mardi 15 octobre 2024

Mélodie et les policiers

 Récit d'un anonyme.

*****

Je m’appelle Melodie et j’avais 26 ans à l’époque de cette curieuse histoire qui m’est arrivée.

Je suis avocate et je vis avec mon ami depuis deux ans à Paris où nous sommes rencontrés. Nous revenions de Corse, c’était l’été à Paris, j’étais encore bronzée des trois semaines de farniente sur les plages corses. J’adore Paris l’été quand la ville est si dépeuplée que de rouler en voiture en devient un bonheur.

Ce matin-là, je prends ma Clio noire comme tous les matins et je me rends à mon cabinet dans le neuvième arrondissement. Venant de Puteaux, je traverse donc le Bois de Boulogne, il est huit heures et la circulation est fluide. J’ai la vitre ouverte, et je respire l’air frais du mois d’Août. Au feu rouge, je ralentis et je m’arrête au niveau d’une camionnette de policiers sur la bas-côté. Le feu s’éternise, et finalement un des policier en service s’approche de moi par la porte de droite. Je baisse la vitre, car je vois qu’il veut me parler.

Le policier est grand, très baraqué, noir d’encre, je me dis qu’il doit être martiniquais ou du moins des Antilles. Il passe la tête par la vitre et me demande où est ma vignette d’assurance. Je réalise d’abord qu’il mate mes jambes, car ma petite robe est très remontée sur mes cuisses. Très gênée, je tente de me rassoir sur la robe en la tirant mais rien n’y fait je m’empêtre dans la ceinture. Je lui fais signe avec le doigt que la vignette est collée sur le pare-brise, il me dit que celle-ci est périmée. Je me penche vers le côté droit du pare-brise et j’attrape le petit papier vert, bien périmé en effet. En exécutant le geste, je m’apercois aussi que le policier n’en a pas raté une miette et a jeté un coup d’oeil profond dans mon décolleté. En quelques secondes, j’ai l’impression que le gars m’a vu nue. C’est drôle, car une semaine auparavant je faisais du monokini sur la plage sans aucune crainte alors que là, j’éprouve une certaine gêne.

Le gars me fait signe de me garer et de le suivre dans le fourgon pour faire la vérif qui s’impose. Je fais mon baratin habituel sur le fait que je suis avocate, mais rien n’y fait. Il a apparemment envie de me faire suer et perdre mon temps. Je pénètre donc dans le fourgon pour faire les papiers quand je vois le deuxième policier, blond, plutôt mince et pas mal fait du tout, se radiner. Le policier noir me fait signe de m’assoir sur la banquette pendant que l’autre se serre sur la banquette avec le premier. Ma robe me joue des tours à nouveau et je me maudis de l’avoir mise. Il faut dire qu’entre une banquette de fourgon et mon bureau dans le 9ème, le standard n’est pas le même.

Je sens le regard des deux gars sur moi de façon intense quand je fouille dans mon fatras de sac pour chercher mon identité. Un éclair de plaisir me choque au fond de moi quand je réalise aussi que je me mets à mouiller légèrement. Je suis dans un fourgon de flic, au petit matin dans le Bois de Boulogne en petite jupe et justaucorps. Une vrai pute en apprentissage ! 

Le blanc me fait des remarques sur le bronzage de mes jambes, je rougis un peu et je lui dis qu'il devrait aller à la mer, car il est très blanc. Sur quoi le second qui est noir, se mêle de la partie et promet qu’il est plus bronzé que moi. Nous nous mettons tous les trois à rire. Je me dis que c’est bon et qu’ils vont me laisser partir, mais à ma surprise, le blanc traverse le fourgon et se place à côté de moi. Le temps que je ne dise quoi que ce soit, il se met très calmement à me caresser les jambes. L’autre continue comme si de rien n’était. Je fais de même, car la petite table qui nous sépare fait qu’il ne peut pas voir ce que fait l’autre. Je sens sa main remonter ma jambe droite et toucher l’entre-cuisse, je résiste un peu puis je le laisse passer dans un soupir de plaisirs et surtout d’inconscience. J’ai peur de me faire violer par les deux gars maintenant, car le noir vient de fermer la porte du fourgon et je suis vraimment très seule. Le blanc me dit que tout va bien se passer et qu’ils ont juste envie de se baiser une petite avocate en mal de baise. Je rétorque que tout va bien de ce coté-là mais ils n’en font pas grand cas. Le blanc me pousse sur la banquette et je suis de ce fait obligée de m’allonger, laissant mes jambes ouvertes et mon petit slip un peu mouillé face à son regard. Le noir s’est approché de l’autre coté, au-dessus de moi, et dégraffe son pantalon qui tombe à mi-genou. Il sort une bite énorme qu’il s’emploie à faire durcir et devient plus grosse encore. Je n’ai jamais vu de vraie bite noire, et je n’ai encore moins fait l’amour avec deux hommes. De plus, je ne connais même pas leurs noms.

