mercredi 3 juillet 2024

Lorsque Madame se met à la gym...

 Récit de Bond13.

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Mon épouse et moi avions depuis quelques mois mis un bémol à nos sorties plutôt chaudes dans des lieux incongrus. Notre couple semblait s’y faire, mais nous sentions néanmoins que l’ennui commençait à faire son apparition au niveau sexuel.

C’est ainsi que mon épouse décida pour conserver ses formes chaleureuses, de s’inscrire dans une salle de sport. Elle réussi à me persuader du bienfait de la chose, et nous nous rendîmes donc dans un centre de remise en forme et de musculation pour nous inscrire. J’optai pour l’abonnement à la salle de sport alors que mon épouse choisissait les séances de fitness. Les horaires des séances de fitness ne pouvait pas convenir à mon emploi du temps. Ainsi, durant un mois, ma femme se rendit tous les lundi matin à sa séance de fitness.

Elle était enchantée par ses cours et me montrait à tout moment ses cuisses raffermies par l’exercice. Je remarquai son air épanoui, et surtout son engouement pour son rendez-vous du lundi matin. Comme nous n’étions jamais ensemble à la salle de sport et que moi, contrairement à elle, j’étais beaucoup moins assidu, je me rendais épisodiquement à ma séance de torture musculaire. De ce fait, peu ou pas de personnes me connaissaient et personne ne faisait le rapprochement entre nous.

Un vendredi soir, alors que je m’apprêtai à partir des vestiaires, un homme d’environ 35 ans, qui faisait aussi ses séances de tortures apparemment sans passion, m’aborda. Il voulait se lier d’amitié avec une autre personne, souffrant a priori de solitude lors de ses exercices.

Après avoir engagé la conversation, nous décidâmes d’aller boire un coup au bar de la salle de sport. Nous étions sur la même longueur d’onde: la musculation, c’était pas pour nous. Je lui demandai alors pourquoi il insistait. Il me répondit qu’en fait, il ne viendrait plus à la musculation mais qu'il s’était inscrit aux séances de fitness du lundi matin.

Je restai impassible, car mon intuition me disait de me taire et de le laisser parler…

Et alors, après mon étonnement exprimé pour son goût du fitness, il me raconta que depuis un mois, les hommes de la salle, ne parlait plus que de ça. Il y avait une nouvelle aux séances de fitness qui se laissait aller à certains débordements après la séance dans les vestiaires. Du coup, il avait envie de vérifier la rumeur et pourquoi pas de tenter sa chance auprès de celle que l’on qualifiait déjà de grosse nympho.

Le soir, je n’arrêtai pas de penser à cette conversation, mais ne demandai rien à mon épouse, et surtout n’évoquai pas cette conversation.

Le lundi suivant, je décidai de prendre ma journée et me rendis vers 10H00 à la salle. Là, discrètement, je me dirigeai vers les vestiaires réservés aux hommes. Au pas de la porte, un homme sortit. Me voyant surpris, il me dit:

- Vas-y, rentre, si tu veux te rincer l’œil, et essayer de te faire sucer !

Je poussai la porte discrètement, le vestiaire était en deux parties: Une première salle avec les bancs et les armoires et une deuxième réservée aux douches. J’entendis de la salle des douches des personnes qui parlaient et me rapprochant je saisis la conversation. Plusieurs hommes parlaient d’un ton autoritaire et s’adressaient à une femme, je me doutais que mon épouse ne devait pas être loin, mais dans mon fort intérieur, je me disais que cela n’était pas possible, elle ne pouvait aimer le sexe autant que ça pour s’envoyer en l’air avec des inconnus sans moi. Les paroles me choquaient mais m’excitaient à la fois.

- Allez suce ma queue, et après tu suceras celle de mon ami !

- Vas-y, baise là bien, cette salope !

Et j’entendais entre eux qu’ils se disaient :

- Celle-là, elle est chaude! Dans un mois, c’est tout le club qui lui sera passé dessus !

Je m’approchai toujours discrètement et enfin je pus observer la scène. Mon épouse me tournait le dos, une serviette par terre pour ses genoux et 5 hommes autour. Elle avalait goulûment une queue, alors qu’une deuxième attendait son tour, et elle se faisait marteler par derrière, par un noir immense qui semblait avoir toutes les difficultés du monde pour rentrer tout son sexe dans l’anus de mon épouse.

Les deux autres patientaient en se masturbant et en écartant les fesses de ma femme pour aider le noir à s’introduire.

Mon épouse restait silencieuse malgré les propos des hommes autour mais ses petits gémissements me prouvaient qu’elle appréciait ce traitement. Me tournant le dos, elle ne pouvait me voir, mais les hommes se faisant sucer constatèrent ma présence. L’un deux m’interpella :

- Arrête de faire le voyeur, viens plutôt lui toucher le cul, elle adore !!

Un éclat de rire général remplit les douches. Sentant ma gène, et surtout se doutant que j’étais en érection, un autre s’adressa à moi :

- Allez, bande pas tout seul, fous-toi a poil, personne ne viendra, et de toute façon, même si quelqu’un vient, il ne sera pas outré, ça fait un mois que tout le monde la saute !

