Traduction d'un texte de TheDarkCloud
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Fin heureuse ou non de l'histoire de Juliette ?
Les pieds nus de la prisonnière frappèrent lourdement sur le sol froid et carrelé alors qu'elle marchait sous l'arche inférieure et pénétrait dans le couloir qui menait à la salle de douche commune de la prison.
Cette prisonnière est, bien sûr, l'ancienne commissaire Juliette PORTIER.C'est un chemin qu'elle connaît de façon déprimante. Elle est nue, à l'exception d'un vieux collier de chien en cuir autour de son cou et une serviette grise et rugueuse sur son avant-bras droit. Elle essaya de mettre un regard confiant et dur sur son visage, comme si elle était prête à faire face à tout ce qui pouvait l'attendre à l'intérieur. Mais c'était difficile et ça devenait de plus en plus difficile à chaque jour et nuit passé injustement dans cette prison.
L'énorme et musclée gardienne Jeanne LOYALE la regarda disparaître dans le bloc des douches. Elle aurait souhaité désespérément entrer avec elle et empêcher ce qui risquait de se passer. Oui c'était elle qui avait passé le collier au cou de Juliette lors de son arrivée à la prison. Oui c'était elle qui s'était équipée d'un gode-ceinture pour sodomiser et montrer à la prisonnière rousse qui dirige la prison.
Mais au cours des trente jours environ depuis l'arrivée de Juliette, le sentiment d'injustice avait grandi dans l'esprit de la gardienne. Celle-ci méprisait le réseau d'hommes bien placés et corrompus qui avait orchestré la chute et les dégradations de l'ancienne commissaire. Maintenant Jeanne avait de la pitié pour Juliette qui devait partager sa cellule avec deux sœurs, deux prostitués noires, Yasmine et Carla. Celles-ci avaient été mises en prison par Juliette et maintenant elles se vengeaient.
Jeanne regarda avec convoitise la peau blanche crème de la prisonnière nue. Elle admira sa silhouette qu'elle avait gardée athlétique et sexy malgré les tourments que ses compagnes de cellule lui infligeaient. Sachant qu'elle se dirigeait très probablement dans un autre piège, Jeanne gifla sa main avec sa matraque et commença à suivre Juliette. Elle en avait assez, il fallait arrêter tout ça.
Mais elle ne fit même pas un pas en avant qu'une main se posa sur son épaule et l'arrêta. Elle se retourna avec colère pour maudire celui qui avait osé, mais elle s'arrêta net en reconnaissant le directeur de la prison MASSEAU.
- Attendez officier LOYALE ! Je sais que ça vous irrite, mais suivez mes conseils, ne vous impliquez pas dans cette affaire.
- Mais comment pouvez-vous laisser ces salauds vous dire quoi faire ? Je...
- Tout doux Jeanne. Parce qu'ils sont trop nombreux et trop puissants pour se les mettre à dos vous et moi. En plus, la commissaire PORTIER ne nous a jamais vraiment aidé lorsqu'elle était au faîte de son pouvoir, n'est-ce pas ? Et disons que ça ne nous regarde pas ce que font ces putes avec elle. Alors laissez tomber et suivez mes conseils, ne vous impliquez pas dans cette affaire, d'accord ?
Le directeur la conduisit loin de l'entrée du bloc des douches. Il sentit que ce n'était pas ce qu'elle voulait et qu'elle ne continuerait pas à laisser faire.
A l'intérieur du bloc sanitaire chaud et humide, Juliette découvrit qu'elle allait avoir du public pour sa douche matinale. En entrant dans la grande pièce carrée et carrelée, elle découvrit une trentaine de détenues nues qui attendaient. Tous les yeux étaient braqués sur elle. Juliette déglutit et avança pour se placer sous un pommeau de douche en attendant que l'eau tiède coule. C'est alors qu'elle vit Yasmine et Carla, leur peau d'ébène brillante d'humidité. Chacune des deux sœurs portait un gros gode ceinture noir attaché autour de leurs hanches.
- Eh bien, voilà notre salope personnelle ! Se moqua Yasmine.
Les deux sœurs s'approchèrent de Juliette.
- Tu es venue pour une douche hein ? Eh bien, nous allons nous assurer que tu transpires d'abord pour pouvoir te laver.
Les deux femmes noires étaient vraiment intimidantes en s'approchant de leur « salope ». Elles n'étaient pas très grandes, mais leurs muscles ondulaient sous la peau. Les deux avaient d'énormes seins avec de gros mamelons qui ressortaient. Yasmine avait des dreadlocks courts tandis que Carla avait une queue de cheval qui la rendait plus féminine. C'était sûrement une fausse queue qu'elle avait ajouté.
Juliette fut bien consciente de ce que l'on attendait d'elle lorsque ses deux maîtresses approchèrent. La commissaire autrefois très sévère ne pensa à rien d'autre que s'agenouiller et baisser le regard.
Quel changement par rapport à toutes ces années où elle travaillait dans la rue et prenait du plaisir à houspiller et arrêter sans ménagement les prostituées qui marchaient sur les trottoirs. Elle avait pris un plaisir particulier à arrêter ces deux sœurs noirs. Qui aurait pu penser que les circonstances feraient qu'elle deviendrait leur esclave ?
Mais le chemin qu'elle avait été forcée et contrainte de prendre, sans parler des trente jours qu'elle venait d'endurer avec les deux prostituées noires, lui avait appris et l'avait conditionné à ne pas bouleverser les choses plus qu'elles ne l'étaient déjà.
Les doigts musclés, terminés par des ongles longs de Yasmine crochetèrent l'anneau métallique à l'avant du collier portés par Juliette et hissèrent la femme blanche sur ses pieds. L'ancienne commissaire resta immobile en essayant de ne pas trembler tandis que les mains des deux sœurs tripotaient et sondaient son corps, les yeux sur le public de codétenues qui regardaient attentivement. Carla se plaça derrière Juliette et lui caressa le cul avec une tendresse que Juliette n'avait pas encore connue de leur part. Yasmine se mit face à elle et attrape sa chevelure rouge pour lui parler :
- Es-tu prête à transpirer, salope ?
Les autres prisonnières présentes étaient un groupe soigneusement sélectionné. L'une des raisons devait devenir claire un peu plus tard dans la matinée, mais l'autre était qu'elles avaient toutes d'une manière ou l'autre étaient confrontées un jour ou l'autre à l'ancienne commissaire. Peu avaient été arrêtées directement par elle, mais la plupart avaient subi la répression et la politique qu'elle avait mené au sein des forces de police. Juliette était devenue pour elles une ennemie détestée. Elles tendirent toutes le cou pour mieux voir l'action dans les douches.
Ce qui se passa, c'est que lorsque Yasmine avait attrapé les cheveux de Juliette, elle l'avait positionnée sur son gode et lorsque qu'elle avait posé sa question, elle avait enfoncé la queue en plastique dans sa chatte imberbe. Involontairement Juliette cria une première fois à cette pénétration, puis poussa un nouveau cri alors que Carla derrière elle pénétra son petit trou du cul.
Le corps de Juliette fut empalé et soulevé avec facilité alors que les deux sœurs noires la pilonnaient. La femme blanche se rendit rapidement compte qu'elle était impuissante et était devenue une simple marionnette entre ses deux compagnes de cellule.
Elle eut l'impression d'être une simple poupée de chiffon entre deux chiens enragés. Yasmine et Carla martelèrent son corps en grognant sous l'effort. Quand elles purent retrouver leur souffle, elles insultèrent leur victime de tous les noms qu'elles avaient pu trouver depuis que celle-ci était devenue leur troisième membre de cellule.
- Sale pute policière !
- Enculée de salope !
- Prends ça, grosse pute rousse !
