dimanche 7 juillet 2024

Le bonheur d'être mère - Ch. 03

Texte de Xmaster.
*****
 
Premier client.

Maurice, tout en refermant sa braguette vient au bar, fait un clin d'œil complice à son ami René, et lui demande : 

- Tiens, sers-moi donc un demi, elle m'a donné soif cette salope !

En servant son client, le patron demande d'un air rigolard : 

- Alors, une bonne recrue ? 

- Ouais, pas mal, un dépucelage du cul, mais pas mal, à suivre... Tu veux que je te la fasse essayer ?

- Non merci, pas pour le moment, j'ai encore pas mal de travail...

C'est alors qu'un autre client s'adresse à Maurice :

- Je vous ai entendu tout à l'heure.

- Oui, tu es client pour une petite pute, toute neuve, presque pas servi, ça te tente ?

- Heu...

- Décide-toi ! Tu sais, de se taper une nouvelle n'est pas si courant dans une vie, crois-moi je suis bien placé pour le dire !

- Et... C'est combien ?

- Allez, va pour 60 euros, mais c'est un prix d'ami, c'est bien parce que tu es client ici. 

- C'est un peu cher non ? 

- Attends ! c'est une nouvelle, tu ne crois pas que cela mérite tout de même un petit effort de ta part ?

 - Bon, OK.

- Viens, suis-moi, je vais te la présenter.

Et les deux hommes se rendent dans l'arrière-salle où est toujours la pauvre Sophie, agenouillée et en train de pleurer. Ils s'approchent, puis Maurice ordonne durement à sa nouvelle recrue : 

- Debout salope !

La blonde se lève comme dans un rêve, dans un cauchemar serait d'ailleurs bien plus approprié. Une fois debout, elle entend encore :

- A poil ! Ton tout premier client t'attend, et moi j'attends tout ton premier remboursement, connasse !

La femme ne bouge pas d'un pouce, le client reste interdit, il ne sait pas s'il doit partir en courant ou rester et devenir aussi dur que le mac.

Maurice ne laisse pas son auditoire réfléchir, il s'empare de la manche du manteau que porte toujours la femme, et tire dessus en disant : 

- Allez, à poil salope, ne commence pas à faire ta mijaurée, avec ce que tu viens de prendre dans le cul, il n'y a pas de quoi faire sa timide !

André reste debout les bras le long du corps. Excité par ce qu'il peut apercevoir de la femme blonde, mais aussi interloqué par cet étrange atmosphère qui règne à présent. Mais le fait que cette prostituée soit nouvelle dans le métier l'attire énormément.

Sophie, toujours comme si elle vivait un rêve, se déshabille. Elle pose son manteau, puis son pull sur la table, elle enlève ensuite son jean et sa petite culotte en même temps, ainsi que ses baskets au passage. Ensuite, pour finir, elle détache son soutien-gorge, et le pose aussi sur le tas de vêtements sur la table. Elle est maintenant totalement nue.

- Alors, qu'en dis-tu, ça vaut les 60 euros non une pouliche comme ça ?

André est très excité, il plonge la main dans sa poche, en ressort son porte feuilles et donne 3 billets de 20 euros au mac.

- OK, et en prime tu as droit à une bonne pipe, ça elle est experte, et tu la prends comme tu veux ensuite, par devant ou par derrière, de toute façon elle est rodée des deux trous.

Sophie est horrifiée par ce qu'elle entend, on a l'impression qu'elle ne comprend pas que l'on parle d'elle. Elle a les yeux toujours rivés au sol, et se laisse aller comme une bête que l'on conduirait à l'abattoir.

Le mac s'empare du sein droit de la blonde et le malaxe durement. Il fait un clin d'œil au client attentif à la scène, puis dit à l'attention de sa putain : 

- Allez, à genoux et suce ton premier client, et je veux qu'il soit ravi de ta prestation, c'est compris ma pute ? 

- Oui... Dit très timidement la femme dans un souffle. 

Elle semble, à ce moment, complètement soumise à son mac. Elle se met sur les genoux dans un geste doux et qui semble tranquille.

André vient se placer devant la femme, défait sa braguette, sa ceinture, et descend son pantalon sur ses genoux, il ôte très vite son caleçon et reste ainsi, la queue à l'air devant la bouche de la putain.

- Allez, prends sa bite et suce le comme il faut, ordonne encore Maurice. 

Puis, s'adressant au client, il poursuit : 

- Ca ne te dérange pas que je reste, je ne voudrais pas que tu sois mal servi ou roulé par cette pute.

- Non, pas de problème, au contraire, ça me botte de me faire sucer devant quelqu'un.