Je ne parlai pas de peur qu’elle reconnaisse ma voix, et j’ôtai mon jogging et mon slip. Mon sexe était gonflé de plaisir. On aurait dit un manège avec ma femme et ces cinq gars qui tournaient autour avec leurs queues à l’air, tantôt à se faire sucer, tantôt à la sodomiser ou pénétrer son vagin humide.


Je constatai que le noir avait fait du dégât. Mon épouse était le cul écarté, l’anus tout dilaté ne se refermant plus. Vu la grosseur de l’engin, je comprenais aisément. Je commençai à me masturber, lorsque le noir me proposa de lui mettre mon sexe dans l’anus :

- Honneur au nouveau, vas-y baise-la par le cul !

Et il demanda à mon épouse :

- Un nouveau, il peut te baiser par le cul, t’es d’accord ?

Mon épouse toujours le cul tourné lui répondit :

- Oui, mais je veux que tu me la remettes après !

Je pénétrai mon épouse et son anus était tellement béant que je flottai presque à l’intérieur. Deux hommes éjaculèrent à tour de rôle dans la bouche de ma garce de femme, et l’un deux dit à mon épouse avant de partir se laver :

- Bon à lundi et chose promise chose due, une équipe de rugbymen pour toi toute seule !

Je n’en revenais pas. J’avais amené mon épouse à l’échangisme mais là, c’était devenu de la perversion. 
J’ai rendu ma femme complément nymphomane. Je continuai mes mouvements de va-et-vient dans son trou béant, pendant que mes deux camarades de jeu restant, se faisaient sucer à tour de rôle. Le plus discret jusqu’alors, un homme d’une quarantaine d’année bedonnant et poilu, m’adressa la parole :

- Tu vois, moi après ma séance de muscu du lundi, je me fais sucer par madame, pendant que mon ami Jo, lui, la défonce, pas vrai Jo ?

Jo était le black qui, maintenant que j’avais son sexe en face, était monté comme un taureau avec un engin d’au moins 28 cm et large comme un poignet !

- C’est que Madame aime la bite, pas vrai ?

- Oui, j’aime toutes les queues.

Je décidai de mettre un terme à la comédie et gestuellement je demandai à mes nouveaux camarades, si je pouvais moi aussi éjaculer dans sa bouche.

- Chérie, le nouveau veut que tu avales son sperme !

Mon épouse déjà occupée avec le sexe de Jo dans la bouche, du moins tentant de l’avaler, fit signe en hochant de la tête son accord. Je me retirai et m’approchai de mon épouse de telle manière qu’elle ne me vit qu’au dernier moment. Je la pris par les cheveux et lui enfonçai mon sexe au fond de sa bouche d’un coup. Lorsqu’elle leva les yeux, me voyant, elle eut un mouvement de recul, mais je la tenais bien par les cheveux et elle ne put retirer sa bouche.

Ne pouvant parler, je l’obligeai à me pomper jusqu’au fond et l’excitation aidant, je fus très rapide à éjaculer. Le sperme dégoulinait de sa bouche. Je gardai ma queue dans sa bouche, et pris les choses en main :

- Jo, et si tu éjaculais dans son cul, mais bien au fond ?

Aussitôt dit aussitôt fait, Jo empala ma femme et je sentis, ayant toujours mon sexe dans sa bouche, qu’elle souffrait de cette dilatation. Moins d’une minute après, Jo éjaculait dans un râle prouvant son plaisir, et le petit bedonnant lui maculait le dos de son sperme. Je me retirai de sa bouche, en lui faisant signe de ne rien dire.

Les deux compères, partirent rapidement en remerciant mon épouse, et en lui fixant rendez-vous à lundi prochain. Je restai seul avec mon épouse. Une ou deux minutes passèrent sans qu’un mot ne sorte de nos bouches. Elle, couverte de sperme et moi partagé entre la honte et le plaisir. Au bout de ces 2 minutes elle me demanda :

- Tu es en colère ?

- Un peu, tu aurais pu m’en parler.

- Mais, ce qui m’excite, c’est justement que tu ne sois pas là, et que tous ces hommes puissent me baiser quand ils veulent.

Après une bonne explication, j’appris qu’elle n’était pas la seule à faire ça, et que certaines épouses ne venaient ici que pour se faire baiser. Elle m’expliqua aussi, qu’elle ne pouvaient plus s’en passer et que d’autres rendez-vous étaient programmés, notamment dans un foyer avec des black et des beurs.

Finalement la situation m’excitait et quelques minutes après je la repris sous la douche à la vue des hommes revenant dans le vestiaire et qui n’eurent que l’autorisation de la toucher.

Nous nous sommes fait la promesse de ne pas avouer aux autres que nous étions mari et femme, et depuis deux semaines, je participe tous les lundis, à la baise collective de ma femme.

L’équipe de rugbymen fut un grand moment pour nous mais décevant par la qualité des hommes et surtout leur manque de libido pour certains. Elle fut néanmoins aspergée de sperme car imaginez 15 hommes en train d’éjaculer a tour de rôle.

Le rendez-vous pour le foyer est pris, et je vous raconterai cela une autre fois.

FIN

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