lundi 29 juillet 2024

Les confessions de Françoise - Ch. 02

Texte de Graoully 57 (2012).

*****

Le lendemain.

Le lendemain matin, Jean-Pascal arrive vers 9 heures. D’emblée il donne le ton, malgré la présence de ma fille dans sa chambre. Il m’embrasse comme si nous étions de vieux amants, en profitant pour poser sa main sur ma poitrine et malaxer mes globes charnues quelques instants. 

-Ton corsaire te va à merveille mais j’aurai préféré que tu sois habillée avec une jupe où une robe ! Me dit-il. 

Je lui sers un café avant qu’il ne se mette à l’ouvrage, le chantier ayant pris un peu de retard hier. Il me demande si j’ai bien dormi et si j’avais repensé à nos ébats.

- Le sommeil fut bon et je ressens encore en moi les frasques de notre relation. 

Il se leve, s’éclipse au garage pour se changer et m’appele :

- Françoise, pourrais-tu venir une minute ? 

Ce que je fais, pensant qu’il cherche quelque chose mais ne le trouve pas… Au lieu de cela il est debout, son sexe à la main, déjà bandé.

- Tu n’es pas fou ? Flavie est à l’étage, elle va partir au travail, range ton attirail ! lui murmuré-je.
 
Au lieu de m’écouter, il m’empoigne, me fait mettre à genoux et posant sa mentule sur mes lèvres me fait comprendre de lui prodiguer une petite gâterie avant les travaux. Ne voulant pas faire d’esclandre, j’entrouvre la bouche et du bout de la langue je flatte son méat. 

- Ecoute si elle n’arrive pas ! lui murmuré-je, avant que son membre investisse les lieux.

Il se saisit de ma tête et donne la cadence, enfonçant sa queue jusqu’aux amygdales. Il est très excité et très rapidement son sexe gonfle dans ma bouche, un flot de sperme soutenu emplit ma gorge, je déglutis un maximum et je crache l’excédent dans la poubelle, puis je prends un Sopalin et m’essuie le visage.

- C’est bon, tu peux te mettre au boulot à présent…

Quelques secondes plus tard ma fille entre dans le garage, elle nous regarde bizarrement et part pour son boulot.

Chacun de nous se met à son travail. Avant midi, la préparation du repas terminé, je monte à l’étage, je retire mon corsaire et mon tee-shirt et j’enfile une robe boutonnée sur le devant, prenant soin d’oublier de fermer quelques boutons aussi bien sur le haut, laissant le sillon de ma poitrine très visible, que sur le bas afin de dénuder mes cuisses à chaque mouvements. Un sifflement admiratif se fait entendre
dès qu’il m’aperçoit ainsi.

- Tu me gâtes, me dit-il.

- Tu m’as mise en appétit ! 

Il me prend dans ses bras et ses mains s’égarent sur mon corps et nos lèvres se soudent. Il déboutonne entièrement ma robe et me demande de servir et manger comme cela. Je suis un peu gênée de me montrer de la sorte, mon soutien gorge blanc très pigeonnant laissant ma poitrine comme à nu et mon tanga tout de dentelle ne cachant rien de ma toison pourtant blonde ni du renflement de mon sexe particulièrement marqué.

Chaque fois que je me lève pour servir, je jette un œil du coté du voisin me sachant sans doute observé par ce malade, d’autant que Jean-Pascal m’impose de passer devant la porte fenêtre, m’y exposant inévitablement si il faisait le guet. Inutile de décrire dans quel état je me trouve, attendant la fin du repas pour monter dans la chambre des enfants pour laisser libre cours à nos ébats.

Tout le repas nous échangeons sur nos relations passées.

- Tu es une belle catin sous tes airs de sainte nitouche… Me lance t-il pour conclure.

Il se lève, j’en fais autant et il me pousse face à la porte fenêtre, fait tomber ma robe au sol. Je suis exposée à ce gros vicelard de Pierre si toutefois ce dernier est en planque derrière les rideaux. Je l’imagine son sexe en main en train de se masturber. Jean-Pascal me demande de mettre mes mains sur ma nuque m’obligeant à bomber un peu plus le torse et donnant à mon 95 C encore plus de volume. Sa main glisse sous l’élastique de mon tanga et instinctivement j’ouvre un peu plus le compas de mes cuisses lui donnant plus d’espace pour permettre à sa main de posséder ma chatte. Son doigt n’a aucune difficulté à glisser entre mes lèvres et mon clitoris qui n’attendait que ce contact gonfle d’avantage.

- C’est d’être ainsi exposée qui te fait mouiller de la sorte, ça t’excite de te montrer devant ce pervers, je suis certain que tu as envie qu’il vienne se vider les couilles dans ta chatte… Baisse ton slip, montre-lui ton sexe !

Comme une automate je fais ce qu’il me demande, il en profite pour défaire mon soutien-gorge pendant que je baisse le dernier rempart de mon intimité à mi-cuisse. Il me redresse tout en me plaquant contre le carreau, j’ai les seins et le ventre collés à la surface de verre, son doigt fouille à nouveau mon nid d’amour, je ruisselle davantage, je me sens chienne, soumise…

- Dis-le que tu aimes être baisée de la sorte. En attendant c’est moi qui vais te baiser et sous ses yeux, après je lui dirais de venir, tu sentiras sa bedaine sur ton corps et sa queue dans ton ventre, je lui demanderais de t’exploser le cul. 

Je me laisse emporter dans un orgasme imaginant la scène à laquelle il rêve de me voir
participer. Il ne me laisse pas le temps de récupérer. Il me fait plier en avant, les mains sur la clenche et son sexe perfore ma chatte. Après avoir joui sous son doigt, je vais jouir sa queue dans mon ventre. 

Je regarde chez Pierre et je peux constater qu’il nous regarde sans aucune gène, nos regards se croisent, je le fixe les yeux dans le vague, la mentule de Jean-Pascal pilonnant mon vagin, il n’y a pas d’autres termes. Je sens son sexe grossir et le supplie : 

- Vide tes couilles, regarde Pierre il se masturbe !

En effet le mouvement de son bras ne laisse aucun doute sur ce qu’il fait. Ce vicieux s’astique en voyant mon corps et ça m’excite de le voir !

- Bourre-moi mon amour !

Cette fois c’est moi qui sort des insanités. Il se bloque au fond de mon utérus et une déferlante de sperme fuse en moi. Nous prenons notre pied sous les yeux de ce malade, j’imagine avec dégoût son corps sur moi et son sexe fouillant mon intimité.

Jean-Pascal n’en a pas fini, il me redresse. Je suis face à Pierre, nue, offerte, je ne bouge pas, poupée de chair dans les bras de mon amant, les cuisses disjointes, ma chatte plus que visible, le trop plein de Jean-Pascal coulant le long de mes jambes. Il recueille quelques gouttes sur son doigt et les porte à ma bouche, faisant comprendre à notre voyeur qu’il a marqué mon corps de son empreinte. Il me
fait pivoter et nous montons les escaliers pour rejoindre la chambre complice de nos étreintes.

Avant cela il ouvela porte d’entrée.

- Qu’est ce que tu fais ?

- T’occupes et monte !

Je le précéde et je ressens ses yeux sur ma croupe. Je m’allonge sur la couche, ouvrant mes cuisses, je veux sentir sa langue en moi. Il ouve la fenêtre en grand puis vient me rejoindre en se mettant tête bêche, présentant son sexe à ma bouche, ses mollets collés à mes oreilles, j’engloutis sa mentule pendant que sa langue agace mon clito toujours aussi excité. Mis à part ses fesses je ne vois
rien, je n’entends rien. Notre jeu buccal dure depuis plusieurs minutes et j’aspire à changer de position. C’est à ce moment que je ressens une présence. Dans l’effroi, j’essaieis tant bien que mal de me détacher de Jean-Pascal, et lorsque j’y parviens, c’est pour voir Pierre debout, nu, son sexe en main.

A suivre...

samedi 27 juillet 2024

Un patron noir - Ch. 01

 Traduction par Coulybaca en 2009 d'un texte de Arc Light : Black Boss

*****

Un patron noir s'empare de la femme d'un de ses employés.

Tout d'abord, laissez-moi me présenter : je m'appelle Michael Washington, l'Afro-Américain le plus chanceux au sud du delta du Mississippi.

Il y a trois mois, j'ai été le plus gros gagnant de l'histoire de la loterie. Avant ce jour je travaillais dans une équipe de nuit de la "Panhandle" une fabrique de bateaux. C'était une petite entreprise employant une soixantaine d'ouvriers sur lesquels 51 étaient des trous du cul arrogants de blancs. La discrimination raciale était totale, absolue. Les boulots les plus inhumains, les plus fatigants, les plus dégradants étaient assignés aux 9 noirs de l'effectif. Ces sales trous du cul de blancs méprisants adoraient nous humilier moi et mes frères noirs en chaque occasion.

Comme le taux de chômage de notre contrée rurale excédait les 40 %, on ne pouvait trouver de boulot dans le coin, ni même dans le généreux état du Mississipi, les 60 $ qu'ils accordaient comme indemnité de chômage pour 13 semaines ne s'avérait pas une véritable solution.

Quoi qu'il en soit, une fois que j'eus reçu mon premier chèque de la loterie, je visitai attentivement les bureaux crasseux des propriétaires de notre usine. Un quart d'heure plus tard j'avais formé des plans précis concernant mon avenir. Le vieux bâtard blanc qui possédait l'entreprise fut ravi lorsque je lui exposais mes plans concernant l'usine, une usine propriété d'un arrogant bâtard noir !

Les mois suivants, je réussis à signer des contrats d'état portant sur 5.000.000 $, plus particulièrement basé sur la course.

Comme les profits devaient rentrer dans l'usine, je fis une seul et simple proposition aux employés blancs : s'ils voulaient continuer à travailler dans mon usine ils devaient accepter une réduction de salaire de 20 %, cette somme serait redistribuée entre mes ex-collègues noirs.

Bien que cela leur fasse une terrible perte de salaire, je savais qu'ils n'avaient pas le choix.

La seconde partie de mon réajustement englobait la subjugation et la soumission des plus jolies femmes des personnels les plus jeunes de l'usine. En soumettant ces jeunes femmes aussi innocentes que sans défense, je voulais étendre ma domination sur ces bâtards de blancs qui avaient réglé ma vie pendant 26 années. Tandis que les maris peinaient sous l'insupportable chaleur du Mississipi, je commençai mes visites aux domiciles des fidèles épouses de mes employés.

Les trois premières visites à leurs domiciles, des mobile-homes, se passèrent sans aucun ennui. Pour conquérir ces salopes blanches, il suffisait de les informer que faute de se déshabiller et de me tailler une pipe, leurs maris recevraient leur dernière paye le vendredi suivant. Comme elles imploraient pitié pour que j'épargne la misérable vie de leurs époux, je posais tranquillement mes mains sur leurs têtes et pous-sais leurs visages apeurés vers ma bite noire dénudée. Une fois qu'elles avaient avalé ma semence je leur donnais le programme de mes prochaines visites. Je les prévenais que je les appellerais où qu'elles soient pour me rencontrer et je définissais aussi la tenue qu'elles devraient porter.

