Traduction par Coulybaca en 2009 d'un texte de Arc Light : Black Boss
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Un patron noir s'empare de la femme d'un de ses employés.
Tout d'abord, laissez-moi me présenter : je m'appelle Michael Washington, l'Afro-Américain le plus chanceux au sud du delta du Mississippi.
Il y a trois mois, j'ai été le plus gros gagnant de l'histoire de la loterie. Avant ce jour je travaillais dans une équipe de nuit de la "Panhandle" une fabrique de bateaux. C'était une petite entreprise employant une soixantaine d'ouvriers sur lesquels 51 étaient des trous du cul arrogants de blancs. La discrimination raciale était totale, absolue. Les boulots les plus inhumains, les plus fatigants, les plus dégradants étaient assignés aux 9 noirs de l'effectif. Ces sales trous du cul de blancs méprisants adoraient nous humilier moi et mes frères noirs en chaque occasion.
Comme le taux de chômage de notre contrée rurale excédait les 40 %, on ne pouvait trouver de boulot dans le coin, ni même dans le généreux état du Mississipi, les 60 $ qu'ils accordaient comme indemnité de chômage pour 13 semaines ne s'avérait pas une véritable solution.
Quoi qu'il en soit, une fois que j'eus reçu mon premier chèque de la loterie, je visitai attentivement les bureaux crasseux des propriétaires de notre usine. Un quart d'heure plus tard j'avais formé des plans précis concernant mon avenir. Le vieux bâtard blanc qui possédait l'entreprise fut ravi lorsque je lui exposais mes plans concernant l'usine, une usine propriété d'un arrogant bâtard noir !
Les mois suivants, je réussis à signer des contrats d'état portant sur 5.000.000 $, plus particulièrement basé sur la course.
Comme les profits devaient rentrer dans l'usine, je fis une seul et simple proposition aux employés blancs : s'ils voulaient continuer à travailler dans mon usine ils devaient accepter une réduction de salaire de 20 %, cette somme serait redistribuée entre mes ex-collègues noirs.
Bien que cela leur fasse une terrible perte de salaire, je savais qu'ils n'avaient pas le choix.
La seconde partie de mon réajustement englobait la subjugation et la soumission des plus jolies femmes des personnels les plus jeunes de l'usine. En soumettant ces jeunes femmes aussi innocentes que sans défense, je voulais étendre ma domination sur ces bâtards de blancs qui avaient réglé ma vie pendant 26 années. Tandis que les maris peinaient sous l'insupportable chaleur du Mississipi, je commençai mes visites aux domiciles des fidèles épouses de mes employés.
Les trois premières visites à leurs domiciles, des mobile-homes, se passèrent sans aucun ennui. Pour conquérir ces salopes blanches, il suffisait de les informer que faute de se déshabiller et de me tailler une pipe, leurs maris recevraient leur dernière paye le vendredi suivant. Comme elles imploraient pitié pour que j'épargne la misérable vie de leurs époux, je posais tranquillement mes mains sur leurs têtes et pous-sais leurs visages apeurés vers ma bite noire dénudée. Une fois qu'elles avaient avalé ma semence je leur donnais le programme de mes prochaines visites. Je les prévenais que je les appellerais où qu'elles soient pour me rencontrer et je définissais aussi la tenue qu'elles devraient porter.
Elles devaient aussi m'informer de la méthode de contraception qu'elles employaient et comme la plupart utilisaient des préservatifs, je les prévenais que je les emploierais que si j'étais satisfait de leurs performances. Si au contraire je n'étais pas satisfait, je les baiserais à nu, elles devraient alors compter sur la chance pour ne pas être engrossées.
Mon principal but, bien sûr, était d'engrosser les plus désirables femmes de mes employés blancs pour me venger cruellement de leurs maris lorsque leurs femmes accoucheraient d'un beau bébé noir.
En utilisant cette méthode, je mettrais des mois à asseoir une totale domination sur ces trous du cul blancs.
Et maintenant que je vous ai exposé mon plan directeur, je vais vous entretenir de la quatrième visite que j'entrepris par un chaud après-midi de juillet.
Karen Saunders était la plus désirable des femmes de ce pays. Elle n'avait que 18 ans mais respirait l'érotisme, elle avait une aura sensuelle d'un intense impact. Ses longs cheveux blonds naturels cascadaient sur ses petites épaules. Elle avait de petits nibards très fermes, des petits tétons pointus couronnaient ses nichons au centre d'auréoles du quart de la taille de ses nibards. Ses longues jambes étaient bronzées et son ventre parfaitement plat surmontait une étroite petite chatte voilée par ses légers habits.
