Texte de Graoully 57 (2012).
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Le lendemain.
Le lendemain matin, Jean-Pascal arrive vers 9 heures. D’emblée il donne le ton, malgré la présence de ma fille dans sa chambre. Il m’embrasse comme si nous étions de vieux amants, en profitant pour poser sa main sur ma poitrine et malaxer mes globes charnues quelques instants.
-Ton corsaire te va à merveille mais j’aurai préféré que tu sois habillée avec une jupe où une robe ! Me dit-il.
Je lui sers un café avant qu’il ne se mette à l’ouvrage, le chantier ayant pris un peu de retard hier. Il me demande si j’ai bien dormi et si j’avais repensé à nos ébats.
- Le sommeil fut bon et je ressens encore en moi les frasques de notre relation.
Il se leve, s’éclipse au garage pour se changer et m’appele :
- Françoise, pourrais-tu venir une minute ?
Ce que je fais, pensant qu’il cherche quelque chose mais ne le trouve pas… Au lieu de cela il est debout, son sexe à la main, déjà bandé.
- Tu n’es pas fou ? Flavie est à l’étage, elle va partir au travail, range ton attirail ! lui murmuré-je.
Au lieu de m’écouter, il m’empoigne, me fait mettre à genoux et posant sa mentule sur mes lèvres me fait comprendre de lui prodiguer une petite gâterie avant les travaux. Ne voulant pas faire d’esclandre, j’entrouvre la bouche et du bout de la langue je flatte son méat.
- Ecoute si elle n’arrive pas ! lui murmuré-je, avant que son membre investisse les lieux.
Il se saisit de ma tête et donne la cadence, enfonçant sa queue jusqu’aux amygdales. Il est très excité et très rapidement son sexe gonfle dans ma bouche, un flot de sperme soutenu emplit ma gorge, je déglutis un maximum et je crache l’excédent dans la poubelle, puis je prends un Sopalin et m’essuie le visage.
- C’est bon, tu peux te mettre au boulot à présent…
Quelques secondes plus tard ma fille entre dans le garage, elle nous regarde bizarrement et part pour son boulot.
Chacun de nous se met à son travail. Avant midi, la préparation du repas terminé, je monte à l’étage, je retire mon corsaire et mon tee-shirt et j’enfile une robe boutonnée sur le devant, prenant soin d’oublier de fermer quelques boutons aussi bien sur le haut, laissant le sillon de ma poitrine très visible, que sur le bas afin de dénuder mes cuisses à chaque mouvements. Un sifflement admiratif se fait entendre
dès qu’il m’aperçoit ainsi.
- Tu me gâtes, me dit-il.
- Tu m’as mise en appétit !
Il me prend dans ses bras et ses mains s’égarent sur mon corps et nos lèvres se soudent. Il déboutonne entièrement ma robe et me demande de servir et manger comme cela. Je suis un peu gênée de me montrer de la sorte, mon soutien gorge blanc très pigeonnant laissant ma poitrine comme à nu et mon tanga tout de dentelle ne cachant rien de ma toison pourtant blonde ni du renflement de mon sexe particulièrement marqué.
Chaque fois que je me lève pour servir, je jette un œil du coté du voisin me sachant sans doute observé par ce malade, d’autant que Jean-Pascal m’impose de passer devant la porte fenêtre, m’y exposant inévitablement si il faisait le guet. Inutile de décrire dans quel état je me trouve, attendant la fin du repas pour monter dans la chambre des enfants pour laisser libre cours à nos ébats.
Tout le repas nous échangeons sur nos relations passées.
- Tu es une belle catin sous tes airs de sainte nitouche… Me lance t-il pour conclure.
Il se lève, j’en fais autant et il me pousse face à la porte fenêtre, fait tomber ma robe au sol. Je suis exposée à ce gros vicelard de Pierre si toutefois ce dernier est en planque derrière les rideaux. Je l’imagine son sexe en main en train de se masturber. Jean-Pascal me demande de mettre mes mains sur ma nuque m’obligeant à bomber un peu plus le torse et donnant à mon 95 C encore plus de volume. Sa main glisse sous l’élastique de mon tanga et instinctivement j’ouvre un peu plus le compas de mes cuisses lui donnant plus d’espace pour permettre à sa main de posséder ma chatte. Son doigt n’a aucune difficulté à glisser entre mes lèvres et mon clitoris qui n’attendait que ce contact gonfle d’avantage.
- C’est d’être ainsi exposée qui te fait mouiller de la sorte, ça t’excite de te montrer devant ce pervers, je suis certain que tu as envie qu’il vienne se vider les couilles dans ta chatte… Baisse ton slip, montre-lui ton sexe !
Comme une automate je fais ce qu’il me demande, il en profite pour défaire mon soutien-gorge pendant que je baisse le dernier rempart de mon intimité à mi-cuisse. Il me redresse tout en me plaquant contre le carreau, j’ai les seins et le ventre collés à la surface de verre, son doigt fouille à nouveau mon nid d’amour, je ruisselle davantage, je me sens chienne, soumise…
- Dis-le que tu aimes être baisée de la sorte. En attendant c’est moi qui vais te baiser et sous ses yeux, après je lui dirais de venir, tu sentiras sa bedaine sur ton corps et sa queue dans ton ventre, je lui demanderais de t’exploser le cul.
Je me laisse emporter dans un orgasme imaginant la scène à laquelle il rêve de me voir
participer. Il ne me laisse pas le temps de récupérer. Il me fait plier en avant, les mains sur la clenche et son sexe perfore ma chatte. Après avoir joui sous son doigt, je vais jouir sa queue dans mon ventre.
Je regarde chez Pierre et je peux constater qu’il nous regarde sans aucune gène, nos regards se croisent, je le fixe les yeux dans le vague, la mentule de Jean-Pascal pilonnant mon vagin, il n’y a pas d’autres termes. Je sens son sexe grossir et le supplie :
- Vide tes couilles, regarde Pierre il se masturbe !
En effet le mouvement de son bras ne laisse aucun doute sur ce qu’il fait. Ce vicieux s’astique en voyant mon corps et ça m’excite de le voir !
- Bourre-moi mon amour !
Cette fois c’est moi qui sort des insanités. Il se bloque au fond de mon utérus et une déferlante de sperme fuse en moi. Nous prenons notre pied sous les yeux de ce malade, j’imagine avec dégoût son corps sur moi et son sexe fouillant mon intimité.
Jean-Pascal n’en a pas fini, il me redresse. Je suis face à Pierre, nue, offerte, je ne bouge pas, poupée de chair dans les bras de mon amant, les cuisses disjointes, ma chatte plus que visible, le trop plein de Jean-Pascal coulant le long de mes jambes. Il recueille quelques gouttes sur son doigt et les porte à ma bouche, faisant comprendre à notre voyeur qu’il a marqué mon corps de son empreinte. Il me
fait pivoter et nous montons les escaliers pour rejoindre la chambre complice de nos étreintes.
Avant cela il ouvela porte d’entrée.
- Qu’est ce que tu fais ?
- T’occupes et monte !
Je le précéde et je ressens ses yeux sur ma croupe. Je m’allonge sur la couche, ouvrant mes cuisses, je veux sentir sa langue en moi. Il ouve la fenêtre en grand puis vient me rejoindre en se mettant tête bêche, présentant son sexe à ma bouche, ses mollets collés à mes oreilles, j’engloutis sa mentule pendant que sa langue agace mon clito toujours aussi excité. Mis à part ses fesses je ne vois
rien, je n’entends rien. Notre jeu buccal dure depuis plusieurs minutes et j’aspire à changer de position. C’est à ce moment que je ressens une présence. Dans l’effroi, j’essaieis tant bien que mal de me détacher de Jean-Pascal, et lorsque j’y parviens, c’est pour voir Pierre debout, nu, son sexe en main.
A suivre...
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