Texte de gkcdqho
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L'exhibition de Nicole dans la voiture.
Marcel revient le lendemain matin, je lui sers un café et il prend la parole !
- Aujourd'hui va être le premier jour où tu vas m'accompagner en public. Je vais faire en sorte que personne du quartier ne te voit et nous irons dans des endroits qui ne sont pas fréquentés par tes amis.
Il continue :
- Je veux que tu te maquilles de telle façon que personne ne doute que tu es ma salope. Et tu feras de même avec ta coiffure.
Elle s'assoit devant son miroir et applique un fond de teint qui apporte une lueur rose à son visage. Ensuite, elle applique une ombre à paupières, un eye-liner et elle assombrit ses sourcils. Puis elle ébouriffe ses cheveux ce qui lui donne un air sauvage qu'elle n'a jamais eu auparavant. Elle avait vu ce genre de style dans les films, mais ne l'avait jamais appliqué sur elle-même. Enfin, elle se met une épaisse couche de rouge à lèvres rouge profond, assortie à la couleur de ses ongles.
Quand elle se retourne vers lui, il est stupéfait de la transformation, elle est maintenant sa soumise. Sa queue recommence à durcir, mais il se dit qu'il faut qu'il se calme, car il y aura encore bien des occasions dans la journée pour la baiser. Il lui tend le porte-jarretelles noir et les bas. Tandis qu'elle les enfile un par un et les fixe, elle ne peut empêcher son cul et sa chatte d'être exposés aux yeux baladeurs de son tortionnaire.
Quand elle a fini de mettre ses bas, il lui tend le string rouge qu'elle enfile. Le bout de tissu n'est pas assez large pour couvrir ses poils pubiens. Marcel sourit et pense qu'avant la fin de la journée, tous ces poils auront disparu ainsi que tout poil de sa chatte à son cul. Il lui tend le soutien-gorge rouge que son mari avait commandé pour elle. Elle ne l'avait jamais porté en public et ne pouvait imaginer à quoi elle ressemblerait sans vêtement couvrant ses mamelons.
C'est au tour de la mini-jupe bleue, boutonnée sur le devant, à lui être tendue. Elle remarque que l'ourlet de la jupe couvre à peine le haut de ses bas. Enfin elle reçoit le chandail beige. On peut se rendre compte qu'il n'est pas transparent, mais il n'y a aucun doute que ceux qui l'examineraient pourraient voir les anneaux qu'il allait faire poser à sa soumise. Une fois satisfait de la tenue de sa Nicole, il lui dit :
- Allons prendre ma voiture. Nous allons nous promener.
Alors que Marcel prend le volant, Nicole se demande ce qui va lui arriver encore aujourd'hui. Elle est maintenant complètement soumise à Marcel qui la fait chanter. Avec succès, il commence à convertir la Nicole en salope et esclave sexuelle. Depuis qu'il l'a filmé en train de se faire baiser par un intérimaire dans la réserve de l'entreprise, il la manipule et lui fait comprendre qu'elle n'a pas d'autres choix que de se soumettre à ses exigences. La première vidéo d'elle était accablante, mais la série qu'il a faite ensuite est encore plus compromettante. La femme sait que toute hésitation de sa part sera punie par la divulgation des vidéos sur le site de l'entreprise. Pire encore, son mari Jacques, en dépannage à l'étranger, recevrait des vidéos spéciales.
Alors qu'ils sortent elle se demande comment elle pourra expliquer aux voisins sa tenue et le fait d'être emmenée dans une voiture par un autre homme que son mari. Elle sait que son accoutrement lui fait ressembler à une salope dévergondée. Aujourd'hui, samedi matin, Nicole est dans le cabriolet décapoté de Marcel qui est au volant. Elle ne sait pas ce qu'il lui réserve.
Marcel lui fait déboutonner les boutons de sa jupe en jean, si bien qu'elle est ouverte jusqu'à son string rouge. Il lui a fait également déboutonner son chandail afin que toute personne regardant dans la voiture puisse voir ses seins tenus par le soutien-gorge rouge tout en laissant apparaître ses mamelons.
Elle est contente qu'aucun de ses voisins ne promène son chien ou ne travaille dans son jardin. Marcel roule tranquillement jusqu'au bout de la rue. Puis, il dirige le cabriolet hors du quartier. Elle essaie de se faire petite au fond du siège en espérant que personne ne la voit. Il la regarde et sourit. Il pense qu'il peut lui laisser un peu de répit pour le moment.