Elles devaient aussi m'informer de la méthode de contraception qu'elles employaient et comme la plupart utilisaient des préservatifs, je les prévenais que je les emploierais que si j'étais satisfait de leurs performances. Si au contraire je n'étais pas satisfait, je les baiserais à nu, elles devraient alors compter sur la chance pour ne pas être engrossées.

Mon principal but, bien sûr, était d'engrosser les plus désirables femmes de mes employés blancs pour me venger cruellement de leurs maris lorsque leurs femmes accoucheraient d'un beau bébé noir.

En utilisant cette méthode, je mettrais des mois à asseoir une totale domination sur ces trous du cul blancs.

Et maintenant que je vous ai exposé mon plan directeur, je vais vous entretenir de la quatrième visite que j'entrepris par un chaud après-midi de juillet. 

Karen Saunders était la plus désirable des femmes de ce pays. Elle n'avait que 18 ans mais respirait l'érotisme, elle avait une aura sensuelle d'un intense impact. Ses longs cheveux blonds naturels cascadaient sur ses petites épaules. Elle avait de petits nibards très fermes, des petits tétons pointus couronnaient ses nichons au centre d'auréoles du quart de la taille de ses nibards. Ses longues jambes étaient bronzées et son ventre parfaitement plat surmontait une étroite petite chatte voilée par ses légers habits.

Pour plaire à son travailleur de mari elle avait enfilé un tee-shirt avec un délicieux décolleté en "V" qui soulignait en les dévoilant partiellement d'admirables trésors mammaires. David, son époux, travaillait le plus possible afin pourvoir sa ravissante jeune femme de toutes les menues choses qu'elle désirait. Toutefois, les longues heures de travail et le travail éreintant l'épuisaient, il était exténué lorsqu'il rentrait chez lui. Ces dernières années son habileté à satisfaire les appétits sexuels de sa somptueuse femme ne faisait aucun doute. Mais dès qu'il perdit sa confiance en la fiabilité de ses érections, en sa capacité à déployer sa bite de taille moyenne, les échecs se multiplièrent. Son épuisement et son impuissance grandissante l'éloignaient de sa femme habituée à voir ses appétits totalement satisfaits.

Il était environ 16 heures lorsque j'arrivais au mobile-home rouillé de David et Karen. Il se trouvait au beau milieu du camping et ma nouvelle Lincoln blanche contrastait violemment avec la grisaille et le délabrement environnant.

Comme je me dirigeais vers la porte, je remarquai que des ombres bougeaient derrière les fenêtres des autres "habitations", les habitants épiaient chacun de mes pas. Dans des circonstances normales, un noir n'aurait jamais été autorisé à visiter une jeune épouse blanche. Je souris en frappant à la porte du mobile-home, mais bien sûr les circonstances étaient loin d'être normales. Un homme riche était respecté et j'étais l'homme qui avait le plus d'argent dans cette ville.

La jeune et jolie madame Karen Saunders ouvrit sa porte, elle était vêtue d'une brassière blanche qu'elle portait sans soutien-gorge et d'un short de jean coupé court qui mettait en valeur ses longues jambes bronzées. Visiblement ma présence devant sa porte l'effaroucha, elle jeta un rapide coup d'œil circulaire et revint à moi me demandant tranquillement :

- Monsieur Washington, qu'est ce qui me vaut votre visite ?

- Bonjour Karen. Puis-je entrer ? Lui répondis-je prestement.

Je sentais bien que la somptueuse beauté qui me faisait face cherchait une excuse pour ne pas me laisser entrer.

- Il y a des problèmes à l'usine et je pense qu'il vaut mieux qu'on en parle à l'intérieur. Lui exposai-je calmement, en jetant un oeil circulaire sur les autres mobile-homes.

Ayant regardé ses voisins, elle décida qu'il vaudrait mieux, effectivement, discuter à l'intérieur de cette maison qu'elle partageait avec son époux depuis 3 ans. Elle avait épousé David alors qu'elle avait 15 ans et il lui avait cueilli sa précieuse fleur.

Elle s'écarta timidement comme je visitais à loisir le petit appartement propret. Le conditionneur d'air sous-dimensionné ne parvenait pas à dissiper les dernières chaleurs de cet après-midi d'été. Je me dirigeai vers le sofa et m'y assis.

- J'ai soif, apportez-moi une limonade avec des glaçons !

Visiblement choquée par mon attitude cavalière, Karen jeta un oeil timide sur son environnement et se rendit dans la kitchenette pour me préparer ma limonade. Comme elle approchait humblement, je tapotai le siège près de moi et lui susurrai convivialement :

- Je vous en prie, joignez-vous à moi. Je dois vous dire quelque chose au sujet de l'usine.

Après une longue hésitation elle se glissa à mes côtés après m'avoir donné mon verre de limonade. Elle gardait ses longues jambes serrées l'une contre l'autre sans rien dire.

- J'ai bien peur que l'usine doive se séparer d'une quinzaine de collaborateurs. Je dois augmenter la rentabilité et j'ai découvert qu'un nombre moindre d'ouvriers exécutera le même travail s'il est habilement motivé. J'ai déjà pensé aux moyens de les motiver ce qui me permet d'éliminer les profiteurs. Lui annonçai-je calmement.

Comme je regardai l'adorable blonde dans les yeux je vis une certaine appréhension s'afficher sur sa figure. Elle finit par lever les yeux et me posa l'évidente question :

- Que va-t-il se passer pour David ? M'interrogea-t-elle d'une voix tremblante.

- Ouais. J'ai bien peur que... Commençai-je, souriant intérieurement lorsque je vis son visage afficher son horreur.

- Mais nous venons tout juste d'acheter une voiture neuve et nous avons de nombreuses dettes en souffrance. Me répondit-elle les yeux pleins de larmes.

Elle détourna rapidement son regard cherchant à cacher ses pleurs.

- David disait que tout se passait bien au travail et...

- Bien. Commençai-je.

Prenant entre mes mains ses mains tremblantes, je les caressai gentiment :

- Vous savez, il n'est pas encore mis à la porte.

S'attachant à cette dernière ouverture, désespérée, elle me regarda dans les yeux et murmura :

- Il ne serait pas ?

Essuyant ses yeux elle me jeta un regard plein d'espoir.

- Non il ne serait pas. C'est moi qui décide qui reste et qui part. Enonçai-je sentant ma grosse bite noire se déployer dans mon pantalon.

- Vous feriez cela ? Me demanda-t-elle éperdue.

- Oui. Je dois te dire que je suis déjà allé voir d'autres femmes d'employés. Et je dois te dire qu'elles ont préféré coopérer. Et leurs maris ont conservé leurs emplois ! C'est pourquoi je suis venu te voir, je me demandais si tu voulais vraiment aider ton mari à conserver son emploi !

Le brusque tutoiement la déstabilisa fortement, il l'obligeait déjà à admettre inconsciemment qu'il avait tous les atouts dans sa manche, le sort de son mari dépendait uniquement de sa bonne volonté. Et donc de sa docilité à elle !

L'air de l'implorer, la ravissante blanche le regarda, horrifiée.

- Bien sur que je veux aider mon mari !

Un sourire sardonique éclaira mon visage alors que je saisissais sa main pour la poser sur mon entrecuisse. Ma grosse bite noire se déploya lorsque machinalement elle referma ses doigts sur ma hampe avant de la repousser abruptement.

- Oh non, je ne peux pas tromper mon mari ! Me supplia la somptueuse Karen.

- Avant que tu ne refuses définitivement, je te suggère de penser à ton mari et à votre avenir. Comment survivrez-vous sans le boulot de ton mari ? La raillai-je cruellement.

Tout en posant cette question, je posai ma main droite sur son genou et je caressai tendrement la face interne de sa cuisse.

- S'il vous plait. Ne faites pas ça ! Soupira-t-elle misérablement.

- C'est bon. Ton mari peut se chercher un nouveau boulot ! Oh oui, il ne lui servirait à rien d'utiliser mon nom comme référence. En fait, il va avoir beaucoup de mal à trouver un autre travail. Je vais tout faire pour l'en empêcher !

Karen se mit à sangloter, je tournai les talons prêt à sortir.

- Atte... Attendez ! Murmura-t-elle d'une voix atone.

Je me retournai lui faisant face, la regardant droit dans les yeux alors qu'elle était toujours assise sur le sofa.

- Oui ?

- S'il vous plait ne m'obligez pas à... Je vous en prie.... Je vous en prie.... Sanglotait-elle éperdue.

Je tournai les talons.

- Tu me fais perdre mon temps salope. Je vais me trouver une autre pute blanche ! Ricanai-je en me dirigeant vers la porte.

- Non, je vous en prie. Répliqua-t-elle hésitante puis la tête baissée elle soupira :

- C'est d'accord.

Je souris, me reculant d'un pas, faisant face à l'attrayante créature. Je posai mes mains sur mes hanches, attendant qu'elle prenne l'initiative. Elle hésitait.

- Viens ici salope ! J'ai pas toute la journée ! Lui hurlai-je menaçant.

Elle se glissa sur le rebord du canapé, tendit ses mains tremblantes. Elle agrippa le curseur de la fermeture éclair de mon pantalon de costume italien. Je levai les yeux, un sourire triomphant sur mon visage alors que je jetais un coup d'œil circulaire sur cette épave de mobile home.

Je souris encore plus largement en entendant descendre la fermeture éclair de ma braguette. Sa petite main menue plongea dans mon pantalon. Ses doigts se refermèrent sur mon épaisse mentule, je l'entendis nettement haleter. J'attendis patiemment, elle sortit finalement ma grosse bite. Je baissai les yeux et souris en la voyant écarquiller ses yeux comme des soucoupes, sa mâchoire sembla se décrocher, sa bouche était grande ouverte, je lui demandai :

- Je parie que tu n'as jamais vu de bons gros chibres noirs auparavant ?

Elle hocha lentement la tête. Je lui souris :

- Allez salope, referme tes lèvres bien roses sur ma bite noire !

Karen enfourna prudemment ma bite dans sa bouche chaude et humide. Elle lécha le gland pourpre comme une sucette. Pendant ses trois années du mariage elle n'avait guère pratiqué que la traditionnelle position du missionnaire, et encore assez rarement ces derniers mois.

Elle sentait une épaisse purée s'accumuler dans l'entrejambe de son short de jean. Alors qu'elle se sentait plus à l'aise pour déguster son gros champignon, elle se débattit mais n'en avala pas moins 8 bons centimètres de plus de bite noire. Comme elle se débattait en suçant ma hampe tendue, je la raillai cruellement :

- Je parie que ton précieux David ne te fourre pas souvent sa bite en bouche !

Son esprit affolé évoquait des images, elle voyait clairement la bite amollie et inutile de son époux. La longue bite épaisse provoquait l'érection de ses tétons qui frottaient contre le tissu de sa courte brassière. Sa petite culotte blanche était trempée de cyprine alors qu'elle se démenait pour le sucer, avide d'en tirer un certain plaisir. Elle ne parvenait pas à concevoir qu'une bite puisse être aussi dure. D'autant qu'elle n'avait expérimenté que la virilité de son mari et qu'à cet instant de sa vie, elle se consumait de désir.

