dimanche 13 octobre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 09

 Texte de Ricki Black (2012)
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Exhibition de Martine.

Je reprends ma voiture et contacte Martine, la future belle-mère de mon fils qui m’est maintenant toute soumise. J’ai organisé pour le lendemain soir une rencontre avec son mari Pierre. Il est comptable dans une petite PME et d’une nature effacée face à sa femme et aux personnes en générales.

Hier, à la sortie de l’église, alors que j’avais abusé de Martine dans les toilettes et que Pierre avait fait une réflexion tout à fait justifiée, j’avais intentionnellement provoqué Pierre en lui imposant une rencontre avec lui et Martine chez eux le mardi soir vers 19H00 et sans enfants, afin de mettre fin à ces dires calomnieux et insultants, afin de le mettre sous pression. J’avais ajouté qu’il devait être prêt à s’expliquer.

Martine décroche et d’un ton sec et tranchant demande qui est à l’appareil. Lorsqu’elle s’aperçoit que c’est moi, son ton se radoucit et devient respectueux. Ma première demande est de savoir si elle m’a obéi aujourd’hui. Elle me répond qu’elle ne porte ni culotte, ni soutien-gorge, qu’elle est habillée d’une jupe courte et d’un petit pull fin et moulant. Mais je ne la sens pas à l’aise et lui demande où elle se trouve. Elle me répond qu’elle est en réunion de chantier et que le maire est venu voir l’avancement des travaux. Je trouve la situation plutôt intéressante. Elle m’avoue être un peu gênée car le maire n’arrête pas de la mater.

Je lui ordonne alors de trouver un moyen pour lui montrer qu’elle ne porte rien sous sa jupe. Elle me répond qu’elle ne peut pas faire ça, c’est le maire et s’il me voit comme ça il va me virer. Je la rassure, il n’en fera rien, au contraire elle risque d’avoir de la promo et de toute manière mes ordres ne sont pas discutables.

Alors je prends les opérations en main et lui demande :

- Tu prends un rouleau de plans, et tu vas te placer face à lui mais à une distance d’au moins cinq mètres. Il faut que tu puisses être certaine que personne d’autre ne pourra te voir.

Quelques instants après, elle me dit qu’elle est en place.

- Très bien  est-ce qu’il te regarde ?

- Oui, il me dévore des yeux.

- Alors fais tomber le plan par terre, et en le regardant dans les yeux, tu vas t’accroupir doucement en écartant tes jambes. De cette manière il ne peut pas ne pas voir ta fente.

Dans l’écouteur de mon portable, j’entends le rouleau tomber, et Martine me dire qu’elle est en position, jambes ouvertes, et qu’elle a face à elle le maire qui est rouge comme une tomate et qui ne peut détacher son regard de l’entrecuisse de Martine.

Je lui ordonne alors de se relever et d’aller déposer le plan.

- Il me regarde, me dit-elle, il vient vers moi.

Je sens dans sa voix comme un début de panique puis j’entends une voix d’homme grave dire :

- Eh bien Martine, je ne sais pas qui vous avez au téléphone, mais vous le remercierez de ma part, j’en suis encore ému comme vous pouvez le constater. Je dois partir, mais j’aimerais bien que vous passiez me voir à la mairie prochainement.

Un silence puis j’entends Martine me dire qu’il vient de partir, qu’elle n’a jamais eu aussi peur de sa vie, mais qu’elle n’a jamais autant mouillée aussi. Cette femme était fascinée par ceux qui représentaient le pouvoir ici-bas, comme un élu du peuple ou un Maître…

Je lui demande ce qu’il entendait par être ému… Martine me dit qu’en fait, cette réflexion lui a permis de me montrer la grosse bosse qui lui déformait son pantalon et qu’à priori, il avait particulièrement apprécié le spectacle que je lui avais offert.
Je me dis alors que ce maire devait certainement partager des penchants semblables aux miens.

Mais ce n’est pas le moment et je rappelle à Martine que je me rends chez elle demain soir, mais afin de m’assurer de sa complète collaboration, je lui demande si elle sait pourquoi je veux les voir elle et son mari.

Elle me répond à voix basse et plus timidement :

- Je pense que tu veux soumettre Pierre à tes désirs…

Et de lui répondre :

- Mais alors, que viendrais-tu faire là ? S je veux le soumettre je n’ai pas besoin de toi !!

- Oui c’est vrai Maître, effectivement, mais alors pourquoi ?

- Eh bien, mon idée est d’amener Pierre à être ton soumis.

Martine me rétorque qu’il est déjà soumis, il fait ce qu’elle lui dit de faire.

- Oui, mais c’est bien toi qui m’a avoué qu’il ne te baisait plus. Donc sur le plan sexuel il n’a rien d’un soumis.

