à une chienne soumise à son maître et non une allumée. Cela devient encore plus intéressant, il va falloir que tu me le présentes... Bon, avant que tu me suces, je veux que tu me montres ta chatte et ton cul.

Je me relevai et écartai les jambes pour lui exposer mon entrejambe. Il ordonna alors que j'écarte mon string pour dévoiler mon minou.

- j'aurais dû m'en douter, elle a le minou tout lisse. Tu vas te doigter et après tu vas lécher tes doigts de salope. Car tu en es une, non ?

En accord avec sa requête, je commençai à me caresser et me déhancher devant lui. L'excitation procurée par ses paroles accélérait la moiteur de mon vagin. Mes doigts se faufilèrent aisément dans mon intimité. Je me mis alors à répondre à sa question tout en remontant ma main vers ma bouche.

- Oui je suis une salope qui prend plaisir à me dépraver.

- C'est bien, lèches tes doigts, tu vas, juste après, me sucer ; mais tu resteras debout pour que je profite de ton cul de salope avec mes mains. Au boulot !!!

Je sortis les doigts de ma bouche pour les apposer sur la braguette de son pantalon. Le pantalon ouvert, le caleçon déboutonné, son sexe jaillît sur moi. Sans plus attendre j'avalai son membre telle une boulimique du sexe. De son côté l'inconnu entreprît de me caresser les fesses puis de s'aventurer entre mes deux globes. Un grognement de sa part me fît comprendre qu'il venait de découvrir le plug installé dans mon anus. Il commença alors à jouer avec en le faisant sortir puis rentrer entièrement dans mon rectum.

Il plaça ensuite sa deuxième main sur mon clitoris qu'il frotta vigoureusement. Je sentis le plaisir monter en raison des sévices qu'il me faisait subir. D'un coup il arrêta cette masturbation extérieure pour insinuer trois de ses doigts dans mon vagin. Une fois à l'intérieur il les écarta au maximum afin de faire pression sur les parois. C'est alors qu'il se mit à faire des mouvements circulaires. Je n'en pouvais plus et c'est avec un bâillon vivant que je me mis à jouir.

Son tour vînt ensuite, et pour assurer que je ne renâcle pas à avaler, il prit ma tête des deux mains pour qu'elle avale bien la majeure partie de son attribut. Son sexe se mît à avoir des secousses et déversa son chaud liquide dans ma gorge. J'avalai alors sa semence avec délectation malgré son goût légèrement acre.

Nos esprits retrouvés, il se rajusta puis repartit comme si de rien était, quant à moi je mis un peu plus de temps et fît de même. Mais point de Nietzsche à l'horizon. Déçue je m'asseyais espérant ne plus être seule trop longtemps.

L'inconnu que je venais de « gâter » s'approcha de ma table et sans demander s'assît en face de moi.

- Maintenant que nous nous connaissons un peu mieux cela vous fait quoi de vous rabaisser aux idées les plus perverses et dégradantes de votre amant.

- Euh je ne sais pas.

- Pas de simagrées avec moi Madame. Quand on est prête à se faire défoncer par le premier venu on doit être capable de répondre.

Le coup me fît mal mais il avait le mérite d'être véridique. Je me mis alors à répondre :

- Au début je me sens vile, j'ai terriblement honte mais dans le feu de l'action cela décuple ma jouissance et me donne envie de recommencer.

- C'est bien ce que je pensais, tu es une femme qui aime être humiliée et rabaissée. Et bien soit, nous allons faire selon tes désirs.

- Mais... mon amant va arriver... et...

- Et quoi ? Seul lui a le droit à te donner des ordres !!!

- Euh... oui. C'est ça.

- Alors, Laurence cela tombe très bien...

- Mais... Pourquoi vous dîtes cela ?

- Bon, je me présente : Nietzsche pour les intimes. Et comme je crois que tu en fais partie tu peux m'appeler Nietzsche ou Maître voire Monsieur.