Tandis que mon chibre raidissait, je commençai à bouger mes hanches, présentant mon chibre noir à l'orée de la gorge de Karen. Comme elle commença à étouffer, je sentis mes burnes s'emplir d'une prochaine éjaculation. J'attrapai prestement les mains de Karen alors qu'elle se démenait ma grosse prune maintenant engagée dans sa gorge crispée. Un dernier coup de boutoir m'amena au bord de l'explosion, je projetai ma chaude semence dans l'arrière gorge de l'adorable madame David Saunders.

Elle aspira mon précieux jus jusqu'à ce que je la laisse me lâcher, quelques gouttes tombèrent sur le tapis usé à la corde. Comme elle reculait sa tête libérant mon gros braquemart, un filet de foutre luisant s'étira reliant mon gland turgescent et à son menton souillé de foutre. Les yeux fermés, elle cherchait à nier son incontestable soumission.

Je fis un pas en avant et me branlai pour extraire les dernières gouttes de sperme de mon méat, elles tombèrent sur ses longues jambes bronzées. Elle ouvrit les yeux en grand en sentant cette dernière décharge gluante lui souiller les cuisses.

- Quel moyen contraceptif utilise-tu ma chérie ? Lui demandai-je suavement.

Hébétée, elle leva les yeux vers moi et me répondit timidement :

- Nous ne pouvons utiliser que des préservatifs !

J'enfourchai le buste de la malheureuse ménagère effarouchée laissant reposer ma bite dégoulinante de foutre et de cyprine sur ses délicieux nichons toujours couverts de sa petite brassière. Je laissai le tissu de sa brassière s'imprégner de foutre provoquant leur seconde érection de l'après-midi. Comme elle me regardait avec appréhension, je la choquai à nouveau en commentant :

- Tes hésitations m'ont profondément déplu ! Je t'appellerai en cours de semaine. Puisque tu parais affamée de bite, ma petite salope, ta prochaine passe te coûtera 50 $.

Karen allait protester, mais soudain ses plaintes s'envolèrent. Elle savait pertinemment qu'elle n'avait pas le choix, alors que la bite du patron noir de son mari l'excitait follement, elle en avait la foufoune trem-pée de désir.

- Si tu me satisfais, j'utiliserai un préservatif. Si tu préfères me désobéir à nouveau lors de notre prochain rendez-vous, tu repartiras la chatte pleine de mon foutre fertile ! Ricanai-je férocement.

Me relevant, je remontai ma fermeture éclair et me dirigeai lentement vers la porte. Lorsque je l'atteignis, je me retournai pour contempler une dernière fois la fragile beauté, respirant difficilement, couchée sur ses coudes. Son visage, au menton dégoulinant de mon foutre, reflétait son anxiété. Et son excitation.

- Ouais, Pensai-je ravi, l'ensorcelante madame Saunders va constituer un délicieux jouet que j'utiliserai au gré de mes désirs !

En quittant le mobile-home délabré, je souris en sentant les yeux des voisins braqués sur moi, épiant chacun de mes mouvements. En sortant du parc, je savais déjà que David se poserait bientôt de nom-breuses questions pendant les chaudes nuits d'été à venir.

A suivre.

jeudi 25 juillet 2024

Telle mère telle fille Ch. 02

Traduction d’un texte de jacobmerriweather.

 *****

Il essaie la fille...

Ben se tient sur le porche. Anne ouvre la porte et le fixe en souriant.

- Salut Ben ! Dit-elle en détournant les yeux.

- Salut ! Répond Ben en détaillant la jeune fille.

Anne est plus grande que sa mère, plus maigre aussi. Elle a des cheveux brun plus clair qui coulent par vague ainsi que des sourcils bruns épais. Elle est maigre avec une paire de seins bien développés ainsi qu’un petit cul rond. Elle a le look d’une fille de bonne famille.

- Ça ne te dérange pas si j’entre ? Dit Ben pour rompre le silence.

Sans attendre de réponse, il pousse la porte et la jeune fille le suit alors qu’il monte à l’étage. Elle ne sait que dire. Finalement, alors qu’ils entrent dans sa chambre, elle demande :

- Comment as-tu découvert pour Carly Peterson et moi ? En a-t-elle parlé aux gens ?

Ben rit en s’asseyant sur son lit.

- Tu penses que cette jeune fille bourgeoise va parler à quiconque des choses que tu lui as faites ?

Anne s’étouffe.

- Ce que… Ce que je lui ai fait ? Nous étions juste… C’était juste… Nous… Balbutie-t-elle en rougissant.

- Oh attends, j’ai gardé des preuves ! Dit Ben pour la faire taire.

Il sort une grande enveloppe de son sac et ka jette à la jeune fille. Celle-ci pâlit en voyant les photos à l’intérieur.

Pendant ce temps, à l’insu de sa fille, Marianne est à quelques mètres de là, complètement ligotée et bâillonnée, regardant l’échange, les larmes aux yeux.

Ben lui avait fait le même scénario il y a quelques mois. Il avait installé des caméras dans sa chambre et un week-end, alors son mari était parti avec son fils, il l’avait attrapé pour la faire chanter.

Elle n’avait pas fait l’amour depuis si longtemps. Elle n’avait jamais trompé son mari auparavant, mais son professeur de Yoga était passé pour lui prêter un livre. Ils avaient discuté et elle avait posé des questions. Sans vraiment savoir pourquoi, l’homme s’était retrouvé à jouir en elle et il était parti en la laissant sur son lit, coupable et honteuse.

Mais rien n’aurait pu la préparer à la honte qu’elle avait ressentie une semaine ou deux plus tard. Ben s’était présentée chez elle et lui avait montré photos et vidéos. Sa vie était entre ses mains alors que le garçon ne voulait qu’une chose : sa soumission complète. 

Et là, elle se retrouve assise et attachée pour regarder sa fille traverser la même épreuve qu’elle il y a quelques mois. Elle regarde Ben prendre lentement le contrôle d’Anne. Celle-ci est en train de regarder les photos une par une. Abasourdie, elle demande :

- Comment as-tu obtenu ça ? Où ? Comment ? As-tu caché des caméras dans ma chambre ?

La jeune fille hurle presque, le visage rouge de honte et de colère. Ben sourit calmement et tapote le lit à côté de lui. 

- Oui, mais ne t’inquiète pas, je les ai toutes retirées. J’ai tout ce qu’il me faut.

- Qu’il te faut pour quoi ? Demande Anne.

Ben hausse les épaules.

- Mais tu ne peux pas faire ça ! J’appelle la police, c’est illégal et tu vas avoir beaucoup de problèmes !

Anne se lève et se dirige vers la porte de sa chambre.

- Ohhh, je doute que tu fasses cela ! Dit Ben en souriant.

La jeune fille ralentit et prend une profonde inspiration. Ben continue :

- Si tu vas voir la police, tout le monde en ville saura que tu n’es qu’une petite salope. Tout le monde verra comment tu as traité la pauvre petite Carly. Comment tu lui as demandé de se mettre nue dans ta chambre et comment tu l’as doigté, comment tu as joué avec elle. Tout le monde te traitera de pute quand elle portera plainte. Mais je ne crois pas que tu veuilles que ça se produise. 

Pour enfoncer le clou, le garçon ajoute :

- Bien sûr je ne vais pas t’empêcher d’aller voir la police, et probablement je serai condamné à passer quelques mois en prison si je ne dis rien. Mais je vais mentir et leur dire que tu m’as demandé d’installer ces caméras. Je leur dirai que tu voulais un enregistrement de ta séance avec Carly. Après avoir regardé la vidéo, ils me croiront peut-être. Et tu seras accusée de complicité.

Anne secoue la tête, immobile. Puis elle crache :

- Espèce de connard !

Elle s’avance pour le frapper, mais il attrape son bras et l’enroule dans son dos. Puis il la couche sur le lit, le visage contre les draps, son petit cul rond en l’air.

- Anne, laisse-moi parler ! Tu devrais m’écouter ! Dit Ben qui lutte pour le tenir.

- Va te faire foutre ! Crie-t-elle.

Il soupire et sort une corde de sa poche. Il attache ses mains dans son dos. Puis il soulève sa robe et l’entend crier alors qu’il lui arrache sa culotte.

- Non ! Non ! Crie-t-elle avant qu’il ne fourre le sous-vêtement dans sa bouche pour la faire taire.

- Voilà, c’est beaucoup mieux ! Sourit-il en lui donnant une bonne tape sur le cul avant de se placer devant elle.

- J’ai bien regardé ce que tu as fait. Je parie que ce n’était pas la première fois, n’est-ce pas ? Demande-t-il.

Elle secoue la tête.

- Ne mens pas ! Ordonne-t-il en lui claquant le cul.

Elle sursaute et se tortille en gémissant. 

- Je vais retirer ta culotte, et tu vas répondre à toutes mes questions avec un « oui Monsieur » ou un « non Monsieur », c’est compris ? Dit-il en la fessant à nouveau.

Elle hoche la tête. Alors il saisit la culotte et la baisse. Anne gémit de honte en évitant de le regarder.

- Ce n’est pas la première fois que tu demandes à une de tes amies de te faire jouir, n’est-ce pas ?

Elle se mord la lèvre.

- Eh bien… Je… Commence-t-elle.

Il lui claque le cul une nouvelle fois.

- Non, non Monsieur, ce n’est pas le cas.

- As-tu déjà baisé avec un homme ? Demande Ben.

Elle prend une profonde inspiration.

- Oui Monsieur.

- As-tu aimé ?

- Oui Monsieur.

- Mais tu as beaucoup apprécié que ta petite copine joue avec toi, non ?

- Oui Monsieur.

Anne s’est un peu calmée. Elle prend de longues et profondes respirations pendant que Ben passe sa main le long de ses jambes, caressant la chair douce, la chatouillant alors que ses doigts approchent de plus en plus de sa chatte.

- Je t’ai regardé lui demander de t’étouffer alors que tu jouissais. Tu aimes être malmenée, n’est-ce pas ? 

- Je… Oui Monsieur. Murmure-t-elle en se rattrapant de justesse.

- As-tu déjà baisé avec un homme qui s’est montré dur avec toi ? Demande-t-il en lui claquant le cul une nouvelle fois.

Elle tremble et secoue la tête.

- N… Non Monsieur.

- Mais c’est bien ce que tu voudrais, non ? Un homme sachant comment te traiter ? Comment te dominer et te punir ? Puis te baiser comme la petite pute que tu es ? 

Anne ouvre la bouche pour répondre, mais rien ne sort. Elle détourne la tête, des larmes coulant sur ses joues.

- Tu ne veux pas me le dire ? Eh bien, je vais le découvrir moi-même.

Ben sourit et pose ses doigts sur sa chatte. La chaleur humide les enveloppe alors qu’ils les glissent à l’intérieur. Elle mouille abondamment.

- C’est exactement ce que je pense. Dit Ben en la soulevant pour la remettre sur ses pieds.

Le garçon lui délie les mains. Anne reste immobile devant lui en se frottant les poignets. Elle le fixe en se mordant la lèvre, sans rien oser dire.

- Tu as deux options Anne. Je peux partir d’ici tout de suite et nous devrons faire face tous les deux au scandale qui éclatera quand les photos et vidéos seront rendues publiques.

Il fait une pause pour lui laisser le temps de réfléchir.

- Ou, tu peux te mettre à genoux et je vais te montrer comme c’est amusant de devenir une bonne petite esclave. 

Anne ouvre la bouche mais ne dit rien. Elle le regarde ouvrir son pantalon et sortir sa grosse bite bien dure. C’est la plus grosse qu’elle n’ait jamais vue. Elle commence presque à baver. Lentement, en tremblant, elle pose un genou à terre, puis l’autre. Elle regarde nerveusement le garçon, puis elle ouvre la bouche.

Quelques mètres plus loin, dans sa chambre, Marianne voit sa fille s’agenouiller et accepter d’être la nouvelle pute de Ben. Elle est tourmentée par un flot d’émotions, la peur, la tristesse, la colère, mais surtout la culpabilité. Alors qu’elle regarde la tête de sa fille se balancer d’avant en arrière, elle a envie du gros sexe du garçon.

Soudain, alors que Anne est en train de le sucer, Ben sort une petite télécommande de sa poche, fait un clin d’œil à la caméra qu’il a cachée et il appuie sur le bouton.

Instantanément Marianne sent des vibrations dans sa chatte et toutes ses émotions sont remplacées par une envie de plaisir. Elle avait oublié à quel point elle avait eu envie de jouir toute la journée alors que Ben l’avait baisée et punie. Mais à cet instant, tout lui revenait.

Elle lutte contre cette furieuse envie et essaie de ne pas avoir d’orgasme alors qu’elle regarde sa fille sucer Ben. Rien de ce qu’il lui a fait subir auparavant ne la jamais fait se sentir aussi coupable et honteuse que maintenant. Elle gémit doucement tout en se balançant d’avant en arrière, la chatte ruisselante, de la bave coulant sur son menton.

- MMMMMM ! Gémit-elle, des larmes coulant de ses yeux.

- Enlève tes putains de dents de ma bite ! Crache Ben en saisissant Anne par les cheveux et en la giflant. 

La jeune fille grimace, gémit et étouffe, une boule de salive sortant de sa bouche.

- Tu as compris ? Demande Ben en sortant sa bite de sa bouche.

Marianne regarde les larmes couler sur le visage de sa fille.

- Oui Monsieur ! Murmure celle-ci.

- Tu aimes ça , non ? Demande Ben en giflant son visage avec sa bite.

Anne déglutit et rougit profondément. De honte, elle n’ose regarder le garçon.

- Oui Monsieur ! Répond-elle avant que Ben ne remette sa bite dans sa bouche et la laisse bouger sa tête d’avant en arrière.

Alors que Marianne regarde sa fille forcée de plaire à Ben, sa culpabilité se change peu à peu en jalousie. Elle veut la bite du jeune garçon. Elle bave d’envie en regardant Anne s’occuper de la queue qu’elle ressent être la sienne. Les larmes coulent sur son visage quand elle réalise que son envie alimente son hypocrisie. Elle jouit.

C’est un plaisir écrasant qui l’envahit, un orgasme comme elle n’a jamais connu. Il se répand en elle comme la lave sur le flanc d’un volcan, détruisant tout sur son passage. Elle tremble encore et encore et son jus dégouline de sa chatte comme la bave de sa bouche. 

Quand sa jouissance se termine, Marianne n’a aucune idée du temps qu’elle a duré. Elle regarde le monstre qui est son Maître. Elle voit sa fille à quatre pattes, le cul en l’air, tandis que Ben, derrière elle, titille son clitoris et lèche sa chatte. Sa langue sonde même son cul alors qu’elle tripote ses seins et pousse son dos vers lui.

- Oh mon Dieu ! Oh putain ! Oh s’il vous plaît Monsieur ! S’il vous plaît, laissez-moi jouir ! Gémit-elle.

Ben s’assoit et donne une claque sur son cul.

- A qui appartiens-tu ? Demande-t-il en frappant à nouveau son cul avant d’attraper ses fesses et de les écarter.

- A vous ! A vous Monsieur ! Je vous appartiens ! Je ferai tout ce que vous voudrez, quand vous voudrez ! Je vous appartiens ! Gémit Anne en secouant la tête.

- Tu es ma petite pute ? 

- Oui je suis votre pute, votre salope ! Crie Anne.

Ben attrape ses hanches et enfonce son visage dans sa chatte.

- Jouis ! Lui dit-il.

Alors la jeune fille commence à crier de plaisir. Marianne a de nouveau un orgasme en regardant jalousement Ben lécher sa fille comme il ne l’a jamais fait auparavant. Elle sanglote sans se retenir, incapable de rester lucide alors qu’elle se débat dans les affres de sa jouissance.

- Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Gémit Anne.

Marianne reprend ses esprits. Quand elle lève les yeux, elle voit sa fille rebondir de haut en bas sur la grosse bite bien raide de Ben

- Oh votre bite ! Oh mon Dieu ! Gémit anne en saisissant ses seins.

- C’est si bon ! Vous êtes si gros ! Oh mon Dieu !

- Tu vas être une bonne petite esclave, n’est-ce pas ? Demande Ben.

- Je serai la meilleure esclave pour votre bite , Monsieur. Je ferai tout ce que vous me demanderez. Je vous appartiens maintenant ! Oh mon Dieu ! S’il vous plaît Monsieur, puis-je jouir ?

- Jouis pour moi, petite salope ! Grogne le garçon.

Anne ne se retient plus, elle crie, gémit et tremble alors qu’éclate l’orgasme. Son corps se tend et sa chatte gicle partout sur Ben et le lit. Finalement elle s’effondre.

- Oh mon Dieu ! Oh Ben !

- Chut ! Repose-toi ! Dit Ben en se penchant sur elle.

Elle se blottit dans les couvertures à côté de lui. Ben reste assis sur le lit, souriant à la caméra. Il tend la main et attrape la télécommande. Les yeux de Marianne s’écarquillent alors qu’il enclenche la plus grosse intensité du gode.

 *****

Marianne gémit et essaie de reprendre son souffle alors qu’un autre orgasme la traverse. Une nouvelle vague de plaisir la submerge. C’est sans fin. Cela fait combien de temps ? Des heures ? Des jours ?

Elle a perdu la notion du temps, mais chaque fois qu’elle lève les yeux, elle voit sa fille sur l’écran, recroquevillée contre son bourreau, le sourire vicieux la fixant, même si elle sait qu’il ne peut la voir.

Mais cette fois-ci, quand elle lève les yeux, Ben n’est plus là.

- Tu t’es bien amusée ? Demande le jeune garçon en entrant dans la chambre.

- Mmmmm ! MMMMMMMmm ! Gémit Marianne en luttant contre ses liens.

Ben rit, puis il lui frappe le cul en lui demandant :

- Combien de fois as-tu joui en me regardant transformer ta fille en petite pute ?

Marianne détourne le regard.

- C’est bien ce que je pensais ! Sourit-il en éteignant le gode vibrant et en la déliant lentement.

Quand elle est enfin libre, il lui enlève son bâillon. Elle lève les yeux vers lui, la mâchoire endolorie, et lui demande en sanglotant :

- Comment… Comment as-tu pu ?

- Comment ai-je pu quoi ? Corrompre ta douce fille innocente ? La transformer en pute comme toi ?

Ben se moque d’elle, mais elle se détourne.

- Comment as-tu pu me remplacer ?

Elle se met à pleurer en tombant de sa chaise et en se recroquevillant sur le sol. Ben sourit et secoue la tête.

- Oh je ne t’ai pas remplacée, espèce de salope idiote !

En riant il saisit ses cheveux et la soulève pour la placer sur le lit. Puis il se presse contre son corps. Elle enroule ses bars et ses jambes autour de lui et ils s’embrassent. Les larmes coulent toujours sur le visage de Marianne.

- Je ne t’ai pas abandonnée ! Lui assure-t-il.

Elle soupire. Il lui murmure alors en lui mordillant l’oreille :

- Ta fille n’a pas réussi à me faire jouir. C’est donc à toi de finir ce qu’elle a commencé.

La mère de famille tremblante commence alors à sourire.

- Quel trou veux-tu que je baise ? Ton cul ou ta bouche ? Chuchote le jeune garçon.

Marianne sourit comme si c’est la plus belle chose qu’on lui ait jamais dite.

- Ma bouche Monsieur. Répond-elle.

Il recule et la regarde tomber à genoux. Elle prend sa bite dans ses mains. Il bande encore et ell est toujours collante.

- Lèche bien ! Enlève le jus de ta pute de fille ! Ordonne-t-il.

Elle se précipite en avant et avale entièrement la queue dressée. Elle pose ses mains sur ses hanches et avance la tête pour que le membre s’enfonce dans sa gorge.  Elle le regarde, les yeux mouillés de larmes, déterminée à lui montrer qu’elle est une bonne pute talentueuse. 

- Putain c’est bon ! Dit-il en saisissant sa tête et en la baisant pendant qu’elle étouffe et bave.

- Ohhhh merde ! Grogne-t-il alors que sa bite explose, giclant du foutre chaud et collant au fond de la gorge de la mère de famille.

Le jeune garçon sort sa bite et dit alors :

- Nous allons devoir apprendre à ta fille comment sucer une bite, tu ne crois pas ?

Après avoir fini de tout avaler, Marianne acquiesce :

- Oui Monsieur.

 **** 

Marianne est assise complètement nue sur le tapis moelleux du dressing. Elle est totalement attachée et bâillonnée. Le gode vibrant est dans sa chatte, un plug est dans son cul. Elle est assise sur ses fesses, jambes écartées, la chatte dégoulinante.  Elle est envieuse en regardant par les fentes de la porte du dressing sa fille se faire pilonner sans pitié sur son propre lit. 

- Ah ouais ! Tu aimes te faire baiser comme une pute sur le lit de ta mère, non ? Demande Ben en donnant une grosse claque sur le cul de Anne tout en donnant de violent coup de rein pour bien enterrer sa bite dans la jeune fille.

- Oh oui… Putain… Putain oui Monsieur ! Faites ce que vous voulez à votre pute. Mon corps vous appartient !

Elle gémit en secouant la tête et en bavant sur les draps de sa mère. Ses yeux roulent dans sa tête.

- Putain ! Putain ! Ouiiii ! 

Elle crie en sanglotant et riant, sa chatte libérant son jus alors qu’elle jouit. Puis elle gémit, complètement essoufflée et Marianne gémit aussi.

La mère de famille a passé la dernière semaine à regarder Ben baiser sa fille dans tous les sens. Il l’a martelée sans pitié et l’a transformée complètement en une salope soumise.

Mais il semble qu’elle n’apprécie pas seulement le fait d’être un jouet dans les mains de Ben. Elle est insatiable dans la dépravation, gloussant après avoir été baisée en gorge profonde, gémissant quand Ben lui parle de la possibilité d’entraîner ses amies dans un trio, le suppliant de pouvoir toucher ses amies quand ils les baiseraient, lui demandant même si elle pourrait participer à les punir.

Marianne ne peut s’empêcher d’avoir honte en réalisant que sa fille Anne n’est plus simplement la soumise de Ben. Elle est sa partenaire, son égale. Elle dégage une certaine brutalité animale, elle a faim du pouvoir dégradant qu’il exerce. Elle apprécie leurs fantasmes partagés de chantage et de trios forcés presque autant qu’elle aime être abusée et baisée sans pitié.

- Je n’ai pas cette chance. Pense-t-elle en les regardant, malade d’envie, alors qu’elle est ligotée et incapable de se détourner de la scène devant elle.

D’une certaine manière, elle a raison. Anne est jeune, mince et souple, elle est belle et son corps est parfait, doux, jeune et en forme. Marianne est simplement plus vieille, une pute ordinaire, un modèle ancien. Bien sûr elle n’est pas vilaine simplement plus galbée avec des courbes plus prononcées, des gros seins et un gros cul. Mais en regardant Ben baiser sa fille, l’embrassant fiévreusement alors qu’il étire sa petite chatte serrée d’adolescente, leurs bras enroulés autour de l’autre dans une étreinte passionnée, il est évident qu’ils sont une paire parfaite.

Ben ne l’a jamais embrassé en la baisant. Puis il a rarement baisé sa chatte, lui préférant son cul.  Peu importe qu’il prenne toujours le temps de s’occuper d’elle après avoir baisé sa fille, peu importe que sa bite soit toujours bien raide quand il la rejoint, Marianne sait qu’elle ne peut rivaliser.

- Retourne-toi, je veux ton cul autour de ma bite ! Dit Ben.

Il la jette sur le lit. Anne gémit en se retournant et en soulevant son cul en l’air tout en enfouissant son visage dans les draps.

- S’il vous plaît Monsieur, s’il vous plaît, ne soyez pas violent ! Supplie-t-elle.

- Bien sûr chaton, nous devons juste préparer ton cul à accueillir ma bite, tu comprends ?

- Oui Monsieur, n’importe quoi pour vous Monsieur ! Gémit Anne.

Elle grogne alors que la queue de Ben essaie de forcer l’entrée de son petit cul. Ses yeux s’écarquillent et elle plonge son visage dans les draps. Marianne regarde et écoute tandis que sa fille sanglote. Elle se perd dans ses pensées.

La nuit précédente avait été un peu comme ce soir avec Ben jouant ouvertement avec sa fille dans le salon pendant qu’elle préparait le dîner et qu’elle devait agir comme si elle ne pouvait pas entendre sa propre fille sucer le garçon dans la pièce voisine. Elle avait dû éviter d’entrer dans la pièce pour éviter toute confrontation.

Après le dîner, Ben l’avait rejoint dans sa chambre. Sans un mot il l’avait poussée sur le lit et il avait soulevé sa nuisette pour pouvoir l’enculer assez longtemps pour qu’elle ait envie de jouir.

- S’il vous plaît Monsieur, s’il vous plaît ! S’il vous plaît, laissez-moi jouir ! Avait-elle supplié.

Mais Ben s’était contenté de rigoler en lui claquant le cul. Il lui avait dit :

- Non ! Ça ne serait pas correct puisque ta fille a fait tout le travail aujourd’hui. Tu n’as pas le droit de jouir, pas ce soir, compris ?

Marianne avait été désespérée. Elle s’était mordu la lèvre en luttant contre l’orgasme qui approchait alors que Ben gémissait et remplissait son gros cul de foutre avant de se retirer.

Après qu’il ait claqué la porte, elle avait trouvé son vibromasseur et elle s’était jeté sur le lit pour répondre à ses besoins, pour se donner l’attention qu’elle méritait, l’attention qu’elle n’avait plus depuis que sa fille était devenue la nouvelle soumise de Ben. Elle avait enfoncé l’objet profondément dans sa chatte alors que son autre main approchait son cul.

- Ohhhh, ohhhhh !!

Elle avait gémi sans se soucier de savoir qu’il lui était interdit de se toucher. Elle avait été si blessée, si coupable et si honteuse d’être envieuse de la relation de sa fille avec son bourreau, son maître-chanteur que ses sentiments étaient confus.

Elle grognait en baisant sa chatte. Elle se rapprochait de plus en plus de l’orgasme, le sperme du garçon coulant de son cul et s’amassant sur ses doigts. Elle portait sa main à sa bouche et léchait le foutre avant d’aller en récupérer plus sur son cul. Elle savourait le goût de la désobéissance.

Elle était bien près d’un orgasme, son corps tendu et prêt à être soulagé. Mais même si elle était à un doigt de jouir et qu’elle s’escrimait à jouer avec sa chatte, elle n’arrivait pas à basculer. Elle était si proche, elle en avait tellement envie et elle suppliait de jouir, mais elle ne pouvait le faire.

Elle ne pouvait pas jouir sans sa permission.

Après une demi-heure d’efforts infructueux, elle abandonna, jetant le vibromasseur sur le côté, et s’effondrant sur son lit, vaincue. Elle gémit et sanglota doucement, acceptant ce qui venait de se passer. D’une façon ou d’une autre, l’emprise de Ben sur elle était plus forte qu’elle n’aurait pu le penser.

- Ça va chaton ? Demande Ben à Anne, brisant les pensées de Marianne et la ramenant à la réalité.

Il sort sa bite du cul de la jeune fille. Celle-ci ment en tremblant un instant avant de pouvoir lui faire face. Elle bégaie en reniflant et sanglotant doucement :

- Oui… Oui Monsieur… je vais bien, je vous le promets. S’il vous plaît Monsieur, n’arrêtez pas de m’enculer…

- Chut… Chut… Du calme… Ce n’est pas grave si tu ne veux plus que je mette ma bite dans ton cul. Nous pouvons prendre le temps que tu t’habitues. Dit Ben en l’embrassant sur le front et en la berçant dans ses bras.

- Mer… Merci Monsieur ! Sanglote Anne en frottant son visage contre sa poitrine.

Le garçon l’embrasse alors qu’elle respire fort. Il faut un moment à la jeune fille avant qu’elle ne se redresse, s’extirpe de ses bras et tombe à genoux.

- S’il vous plaît Monsieur, j’ai tellement envie de votre sperme. Chuchote-t-elle.

Elle attrape sa bite raide, dure et collante pour la lécher de haut en bas. 

- Voulez-vous donner à votre princesse esclave votre semence chaude ?

Ben se penche en arrière en gémissant tandis que la jeune fille suce sa queue, ses petites mains caressant la hampe et ses couilles sans les serrer, de la salive dégoulinant sur son sexe.

- Bien sûr bébé, mais tu vas juste devoir le mériter ! Dit Ben en caressant ses cheveux.

Il commence à lui enfoncer sa bite le plus loin possible dans sa gorge, mais elle ne peut descendre qu’à mi-chemin avant que la jeune fille commence à tousser et s’étouffer.

- Eurgggghhh…

Elle gémit en prenant une profonde inspiration.

- Ghhhhhh…

Elle étouffe et tremble, les yeux injectés de sang, la maquillage maculé de larmes et de bave.

- Eurgghhh… Ghhhh…

Marianne regarde sa fille étouffer sur la grosse bite de Ben avant qu’il ne se retire.

- C’est bon chaton ! Ça suffit pour ce soir. Je veux que tu ailles prendre un bon bain chaud et que tu te détendes. Dit le jeune garçon en l’embrassant .

Anne détourne les yeux.

- Mais Monsieur, c’est le boulot de votre petite salope de vous faire jouir. Dit-elle en s’accrochant.

- Tu en as déjà fait beaucoup aujourd’hui, je suis fier de toi. Sourit Ben.

Elle rougit et baisse les yeux. Le garçon ajoute :

- Moi, je vais me nettoyer ici et peut-être jouir dans une culotte de ta salope de mère.

Marianne retient son souffle alors qu’elle regarde sa fille qui est en train de penser à la chatte de  sa mère recouverte du sperme de son nouveau « petit ami ». Anne rit et dit :

- Oh putain, peut-être que vous devriez. Peut-être qu’un jour nous pourrons la piéger pour que l’on joue à trois. Je pourrais alors me venger des fessées qu’elle m’a mises quand j’étais petite.

Ben sourit en la conduisant vers la porte.

- Ce n’est pas une mauvaise idée !

A suivre…

mardi 23 juillet 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 01

 Texte de Ricki Black (2012)

*****

Dans la belle-famille, je demande la Benjamine.

J’ai la cinquantaine, marié en seconde noce à une jeune femme de 40 ans. De mon précédent mariage, j’ai eu deux enfants : une fille de 29 ans et un fils de 24 ans et des relations plus qu’exécrables avec mon ex.

L’histoire que je vais vous raconter débute lors des préparatifs de mariage de mon fils. Il fréquente depuis maintenant un an Emilie, jeune femme de 25 ans fort séduisante. Elle a une sœur aînée de 31 ans, Loana, et la benjamine Léa qui vient juste d’avoir 19 ans.

J’ai eu l’occasion de rencontrer la belle famille à quatre reprises et croyez-moi, je suis d’un naturel plutôt sympathique mais là ils m’ont très vite saoulé. Le père Pierre est comptable dans une petite PME, très en retrait il est sous le jougs de sa maîtresse-femme. Elle, Martine, est responsable dans une DDE, assez mince elle mesure 1.70, doit peser 56 kilos, plutôt élancée et elle a une ligne sportive, elle monte à cheval, une petite poitrine mais de belles fesses. Un physique me rappelant celui de mon ex hormis qu’elle n’était pas du tout sportive.

Elle est très autoritaire vis-à-vis de son mari et de ses enfants ce qui avait eu pour effet de créer une tension extrême lors nos précédentes rencontres. De plus travaillant principalement avec des hommes de chantier, son vocabulaire dérivait rapidement au vulgaire lors de ses énervements.

Mais comme dis l’adage, on choisit ses amis, mais pas sa famille (belle-famille en l’occurrence).

Bref, en cette belle journée de printemps, en vu des préparatifs du mariage, je suis chargé de m’occuper du champagne et c’est le coffre plein que je stationne mon 4X4 devant l’entrée du pavillon des beaux parents. Je sonne à l’interphone et sans aucune réponse la porte s’ouvre. J’entre avec mon véhicule et toque à la porte.

C’est Léa qui ouvre. Léa est une superbe jeune fille brune cheveux mi-longs, le visage encore poupon mais le corps d’une jeune femme. La nature l’a comblée ; elle n’est pas très grande, mais elle a des formes très généreuses. Une poitrine d’enfer au moins du 90C et une chute de reins atterrissant sur des fesses rebondies aux courbes discrètes.

Elle est face à moi, me souriant de ses belles dents blanches. Elle porte un tee-shirt blanc très moulant qui lui arrive à mi-cuisse. Je peux distinctement voir au travers du tissu les petites auréoles brunes de ses seins et les tétons durent qui piquent le tissu tendu par le volume de sa poitrine. Plus bas le léger renflement de son ventre qui conduit a une petite bosse assombrissant le tissu blanc ou l’on devine aisément la touffe qui parait généreuse de sa chatte.

Voyant mon regard s’attarder sur ses courbes, elle m’invite à entrer et me propose un petit café accompagné d’un sourire carnassier.

Je l’accompagne jusqu’à la cuisine. Je peux en profiter pour mater son cul moulé dans le tee-shirt, elle ondule ses hanches exagérément, je vois son sillon fessier au travers du tissu et de plus ses fesses rebondies font remonter le bas de son tee-shirt, découvrant ses cuisses presque jusqu’à la naissance de ses fesses.

