mercredi 23 octobre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 10

Texte de Ricki Black (2012)
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Confessions de Pierre, le futur beau-père.

J’arrive devant la maison des futurs beaux parents de mon fils, il est 19 heures et j’ai rendez-vous avec Pierre le père. Il est comptable dans une petite PME et d’une nature effacée face à sa femme et aux personnes en général.

Alors que j’avais abusé de Martine, Pierre avait fait une réflexion tout à fait justifiée, j’avais intentionnellement provoqué Pierre en lui imposant une rencontre avec lui et Martine chez eux pour en discuter.

Je sais qu’il est seul et j’ai demandé hier à Martine d’arriver vers 20H00. Ça tombe bien, car elle est au cheval ce soir.

Mon objectif est d’amener Pierre à être dominé par sa femme. J’ai réparti les rôles avec Martine, elle restera la femme dominatrice et exigeante et moi je vais jouer le mec à l’écoute, compréhensif et de bons conseils.

Je sonne, Pierre vient m’ouvrir et m’invite à entrer, il m’informe que Martine arrivera plus tard. Nous entrons dans le salon et il m’invite à m’asseoir dans le canapé. Il y a deux verres sur la table basse et Pierre me demande si je souhaite boire un verre. Je le sens très stressé et il a besoin de s’occuper pour ne pas le laisser paraître. Il me sert un whisky avant de s’installer face à moi dans un fauteuil.

- Michel, je tenais avant tout à m’excuser pour mon comportement de dimanche, j’avoue que lorsque je vous ai vu arriver ensemble, Martine avait l’air tellement épanouie à vos côtés que j’ai vu rouge. En fait Michel ce n’était pas contre vous, mais je suis très attaché à ma femme et je ne supporterais pas de la perdre

Je m’installe confortablement dans le canapé et prend mon temps pour répondre à Pierre. Je trouve que ça débute bien puisqu’il commence par s’excuser.

- Mon cher Pierre, j’accepte vos excuses, mais si je peux me permettre, je pense que c’est plus votre comportement très en retrait voire soumis, qui peut être dangereux pour votre couple, non ?

Pierre baisse les yeux avant de me répondre.

- Oui vous avez raison, je la sens d’ailleurs se détourner de moi depuis quelques mois, mais je n’y peux rien, je suis comme ça et j’aime son tempérament supérieur et je dois vous l’avouer, j’aime lorsqu’elle m’humilie.

Je suis étonné par la réponse de Pierre qui me livre aussi franchement un tel secret.

- J’imagine que ce doit être difficile de parler de cela et j’apprécie que vous me fassiez suffisamment confiance pour me l’avouer, Ce doit être un vrai problème dans vos relations intimes ?

Pierre est un peu plus en confiance et me répond :

- Oui, nous n’avons presque plus de relation ensemble et ça accroît mes peurs de la voir m’échapper.

- Mais pourquoi cette attitude soumise, comment pouvez-vous expliquer un tel comportement ?

Pierre boit d’un seul trait son verre et se positionne au fond de son fauteuil.

- Oui je peux, vous me semblez un homme sincère ,puis-je vous faire confiance ?

Je lui réponds qu’il n’a aucune crainte à avoir.

*****

Très bien… Mon histoire commence dès mon plus jeune âge. Mes parents étaient catholiques très pratiquants. Mon père nous a abandonné. Il a quitté ma mère pour une jeune femme. Ma mère ne s’en est jamais relevée, elle est tombée en dépression et est devenue plus dure. Elle continuait à fréquenter l’église régulièrement. Alors que j’étais ado, j’ai découvert la masturbation par le plus grand des hasards sous la douche. Voir ce liquide blanc gicler de mon gland fut une très grande surprise et une découverte très agréable. J’ai commencé alors à me caresser régulièrement, le soir lorsque j’étais couché. Un jour allongé nu sur le lit, les draps retroussés, je m’astiquais et j’étais au bord de l’orgasme, quand ma mère surgit dans la chambre. La honte me monta aux joues alors qu’elle me hurlait dessus :

- Lève-toi petit vicieux !

Je me suis levé, nu face à elle qui me toisait de son regard furibond. Elle saisit ma verge qui ramollissait dans sa main. Le contact de sa main chaude fit repartir mon érection. Voyant ça, ma mère m’envoya une gifle énorme. Et soudain sans pouvoir le contrôler, la conjonction de la douleur et de la main de ma mère, me fit éjaculer sur son poignet.