 
André commence à perdre de sa timidité maintenant, il empoigne les cheveux de la blonde et lui dit : 

- Allez, suce salope, et fais-moi bien bander que je puisse te faire le cul après...

- T'inquiète pas camarade, elle doit avoir encore plein de sperme dans la gueule, mais elle suce vraiment bien cette blondasse.

Sophie ne se rebiffe même plus. Les bras le long du corps, elle suce du mieux qu'elle peut cette queue encore molle. Elle la sent gonfler dans sa bouche. A ce moment, elle ne sait même plus si elle doit se battre pour sa dignité perdue ou si elle doit se laisser faire pour abréger cette épouvantable épreuve du destin. Le coté sexuel de ce qu'elle vit est finalement ce qui la choque le moins, elle a surtout une peur panique des menaces de cet homme pervers.

André bande de plus en plus. De voir cette femme blonde, qui sans être jeune, est tout de même encore assez jolie, le sucer en étant à ses pieds l'excite terriblement. Et, comme il a toujours été très fier de la taille de son sexe, il est heureux de pouvoir se montrer sous son meilleur jour.

Le mac observe attentivement sa nouvelle recrue. Il sait qu'il vient de gagner une bataille aujourd'hui, et une grande bataille même, mais il sait aussi que son travail est loin d'être terminé. Cherchant à déstabiliser encore davantage la blonde, il dit d'une voix bienveillante : 

- C'est bien ma chérie, si tu continues à bien travailler comme ça, tu auras ta petite récompense.

Sophie hallucine totalement, voilà que se salaud, ce violeur qui n'a eu aucun geste bienveillant pour elle depuis leur rencontre vient de l'appeler "ma chérie"! Elle ressent un sentiment trouble fait d'une peur encore augmentée, mais aussi, très paradoxalement, d'une certaine attirance pour cet homme, cela fait si longtemps que plus personne ne l'a appelée "ma chérie".

- Hum... Tu suces vraiment bien toi... Tu sens comme tu me fais bander là ? Demande le client d'une voix chavirée trahissant son excitation grandissante.

Quelques borborygmes sortent de la bouche pleine de la femme. Elle ne sait pas ce qui se passe en elle, mais il s'aperçoit qu'elle vient de prendre la queue dans sa main droite pour la branler en plus. La bite est maintenant trop volumineuse pour qu'elle puisse la tenir en bouche entièrement.

- Hum... Oui... C'est bon ça... grogne le client ravi.

- Te laisse pas aller, camarade, diT le mac en se tournant vers André avec un grand sourire, T'as pas envie de sa chatte ou de son cul ?

- Ha que si ! J'ai une furieuse envie de l'enculer, j'te racontes pas !

Et, tout en fouillant dans sa poche à la recherche d'un préservatif, Maurice s'empare du bras droit de la blonde et la force à se relever. Dès qu'elle est debout, il l'approche de la table libre à coté de celle où sont posés les vêtements et dit d'une voix redevenue très autoritaire : 

- Toi, en position comme tout à l'heure, jambes bien écartées.

La malheureuse se laisse conduire sans mot dire. Elle s'allonge sur la table désignée et écarte ses jambes comme il lui a été ordonné.

- Écarte tes fesses avec tes mains... Putain... 

La voix du mac est devenue trainante comme si elle ne faisait pas bien ce qu'elle a l'habitude de faire. Une fois encore la femme blonde obéit docilement.

- Quel beau cul !

- Tiens, dit Maurice en tendant une capote à l'homme en pleine érection cette fois. 

André ouvre la pochette en aluminium, sort le préservatif et l'enfile prestement. Il crache dans sa main gauche et s'enduit le gland de salive, puis il vient positionner son membre sur la rondelle brune et dit :

- Tu vas prendre toute ma grosse bite dans ton petit cul de salope...

L'introduction du pieu de chair réveille une vive douleur chez la pauvre Sophie. Elle pousse un petit cri, mais très vite, les allées et venus dans son cul recommencent à lui procurer du plaisir. D'abord un plaisir lointain, puis de plus en plus présent.

André se régale de ce petit cul encore serré. Il commence à limer tranquillement, sûr du bien qu'il sait faire aux femmes par cette voie. Très fier de sa prestation, il regarde le mac et dit d'une voix assurée :

- T'as vu, je lui fais bien le cul, non ?

- Ouais ! Impec ! Vas-y, bourre-lui bien le cul, fais-moi gueuler cette chienne en chaleur...

A nouveau la pauvre blonde se sent totalement humiliée, elle a l'impression que ces deux hommes ne voient en elle que son cul, qu'elle n'est qu'un objet sexuel, qu'une machine dont ils se servent sans y prêter plus d'attention. Elle recommence à pleurer doucement sur son sort

A suivre...

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