Il ne m’en faut pas plus pour sentir une raideur apparaître dans mon boxer. Je suis un peu embarrassé, car en cette matinée je me suis habillé printemps : short, chemise et claquettes aux pieds.

Arrivé dans la cuisine, Léa me fait couler un expresso. Je suis debout, en appui sur la table, et ne peux cacher la bosse naissante de mon short. Pendant que je bois mon café, Léa est monté sur un des tabourets hauts équipant la cuisine. Bien sûr, la hauteur fait que son tee shirt est encore remonté et laisse découvrir le haut de ses cuisses.

A ce moment je me suis dit que cette petite était une sacrée allumeuse. Cette manœuvre n’a fait qu’accentuer la bosse du short.

Puis d’une voix douce :

- Dites-moi Michel , est-ce que mon café est bon ?

Je lui réponds qu’il est délicieux tout en ayant le regard attiré par le creux de ses cuisses avec lesquelles elle joue sans pour autant les entrouvir. Toutefois mon esprit n’attendait que ce moment, voir apparaitre ce qui m'était caché.

Puis reprenant elle ajoute :

- Le café a-t-il des effets aphrodisiaques ?

A ces mots j’avale de travers en m’étranglant. Mais que cherche cette petite dévergondée. Si c’est  m’exciter c’est bon c’est fait.

- Non je ne pense pas, mais pourquoi une question aussi saugrenue ? 

- Et bien, me répond-elle, parce que mon copain en boit beaucoup et il bande toujours mou !

Je m’esclaffe dans la tasse.  Et m’aperçois qu’elle a très légèrement écarté ses cuisses. Je peux presque voir sa chatte. Mais l’effet est dévastateur, ma queue cette fois est raide et déforme mon short en tendant le tissu. Léa ne peut pas ne pas s’en être aperçue.

- Alors que sur vous Michel c’est plutôt l’effet contraire ! finit-elle en écartant encore ses cuisses. 

Ca y est, je vois sa chatte. Dans une densité de poils noirs je distingue une fente rose brillante. Cette salope s’amuse bien et elle est tellement excitée que l’on peut voir sa mouille recouvrir ses petites lèvres. Mon excitation et mon envie d’elle à ce moment est tellement fort qu’il faut que je détourne mon attention de sa chatte.

- Mais où sont tes parents ? lui dis-je sur un ton abrupte. 

Elle est déconcertée par mon changement d’intonation et ressert les jambes instinctivement.

- Papa est au boulot pour la journée et Maman revient pour déjeuner.

Ayant repris ses idées elle ajoute tout en descendant  du tabouret :

- Nous avons du temps devant nous...

Je ressens à cette instant une vraie frustration de n’avoir pas plus profiter du spectacle qu’elle m’offrait. S’approchant de moi comme une féline, elle me prend ma tasse et se collant à moi elle en léche le bord avec une lubricité sans nom. Sa langue tourne délicatement sur le bord décrivant ainsi un cercle comme elle l’aurait fait autour d’un gland. Son ventre collé au mien insiste sur le barreau de chair qui cherche à exploser du short.

Je sens que la situation m’échappe, je la saisis par les épaules et la repousse. Sous la force elle glisse au sol. Elle est le cul par terre, les jambes écartées, le tee shirt remonté sur le ventre, toute son intimité livrée à mon regard. Sa fente est entièrement ouverte laissant bien voir cette fois son abondante humidité. Je suis presque ému de voir une si belle chatte, cela fait très longtemps que je n’avais pas vu le sexe d’une toute jeune femme. Ce qui a pour effet d’accentuer mon excitation.

Elle reste assise, cuisses largement ouvertes, me laissant reluquer, alors qu’elle mate mon entrejambe. Toujours assise sur le sol, elle saisit mes deux mollets et en glissant se rapproche, puis lentement elle fait monter ses deux mains en même temps le long de mes jambes. Ses mains sont douces et leurs caresses m’électrisent. Impuissant je laisse faire Léa qui me sourit. Je vois son jus intime inonder peu a peu l’intérieur de ses cuisses.

Ses mains arrivent à la hauteur de mon short, glissent sous le tissu et s’approche imperceptiblement de ma queue. Puis sa main gauche se pose sur mon sexe alors que l’autre saisit mes couilles. C’est divin,  elle me palpe délicatement la hampe et remonte avec son index jusque sous mon gland. Elle le titille ce qui a pour effet de le faire gonfler encore plus. Puis n’y tenant plus elle passe sa main sous mon boxer et saisi ma queue fermement.

- Hummm comme elle est grosse et dure, Michel, ça fait des semaines que je pense à toi et que je me caresse en espérant…

Elle commence à me décalotter et passe son pouce sur mon gland qui est trempé, elle me parait très experte pour une petite jeune. Ce contact déclenche en moi des frissons.

- Dis-moi, tu as l’air de plutôt apprécier… 

Oh si tu savais à quel point. Toutefois il me prend une seconde de lucidité et je lui saisis les deux poignets et la repousse une nouvelle fois mais cette fois-ci il faut que je matte cette petite vicieuse.

- Tu vas arrêter de me chauffer petite salope, la bite de ton copain ne te suffit pas que tu veux une bite d’homme !

Et la saisissant par le poignet je la retourne en lui levant son tee-shirt et je commence à lui administrer une bonne fessée. Soudain quelle stupeur, je vois sur sa fesse gauche une tache de naissance bien brune ayant la forme d’un papillon. Je suis certain d’avoir déjà vu cette tache, comme si j’avais déjà vécu ce moment présent auparavant. J’ai beau chercher au fond de ma mémoire ce souvenir ne veut pas revenir. Puis soudain jaillit une image plus distinctement… Mais oui ça y est !!!!

J’abandonne ma fessée pour ouvrir mon iphone. Je recherche sur mon moteur habituelle à la rubrique image le titre "belle fesses"

Puis je fais défiler les images et au bout de 30 secondes je retrouve mon site. Puis ayant accédé au site je retrouve les photos que je recherche et bingo je retrouve le cul de ma Léa… Des photos toutefois plutôt softs et qui ne montrent que son cul, ses gros seins et des mains qui les pelotent. Par contre, son visage est flouté.

C’est à l’instant précis où j’ai montré les photos à Léa que tout a basculé dans ma tête, et que j’ai perçu immédiatement le pouvoir qu’allait me donner cette situation. Léa, à genoux, me supplie de ne rien dire. Elle avoue que c’est bien elle, que c’est une idée de son copain Mathieu. Il l’a prise en photo avec son portable et elle a pris Mathieu, et pour s’amuser ils ont mis en ligne leurs photos sur un site d’exhib.

Ses yeux remplies de larmes, elle me dit qu’elle fera n’importe quoi mais surtout que je garde le secret. 
Fort de ce nouveau pouvoir, je baisse mon short et mon boxer, ma bite se détend. Elle est tendue et dure, une belle bite d’environ 20 cm et 6 bon cm de diamètre. L’attrapant par les cheveux je lui ordonne de me bouffer la queue. Déposant mon gland sur ces lèvres j’enfonce d’un trait ma bite dans sa bouche.

Elle a la bouche remplie et a des haut le cœur quand ma bite vient taper dans le fond de sa gorge. Je la maintiens, elle étouffe et devient vite toute rouge. Soulageant ma pression, elle rejette ma bite dans un épais filet de salive qui coule sur ton tee*shirt.

Elle a du mal à reprendre son souffle. Ne lui laissant aucun répit, je renfonce brutalement ma queue en lui disant sur un ton froid et cassant :

- OK ma belle, je ne dirai rien, mais à partir de cet instant tu es ma pute, tu devras m’obéir et faire ce que je t’ordonnerai de faire sans aucune discussion… A la moindre incartade, tes parents, tes sœurs et les parents de Mathieu recevront ces photos…

Alors que Léa leche mon gland, je sors mon iphone et la photographie avec ma grosse bite dans la bouche.

- Plus toutes celles que je vais faire de toi ma chienne !

Le regard qu’elle me tend ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle se sait piégée et totalement à ma merci.

Je suis vraiment un salaud mais d’avoir une jeune femme totalement soumise est une première, je n’ai jamais ressenti une telle excitation. Je finis par gicler de longs jets de foutre sur le visage de léa. Elle en a partout, les yeux, les cheveux, le foutre coule sur son tee-shirt. Je m’amuse et prends plusieurs photos de son visage souillé. Je lui ordonne ensuite de me nettoyer la bite avec sa langue et de plus je veux qu’elle récupère mon foutre et qu’elle l’avale. Léa s’exécute et me lèche la bite tout en récupérant les grosses giclées de foutre qui la recouvre pour les avaler.

Afin de m’assurer que Léa est bien soumise, je lui intime l’ordre de lécher les quelques gouttes de jus tombées sur mes pieds. Sans aucune hésitation elle se penche en avant et léche. J’adore la voir ainsi à genoux à mes pieds. Je saisis son tee-shirt et le remonte pour voir son superbe cul. Du fait de sa position, sa raie est ouverte et offerte sur son petit trou du cul. Il est fascinant, brun et très serré. J’aperçois quelques poils ça et la autour.

Attrapant Léa par les cheveux, je l’oblige à se redresser. Debout devant moi, je lui demande de se mettre nue. Elle ôte son vêtement. Elle est là nue, la beauté de sa jeunesse éclaboussant mes yeux, sa peau est blanche presque laiteuse, ses seins sont splendides, son pubis recouvert d’une toison épaisse noire qui cache sa vulve. Ma queue n’y résiste pas et reprend des formes.

Elle me regarde dans les yeux et y voit tout le désir que je ressens à cet instant. Alors elle esquise un sourire. Et c’est une magistrale baffe qu’elle reçoit en retour.

- Baisse les yeux, sale pute !

Elle obéit alors que les larmes coulent sur ses joues. Je reprends en lui annonçant ce que j’attends d’elle :

- A partir de ce jour tu ne porteras plus de culotte, tu ne porteras plus de pantalons !

-  Même quand je vais en cours ? murmure-t-elle.

- Tu ne porteras plus de pantalon, suis-je assez clair ?

Elle me fait oui de la tête.

- Tu porteras des chaussures à talons et des bas quand je te l’ordonnerais ! Aucun maquillage et je veux que ta chatte et ton cul soit rasés, lisses et toujours prêts pour moi !!! Est-ce que tu as compris ?

Elle me répond, soumise :

- Oui Monsieur.

- Alors tu vas allez t’épiler tout de suite et me présenter le résultat, je te conseille de t’appliquer si tu veux pas d’ennuis ! Mais avant, j’ai une question à te poser, et réfléchis bien car je vais tout de suite voir si tu me mens !

En la regardant bien dans les yeux, je lui demande  :

- Comme tu connais bien ta mère, je veux que tu me dises où elle cache ses petits secrets, je te préviens, pas de mensonge…

Mon regard s’est durci, Léa est toute tremblante :

- Je ne suis pas certaine, mais il me semble qu’elle range des affaires dans sa boite à couture... dans la buanderie.

- Ok je te crois, va te faire belle ! lui dis-je en l’embrassant tendrement pour la première fois sur la bouche. 

Elle sort tête baissée, mais j’ai eu le temps de voir son sourire.