- Ce sous-mec ne me touche plus depuis des lustres, d’un autre côté il ne pourrait même pas me faire jouir avec sa micro bite !

- Eh bien, on va changer ça, donc tu vas faire ce que je te dis de faire. Mon objectif est qu’il accepte le fait de t’être soumis sexuellement. Donc on va se répartir les rôles, tu resteras la femme dominatrice et exigeante, et moi je vais jouer le mec à l’écoute, compréhensif et de bons conseils. Demain je vais arriver comme prévu vers 19H00, toi je veux que tu arrives vers 20H00, je t’enverrai un texto pour te donner les indications à suivre. Tu es d’accord ?

Elle me répond affirmativement et je prends congés d’elle. 

Je vérifie sur mon portable espion, la localisation de Léa. Nous somme lundi après-midi et elle devrait être à l’université. Sauf que sa localisation ne la positionne pas au bon endroit. Où peut bien être cette petite salope ?

Je décide de ne pas l’appeler, mais je vais aller voir directement ce qu’elle peut bien faire.

Je démarre la voiture et suit le traceur du GPS de mon Iphone. Après vingt minutes de route, je stationne devant le centre commercial où j’avais emmené Léa acheter ses chaussures. Je me dis qu’elle est certainement venue faire des emplettes.

Je sors de la voiture et me décide à la contacter. Alors que le numéro s’affiche, je raccroche. Tout compte fait je vais lui faire la surprise et de cette manière je vais voir si mes ordres sont bien suivis (pas de culotte et de sous-tif).

J’entre dans la grande surface et me remémore les dernières aventures que j’y ai vécu, Muriel la vendeuse de chaussure avec Virgile mon nouveau pote et l’humiliation de Brigitte mon ex, que de très bons moments de baises.

Je continue à suivre la trace de Léa, et celle-ci m’amène devant les toilettes. Je suis quelque peu interloqué, car le curseur me la situe dans celles des hommes, et sur la porte il y a un panneau en interdisant momentanément l’accès.

Je pose la main sur la poignée et l’entrouvre pour distinguer ce qui s’y passe le plus discrètement possible. Je vois dans la pièce Léa, Béa et Virgile. Léa donne les ordres. j’aperçois Béa assise par terre, elle porte un collier de chien avec une laisse tenue par Léa. Virgile lui est debout, il me tourne le dos, à ses pieds il y a Béa et face à lui Léa. Je distingue également comme une grande flaque autour de Béa. Je crois comprendre ce qui se passe et j’en ai la certitude lorsque Léa ordonne à Béa de nettoyer sa pisse.

- Petite pute, tu vas nettoyer tout, tu n’as pas le droit de pisser dans les chiottes des hommes.

La forçant, Léa plaque le visage de sa soumise dans l’urine répandue sur le sol.

Voyant le spectacle, je décide de garder mon poste d’observation en espérant que personne ne vienne me déranger. La situation m’excite sérieusement et je sens mon manche enfler dans mon boxer. Quelle belle vicieuse cette Léa, je la savais capable d’être bien pire que moi.

Béa s’emploie à lécher et aspirer sa pisse, lorsque je vois Virgile sortir son énorme bite déjà bien dure. Béa, voyant l’engin, est effrayé par sa taille, mais Léa lui renfonce le visage et lui dit de s’appliquer sinon elle sera punie.

Virgile se place devant un urinoir et commence à pisser dedans. Je vois la lubricité allumer le regard de Léa qui attrape Béa par son collier et ordonne à la petite de regarder Virgile pisser.

Béa est à genoux maintenant, le visage à la hauteur de l’urinoir, elle scrute la bite d’où jaillit le jet doré qui éclabousse la faïence blanche. Soudain Léa intervient :

- Vas-y Virgile, finis-toi dans sa bouche s’il te plaît !

Virgile, ne sachant résister à une requête aussi gentiment demandée, s’exécute et se tourne de manière à diriger le jet sur le visage de Béa. Léa crie en ordonnant à sa soumise d’ouvrir la bouche pour recevoir la pisse et surtout de l’avaler. 

Je trouve que Léa y va fort avec elle, car sa soumission est récente et elle risque de braquer Béa. Mais à mon grand étonnement Béa ouvre la bouche qui se remplit d’urine qu’elle finit effectivement par ingurgiter.

A cet instant ma bite palpite dans mon pantalon, mais il est encore trop tôt pour que j’intervienne. Virgile se secoue le chibre au dessus de la bouche offerte pour y déposer les dernières gouttes.

Léa n’est pas contente après Béa, car elle lui reproche de ne pas avoir tout avalé. La saisissant par les cheveux, elle l’entraîne dans une des cabines. J’en profite pour me faufiler dans les toilettes en refermant derrière moi. Virgile m’aperçoit et me tend un large sourire :

- Eh man, tu arrives bien, ta petite pute de soumise est douée comme tout pour jouer les dominatrices !

