Texte de Xmaster.
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Sophie jouit.
Maurice, voyant son client s'éclater, sourit. Très professionnel, il demande alors à l'homme :
- Tu veux que je te laisse seul avec elle ?
- Non, non, reste si tu veux... J'aimerai même qu'elle te suce pendant que je l'encule bien à fond, t'es d'accord ?
- Ouais, pas de problème...
Et, joignant le geste à la parole, le mac défait sa braguette et sort sa queue toute molle. Il vient se placer devant la table, à quelques centimètre du visage de la blonde, puis ordonne :
- Allez toi, suces-moi bien la queue !
Sophie happe le membre flasque dans sa bouche, puis très vite, sans que personne ne lui demande rien, elle amène sa main droite et branle la bite en même temps. Les assauts de la queue qu'elle
a entre ses reins lui procurent de plus en plus de plaisir, elle gémit doucement, et ne pleure plus à présent.
- C'est vrai que c'est une super suceuse cette enculée. Déclare, goguenard, Maurice.
- Moi j'adore les petits culs bien serrés, là je dois avouer que je me régale. Dit, quand à lui, le client avec un visage visiblement ravi
- Tu veux que je te laisse seul avec elle ?
- Non, non, reste si tu veux... J'aimerai même qu'elle te suce pendant que je l'encule bien à fond, t'es d'accord ?
- Ouais, pas de problème...
Et, joignant le geste à la parole, le mac défait sa braguette et sort sa queue toute molle. Il vient se placer devant la table, à quelques centimètre du visage de la blonde, puis ordonne :
- Allez toi, suces-moi bien la queue !
Sophie happe le membre flasque dans sa bouche, puis très vite, sans que personne ne lui demande rien, elle amène sa main droite et branle la bite en même temps. Les assauts de la queue qu'elle
a entre ses reins lui procurent de plus en plus de plaisir, elle gémit doucement, et ne pleure plus à présent.
- C'est vrai que c'est une super suceuse cette enculée. Déclare, goguenard, Maurice.
- Moi j'adore les petits culs bien serrés, là je dois avouer que je me régale. Dit, quand à lui, le client avec un visage visiblement ravi
Cette fois, la femme blonde jouit vraiment. Malgré le pénis qu'elle a en bouche et qui grossit terriblement, elle émet des sons qui trahissent le plaisir qu'elle prend. Dans sa tête tout se mélange à nouveau, ses fantasmes, d'avoir deux hommes en elle, peut être même de faire la prostituée, les ondes de plaisirs, il lui semble que même les mots crus qu'elle entend parfois amplifient encore son bonheur. Néanmoins, elle n'en a pas moins honte, mais ne comprend pas pourquoi, alors qu'elle est ici contre son gré, elle jouit d'une grosse queue dans son anus, alors qu'elle était vierge de ce coté là.
Le mac se laisse aller lui aussi au plaisir de cette sucette délicieuse. Il fait un clin d'oeil complice au client quand il prend la tête blonde dans ses mains puissantes et active le rythme des allées et venus de la bouche sur son sexe en total érection.
André s'applique à faire jouir cette femme dont le sexe est devenue la profession, il se donne beaucoup de mal pour faire au mieux, mais il sent aussi qu'il va jouir très bientôt.
Sophie jouit, elle ne sait plus ni où elle est, ni ce qu'elle fait au juste, elle jouit, et, malgré sa bouche pleine, elle arrive à crier tout son plaisir à la cantonade.
Le client, ivre de plaisir, ne peut plus se retenir, dans un dernier effort il plante son gros sexe tout au fond du boyau de la blonde, et éjacule en longues saccades qui lui donnent des frissons sur tout le corps. Durant toute son explosion, il pousse des cris gutturaux.
L'impression est gigantesque pour la blonde. Non seulement elle a un orgasme formidable, mais en plus, elle l'a en même temps que son partenaire, et ça c'est une chose totalement inconnue pour elle.
- Vas-y, régale toi mon gars ! dit le mac pour accompagner le client dans son orgasme.
Le mac se laisse aller lui aussi au plaisir de cette sucette délicieuse. Il fait un clin d'oeil complice au client quand il prend la tête blonde dans ses mains puissantes et active le rythme des allées et venus de la bouche sur son sexe en total érection.
André s'applique à faire jouir cette femme dont le sexe est devenue la profession, il se donne beaucoup de mal pour faire au mieux, mais il sent aussi qu'il va jouir très bientôt.
Sophie jouit, elle ne sait plus ni où elle est, ni ce qu'elle fait au juste, elle jouit, et, malgré sa bouche pleine, elle arrive à crier tout son plaisir à la cantonade.
Le client, ivre de plaisir, ne peut plus se retenir, dans un dernier effort il plante son gros sexe tout au fond du boyau de la blonde, et éjacule en longues saccades qui lui donnent des frissons sur tout le corps. Durant toute son explosion, il pousse des cris gutturaux.
L'impression est gigantesque pour la blonde. Non seulement elle a un orgasme formidable, mais en plus, elle l'a en même temps que son partenaire, et ça c'est une chose totalement inconnue pour elle.
- Vas-y, régale toi mon gars ! dit le mac pour accompagner le client dans son orgasme.
Puis il attend tranquillement quelques instants que l'homme s'en remette.
- Putain ! quel panard !
- Putain ! quel panard !
L'homme a encore les jambes toutes tremblantes.
- T'as l'air d'être un sacré coup en tous cas toi ! Flatte encore le mac.
- On fait s'qu'on peut !
- T'as l'air d'être un sacré coup en tous cas toi ! Flatte encore le mac.
- On fait s'qu'on peut !
Et l'homme part dans un rire communicatif.
- Toi tu me plais, je vais te faire un petit supplément gratuit pour avoir fait bien jouir ma nouvelle pute.
- Ha! s'étonne André.
- Donne moi ta capote s'il te plaît ! demande Maurice avec un sourire spécial en coin.
Le client se défait du petit sac de caoutchouc et le tend à l'homme qui est toujours en train de se faire sucer.
- Ce soir tu viens en voiture devant le bar à vingt deux heures. Tu te débrouilles pour porter un tailleur, jupe pas trop longue et chemisier fin. Pas de sous-vêtements, seulement des bas. T'as compris ?
- Oui... Bredouille doucement la pauvre Sophie.
- Bien ! Maintenant tu me débarrasse le plancher, connasse.
Le client se défait du petit sac de caoutchouc et le tend à l'homme qui est toujours en train de se faire sucer.
- Debout la pétasse ! ordonne alors Maurice en retirant prestement sa queue de la douce bouche et en attrapant le bras de la pauvre femme pour qu'elle se rétablisse plus vite encore.
Sophie est encore sous le choc de l'orgasme, il lui semble bien qu'elle n'avait jamais joui aussi fort auparavant, elle exécute donc docilement l'ordre et se met debout devant la table.
- A genoux chienne !
Toujours aidée dans sa manœuvre par la main qui entraîne son bras, la blonde se met à genoux rapidement.
- Ferme les yeux et ouvre ta grande gueule, salope !
Sans chercher à comprendre ce qui arrive, car là, s'en est vraiment de trop pour l'après-midi qu'elle vient de passer, toute combativité abandonnée, elle ferme ses grands yeux et ouvre sa bouche. Puis elle attend la suite des évènements.
Maurice amène le préservatif plein de foutre au dessus de la bouche ouverte, puis s'empare du petit réservoir, retourne la capote, et laisse couler le sperme dans la bouche de la pauvre femme.
- A genoux chienne !
Toujours aidée dans sa manœuvre par la main qui entraîne son bras, la blonde se met à genoux rapidement.
- Ferme les yeux et ouvre ta grande gueule, salope !
Sans chercher à comprendre ce qui arrive, car là, s'en est vraiment de trop pour l'après-midi qu'elle vient de passer, toute combativité abandonnée, elle ferme ses grands yeux et ouvre sa bouche. Puis elle attend la suite des évènements.
Maurice amène le préservatif plein de foutre au dessus de la bouche ouverte, puis s'empare du petit réservoir, retourne la capote, et laisse couler le sperme dans la bouche de la pauvre femme.
Alors qu'elle a un mouvement de recul en ouvrant les yeux, Sophie entend alors :
- Pas bouger ! Avale tout ce bon foutre chaud... Et en souriant au client encore ! Tu dois le remercier de t'avoir fait si bien jouir salope !
Le client regarde la scène d'un air amusé tout en remontant son pantalon et en le refermant.
Le mac presse le préservatif pour que tout le foutre contenu soit bien expulsé dans la bouche ouverte de la pauvre femme. Il est ravi de voir que, malgré la grimace qu'affiche la blonde, elle obéit très docilement. Il se rend compte à quel point il vient de trouver la perle rare, et commence à imaginer tous les bénéfices qu'il pourra tirer d'une pareille femme soumise.
Bien qu'elle soit écœurée, Sophie reçoit tout le jus de couilles jusqu'à la dernière goutte dans sa bouche grande ouverte. L'orgasme qu'elle vient de vivre l'a vidée du peu d'énergie qu'elle avait encore, aussi, ne pourrait-elle-même plus se rebeller si elle en avait eu la volonté. Elle ne sait même plus ce qu'elle fait ici, ni ne comprend ce qui lui arrive vraiment.
- Je t'offre un pot, va commander un demi pour moi, je te rejoins dans quelques minutes ! Dit généreusement Maurice à son client.
L'homme sort de la pièce sans jeter le moindre regard compatissant à la pauvre femme qui se sent encore plus humiliée.
- Pas bouger ! Avale tout ce bon foutre chaud... Et en souriant au client encore ! Tu dois le remercier de t'avoir fait si bien jouir salope !
Le client regarde la scène d'un air amusé tout en remontant son pantalon et en le refermant.
Le mac presse le préservatif pour que tout le foutre contenu soit bien expulsé dans la bouche ouverte de la pauvre femme. Il est ravi de voir que, malgré la grimace qu'affiche la blonde, elle obéit très docilement. Il se rend compte à quel point il vient de trouver la perle rare, et commence à imaginer tous les bénéfices qu'il pourra tirer d'une pareille femme soumise.
Bien qu'elle soit écœurée, Sophie reçoit tout le jus de couilles jusqu'à la dernière goutte dans sa bouche grande ouverte. L'orgasme qu'elle vient de vivre l'a vidée du peu d'énergie qu'elle avait encore, aussi, ne pourrait-elle-même plus se rebeller si elle en avait eu la volonté. Elle ne sait même plus ce qu'elle fait ici, ni ne comprend ce qui lui arrive vraiment.
- Je t'offre un pot, va commander un demi pour moi, je te rejoins dans quelques minutes ! Dit généreusement Maurice à son client.
L'homme sort de la pièce sans jeter le moindre regard compatissant à la pauvre femme qui se sent encore plus humiliée.
- Parfait, tu viens de sauver la vie de ton branleur et gagner tes 60 premiers euros. Comme tu me dois beaucoup de fric, tu comprends que je garde ce tout petit acompte.
La blonde ne répond pas. Elle baisse les yeux et prie en elle-même que ce soit fini maintenant. Elle est toujours à genoux devant la table où elle vient de se faire enculer pour la deuxième fois de sa vie et elle n'ose pas bouger.
La blonde ne répond pas. Elle baisse les yeux et prie en elle-même que ce soit fini maintenant. Elle est toujours à genoux devant la table où elle vient de se faire enculer pour la deuxième fois de sa vie et elle n'ose pas bouger.
- Ce soir tu viens en voiture devant le bar à vingt deux heures. Tu te débrouilles pour porter un tailleur, jupe pas trop longue et chemisier fin. Pas de sous-vêtements, seulement des bas. T'as compris ?
- Oui... Bredouille doucement la pauvre Sophie.
- Bien ! Maintenant tu me débarrasse le plancher, connasse.
- Merci... se surprend-t-elle à dire en se relevant doucement.
- Et t'oublies pas pétasse, si tu parles de tout ça à qui que se soit, ton fils se fait buter, c'est compris ?
- Et t'oublies pas pétasse, si tu parles de tout ça à qui que se soit, ton fils se fait buter, c'est compris ?
La voix est redevenue dure et incisive.
- Oui...
L'homme pervers remonte la fermeture éclair de son pantalon et laisse la femme nue au milieu de la
pièce pour aller boire un coup.
Sophie reste interdite, nue, souillée, humiliée une bonne dizaine de secondes. Puis elle se met à pleurer doucement et commence à se rhabiller. Une fois qu'elle a enfilé ses vêtements, elle tourne les talons et sort rapidement de l'arrière-salle et se dirige vers la porte d'entrée, les yeux rivés au sol ne voulant surtout pas croiser un quelconque regard. A deux pas de la porte elle entend :
- Oui...
L'homme pervers remonte la fermeture éclair de son pantalon et laisse la femme nue au milieu de la
pièce pour aller boire un coup.
Sophie reste interdite, nue, souillée, humiliée une bonne dizaine de secondes. Puis elle se met à pleurer doucement et commence à se rhabiller. Une fois qu'elle a enfilé ses vêtements, elle tourne les talons et sort rapidement de l'arrière-salle et se dirige vers la porte d'entrée, les yeux rivés au sol ne voulant surtout pas croiser un quelconque regard. A deux pas de la porte elle entend :
- Dites donc, faudrait peut être payer votre whisky tout de même !
Docilement elle va au bar et demande, toujours en pleurs, d'une toute petite voix :
Docilement elle va au bar et demande, toujours en pleurs, d'une toute petite voix :
- Je vous dois combien Monsieur ?
- Trois euros cinquante.
- Trois euros cinquante.
Elle ouvre son sac et sort son porte-monnaie Elle règle le prix sans jamais regarder le patron puis se sauve du bar. Dès qu'elle est assise dans sa voiture, elle explose en larmes et pleure à gros sanglots pendant près d'une heure avant de rentrer chez elle.
FIN
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