Avec les infos de Léa je me précipite dans la buanderie. Mon idée est d’en connaitre plus sur cette belle-famille. J’aimerais bien  pouvoir rabattre un peu l’air suffisant de la belle mère. Je trouve la boite de couture, mais hélas, rien de bien intéressant, je commence à douter des dires de Léa. Sur le coté, je vois une machine à coudre, belle pièce de collection. Je me souviens que ma mère avait à peu près la même. J’observe le mécanisme, c’est bien le même, la machine se déplie et laisse apparaitre un coffre. Passant la main au fond, je trouve une boite en bois. Je l’extrais avec quelques difficultés. Elle est assez haute et mesure 20 cm sur 10 de large. J’en ôte le couvercle et la déception, elle est pleine de bobine de fils de toutes les couleurs et d’aiguilles à coudre. Déçu et plutôt remonté après Léa, je pose la boite sur la table à repasser et continue la recherche dans le coffre de la machine… Hélas rien.

Me préparant à remettre la boite dans le coffre, je m’aperçois qu'elle est bien profonde et qu’il ne me semble pas que les bobines puissent à elles seules la remplir. J’ouvre à nouveau la boite et vide le contenu sur la table. Le fond laisse apparaitre une très légère entaille qui ne résiste pas longtemps à mes efforts. Yes, la petite ne connaissait pas la planque de sa mère, mais elle m’avait mis sur la bonne voie.

A ma plus grande joie, je vois dans le double fond un gode et un paquet de lettre. Je n’en espérais pas temps, je jubile car le gode est déjà pour moi une bonne trouvaille pour adoucir cette soi-disante cul béni.

Je saisis le gode classique, vibro que l’on peut trouver dans les VPC traditionnelles, et plutôt discret comme moyen approvisionnement. Machinalement je le porte à mon nez… Tiens, il y a encore une très légère odeur ce qui me fait dire qu’il a dû servir récemment. Je me lance à le lécher… C’est encore plus évident, un goût discret doux amer… Serait-ce la mouille de belle maman… Je sens une douce chaleur envahir mes couilles... Ca devient plutôt excitant tout ça.

Je récupère les lettres et glisse le gode dans la poche de mon short et replace la boite dans le coffre de la machine. Je vais ensuite voir Léa dans la salle de bain pour vérifier l’avancement de son épilation. Elle allait attaquer ces dessous de bras.

- Non, lui crié-je, pas les aisselles, tu n’y touches pas, je veux voir et sentir tes poils, alors tu me rases tout sauf les aisselles OK ? Et puis tu te douches après mais je veux que tu gardes les traces de ma jouissance sur ton visage et dans tes cheveux,  on est d’accord ?

- Oui ! me répond Léa interloquée par mon attitude.

Je vais ensuite prendre place dans le grand salon. Il faut dire qu’ils sont plutôt bourges les beaux parents. Une très belle maison dans un quartier résidentiel de la petite ceinture de Paris. Un jardin de toute beauté mais avec un petit problème de vis-à-vis un peu trop directe sur les fenêtres des voisins. Au vu de leurs situations c’est une famille qui ne manque pas de ressources, sport d’hiver tous les ans à Megève et résidence secondaire à la Baule…

Une fois bien installé, je commence à découvrir le contenu des lettres qui sont toutes manuscrites. Je vois deux écriture différentes. Je les trie donc par type et essaye d’en trouver l’ordre. Ces écrits  relatent en fait une correspondance entre Martine et un de ses employés de la DDE.

La première lettre est envoyée par l’employé. Il raconte à Martine qu’il l’a vu déjeuner avec le maire, qu’il a pris des photos et qu’il pense que si cette information venait à être communiquée à la presse locale, elle pourrait avoir de gros ennuis. En échange de son silence elle devait se soumettre à ses désirs sexuelles.

Heureusement que je suis assis, car le scoop est de taille, cette salope magouillait et c’était faite repérer. Je glisse ma main dans mon short, en ressort ma queue et commence à me branler, excité par la situation.

La deuxième lettre : réponse de Martine qui traite le mec de sale pervers, qu’elle va prévenir la police pour harcèlement et qu’elle va le virer dès demain. Bref elle ne cède rien.

Troisième courrier : A priori accompagné d’une photo qui n’est pas avec les documents… dommage. Cette fois-ci le mec est plus explicite, si demain elle ne le reçoit pas à son bureau, habillée en pute, bas porte-jarretelles et sans culotte, il envoie les documents à un pote à lui qui bosse au journal local. Il veut qu’elle lui suce la bite et ensuite il veut la prendre par la chatte et le cul sur son bureau.

Je vous passe une partie de la prose du monsieur qui a un langage des plus fleuries mais qui est très efficace en terme d’excitation. Excitation qui va prendre un essor considérable à la lecture de la réponse de Martine.

Quatrième lettre : J’ai accepté toutes vos conditions, mêmes les plus sordides et les plus avilissantes, je vous demande de me restituer les photos originales et de cesser votre odieux chantage.

HOUAAA, la salope de Martine s'est faite tringler par ce vicieux et vu ce qu’il décrivait dans son courrier ça a dû être méchamment pervers et je me dis que, avec cette lettre manuscrite, je la tiens par les couilles. Si si si, car elle a coupé celles de son mari.

Alors que je continue à me branler doucement, Léa fait son apparition. Elle est entièrement nue et belle comme le jour, sa chatte est imberbe et je peux enfin distinguer son abricot. Ses lèvres sont fines et légèrement renflées, Je vois dans la césure qui les sépare un filet de mouille brillante. Son regard est fixe et ne se détache pas de ma bite que je branle, je peux voir les traces séchées de mon foutre sur ses joues, autour de ses lèvres. Elle est devant moi le regard toujours hypnotisé par mon braquemard.

- Retourne-toi, écarte tes fesses et penche-toi que je puisse vérifier si tu as bien suivi mes ordres !!

Léa me présente son cul bien ouvert et lisse. Quelle vision de paradis, sa rondelle est vierge et hyper serrée. J’ai envie de la pourfendre la tout de suite et lui faire rendre corps. Mais il faut que je sois raisonnable avec cette jeune femme qui n’a jamais pris de bite par le cul. De ma main disponible j’enduis le bout de mon index avec le jus qui s’échappe de mon gland. Une fois le bout bien couvert, je le dépose sur sa rosette. Léa trésaille, mais garde le silence. J’applique une légère pression et ma première phalange pénètre dans son fourreau. Comme elle est étroite, c’est fou.

Je décide d’arrêter la pour le moment et demande à léa de se retourner. Sa chatte est maintenant trempée. J’en profite pour enfoncer mon même doigt bien au fond. Dans un gémissement de plaisir, Léa avance son bassin pour accentuer la pénétration.

- Alors dis-moi tu es inondée, petite vicieuse, ça te plaît d’être ma chienne ?

Elle secoue la tête pour répondre.

- Dis le moi à voix haute, je veux te l’entendre dire !

- Oui ça me plait d’être votre chienne, Michel !

- Oh c’est bientôt l’heure de l’apéro, alors va me servir une bière bien fraiche et amène des amuses-bouches !

Je reprends ma bite en main et continue ma lecture.

Cinquième lettre : le mec en veut encore et il raconte avec force de détails comment il l’a baisée sur son bureau et le pied qu’il a pris à la soumettre. Il lui dit qu’il souhaite la voir vendredi à l’hôtel. Il veut la baiser avec son frère, avec la aussi force de détails sur ce qu’elle va subir. Il lui rendra les photos à l’hôtel après qu’elle se soit soumise une dernière fois et il veut 5000 euros de dédommagement, car il va quitter la ville en finissant par lui promettre que si elle fait ce qu’il désire il la laissera définitivement tranquille.

C’est la dernière lettre, mais c’est la plus usée, elle est froissée et tachée. C’est aussi la plus hard puisqu’elle relate très crument ce qu’elle a subi et ce qu’elle allait subir…

Une question alors surgit dans mon esprit : Pourquoi conserver des lettres aussi compromettantes pour elle, pour son mariage, son job et sa réputation de cul béni. Tout en réfléchissant à cette question je porte la lettre à ma bouche en la tapotant sur mes lèvres. Et là surprise, l’odeur de cette lettre éveille ma curiosité... Mais oui, c’est bien la même odeur que sur le gode.

Mon esprit ne fait qu’un tour et tout s’éclaire. Elle a gardé les lettres pour se remémorer leur contenu, puisque le gode était avec et que l’odeur de celui-ci est la même que sur la lettre. On peut aisément en conclure que cette salope s’excite en revivant sa soumission et qu’elle se branle pour se faire jouir… Quelle salope, je la tiens et je vais pas me gêner pour la remettre à la place qui lui est dévolue cette chienne.

Bon sang quelle matinée, deux chiennes dans la belle-famille avec lesquelles je vais pouvoir bien m’amuser.

Léa revient avec la bière et des olives qu’elle dépose devant moi, puis elle reprend sa position. Je bois une rasade et prends une olive.

- Dis-moi, elle sont natures ces olives ?

Léa répond qu'il n’y que celles là.

- Ok ! Alors tu va toutes te les fourrer dans ta chatte maintenant ! Allez, dépêche-toi  !

Léa s’exécute, un peu surprise. Elle fait pénétrer dans son vagin les olives jusqu’à la dernière. Elle doit en avoir une bonne quinzaine.

- Maintenant tu vas allez chercher les cures-dents dans la cuisine, mais attention n’en fait surtout tomber aucune sinon…

Très délicatement, elle se dirige vers la cuisine. Par moment elle stoppe net puis redémarre.

De nouveau de retour devant moi, je saisis la coupelle, lui demande d’écarter les cuisses pour que je puisse y placer la coupelle. Sa fente est brillante d’huile et de mouille mélangée. Je place mon index sur son clito et le déplace lentement tout le long de sa fente. L’huile et sa mouille lubrifiant mon doigt, il glisse comme sur du velour. Léa gémit sous la caresse puis après plusieurs allez-retour mon doigt est bien imprégné d'huile. Je titille son clito. Son soufle alors s’accélère. J’augmente la pression, Léa commence à lâcher des râles puis des cris. Je sens qu’elle va bientôt céder, je prends alors son bouton entre mes deux doigts et les fait rouler. Elle abdique dans un feulement et jouit. Tout son corps tressaute et elle s’accroche à mon poignet pour ne pas s’écrouler au sol . Ebranlée par un orgasme sismique, elle relâche son vagin et laisse s’échapper les olives qu’elle détenait prisonnières au creux de son ventre. Les olives coulent les unes après les autres, elles sont recouvertes d’un épais jus blanchâtre et des filets de ce jus coulent dans l’écuelle.

A suivre...

dimanche 21 juillet 2024

La thèse - 1ère partie

 Bande dessinée de Chris.

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A suivre...

vendredi 19 juillet 2024

Les confessions de Françoise - Ch. 01

 Texte de Graoully 57 (2012).

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Première confession.

Nous sommes en Juillet dernier, je suis en train de faire des travaux d’embellissement chez moi. Proche de la cinquantaine, blonde, de long cheveux, j’ai encore de beaux restes. Je vis seule, j’ai un ami qui habite à plus de 300 Km. Nous nous voyons les week-ends et les vacances. 