Dans ce féroce déchaînement, Carla se pencha doucement en arrière jusqu'à ce qu'elle soit assise sur le carrelage mouillé et que Juliette soit assise sur son gode qu'elle continuait à faire entrer et sortir du cul douloureux. Les deux godes jumeaux étaient de gros morceau de plastique noir moulé, de trente centimètres de longueur, veinés et épais pour ressembler à des bites. Ils étiraient les trous de l'ancienne policière au maximum. La nouvelle position trouvée permit à Carla et Yasmine de pousser plus profondément dans Juliette qui commença à transpirer sous la douleur.
Pour sa part, celle-ci n'offrit aucune résistance et aucune plainte. Elle avait depuis longtemps compris et accepté à contrecœur sa place dans la vie maintenant. D'une femme puissante, elle était aujourd'hui encore moins importante que de la terre sur des chaussures de jardinier, rien de plus important qu'un jouet pour ceux et celle qui s'étaient ligués contre elle.
Les deux sœurs continuèrent à la baiser sur le plancher des douches pendant quelques minutes sous les cris et les hués des autres prisonnières qui les entouraient. Puis, sur un signe de tête de Yasmine, elles retirèrent simultanément leurs godes en les laissant enterrés dans les trous de Juliette et elles lui présentèrent leurs chattes humides devant sa bouche.
- Mange-nous salope ! Lèche salope ! Lèche le jus de nos chattes ! C'est tout ce que tu es maintenant, une pute pour nous.
Ces mots étaient vicieux, mais ils ne dissuadèrent pas Juliette d'obéir. Elle savait ce qu'elles voulaient et elle savait que de ne pas le faire serait pire que cette humiliation. Alors elle rampa et se mit au travail sur les deux sexes. Et elles mouillaient ! Les deux sœurs noires étaient vindicatives et elles étaient prêtes à jouir de ce sentiment de pouvoir. Jouir sur le visage de Juliette ne serait que la cerise sur le gâteau.
Contrairement à celle de Juliette, leurs chattes n'étaient pas bien entretenues ? En fait c'était deux buissons velus et sombres. La langue de Juliette devait traverser les poils raides pour atteindre la chatte trempée et aigre de Yasmine et la laper comme une chienne obéissante. Pour sa part, la prostituée noire prit la tête de sa victime et la tint contre son entrejambe. Elle frotta grossièrement sa chatte de haut en bas sur la langue et le visage de Juliette jusqu'à ce qu'elle, quelques secondes plus tard, eut un orgasme et qu'un liquide chaud coula sur le visage surpris de la femme blanche.
Carla fit de même. Quelques instants plus tard, alors que Juliette se laissait tomber sur le dos, la figure recouverte du jus des deux femmes, Yasmine lui expliqua la dernière partie de son humiliation de ce matin.
- Reste allongée, salope ! Et ne bouge pas, tu es très bien comme ça. On dirait que tu as bien transpiré. Je crois que tu a besoin de ta douche. Les filles, venez ici !
Quatre prisonnières sélectionnées dans les spectateurs s'avancèrent.
- Voilà, ces femmes n'ont pas été choisies seulement pour assister au spectacle ou pour participer à cause de leur haine pour toi ou les forces de police que tu représentes, mais aussi parce qu'elles ont de belles vessies bien pleines.
Juliette écouta et digéra ces mots en comprenant pourquoi les quatre femmes l'entouraient. Elle se prépara, ferma les yeux et pinça ses lèvres. Mais ça devait se passer autrement.
- Non ! Tes maîtresses veulent que tu sois une chienne ! Alors obéis et garde bien les yeux et la bouche ouverte !
Son conditionnement prit le dessus et Juliette obéit aux deux femmes immédiatement au moment où les quatre autres prisonnières commencèrent à perdre le contrôle de leur vessie. Les jets d'urine fusèrent. Carla et Yasmine reculèrent alors que la douche « dorée » que Juliette devait recevoir commença. Elles encouragèrent leurs amies.
- C'est ça les filles, lavez toute sa sueur ! Et ne t'inquiète pas chienne, si elles n'y arrivent pas, il y a une quarantaine de femmes ici prêtes à te doucher !
***
Bien que le directeur l'eut distraite un peu plus tôt, Jeanne s'assura d'être là pour assister à la sortie honteuse de Juliette du bloc de douches. A la puanteur et à la vision de l'humidité jaune la recouvrant, elle comprit que ces salopes ne lui avaient pas permis de se doucher correctement.Elle grogna et fulmina. Elle essaya de se convaincre qu'elle était en colère parce que ça se passait dans sa prison, mais elle n'y arriva pas. Si cela arrivait à d'autres prisonnières, elle ne serait pas autant gênée.
Jusque-là, elle avait autorisé Yasmine et Carla à se venger. Jeanne, malgré sa force physique et la position qu'elle occupe au sein de l'établissement, n'était pas la plus intelligente des employés. Sinon elle aurait pu être plus maline dans ses pensées et élaborer un plan beaucoup plus rusé que celui qu'elle décida. Pour sa défense, elle voulait envoyer un message direct aux deux sœurs afin de leur montrer qu'elles n'étaient pas les seules à pourvoir imposer une domination sexuelle. Jeanne, n'étant pas du genre à tout laisser faire décida d'agir le soir-même après le verrouillage de toutes les cellules. Et c'est ce qu'elle fit.
Elle recruta deux des gardes masculins les moins soucieux de la loi. Elle les choisit pour son plan de cette nuit, car ils étaient deux salauds misogynes, sadique et méchants. Comme on peut l'imaginer à partir des descriptions précédentes, Jeanne n'était pas non plus un ange. Elle avait l'habitude de traiter les nouvelles arrivantes en les sodomisant comme elle l'avait fait avec Juliette dans le bureau du directeur. De toute façon, toute détenue qui défiait ses règles de fer était remise à sa place de façon brusque.
Cette nuit-là, immédiatement après la fermeture des cellules, Jeanne et ses deux collègues se sont présentés devant la cellule des trois femmes et ont sorti Juliette, ceci au grand dépit des deux sœurs noires qui avaient prévu une autre soirée d'abus et d'humiliations. Jeanne ne dit rien et se contenta d'emmener l'ancienne policière confuse. Elle la laissa enfermée dans une cellule vide avant de retourner retrouver les deux prostituées. En voyant le trio de garde qui tapotait leurs matraques, Yasmine et Carla changèrent de comportement. Elles n'étaient plus les putes arrogantes et confiantes qu'elles avaient été durant tout le mois. Elles avaient pu avoir de puissants appuis pour être transférées dans cette prison, mais pour l'instant ils leur étaient peu utile.
- Bien, vous, les deux salopes noires, à plat ventre sur votre lit, les mains dans le dos !
Ce n'était pas le type de ton qui invitait à questionner. Surtout que les gardes masculins souriaient pour les inviter presque à se plaindre. Yasmine et Carla obéirent immédiatement à l'injonction. Elles avaient peur de ce qu'ils pouvaient leur faire si elles désobéissaient. Bientôt les deux gardes furent à l'intérieur et leur attachaient des menottes dans le dos sans que les deux sœurs ne puissent dire quelque chose. Bien sûr, il était trop tard.
Jeanne demanda alors aux deux hommes de sortir de la cellule, à la déception évidente de ceux-ci qui voulaient s'amuser avec les deux salopes. Mais leur envie fut réfrénée par la réputation intimidante de la grande gardienne. Ils savaient qu'il valait mieux ne pas se mettre dans son chemin.
Jeanne avança entre les deux lits (Juliette était obligée de dormir en général sur le sol en pierre froid). Elle était impressionnante. Vêtue de son manteau en cuir brillant, des bottes et des gants en cuir réglementaires, les cheveux noirs et raides, elle représentait le pire cauchemar des sœurs à ce moment-là. Jeanne s'accroupit entre elle et saisit leurs deux têtes pour les forcer à tourner et à la regarder. Bien que ses lèvres rouge foncé se mettent à sourire, il s'agissait d'un sourire froid, sans cœur, qui n'indiquait rien de bon du tout.