Mais lorsque la voiture sort du quartier et s'engage sur l'autoroute, il dit à sa soumise :
- Arrête de te recroqueviller dans le siège. Je veux que tu te tiennes droite, que tu ouvres ce chandail et que tu mettes ta main gauche dans ta culotte.
Alors qu'elle obéit lentement aux ordres de son Marcel, un petit camion arrive en rugissant côté chauffeur de la voiture. La fenêtre du passager descend et apparaît un homme de trente-cinq ans. Quand le camion est au niveau du cabriolet, l'homme regarde par la fenêtre. Il a une vue parfaite de l'intérieur de la décapotable. Il plisse les yeux afin de se concentrer sur ce qu'il voit. Dans la voiture d'à côté, il y a un homme avec une femme âgée qui se caresse la chatte en exposant ses seins et ses tétons.
Marcel lève les yeux pour regarder le passager du camion. Un sourire vicieux s'épanouit sur son visage. Il glisse sa main sur la cuisse gauche de Nicole et il tire la jambe vers lui afin la chatte de sa soumise soit complètement exposée à la vue du voyeur. Il se penche vers la Nicole et lui dit :
- Pince tes mamelons.
Sans hésitation, elle saisit ses deux seins avec ses deux mains et triture ses tétons. En même temps, elle regarde son amant de maître chanteur afin de comprendre pourquoi il a tiré sa jambe. Là elle s'aperçoit, qu'à quelques centimètres de la voiture, il y a un homme à la fenêtre d'un camion qui peut voir tout ce qu'elle fait. Alors que, rapidement, elle essaie de se couvrir, elle entend Marcel lui dire :
- N'essaie même pas !
Alors, sans protester, elle recommence à pincer et tordre ses mamelons. Elle sent la main de son homme monter le long de sa jambe jusqu'au haut des bas et près de sa culotte qui couvre son sexe. Quand le bout des doigts de l'homme touche le bord de dentelle de la culotte, il peut sentir les quelques poils pubiens qui dépassent. Il glisse ses doigts sous le tissu et peut directement poser son majeur sur le clitoris de sa soumise. Il commence de lents mouvements circulaires sur le bourgeon de la femme. Il peut sentir un peu d'humidité se formant sur la chatte de sa Nicole, Alors il continue à frotter le clitoris qui durcit. Tout à coup, il retire sa main de la culotte, prend une des mains de la femme pour la poser sur sa chatte et il lui dit :
- Jouis ! Je veux que les hommes dans le camion voient quelle salope tu es. Jouis MAINTENANT !
Comme si elle attendait le signal, elle laisse l'orgasme la submerger tout en pinçant de plus belle ses tétons et en frottant rapidement son clitoris à travers son string. Elle continue à se tortiller sur le siège pendant qu'il guide la voiture hors de l'autoroute et prend une route à quatre voies. Quand elle se remet de sa jouissance, elle ouvre les yeux pour voir que le petit camion n'est plus à côté de leur auto. Elle regarde les devantures des immeubles devant lesquels ils passent et elle commence à se sentir mal à l'aise. Chaque immeuble semble contenir un commerce à caractère sexuel ainsi que des salons de massage ou de tatouage. Quand la voiture approche d'une intersection, le Marcel lui dit :
- Tu peux te reboutonner, nous y sommes presque.
Rapidement, elle se redresse et commence à remettre les boutons de sa jupe, alors il lui dit :
- Qui a dit que tu peux remettre tout ? Tu ne remets que les deux premiers et tu laisses les autres défaits.
- Mais ?? Si je fais ça, tout le monde pourra voir ma culotte. Répond Nicole.
- Je m'en fous, je suis ton homme et tu m'obéis !
La femme remet les seuls boutons autorisés et demande ensuite :
- Puis-je reboutonner mon chandail ?
Il regarde sa soumise et voit son regard inquiet et craintif. Il répond alors :
- Si ça peut te rendre heureuse. En revanche tu laisses les trois boutons du haut défaits.
La Nicole est contente de pouvoir se couvrir un peu. Le quartier et l'environnement lui donnent la chair de poule. Elle regarde tout autour et rien ne lui indique la destination vers laquelle la mène son tourmenteur. Au même moment, la voiture s'arrête devant l'entrée d'une boutique. Les fenêtres sont peintes dans des couleurs très vives, mélangeant les couleurs. Elle constate que ce bâtiment ne correspond pas aux autres du quartier. Elle se demande pourquoi il s'est arrêté là.
A suivre...
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