Pour réaliser ces travaux, j’ai demandé au père du copain de ma fille (elle 25 ans et lui 26) de venir les faire. Jean Pascal est un peu plus jeune que moi, divorcé, actuellement sans copines. Le midi nous prenons notre repas ensemble et discutons de tout, des enfants, etc…. 

Ce jour, il fait un peu plus beau que les autres et je suis habillée d’une courte jupe blanche très moulante et d’un tee-shirt rouge décolleté, Jean-Pascal est en short genre athlétisme très dégagé sur les aines et d’un maillot blanc, la discussion se porte sur les rapports et besoins sexuels des uns et des autres. Dans le flot de la discussion il m’informe: 

- J’ai un gros appétit et sans femmes actuellement… Je te laisse imaginer ! 

Il ne m’est jamais arrivé de penser quoique ce soit avec lui, plus jeune, petit, ce n’est pas le type d’homme à me faire fantasmer. Mais la discussion ne me laisse pas indifférente et je sens que malgré moi les propos que nous échangeons m’émoustillent… Cela doit se voir car Jean-Pascal insiste sur certaines pratiques qu’il partage et je ne suis pas en reste lui racontant par le détail certaines soirées en boite... 

Le repas prend fin, il se lève et s’approche en me regardant dans les yeux, il porte sa main sous mon menton, repousse ma tête en arrière et dans le même mouvement ses lèvres se posent sur les miennes. Je suis surprise et sans réaction. Je réponds à son baiser, sa langue investit ma bouche. Nos deux muscles se nouent, il retire sa main et la laisse glisser sous mon tee-shirt, enveloppant un puis l’autre de mes seins, appréciant le volume et l’élasticité, il me caresse par-dessus mon soutien-gorge, excitant les pointes qui durcissent sous son contact. Je lui fais part d’un timide "Ce n’est pas bien !" qui se perd dans un étouffement. 

La position assise que j’ai n’est pas des plus confortables, mais cela ne freine pas notre envie, je lui dis tout de même que le lieu est visible de l’extérieur et que mon voisin est souvent à sa fenêtre et qu’il pourrait nous voir. Au lieu de le calmer, cette information semble au contraire le doper et tout naturellement il fait pivoter la chaise. Du coup je suis face à son observatoire et risque d’être vue par celui-ci. Cela a aussi pour avantage de lui donner plus d’espace et délaissant ma poitrine sa main se pose sur ma cuisse et disparaît sous la frêle étoffe, remontant vers mon entrejambe.

Plutôt que de le repousser, je m’ouvre et sa main se pose sur ma culotte. N’étant pas insensible à notre petit jeu, il n’a aucun mal à se rendre compte de mon état d’excitation. J’ai une pensée furtive pour mon ami qui disparaît très vite lorsque son majeur glisse sous l’élastique de celle-ci et vient titiller mon bourgeon d’amour, tendu comme un arc et réagissant à l’audace de l’intrus. 

Je ne veux pas être en reste et ma main glisse sous l’échancrure de son short, partant à la recherche de son membre bandé qui n’attend que cela. Toutes bonnes résolutions volent en éclats et à présent seul le plaisir que nous allons nous donner compte. Jean-Pascal n’est pas grand mais la nature a été généreuse avec lui, je suis surprise de ce que je tiens en main tant en longueur qu’en diamètre. Il m’en fait la remarque et je ne peux qu’acquiescer tout en pensant qu’il aurait été dommage de me priver d’un tel attribut. 

Puisque nous avons échangé sur le sujet durant le repas, je sais que ce qu’il apprécie tout particulièrement est la douceur et l’humidité d’une bouche gourmande. J’en ai tout autant envie que lui et c’est donc sans retenue que mes lèvres se posent sur l’objet de ma convoitise et que je l’engloutis. J’oublie le voisin. Son doigt visite mon nid d’amour, plus réceptif que jamais, j’ouvre mes cuisses au maximum afin de lui faciliter l’exploration, je pompe son dard, je ne suis plus qu’une femme désireuse de prendre et de donner du plaisir. Lui n’est pas mieux et il cherche à me donner un premier orgasme puisque je lui ai confessé que j’étais plus clitoridienne que vaginale. 

Notre joute s’amplifie, c’est à qui de lui ou de moi aura l’avantage de procurer la première jouissance à l’autre. C’est une espèce de suprématie qui est en jeu. La tête renversée sans pour autant relâcher ma succion, les cuisses ouvertes, son ou ses doigts fouillant mon intimité je ne sais plus, les ondes de bien être se répandent dans mon être, mon cerveau est déconnecté, son sexe grossit sous le traitement que je lui distille, je pense qu’il va jouir au fond de ma gorge, mais finalement c’est moi qui suis la première à capituler, je me concentre sur ses doigts, enserrant fortement mes cuisses sur sa main et dans un râle je me laisse aller au plaisir. 

Il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits, de sa main libre, il caresse son sexe qui est resté bien droit, satisfait de l’orgasme que j’ai eu et fier d’en être l’auteur. Je lui souris et lui propose que l’on aille dans le lit des enfants à l’étage, que nous y serons mieux. 

En me levant, mon regard se porte vers la fenêtre de mon voisin, il me semble que quelque chose a bougé, j’espère que ce n’est qu’un effet d’optique, je ne voudrais pas m’être donnée en spectacle. Mais tout ceci est vite oublié, Jean-Pascal me saisit la main et nous nous dirigeons vers cette couche pour continuer nos ébats, tant pis pour les travaux, je suis encore toute excitée et lui est sur sa faim. 

Avant de nous allonger, il me déshabille entièrement et j'en fait tout autant, je suis nue sous ses yeux, sans aucune pudeur, n’ayant qu’une envie… sentir son membre en moi. Ses mains glissent sur mon corps, aucune zone n’est oubliée, sa bouche se pose sur mon sexe, sa langue titille mon bourgeon et il boit le nectar qui s’en écoule. Il s’allonge sur moi, à nouveau nos langues se soudent, je sens son sexe contre ma chatte, j’écarte légèrement les cuisses, il ondule des reins et son gland vient glisser à l’entrée de cette grotte qu’il va investir, son buste écrase ma poitrine, nos deux corps ne font qu’un. C’est tout simplement merveilleux. Il me demande si je suis fidèle, je réponds qu’il m’est déjà arrivée lors de mes sorties en boite d’oublier mon ami et de rentrer emprunte de la sève d’un autre. 

Mon récit exerce sur lui un accroissement de son désir et mon nid d’amour humidifié de la jouissance que je viens d’avoir s’ouvre, laissant Jean-Pascal s’introduire en moi. Il le fait avec beaucoup de douceur, appréciant centimètre par centimètre la domination à laquelle je me soumets. Son gland dilate les parois de mon vagin, je confirme le plaisir qu’il me donne en feulant telle une chatte en chaleur, il m’investit entièrement et lorsqu’il est au plus profond de mon être et de mon intimité il se bloque afin que je puisse prendre conscience de l’énormité de sa virilité. 

Il se retire, laissant un vide en moi, je me colle à lui et le supplie de me prendre bestialement, du coup son sexe perfore ma chatte et cela durant plusieurs minutes, je suis secouée de toute part. Il accélère, ralentit, je le supplie à nouveau, je crie, je lui dit que je l’aime, qu’il se vide en moi, que je veux sentir son plaisir exploser en moi, des orgasmes se déclenchent à chaque fois que son sexe bute au fond de mon utérus, je suis une poupée de chair, je vais au devant de son pieu, de son dard, de sa queue, il retient sa propre jouissance pour user et abuser encore plus de moi. Il veut que je l’implore sans doute, que j’accepte sa domination de mâle et moi de femelle soumise, il a raison, je ne suis plus moi-même, je suis une chienne qui attends la récompense de son maitre. Il malaxe mes seins, de temps en temps un doigt vient agacer mon œillet anal ce qui n’est pas pour me déplaire. Il pense que je vais me donner entièrement à lui, il a sans doute raison, pourrai je lui refuser quoique ce soit ? 

Elle finit par arriver, il se cambre, s’empale au fond de ma chatte, quelques soubresauts de sa queue et un déluge de sperme jaillit en moi. Je jouis en même temps pour la énième fois de suite. Il retombe sur moi, nos lèvres se soudent, nos corps s’épousent. 

Nous reprenons conscience un peu plus tard, sa virilité est dressée, me laissant aucun doute sur la suite de l’après-midi. Je lui dis quand même que les enfants sont susceptibles de rentrer, il n’en a que faire. Au contraire, il glisse sa main sur mon ventre puis plus bas, j’ouvre le compas de mes cuisses et un doigt revient visiter l’antre gluant de mon nid d’amour. Je ne suis pas en reste et ma main empoigne son vit, j’entame des mouvements de haut en bas, une goutte perle au sommet de celui-ci, je me contorsionne et ma langue vient recueillir le nectar qui s’en échappe. Il en profite pour faire glisser son doigt de ma raie fessière à ma chatte, récupérant la sève de nos ébats pour humecter mon œillet qui s’ouvre à l’intrus. Un doigt puis un deuxième viennent dilater mon conduit des plus intimes, mon muscle anal s’assouplit. 

Il me demande de me mettre sur le ventre, se couche sur moi, m’écarte les lobes fessiers et tenant sa lance d’une main la positionne sur sa cible. Il pousse et mon corps s’ouvre à lui à nouveau. Je suis adepte de la sodomie, mais la taille de mon assaillant m’oblige à me cramponner aux draps. La douleur est vite remplacée par un bien être et notre joute sexuelle reprends de plus belle. Cette fois, il redouble de violence dans ses gestes et de plus il me gratifie de tous les mots : chienne, salope, catin… 

Au lieu de m’offusquer, j’en viens à lui répondre : 

- Oui vas-y je suis ta pute, ta chienne. 

Il défonce mes reins, une jouissance exceptionnelle est en train de prendre corps en moi, présageant une explosion toute aussi forte que les précédentes. Quand enfin, il libère sa lave au fond de mes intestins, je me laisse aller et un torrent de jouissance me submerge. 

Nous restons soudés ainsi, peu à peu je ressens son sexe qui perd de sa consistance et s’extirpe de mes reins, laissant comme un peu plus tôt un sentiment de vide en moi. Il est temps pour chacun de nous de nous rhabiller et de laisser croire qu’il ne s’est rien passé. J’aère la pièce pour faire disparaître cette odeur très caractéristique du sexe. Cela faisant, j’aperçois mon voisin à sa fenêtre, la fenêtre de la chambre étant au dessus de celle de la cuisine, il me jette un regard inquisiteur, as t il vu quelque chose ?

Jean-Pascal descend dans la pièce pour continuer son travail ou du moins pour laisser croire aux enfants qu’il l’a fait. Je retourne à mes occupations, je débarrasse la cuisine, puis je vais dans la salle de bain du haut pour enlever toutes traces de nos ébats. Je suis jupe retroussée et jambes écartées en train de me rafraichir lorsque Jean-Pascal fait irruption et sans préliminaires me plie sur l’évier, son sexe est à nouveau bandé, il se colle à moi et me pénètre une troisième fois, rapidement, égoïstement. Quelques allers-retours, il se répand dans mon ventre, se réajuste et repart comme si de rien était. Ainsi s’achève cette première joute sexuelle ensemble.

A suivre...