- Petit salaud tu m’a giclé dessus !!! Je suis ta mère et tu m’as giclé dessus comme si j’étais une de ces nanas qui se montrent nues pour les petits branleurs dans ton genre.

Elle enserrait ma bite tendue avec force et j’aimais cette douleur, ce qui avait pour effet de maintenir mon érection.

- Je t’interdis de bander devant moi et de te branler, c’est péché de faire ça !

Puis elle lâcha ma queue pour me tendre sa main m’obligeant à la nettoyer avec ma langue. Je dus lécher mon sperme qui souillait la main de ma mère. Puis elle quitta la chambre en me demandant que cela ne se reproduise plus.

Enfoncé dans mes draps alors que j’entendais encore ses pas s’éloigner, je saisis ma queue raide et jouis une nouvelle fois avec une vigueur encore inconnue jusqu’alors.

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Je regardais Pierre et essayais de ne pas montrer mon étonnement. Pour le tranquilliser et qu’il continue son histoire, je lui confie que moi aussi j’avais été surpris par ma mère en pleine masturbation et que j’avais eu la honte de ma vie. Pierre repris, presque sans faire attention à mon commentaire, il est comme en transe.

*****

Ma mère était une assez belle femme, assez ronde, des beaux seins lourds et tombant, des hanches saillantes et arrondies, des fesses larges et généreuses. Depuis cette aventure, mes envies de me branler étaient encore plus fortes et je profitais de la moindre occasion pour m’adonner à cette pratique.

Lorsque ma mère allait se doucher, j’attendais qu’elle soit entrée dans la douche pour la mater. J’avais auparavant préparé mon coup. J’avais placé le miroir de l’armoire de toilettes de manière à avoir le reflet de la douche sans avoir à passer la tête dans la pièce. De cette manière je pouvais voir ma mère dans toute son intimité et me branler sur cette belle image.

C’est lors d’une de ces séances que j’ai découvert sa chatte noire et poilue. Elle ne s’épilait pas et son tablier de sapeur était bien fourni. Ses aisselles étaient aussi très touffues. Ces poils noirs sur sa peau laiteuse m’exaltaient et l’effet sur ma raideur était immédiat. Lorsque ses doigts, emplies de savon, s’insinuaient et disparaissaient entre les lèvres de sa fente rose, j’imaginais qu’elle savait que je l’observais et qu’elle se caressait pour moi. Je ne tardais jamais à jouir fort.

Autre source d’excitation, je partais à la chasse aux petites culottes portées dans la panière à linge, je choisissais la plus odorante ou la plus tachée, je la respirais tout en me masturbant et finissais toujours par éjaculer dessus. Les collants pareils, surtout ceux qu’elle portait sans culotte, j’adorais. Mais je ne me rendais pas compte que je laissais des traces partout et que ma mère s’apercevait de mes activités.

Inconsciemment je voulais qu’elle le sache, je voulais la faire réagir.

Un jour alors que je me branlais dans ses sous-vêtements elle me surprit. En fait elle attendait tapie que je passe à l’action. Elle avait acheté une sorte de cravache en cuir avec un bout plat. Arrivant derrière moi, elle me donna un grand coup sur les fesses nues. Je criais de surprise et de douleur.

- Je t’avais prévenu, tu crois que je ne vois rien hein ?

Alors que la cravache retombait sur mes fesses. Une douleur vive irradiait dans mon cul et alors je sentis ma queue imperceptiblement se tendre encore plus. Sa punition stimulait mon excitation. Ma mère s’en aperçut et sa colère n’en fut que plus exacerbée. Elle me retourna, ma bite alors lui faisait face, tendue et gonflée. Soudainement elle leva la cravache et fouetta le membre avec. La douleur fut si forte que je faillis trébucher. Je vis un sourire s’esquisser sur son visage et un nouveau coup s’abattre. Mon érection n’avait pas faibli, au contraire l’excitation était au summum et je sentais l’orgasme monter. Les derniers coups eurent raison de celui-ci et le foutre explosa de mon gland meurtri.