- Je crois que vous, les deux salope, avez raté mon initiation spéciale pour les nouveaux prisonniers, alors j'ai pensé que je ferais mieux de vous initier correctement à la vie d'ici.
- Non ! Attends espèce d'idiote ! Ce n'est pas bien, nous sommes là parce que...
Yasmine ne put continuer à parler, car une paire de culotte rose à volants de Jeanne (malgré sa rudesse extérieure elle adorait les culottes à froufrous) fut poussée dans sa bouche pour étouffer ses protestations.
- Maintenant, vous allez apprendre les règles de la prison ! Je vais vous dire comment ça se passe, salopes. Vous faites ce que nous vous disons et vous vous taisez, d'accord ? On va un peu s'amuser à vos dépens afin de vous montrer comment souffre votre petite salope blanche.
Les deux sœurs froncèrent les sourcils aux mots de la grande gardienne. Elles ne pouvaient pas discuter, elles étaient menottées et impuissantes. Il ne leur restait plus qu'à hocher la tête et à se préparer à découvrir ce que c'était d'être du côté de la victime pour une fois.
- Bien les gars ! Pourquoi ne reviendriez-vous pas ici pour faire connaître aux deux sœurs la joie de la bite. Je parie que depuis qu'elles sont enfermées elles ont oublié ce que c'est d'avoir une grosse bite blanche dans le cul.
Les deux gardes étaient plus que prêts. Alors que Jeanne reculait vers la porte coulissante à barreaux de la cellule pour diriger et regarder l'action, ils grimpèrent sur les lit, à cheval sur l'arrière des cuisses des deux putes. Alors que Jeanne expliquait les règles de la vie dans la prison, ils avaient développé déjà des érections majeurs. C'était le genre de scénario qui leur plaisait.
Deux mouvements rapides sur la fermeture de leur braguette et deux queues épaisse et bien dures furent à l'air libre et avancèrent vers leur cible. Les pantalons des prisonnières ne furent pas bien durs à baisser sur leurs chevilles avant d'être complètement enlevés. Les deux sœurs savaient qu'elles étaient baisées (ou sur le point de l'être!). Avec leurs mains attachées dans le dos, elles ne pouvaient que rester allongées et attendre la pénétration.
Bien sûr Yasmine et Carla étaient en colère. C'était des putes à l'extérieur, mais elles étaient habituées à tout contrôler, à commander. En plus on leur avait promis une protection pour punir cette garce d'ancienne commissaire. Où était cette protection maintenant ?
Cela n'avait plus d'importance. Les deux hommes écartèrent leurs fesses et insérèrent violemment et profondément leurs bites dans leurs trous du cul. Alors que les hommes les enculaient brutalement, les deux femmes noires fermèrent les yeux pour essayer d'oublier ce qui se passait. Elles ne virent pas Jeanne passer entre les lits avec juste le gode en plastique le plus gros, le plus long et le plus épais entre ses jambes. Oui, elle allait profiter de cette nuit et ces chiennes allaient le sentir passer.
Seule dans sa cellule, Juliette profita au maximum de cette solitude. Elle n'en avait jamais eu beaucoup depuis son arrivée en prison. Elle ne se demanda même pas pourquoi l'imposante gardienne l'avait retiré de sa cellule où elle était tourmentée. Elle s'en fichait du moment que ça lui donnait le repos dont elle avait besoin. Et plutôt que de cogiter, elle s'allongea sur une couchette et elle se reposa. Elle était sûre que jusqu'à la réouverture de la porte, personne n'abuserait de son corps épuisé. Depuis qu'elle avait pénétré la cellule où se trouvaient les deux sœurs son existence était tout simplement misérable. Les hommes du complot contre elle avaient donné presque carte blanche aux deux prostituées pour briser l'ancienne policière.