Je lui sers la main et m’approche de la cabine où Léa a entraîné Béa. Je l’entends d’ailleurs contester.

- Non, c’est dégueulasse Léa, pas dans la cuvette, ses chiottes sont dégueulasses, elles puent graves !

Léa lui répond alors qu’elle lui tient la tête devant la lunette :

- Ta gueule sale pute, tu as voulu devenir ma soumise alors tu vas m’obéir !

Béa alors cesse toute résistance et attend les ordres pervers de sa maîtresse.

- Sors ta langue et nettoie-moi cette lunette, tu ne voudrais pas que j’attrape des maladies, allez, applique-toi !

Pour ma part j’ai sorti ma queue et me branle copieusement en regardant le spectacle.

Léa s’aperçoit alors de ma présence et me tend un large sourire. Elle va pour me parler quand je pose un doigt sur sa bouche en signe de silence. Comprenant ce que j’attends d’elle, elle se tait, mais en profite pour gober mon doigt et le sucer avidement.

Une fois la lunette propre, Léa y prend place, puis ouvrant ces cuisses au maximum, elle présente sa fente trempée à Béa lui ordonnant de la lécher et de la faire jouir et surtout qu’elle n’oublie pas non plus son trou du cul.

Béa est donc à quatre pattes, devant la cuvette de chiottes en train de bouffer la chatte de Léa. Elle est en position parfaire pour une levrette. Je dis à Virgile de se placer au dessus de Béa, de cette manière Léa peut le sucer ce qu’elle fait avec ardeur engouffrant l’énorme gland dans sa bouche. Puis me plaçant derrière Béa, je remonte sa jupe trempée de pisse sur ses reins. Surprise, elle va pour se retourner, mais Léa lui maintient la tête entre ses cuisses et lui ordonne de la bouffer.

Je glisse mon index sur la fente rose enduite d’un mélange de cyprine et d’urine, le tout coulissant à ravir dans la fissure. Je remonte mon doigt dans son sillon jusqu’à son anus, où j’y exerce une pression et y enfonce ma première phalange. Je sens le corps de Béa se cambrer ne sachant si je la perfore ou pas. J’ôte mon doigt et dépose mon gland sur les lèvres de son sexe. Puis très délicatement je m’enfonce en elle. Son con est serré et j’en déduis qu’elle n’a pas reçu souvent la visite de mandrin comme le mien. Elle arrête son suçage pour gémir sous la pénétration. Léa, jalouse, lui attrape les cheveux méchamment et l’oblige à revenir à sa chatte

Je suis maintenant entièrement en elle et ma grosse bite la remplit complètement. Cette sensation est très agréable car son fourreau est tellement serré que même sans bouger je ressens les moindres mouvements de Béa qui imperceptiblement se branle sur mon pieu.

La séance avec Martine m’ayant particulièrement échauffé, et sentant l’orgasme terrasser Béa, j’entends Léa me crier :

- Ne crachez pas les gars, j’ai promis à Béa qu’elle aurait sa ration de foutre à bouffer aujourd’hui !

Je me retire et Virgile aussi, Léa place Béa la nuque en appui sur le bord de la lunette le visage offert.

- Allez-y les garçons, vous pouvez lui cracher dessus à cette petite vicieuse elle n’attend que ça !

Virgile et moi entourons Béa alors que Léa se réjouit du spectacle. Je suis le premier à jouir de longs filets épais de foutre qui viennent s’écraser sur le visage doux et presque innocent, qui finit par être recouvert, lorsque Virgile à son tour gicle.

Sa semence est abondante et finit de recouvrir le visage de Béa qui a réussi à en recevoir une bonne quantité dans la bouche.

- Avale, allez avale tout ! crie Léa surexcitée.

Nous voyons alors sa bouche se refermer sur nos fluides pour être engloutis.

Léa, comme une furie, nous repousse en arrière, puis se plaçant au-dessus de Béa, lui ordonne d’ouvrir la bouche et lâche un geyser de pisse. Le jet violent explose sur la langue tendue de Béa. La pisse odorante éclabousse toute la cabine et coulait le long du corps de la soumise.

Quelle séance ! Béa est sur le sol, dégoulinante de pisse, elle avait joui une nouvelle fois. Léa me demande si j’ai aimé et pour toute réponse je lui mets une grande claque qui lui rougit la joue.

- Oui j’ai adoré, mais je suis ton Maître et si tu souhaites soumettre quiconque tu dois m’en demander l’autorisation AVANT. N’oublie pas que tu n’es qu’une soumise, compris ?

- Oui Maître, je ne le referais plus

Je laisse tout ce petit monde, car il faut impérativement que je prépare mon scénario et que je ne fasse pas la moindre erreur demain avec Michel… 

A suivre...

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