dimanche 27 novembre 2022

Farid et les autres Ch. 04

Texte de Florence22.

 *****

Rachid, le frère de Farid, profite aussi de la jeune femme mariée.

Lundi 16 juin.

Du temps a passé depuis cette Saint-Valentin où Farid m’a enculé sauvagement. Il me baise toujours au moins 4 fois par semaine dans la buanderie, je prends toujours mon pied mais ça devient routinier.

Avec lui, le dialogue est difficile, il ne me parle pas, me considère vraiment comme sa vide-couille et ses conversations se limitent à : « suce salope », « avale grosse chienne », « écarte les cuisses putain de ta race », « donne ton cul », « t’aime ça hein ? ».

Ça m’excite, mais j’aimerais un minimum de partage. Depuis février qu’a commencé notre histoire je ne compte plus toutes les pipes que je lui ai faites, la quantité de sperme qu’il m’a fait avaler, les sodomies, les orgasmes. Ce qui l’excite c’est que je téléphone à mon mari pendant qu’il me baise, c’est difficile pour moi d’essayer d’être naturelle alors qu’il me bourre comme un sauvage. Il voulait aussi me faire baiser par un de ses potes, j’ai refusé net et il n’a pas insisté.

Mais aujourd’hui dans la buanderie, je me retrouve face à lui et un autre mec.

- Tu vois Rachid, c’est elle que je bourre tous les soirs.

- Elle est pas mal ! Bonjour beauté, je suis Rachid le frère de Farid.

-bonjour, il ne m’avait jamais parlé de vous (ni de rien d’autre d’ailleurs, de Farid je ne connais que sa queue) qu’est ce que vous faites la ?

-Farid et mon père vont partir la semaine prochaine au bled pour l’été et c’est moi qui dois m’occuper de l’appart, et comme il m’a dit que la chatte de la voisine était a disposition je viens l’essayer.

- Dites, vous êtes gonflé, faudrait peu être me demander mon avis, je ne suis pas un objet.

- Je vois pas où est le problème, puisque t’aime la bite d’arabe je suis la pour t’en donner, que ce soit mon frère qui te tire ou moi, le résultat sera le même pour toi. Et moi je me vide les couilles gratuitement, comme ça tout le monde est content.

- Hèèè attendez, doucement. Je ferais ce que je veux si je veux.

- Tu vois frérot pourquoi j’la calcule pas, elle a toujours quelque chose à dire, donc faut pas lui demander son avis, faut la niquer et c’est tout.

- Farid, je veux bien être gentille mais il y a des limites, tu fais le malin parce qu’il y a ton frère.

- Ta gueule, et suce-moi !

Et joignant le geste à la parole, il prend ma main, la met sur son survêt, et me roule une pelle.

- Vas-y, touche-moi l’zob, fais-moi bander !

En même temps je regarde Rachid, finalement ça me change de la routine. Rachid est très grand, 1m85 à peu près, 25ans, baraqué, un peu de ventre, si sa queue est proportionnelle à son corps ça me promet des cris de jouissance. Il est brun, mal rasé, je vois une touffe de poil sortir de sa chemise, il donne l’image d’un mec qui aime la vie, la bouffe, la baise. Il n’est pas très beau mais dégage quelque chose d’excitant, de sensuel.

Farid se frotte contre moi, puis Rachid sans rien demander passe derrière et commence lui aussi à se frotter contre mes fesses, il est tellement grand que sa bite arrive plutôt au niveau de mon dos, ses mains entourent mes seins qu’il est en train de juger, soupeser, malaxer, puis il me pince les tétons à travers le tissu fin de ma nuisette.

- Alors chérie, comme ça on trompe son mari ? On préfère la bite circoncise ? T’as envie de consommer halal bébé ? T’inquiète on va te satisfaire.

Rachid est plus loquace que son frère mais plus menaçant, j’ai envie d’aller plus loin avec lui, mais j’ai peur qu’il m’emmène trop loin dans ses fantasmes, dans la soumission.

- Tu vas te mettre à genoux, nous pomper comme une bonne suceuse que tu es, et bien nous avaler jusqu’à la dernière goutte, ok bébé ?

Un pincement des tétons plus douloureux accompagne ses paroles.

- Non attendez, tout va trop vite, je ne sais pas je… Aaaiiiie !

Il m’attrape violemment par les cheveux, me tire en arrière, m’enfonce son énorme langue dans la bouche, la ressort et me dit :

- Je répète, tu te mets à genoux, tu nous pompes et t’avales tout, des questions ?

Mes bouts de seins sont en charpie, il me maintient la tête par les cheveux.

- Aie, non pas de questions, ok je le ferais !

Pendant que je me mets à genoux je sens ma chatte qui coule, toute mouillée de cette nouvelle phase de mon aventure. Ma main masse la queue de Rachid à travers son jean pendant que je me fais baiser la bouche par Farid. Rachid ajoute :

- C’est bien tu vois, si tu obéis t’auras que du plaisir, vas-y maintenant, fais voir ce que tu sais faire.