Et peut-être qu'elles y étaient arrivées, car elle n'était plus qu'une esclave obéissante maintenant. Il y a seulement quelques mois, Juliette était une femme ambitieuse (peut-être trop), concentrée sur sa réussite et sur le chemin du sommet. Et maintenant ?
Maintenant, dans les bons jours, elle n'est guère plus qu'une chienne blanche soumise à ses deux maîtresses noires sadiques.
Juliette fut réveillée dans son demi-sommeil par la porte de la cellule qui s'ouvrit. Instantanément elle fut éveillée et alerte, fixant l'entrée sombre et se préparant à quoi que ce soit ou à qui pouvait venir. Elle avait pu se reposer, mais elle savait que ça ne durerait pas. Quand elle leva ses grands yeux tristes, ce fut pour voit la grande et imposante silhouette de la gardienne LOYALE. Elle entra dans la cellule, habillée de la tête aux pieds dans sa sinistre tenue noire avec toujours un énorme gode-ceinture attaché autour de la taille. Juliette frissonna à cette vue.
Mais Jeanne ferma la porte et se dirigea vers Juliette en détachant le gode et en le laissant tomber par terre. Juliette la regarda interrogative.
- Ne t'inquiète pas, prisonnière ! Je ne l'ai apporté que pour te montrer à quoi tes deux « bienfaitrices « noires ont dû faire face ce soir.
Quelle que soit la réaction à laquelle elle s'attendait, ce n'était pas celle de Juliette enroulant ses bras autour de ses jambes et se recroquevillant pour s'éloigner de l'objet. Jeanne se pencha et le reprit en main pour montrer le scintillement à l'ancienne policière. Sa main a du mal a faire le tour de la circonférence. Avec des yeux effrayés comme ceux d'un enfant, contrastant avec ses traits durs, Juliette la regarda dans les yeux et chuchota lentement :
- Pourquoi ?
- Parce que je ne les aime pas ! Parce que je n'aimais pas ce qu'elle faisait dans ma prison ! Et parce que je n'aimais pas ce qu'elle te faisait...
A ce moment, leurs yeux se rencontrèrenet et s'attardèrent plus longtemps qu'ils ne l'auraient dû. Jeanne laissa tomber le gode en plastique sur le sol en pierre et elle tendit la main vers la joue douce et blanche de Juliette, la caressant doucement. Sans réfléchir, elle se pencha et embrassa doucement l'ancienne commissaire sur ses lèvres douces. Elle n'avait jamais fait ça avec une autre prisonnière et elle ne savait pas pourquoi elle le faisait maintenant. C'était peut-être la pitié qui avait été le déclencheur, mais elle voulait juste protéger Juliette de ses ennuis et la rendre saine et sauve.
Juliette réagit au baiser naturel et elle le rendit doucement. Après toutes les horreurs qu'elle avait endurées, un morceau de gentillesse était comme un soulagement pour elle et elle n'allait pas le nier.
Ne pas être forcée de le faire était comme un tonique pour Juliette et elle permit à la gardienne d'explorer son corps avec ses grandes mains, de caresser ses gros seins, de tripoter son cul rond et d'effleurer son monticule pubien. Les deux femmes étaient loin de cet endroit sinistre, de cette cellule dans une prison dure. Elles étaient seules dans les bras l'une de l'autre.
Jeanne retira bientôt son uniforme et permit à Juliette d'explorer son corps musclé avant que les deux femmes ne s'enveloppent dans leurs bras et que leurs langues explorent tous leurs orifices. Elles s'embrassèrent longtemps avant que Juliette ne tombe à genoux et fasse courir sa langue sur les seins et l'estomac de la garde. Puis elles se livrèrent à une séance de sexe oral orgasmique qui fut à la fois gémissant et haletant jusqu'au point culminant. Ensuite, les deux s'effondrèrent pour récupérer, enlacées dans leurs bras tendres. Elle s'endormirent dans un sommeil heureux.
