samedi 5 octobre 2024

Le locataire

 Récit d'un anonyme

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Cette histoire date d'un mois. Je me présente, je m'appelle Jacques 44 ans, marié à Sophie, 41 ans, parents d'un garçon qui viens de prendre son envol.

Il y a quelque temps, nous avions fait une extension de notre habitation pour notre fils : Chambre avec douche plus une lingerie. De ce fait, nous avions mis en location cette chambre depuis la rentrée pour un étudiant. La location fut vite prise et un jeune homme se prénommant Thomas fut notre locataire. Il avait l'air sérieux et tout se passait bien.

Pour revenir sur notre couple, depuis le début de notre mariage, j'ai toujours souhaité exhiber ma petite femme. Au début, elle était très prude mais au fil du temps, il y a eu du changement. Je suis arrivé à lui faire abandonner ses collants pour des bas, puis avec de la patience, ses jupes se sont raccourcies et même ses sous vêtements sont devenus plus affriolants avec maintenant des chemisiers plus transparents pour apprécier la dentelle de ses sous-vêtements. Il lui arrive même, lors de nos weekends, lorsque nous sommes sûrs de ne pas être dérangés, de la voir déambuler en guêpière dans la maison, avec un léger peignoir.

Lorsque je l'accompagne dans les magasins de vêtements, lors de ses essayages, je profite à chaque fois de tirer le rideau au moment opportun pour l'exhiber en sous-vêtements et à chaque fois j'espère qu'un ou plusieurs voyeurs profiteront de l'aubaine. A ces moments-là, elle me traite de pervers, mais ne se fâche jamais longtemps.

Cette histoire a commencé bizarrement. J'étais en train de ranger du matériel dans le fond de mon jardin quand, subitement, j'aperçus une silhouette. Intrigué, je me dissimulai quand je reconnus notre locataire. Que faisait-il derrière en ayant une entrée sur le devant ? Je fus vite fixé.il se dirigea directement vers la fenêtre de notre chambre et se dissimula derrière un thuya. A la façon de se positionner, je compris vite que ce ne devait pas être la première fois. 

Je me déplaçai doucement et, m'approchant délicatement, je vis que la lumière de la chambre était allumée et ma petite Sophie, nue, venant de sortir de sa douche, était en train de se sécher. Notre locataire avait sorti son sexe et se masturbait doucement. Cela confirma qu'il devait être coutumier du fait pour mater ma femme. J'étais flatté, mais le bruit de craquement d'une branche sur laquelle je venais de marcher, lui fit tourner la tête dans ma direction. Il m'aperçut, prit peur, se réajusta puis disparut.

Cette affaire me trotta dans la tête toute la soirée et le soir, au moment du coucher, volontairement, j'entrouvris un peu les rideaux et demandai a Sophie de mettre sa guêpière, puis je lui fis l'amour en laissant la lumière allumée. Elle voulait que j'éteigne, mais pour la rassurer, je lui rappelai que nous étions à l'arrière de la maison et le terrain était complètement clôturé, donc il n'y avait rien à craindre. Au plus profond de moi, j'espérais que notre locataire était là et je l'avoue, je fus plus performant ce soir là.

La nuit porte conseil et le matin en me réveillant, j'avais pris une décision, j'avais décidé d'aller plus loin. En allant chez le boulanger, je croisai notre locataire qui essayait de m'éviter. Je l'interpellai en lui disant que j'avais deux mots a lui dire, je le vis blanchir. A la sortie du boulanger, je l'invitai à venir boire quelque chose au café qui était au coin. Tout de suite, je pris un ascendant sur lui en l'obligeant à m'avouer depuis combien de temps il matait Sophie. Il m'avoua que cela faisait un mois qu'il profitait du spectacle. La deuxième question fusa aussitôt, : à chaque fois tu te masturbes ? La réponse fut oui. De plus, est-ce que tu es revenu voir hier soir pendant que je faisais l'amour a ma femme ? La tête baissée, il avoua qu'il avait même éjaculé deux fois.

J'étais aux anges. Puis, je me surpris à lui poser la question à savoir s'il voulait baiser Sophie. Là, son regard remonta et me fixant dans les yeux, il m'avoua qu'il ne pensait qu'à ça.