Pour plaire à son travailleur de mari elle avait enfilé un tee-shirt avec un délicieux décolleté en "V" qui soulignait en les dévoilant partiellement d'admirables trésors mammaires. David, son époux, travaillait le plus possible afin pourvoir sa ravissante jeune femme de toutes les menues choses qu'elle désirait. Toutefois, les longues heures de travail et le travail éreintant l'épuisaient, il était exténué lorsqu'il rentrait chez lui. Ces dernières années son habileté à satisfaire les appétits sexuels de sa somptueuse femme ne faisait aucun doute. Mais dès qu'il perdit sa confiance en la fiabilité de ses érections, en sa capacité à déployer sa bite de taille moyenne, les échecs se multiplièrent. Son épuisement et son impuissance grandissante l'éloignaient de sa femme habituée à voir ses appétits totalement satisfaits.
Il était environ 16 heures lorsque j'arrivais au mobile-home rouillé de David et Karen. Il se trouvait au beau milieu du camping et ma nouvelle Lincoln blanche contrastait violemment avec la grisaille et le délabrement environnant.
Comme je me dirigeais vers la porte, je remarquai que des ombres bougeaient derrière les fenêtres des autres "habitations", les habitants épiaient chacun de mes pas. Dans des circonstances normales, un noir n'aurait jamais été autorisé à visiter une jeune épouse blanche. Je souris en frappant à la porte du mobile-home, mais bien sûr les circonstances étaient loin d'être normales. Un homme riche était respecté et j'étais l'homme qui avait le plus d'argent dans cette ville.
La jeune et jolie madame Karen Saunders ouvrit sa porte, elle était vêtue d'une brassière blanche qu'elle portait sans soutien-gorge et d'un short de jean coupé court qui mettait en valeur ses longues jambes bronzées. Visiblement ma présence devant sa porte l'effaroucha, elle jeta un rapide coup d'œil circulaire et revint à moi me demandant tranquillement :
- Monsieur Washington, qu'est ce qui me vaut votre visite ?
- Bonjour Karen. Puis-je entrer ? Lui répondis-je prestement.
Je sentais bien que la somptueuse beauté qui me faisait face cherchait une excuse pour ne pas me laisser entrer.
- Il y a des problèmes à l'usine et je pense qu'il vaut mieux qu'on en parle à l'intérieur. Lui exposai-je calmement, en jetant un oeil circulaire sur les autres mobile-homes.
Ayant regardé ses voisins, elle décida qu'il vaudrait mieux, effectivement, discuter à l'intérieur de cette maison qu'elle partageait avec son époux depuis 3 ans. Elle avait épousé David alors qu'elle avait 15 ans et il lui avait cueilli sa précieuse fleur.
Elle s'écarta timidement comme je visitais à loisir le petit appartement propret. Le conditionneur d'air sous-dimensionné ne parvenait pas à dissiper les dernières chaleurs de cet après-midi d'été. Je me dirigeai vers le sofa et m'y assis.
- J'ai soif, apportez-moi une limonade avec des glaçons !
Visiblement choquée par mon attitude cavalière, Karen jeta un oeil timide sur son environnement et se rendit dans la kitchenette pour me préparer ma limonade. Comme elle approchait humblement, je tapotai le siège près de moi et lui susurrai convivialement :
- Je vous en prie, joignez-vous à moi. Je dois vous dire quelque chose au sujet de l'usine.
Après une longue hésitation elle se glissa à mes côtés après m'avoir donné mon verre de limonade. Elle gardait ses longues jambes serrées l'une contre l'autre sans rien dire.
- J'ai bien peur que l'usine doive se séparer d'une quinzaine de collaborateurs. Je dois augmenter la rentabilité et j'ai découvert qu'un nombre moindre d'ouvriers exécutera le même travail s'il est habilement motivé. J'ai déjà pensé aux moyens de les motiver ce qui me permet d'éliminer les profiteurs. Lui annonçai-je calmement.
Comme je regardai l'adorable blonde dans les yeux je vis une certaine appréhension s'afficher sur sa figure. Elle finit par lever les yeux et me posa l'évidente question :
- Que va-t-il se passer pour David ? M'interrogea-t-elle d'une voix tremblante.
- Ouais. J'ai bien peur que... Commençai-je, souriant intérieurement lorsque je vis son visage afficher son horreur.
