jeudi 3 octobre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 08

Texte de Ricki Black (2012)
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Rencontre avec Malika.

Alors que j’arrive à ma voiture, j’observe deux femmes qui se dirigent vers le petit centre commercial. Elles sont toutes les deux habillées d’une longue tunique noire et d’un foulard sur la tête. J’ai toujours été fasciné par l’orient et ses mystères. Tout en les regardant ,je remarque que l’une d’elle porte une chevillère. Mais oui c’est bien la chevillère que portait Malika. Mais je ne comprends pas, lorsque je l’ai rencontrée au travail de Martine, elle était très différente. Il faut que j’en aie le cœur net, je compose le numéro de portable que m’a communiqué Malika. Effectivement une des deux femmes sort son téléphone et répond :

- Bonjour Malika, c’est Michel, comment vas-tu ?

Je la vois s’éloigner de l’autre femme alors qu’elle me répond qu’elle est très heureuse de m’entendre. Je lui demande ce qu’elle fait à cet instant. Malika me confirme qu’elle est en RTT pour la journée et qu’elle accompagne une amie en course. Je lui propose de nous voir maintenant. Elle me répond qu’elle est désolée mais que cet après-midi c’est impossible, mais cela lui ferait extrêmement plaisir de me voir. Je lui demande si c’est la manière dont elle est habillée qui l’empêche que l’on se voit. Je l’épie de loin, elle se tourne pour observer autour d’elle.

- Vous êtes là ! me dit-elle la voix un peu troublée. 

Je lui confirme qu’effectivement je l’observe et je la trouve très envoûtante comme ca. Je lui explique qu’il m’est déjà arrivé d’imaginer, en voyant des femmes ainsi vêtues, qu’elles étaient nues dessous et que de ce fait elles en devenaient encore plus désirables. Malika me demande alors si je l’imagine nue à cet instant. Je lui réponds affirmativement.

Elle me demande de ne pas bouger de ma place, elle me rappelle de suite. Je la vois revenir vers son amie, puis elles se font la bise et se séparent. Puis Malika se dirige vers les toilettes du centre. Quelques instant plus tard elle en ressort et se positionne là ou elle était et me téléphone :

- Oui Michel, tu es toujours là à m’épier ? Tu m’imagines toujours nue sous ma tunique, alors arrête de l’imaginer car je suis entièrement nue maintenant dessous !

Cette révélation me trouble et je sens ma queue grossir dans mon boxer.

- Tu es encore plus envoûtante et j’ai très envie de découvrir les charmes que tu me caches !

Elle me répond :

- Je t’offre la possibilité de les découvrir pendant que je vais faire mes courses dans ce magasin. Suis-moi discrètement !

Malika se met en route et entre dans la grande surface. Je l’accompagne de loin et essaye de passer inaperçu. Elle commence par les jeux vidéo. Il n’y a personne pour le moment et je peux aisément la voir du rayon photo. Elle regarde les boîtiers de jeux, puis s’arrête devant une console de démo. Elle saisi une des manettes. Vous savez, celles qui sont en forme de vibro avec une boule lumineuse au bout. J’aperçois Malika qui positionne la manette au creux de ses cuisses au dessus de sa tunique et commence à la frotter à l’intérieur de ses cuisses, tendant le tissu qui épouse les formes sensuelles de son pubis. Cette fille m’excite au plus haut point et la situation transcende mon excitation. Je peux distinguer les tétons des seins qui pointent sur le tissu tendu. Malika, continuant à se caresser, attrape avec sa main libre un de ses seins pour le malaxer. Sa poitrine a l’air très généreuse et je peux discerner sa forme sous le tissu.

Un homme arrive dans le rayon, obligeant Malika à stopper ces caresses. Elle quitte le rayon pour se diriger vers le rayon vaisselle.

Je l’escorte de loin, mais je dois m’approcher pour mieux la voir. Je suis au bout du rayon lorsqu’elle saisit un rouleau à pâtisserie en plastique. Bien sûr, elle m’a vu, alors elle écarte les pans de sa tunique et découvre sa gorge. Jaillissant de sa tunique noire, je découvre ses superbes seins. Sa peau est cuivrée et mat, les tétons sont fins et bruns.

Ma bite en maintenant raide et bat dans mon pantalon.

Plaçant le rouleau entre ses seins, Malika les ressert dessus, pour simuler une cravate de notaire. A cet instant, comme j’aurai aimé que ce soit ma queue qui se retrouve entre ses seins. Je perçois une vraie lubricité dans le regard de Malika. La situation est surréaliste, lorsque je vois cette magnifique fille en foulard et tunique noire, en train de s’exhiber.

Pour accentuer mon excitation, elle ouvre la bouche et tout en tendant sa langue, elle lèche le bout du rouleau comme elle aurait léché la bite qui pourrait si trouver.