Elles dormaient toujours profondément dans les bras l'une de l'autre, complètement nues lorsqu'un groupe d'hommes dirigé par le directeur entra silencieusement dans la cellule. Ils se tinrent juste hors de portée de Jeanne avec les bras dans le dos en attendant que les deux femmes reprennent conscience. Ce qu'elles ont fait quand l'un des six gardes toussa.
Jeanne se réveilla la première, l'esprit tout d'abord embrumé en essayant de savoir où elle était. Puis, instantanément elle vit et elle s'assit brusquement en essayant désespérément de couvrir ses seins et sa chatte exposée. Le directeur lui fit un sourire triste.
- Ne vous inquiétez pas officier LOYALE, j'ai tout vu maintenant.
Juliette se réveilla elle aussi et à travers ses yeux mi-ouverts, elle se demanda ce que pouvait avoir Jeanne.
- Qu'... Qu'est-ce qui se passe ?
- C'est simple prisonnière PORTIER, nous sommes venus ici pour arrêter la gardienne LOYALE.
- Hein ? L'arrêter pourquoi ?
Juliette posa la question alors que Jeanne se raidit et attendit attentivement la réponse.
- Pour le viol et le meurtre de la prisonnière matricule 546731 nommée Juliette PORTIER, Vous !
Jeanne sauta sur le directeur. Elle ne savait pas que les instigateurs du complot contre Juliette l'avait acheté. Mais l'homme se tenait prêt, et alors que l'imposante gardienne musclée lui sautait dessus, il sortit un pistolet tazer de derrière son dos et il tira dans le sein droit envoyant des volts dans le corps musclé.
Le choc fit tomber Jeanne par terre, et bien qu'elle soit toujours consciente, elle ne pouvait même pas parler alors que les gardes se pressaient autour d'elle. Ils menottèrent aussi Juliette et ils l'emmenèrent. Le directeur se plaça devant son ancien bras droit et il secoua la tête.
- Vous n'auriez pas dû baiser ces putes noires, vous n'auriez vraiment pas dû.
Sur ces mots, il presse de nouveau la gâchette du tazer et lui envoie de l'électricité jusqu'à ce que la femme dangereuse soit inconsciente et aussi impuissante qu'un chaton.
***
Il était temps de mettre un terme à cette histoire. Joseph DUPRE et tous ses collègues de la coalition qui avait été formée pour donner à Juliette PORTIER une bonne leçon de vie s'étaient bien amusés, mais étaient tous fatigués. l'ancienne commissaire devait disparaître et tous les liens qu'elle pouvait avoir devait être sectionnés. Ce fut exactement ce qui se passa les semaines suivantes. Avec le pouvoir réuni de tous ces hommes qui faisaient la justice, ce fut facile.
Jeanne LOYALE, ancienne garde modèle de la prison fut déconcertée par la vitesse de son arrestation, de son jugement et de sa condamnation. Bien sûr, tout le monde fut de mèche : le coroner, les policiers, les juges. Elle ne sut jamais ce qui était vraiment arrivé à Juliette après que le directeur l'ait rendu inconsciente., mais elle savait que les accusations et les descriptions faites lors de son procès étaient fausses. Elle fulmina et se tendit dans les chaînes solides qui la menottaient et la retenaient alors que l'accusation la décrivit comme une sadique brutale qui se réjouissait de tourmenter les nouveaux prisonniers, comment elle avait prêté une attention particulière à l'ancienne commissaire de police Juliette PORTIER. D'autres prisonnières, dont Yasmine et Carla, décrivirent comment Jeanne humiliait et avilissait quotidiennement Juliette, et comment la violence s'intensifiait jusqu'à cette nuit fatidique dans une cellule.
- Cette énorme et puissante gardienne, Mme LOYALE a sorti la victime de sa cellule et l'a conduite dans la cellule où elle l'a tuée. Expliqua solennellement le procureur.