J'étais sans voix. Je n'avais même pas reconnu le son de la sienne alors que je l'avais entendue à de multiples reprises. Et je venais de déclarer ma soumission en sa personne sans le savoir. De toute façon il devait bien s'en douter aux vues de ce que j'avais fait dans le passé.

- Bon ne perdons pas de temps. Appelle le serveur pour passer commande. Tiens, profites en aussi pour enlever ton string.

- Mais je ne peux pas repartir aux toilettes et appeler le serveur.

- Ne joue pas à l'idiote, tu vas ôter ta culotte ici juste après avoir fait signe au maître d'hôtel de venir.

Après ce que je venais de faire, j'aurais duû ne pas être trop gênée par cette demande, néanmoins mon corps exprima le contraire et mon visage s'empourpra. Après avoir signifié au serveur de s'approcher de notre table, je commençai à gesticuler afin de descendre mon string.

C'est alors que Nietzsche me fît comprendre que je devais me lever et clairement passer mes mains sous ma robe pour prendre mon string et le descendre au niveau de mes pieds.

Je m'exécutai, et bien que la table fût isolée, il me semblait que deux clients de l'autre côté de la salle avaient compris ce qui se tramait ici.

Quant au garçon, il se délecta du spectacle, en arrivant le plus lentement possible les yeux néanmoins rivés sur moi.

Je me rassis n'osant croiser son regard.

- Souhaitez-vous passer commande ?

- Oui, mais tout d'abord Laurence, donne ce que tu as dans la main à Monsieur. Tu sembles aussi avoir chaud, tu devrais déboutonner le haut de ta robe.

Je m'exécutai sans dire un mot. Mes seins étaient désormais visibles de profil dans leur intégralité.

- Votre femme est délicieuse, on en mangerait.

- Ma salope de femme. Vous savez, sous ses apparences farouches, elle aime cela. Et je vais vous le prouver.

Qu'allait-il me faire faire ? J'appréhendais ce qui allait suivre mais ne me braquais pas, acceptant mon sort, la tête toujours baissée de peur de croiser le regard du serveur. En fait la confusion de mes sentiments, entre sensation d'avilissement et délectation sexuelle, étaient de plus en plus fortes.

- Ce serait avec joie.

- Y aurait-il un habitué de votre restaurant, si possible pas attirant physiquement et un peu pervers, présent ce soir ?

- Laissez-moi regarder... oui je crois que j'ai cela en stock. Les serveuses s'en plaignent, car il laisse souvent traîner ses mains et on ne peut pas dire que ce soit George Clooney.

- Bien, une fois que vous nous aurez apporté votre entrée du jour servie d'un petit Côtes du Rhône, vous nous le montrerez.

- Bien Monsieur.

Je redoutais ce qu'on allait m'obliger à faire. L'entrée fût servie rapidement, et alors que je commençai à avaler le premier morceau, Nietzsche poursuivît sa discussion avec le garçon.

- Montrez-moi alors cette personne.

- Vous voyez l'homme un peu gros trois tables sur votre droite. C'est lui.

- Bien, à première vue il me paraît être exactement ce que je recherche. Laurence, tu vas laisser ta place au serveur et tu vas aller t'enquérir auprès du client là-bas de savoir si tout va bien et s'il veut le dessert du jour. En même temps que tu diras cela je veux que tu te penches pour lui exposer tes nichons et que tu écartes les jambes afin de lui faire apprécier tes goûts en termes de dessous. Tu as compris ?

- Oui j'ai compris.

- J'allais oublier, tu lui indiqueras que le cadeau est offert par moi et tu lui indiqueras ma présence. S'il venait à te caresser voire plus, je t'interdis de bouger jusqu'à ce que je te fasse un signe te demandant de revenir à cette table. Est-ce clair ?

- Oui c'est très clair.

- Qu'en pensez-vous Monsieur. On peut dire que ma femme est vraiment une belle cochonne !

- A priori on ne peut pas dire autre chose. Quelle chance vous avez !

- Trèves de bavardage, asseyez-vous à sa place car Laurence a du pain sur la planche.