Il reste debout, jambes un peu écartées. Je dégrafe son pantalon, le baisse, puis déboutonne son caleçon et la, un énorme truc d’environ 22 cm, très lourd, très gras, soutenu par une énorme paire de couilles qui ne rentre pas dans une seule main, me tombe sur le visage. Il ne bande qu’à moitié et j’enfourne dans ma bouche cette grosse bite qui durcit. Malgré mes efforts elle ne rentre pas toute dans ma bouche, j’aspire le gland et branle le reste, de l’autre main je pars a la découverte de ce nouveau corps.

Je lui caresse les couilles, passe ma main sur ses cuisses, ses fesses, il est très poilu, tout le contraire de son jeune frère. Je sens que Farid est jaloux de me voir heureuse de sucer ce gros membre, m’en régaler. Depuis 3 minutes, il se branle frénétiquement puis me prend par les cheveux et me plante sa bite au fond de la gorge. Rachid en profite pour se frotter sur mon visage, je sens ses couilles sur ma joue. Puis le plus jeune décharge dans ma bouche dans un râle de plaisir. Comme à mon habitude je recrache rapidement ce sperme que je n’aime toujours pas. Là Rachid me dit :

- Je t’avertis que si tu t’amuses à recracher une goutte de ma jute par terre, je te mets une gifle qui va t’apprendre la vie et j’irais me faire sucer par ton mari, compris ?

Impressionnée et intimidée, je lui fais un signe approbateur de la tête. Malgré la crainte qu’il m’inspire, j’ai envie d’être à lui, de lui obéir.

A son tour il enfourne son gland et jouit une quantité de sperme incroyable en me maintenant la tête. Je ne peux pas tout avaler, ça ressort de ma bouche, il en a sur la cuisse et les couilles. J’ai envie de vomir, deux rasades de sperme d’un coup c’est trop.

- Bon, pour une première fois c’est pas trop mal, lèche maintenant !

Et me voila soumise et appliquée à lécher les gouttes de sperme dans les poils de ses couilles, de sa jambe.

- Lèche le gland, nettoie. Lèche-toi les babines maintenant. Humm vas-y, gobe-moi les burnes, lèche sale pute, humm vas-y plus loin, continue !

Il lève une jambe.

- Humm ouii, lèche-moi le cul.

Il se tourne, se penche et me présente son cul. Devant mon hésitation il me pousse la tête contre ses fesses, je m’applique à le lécher, c’est pas désagréable. En tout cas il a l’air d’apprécier, et ça me fait plaisir.

Il s’assoit sur la chaise les jambes écartées, je constate que son érection est revenue.

- T’as bien obéi, vas-y maintenant, fais-toi plaisir ! Empale-toi sur ma bite ! Fais-en ce que tu veux !

Il m’offre sa verge en cadeau, je ne me fais pas prier et je m’embroche sur cette bite majestueuse. Il reste passif, je bouge, la fait coulisser au-dedans de moi, je m’accroche à ses épaules. En moins d’une minute j’ai un orgasme que je n’ai jamais connu, ni avec mon mari ni avec Farid. Il continue de me faire sauter sur sa bite comme une poupée de chiffon. Après de longues minutes de bourrage intensif, je sens un deuxième orgasme venir et on jouit tous les deux en même temps.

- Faut que j’y aille Rachid, mon mari risque de me demander pourquoi je reste si longtemps dans la buanderie.

- Et on t’a jamais appris la politesse ?

- Tu veux que je te dise quoi ?

- Déjà tu me remercies pour le bon coup de bite que je t’ai donné !

- Bon ben merci Rachid !

Il baisse les yeux sur sa queue luisante de sperme. Avant qu’il m’ordonne quoi que ce soit je comprends qu’il faut que je le nettoie. Je m’agenouille, prends son membre mou dans ma bouche et le suce en avalant les restes de foutre qui lui coule du gland.

- Ook c’est bon comme ça, ton mari part à quelle heure demain au boulot ?

- 7h00 !

- Et toi ?

- 8h00 !

- Ok, ça nous laisse une heure pour te niquer !

- Ben le matin c’est pas prévu, il vaut mieux le soir !

- Hé connasse, c’était pas une question, demain tu laisses ta porte ouverte et dès que le cocu sera dans sa voiture, moi et Farid on sera dans son lit à bourrer sa femme. Tu sauras que j’ai de très gros besoins, faudra que tu me vides les couilles au moins deux fois par jour, et sache que je préfère te niquer dans le lit conjugal plutôt que dans cette buanderie. D’ailleurs ce qui m’exciterait c’est que ton mari apprenne que je te saute dans ton lit… Mais t’inquiète pas, on va s’en occuper.

A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours