jeudi 25 juillet 2024

Telle mère telle fille Ch. 02

Traduction d’un texte de jacobmerriweather.

 *****

Il essaie la fille...

Ben se tient sur le porche. Anne ouvre la porte et le fixe en souriant.

- Salut Ben ! Dit-elle en détournant les yeux.

- Salut ! Répond Ben en détaillant la jeune fille.

Anne est plus grande que sa mère, plus maigre aussi. Elle a des cheveux brun plus clair qui coulent par vague ainsi que des sourcils bruns épais. Elle est maigre avec une paire de seins bien développés ainsi qu’un petit cul rond. Elle a le look d’une fille de bonne famille.

- Ça ne te dérange pas si j’entre ? Dit Ben pour rompre le silence.

Sans attendre de réponse, il pousse la porte et la jeune fille le suit alors qu’il monte à l’étage. Elle ne sait que dire. Finalement, alors qu’ils entrent dans sa chambre, elle demande :

- Comment as-tu découvert pour Carly Peterson et moi ? En a-t-elle parlé aux gens ?

Ben rit en s’asseyant sur son lit.

- Tu penses que cette jeune fille bourgeoise va parler à quiconque des choses que tu lui as faites ?

Anne s’étouffe.

- Ce que… Ce que je lui ai fait ? Nous étions juste… C’était juste… Nous… Balbutie-t-elle en rougissant.

- Oh attends, j’ai gardé des preuves ! Dit Ben pour la faire taire.

Il sort une grande enveloppe de son sac et ka jette à la jeune fille. Celle-ci pâlit en voyant les photos à l’intérieur.

Pendant ce temps, à l’insu de sa fille, Marianne est à quelques mètres de là, complètement ligotée et bâillonnée, regardant l’échange, les larmes aux yeux.

Ben lui avait fait le même scénario il y a quelques mois. Il avait installé des caméras dans sa chambre et un week-end, alors son mari était parti avec son fils, il l’avait attrapé pour la faire chanter.

Elle n’avait pas fait l’amour depuis si longtemps. Elle n’avait jamais trompé son mari auparavant, mais son professeur de Yoga était passé pour lui prêter un livre. Ils avaient discuté et elle avait posé des questions. Sans vraiment savoir pourquoi, l’homme s’était retrouvé à jouir en elle et il était parti en la laissant sur son lit, coupable et honteuse.

Mais rien n’aurait pu la préparer à la honte qu’elle avait ressentie une semaine ou deux plus tard. Ben s’était présentée chez elle et lui avait montré photos et vidéos. Sa vie était entre ses mains alors que le garçon ne voulait qu’une chose : sa soumission complète. 

Et là, elle se retrouve assise et attachée pour regarder sa fille traverser la même épreuve qu’elle il y a quelques mois. Elle regarde Ben prendre lentement le contrôle d’Anne. Celle-ci est en train de regarder les photos une par une. Abasourdie, elle demande :

- Comment as-tu obtenu ça ? Où ? Comment ? As-tu caché des caméras dans ma chambre ?

La jeune fille hurle presque, le visage rouge de honte et de colère. Ben sourit calmement et tapote le lit à côté de lui. 

- Oui, mais ne t’inquiète pas, je les ai toutes retirées. J’ai tout ce qu’il me faut.

- Qu’il te faut pour quoi ? Demande Anne.

Ben hausse les épaules.

- Mais tu ne peux pas faire ça ! J’appelle la police, c’est illégal et tu vas avoir beaucoup de problèmes !

Anne se lève et se dirige vers la porte de sa chambre.

- Ohhh, je doute que tu fasses cela ! Dit Ben en souriant.

La jeune fille ralentit et prend une profonde inspiration. Ben continue :

- Si tu vas voir la police, tout le monde en ville saura que tu n’es qu’une petite salope. Tout le monde verra comment tu as traité la pauvre petite Carly. Comment tu lui as demandé de se mettre nue dans ta chambre et comment tu l’as doigté, comment tu as joué avec elle. Tout le monde te traitera de pute quand elle portera plainte. Mais je ne crois pas que tu veuilles que ça se produise. 

Pour enfoncer le clou, le garçon ajoute :

- Bien sûr je ne vais pas t’empêcher d’aller voir la police, et probablement je serai condamné à passer quelques mois en prison si je ne dis rien. Mais je vais mentir et leur dire que tu m’as demandé d’installer ces caméras. Je leur dirai que tu voulais un enregistrement de ta séance avec Carly. Après avoir regardé la vidéo, ils me croiront peut-être. Et tu seras accusée de complicité.

Anne secoue la tête, immobile. Puis elle crache :

- Espèce de connard !

Elle s’avance pour le frapper, mais il attrape son bras et l’enroule dans son dos. Puis il la couche sur le lit, le visage contre les draps, son petit cul rond en l’air.

- Anne, laisse-moi parler ! Tu devrais m’écouter ! Dit Ben qui lutte pour le tenir.

- Va te faire foutre ! Crie-t-elle.

Il soupire et sort une corde de sa poche. Il attache ses mains dans son dos. Puis il soulève sa robe et l’entend crier alors qu’il lui arrache sa culotte.

- Non ! Non ! Crie-t-elle avant qu’il ne fourre le sous-vêtement dans sa bouche pour la faire taire.

- Voilà, c’est beaucoup mieux ! Sourit-il en lui donnant une bonne tape sur le cul avant de se placer devant elle.

- J’ai bien regardé ce que tu as fait. Je parie que ce n’était pas la première fois, n’est-ce pas ? Demande-t-il.

Elle secoue la tête.

- Ne mens pas ! Ordonne-t-il en lui claquant le cul.

Elle sursaute et se tortille en gémissant. 

- Je vais retirer ta culotte, et tu vas répondre à toutes mes questions avec un « oui Monsieur » ou un « non Monsieur », c’est compris ? Dit-il en la fessant à nouveau.

Elle hoche la tête. Alors il saisit la culotte et la baisse. Anne gémit de honte en évitant de le regarder.

- Ce n’est pas la première fois que tu demandes à une de tes amies de te faire jouir, n’est-ce pas ?

Elle se mord la lèvre.

- Eh bien… Je… Commence-t-elle.

Il lui claque le cul une nouvelle fois.

- Non, non Monsieur, ce n’est pas le cas.

- As-tu déjà baisé avec un homme ? Demande Ben.

Elle prend une profonde inspiration.

- Oui Monsieur.

- As-tu aimé ?

- Oui Monsieur.

- Mais tu as beaucoup apprécié que ta petite copine joue avec toi, non ?

- Oui Monsieur.

Anne s’est un peu calmée. Elle prend de longues et profondes respirations pendant que Ben passe sa main le long de ses jambes, caressant la chair douce, la chatouillant alors que ses doigts approchent de plus en plus de sa chatte.

- Je t’ai regardé lui demander de t’étouffer alors que tu jouissais. Tu aimes être malmenée, n’est-ce pas ? 

- Je… Oui Monsieur. Murmure-t-elle en se rattrapant de justesse.

- As-tu déjà baisé avec un homme qui s’est montré dur avec toi ? Demande-t-il en lui claquant le cul une nouvelle fois.

Elle tremble et secoue la tête.

- N… Non Monsieur.

- Mais c’est bien ce que tu voudrais, non ? Un homme sachant comment te traiter ? Comment te dominer et te punir ? Puis te baiser comme la petite pute que tu es ? 

Anne ouvre la bouche pour répondre, mais rien ne sort. Elle détourne la tête, des larmes coulant sur ses joues.

- Tu ne veux pas me le dire ? Eh bien, je vais le découvrir moi-même.

Ben sourit et pose ses doigts sur sa chatte. La chaleur humide les enveloppe alors qu’ils les glissent à l’intérieur. Elle mouille abondamment.

- C’est exactement ce que je pense. Dit Ben en la soulevant pour la remettre sur ses pieds.

