Texte de Cadan (2011).
*****
Mon épouse C. a un nouveau Maître.
C vient au bar et me demande un verre. Elle est magnifique, seulement vêtue de ses bas noirs et de son porte-jarretelles. Elle rejoint l’homme qui l’a payée cher et lui tend sa boisson. Celui-ci passe la main sur ses seins dans une douce caresse et je vois nettement ses tétons s’ériger.
- Enlace-moi, ma salope chérie.
- Enlace-moi, ma salope chérie.
Elle passe ses bras autour du cou de l’homme et se serre contre lui.
- Embrasse-moi et frotte ta poitrine contre la mienne.
Elle s’exécute. Elle plaque ses lèvres qui s’ouvrent sur la bouche de l’homme. Sa langue s’enroule autour de la sienne.
- Ça te plaît, ma douce.
- Oh oui, monsieur. C’est très agréable.
- Dis-moi que tu m’aimes.
- Je vous aime, Monsieur.
- Et que tu es prête à tout pour moi.
- Oui, Monsieur, je suis prête à tout pour vous.
- Frotte ta chatte sur ma jambe, mon amour.
- Ça te plaît, ma douce.
- Oh oui, monsieur. C’est très agréable.
- Dis-moi que tu m’aimes.
- Je vous aime, Monsieur.
- Et que tu es prête à tout pour moi.
- Oui, Monsieur, je suis prête à tout pour vous.
- Frotte ta chatte sur ma jambe, mon amour.
C écarte les cuisses, se colle à l’homme et commence une danse lascive. Je vois très nettement son sexe collé sur le pantalon. Elle a les yeux fermés, la bouche entrouverte. Je la connais bien et je sais que, là, elle prend du plaisir. Il la laisse faire, en me regardant avec un petit sourire. Elle se frotte de plus en plus fort. Je vois son visage se déformer, signe d’une jouissance proche. Soudain, il la repousse, empêchant son orgasme.
- Regarde l’état de mon pantalon, salope. Tu l’as taché.
- Je suis désolée, Monsieur.
- À genoux, et nettoie-le. Juste avec ta langue.
- Regarde l’état de mon pantalon, salope. Tu l’as taché.
- Je suis désolée, Monsieur.
- À genoux, et nettoie-le. Juste avec ta langue.
Troublée par ce changement d’attitude, elle obéit. Sa langue s’applique à enlever les traces de ses propres sécrétions. Pendant ce temps, je le vois adresser un signe à Monsieur Ali. Il semble lui dire «d’accord, comme convenu !».
C est restée à genoux. Elle attend l’ordre, désorientée par le changement d’attitude de cet homme. Ali n’est plus dans la salle. L’homme passe lentement la main dans les cheveux de mon épouse qui le regarde, comme hypnotisée. Ses doigts se mettent à tourner et C pousse un petit cri de surprise et de douleur. Elle reçoit alors une gifle qui marque sa joue de rouge, mais la main dans ses cheveux l’empêche de tomber. Je veux prendre sa défense, mais Youssef m’en empêche en me prenant le bras et en me disant :
- Tu n’as pas envie que ce soit pire pour elle ?
- Tu n’as pas envie que ce soit pire pour elle ?
Je vois alors C marcher à 4 pattes, tenue par ce mâle. Ses seins se balancent sous elle. Ses fesses attirent les regards de tous les invités, mais elle ne voit plus rien, les yeux dirigés vers le sol sous la main qui la dirige.
Ils se dirigent vers la cuisine. Youssef m’entraîne en les suivant. Ali est assis derrière son bureau. Youssef me fait asseoir sur une chaise au fond de la pièce. Je peux tout entendre, mais je dois surtout ne rien dire. C est à quatre pattes et attend.
- Alors, mon cher Marc, que pensez-vous de la marchandise ?
- Alors, mon cher Marc, que pensez-vous de la marchandise ?
Ainsi j’apprends que cet homme se nomme Marc, mais aussi que parler de mon épouse comme d’une marchandise me laisse présager une situation encore plus horrible.
- Eh bien Ali, cette femelle semble avoir de vraies dispositions à la soumission, comme tu me l’avais annoncé. Tu en as fait une pute. Il va me falloir l’emmener beaucoup plus loin.
- Eh bien Ali, cette femelle semble avoir de vraies dispositions à la soumission, comme tu me l’avais annoncé. Tu en as fait une pute. Il va me falloir l’emmener beaucoup plus loin.
De quoi peut-il bien parler ? Mon épouse est à ses genoux, nue à part son porte-jarretelles et ses bas. Comment peut-il l’humilier encore plus.
– Bien sûr, Marc. Cependant il va te falloir me donner ta réponse. Si tu n’en veux pas, je la garde. Elle pourra encore bien me servir ici. Eh puis ensuite, je la mets sur le trottoir. Elle pourra encore faire sa vingtaine de clients par jour.
- Je la prends, Ali.
- Je la prends, Ali.
Et je vois ce Marc sortir une liasse de billets de sa poche.
- Mais avant que je t’achète Lola, que va dire son mari ?
- Tu peux lui demander. Il est là. Mais je ne suis pas sûr qu’il ait encore son mot à dire. Depuis des semaines, il regarde sa femme se faire monter par des dizaines d’hommes différents. Il lui a transmis mes ordres, même quand il s’agissait qu’elle s’enfile un gode dans le cul. Alors je pense qu’il est aussi soumis que sa femme. D’ailleurs, tout le monde l’appelle « le cocu ».
- Mais avant que je t’achète Lola, que va dire son mari ?
- Tu peux lui demander. Il est là. Mais je ne suis pas sûr qu’il ait encore son mot à dire. Depuis des semaines, il regarde sa femme se faire monter par des dizaines d’hommes différents. Il lui a transmis mes ordres, même quand il s’agissait qu’elle s’enfile un gode dans le cul. Alors je pense qu’il est aussi soumis que sa femme. D’ailleurs, tout le monde l’appelle « le cocu ».
– Parfait, Ali. Alors, le « cocu », tu n’as rien contre le fait que j’achète Lola. Maintenant son nouveau maître c’est moi. D’accord Lola ?
- Si maître Ali me donne à vous, je lui obéirai.
- Si maître Ali me donne à vous, je lui obéirai.
Marc tire alors sur les cheveux de mon épouse pour la redresser et lui donne une gifle énorme qui claque sur la joue de C, qui rougit immédiatement. Des larmes jaillissent de ses yeux.
- Lola, sale pute, tu es à moi maintenant. Dis-le.
- Je suis à vous maintenant… Maître Marc.
- Tu vois, c’est bien. Tu vas vite devenir une bonne petite esclave. C’est bien ce que tu veux ?
- Je veux devenir votre esclave, Maître Marc.
- Lola, sale pute, tu es à moi maintenant. Dis-le.
- Je suis à vous maintenant… Maître Marc.
- Tu vois, c’est bien. Tu vas vite devenir une bonne petite esclave. C’est bien ce que tu veux ?
- Je veux devenir votre esclave, Maître Marc.
Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Devant moi, deux hommes se sont vendus une femme, ma femme. Et moi je suis resté là, à les regarder faire. Je pense même que le fait de voir mon épouse plus que nue, avec ses bas et son porte-jarretelle, à la disposition de deux hommes m’a fait bander. J’ai honte.
- Marc, maintenant que je t’ai vendu Lola, tu pourrais me faire un petit cadeau d’adieu, dit Ali.
- Je sais, Ali.
- Marc, maintenant que je t’ai vendu Lola, tu pourrais me faire un petit cadeau d’adieu, dit Ali.
- Je sais, Ali.
Et s’adressant à ma femme :
- Lola va remercier ton ancien Maître pour t’avoir fait découvrir la salope qui est en toi. Parce qu’avec moi, tu vas connaître la soumission. Va, esclave !
- Oui, Maître.
- Oui, Maître.
Ainsi C accepte déjà de changer de maître. Elle se dirige, toujours à quatre pattes vers Monsieur Ali et s’arrête quand elle a le visage devant sa jambe de pantalon. Il lui prend le menton et l’amène à se relever. Son pied écarte les jambes de mon épouse qui les ouvre sans tergiverser. Il la prend par la nuque et C, immédiatement ouvre la bouche. Elle a compris ce que veut Ali et embouche son sexe sans aucun recul. Je vois sa tête monter et descendre, sans jamais relâcher la bite de son amant (ou ex-amant) qui lui distend les joues. C est debout, pliée en deux, jambes largement écartées. Ali soupire de plaisir et, soudain, appelle Youssef :
- Prends-la par le cul, Youssef. Ouvre-la-moi. Et toi, salope, demande-le à Youssef.
- Prenez-moi par le cul, Youssef !
- Le vouvoiement c’est bien. Mais n’oublie pas que, pour moi, tu n’es qu’une pute. Alors, sois plus triviale, grosse chienne.
- Enculez-moi, Youssef ! Ouvrez-moi la rondelle !
- Branle-moi avant que je te la mette dans le petit.
- Prends-la par le cul, Youssef. Ouvre-la-moi. Et toi, salope, demande-le à Youssef.
- Prenez-moi par le cul, Youssef !
- Le vouvoiement c’est bien. Mais n’oublie pas que, pour moi, tu n’es qu’une pute. Alors, sois plus triviale, grosse chienne.
- Enculez-moi, Youssef ! Ouvrez-moi la rondelle !
- Branle-moi avant que je te la mette dans le petit.
C prend immédiatement son sexe dans la main pour le masturber, mais sans cesser de sucer Ali. Et moi, je bande de plus en plus. Youssef se place derrière elle, laisse couler un filet de salive entre les fesses de ma femme et en masse son anus. Puis il présente sa bite et, d’un seul coup, s’enfonce en elle. Elle a un léger soubresaut durant l’intromission, mais n’en lâche pas pour autant la queue dans sa bouche. Le sexe qui l’encule rentre maintenant entièrement en elle. Elle soupire, mais la bouche occupée ne peut se plaindre. Soudain Ali demande à Youssef de se retirer. Il la retourne, l’oblige à écarter ses cuisses au-dessus de lui et à poser ses fesses sur son sexe. Puis il appuie sur ses épaules et je vois ma femme se faire enculer pour la deuxième fois. Elle n’a pas le temps de crier, car Youssef l’a prise par le cou pour l’abaisser vers lui et occuper sa bouche. Elle a un recul, dû certainement à l’odeur de cette bite qui vient de sortir de son fondement. Marc, très attentif, s’approche et lui assène une nouvelle claque sur son visage.
- Tu te dois d’obéir aux mâles qui te font l’honneur de te prendre et être toujours prête à les remercier de ce qu’ils te font. Compris, salope ?
- Tu te dois d’obéir aux mâles qui te font l’honneur de te prendre et être toujours prête à les remercier de ce qu’ils te font. Compris, salope ?
-…..
- Compris, salope (nouvelle claque).
- Oui, Maître Marc.
- Pour que tu comprennes bien, quand ils en auront fini avec toi, je vais te punir.
- Compris, salope (nouvelle claque).
- Oui, Maître Marc.
- Pour que tu comprennes bien, quand ils en auront fini avec toi, je vais te punir.
Ali s’enfonce encore plus profondément dans le cul de C et l’attire vers lui. Youssef sort alors de sa bouche et pointe son sexe à l’entrée du vagin de ma femme. D’un seul coup, il l’emplit. Ma femme a deux sexes en elle, pour la première fois. Et un lent va-et-vient commence : quand l’un s’enfonce, l’autre recule. C a les yeux fermés, mais la bouche grande ouverte. Elle râle sous les assauts des deux mâles qui lui emplissent le ventre. Enfin, Ali se raidit et il décharge dans son anus. Youssef poursuit encore quelques secondes, puis, à son tour, il remplit le vagin de ma femme. Marc s’approche alors et prend C par les cheveux. Il amène son visage face au sien puis lentement appuie sur la tête pour amener C à genoux devant lui. Une claque…
- Tes cuisses ouvertes quand je te mets à genoux, salope.
- Tes cuisses ouvertes quand je te mets à genoux, salope.
Une autre claque. Les joues de ma femme sont écarlates.
- Et ta bouche grande ouverte dans l’attente des paroles de ton Maître. Compris, sale pute ?
- Oui, Maître.
- Maintenant, ta punition.
- Et ta bouche grande ouverte dans l’attente des paroles de ton Maître. Compris, sale pute ?
- Oui, Maître.
- Maintenant, ta punition.
Il prend, sur la table, une espèce de martinet aux lanières nombreuses, mais courtes et larges, en cuir noir. Il le présente aux yeux de C qui a un geste de recul en fermant les yeux.
- Tes yeux grand ouverts, chienne.
- Tes yeux grand ouverts, chienne.
Elle obéit. Marc passe derrière elle et assène un premier coup, violent, en travers de son dos. La peau rougit. Il ne s’arrête pas. C geint doucement entre chaque coup, qui, eux la font crier de douleur. C’est une correction qui me semble n’avoir rien de sexuel ; c’est un maître qui corrige son esclave qui a mal fait son travail. Et cela, même si la femme est nue et à genoux.
Quand il a terminé, son dos est entièrement rouge, laissant perler quelques gouttes de sang. Puis il lui tend son manteau. Elle l’enfile. Elle n’a que son porte-jarretelles, ses bas, ses talons et ce manteau qui ne possède aucune fermeture. Elle est donc obligée de le tenir fermé comme elle le peut, mais ne peut empêcher, à chaque pas qu’elle fait, de s’ouvrir jusqu’en haut de ses cuisses. En passant devant moi, il s’arrête et me dit :
- J’emmène ta femme, qui était Lola la pute de Maître Ali et qui est maintenant Lola, mon esclave. Et pour te le prouver : qui es-tu, sale chienne ?
- Je suis Lola votre esclave soumise, Maître Marc.
- Tu as entendu, le cocu ? Demain, j’organise une réception en l’honneur de ma nouvelle esclave. Je veux que tu la voies dans sa nouvelle condition. Et il me fixe un rendez-vous pour le lendemain soir en me donnant une adresse dans un village voisin. Je regarde ma femme s’éloigner, son cul bougeant au rythme de ses pas sur ses hauts talons, et qui ne se retourne pas.
- J’emmène ta femme, qui était Lola la pute de Maître Ali et qui est maintenant Lola, mon esclave. Et pour te le prouver : qui es-tu, sale chienne ?
- Je suis Lola votre esclave soumise, Maître Marc.
- Tu as entendu, le cocu ? Demain, j’organise une réception en l’honneur de ma nouvelle esclave. Je veux que tu la voies dans sa nouvelle condition. Et il me fixe un rendez-vous pour le lendemain soir en me donnant une adresse dans un village voisin. Je regarde ma femme s’éloigner, son cul bougeant au rythme de ses pas sur ses hauts talons, et qui ne se retourne pas.
FIN
Son mari ne l’intéresse plus. Cette fin me laisse sur ma faim. J’aurais aimé suivre l’évolution de ce couple. Le mari se serait il soumis au maître de Lola ou aurait il tout fait pour récupérer C? Cette question demeurera visiblement sans réponse. Dommage…
RépondreSupprimer