mardi 23 juillet 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 01

 Texte de Ricki Black (2012)

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Dans la belle-famille, je demande la Benjamine.

J’ai la cinquantaine, marié en seconde noce à une jeune femme de 40 ans. De mon précédent mariage, j’ai eu deux enfants : une fille de 29 ans et un fils de 24 ans et des relations plus qu’exécrables avec mon ex.

L’histoire que je vais vous raconter débute lors des préparatifs de mariage de mon fils. Il fréquente depuis maintenant un an Emilie, jeune femme de 25 ans fort séduisante. Elle a une sœur aînée de 31 ans, Loana, et la benjamine Léa qui vient juste d’avoir 19 ans.

J’ai eu l’occasion de rencontrer la belle famille à quatre reprises et croyez-moi, je suis d’un naturel plutôt sympathique mais là ils m’ont très vite saoulé. Le père Pierre est comptable dans une petite PME, très en retrait il est sous le jougs de sa maîtresse-femme. Elle, Martine, est responsable dans une DDE, assez mince elle mesure 1.70, doit peser 56 kilos, plutôt élancée et elle a une ligne sportive, elle monte à cheval, une petite poitrine mais de belles fesses. Un physique me rappelant celui de mon ex hormis qu’elle n’était pas du tout sportive.

Elle est très autoritaire vis-à-vis de son mari et de ses enfants ce qui avait eu pour effet de créer une tension extrême lors nos précédentes rencontres. De plus travaillant principalement avec des hommes de chantier, son vocabulaire dérivait rapidement au vulgaire lors de ses énervements.

Mais comme dis l’adage, on choisit ses amis, mais pas sa famille (belle-famille en l’occurrence).

Bref, en cette belle journée de printemps, en vu des préparatifs du mariage, je suis chargé de m’occuper du champagne et c’est le coffre plein que je stationne mon 4X4 devant l’entrée du pavillon des beaux parents. Je sonne à l’interphone et sans aucune réponse la porte s’ouvre. J’entre avec mon véhicule et toque à la porte.

C’est Léa qui ouvre. Léa est une superbe jeune fille brune cheveux mi-longs, le visage encore poupon mais le corps d’une jeune femme. La nature l’a comblée ; elle n’est pas très grande, mais elle a des formes très généreuses. Une poitrine d’enfer au moins du 90C et une chute de reins atterrissant sur des fesses rebondies aux courbes discrètes.

Elle est face à moi, me souriant de ses belles dents blanches. Elle porte un tee-shirt blanc très moulant qui lui arrive à mi-cuisse. Je peux distinctement voir au travers du tissu les petites auréoles brunes de ses seins et les tétons durent qui piquent le tissu tendu par le volume de sa poitrine. Plus bas le léger renflement de son ventre qui conduit a une petite bosse assombrissant le tissu blanc ou l’on devine aisément la touffe qui parait généreuse de sa chatte.

Voyant mon regard s’attarder sur ses courbes, elle m’invite à entrer et me propose un petit café accompagné d’un sourire carnassier.

Je l’accompagne jusqu’à la cuisine. Je peux en profiter pour mater son cul moulé dans le tee-shirt, elle ondule ses hanches exagérément, je vois son sillon fessier au travers du tissu et de plus ses fesses rebondies font remonter le bas de son tee-shirt, découvrant ses cuisses presque jusqu’à la naissance de ses fesses.

Il ne m’en faut pas plus pour sentir une raideur apparaître dans mon boxer. Je suis un peu embarrassé, car en cette matinée je me suis habillé printemps : short, chemise et claquettes aux pieds.

Arrivé dans la cuisine, Léa me fait couler un expresso. Je suis debout, en appui sur la table, et ne peux cacher la bosse naissante de mon short. Pendant que je bois mon café, Léa est monté sur un des tabourets hauts équipant la cuisine. Bien sûr, la hauteur fait que son tee shirt est encore remonté et laisse découvrir le haut de ses cuisses.

A ce moment je me suis dit que cette petite était une sacrée allumeuse. Cette manœuvre n’a fait qu’accentuer la bosse du short.

Puis d’une voix douce :

- Dites-moi Michel , est-ce que mon café est bon ?