- A partir de là, nous ne pouvons qu'utiliser les preuves médico-légales et les indices trouvés dans la cellule pour reconstituer exactement ce qui s'est passé cette nuit-là. Il existe des preuves physiques clairs que l'officier LOYALE a abusé de sa position et a utilisé sa matraque pour battre la prisonnière PORTIER. Puis, après s'être lassée de la frapper, elle lui a menotté les poignets dans le dos et elle a ensuite utilisé cet instrument (il montre le gros gode qu'elle avait utilisé sur Yasmine et Carla) pour violer sa victime sans défense. La prisonnière menottée et impuissante se tenait alors sur un tabouret avec un nœud coulant autour du coup et attaché au plafond de la cellule. En la violant, l'officier LOYALE a donné des coups de pieds dans le tabouret pour pendre sa victime. Cette gardienne a agi à la fois en tant que juge, jury et bourreau.
L'histoire était bien ficelée et il ne fallut que quelques minutes pour que Jeanne soit reconnue coupable et condamnée à la réclusion à perpétuité. Il ne fut pas surprenant de découvrir qu'elle fut envoyée au milieu des femmes qu'elle avait surveillées dans l'établissement où elle travaillait comme gardienne. Costaude et musclée ou pas, alors qu'elle traverse le désert en direction de son destin, elle sut au fond d'elle-même que ce serait vraiment mauvais pour elle.
A son retour à la prison, cette fois en tant que criminelle, Jeanne fut enchaînée et traînée à travers les couloirs complètement nue. Puis elle arrive dans le gymnase. Là, au centre de la pièce, se trouvait un cheval d'arçon. Sept des gardes masculins qu'elle avait terrorisés auparavant prirent grand plaisir à la monter sur ce cheval et lui attacher les bras et les chevilles aux pieds. De cette façon, sa bouche, son cul et sa chatte furent bien exposés. Puis ils la laissèrent seule après avoir pris le temps de lui décrire en détail ce que chacun d'eux lui fera pendant son séjour en tant que prisonnière.
Alors que Jeanne digérait sa situation et essayait en vain de tirer sur ses liens, le silence dans le gymnase fut rompu par l'arrivée du directeur. Il marcha lentement vers elle et s'accroupit pour la regarder dans les yeux pendant qu'il lui parlait.
- Vous savez que c'est dommage ? Vraiment dommage ! Vous étiez une bonne garde et si vous aviez pu garder votre nez hors de certaines affaires, vous le seriez encore. Mais il faut dire que je me suis toujours demandé ce que ça serait de vous baiser, vous si forte et si puissante, de vous voir comme un simple jouet à ma disposition. Je me suis toujours demandé si vous aviez déjà pris une bite dans le cul !
Sur ces mots, il décida de ne plus se poser la question alors qu'il enfonçait sa longue et fine bite profondément dans le trou du cul de Jeanne. Il saisit les cheveux noirs de la femme dans ses mains et il la besogna violemment.
- Hmmmm, que c'est bon ! j'ai l'impression de briser un étalon sauvage !
Jeanne ne dit rien et serra les dents. Elle avait décidé de ne pas donner à ce vieux salaud le plaisir de l'atteindre. Elle resta impassible. Après tout elle était forte, élevée dans une famille dur et habituée à subir des coups durs. Toutefois, dans un coin de son cerveau, elle savait que c'était un combat perdu d'avance alors que le directeur continuait à l'enculer brutalement.
Couchée sur le cheval, elle leva les yeux autant que lui permettait sa position. Elle vit qu'elle avait été positionnée de façon à être face à la porte du gymnase. Tandis que le directeur continuait à la sodomiser, la porte s'ouvrit et deux gardes entrèrent. Ce qui les suivit fit frissonner Jeanne. Dans une ligne presque parfaite, toute une série de prisonnières, nues à l'exception d'un gode-ceinture attaché à leurs hanches entrèrent dans la salle. Chacune de ces prisonnières prit le temps d'avoir un grand sourire méchant avant de s'aligner contre les murs. