lundi 15 juillet 2024

Telle mère telle fille Ch. 01

 Traduction d’un texte de jacobmerriweather.

 *****

Elle est l'esclave de l'ami de son fils.

Marianne fredonne en rangeant la maison. Elle est complètement seule, son mari Jean est parti la veille. Il est comptable pour une entreprise internationale et passe souvent des semaines à l’étranger, la laissant seule avec les enfants.

Mais ceux-ci ont vieilli. Jason vient de commencer sa deuxième année d’université et ne reviendra pas avant Noël. Anne est dans sa dernière année de lycée. Elle vient d’avoir 18 ans il y a quelques semaines et elle passe beaucoup de temps avec ses amis et ses camarades de classe.

Mais cela ne dérange pas Marianne. Elle sait que c’est bien pour sa fille et elle a ses propres obligations. Avoir la maison pour elle toute seule est une véritable aubaine.

Alors qu’elle se déplace de la salle à manger vers la cuisine, elle se voit dans un miroir et s’arrête en souriant. Elle est assez petite, 1m60, mais elle a de bonnes formes. Elle est l’image même de la maman sexy du quartier avec ses cheveux courts et noirs, ses gros seins, un corps avec des courbes parfaites et un joli cul bien large et rond qui bouge d’un côté à l’autre quand elle marche. Elle s’admire, vêtue d’une robe courte rayée qui moule son corps, avec un tablier en lin couleur crème avec des froufrous et des sangles serrées autour de sa taille fine.

- Tu aimes toujours te regarder dans les miroirs hein ? Demande une voix calmement.

Elle sursaute et se tourne vers la baie vitrée ouverte donnant sur le jardin. Elle voit Ben, le meilleur ami de son fils, appuyé sur le cadre.

- Oh Ben, tu m’as fait peur !

Elle soupire en voyant son sourire vicieux, ce sourire devenu si habituel.

Il est grand avec des cheveux ondulés et mal peignés ainsi que des yeux perçants. Il avait été un enfant mignon, mais maintenant, il est un homme beau et musclé.

- Pardon ? Demande Ben.

Marianne baisse les yeux, ses mains trouvant leur position habituelle dans son dos.

- Je suis désolée Monsieur ! Bonjour Monsieur ! Murmure-t-elle alors qu’il se dirige vers elle après avoir fermé la baie vitrée.

- Je ne vous attendais pas aujourd’hui Monsieur, le pensais que vous aviez des cours Monsieur.

- Ne t’occupe pas de mes affaires ! Sourit Ben.

Il était le meilleur ami de son fils depuis des années, depuis qu’ils étaient petits. Et bien que lui et Jason aient été inséparables, Ben avait choisi de continuer ses études en ville plutôt que d’aller à l’université comme Jason.

- Mais comme tu ne m’attendais pas, je me demande si tu suis toujours les ordres ? Voyons si tu es une bonne salope encore aujourd’hui !

Ben attrape ses cheveux et la tire vers la table de la salle à manger en la penchant et en soulevant sa robe pour dévoiler son cul nu.

- Pas de culotte, bien !

Il fouille entre ses jambes pour l’inspecter, frottant ses petites lèvres, cherchant son clitoris.

- Non Monsieur, les sales putes ne sont pas autorisées à porter de culotte, les sales putes doivent être prêtes à se faire baiser quand leur Maître le veut. Lui dit-elle alors qu’il enfonce deux doigts dans sa petite chatte serrée.

Son corps accepte cette intrusion facilement. Son souffle s’accélère avant qu’il ne retire ses doigts. Puis il la retourne pour qu’elle lui fasse face, les doigts en l’air couverte de son jus.

- Et qu’est-ce que les sales putes obtiennent ? Leu demande Ben alors qu’elle ouvre la bouche, prends ses doigts et les lèche avidement tout en rougissant et en détourant les yeux. 

Puis elle récite, tout en faisant des pauses pour bien nettoyer les doigts, les mots qu’il souhaite entendre :

- Les sales putes peuvent avaler le sperme de leur Maître, les sales putes sont punies si elles n’obéissent pas et baisées si elles obéissent. Les sales putes font ce qu’on leur dit.

- Bonne fille ! J’aime bien ce petit tablier. Enlève ta robe et ne mets que ça, c’est tout ce que tu pourras porter pour le reste de la journée. Lui dit ben en tirant une chaise pour s’asseoir.

- Mais… Mais Monsieur, j’attends un colis ! Bégaye-t-elle en évitant son regard.

- C’est encore mieux, je pense que le livreur va se régaler. Rigole le garçon.

Marianne gémit un peu en enlevant son tablier puis sa robe. Puis elle remet son tablier en essayant de fourrer ses gros seins dessous. Elle se retrouve le cul à l’air. Elle reste immobile un bon moment en baissant les yeux. Ben la regarde, sourit et lui dit :

- Bonne fille ! Maintenant prépare-moi un petit déjeuner, j’ai faim !

La mère de famille se précipite et se dépêche de sortir du bacon et des œufs. Puis elle fait griller des tranches de pain. Il lui faut quinze minutes avant de pouvoir déposer devant le garçon son petit-déjeuner avec du café et du jus d’orange.

- C’est parfait, maintenant tu peux avoir ta récompense. Dit Ben en tirant sa chaise vers la table.

Marianne hoche la tête et se mord les lèvres.

- Oui Monsieur ! Murmure-t-elle en se mettant à genoux et en rampant sous la table.

Ben sent qu’elle ouvre son pantalon et sort sa grosse bite dure comme de la pierre avec sa main. Elle embrasse et lèche le membre alors que sa respiration devient plus lourde et plus rapide.

- Mets ma bite dans ta gorge, stupide jouet sexuel. Dit Ben en mangeant.

Il grogne légèrement en sentant la bouche chaude et humide prendre son sexe en entier. Il l’écoute s’étouffer alors que sa tête rebondit de haut en bas sur sa queue.

- Que dis-tu salope ? Demande-t-il.

Elle gémit.

- Merci pour votre bite, Monsieur !

Ce sont les mots qu’elle veut dire, mais avec la bite dans sa bouche, ce ne sont que des gargouillis et des morceaux de mots.

- Pas de quoi, salope ! Sourit Ben en se penchant en arrière pour boire son café alors qu’elle continue à s’activer sur sa bite.

- Prête pour ton petit-déjeuner ? Demande le garçon.

Elle gémit encore en sortant le membre de sa bouche juste assez longtemps pour chuchoter avant de le reprendre :

- Oui Monsieur !

Elle caresse la queue d’une main tout en se touchant d’une autre pendant qu’elle le suce.

- C’est ça, oui…. Grogne-t-il.

Il saisit sa tête et pousse violemment sa bite dans sa gorge. Elle étouffe et bave pendant qu’il crache son sperme chaud dans son ventre. Il se retire en laissant une grosse traînée de bave et de foutre mélangés.

Marianne tombe en arrière et commence à sangloter à cause de cette violence. Même si elle est dégradée ainsi et qu’elle pleure de sa déchéance, elle ne peut pas s’empêcher de jouer avec son sexe.

- Enlève ta main de ta chatte, tu n’as pas encore la permission de jouir ! Crie Ben en repoussant sa chaise.

Il la regarde assise sur son cul, les jambes écartées, des larmes coulant sur ses joues pendant qu’elle se masturbe. 

- S’il vous plaît Monsieur ! S’il vous plaît ! J’ai été une bonne pute n’est-ce pas ? Supplie-t-elle.

- Pas du tout ! Répond-il.

Il saisit ses cheveux et la tire de dessous la table. Puis il la gifle et lui crache dessus tandis qu’elle renifle et sanglote doucement.

- Mais Monsieur…. Dit-elle timidement en sachant qu’il ne faut pas essuyer les crachats.

- S’il vous plaît Monsieur, laissez-moi jouir…

- Non, tu dois être punie d’abord ! Dit-il.

Elle se mord la lèvre en secouant la tête d’un côté à l’autre.

- Mais j’ai été une bonne pute… proteste-t-elle.

Il la soulève et la tire sur ses genoux, le cul en l’air. Il la caresse et la pelote alors qu’elle commence à gémir doucement.

- Les bonnes putes doivent être punies tous les jours, n’est-ce pas ? Demande Ben.

Elle acquiesce et récite :

- Les bonnes putes ont besoin de savoir où est leur place.

Elle prend une profonde inspiration et lorsqu’elle expire la fessée commence. Il la claque brutalement jusqu’à ce que son cul soit rouge et brûlant. Une petite flaque se forme à cause de ses larmes.

- Qu’est-ce que tu es ? Demande-t-il en continuant de la fesser violemment.

- Une pute Monsieur ! Votre Pute ! Murmure-t-elle en serrant les dents et en évitant de lutter.

- A qui appartiens-tu ?

- A vous Monsieur !

- Et de qui est-ce la faute ?

- De moi Monsieur ! Répond-elle comme elle l’a fait de nombreuses fois auparavant.

Elle détourne les yeux, des larmes de honte coulant sur son visage alors qu’il finit de gifler son cul et la pousse à genoux. Puis il se lève et va au réfrigérateur. Il se remplit un verre d’eau froide et le sirote lentement en la regardant se calmer et essuyer ses larmes.

- Maintenant je vais te donner le choix et je ne veux même pas que tu me dises ta réponse. Si tu veux que je te baise comme une pute bon marché et que je jouisse en toi, alors lève-toi et penche-toi sur la table pour me donner ta chatte. Mais si tu préfères que je parte tout de suite, tout ce que tu as à faire, c’est de te lever et de monter dans ta chambre à l’étage. Quand tu décideras de redescendre, je te promets que je serai parti.

Marianne le regarde, les lèvres entrouvertes et les yeux écarquillées. Elle ne sait pas s’il s’agit d’un piège. Mais plus elle y pense et plus elle voit qu’il la regarde avec dédain lui font penser que ça n’en est pas un.

Elle peut monter dans sa chambre et il la laissera tranquille pour la journée. Et qui sait, peut-être que ce choix lui sera encore proposé. Peut-être qu’un jour, il va la libérer et elle ne sera jamais forcée de se soumettre aux abus et humiliations auxquels elle fait face jour après jour.

Lentement elle se relève, pousse la chaise hors du chemin et se penche sur la table de la salle à manger, présentant sa petite croupe, écartant légèrement les jambes, les lèvres de sa chatte luisant de son jus. Elle respire rapidement en laissant échapper un petit sanglot.

- Tu aimes être ma pute, n’est-ce pas ? Dit Ben en riant et en la regardant trembler et sangloter doucement.

- Non, non, je ne veux pas l’être ! Je ne veux pas être une putain ! Gémit-elle en fermant les yeux et en appuyant son visage contre le bois dur de la table.

- Alors pourquoi es-tu encore là ? Demande Ben tranquillement.

Elle respire vite, sanglote et gémit alors qu’il s’approche d’elle, saisissant une fesse rouge et poussant sa bite au fond de sa chatte humide.

- Je veux qu’on me baise ! Crache-t-elle en levant la tête, des postillons éclaboussant la table tandis que Ben accélère le rythme.

- C’est ça ? Juste ça ? Grogne le garçon.

Il pétrit son cul et serre ses fesses pour la faire rebondir d’avant en arrière sur sa bite. Son pouce s’égare lentement sur son trou du cul. Il laisse tomber un gros crachat qu’il étale sur son petit trou avec son pouce avant de le pousser à l’intérieur.

- Oh mon Dieu ! Oui ! Oh putain ! Merci Monsieur !

Marianne gémit et souffle comme un animal en chaleur.

- S’il vous plaît Monsieur ! S’il vous plaît, est-ce que je peux jouir ? Demande-t-elle en tournant la tête pour le regarder la baiser.

- Tu connais les règles ! Lui dit Ben en regardant son visage plein de plaisir et encore plus rouge.

- Mais… Mais… Mais Monsieur… S’il vous plaît ! Supplie-t-elle en fermant les yeux.

- Quelle est la règle ? Demande Ben.

Elle se mord la lèvre en essayant de ne pas jouir.

- Les sales putes ne peuvent jouir que lorsqu’elles se font enculer. Gémit-elle.

Ben sort sa bite de sa chatte.

- Non ! S’il vous plaît, continuez de me baiser ! Supplie-t-elle.

Ben pose son gland contre son petit trou du cul serré.

- Tu la veux dans ton cul ?

- Non ! Dit-elle en sanglotant et en secouant la tête.

- Tu es vraiment sûre ?

Ben lui donne une claque sur la fesse et ajoute :

- Pourtant, tu n’es qu’une sale pute qui a envie de jouir, non ?

- Non ! 

Marianne sanglote puis finalement elle craque.

- Oui, oui, je suis une sale pute ! Juste une putain stupide sans valeur qui a besoin de jouir ! Baisez-moi comme vous voulez, je m’en fous ! Mais laissez-moi jouir !

Ben saisit son cul et écarte ses fesses, puis il force sa bite dans son petit trou. Elle grogne et gémit alors qu’il l’empale lentement avec son membre avant de bouger rapidement d’avant en arrière.

- Oh putain ! Ohhhhhh ! Grogne t-elle en couinant et gémissant, sa main droite trouvant le chemin vers sa chatte et son clitoris, deux doigts entrant profondément à l’intérieur.

Elle gémit et tourne la tête vers Ben.

- Oh mon Dieu ! S’il vous plaît Monsieur ! S’il vous plaît, laissez-moi jouir !

- D’accord, vas-y !

Elle continue de gémir, l’orgasme se construisant lentement jusqu’à finir par exploser.

- OH MON DIEU ! Crie-t-elle.

Elle tremble alors que sa chatte expulse son jus. Il gicle et ruisselle le long de ses jambes pour former une flaque sur le sol. 

- Tu es dégoûtante, salope ! Rigole Ben .

Elle gémit et se mord la lèvre.

- Oui je le suis ! Je suis une salope stupide et dégoûtant ! Je suis une putain sans valeur !

Elle pleure alors que l’orgasme continue de la traverser par vagues. Ben rit alors qu’elle se tord, les doigts dans sa chatte, gémissant et sanglotant. Bientôt il ne peut plus tenir, alors il la saisit à la gorge et se vide dans son cul.

- Merci ! Merci Monsieur ! Dit-elle en sentant le foutre inonder son cul.

Ben la repousse et s’effondre sur une des chaises de la salle à manger. Marianne reste un moment dans sa position pendant que Ben reprend des forces. Puis elle se laisse lentement tomber à genoux en le regardant. Son tablier est froissé, le haut trempé de larmes et de maquillage, le bas trempé de son jus. Elle s’assoit sur le sol pendant un moment puis elle rampe vers Ben et pose sa tête sur ses genoux en le regardant.

- Suis-je une bonne pute pour vous ? Chuchote-t-elle, les larmes aux yeux.

Ben caresse ses cheveux ébouriffés et lui répond en souriant :

- Tu es acceptable.

Elle hoche la tête, attrape sa bite molle et commence à le lécher, nettoyant son jus et le sperme avant de se diriger vers ses couilles. 

- Bonne fille ! Soupire Ben.

Il continue de caresser ses cheveux et elle sourit en finissante de le lécher. Soudain, la sonnette retentit. Ben sourit malicieusement.

- Juste à temps, hein ? 

Il rit alors que Marianne affiche un visage apeuré, les yeux écarquillés et la mâchoire tombante. Elle secoue la tête.

- S’il vous plaît Monsieur, s’il vous plaît ne me faites pas ouvrir la porte comme ça ! Supplie-t-elle.

Mais Ben se contente de secouer la tête.

- Tais-toi salope et vas répondre à cette putain de porte.

Il sourit en pointant la porte d’entrée et en claquant des doigts.

 *****

Max travaille pour UPS depuis un peu plus de cinq ans. Il trouve la journée agréable alors qu’il se dirige vers la maison pour sa dernière livraison avant le déjeuner. C’est un homme noir d’âge moyen, chauve et bien bâti, avec un peu de bedaine. Il est assez beau. Il sort de son camion et marche sur le trottoir vers une grande et belle maison avec une pelouse bien entretenue, des vieux chênes, des arbustes bien taillés et un porche ombragé.

Il y a une voiture dans l’allée, mais quand il frappe, personne ne répond immédiatement. Il attend un peu et il est sur le point de remplir un bon de passage quand la porte s’ouvre légèrement. Une belle femme, dans la fin de la trentaine, pointe sa tête en souriant nerveusement. Elle ouvre un peu plus.

Elle est vraiment belle à voir. Petite avec de grands yeux ronds et des cheveux noirs et courts. Son maquillage est un peu défait, mais elle est jolie. Quand les yeux de Max se baissent, il découvre qu’elle ne porte qu’un petit tablier à froufrous qui est à peine capable de contenir ses seins, leurs rondeurs bien visibles sur les côtés.

De la façon dont elle se tient derrière la porte légèrement ouverte, Max ne peut dire si elle porte autre chose, mais il se doute que non.

- Marianne Clemons ? Demande finalement Max après s’être raclé la gorge maladroitement.

La femme acquiesce.

- Signez ici s’il vous plaît ! Lui dit-il.

Elle sourit et tend la main vers le stylet en plastique qu’il lui tend. Puis elle signe sur l’écran électronique dans sa main.

- Très bien ! Voilà ! Dit-il en lui tendant une boite.

- Merci ! Répond-elle doucement en détournant le regard.

Max sourit.

- De rien ! Passez une bonne journée ! Dit-il en la regardant de haut en bas.

Mais avant qu’il ne se détourne et s’en aille, elle ouvre la bouche, comme pour dire quelque chose, un gémissement silencieux s’échappant de ses lèvres tout en le fixant. Max ne bouge pas, perplexe. Il la regarde alors qu’elle déglutit, détourne les yeux, se met à genoux, souriant légèrement avant d’ouvrir la bouche et sortir la langue.

La mâchoire de Max se décroche presque alors qu’il la regarde faire, ses yeux suppliant presque de lui enfoncer sa bite dans la gorge.

- Hein ? Grogne-t-il.

Mais elle ne bouge pas. Pendant un moment, Max se perd dans ses pensées. Il pense à sa femme qu’il aime beaucoup, à leur mariage et que pendant 15 ans d’union il ne l’a jamais trompé.

Mais ce n’est pas vraiment de la tromperie non ? Il n’a rien demandé, il n’a pas flirté avec la cliente. Marianne est agenouillée devant lui et elle n’est rien d’autre qu’un trou. Tout ce qu’il a à faire c’est de mettre sa bite dedans et de baiser jusqu’à ce qu’il éjacule. Faut-il se poser des questions ?

Max range son écran et dézippe son pantalon. Son sexe est déjà bien dur et raide lorsqu’il le sort. Il regarde autour de lui, mais il n’y a personne dans les environs. De toute façon, le porche est un peu en retrait et il y a beaucoup d’arbustes qui bloque la vue depuis la rue.

- Putain ! Souffle Max en attrapant la tête de Marianne et en forçant sa bite dans sa bouche.

Elle ne se débat pas, ni ne recule. Elle reste sur ses genoux à le regarder, ouvrant sa gorge pour accueillir la grosse bite.

- Oh putain ! Grogne-t-il en baisant son visage.

Après un moment, elle commence à étouffer et avoir des hauts le cœur, mais Max n’y prête aucune attention. Il ne pense plus à elle comme à une personne. Elle est une pute, une salope. c’est très simple pour Max, il ne voit en elle qu’un trou à baiser chaud et doux.

- C’est ça, c’est ça ! Gémit-il en saisissant sa tête avec ses gros doigts épais et en forçant sa bite tout au fond de sa gorge.

Ses couilles tapotent le menton de la femme alors qu’il baise son visage. Max se penche et regarde dans le dos de Marianne. Il a bien la confirmation qu’elle ne porte rien sous le tablier, il voit son cul nu qui dépasse.

- Putain de merde ! Gémit-il alors que ses couilles se vident et qu’il asperge la gorge de la femme avec son foutre.

- Mmmphhhh ! Mmmmppphhh ! 

Marianne s’étouffe alors que le sperme coule dans sa gorge. Elle a un réflexe nauséeux et elle tousse. Le foutre jaillit de ses lèvres et coule sur son menton alors qu’elle fait son possible pour tout avaler.

Mais elle se ressaisit, avale tout le sperme et nd sa respiration alors qu’il sort sa bite et la range dans son pantalon.

- Putain merci ! Dit Max en se retournant et en partant.

Marianne se lève et ferme la porte. Elle récupère le sperme sur son menton et ses seins et lèche ses doigts. Elle trouve le goût sucré salé. Puis elle se tourne vers Ben qui est assis et lui sourit.

- J’ai été une bonne putain pour vous ? Chuchote-t-elle.

Ben hoche la tête.

- Oui, mais tu as gaspillé un peu de mon sperme.

Il pointe le doigt vers une tache sur le parquet près de la porte, là où elle s’est agenouillée. Ce sont quelques amas de sperme.

- C’est sorti de ton cul pendant que tu étouffais. Nettoie tes saloperies ! Ordonne-t-il.

Elle hoche la tête, tombe à genoux et tend la main pour essuyer. 

- Pas avec les mains ! Dit-il.

Elle retire sa main et le regarde en rougissant. Il rit.

- Et je veux que tu me regardes dans les yeux ! Ajoute-t-il en sortant son portable pour faire une vidéo

- Oui Monsieur !

Elle se baisse pour avoir le visage près du sol et elle le regarde tout en léchant les amas gluants de sperme. 

 *****

- Monsieur, s’il vous plaît… Grogne Marianne, épuisée, tandis qu’il l’attache sur une chaise en bois.

Elle est assise à califourchon de sorte que ses seins sont contre le dossier de la chaise, les jambes écartées et attachées, les bras liés derrière son dos. Ils sont dans sa chambre et nous sommes vendredi soir. Des semaines se sont écoulées depuis la rencontre avec le livreur UPS.

- S’il vous plaît Monsieur, je ne peux plus attendre… Supplie-t-elle.

Elle est défaite, son maquillage détruit, ses cheveux ébouriffés, son corps couvert de zébrures et de bleus, de sueur, de crachats et de sperme.

Mais Ben ne lui répond pas, ignorant ses supplications alors qu’il continue à bien l’attacher. Finalement elle est à bout et elle se met à sangloter.

- S’il vous plaît Monsieur, s’il vous plaît, laissez-moi jouir ? Pourquoi ne me laissez-vous pas jouir ? Pourquoi ?

Ben se tourne finalement vers elle. Il caresse son visage et essuie ses larmes. Elle sourit et baisse les yeux alors qu’il prend de l’élan et la gifle durement sur la joue gauche.

Elle sursaute. Ses yeux se ferment alors qu’elle recommence à pleurer.  Mais dès qu’elle ouvre la bouche pour se plaindre, Ben fourre un bâillon-boule dans sa bouche. Il est si gros que ses lèvres sont étirées. Maintenant, seuls les bruits de sa respiration s’échappant de ses narines peuvent être entendus.

Alors qu’elle sanglote encore silencieusement, le garçon lui enfonce un gode vibrant à télécommande dans sa chatte. Ça lui fait du bien d’avoir quelque chose en elle et elle se calme un peu.

Ben a passé la plus grande partie de la journée à la torturer, la baiser, la maltraiter, la baiser encore, et il ne lui a pas permis de jouir une seule fois. Marianne essaie de ne pas penser à quel point elle a besoin d’avoir un orgasme. Elle essaie de se concentrer sur autre chose, cherchant dans la grande chambre quelque chose pour la distraire. c’est alors que ses yeux tombent sur l’horloge au mur.

- Mmmmm… Mmmmm… Mmmmm…

Elle s’agite frénétiquement et se tortille dans ses liens. Mais ben a fait un excellent travail, elle ne peut aller nulle part. Le garçon la regarde se débattre et il lui sourit en ôtant la boule de sa bouche.

- Ben, il est quinze heures. Anne va bientôt revenir. Dit-elle, affolée.

Les lèvres de Ben se retroussent dans un ricanement moqueur. Il prend le portable de la mère de famille sur la table de chevet et il dit :

- Je le sais. Dis-lui que tu es avec des amis pour la soirée. Tu es déjà partie.

Avant que Marianne ait pu rétorquer, il met le téléphone à son oreille. Ca sonne.

- Salut maman, je ne suis plus très loin de la maison. Que veux-tu ?

C’est la voix de sa fille. Marianne prend une profonde inspiration et dit de sa voix la plus calme :

- Coucou chérie. Je voulais juste te dire que je sors avec des amis pour la soirée. 

- D’accord, je te vois quand je rentre ? 

- Non, ils sont déjà passés me chercher. 

- D’accord, mais ne reste pas dehors trop tard, ou tu auras des ennuis, jeune femme. La taquine Anne en riant.

Le visage de Marianne devient tout rouge et elle répond :

- Ha ha ha, très drôle ! Bonne soirée ma puce !

- Bonne soirée maman ! Répond Anne avant de raccrocher.

- Qu’est-ce que ça veut dire ? Commence Marianne.

Mais Ben remet la boule dans sa bouche et l’attache fermement.

- Tais-toi, salope ! Dit-il.

Elle se rappelle  alors qu’elle n’est plus qu’une pute aux mains du garçon. Elle fixe le sol alors que la honte l’envahit une fois de plus. Quand elle relève les yeux, Ben est en train de sortir un ordinateur portable de son sac. Il le branche, le pose sur le lit en face d’elle et le démarre. Soudain le téléphone du garçon se met à sonner.

- Oh, regarde qui c’est ! Sourit Ben en lui montrant l’écran.

Le numéro de sa fille apparaît sur l’écran du portable de son tourmenteur.

- Mmmmm…

Marianne se débat et se tortille devant lui.

- silence salope ! Ordonne-t-il en mettant le haut-parleur du téléphone.

- Hé ! Répond-il nonchalamment.

- Hé ! Maman vient de me dire qu’elle est sortie pour toute la soirée. Tu veux passer ? Demande Anne d’une voix douce.

- Bien sûr ! J’arrive dans une demi-heure. Répond Ben en regardant les yeux affolés de Marianne.

- Ok cool ! Tu ne veux pas me dire de quoi tu veux me parler ? Demande Anne nerveusement.

- Non, mais crois-moi, c’est extrêmement important ! Dit-il avant de raccrocher.

- Bon, je ferais mieux de finir. Ne t’inquiète pas, tu ne resteras pas attachée toute la nuit. Dit ben à Marianne.

Il attrape le plus gros plug qu’elle possède et l’enduit de lubrifiant.

- Juste pour être clair. Si tu te débats trop, tu risques de tomber et personne ne sera là pour te relever. Tu peux te blesser gravement. Donc, si j’étais toi, je resterai immobile et je ne ferais rien de stupide. 

Il lui frappe le cul et enfonce lentement le plug dans son petit trou.

- Ah oui aussi ! Dès que le gode se mettra en marche, tu as l’autorisation de jouir autant que tu le souhaites.

Il rit en lui donnant une autre claque sur le cul et il agite la télécommande du gode devant les yeux. Puis il attrape ses affaires et s’en va. 

Marianne essaie de se ressaisir et de comprendre ce qui se passe. Quand elle porte les yeux sur l’écran de l’ordinateur, elle réalise qu’elle voit la chambre de sa fille.

Elle regarde attentivement avant d’entendre la porte d’entrée s’ouvrir et se fermer au loin. Puis elle entend les pas de sa fille montant l’escalier. Quand elle se tourne vers l’écran, elle voit Anne entrer dans sa chambre et poser son sac.

- Mmmmm ! Gémit-elle en se rendant compte que l’image sur l’écran et une retransmission en directe de la chambre de sa fille. 

Des gouttes de sueur se forment sur son front. Anne a des ennuis. Marianne se débat pour essayer de se détacher quand la chaise bascule d’avant en arrière. Elle se rattrape de justesse et retrouve son équilibre avant de tomber au sol.

Des larmes coulent sur son visage alors que sa fille prend son téléphone pour répondre à un appel.

- Hé, tu es ici ? Demande-t-elle.

Puis elle pose son téléphone et sort du champ de la caméra.

A suivre…

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