Je suis hypnotisé par Malika alors qu’elle s’accroupit. Elle écarte lentement les pans de sa tunique découvrant peu à peu ses jambes. Je vois d’abord ses genoux puis l’étoffe glissant sur le bas de ses cuisses fines lorsqu’elle les écarte, me laissant entrevoir au fur et à mesure son chef-d’œuvre.

Comme au théâtre, le rideau s’ouvre sur l’œuvre et je découvre le sexe nu de Malika. Son pubis est lisse, exempt du moindre poil. Il est légèrement rebondi comme un mont qui mène à une vallée. Les cuisses maintenant largement écartées, je vois les lèvres noires de sa chatte entrouverte qui laisse échapper une césure d’un rose intense. Cette vision est divine et mon émotion très intense. Le regard malicieux de Malika me ramène à la réalité et lorsque je vois le rouleau entrer en contact avec sa vulve, ma bite tréssaille. Malika fait glisser l’objet sur toute sa longueur, ouvrant ainsi ses lèvres.

Après quelque va-et-vients, elle se relève et avant de quitter le rayon elle dépose le rouleau sur le bord tout en me regardant vicieusement.

Tout en la suivant, je saisis le rouleau au passage. Malika alors s’arrête, se retourne en me dévisageant. Je comprends ce qu’elle désire et porte l’objet à mon visage. Il est recouvert d’une couche brillante. Dans un premier temps je le pose sur mon nez et respire cette odeur de chatte. C'est une odeur envoûtante et troublante. Alors que Malika m’observe en souriant, je pose ma langue et lèche l’endroit couvert de mouille. Mon palais alors s’empourpre d’une saveur esquisse et pimentée. J’ai dans ma bouche l’ensemble des charmes secrets de l’orient.

On peut commencer à voir aisément l’énorme bosse qui déforme mon pantalon.

Je suis maintenant ma Shéhérazade dans le rayon fruits et légumes. Elle butine au dessus des étals et s’arrête devant celui des concombres. Elle en choisit un de belle taille, le prenant en main elle en teste la rigidité, puis l’entourant de ses doigts, elle en estime la circonférence pour finir par le reposer. Elle recommence avec un plus gros, le choisit et quitte le rayon pour se diriger vers les chaussures.

Elle sort son téléphone et me contacte :

- Alors Michel, le spectacle vous plaît-il ? 

Je lui réponds que je suis aux anges et qu’elle est très belle.

- C’est vrai, vous me trouver désirable ? 

Je lui confirme qu’effectivement je la trouve très désirable.

- Alors Michel, montrez le moi maintenant, j’en veux la preuve !

Je vais pour me rapprocher d’elle.

- Non Michel !  Restez où vous êtes et montrez-moi votre désir… D’où vous êtes  !

Je viens de comprendre. Je regarde autour de moi et ouvre ma braguette, plonge ma main libre dans mon pantalon et en ressort ma bite.

- Bien ! me dit-elle, vous êtes superbement bien équipé. Je m’en doutais car lorsque nous sommes sortis de notre déjeuner j’ai pu apercevoir la bosse de votre pantalon. Maintenant vous allez faire ce que je vous demande. Ne vous en faites pas, je surveille les alentours. Allez, à votre tour de m’exciter ! Avec deux doigts, décalottez le gland et tendez-le… Oui comme ça, c’est bien, humm, c’est très excitant de vous voir vous exhiber comme cela !

Elle glisse sa main libre sous sa tunique.

- Cela ne vous dérange pas si je me caresse en même temps. Ce n’est pas tous les jours que j’ai un tel spectacle sous les yeux. Vous allez commencer, toujours avec vos deux doigts, à vous branler pour moi Michel. Doucement, faites aller et venir vos doigts sur votre manche. Je suis fascinée par votre sexe, vous savez, chez nous, tous les hommes sont circoncis. Là de voir votre gland disparaître et réapparaître de la sorte me bouleverse en peu, je suis moite et j’ai très envie de vous sentir en moi !

Malika sait très bien y faire pour exciter un homme. Sa voix douce qui murmure dans mon oreille me rend fou. Cette fille voilée est d’une extrême subtilité dans son approche.

- Michel, je peux voir votre excitation, alors que vous, vous ne pouvez pas voir à quel point cette vision m’excite. J’ai très envie de m’approcher de vous et de vous prendre dans la bouche et goûter ce fruit gorgé de sève. Dites-moi Michel, où en êtes-vous avec votre sève… Je vous en prie, ne venez pas tout de suite, j’ai encore des secrets à vous dévoiler !

Je lui explique qu’à ce rythme je ne vais pas tenir bien longtemps.

- Rangez votre manche si vous le pouvez et venez, approchez-vous, j’ai quelque chose à vous confier !

Ayant remis ma queue dans mon pantalon avec quelques difficultés, je m’avance vers elle. Je suis à un mètre lorsqu’elle me fait signe d’arrêter. Une de ses mains glisse soudain derrière elle. Je l’observe, son visage bronzé encadré de son voile noir la rend presque mythique. Ses yeux sont noirs et brillants et je perçois un léger gémissement accompagné d’un souffle de plaisir.

Puis sa main réapparaît armée d’un rosebud. Il est de belle taille et est serti d’une belle pierre brillante. Malika me le tend en me demandant de bien vouloir lui tenir. J’attrape l’objet, il est beau en inox brillant et surtout humide. Je le porte à mon nez pour en capter toutes les effluves. Humm ça sent le cul et ça finit de m’exciter.

Malika me tend également le concombre. Puis se retourne et discrètement remonte sa tunique, me laissant découvrir ses cuisses puis son splendide cul. Ses fesses sont bien rondes et fermes, elle les écarte pour faire apparaître son sillon noir et son anus déjà humide. Puis elle me murmure :

- Michel, je ressens comme un grand vide, sauriez-vous être assez aimable pour me le combler, je vous en prie et je saurais vous en remercier !

Je vérifie qu’il n’y ait toujours personne et pose délicatement le bout du légume sur son anus.

- Surtout, ajoute t elle,  ne vous trompez pas d’orifice, je suis encore vierge et dois le rester jusqu’à mon mariage.

Cette fille est vraiment particulière, mais je continue en appliquant une pression sur le concombre qui dilate peu à peu l’étroit passage de son cul. Puis finissant par céder, il s’enfonce presque facilement. J’en suis à la moitié lorsqu’une femme apparaît dans le rayon. Je lâche prise et Malika se place dos au rayon chaussure. Le concombre est planté dans son cul et tend la tunique comme si elle bandait du cul.

Pendant que la cliente regarde les modèles, Malika s’adosse à un pilier. Elle s’appuie dessus et de cette manière, elle continue à enfoncer le légume dans son fondement. Elle respire rapidement et doit écarter les jambes pour aider la pénétration. Elle m’attrape et pose ses lèvres sur les miennes dans un baiser rageur. Je comprends qu’elle est en train de jouir.

Discrètement elle pose sa main sur mon pantalon et pétrit ma queue. Elle l’extrait et je peux respirer. Je bande si fort que j’ai mal.

La cliente quitte le rayon et nous sommes à nouveau seuls. Malika me regarde dans les yeux et me dit :

- Maintenant c’est ta bite que je veux... Je veux que tu m’encules ici, tout de suite !

Elle est passée au tutoiement et a un langage plus de circonstance, ce qui a pour effet de me faire péter les plombs. Ne vérifiant même pas les alentours, je la retourne, lui remonte la tunique, dégage le concombre de son trou et le donne à Malika en lui ordonnant de le sucer.

Je plaque ma queue à l’entrée de son trou encore un peu ouvert, et dans un grand coup de rein je la perfore jusqu’à la garde. Heureusement qu’elle a le légume dans la bouche, car j’entends l’intensité de son cri se perdre dans sa gorge. Elle est étroite et humide du cul. Il est chaud comme la braise et je la pilonne comme un fou. Elle doit se cramponner au pilier pour ne pas trébucher. Elle lâche le concombre et me demande dans un râle de jouir en elle, elle veut sentir ma liqueur inonder ses intestins. Elle jouit et je me lâche en elle. Je crache une quantité incroyable de sperme.

Je l’embrasse tendrement. Nous mettons un petit moment à nous remettre, puis elle me demande de la suivre à nouveau à distance. Que me réserve-t-elle encore ? Elle approche du rayon pâtisserie. Je l’observe. Regardant autour d’elle… personne… Elle ouvre une boite où se trouve une religieuse au chocolat, attrape le gâteau puis le fourre sous sa tunique. Puis quelques instants plus tard elle la ressort et la redépose dans l’emballage. Elle sort son téléphone et m’appelle :

- On ne sait jamais, si Martine avait une petite faim ! 

Et oui elle avait tout compris la petite Malika lorsqu’elle était entrée dans le bureau de Martine.

- Merci Michel pour ce plaisir. Et sachez que je me rendrais toujours disponible pour vous. Au fait, Martine m’a invitée avec mon frère pour le mariage de vos enfants. Nous allons nous quitter ici Michel, pour éviter toute indiscrétion. Je suis connue dans le quartier moi ! Finit elle en riant bruyamment.

Je la vois partir avec sa tunique et son foulard noir. Elle est nue dessous et maintenant je n’aurai plus le même regard.

Avant de quitter l’endroit, je passe devant les pâtisseries. Je reconnais tout de suite celle de Malika recouverte d’une épaisse sauce blanche. Je vais pour partir lorsque j’entends une femme dire à sa fille :

- Regarde, prends celle-là, il y a plus de sucre glace que sur les autres…

Et la fille répond :

- Humm, je vais me régaler !

A suivre...

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