Je lui expliquai donc le plan que j'avais muri depuis le matin. Il devait partir le samedi matin comme s'il partait en weekend, puis laisser sa voiture dans la rue, revenir à pied, passer par derrière et attendre à 15h00 précise à la porte de service.

Toute la semaine me parut interminable. Le samedi, j'étais anxieux, j'espérais que mon plan allait se dérouler comme prévu. En fin de matinée, je demandai à Sophie de mettre sa guêpière. Au début, elle refusa rétorquant qu'il y avait le locataire. Pour la rassurer, je lui indiquai que je l'avais rencontré la veille et qu'il était reparti dans sa famille. Pour me faire plaisir, elle alla se changer. Je bandais comme un fou. 

Un peu avant 15H00, je demandai expressément a Sophie si elle avait lavé mes affaires de travail, sa réponse fut négative et elle se dirigea vers la lingerie. Je jubilai, après quelques instants je la rejoignis dans la lingerie. Elle était à quatre pattes devant la machine. Aussitôt, je me mis à la caresser. Tout en continuant de charger la machine sans se soustraire, elle me traita de cochon. J'entrepris de saisir un torchon dans le bac de linge, aussitôt j'en fis un bandeau avec lequel je lui couvris les yeux. Sophie se laissa faire, je me relevai en lui demandant de ne pas bouger et le sang battant dans ma tête, je me dirigeai vers la porte de service. 

En l'ouvrant, je vis notre locataire. Lui faisant signe de ne faire aucun bruit, je l'invitai à me suivre. Un petit coup d'œil discret dans la lingerie me confirma que Sophie n'avait pas bougé, et là, chose que je n'aurais jamais pensé au plus profond de mes fantasmes, je me vis faire signe au petit jeune qu'il pouvait y aller. De suite, il se libéra de ses vêtements et là je vis qu'il était bien doté par la nature. Son sexe était un peu plus long que le mien mais nettement plus gros et plus nervuré. Il se positionna derrière Sophie et joua à le faire aller de bas en haut en prenant bien soin à chaque passage d'exciter son petit clitoris. En peu de temps, la respiration de ma petite femme s'accéléra et donnant des coups de bassin en arrière me demandant de la prendre, il ne s'en priva pas et doucement, il pénétra ma moitié. Lorsqu'il fut au fond, il commença à la pistonner doucement puis accéléra. Sophie était aux anges. Elle fit la remarque que j'étais un gros salaud, car j'étais drôlement excité, elle avait la sensation que j'étais plus en forme que d'habitude. 

Excité, je l'étais et j'avais sorti mon sexe que je masturbais devant ce spectacle incroyable. Je m'approchai de notre locataire pour pouvoir donner le change avec ma voix pour ne pas la faire douter et je la traitai de salope, et de toutes sortes de mots qui déclenchèrent son premier orgasme. Notre locataire augmenta encore la cadence. J'étais stupéfait de le voir tenir ainsi. Car souvent, après avoir fait jouir ma femme, je prenais mon plaisir et ça s'arrêtait. 

Mais là, il entreprit de se saisir des ses seins tout en la pistonnant profondément. Il joua avec ses tétons, puis voyant le plaisir monter à nouveau, les pinça. Ce qui déclencha un nouvel orgasme bruyant, il venait de faire jouir ma femme deux fois en peu de temps et il continuait toujours à la pénétrer. 

Il ralentit le rythme mais il la pénétra totalement. A chaque fois qu'il était au fond, j'entendais un petit feulement sortir de la bouche de Sophie. Puis je le vis humecter son doigt puis venir flatter sa rondelle. Il appuya doucement et son doigt entra dans son fondement. Elle me traita à nouveau de salaud et sa respiration s'activa de nouveau. Il retira son doigt qui fut remplacé par son sexe. Doucement il poussa, je vis la tête rentrer puis le reste suivit. Petit à petit, son sexe pris possession de *son cul. Sophie respirait de plus en plus vite. 

Le locataire commença doucement puis activa la cadence, j'étais en transe, au bord de l'éjaculation. Sans réfléchir, je me mis devant Sophie et lui retirai son bandeau. Elle comprit tout de suite qu'il y avait une anomalie, car quelqu'un était toujours en elle et j'étais devant son visage. Jetant un coup d'œil à l'arrière, elle me demanda de le faire arrêter, car il avait l'âge de notre fils. Mais moi, trop excité, je la traitai de salope, car elle avait joui déjà deux fois et qu'elle s'en prenait plein le cul. Le locataire accéléra la cadence, ce qui déclencha des spasmes chez Sophie, je vis ses yeux se révulser et dans un râle profond elle monta au septième ciel, je me soulageai sur son visage et dans ses cheveux. 

Le soir, pendant tout le repas, le regard de Sophie me fuya. Au lit, je me mis à la caresser et doucement je revins sur l'aventure de cet après-midi. A lui rappeler ses aventures, je me rendis compte qu'elle mouillait beaucoup, plus que d'habitude, et la traitant de grosse salope, qu'elle s'était livrée a un petit jeune les yeux bandés, elle jouit presque aussitôt sous mes doigts. M'étant excité moi-même, j'entrepris de la pénétrer aussitôt. Je la traitai de tout les noms et je vois que cela lui faisait de l'effet. Je l'obligeai à dire tout haut qu'elle était une grosse salope en manque et docilement, elle le répéta, plus fort :

- Je suis une grosse salope en manque !

- Plus fort !

-  Je suis une grosse salope en manque !

J'étais excité au plus haut point, le rideau de la chambre était entrebâillé et après avoir crié comme ça, notre locataire qui était je suis sûr, devant la fenêtre pouvait savoir qu'il avait une grosse salope comme propriétaire. 

Sentant son plaisir monter, je dis tout haut que j'allais livrer ma petite bonne le mercredi après-midi en guêpière pour faire le ménage. J'obligeai Sophie à accepter et a répéter tout haut ce qu'elle allait faire le mercredi après-midi quand le locataire n'avait pas cours.

- Je serais sa petite bonne, le mercredi après midi, je serais sa soubrette, je ferais son ménage et plus s'il veut !

- Plus fort !

- Je serais sa chose  !

Et dans un spasme profond, elle s'effondra sur le lit, pendant que je me vidai en elle.

J'attendis le mercredi soir avec impatience. En rentrant, en voyant les cernes sous ses yeux, il ne fallait pas être dupe pour voir que Sophie avait fait l'amour fortement. Au lit, elle m'avoua que le locataire lui avait demandé de lui faire un strip-tease, puis elle avait dû lui faire une fellation à genoux devant le fauteuil pendant qu'il regardait la télé. Puis il l'avait prise pratiquement dans toutes les positions possibles, c'était un amant formidable et de plus bien monté, il avait pris un ascendant sur elle, car il avait bien compris que pour la faire jouir plusieurs fois, il l'avilissait en la traitant de salope, d'exhibitionniste, qu'il lui en fallait de la queue à un folle du cul comme ça. Tous ces mots dans sa tête la rendaient encore plus accessible. Il lui a même dit que le mercredi suivant, il allait lui faire une surprise et qu'elle devrait venir avec sa guêpière. J'étais excité, mes plus gros fantasmes se réalisaient.

Le mercredi suivant, j'étais encore plus excité que la semaine précédente et en franchissant le seuil, je fus étonné de ne pas voir Sophie. Après un moment d'inquiétude, je finis par la retrouver endormie dans notre lit, les cheveux en bataille, elle portait encore sa guêpière, son visage était ainsi que ses cheveux maculés de sperme. Le lit était défait. Sur la table de nuit gisaient les vibromasseurs avec lesquels nous jouons de temps en temps, je compris vite la situation. Elle avait fait ça dans notre lit conjugal. Je la réveillai doucement et dès qu'elle me vit, elle se mit à pleurer. Au bout de quelques minutes après s'être calmée un peu, elle me raconta avec une voix tremblante son après midi.

Comme convenu, elle était chez le locataire en guêpière. Comme la semaine précédente, il avait pris possession de son corps quand elle entendit taper à la porte. Avec un large sourire, il lui dit que c'était la surprise. Affolée, elle se cacha dans la douche, la porte du studio s'ouvra et elle entendit distinctement deux voix inconnues, elle était paniquée, une des voix demanda si la petite soubrette était là. Le locataire prit les devant en leur disant de payer avant de s'amuser et elle entendit des bruissements de billets. Le salaud, il était en train de se faire payer et allait la livrer à des inconnus. 

La porte de la salle de bain s'ouvrit et la prenant par le bras tout en lui disant qu'une grosse cochonne comme elle allait connaitre l'extase en devenant la chose de trois hommes. Arrivée devant les deux autres garçons, qui étaient à peu près du même âge que le locataire, un silence pesant tomba. Leurs yeux étaient fixés sur elle et un sourire malicieux apparaissait sur leurs visages. Tout à coup, six mains prirent possession de son corps, une main était déjà entre ses cuisses, d'autres lui caressaient les seins en étirant ses tétons, pendant que d'autres lui caressaient le corps et lui flattaient le cul. 

La sensation d'être caressée ainsi l'amena aussitôt à l'orgasme, une grande satisfaction se lisait sur leurs visages. L'un des garçons félicita même notre locataire d'avoir déniché une grosse vicieuse. Les mots résonnaient dans sa tête et la stimulaient encore plus. Puis ce fut la curée, elle fut prise dans toutes les positions, dès que l'un avait pris son plaisir, un autre le remplaçait, elle ne pouvait même plus dire le nombre de fois qu'elle avait joui. 

A un moment, l'un des deux inconnus lui demanda si j'avais un caméscope. Devant sa réponse positive, ravi, il proposa à ses amis de faire un film. Il lui demanda d'aller le chercher. Le deuxième proposa de la suivre et c'est ainsi qu'ils débarquèrent dans notre chambre. Elle fut filmée sous toutes les coutures même qu'à un moment ils posèrent le caméscope sur la table de nuit en direction du lit et ils la prirent à trois en même temps. L'un la sodomisa, l'autre la pénétra par devant et elle eut le troisième en bouche. D'être ainsi à leurs merci elle s'effondra en jouissant très profondément. 

Après, un des deux plus curieux, informa ses camarades qu'une salope de son genre devait avoir ses petits gadgets cachés quelque part et en fouillant, il découvrit la boite où elle met ses vibromasseurs, ils l'obligèrent à se pénétrer avec l'un pendant qu'un des gars la sodomisait avec un autre. Le deuxième gars n'en perdait pas une miette en la filmant en gros plan et quand elle entendit le locataire dire qu'il allait mettre la vidéo sur un site porno en proposant ses services à des vieux vicieux prêts à payer pour s'offrir une grosse salope, elle sentit monter le plaisir à grand pas. Le locataire l'obligea même à dire devant la camera qu'elle était une femme gourmande et disponible avec de gros besoins et qu'elle savait satisfaire tous les vices. Le fait de le répéter devant l'objectif, un pied merveilleux la tétanisa et elle explosa bruyamment.

Aussitôt, les trois compères excités, la reprirent dans toutes les positions et se soulagèrent sur son visage et dans ses cheveux. C'est ainsi que je l'ai retrouvé.

J'étais furieux de ce qui venait de se passer mais en même temps super excité, car son histoire m'avait tellement stimulé que j'avais éjaculé dans mon slip sans me toucher.

Je revis mon locataire et il me fit des éloges sur ma femme. Et, gonflé, il me proposa de partir un weekend avec Sophie, car suite aà sa vidéo qu'il avait posté sur le net, il avait reçu énormément de propositions dont une pour ce weekend, pour offrir ma femme à un homme de soixante ans qui lui proposait de l'argent, il eut même le culot de me proposer de partager avec moi si j'étais d'accord.

Il me laissa jusqu'au lendemain pour lui donner une réponse. Je suis tiraillé entre deux choses. L'une, virer ce petit goujat et l'autre pervertir cette petite Sophie, qui je le reconnais devenait bien plus gourmande, mais est-ce que mon couple résistera à ces dérives ? 

FIN

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