- Ce n’est pas possible, tu aimes ça, tu es un vrai pervers mon pauvre garçon, nettoie-moi tes cochonneries tout de suite ! finit-elle en quittant la pièce.

Je savais à cet instant que mon plaisir passait par la conjonction du désir sexuel et la soumission physique et j’aimais ça. Les mois passèrent ainsi, je grandissais et mon corps changeait, ma musculature se dessinait, quelques poils apparaissaient et mon sexe devenait bien plus gros au creux de ma main.

Ma mère, elle, abhorrait la gent masculine et ne fréquentait que ses collègues féminines ou les culs bénis de l’église. Depuis quelques semaines une femme venait régulièrement à la maison. D’abord pour boire un café, elles passaient des heures à discuter, puis le week-end elle venait après dîner et restait tard. Ma mère me demandait d’aller me coucher, car elle avait à discuter entre adultes. Je me retrouvais seul dans ma chambre.

Un samedi soir, alors que je m’étais assoupi dans mon lit, je suis réveillé par des sons. Intrigué je me lève et me dirige vers la porte. Collant mon oreille j’entends effectivement comme des gémissements. J’essaye d’ouvrir ma porte et m’aperçois qu’elle est fermée à clé. Impossible de l’ouvrir. Frustré je retourne dans mon lit et me dis que si ma mère a pris soin de fermer ma porte, c’est qu’elle doit avoir une sacrée bonne raison et il faut impérativement que je la découvre.

Pendant les jours qui suivirent je me mis en quête de trouver la clé, car ma mère l’avait ôté de la porte. Elle commençait à bien me connaître. Je profitais de ses moindres absences pour fouiller sa chambre.

Je découvrais des trésors, des lingeries intimes très sexy, des bas noirs. Je n’imaginais pas qu’elle puisse porter des sous-vêtements aussi sexy alors que l’image qu’elle me renvoyait était plutôt celle d’une femme stricte, psycho-rigide et loin des attraits du sexe. Il faut croire que je me trompais. En continuant ma fouille, je trouvais une culotte féminine cachée sous son oreiller. Plutôt surprenant, pourquoi cacher sa culotte ainsi. Je la portais à mon nez, elle était encore très odorante et fit enfler ma queue de désir. Elle était fort jolie en dentelle noire, mais le plus étonnant est qu’elle portait des traces de rouges à lèvres !!! Et ma mère n’en portait que dans les grandes occasions.

Il fallait que je trouve cette clé. Je furetais maintenant dans les livres qu’elle collectionnait. Les déplaçant un à un pour être certains de ne rien louper. Au bout d’une bonne minute ma persévérance fut récompensée. J’avais trouvé une clé, mais elle ne correspondait en rien à celle de ma chambre. Donc une nouvelle quête commençait, et c’est finalement dans le grenier après de très longues minutes que je trouvais la boite métallique que cette clé ouvrait. Elle n’était pas spécialement cachée, et facilement accessible, je glissais la clé et ouvrais la serrure.

La boite contenait différents objets. D’abord je trouvais enfin la clé de ma porte, j’allais pouvoir en faire confectionner un double. Puis il y avait aussi d’autres objets, une sorte de ficelle à laquelle était attachée deux boules de la taille d’un calot. A l’extrémité un anneau en plastique bleu, du maquillage, ombre à paupière et rouge à lèvre. Un objet aussi insolite, de couleur noire, c’était une sorte de stylo mais arrondie et évasé à un bout. Percé en son centre et relié par un tuyau flexible à une poire en caoutchouc. Étrange attirail et pourquoi ces objets étaient-ils fermés à clé dans une boite au grenier avec ma clé de chambre.

Je commençais à penser que ma mère avait son petit jardin secret, mais tenant compte du comportement qu’elle avait vis-à-vis de moi surtout ce qui touchait au sexe de près comme de loin, j’avoue que je restais ébranlé par ces découvertes ne sachant que penser.

Je pris une empreinte de la clé de porte dans de la pâte à modeler et replaçais tout exactement au même endroit, il ne fallait surtout pas que j’éveille les soupons de ma mère.

Le lendemain j’avais montré l’empreinte au serrurier, il n’avait eu aucun mal à reproduire la clé et c’est avec un double en poche que je rentrais à la maison. Après avoir trouvé une cachette sûre, il ne restait plus qu’à attendre le moment pour essayer de découvrir ce que ma mère ne voulait pas que je découvre.

Je dus attendre une semaine. Ayant prétexté une grosse fatigue après le dîner je partis dans ma chambre. M’allongeant pour faire semblant de dormir, je dus attendre une bonne heure pour entendre ma mère toquer doucement à ma porte. Sans réponse j’entendis la clé glisser dans la serrure et verrouiller la porte. Excité par la situation je fis un bond de mon lit pour écouter à la porte. Quinze minutes plus tard je perçus des bruits. Une personne était entrée dans l’appartement et une discussion, inaudible pour moi, avait suivi.

Je décidais de jouer la prudence et m’imaginais que ma mère avait dû aussi récupérer en même temps que ma clé, les différents objets dans la boite. Ils devaient être tous associés à la même utilisation, mais laquelle ?

Mon excitation était à son comble, et cela faisait plus d’une heure que je patientais avec la clé à la main. J’avais perçu des sortes de gémissements comme la dernière fois. N’y tenant plus je tentais et ouvrais la porte avec la plus grande précaution. Je pénétrais dans le couloir qui, par chance, était dans le noir. Je pouvais entendre plus distinctement les bruits qui venaient du salon.

M’approchant à pas de loup j’étais en sueur et fébrile de découvrir enfin ce qui m’était interdit.

Le spectacle qui s’offrit à moi me stupéfia et me troubla au plus au point. Ma mère était installée dans le fauteuil, ses jambes reposaient sur les accoudoirs. De cette façon elle offrait son intimité à une femme qui était agenouillée devant le fauteuil. Ma mère me faisait face et je ne voyais l’inconnue que de dos, enfin je devrais dire que je ne voyais que son cul vu sa position.

Elles étaient toutes les deux nues, habillées de bas noirs. Les gémissements que j’avais perçus étaient émis par ma mère qui à cet instant se caressait ces deux gros seins tout en essayant de lécher ses tétons.

J’étais comme ensorcelé par cette vision et ma main était déjà à l’œuvre dans mon pyjama.

L’inconnue avait la tête entre les cuisses écartées de ma mère. Je ne voyais pas, mais j’imaginais aisément qu’elle lui bouffait la chatte. C’est dingue, ma mère qui me prenait la tête parce que je me branlais, elle qui allait à l’église tous les dimanches, qui jouait la pudique et la sainte, était en train de se gouiner dans le salon avec une inconnue. Je comprenais mieux toutes ces précautions.

En attendant ma bite palpitait sous mes doigts et je ne boudais pas le plaisir de mater ces deux cochonnes.

Une chose m’intriguait, l’inconnue qui me tendait son cul bien ouvert, avait quelque chose qui pendait de son anus. Je dus me concentrer pour m’apercevoir que c’était l’anneau en plastique bleu. J’en déduis donc qu’elle avait les deux boules enfoncées dans son fondement. Mais je repensais à leurs tailles plutôt grosses pour les enfiler dans un petit trou aussi serré.

La voix de ma mère trahissait une grande excitation alors qu’elle demandait à l’inconnue de lui enfoncer sa langue dans son anus. Ces mots résonnèrent en moi comme une décharge et de longs jets de sperme vinrent s’écraser sur le papier peint du couloir, alors que j’avais eu un mal fou à étouffer un râle de plaisir. J’essuyais comme je pus mes saletés et aussi discrètement qu’à l’aller je retournais dans ma chambre, prenant soin de refermer la porte. Cette nuit fut très agitée, ponctuée de rêves érotiques et de cauchemars ténébreux.

La nuit m’avait porté conseil et j’avais pris conscience que ce n’était pas le sexe que ma mère abhorrait, mais les hommes et leurs bites. Le sexe, elle aimait ça et j’en avais eu la preuve la veille. Mais une question restait pour moi essentielle. Qui était l’amante de ma mère ?

Cette nouvelle situation changea beaucoup ma manière de percevoir ma mère. Les jours qui suivirent, lorsque nous sortions en course, je l’observais, dans ses attitudes et ses manières. Ses regards s’arrêtaient effectivement sur de belles femmes matures et n’hésitant pas lorsqu’elle les sentait réceptives, à les provoquer en prenant des attitudes mutines. Bien sûr je pouvais voir cela, car je savais ce qu’elle était et son attitude loin de me heurter, m’excitait.