Je me levai donc et me dirigeai vers l'homme. Il n'était pas beau effectivement et son visage laissait transparaître un caractère vicieux. Surpris de prime abord par ma présence, il se pencha en arrière sur ça chaise afin de me contempler. Comme demandé, je me renseignai sur la satisfaction du client vis-à-vis des plats servis. J'en profitai pour me pencher selon le scénario prévu, la réaction fût prévisible puisque cette personne bien en chair fixa mes nichons avec avidité puis remonta son regard sur mon visage. J'étais vraiment mal à l'aise et pour éviter sa condamnation sans appel de son attitude, je détournai ma vue de ses yeux noirs.

Bafouillant, je lui proposai de prendre un dessert. Sans attendre que je procède à la deuxième étape en ouvrant clairement mes jambes, sa main se colla à mon genou puis remonta prestement le long de ma cuisse. Sans aucune hésitation, il repoussa les pans de ma robe pour dévoiler mon entrejambe, sans se soucier de l'entourage ou du « quand dira-t-on ».

Docile à souhait je récitai alors les paroles de mon maître indiquant que le dessert du jour était offert par lui. Ces propos interrompirent quelques secondes ce gros vicieux pour dévisager Nietzsche, mais il reprit sa fouille en forçant mon vagin d'un puis trois doigts sans aucun ménagement. S'en suivit une masturbation vigoureuse, produisant des « flocs » suggestifs de ma dépravation sexuelle. Je fermai les yeux pour ne me concentrer et ne pas exploser en public. Mais heureusement la masturbation cessa, c'est alors que je rouvris les yeux pour voir mon tortionnaire sourire largement. Ce que je compris que quelques secondes plus tard c'est qu'il souriait non pas pour ce qu'il venait de faire mais pour ce qu'il avait l'intention d'accomplir.

En effet, il prît sa serviette, l'enroula pour en faire un bâton et la remonta le long de mes cuisses dévêtues. Toujours immobile, il m'écarta les lèvres de mon sexe et enfila le tissu. La pénétration, de par mon état d'excitation, fût plutôt aisée malgré le pouvoir absorbant du textile, il ne pût toutefois enfoncer la totalité de l'objet. Aussi se mît-il à boucher les derniers espaces de mon vagin en jouant avec son majeur puis son index afin que le torchon épouse parfaitement la cavité de mon sexe. Avec ce traitement je laissai échapper un petit gémissement.

C'est alors que Nietzsche me fît le signe de revenir. Soulagée et délivrée, le pervers m'empêcha de partir en m'agrippant le haut de la robe, et me força à me pencher. Mon visage à quelques centimètres de ses lèvres, il invectiva que je n'étais qu'une grosse cochonne.

Immédiatement, il sortit ses doigts visqueux de mon vagin, pour venir caresser mon visage, me susurrant à l'oreille de ne pas effacer ces preuves de mon excitation pour aller rejoindre ma place.

La chatte encombrée par la serviette, le visage barbouillé de ma mouille, je revins vaincue à ma place. Mes deux admirateurs étaient ravis et me regardèrent avec une certaine condescendance. Alors que j'allais m'asseoir, le serveur se leva pour poursuivre son travail. Le repas se poursuivît plus calmement et je pus manger mon plat ainsi que mon dessert, tout en répondant aux questions très indiscrètes de Nietzsche sur mon enfance.

Les cafés et l'addition commandés, il disparût aux toilettes. Je m'aperçus à ce moment qu'il était tard et le restaurant était dorénavant vide.

Je tournai par conséquent le regard du côté de la table du pervers mais il n'était plus là, ce qui me soulagea fortement. Je fis un demi-tour avec ma tête pour voir arriver mon homme. Il m'ordonna d'aller me nettoyer le visage et de faire mes besoins car nous devions sortir. Il rajouta que je devais agrémenter mes seins de deux pincettes.