Le garçon lui délie les mains. Anne reste immobile devant lui en se frottant les poignets. Elle le fixe en se mordant la lèvre, sans rien oser dire.

- Tu as deux options Anne. Je peux partir d’ici tout de suite et nous devrons faire face tous les deux au scandale qui éclatera quand les photos et vidéos seront rendues publiques.

Il fait une pause pour lui laisser le temps de réfléchir.

- Ou, tu peux te mettre à genoux et je vais te montrer comme c’est amusant de devenir une bonne petite esclave. 

Anne ouvre la bouche mais ne dit rien. Elle le regarde ouvrir son pantalon et sortir sa grosse bite bien dure. C’est la plus grosse qu’elle n’ait jamais vue. Elle commence presque à baver. Lentement, en tremblant, elle pose un genou à terre, puis l’autre. Elle regarde nerveusement le garçon, puis elle ouvre la bouche.

Quelques mètres plus loin, dans sa chambre, Marianne voit sa fille s’agenouiller et accepter d’être la nouvelle pute de Ben. Elle est tourmentée par un flot d’émotions, la peur, la tristesse, la colère, mais surtout la culpabilité. Alors qu’elle regarde la tête de sa fille se balancer d’avant en arrière, elle a envie du gros sexe du garçon.

Soudain, alors que Anne est en train de le sucer, Ben sort une petite télécommande de sa poche, fait un clin d’œil à la caméra qu’il a cachée et il appuie sur le bouton.

Instantanément Marianne sent des vibrations dans sa chatte et toutes ses émotions sont remplacées par une envie de plaisir. Elle avait oublié à quel point elle avait eu envie de jouir toute la journée alors que Ben l’avait baisée et punie. Mais à cet instant, tout lui revenait.

Elle lutte contre cette furieuse envie et essaie de ne pas avoir d’orgasme alors qu’elle regarde sa fille sucer Ben. Rien de ce qu’il lui a fait subir auparavant ne la jamais fait se sentir aussi coupable et honteuse que maintenant. Elle gémit doucement tout en se balançant d’avant en arrière, la chatte ruisselante, de la bave coulant sur son menton.

- MMMMMM ! Gémit-elle, des larmes coulant de ses yeux.

- Enlève tes putains de dents de ma bite ! Crache Ben en saisissant Anne par les cheveux et en la giflant. 

La jeune fille grimace, gémit et étouffe, une boule de salive sortant de sa bouche.

- Tu as compris ? Demande Ben en sortant sa bite de sa bouche.

Marianne regarde les larmes couler sur le visage de sa fille.

- Oui Monsieur ! Murmure celle-ci.

- Tu aimes ça , non ? Demande Ben en giflant son visage avec sa bite.

Anne déglutit et rougit profondément. De honte, elle n’ose regarder le garçon.

- Oui Monsieur ! Répond-elle avant que Ben ne remette sa bite dans sa bouche et la laisse bouger sa tête d’avant en arrière.

Alors que Marianne regarde sa fille forcée de plaire à Ben, sa culpabilité se change peu à peu en jalousie. Elle veut la bite du jeune garçon. Elle bave d’envie en regardant Anne s’occuper de la queue qu’elle ressent être la sienne. Les larmes coulent sur son visage quand elle réalise que son envie alimente son hypocrisie. Elle jouit.

C’est un plaisir écrasant qui l’envahit, un orgasme comme elle n’a jamais connu. Il se répand en elle comme la lave sur le flanc d’un volcan, détruisant tout sur son passage. Elle tremble encore et encore et son jus dégouline de sa chatte comme la bave de sa bouche. 

Quand sa jouissance se termine, Marianne n’a aucune idée du temps qu’elle a duré. Elle regarde le monstre qui est son Maître. Elle voit sa fille à quatre pattes, le cul en l’air, tandis que Ben, derrière elle, titille son clitoris et lèche sa chatte. Sa langue sonde même son cul alors qu’elle tripote ses seins et pousse son dos vers lui.

- Oh mon Dieu ! Oh putain ! Oh s’il vous plaît Monsieur ! S’il vous plaît, laissez-moi jouir ! Gémit-elle.

Ben s’assoit et donne une claque sur son cul.

- A qui appartiens-tu ? Demande-t-il en frappant à nouveau son cul avant d’attraper ses fesses et de les écarter.

- A vous ! A vous Monsieur ! Je vous appartiens ! Je ferai tout ce que vous voudrez, quand vous voudrez ! Je vous appartiens ! Gémit Anne en secouant la tête.

- Tu es ma petite pute ? 

- Oui je suis votre pute, votre salope ! Crie Anne.

Ben attrape ses hanches et enfonce son visage dans sa chatte.

- Jouis ! Lui dit-il.

Alors la jeune fille commence à crier de plaisir. Marianne a de nouveau un orgasme en regardant jalousement Ben lécher sa fille comme il ne l’a jamais fait auparavant. Elle sanglote sans se retenir, incapable de rester lucide alors qu’elle se débat dans les affres de sa jouissance.

- Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Gémit Anne.

Marianne reprend ses esprits. Quand elle lève les yeux, elle voit sa fille rebondir de haut en bas sur la grosse bite bien raide de Ben

- Oh votre bite ! Oh mon Dieu ! Gémit anne en saisissant ses seins.

- C’est si bon ! Vous êtes si gros ! Oh mon Dieu !

- Tu vas être une bonne petite esclave, n’est-ce pas ? Demande Ben.

- Je serai la meilleure esclave pour votre bite , Monsieur. Je ferai tout ce que vous me demanderez. Je vous appartiens maintenant ! Oh mon Dieu ! S’il vous plaît Monsieur, puis-je jouir ?

- Jouis pour moi, petite salope ! Grogne le garçon.

Anne ne se retient plus, elle crie, gémit et tremble alors qu’éclate l’orgasme. Son corps se tend et sa chatte gicle partout sur Ben et le lit. Finalement elle s’effondre.

- Oh mon Dieu ! Oh Ben !

- Chut ! Repose-toi ! Dit Ben en se penchant sur elle.

Elle se blottit dans les couvertures à côté de lui. Ben reste assis sur le lit, souriant à la caméra. Il tend la main et attrape la télécommande. Les yeux de Marianne s’écarquillent alors qu’il enclenche la plus grosse intensité du gode.

 *****

Marianne gémit et essaie de reprendre son souffle alors qu’un autre orgasme la traverse. Une nouvelle vague de plaisir la submerge. C’est sans fin. Cela fait combien de temps ? Des heures ? Des jours ?

Elle a perdu la notion du temps, mais chaque fois qu’elle lève les yeux, elle voit sa fille sur l’écran, recroquevillée contre son bourreau, le sourire vicieux la fixant, même si elle sait qu’il ne peut la voir.

Mais cette fois-ci, quand elle lève les yeux, Ben n’est plus là.

- Tu t’es bien amusée ? Demande le jeune garçon en entrant dans la chambre.

- Mmmmm ! MMMMMMMmm ! Gémit Marianne en luttant contre ses liens.

Ben rit, puis il lui frappe le cul en lui demandant :

- Combien de fois as-tu joui en me regardant transformer ta fille en petite pute ?

Marianne détourne le regard.

- C’est bien ce que je pensais ! Sourit-il en éteignant le gode vibrant et en la déliant lentement.

Quand elle est enfin libre, il lui enlève son bâillon. Elle lève les yeux vers lui, la mâchoire endolorie, et lui demande en sanglotant :

- Comment… Comment as-tu pu ?

- Comment ai-je pu quoi ? Corrompre ta douce fille innocente ? La transformer en pute comme toi ?

Ben se moque d’elle, mais elle se détourne.

- Comment as-tu pu me remplacer ?

Elle se met à pleurer en tombant de sa chaise et en se recroquevillant sur le sol. Ben sourit et secoue la tête.

- Oh je ne t’ai pas remplacée, espèce de salope idiote !

En riant il saisit ses cheveux et la soulève pour la placer sur le lit. Puis il se presse contre son corps. Elle enroule ses bars et ses jambes autour de lui et ils s’embrassent. Les larmes coulent toujours sur le visage de Marianne.

- Je ne t’ai pas abandonnée ! Lui assure-t-il.

Elle soupire. Il lui murmure alors en lui mordillant l’oreille :

- Ta fille n’a pas réussi à me faire jouir. C’est donc à toi de finir ce qu’elle a commencé.

La mère de famille tremblante commence alors à sourire.

- Quel trou veux-tu que je baise ? Ton cul ou ta bouche ? Chuchote le jeune garçon.

Marianne sourit comme si c’est la plus belle chose qu’on lui ait jamais dite.

- Ma bouche Monsieur. Répond-elle.

Il recule et la regarde tomber à genoux. Elle prend sa bite dans ses mains. Il bande encore et ell est toujours collante.

- Lèche bien ! Enlève le jus de ta pute de fille ! Ordonne-t-il.

Elle se précipite en avant et avale entièrement la queue dressée. Elle pose ses mains sur ses hanches et avance la tête pour que le membre s’enfonce dans sa gorge.  Elle le regarde, les yeux mouillés de larmes, déterminée à lui montrer qu’elle est une bonne pute talentueuse. 

- Putain c’est bon ! Dit-il en saisissant sa tête et en la baisant pendant qu’elle étouffe et bave.

- Ohhhh merde ! Grogne-t-il alors que sa bite explose, giclant du foutre chaud et collant au fond de la gorge de la mère de famille.

Le jeune garçon sort sa bite et dit alors :

- Nous allons devoir apprendre à ta fille comment sucer une bite, tu ne crois pas ?

Après avoir fini de tout avaler, Marianne acquiesce :

- Oui Monsieur.

 **** 

Marianne est assise complètement nue sur le tapis moelleux du dressing. Elle est totalement attachée et bâillonnée. Le gode vibrant est dans sa chatte, un plug est dans son cul. Elle est assise sur ses fesses, jambes écartées, la chatte dégoulinante.  Elle est envieuse en regardant par les fentes de la porte du dressing sa fille se faire pilonner sans pitié sur son propre lit. 

- Ah ouais ! Tu aimes te faire baiser comme une pute sur le lit de ta mère, non ? Demande Ben en donnant une grosse claque sur le cul de Anne tout en donnant de violent coup de rein pour bien enterrer sa bite dans la jeune fille.

- Oh oui… Putain… Putain oui Monsieur ! Faites ce que vous voulez à votre pute. Mon corps vous appartient !

Elle gémit en secouant la tête et en bavant sur les draps de sa mère. Ses yeux roulent dans sa tête.

- Putain ! Putain ! Ouiiii ! 

Elle crie en sanglotant et riant, sa chatte libérant son jus alors qu’elle jouit. Puis elle gémit, complètement essoufflée et Marianne gémit aussi.

La mère de famille a passé la dernière semaine à regarder Ben baiser sa fille dans tous les sens. Il l’a martelée sans pitié et l’a transformée complètement en une salope soumise.

Mais il semble qu’elle n’apprécie pas seulement le fait d’être un jouet dans les mains de Ben. Elle est insatiable dans la dépravation, gloussant après avoir été baisée en gorge profonde, gémissant quand Ben lui parle de la possibilité d’entraîner ses amies dans un trio, le suppliant de pouvoir toucher ses amies quand ils les baiseraient, lui demandant même si elle pourrait participer à les punir.

Marianne ne peut s’empêcher d’avoir honte en réalisant que sa fille Anne n’est plus simplement la soumise de Ben. Elle est sa partenaire, son égale. Elle dégage une certaine brutalité animale, elle a faim du pouvoir dégradant qu’il exerce. Elle apprécie leurs fantasmes partagés de chantage et de trios forcés presque autant qu’elle aime être abusée et baisée sans pitié.

- Je n’ai pas cette chance. Pense-t-elle en les regardant, malade d’envie, alors qu’elle est ligotée et incapable de se détourner de la scène devant elle.

D’une certaine manière, elle a raison. Anne est jeune, mince et souple, elle est belle et son corps est parfait, doux, jeune et en forme. Marianne est simplement plus vieille, une pute ordinaire, un modèle ancien. Bien sûr elle n’est pas vilaine simplement plus galbée avec des courbes plus prononcées, des gros seins et un gros cul. Mais en regardant Ben baiser sa fille, l’embrassant fiévreusement alors qu’il étire sa petite chatte serrée d’adolescente, leurs bras enroulés autour de l’autre dans une étreinte passionnée, il est évident qu’ils sont une paire parfaite.

Ben ne l’a jamais embrassé en la baisant. Puis il a rarement baisé sa chatte, lui préférant son cul.  Peu importe qu’il prenne toujours le temps de s’occuper d’elle après avoir baisé sa fille, peu importe que sa bite soit toujours bien raide quand il la rejoint, Marianne sait qu’elle ne peut rivaliser.

- Retourne-toi, je veux ton cul autour de ma bite ! Dit Ben.

Il la jette sur le lit. Anne gémit en se retournant et en soulevant son cul en l’air tout en enfouissant son visage dans les draps.

- S’il vous plaît Monsieur, s’il vous plaît, ne soyez pas violent ! Supplie-t-elle.

- Bien sûr chaton, nous devons juste préparer ton cul à accueillir ma bite, tu comprends ?

- Oui Monsieur, n’importe quoi pour vous Monsieur ! Gémit Anne.

Elle grogne alors que la queue de Ben essaie de forcer l’entrée de son petit cul. Ses yeux s’écarquillent et elle plonge son visage dans les draps. Marianne regarde et écoute tandis que sa fille sanglote. Elle se perd dans ses pensées.

La nuit précédente avait été un peu comme ce soir avec Ben jouant ouvertement avec sa fille dans le salon pendant qu’elle préparait le dîner et qu’elle devait agir comme si elle ne pouvait pas entendre sa propre fille sucer le garçon dans la pièce voisine. Elle avait dû éviter d’entrer dans la pièce pour éviter toute confrontation.

Après le dîner, Ben l’avait rejoint dans sa chambre. Sans un mot il l’avait poussée sur le lit et il avait soulevé sa nuisette pour pouvoir l’enculer assez longtemps pour qu’elle ait envie de jouir.

- S’il vous plaît Monsieur, s’il vous plaît ! S’il vous plaît, laissez-moi jouir ! Avait-elle supplié.

Mais Ben s’était contenté de rigoler en lui claquant le cul. Il lui avait dit :

- Non ! Ça ne serait pas correct puisque ta fille a fait tout le travail aujourd’hui. Tu n’as pas le droit de jouir, pas ce soir, compris ?

Marianne avait été désespérée. Elle s’était mordu la lèvre en luttant contre l’orgasme qui approchait alors que Ben gémissait et remplissait son gros cul de foutre avant de se retirer.

Après qu’il ait claqué la porte, elle avait trouvé son vibromasseur et elle s’était jeté sur le lit pour répondre à ses besoins, pour se donner l’attention qu’elle méritait, l’attention qu’elle n’avait plus depuis que sa fille était devenue la nouvelle soumise de Ben. Elle avait enfoncé l’objet profondément dans sa chatte alors que son autre main approchait son cul.

- Ohhhh, ohhhhh !!

Elle avait gémi sans se soucier de savoir qu’il lui était interdit de se toucher. Elle avait été si blessée, si coupable et si honteuse d’être envieuse de la relation de sa fille avec son bourreau, son maître-chanteur que ses sentiments étaient confus.

Elle grognait en baisant sa chatte. Elle se rapprochait de plus en plus de l’orgasme, le sperme du garçon coulant de son cul et s’amassant sur ses doigts. Elle portait sa main à sa bouche et léchait le foutre avant d’aller en récupérer plus sur son cul. Elle savourait le goût de la désobéissance.

Elle était bien près d’un orgasme, son corps tendu et prêt à être soulagé. Mais même si elle était à un doigt de jouir et qu’elle s’escrimait à jouer avec sa chatte, elle n’arrivait pas à basculer. Elle était si proche, elle en avait tellement envie et elle suppliait de jouir, mais elle ne pouvait le faire.

Elle ne pouvait pas jouir sans sa permission.

Après une demi-heure d’efforts infructueux, elle abandonna, jetant le vibromasseur sur le côté, et s’effondrant sur son lit, vaincue. Elle gémit et sanglota doucement, acceptant ce qui venait de se passer. D’une façon ou d’une autre, l’emprise de Ben sur elle était plus forte qu’elle n’aurait pu le penser.

- Ça va chaton ? Demande Ben à Anne, brisant les pensées de Marianne et la ramenant à la réalité.

Il sort sa bite du cul de la jeune fille. Celle-ci ment en tremblant un instant avant de pouvoir lui faire face. Elle bégaie en reniflant et sanglotant doucement :

- Oui… Oui Monsieur… je vais bien, je vous le promets. S’il vous plaît Monsieur, n’arrêtez pas de m’enculer…

- Chut… Chut… Du calme… Ce n’est pas grave si tu ne veux plus que je mette ma bite dans ton cul. Nous pouvons prendre le temps que tu t’habitues. Dit Ben en l’embrassant sur le front et en la berçant dans ses bras.

- Mer… Merci Monsieur ! Sanglote Anne en frottant son visage contre sa poitrine.

Le garçon l’embrasse alors qu’elle respire fort. Il faut un moment à la jeune fille avant qu’elle ne se redresse, s’extirpe de ses bras et tombe à genoux.

- S’il vous plaît Monsieur, j’ai tellement envie de votre sperme. Chuchote-t-elle.

Elle attrape sa bite raide, dure et collante pour la lécher de haut en bas. 

- Voulez-vous donner à votre princesse esclave votre semence chaude ?

Ben se penche en arrière en gémissant tandis que la jeune fille suce sa queue, ses petites mains caressant la hampe et ses couilles sans les serrer, de la salive dégoulinant sur son sexe.

- Bien sûr bébé, mais tu vas juste devoir le mériter ! Dit Ben en caressant ses cheveux.

Il commence à lui enfoncer sa bite le plus loin possible dans sa gorge, mais elle ne peut descendre qu’à mi-chemin avant que la jeune fille commence à tousser et s’étouffer.

- Eurgggghhh…

Elle gémit en prenant une profonde inspiration.

- Ghhhhhh…

Elle étouffe et tremble, les yeux injectés de sang, la maquillage maculé de larmes et de bave.

- Eurgghhh… Ghhhh…

Marianne regarde sa fille étouffer sur la grosse bite de Ben avant qu’il ne se retire.

- C’est bon chaton ! Ça suffit pour ce soir. Je veux que tu ailles prendre un bon bain chaud et que tu te détendes. Dit le jeune garçon en l’embrassant .

Anne détourne les yeux.

- Mais Monsieur, c’est le boulot de votre petite salope de vous faire jouir. Dit-elle en s’accrochant.

- Tu en as déjà fait beaucoup aujourd’hui, je suis fier de toi. Sourit Ben.

Elle rougit et baisse les yeux. Le garçon ajoute :

- Moi, je vais me nettoyer ici et peut-être jouir dans une culotte de ta salope de mère.

Marianne retient son souffle alors qu’elle regarde sa fille qui est en train de penser à la chatte de  sa mère recouverte du sperme de son nouveau « petit ami ». Anne rit et dit :

- Oh putain, peut-être que vous devriez. Peut-être qu’un jour nous pourrons la piéger pour que l’on joue à trois. Je pourrais alors me venger des fessées qu’elle m’a mises quand j’étais petite.

Ben sourit en la conduisant vers la porte.

- Ce n’est pas une mauvaise idée !

A suivre…

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