Bien sûr j’ai continué à jouer les voyeurs lorsque ma mère recevait. J’ai découvert que son amante était Mme Marie, une fervente et assidue pieuse de l’église, mariée et mère de deux enfants dont l’un était au lycée avec moi. S’il pouvait imaginer ce que sa mère était en réalité, une sacrée salope qui aimait avoir la bouche remplie de la mouille de la mienne et se fourrer le cul d’objets de tout genre.C’était une très belle femme de quarante-cinq ans environ. Toujours très élégante, elle portait des ensembles chics, une vraie bourgeoise catho. 

Pour l’avoir maintenant bien observée, elle possédait une paire d’obus à damner un prophète, ses jambes étaient fines et longues, son cul plutôt mince et petit. Mais sa chatte alors c’était l’enfer. Son pubis méticuleusement épilé était rebondi. Les lèvres étaient saillantes et assez grosses et offraient une vision presque indécente de son intimité, qu’est-ce qu’elle était bandante, surtout lorsque je voyais la langue de ma mère les ouvrir pour en lécher le jus et ensuite s’enfoncer en elle.

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A ce stade de l’histoire, je suis des plus studieux et écoute avec une grande attention les détails salaces que Pierre me livre sur sa mère et son apprentissage sexuel. Je suis intimement persuadé que je vais pouvoir exploiter ses petits travers, et les utiliser à bon escient pour Martine. Je dis à Pierre que je suis effaré mais également curieux de savoir comment cette histoire va finir… Il sourit en reprenant :

- Oui c’est en effet effarant. Mais la perversité va des fois se cacher chez les personnes qui nous paraissent les plus vertueuses.

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Toujours voyeur des ébats lesbiens de ma mère, je prenais de plus en plus de plaisir à les observer. Jusqu’au jour où, par inadvertance et manque de vigilance, je me suis fait repérer. J’étais âgé à ce moment de 17 ans, et étais quasiment formé comme un homme. Pratiquant l’équitation, j’étais assez musclé. Mon sexe aussi avait pris de l’ampleur et je pouvais maintenant être plutôt fier de ma virilité. Pour des raisons pratiques, j’étais nu lors de mes excursions voyeuristes, de plus, le risque augmentait mon excitation.

Alors lorsqu’elles ont compris qu’elles étaient épiées, elles se sont littéralement jetées sur moi, me projetant au sol, avant que j’aie pu rejoindre ma chambre. Ma mère cria à Mme Marie de me tenir. Elle me plaquait au sol tout en maintenant mes mains dans le dos. Ma mère revint avec une ceinture en cuir et l’enroula autour de mes poignets très fortement. Alors Madame Marie, accroupie au-dessus de moi, me retourna. Elle vit que la séance n’était pas venue au bout de mon excitation et c’est avec la queue bandée à mort qu’elle me découvrait. Ma mère m’invectivait me traitant de sale petit merdeux, d’obsédé sexuel, de voyeur pervers. Elle était debout à ma tête et nue. Du sol où j’étais maintenu par Madame Marie assise sur mes jambes, je pouvais voir la vulve de ma mère dégoulinante de mouille, certainement due aux traitementx buccaux de son amante. Elle n’avait pas pris conscience que pendant qu’elle brayait je matais son con. J’en bandais plus fort, car en plus de cette vision je sentais les lèvres de celui de Madame Marie caresser et détremper mon genou.

Ma mère était dans tous ses états. Eh oui son fils était le témoin de ses séances de gouinage :

-  Qu’allons-nous faire Marie ? Je t’avais prévenue que ce môme était un pervers, mais comment a-t-il fait pour ouvrir cette porte ? Je suis mal, il nous a vu baiser ensemble et il ne va jamais tenir sa langue. Marie saisit alors ma queue à pleine main, décalotta le gland puis commença à serrer de plus en plus fort. De l’autre main elle enserra mes testicules et en fit de même.

La douleur irradiait dans tous mon bas-ventre et paradoxalement j’étais excité. Mon gland était maintenant violacé et mes couilles très douloureuses ,lorsque Madame Marie me dit :

- Alors petite merde, tu vas nous faire des ennuis ?

Ses deux mains s’étaient rejointes et enserraient maintenant mes couilles et ma queue. Elles remontaient l’ensemble vers le haut occasionnant une douleur bien plus intense.

- Non je vous jure Madame Marie, je ne dirai rien de ce que j’ai vu, je vous jure de vous obéir en tout mais arrêtez !

Ma mère me regardait avec un sourire vicieux au bord des lèvres. Elle jouissait du spectacle de ma souffrance par le sexe. Si elle savait qu’en fait cette douleur me transportait au paroxysme de mon plaisir. D’ailleurs je faillis jouir, mais heureusement Madame Marie cessa avant. Elle se releva et dit :

- Viens, on va le mettre dans sa chambre, cette séance m’a particulièrement excité et j’ai envie que tu me baises, je m’occuperais de ton môme après.

Elles m’installèrent sur mon lit les mains liées et repartir finir leurs affaires dans le salon. Madame Marie avait pris soin de refermer la porte derrière elle, et me glissa avant de sortir :

- Ne bouge pas, je reviens m’occuper de ton cas !

La position était des plus inconfortables et je n’osais bouger de peur que madame Marie arrive au même moment. Je dus attendre une bonne heure pour entendre la serrure claquée.

Madame Marie apparut dans le chambranle. Elle était nue face à moi et me regardait. Les seins tendus et sa fente brillante exhibées ainsi me redonnèrent presque instantanément une nouvelle vigueur à ma queue qui se redressa devant ses yeux, ne laissant ainsi aucun doute sur l’effet qu’elle me faisait. Elle s’approcha de moi et me dit doucement :

- Ta mère m’a confié la tâche de te punir pour tes nombreuses désobéissances, qu’en penses-tu ?

Alors qu’elle faisait le tour du lit je lui répondis :

- Oui Madame, c’est vrai. Je l’observe depuis longtemps, je ne peux pas m’en empêcher, j’aime ça.

- Que fais-tu lorsque tu nous regardes jouer ensemble ?

- Vous voir me fait bander dur, alors je sors mon sexe et je me caresse.

- Tu veux dire que tu sors ta grosse bite et tu te branles en matant ta mère à poil qui baise ?

- Oui Madame c’est exactement ça !

- Et tu finis par juter, comme tout petit puceau qui ne sais que mater ?

Sa voix s’est durcie et j’avoue. Elle détache ensuite mes mains qui me font extrêmement mal. M’ordonnant de m’allonger sur le dos, elle pose un genou à côté de ma tête puis passant son autre jambe au-dessus de mon visage, elle dépose son autre genou. De cette manière j’ai sa chatte au-dessus. Je ne l’ai jamais vu d’aussi près. Elle est trempée de jus et, à cette distance, déjà très odorante. Alors que Madame Marie s’assoit sur ma bouche, elle saisit ma bite et me dit :

- J’ai remarqué tout à l’heure que tu appréciais mes caresses brutales et je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que tu aimes avoir mal… Dis-moi la vérité ?

Sa main est à nouveau à l’action sur mon membre. Sa poigne est vigoureuse.

- Oui c’est vrai madame Marie, j’ai découvert ça avec Maman un jour et depuis ça ne fait qu’empirer.

A ces mots, elle se pose sur moi, j’ai sa fente sur la bouche. Sa chatte sent fort et sa mouille inonde mon visage et ma bouche. Son goût alors envahit mon palais et je déguste alors sa succulente liqueur. Elle m’enivre…

De son côté Marie a commencé à me masturber, mais sans relâcher la pression. Elle force donc sur mon gland et j’ai l’impression qu’il va s’arracher de ma tige à chaque manœuvre. Elle est assez experte, car elle sent que je vais jouir et stoppe net.Je suis vraiment au bord de l’éjaculation. Ma langue a maintenant pris possession du vagin de Marie qui en profite pour remuer et appliquer une pression sur mon visage.

Puis se relevant elle me demande de lui lécher le cul et de faire pénétrer ma langue dedans. Je m’exécute et commence par passer ma langue sur son anneau strié. J’adore. Puis tendant ma langue pour la faire durcir je la pointe dessus et enfonce. Je sens qu’elle s’insinue dedans. Marie gémit doucement et glisse un doigt sur son clito. Je suis maintenant dans son cul, et son goût gagne ma bouche, il est fort et acre, mais j’aime savoir que c’est celui de Madame Marie. Je la sens d’ailleurs prête à jouir.

Tout son corps se tend et frémit. Puis les gémissements laissent place aux cris de jouissances qu’elle libère en même temps que son orgasme la terrasse. Sa mouille coule, abondante et épaisse sur mon visage. Marie continue à frotter sa fente dessus le recouvrant de son jus parfumé.

Maintenant cette position, elle a saisi ma bite par la base et la maintient droite. Je bande terriblement. Alors elle saisit la ceinture, ne laissant que 10 centimètres de libre. Elle commence à fouetter ma tige. Le premier coup me surprend, mais est assené avec douceur.

Les autres vont monter en intensité, pour devenir violent. Je sens ma jouissance monter avec la douleur et c’est lorsqu’elle décalotte mon gland et que le cuir mord dedans que je gicle. Oh que c’était bon de jouir comme ça, c’était une première mais que de sensations nouvelles.

Pour finir Madame Marie est venue frotter sa fente sur mon sexe gluant de foutre puis m’a demandé de lui nettoyer sa fente. Je dus lécher à nouveau son sexe recouvert de mon sperme mélangé à son propre jus.

Avant de quitter la chambre, madame Marie me demanda mon numéro de portable et m’informa qu’elle me mettrait certainement encore à contribution pour son plaisir et qu’il était inutile d’en parler à ma mère.

Inutile de vous dire que j’ai attendu fébrilement son appel. Je dus attendre quinze jours pour avoir de ses nouvelles au travers d’un message déposé dans ma messagerie. Madame Marie me donnait rendez-vous chez elle. Elle était bien renseignée sur mes disponibilités, certainement par ses enfants.

J’étais très fébrile lorsque je sonnais à la porte de la grande maison bourgeoise. Marie m’ouvrit la porte, elle était splendide, habillée d’une robe noire très près du corps, ornée d’un profond décolleté qui laissait presque apparaître les auréoles des seins. Elle portait également des bas-résilles noirs et je pouvais aisément voir la dentelle qui ornait le haut de ceux-ci tellement la robe était courte. Et la touche finale était les bottes à haut talons dont les pointes étaient habillées de fers chromés.

Avant même de pénétrer dans la maison, ma queue était tendue.

Elle m’invita à entrer, le salon était immense, les murs tout blanc augmentait cette impression, l’ameublement était moderne et très classieux. Un grand canapé d’angle blanc me faisait face et Marie y prit place me laissant debout face à elle. Elle avait les jambes légèrement ouvertes et j’avoue que mon regard ne pouvait s’en écarter.

Marie me demanda de me mettre nu et il ne fallut pas longtemps pour la satisfaire. Ma queue battait contre mon ventre et je voyais dans son regard une grande lubricité. Elle m’ordonna alors de me branler doucement pour elle, tout en écartant les jambes pour me montrer sa culotte en tulle transparent qui laissait distinguer les grosses lèvres de son sexe.

J’attrapai mon sexe et commençai à me caresser, le tendant à l’extrême pour l’ériger, la vision de sa chatte voilée m’électrisait. Soudain elle m’ordonna de venir m’agenouiller à ses pieds, puis elle ôta sa botte droite et présenta son pied et le déposa sur ma bouche.

- Ouvre la bouche, sors ta langue et lèche-moi, je veux la sentir entre mes orteils, tu finiras en me les suçant tous. Applique-toi sinon tu seras puni.

Joignant le geste à la parole, elle dépose sa botte gauche sur mon entrejambe. Je sens la pointe froide de son talon sur ma bite, prête à s’y enfoncer. Je jubile, complètement sous le joug de cette Maîtresse femme, j’ouvre la bouche et m’exécute.

Alors que ma bouche s’active, son doigt caresse ses lèvres au travers du tissu transparent. Je vois le tissu s’humidifier et j’ai envie d’y poser ma langue pour retrouver la saveur de cet élixir qui m’avait tant enivré. Mais pour le moment je m’occupe de son pied, ma langue s’insinuant entre les mailles de son bas-résille, je pourlèche. Sentant alors des moments de relâchement, le talon aiguillonne ma bite.
Puis Marie me pria de faire l’autre pied.

Une fois ce travail terminé, elle me demanda de lui ôter sa culotte. Alors qu’elle se soulevait pour que je puisse la faire glisser elle en profita pour dégager ses deux gros seins de son décolleté. Soutenus par le tissu ils tendaient leurs mamelons excités.

- Oui c’est bien, maintenant, nettoie-la car je crains d’avoir mouillé dedans.

Ma langue se remit au travail et se régala avec appétit de la grosse tache blanchâtre qui ornait le fond de la culotte.

Pendant ce temps Marie avait glissé ses fesses sur le bord du canapé et remontant ses jambes en l’air, elle me présentait son sillon fessier. Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir celui-ci enjolivé d’un superbe plug argenté.

Alors que je continuais sa lessive intime assis sur le sol et face à elle, elle attrapa l’objet et sous mes yeux l’ôta tous doucement de l’étroit trou dans lequel il était planté. Il était maintenant dans sa main et je pouvais constater sa taille, un beau plug anal !

Attrapant mes chevilles, elle les souleva, m’obligeant ainsi à me mettre sur le dos. Continuant sa pression vers le haut, je me retrouvai le dos contre le bord du canapé, les jambes ouvertes et ramenées sur le côté de mon torse, j’offrai à Marie mon entrejambe, ma bite, mes couilles et mon trou. Elle caressa d’abord mes couilles d’une main les enserrant fermement. Puis me dit :

- Fourre ma culotte dans ta bouche et branle-toi, mais je t’interdis de jouir sans mon autorisation.

De son côté Marie jouait, triturant mes testicules d’une main, elle fit glisser le plug le long de mon sillon fessier, s’arrêtant sur mon anus et repartant. De temps à autre elle crachait dessus et n’étant pas dupe je savais à quoi m’attendre. J’en avais envie autant que j’en avais peur. Soudain je sentis son index se poser sur ma rondelle et en forcer le passage. La salive aidant il ne tarda pas à être entièrement dedans. Ma première impression était plutôt agréable.

- Tu es prêt maintenant, je vais t’enculer petite salope, je te conseille un truc si tu ne veux pas que je t’explose le cul. Au moment où je vais te fourrer, pousse comme si tu voulais chier et tu verras ça passera tout seul ! finit-elle avec un sourire pervers.

J’ai accéléré mon branlage lorsqu’elle posa le bout du gode sur mon anus. J’ai senti le froid de l’acier. Puis elle a commencé à mettre la pression, je sentais que de peur j’hésitais et ne tenais aucun compte de ce que m’avait conseillé Marie. Une douleur gagnait mon fourreau et d’instinct j’ai poussé. Alors le plug a progressé plus facilement dépassant mon sphincter pour finir par prendre totalement possession de l’espace. Je sentais mon cul ouvert et rempli et j’aimais cette sensation.

Puis tout s’accéléra, Marie saisit ma bite pour me branler à son tour. Son autre main toujours affairée sur les couilles. A ce régime je ne tardais pas à sentir ma sève se lever. Marie me dit alors :

- Ouvre la bouche petite pute, et comme une bonne salope que tu es, tu vas jouir dedans puis avaler tout !

N’y tenant plus, j’ouvrai en grand la bouche alors que Marie orientait les jets. j’explosai. Recevant l’énorme dose de mon foutre dans le fond de ma gorge, elle se remplit pour sa plus grande joie. Puis mon éjaculation terminée, elle observa, intriguée. Alors j’avalai et le foutre disparut dans mon estomac.

Puis Marie, m’arrachant le plug du cul, me congédia sèchement.

Je garde un souvenir ému de cette première, ainsi que plaisir malsain d’avoir été traité de salope et de pute. Je vécus plusieurs séances avec Madame Marie qui finirent de me convaincre que j’aimais être contraint et soumis.

C’est à cette époque que j’ai rencontré Martine au centre équestre. J’avais 18 ans et elle correspondait à mon idéal féminin. Sportive, tenace, obstinée, et surtout très dominatrice avec la gent masculine.

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Je suis en pleine concentration, j’observe Pierre, qui soit dit en passant, a la braguette plutôt gonflée à cet instant, lorsque je suis surpris par le bruit de la porte qui s’ouvre. C’est Martine qui arrive…

A suivre…

1 commentaire:

  1. Je ne me lasse pas de découvrir les péripéties sexuelles de chacun des personnages. Histoire très excitante et pleine de rebondissements…

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