Je lui réponds qu’il est délicieux tout en ayant le regard attiré par le creux de ses cuisses avec lesquelles elle joue sans pour autant les entrouvir. Toutefois mon esprit n’attendait que ce moment, voir apparaitre ce qui m'était caché.

Puis reprenant elle ajoute :

- Le café a-t-il des effets aphrodisiaques ?

A ces mots j’avale de travers en m’étranglant. Mais que cherche cette petite dévergondée. Si c’est  m’exciter c’est bon c’est fait.

- Non je ne pense pas, mais pourquoi une question aussi saugrenue ? 

- Et bien, me répond-elle, parce que mon copain en boit beaucoup et il bande toujours mou !

Je m’esclaffe dans la tasse.  Et m’aperçois qu’elle a très légèrement écarté ses cuisses. Je peux presque voir sa chatte. Mais l’effet est dévastateur, ma queue cette fois est raide et déforme mon short en tendant le tissu. Léa ne peut pas ne pas s’en être aperçue.

- Alors que sur vous Michel c’est plutôt l’effet contraire ! finit-elle en écartant encore ses cuisses. 

Ca y est, je vois sa chatte. Dans une densité de poils noirs je distingue une fente rose brillante. Cette salope s’amuse bien et elle est tellement excitée que l’on peut voir sa mouille recouvrir ses petites lèvres. Mon excitation et mon envie d’elle à ce moment est tellement fort qu’il faut que je détourne mon attention de sa chatte.

- Mais où sont tes parents ? lui dis-je sur un ton abrupte. 

Elle est déconcertée par mon changement d’intonation et ressert les jambes instinctivement.

- Papa est au boulot pour la journée et Maman revient pour déjeuner.

Ayant repris ses idées elle ajoute tout en descendant  du tabouret :

- Nous avons du temps devant nous...

Je ressens à cette instant une vraie frustration de n’avoir pas plus profiter du spectacle qu’elle m’offrait. S’approchant de moi comme une féline, elle me prend ma tasse et se collant à moi elle en léche le bord avec une lubricité sans nom. Sa langue tourne délicatement sur le bord décrivant ainsi un cercle comme elle l’aurait fait autour d’un gland. Son ventre collé au mien insiste sur le barreau de chair qui cherche à exploser du short.

Je sens que la situation m’échappe, je la saisis par les épaules et la repousse. Sous la force elle glisse au sol. Elle est le cul par terre, les jambes écartées, le tee shirt remonté sur le ventre, toute son intimité livrée à mon regard. Sa fente est entièrement ouverte laissant bien voir cette fois son abondante humidité. Je suis presque ému de voir une si belle chatte, cela fait très longtemps que je n’avais pas vu le sexe d’une toute jeune femme. Ce qui a pour effet d’accentuer mon excitation.

Elle reste assise, cuisses largement ouvertes, me laissant reluquer, alors qu’elle mate mon entrejambe. Toujours assise sur le sol, elle saisit mes deux mollets et en glissant se rapproche, puis lentement elle fait monter ses deux mains en même temps le long de mes jambes. Ses mains sont douces et leurs caresses m’électrisent. Impuissant je laisse faire Léa qui me sourit. Je vois son jus intime inonder peu a peu l’intérieur de ses cuisses.

Ses mains arrivent à la hauteur de mon short, glissent sous le tissu et s’approche imperceptiblement de ma queue. Puis sa main gauche se pose sur mon sexe alors que l’autre saisit mes couilles. C’est divin,  elle me palpe délicatement la hampe et remonte avec son index jusque sous mon gland. Elle le titille ce qui a pour effet de le faire gonfler encore plus. Puis n’y tenant plus elle passe sa main sous mon boxer et saisi ma queue fermement.

- Hummm comme elle est grosse et dure, Michel, ça fait des semaines que je pense à toi et que je me caresse en espérant…

Elle commence à me décalotter et passe son pouce sur mon gland qui est trempé, elle me parait très experte pour une petite jeune. Ce contact déclenche en moi des frissons.

- Dis-moi, tu as l’air de plutôt apprécier… 

Oh si tu savais à quel point. Toutefois il me prend une seconde de lucidité et je lui saisis les deux poignets et la repousse une nouvelle fois mais cette fois-ci il faut que je matte cette petite vicieuse.

- Tu vas arrêter de me chauffer petite salope, la bite de ton copain ne te suffit pas que tu veux une bite d’homme !

Et la saisissant par le poignet je la retourne en lui levant son tee-shirt et je commence à lui administrer une bonne fessée. Soudain quelle stupeur, je vois sur sa fesse gauche une tache de naissance bien brune ayant la forme d’un papillon. Je suis certain d’avoir déjà vu cette tache, comme si j’avais déjà vécu ce moment présent auparavant. J’ai beau chercher au fond de ma mémoire ce souvenir ne veut pas revenir. Puis soudain jaillit une image plus distinctement… Mais oui ça y est !!!!

J’abandonne ma fessée pour ouvrir mon iphone. Je recherche sur mon moteur habituelle à la rubrique image le titre "belle fesses"

Puis je fais défiler les images et au bout de 30 secondes je retrouve mon site. Puis ayant accédé au site je retrouve les photos que je recherche et bingo je retrouve le cul de ma Léa… Des photos toutefois plutôt softs et qui ne montrent que son cul, ses gros seins et des mains qui les pelotent. Par contre, son visage est flouté.

C’est à l’instant précis où j’ai montré les photos à Léa que tout a basculé dans ma tête, et que j’ai perçu immédiatement le pouvoir qu’allait me donner cette situation. Léa, à genoux, me supplie de ne rien dire. Elle avoue que c’est bien elle, que c’est une idée de son copain Mathieu. Il l’a prise en photo avec son portable et elle a pris Mathieu, et pour s’amuser ils ont mis en ligne leurs photos sur un site d’exhib.

Ses yeux remplies de larmes, elle me dit qu’elle fera n’importe quoi mais surtout que je garde le secret. 
Fort de ce nouveau pouvoir, je baisse mon short et mon boxer, ma bite se détend. Elle est tendue et dure, une belle bite d’environ 20 cm et 6 bon cm de diamètre. L’attrapant par les cheveux je lui ordonne de me bouffer la queue. Déposant mon gland sur ces lèvres j’enfonce d’un trait ma bite dans sa bouche.

Elle a la bouche remplie et a des haut le cœur quand ma bite vient taper dans le fond de sa gorge. Je la maintiens, elle étouffe et devient vite toute rouge. Soulageant ma pression, elle rejette ma bite dans un épais filet de salive qui coule sur ton tee*shirt.

Elle a du mal à reprendre son souffle. Ne lui laissant aucun répit, je renfonce brutalement ma queue en lui disant sur un ton froid et cassant :

- OK ma belle, je ne dirai rien, mais à partir de cet instant tu es ma pute, tu devras m’obéir et faire ce que je t’ordonnerai de faire sans aucune discussion… A la moindre incartade, tes parents, tes sœurs et les parents de Mathieu recevront ces photos…

Alors que Léa leche mon gland, je sors mon iphone et la photographie avec ma grosse bite dans la bouche.

- Plus toutes celles que je vais faire de toi ma chienne !

Le regard qu’elle me tend ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle se sait piégée et totalement à ma merci.

Je suis vraiment un salaud mais d’avoir une jeune femme totalement soumise est une première, je n’ai jamais ressenti une telle excitation. Je finis par gicler de longs jets de foutre sur le visage de léa. Elle en a partout, les yeux, les cheveux, le foutre coule sur son tee-shirt. Je m’amuse et prends plusieurs photos de son visage souillé. Je lui ordonne ensuite de me nettoyer la bite avec sa langue et de plus je veux qu’elle récupère mon foutre et qu’elle l’avale. Léa s’exécute et me lèche la bite tout en récupérant les grosses giclées de foutre qui la recouvre pour les avaler.

Afin de m’assurer que Léa est bien soumise, je lui intime l’ordre de lécher les quelques gouttes de jus tombées sur mes pieds. Sans aucune hésitation elle se penche en avant et léche. J’adore la voir ainsi à genoux à mes pieds. Je saisis son tee-shirt et le remonte pour voir son superbe cul. Du fait de sa position, sa raie est ouverte et offerte sur son petit trou du cul. Il est fascinant, brun et très serré. J’aperçois quelques poils ça et la autour.

Attrapant Léa par les cheveux, je l’oblige à se redresser. Debout devant moi, je lui demande de se mettre nue. Elle ôte son vêtement. Elle est là nue, la beauté de sa jeunesse éclaboussant mes yeux, sa peau est blanche presque laiteuse, ses seins sont splendides, son pubis recouvert d’une toison épaisse noire qui cache sa vulve. Ma queue n’y résiste pas et reprend des formes.