Le noir me met sa bite devant la bouche et me demande de le lécher. Je sens que je n’ai pas trop le choix et je m’empresse de le lécher du bout de la langue d’abord. Pendant ce temps le blanc a enlevé la culotte et me fourre un doigt, puis deux, dans la chatte. Je mouille de plus en plus et l’envie de me faire culbuter se précise. Je me redresse sur la banquette et me mets à quatre pattes, la queue du noir en pleine bouche, et les deux doigts qui me ramonent de l’autre coté. Je sens que le noir apprécie, car sa queue est devenue dure et laisse couler un jus épais qui m’asphixie un peu. Le blanc entreprend un doigt dans mon cul, la encore je suis vierge de ce coté. Je résiste et je lui dis que je ne peux pas. Ils se marrent tous les deux. 

Le blanc met sa queue devant ma chatte et caresse avec son gland l’entrée, je recule vivement pour le faire rentrer. Ca y est ! il est dedans et se met à me défoncer la chatte comme peu me l’ont déjà fait. Sa bite est longue, peu épaisse mais elle rentre très profond. Il éjacule en deux minutes et je sens ses secousses comme électriques me traverser le corps. Je jouis aussi très profondement pendant que le noir me traite de salope. Je sens le sperme me couler entre les cuisses quand il se retire. 

Le noir se retire de ma bouche et je crachotte un peu. Il fait le tour de la table et se positionne entre mes cuisses. Je me dis que je vais avoir droit à un extra. J’ai la bouche distordue de la taille de sa queue, je sens que cela va être different avec lui. Il me pénètre sans me ménager et je crois que mon vagin va se déchirer durant les premiers coups. Il y va fort et m’enfile de toutes ses forces. Le plaisir revient au bout de quelques secondes et je sens ses mains énormes me caresser les seins que j’ai d’ailleurs très bien proportionnés. Pendant les secondes qui suivent, il me ramone à grands coups et je jouis une deuxième fois, ce qui donne droit à une série d’insultes à mon égard. Je ne comprends pas, car je leur donne du plaisir.

Le blanc semble revenir sur moi, je l’avais un peu oublié. Il se met devant moi et me demande de lui laver le gland du foutre qu’il a encore. Je n’aime pas trop cela, mais il me fourre sa bite dans la bouche sans demander mon avis. Puis il se penche sur mes fesses et commence à malmener mon trou du cul. J’ai du mal à parler, mais je fais signe de laisser cet orifice. 

Le noir s’en mêle et plante un doigt très profond dans mon cul. Je me cambre, mais je m’enfonce la bite de l’autre dans la gorge, je manque vomir. Le noir se retire d’un coup de ma chatte en feu. Deux hommes en furie dans votre chatte, mesdames, je peux vous dire que c’est pas du gateau ! 

Je me détends un peu etonnée de ne pas avoir senti les secousses du noir... Le blanc saisit mes fesses à pleines mains, les écartant. Je sais que le noir à une vue imprenable sur mon anus dilaté, avec en dessous ma vulve béante et dégoulinante de sperme. Que va t-il choisir pour finir ? Ca ne manque pas, il plante deux doigts dans ma chatte pour en prendre le jus necessaire, ce n’est pas ce qui manque ! Il enduit le trou, que l’autre maintient le plus écarté, puis il se place et lentement me pénètre par derrière. Je crois que mon cul va éclater. J’essaie de me débattre, mais le noir me tient vigoureusement par les seins et s’empale dans mon cul. 

Dans une secousse, il atteint ce que je crois être le fond et se met à remuer gentiment. La douleur est forte puis diminue, je crois que je jouis encore une fois, puis il se met vraiment à me défoncer comme une salope. Au bout de quelques minutes, il éjacule au fond de mon trou et je sens une enorme chaleur au creux de moi-même, avec la satisfaction d’avoir résisté. Il se retire et me laisse trois secondes de répit avant que le blanc me retourne et enfonce sa bite dans ma chatte toute chaude. Je le laisse faire, en comparaison, cela me parait du gâteau. Il éjacule à son tour pour la deuxième fois en moins d’une minute pour moi.

Quand je me redresse, je n’ai plus tout à fait l’air d’une avocate de 26 ans au petit matin mais d’une pute qui a passé la nuit au bois ! Ils me félicitent pour mon corps bronzé qu’ils ont trouvé superbe et me donnent RDV tous les jours si je le veux au même endroit. Je me rhabille lentement, ma chatte est vraiment rouge et du liquide blanc coule abondamment, mon cul me brûle aussi, mais rien ne semble avoir été blessé. 

Je les remercie pour la leçon de cul et je me hâte vers ma voiture, toute perdue. Je fais demi-tour bien sûr, car je besoin d’une vrai douche et je les vois me faire signe du fourgon. Ils m’ont bien bourrée les salauds !

FIN

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours