samedi 13 juillet 2024

Candaulisme quand tu nous tiens.

 Récit de Vitalac (2008)

*****

Couple la quarantaine, vingt ans de vie commune, sincère et fidèle l’un envers l’autre, une vie heureuse, deux beaux enfants, que du bonheur…

Sur le plan social, RAS, cadre moyen, belle voiture, belle maison. Sur le plan sexuel, complicité et épanouissement, après aussi longtemps passés l’un à côté de l’autre (voir sur l’autre, ou sous l’autre cela dépend…) on finit par bien se connaître. Mais nous connaissons nous, vraiment nous-même ? Savons-nous réellement qui nous sommes, de quoi nous sommes capable ?

C’est face à certains événements extraordinaires que quelques fois, nous apprenons à nous découvrir, et cela pour notre plus grand plaisir…

C’est ainsi bien souvent, que pour pimenter nos rapports, nous avons nos propres jeux, nos petits fantasmes. Dernièrement, avec ma femme, c’est le petit câlin dans la voiture, rien de bien original me direz-vous, mais cela nous émoustille toujours… Cela nous rappelle nos premiers câlins furtifs.

Après une petite soirée sympa, restaurant et cinéma, j’ai convaincu ma femme de faire un petit tour en voiture avant de rentrer chez nous. Sachant très bien où je voulais en venir, elle accepta avec quelques réserves :

- C’est moi qui choisit l’endroit… On va faire un petit tour, entre l’hippodrome et le petit bois. Il parait qu’il y a des gens qui font ça, le soir, par là bas… 

- Eh bien, vous m’en direz tant, madame s’émoustille à savoir qu’il y a des gens qui font des cochonneries dans leur voiture.

Ma femme se reprit :

- Mais non, juste comme ça pour voir, il parait qu’on y voit de tout, prostituée, échangiste je t’en passe  et des meilleurs...

Finalement, ça m’arrange bien, il y a déjà quelques temps que j’y pense.

- Ce que femme veut, Dieu le veut, en route pour l’hippodrome !

Après quelques minutes de route nous voila en ce lieu de perversion : Quelques voitures garées aux alentours, un type avec son chien. Je pense : "Une bonne excuse le chien, il doit venir tous les soirs se rincer l’œil…". On aperçoit un peu plus loin deux filles, sûrement des prostituées.

Je ralentis, ma femme semble déçue :

- On ne voit rien !!

- On s’arrête et on marche un peu ?

- Si tu veux...

Je gare la voiture dans un renfoncement, et nous voila dehors à jouer les voyeurs comme deux adolescents, curieux et excités par la vie. Nous remarquons rapidement un attroupement près d’une voiture. Je regarde ma femme :

- On va voir ?

- Oui, mais tu restes près de moi, je ne suis pas rassurée.

- Ok, t’inquiète pas, je suis là...

Nous nous approchons doucement, on se tient la main, les types autour du véhicule ne nous remarquent même pas, absorbés par le spectacle… Et quel spectacle : une femme s’exhibe complètement nue, elle est en train de se faire lécher le minou…

Le plafonnier du véhicule est assez puissant, on se croirait devant un film porno. La fille à l’intérieur râle de plus belle, je vois au moins deux types qui se branlent le long de la voiture.

Ma femme a les yeux scotchés, elle regarde cette femme qui s’envoie en l’air devant tout le monde, et qui semble y prendre un sacré plaisir. Soudain un individu s’approche de nous, il regarde ma femme et lui dit :

- Ça te tente toi aussi, une petite gâterie ?

Ma femme se serrant contre moi lui rétorque :

- Ça va pas non !! Dégagez !

Le type insiste :

- Allez, fais-moi une petite pipe alors…

Là c’est moi qui intervient :

- Et mon poing sur ta gueule, ça te tente ??

Déjà d’autres types nous regardent, un autre se rapproche, puis un autre :

- Hé, elle a l’air bonne ta meuf !

- Hé, fais-nous voir ton cul !

La situation se dégradant, nous faisons volte-face, et partîons rapidement afin de nous abriter dans notre voiture. Arrivés à l’intérieur, essoufflés mais rassurés, nous nous aperçevons que personne ne nous a suivi. Ma femme toute rouge me lance :

- Ouf, ils m’ont fait une sacrée frayeur ! j’ai le cœur qui bat à 100 à l’heure !

Rassuré d’être de retour en toute sécurité dans la voiture, j’en profite pour charrier ma femme :

- T’as le cœur qui bat à 100 à l’heure, mais ça t'a vachement excitée ! Hein, petite cochonne ? Je parie que ta culotte est toute trempée ??

- J’ai pas mis de culotte…

Ça y est, ma femme se prend au jeu.

- C’est vrai que t’as pas mis de culotte ?

Je plonge ma main dans son entrecuisse pour vérifier, elle écarte les jambes pour me faciliter l’accès. Putain c’est vrai, elle n’a pas de culotte, et elle est sacrément mouillée. Je bande comme un Dieu, si possible que les dieux puissent bander . Je plonge sur elle et l’embrasse à pleine bouche. Brusquement ma femme me repousse, elle a envie de jouer, de m’exciter.

- T’as entendu ce que les types disaient, que je suis bonne, ils voulaient que je leur montre mon cul. Ils auraient sûrement aimés savoir que je n’ais pas de culotte. J’aurais peut-être dû accepter de les sucer, ils m’auraient baisée a tour de rôle...

Ah la salope, elle va me rendre fou. Je défais mon pantalon jusqu’au genou.

- Tu vas voir ce que je vais te mettre ,!

J’attrape sa tête pour qu’elle me suce. Elle se met à genou de coté, sur son siège, le cul vers la porte et la bouche sur ma bite. Ah, , elle sait y faire, si elle continue à ce rythme là, je vais tout balancer. Je remonte sa robe au dessus de ses hanches et j’essaye de lui tripoter le cul pendant cette superbe fellation. Brusquement je la retire :

- Arrête, il y a un type qui nous regarde !

En effet un homme, tentant de se faire des plus discret, fixe le cul de ma femme. Celle-ci garde sa position, à quatre pattes, le cul en l’air. Elle tourne la tête, regarde l’individu, puis me regarde à nouveau.

- Laisse-le mater, on continue ?

Surpris de la réaction de ma femme, mais trop excité par la situation, je continue le jeu :

- Tu aimes ça qu’il te reluque le cul ?

- Oui, j’aime ça… 

Elle replonge la tête et continue sa fellation.

Après quelques minutes de ce doux plaisir, nous sommes entourés à notre tour de plusieurs énergumènes. Lorsque ma femme s’aperçoit qu’elle est l’actrice principale du spectacle, elle retire complètement sa robe et son chemisier, elle passe à l’arrière du véhicule, allume le plafonnier, écarte les cuisses et me dit :

- Viens me bouffer la chatte…

Je m’exécute tant bien que mal. Nous avons une grande berline mais quand même il faut être souple. Je réussis à retirer mon pantalon et je suis maintenant en travers de la banquette arrière, ma langue titillant le clito de ma bien aimée. Ses jambes sont grandes écartées, ses bottes touchent le plafond de la voiture. Elle a gardé ses bottes ? Elle ne va pas tarder a jouir. Nous offrons à notre tour le même spectacle que le couple que nous avions épié dans leur voiture.

Mais soudain tout bascule, je me sens attiré en dehors du véhicule,puis je suis rapidement plaqué au sol par deux ou trois types. Je ne peux plus bouger. Mais quel con, mais quel con, on a même pas fermé les portes…

Ma femme tente de reprendre ses esprits, elle était à deux doigts de l’orgasme. Elle me regarde les yeux hagards, tandis qu’un homme rentre dans la voiture, la queue a la main. Il plonge dans l’habitacle, et la pénètre d’une seule traite. Ma femme lâche un râlement, un de ses "aaahhhhh !!" qui en dit long.

L’homme la laboure sans aucune retenue. la voiture est secouée. J’entends ma femme, elle ne crie pas, ne proteste pas, elle prend son pied…

Mais quelle drôle de sensation m’envahit ? Quel est ce mélange de jalousie, d’impuissance et d’excitation, est-ce que je découvre les joies du candaulisme ? Ce plaisir tout simple qui consiste à regarder son partenaire avoir une relation sexuelle avec une autre personne et y prendre soit même autant du plaisir….

Je n’essaye même plus de me débattre, je regarde la scène. Les types qui me plaquent au sol l’ont bien senti, et ils finissent par me lâcher afin de pouvoir profiter de ma femme. Après avoir baisé mon épouse sur la banquette arrière de notre voiture, le laboureur a sorti ma bien-aimée et l'a plaquée sur le capot, conviant ses acolytes à se rapprocher.

Des mains caressent son corps, pétrissent ses seins, fouillent son anatomie. Ma femme gémit, elle se laisse aller… Elle est maintenant à quatre pattes et les types la prennent à tour de rôle. Ma femme est méconnaissable, elle remue, allant à la rencontre de ses amants, elle les injure, les traite de salaud. Je la regarde, jouissant du tableau en l’écoutant jouir des assauts de ses assaillants. Maintenant, elle se lâche, elle veut en profiter à fond :

- Allez-y, plus fort, baisez-moi… j’en veux encore, encore… ahhh !! encore…

- Tu aimes ça salope, te faire baiser devant ton mari ! Regarde-le, lui aussi il semble apprécier, il bande comme un âne… C’est sûr, les ânes bandent…

Mon épouse me regarde, et peut juger de la véracité de ses dires, je bande… 

- Oui j’aime ça et j’en veux encore… Baisez- moi...

Tandis que l’un des types se place sous elle, je la vois maintenant à moins d’un mètre, face a moi, à califourchon sur cette queue, elle remue, se secoue. Un deuxième type se place derrière elle, il essaye de la sodomiser…

Ma femme ne dit plus rien, elle se mord les lèvres, me regarde les yeux grand ouverts, c’est sa première double pénétration. Je l’ai déjà sodomisée, et elle avait apprécié, mais là c’est différent, ses deux orifices vont être pénétrés en même temps.

Son visage se déforme, elle grimace, puis elle ouvre la bouche comme pour dire un grand AHHH, mais aucun son, j’entends seulement le type qui la prend par derrière s’exclamer :

- Ça y est !!  je suis dedans… Alors la bourgeoise, ça te fait quoi de prendre une bite dans le cul ??

Je le vois remuer, il rentre et il sort doucement, puis de plus en plus vite/ Ma femme pousse des "han ! han !!" à chaque coup de queue. Ses yeux sont révulsés, un filet de bave coule au bord de sa bouche.
Maintenant c’est elle qui remue s’empalant à chaque retour, sur ces deux queues.

- Ah la salope, elle prend son pied !

- Oui, oui, enculez-moi ! baisez-moi ! je jouiiiis...

Moi aussi je viens de balancer la purée. Les types jouissent eux aussi. Nous nous retrouvons rapidement seuls, nos partenaires d’un soir se sont éclipsés aussi vite qu’ils sont arrivés.

Après avoir repris nos esprits, nous nous rhabillons, nous regagnons notre voiture. Je ferme les portes et sans un mot, nous regagnons notre domicile. Et là dans cette odeur acre de sperme et de sueur, je fais l’amour à ma femme comme un fou. Une nouvelle vie sexuelle s’offre à nous, de nouveaux horizons...
Ma femme a découvert en une seule nuit ses penchants pour le voyeurisme, l’exhibitionnisme et les rapports avec plusieurs hommes en même temps. 

Moi, j'ai découvert le candaulisme…

FIN

2 commentaires:

  1. mon dieu le plaisir de vous lire me rememore une scene identique sur A8 anribes , devant lui 13 partenaires

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  2. lu avec plaisir une histoire bien menée et excitante. On s'y croirait

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