Elle me regarde dans les yeux et y voit tout le désir que je ressens à cet instant. Alors elle esquise un sourire. Et c’est une magistrale baffe qu’elle reçoit en retour.

- Baisse les yeux, sale pute !

Elle obéit alors que les larmes coulent sur ses joues. Je reprends en lui annonçant ce que j’attends d’elle :

- A partir de ce jour tu ne porteras plus de culotte, tu ne porteras plus de pantalons !

-  Même quand je vais en cours ? murmure-t-elle.

- Tu ne porteras plus de pantalon, suis-je assez clair ?

Elle me fait oui de la tête.

- Tu porteras des chaussures à talons et des bas quand je te l’ordonnerais ! Aucun maquillage et je veux que ta chatte et ton cul soit rasés, lisses et toujours prêts pour moi !!! Est-ce que tu as compris ?

Elle me répond, soumise :

- Oui Monsieur.

- Alors tu vas allez t’épiler tout de suite et me présenter le résultat, je te conseille de t’appliquer si tu veux pas d’ennuis ! Mais avant, j’ai une question à te poser, et réfléchis bien car je vais tout de suite voir si tu me mens !

En la regardant bien dans les yeux, je lui demande  :

- Comme tu connais bien ta mère, je veux que tu me dises où elle cache ses petits secrets, je te préviens, pas de mensonge…

Mon regard s’est durci, Léa est toute tremblante :

- Je ne suis pas certaine, mais il me semble qu’elle range des affaires dans sa boite à couture... dans la buanderie.

- Ok je te crois, va te faire belle ! lui dis-je en l’embrassant tendrement pour la première fois sur la bouche. 

Elle sort tête baissée, mais j’ai eu le temps de voir son sourire.

Avec les infos de Léa je me précipite dans la buanderie. Mon idée est d’en connaitre plus sur cette belle-famille. J’aimerais bien  pouvoir rabattre un peu l’air suffisant de la belle mère. Je trouve la boite de couture, mais hélas, rien de bien intéressant, je commence à douter des dires de Léa. Sur le coté, je vois une machine à coudre, belle pièce de collection. Je me souviens que ma mère avait à peu près la même. J’observe le mécanisme, c’est bien le même, la machine se déplie et laisse apparaitre un coffre. Passant la main au fond, je trouve une boite en bois. Je l’extrais avec quelques difficultés. Elle est assez haute et mesure 20 cm sur 10 de large. J’en ôte le couvercle et la déception, elle est pleine de bobine de fils de toutes les couleurs et d’aiguilles à coudre. Déçu et plutôt remonté après Léa, je pose la boite sur la table à repasser et continue la recherche dans le coffre de la machine… Hélas rien.

Me préparant à remettre la boite dans le coffre, je m’aperçois qu'elle est bien profonde et qu’il ne me semble pas que les bobines puissent à elles seules la remplir. J’ouvre à nouveau la boite et vide le contenu sur la table. Le fond laisse apparaitre une très légère entaille qui ne résiste pas longtemps à mes efforts. Yes, la petite ne connaissait pas la planque de sa mère, mais elle m’avait mis sur la bonne voie.

A ma plus grande joie, je vois dans le double fond un gode et un paquet de lettre. Je n’en espérais pas temps, je jubile car le gode est déjà pour moi une bonne trouvaille pour adoucir cette soi-disante cul béni.

Je saisis le gode classique, vibro que l’on peut trouver dans les VPC traditionnelles, et plutôt discret comme moyen approvisionnement. Machinalement je le porte à mon nez… Tiens, il y a encore une très légère odeur ce qui me fait dire qu’il a dû servir récemment. Je me lance à le lécher… C’est encore plus évident, un goût discret doux amer… Serait-ce la mouille de belle maman… Je sens une douce chaleur envahir mes couilles... Ca devient plutôt excitant tout ça.

Je récupère les lettres et glisse le gode dans la poche de mon short et replace la boite dans le coffre de la machine. Je vais ensuite voir Léa dans la salle de bain pour vérifier l’avancement de son épilation. Elle allait attaquer ces dessous de bras.

- Non, lui crié-je, pas les aisselles, tu n’y touches pas, je veux voir et sentir tes poils, alors tu me rases tout sauf les aisselles OK ? Et puis tu te douches après mais je veux que tu gardes les traces de ma jouissance sur ton visage et dans tes cheveux,  on est d’accord ?

- Oui ! me répond Léa interloquée par mon attitude.

Je vais ensuite prendre place dans le grand salon. Il faut dire qu’ils sont plutôt bourges les beaux parents. Une très belle maison dans un quartier résidentiel de la petite ceinture de Paris. Un jardin de toute beauté mais avec un petit problème de vis-à-vis un peu trop directe sur les fenêtres des voisins. Au vu de leurs situations c’est une famille qui ne manque pas de ressources, sport d’hiver tous les ans à Megève et résidence secondaire à la Baule…

Une fois bien installé, je commence à découvrir le contenu des lettres qui sont toutes manuscrites. Je vois deux écriture différentes. Je les trie donc par type et essaye d’en trouver l’ordre. Ces écrits  relatent en fait une correspondance entre Martine et un de ses employés de la DDE.

La première lettre est envoyée par l’employé. Il raconte à Martine qu’il l’a vu déjeuner avec le maire, qu’il a pris des photos et qu’il pense que si cette information venait à être communiquée à la presse locale, elle pourrait avoir de gros ennuis. En échange de son silence elle devait se soumettre à ses désirs sexuelles.

Heureusement que je suis assis, car le scoop est de taille, cette salope magouillait et c’était faite repérer. Je glisse ma main dans mon short, en ressort ma queue et commence à me branler, excité par la situation.

La deuxième lettre : réponse de Martine qui traite le mec de sale pervers, qu’elle va prévenir la police pour harcèlement et qu’elle va le virer dès demain. Bref elle ne cède rien.

Troisième courrier : A priori accompagné d’une photo qui n’est pas avec les documents… dommage. Cette fois-ci le mec est plus explicite, si demain elle ne le reçoit pas à son bureau, habillée en pute, bas porte-jarretelles et sans culotte, il envoie les documents à un pote à lui qui bosse au journal local. Il veut qu’elle lui suce la bite et ensuite il veut la prendre par la chatte et le cul sur son bureau.

Je vous passe une partie de la prose du monsieur qui a un langage des plus fleuries mais qui est très efficace en terme d’excitation. Excitation qui va prendre un essor considérable à la lecture de la réponse de Martine.

Quatrième lettre : J’ai accepté toutes vos conditions, mêmes les plus sordides et les plus avilissantes, je vous demande de me restituer les photos originales et de cesser votre odieux chantage.

HOUAAA, la salope de Martine s'est faite tringler par ce vicieux et vu ce qu’il décrivait dans son courrier ça a dû être méchamment pervers et je me dis que, avec cette lettre manuscrite, je la tiens par les couilles. Si si si, car elle a coupé celles de son mari.

Alors que je continue à me branler doucement, Léa fait son apparition. Elle est entièrement nue et belle comme le jour, sa chatte est imberbe et je peux enfin distinguer son abricot. Ses lèvres sont fines et légèrement renflées, Je vois dans la césure qui les sépare un filet de mouille brillante. Son regard est fixe et ne se détache pas de ma bite que je branle, je peux voir les traces séchées de mon foutre sur ses joues, autour de ses lèvres. Elle est devant moi le regard toujours hypnotisé par mon braquemard.

- Retourne-toi, écarte tes fesses et penche-toi que je puisse vérifier si tu as bien suivi mes ordres !!

Léa me présente son cul bien ouvert et lisse. Quelle vision de paradis, sa rondelle est vierge et hyper serrée. J’ai envie de la pourfendre la tout de suite et lui faire rendre corps. Mais il faut que je sois raisonnable avec cette jeune femme qui n’a jamais pris de bite par le cul. De ma main disponible j’enduis le bout de mon index avec le jus qui s’échappe de mon gland. Une fois le bout bien couvert, je le dépose sur sa rosette. Léa trésaille, mais garde le silence. J’applique une légère pression et ma première phalange pénètre dans son fourreau. Comme elle est étroite, c’est fou.

Je décide d’arrêter la pour le moment et demande à léa de se retourner. Sa chatte est maintenant trempée. J’en profite pour enfoncer mon même doigt bien au fond. Dans un gémissement de plaisir, Léa avance son bassin pour accentuer la pénétration.

- Alors dis-moi tu es inondée, petite vicieuse, ça te plaît d’être ma chienne ?

Elle secoue la tête pour répondre.

- Dis le moi à voix haute, je veux te l’entendre dire !

- Oui ça me plait d’être votre chienne, Michel !

- Oh c’est bientôt l’heure de l’apéro, alors va me servir une bière bien fraiche et amène des amuses-bouches !

Je reprends ma bite en main et continue ma lecture.

Cinquième lettre : le mec en veut encore et il raconte avec force de détails comment il l’a baisée sur son bureau et le pied qu’il a pris à la soumettre. Il lui dit qu’il souhaite la voir vendredi à l’hôtel. Il veut la baiser avec son frère, avec la aussi force de détails sur ce qu’elle va subir. Il lui rendra les photos à l’hôtel après qu’elle se soit soumise une dernière fois et il veut 5000 euros de dédommagement, car il va quitter la ville en finissant par lui promettre que si elle fait ce qu’il désire il la laissera définitivement tranquille.

C’est la dernière lettre, mais c’est la plus usée, elle est froissée et tachée. C’est aussi la plus hard puisqu’elle relate très crument ce qu’elle a subi et ce qu’elle allait subir…

Une question alors surgit dans mon esprit : Pourquoi conserver des lettres aussi compromettantes pour elle, pour son mariage, son job et sa réputation de cul béni. Tout en réfléchissant à cette question je porte la lettre à ma bouche en la tapotant sur mes lèvres. Et là surprise, l’odeur de cette lettre éveille ma curiosité... Mais oui, c’est bien la même odeur que sur le gode.

Mon esprit ne fait qu’un tour et tout s’éclaire. Elle a gardé les lettres pour se remémorer leur contenu, puisque le gode était avec et que l’odeur de celui-ci est la même que sur la lettre. On peut aisément en conclure que cette salope s’excite en revivant sa soumission et qu’elle se branle pour se faire jouir… Quelle salope, je la tiens et je vais pas me gêner pour la remettre à la place qui lui est dévolue cette chienne.

Bon sang quelle matinée, deux chiennes dans la belle-famille avec lesquelles je vais pouvoir bien m’amuser.

Léa revient avec la bière et des olives qu’elle dépose devant moi, puis elle reprend sa position. Je bois une rasade et prends une olive.

- Dis-moi, elle sont natures ces olives ?

Léa répond qu'il n’y que celles là.

- Ok ! Alors tu va toutes te les fourrer dans ta chatte maintenant ! Allez, dépêche-toi  !

Léa s’exécute, un peu surprise. Elle fait pénétrer dans son vagin les olives jusqu’à la dernière. Elle doit en avoir une bonne quinzaine.

- Maintenant tu vas allez chercher les cures-dents dans la cuisine, mais attention n’en fait surtout tomber aucune sinon…

Très délicatement, elle se dirige vers la cuisine. Par moment elle stoppe net puis redémarre.

De nouveau de retour devant moi, je saisis la coupelle, lui demande d’écarter les cuisses pour que je puisse y placer la coupelle. Sa fente est brillante d’huile et de mouille mélangée. Je place mon index sur son clito et le déplace lentement tout le long de sa fente. L’huile et sa mouille lubrifiant mon doigt, il glisse comme sur du velour. Léa gémit sous la caresse puis après plusieurs allez-retour mon doigt est bien imprégné d'huile. Je titille son clito. Son soufle alors s’accélère. J’augmente la pression, Léa commence à lâcher des râles puis des cris. Je sens qu’elle va bientôt céder, je prends alors son bouton entre mes deux doigts et les fait rouler. Elle abdique dans un feulement et jouit. Tout son corps tressaute et elle s’accroche à mon poignet pour ne pas s’écrouler au sol . Ebranlée par un orgasme sismique, elle relâche son vagin et laisse s’échapper les olives qu’elle détenait prisonnières au creux de son ventre. Les olives coulent les unes après les autres, elles sont recouvertes d’un épais jus blanchâtre et des filets de ce jus coulent dans l’écuelle.

A suivre...

2 commentaires:

  1. Je sens qu’il va bien profiter de cette belle famille… j’attends de lire la suite avec impatience

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