Je me pressai donc pour faire le nécessaire. La pression des pincettes sur mes tétons procura une vive douleur mais elle s'estompa rapidement. Apprêtée mais toujours avec la serviette dans le vagin, je revins à la table. Et là j'eus un choc. J'avais droit à trois hommes enjoués, assis me dévisageant.

Sur le point de m'asseoir le serveur m'arrêta d'un geste de la main et sans un mot défit les deux derniers remparts retenant les pans de ma robe. D'un geste bref, il les ouvrît alors pour faire admirer mes seins ainsi que ma chatte toute lisse.

Faisant glisser son doigt jusqu'à l'entrée de mon vagin , il agrippa le mince bout de tissu qui dépassait et tira lentement pour faire ressortir la serviette de mon intimité. Les frottements et la surprise m'obligèrent à m'appuyer sur le rebord de la table puis à respirer fortement pour ne pas crier.

Mes tortionnaires s'esclaffèrent de me voir prendre ma passivité malgré la honte qui s'exprimait sur mon visage.

Mais ils n'en n'avaient pas finis avec moi. Le serveur exhiba le linge pour ensuite le montrer aux deux autres acolytes.

- Je n'ai jamais vu une serviette aussi sale. Dit le serveur

- Tu as trempé toute la serviette. Tu es une sacrée chienne Laurence. Dit mon Maître

- C'est vrai que je n'en n'ai jamais vue une comme cela. Rajouta le gros homme pervers

Après avoir inspecté l'état du tissu qui encombrait ma cavité, ils me le collèrent sous mes yeux pour me pousser à admettre et dire à haute voix que j'aimais être rabaissée et palpée ainsi.

Nietzsche m'intima ensuite l'ordre de m'asseoir pour boire un digestif. Mais au lieu d'être servi par le maître d'hôtel, c'est « Fabrice », alias l'homme au regard et mains perverses, qui me servît.Je n'avais pas eu le droit de choisir entre armagnac ou cognac, en fait le verre était à moitié plein de liquide blanchâtre. Nietzsche dit :

- Tu en fais une tête Laurence ? Tu n'apprécies pas le digestif qu'on te propose.

- Mais ce n'est pas un alcool ???

-  Non ??? Et c'est quoi alors ?

- C'est du sperme !!!

- Et ta bouche adore çà. Quand j'ai éjaculé tout à l'heure tu n'as pas fait de simagrées pour avaler ma semence alors tu vas me faire plaisir de boire maintenant... Tiens, pour la peine d'avoir hésitée, tu vas nous dire que tu es un sac à bite, et que tu rêves de te faire défoncer par tous les trous.

Malgré mon regard implorant, Nietzsche ne céda pas et me tendit le verre. Vaincue je me mis à répêter ses mots.

- Messieurs, je suis un sac à bite, et j'ai envie que vous me défonciez par tous les trous.

- C'est bien ma petite soumise. Bon, on s'est tous branlé pour que tu puisses te délecter de cette liqueur. Allez, bois maintenant.

- Et tu as intérêt à finir tout le verre car c'est précieux... ah ah ah !!! Ajouta encore l'homme pervers.

Désappointée, je pris le verre et d'un trait avalai la mixture visqueuse. Je me surpris même à secouer le verre pour faire tomber les dernières gouttes dans mon gosier.

Heureux de voir son plan se dérouler à merveille sans aucun refus de ma part, Nietzsche proposa à nos hôtes de poursuivre mon éducation le lendemain soir dans un lieu insolite qui ne me fût dévoilé qu'au dernier instant.

Epuisée je quittai le restaurant accompagnée par Nietzche qui m'accorda l'honneur de reboutonner le premier et dernier bouton de ma robe. Inutile de dire que s'était plus provocateur qu'autre chose, mais j'eus la chance d'être raccompagnée en voiture par Nietzche, ce qui m'évita une longue et humiliante exhibition.

Le retour fût calme et Nietzsche n'en profita pas pour poursuivre son emprise sur moi. Il me conseilla de bien me reposer, puis, après m'avoir autorisée à être plus déente pour rentrer chez moi, me déposa au bas de mon immeuble.

A suivre...

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