- Mais nous venons tout juste d'acheter une voiture neuve et nous avons de nombreuses dettes en souffrance. Me répondit-elle les yeux pleins de larmes.
Elle détourna rapidement son regard cherchant à cacher ses pleurs.
- David disait que tout se passait bien au travail et...
- Bien. Commençai-je.
Prenant entre mes mains ses mains tremblantes, je les caressai gentiment :
- Vous savez, il n'est pas encore mis à la porte.
S'attachant à cette dernière ouverture, désespérée, elle me regarda dans les yeux et murmura :
- Il ne serait pas ?
Essuyant ses yeux elle me jeta un regard plein d'espoir.
- Non il ne serait pas. C'est moi qui décide qui reste et qui part. Enonçai-je sentant ma grosse bite noire se déployer dans mon pantalon.
- Vous feriez cela ? Me demanda-t-elle éperdue.
- Oui. Je dois te dire que je suis déjà allé voir d'autres femmes d'employés. Et je dois te dire qu'elles ont préféré coopérer. Et leurs maris ont conservé leurs emplois ! C'est pourquoi je suis venu te voir, je me demandais si tu voulais vraiment aider ton mari à conserver son emploi !
Le brusque tutoiement la déstabilisa fortement, il l'obligeait déjà à admettre inconsciemment qu'il avait tous les atouts dans sa manche, le sort de son mari dépendait uniquement de sa bonne volonté. Et donc de sa docilité à elle !
L'air de l'implorer, la ravissante blanche le regarda, horrifiée.
- Bien sur que je veux aider mon mari !
Un sourire sardonique éclaira mon visage alors que je saisissais sa main pour la poser sur mon entrecuisse. Ma grosse bite noire se déploya lorsque machinalement elle referma ses doigts sur ma hampe avant de la repousser abruptement.
- Oh non, je ne peux pas tromper mon mari ! Me supplia la somptueuse Karen.
- Avant que tu ne refuses définitivement, je te suggère de penser à ton mari et à votre avenir. Comment survivrez-vous sans le boulot de ton mari ? La raillai-je cruellement.
Tout en posant cette question, je posai ma main droite sur son genou et je caressai tendrement la face interne de sa cuisse.
- S'il vous plait. Ne faites pas ça ! Soupira-t-elle misérablement.
- C'est bon. Ton mari peut se chercher un nouveau boulot ! Oh oui, il ne lui servirait à rien d'utiliser mon nom comme référence. En fait, il va avoir beaucoup de mal à trouver un autre travail. Je vais tout faire pour l'en empêcher !
Karen se mit à sangloter, je tournai les talons prêt à sortir.
- Atte... Attendez ! Murmura-t-elle d'une voix atone.
Je me retournai lui faisant face, la regardant droit dans les yeux alors qu'elle était toujours assise sur le sofa.
- Oui ?
- S'il vous plait ne m'obligez pas à... Je vous en prie.... Je vous en prie.... Sanglotait-elle éperdue.
Je tournai les talons.
- Tu me fais perdre mon temps salope. Je vais me trouver une autre pute blanche ! Ricanai-je en me dirigeant vers la porte.
- Non, je vous en prie. Répliqua-t-elle hésitante puis la tête baissée elle soupira :
- C'est d'accord.
Je souris, me reculant d'un pas, faisant face à l'attrayante créature. Je posai mes mains sur mes hanches, attendant qu'elle prenne l'initiative. Elle hésitait.
- Viens ici salope ! J'ai pas toute la journée ! Lui hurlai-je menaçant.
Elle se glissa sur le rebord du canapé, tendit ses mains tremblantes. Elle agrippa le curseur de la fermeture éclair de mon pantalon de costume italien. Je levai les yeux, un sourire triomphant sur mon visage alors que je jetais un coup d'œil circulaire sur cette épave de mobile home.
Je souris encore plus largement en entendant descendre la fermeture éclair de ma braguette. Sa petite main menue plongea dans mon pantalon. Ses doigts se refermèrent sur mon épaisse mentule, je l'entendis nettement haleter. J'attendis patiemment, elle sortit finalement ma grosse bite. Je baissai les yeux et souris en la voyant écarquiller ses yeux comme des soucoupes, sa mâchoire sembla se décrocher, sa bouche était grande ouverte, je lui demandai :
- Je parie que tu n'as jamais vu de bons gros chibres noirs auparavant ?
Elle hocha lentement la tête. Je lui souris :
- Allez salope, referme tes lèvres bien roses sur ma bite noire !
Karen enfourna prudemment ma bite dans sa bouche chaude et humide. Elle lécha le gland pourpre comme une sucette. Pendant ses trois années du mariage elle n'avait guère pratiqué que la traditionnelle position du missionnaire, et encore assez rarement ces derniers mois.
Elle sentait une épaisse purée s'accumuler dans l'entrejambe de son short de jean. Alors qu'elle se sentait plus à l'aise pour déguster son gros champignon, elle se débattit mais n'en avala pas moins 8 bons centimètres de plus de bite noire. Comme elle se débattait en suçant ma hampe tendue, je la raillai cruellement :
- Je parie que ton précieux David ne te fourre pas souvent sa bite en bouche !
Son esprit affolé évoquait des images, elle voyait clairement la bite amollie et inutile de son époux. La longue bite épaisse provoquait l'érection de ses tétons qui frottaient contre le tissu de sa courte brassière. Sa petite culotte blanche était trempée de cyprine alors qu'elle se démenait pour le sucer, avide d'en tirer un certain plaisir. Elle ne parvenait pas à concevoir qu'une bite puisse être aussi dure. D'autant qu'elle n'avait expérimenté que la virilité de son mari et qu'à cet instant de sa vie, elle se consumait de désir.
Tandis que mon chibre raidissait, je commençai à bouger mes hanches, présentant mon chibre noir à l'orée de la gorge de Karen. Comme elle commença à étouffer, je sentis mes burnes s'emplir d'une prochaine éjaculation. J'attrapai prestement les mains de Karen alors qu'elle se démenait ma grosse prune maintenant engagée dans sa gorge crispée. Un dernier coup de boutoir m'amena au bord de l'explosion, je projetai ma chaude semence dans l'arrière gorge de l'adorable madame David Saunders.
Elle aspira mon précieux jus jusqu'à ce que je la laisse me lâcher, quelques gouttes tombèrent sur le tapis usé à la corde. Comme elle reculait sa tête libérant mon gros braquemart, un filet de foutre luisant s'étira reliant mon gland turgescent et à son menton souillé de foutre. Les yeux fermés, elle cherchait à nier son incontestable soumission.
Je fis un pas en avant et me branlai pour extraire les dernières gouttes de sperme de mon méat, elles tombèrent sur ses longues jambes bronzées. Elle ouvrit les yeux en grand en sentant cette dernière décharge gluante lui souiller les cuisses.
- Quel moyen contraceptif utilise-tu ma chérie ? Lui demandai-je suavement.
Hébétée, elle leva les yeux vers moi et me répondit timidement :
- Nous ne pouvons utiliser que des préservatifs !
J'enfourchai le buste de la malheureuse ménagère effarouchée laissant reposer ma bite dégoulinante de foutre et de cyprine sur ses délicieux nichons toujours couverts de sa petite brassière. Je laissai le tissu de sa brassière s'imprégner de foutre provoquant leur seconde érection de l'après-midi. Comme elle me regardait avec appréhension, je la choquai à nouveau en commentant :
- Tes hésitations m'ont profondément déplu ! Je t'appellerai en cours de semaine. Puisque tu parais affamée de bite, ma petite salope, ta prochaine passe te coûtera 50 $.
Karen allait protester, mais soudain ses plaintes s'envolèrent. Elle savait pertinemment qu'elle n'avait pas le choix, alors que la bite du patron noir de son mari l'excitait follement, elle en avait la foufoune trem-pée de désir.
- Si tu me satisfais, j'utiliserai un préservatif. Si tu préfères me désobéir à nouveau lors de notre prochain rendez-vous, tu repartiras la chatte pleine de mon foutre fertile ! Ricanai-je férocement.
Me relevant, je remontai ma fermeture éclair et me dirigeai lentement vers la porte. Lorsque je l'atteignis, je me retournai pour contempler une dernière fois la fragile beauté, respirant difficilement, couchée sur ses coudes. Son visage, au menton dégoulinant de mon foutre, reflétait son anxiété. Et son excitation.
- Ouais, Pensai-je ravi, l'ensorcelante madame Saunders va constituer un délicieux jouet que j'utiliserai au gré de mes désirs !
En quittant le mobile-home délabré, je souris en sentant les yeux des voisins braqués sur moi, épiant chacun de mes mouvements. En sortant du parc, je savais déjà que David se poserait bientôt de nom-breuses questions pendant les chaudes nuits d'été à venir.
A suivre.
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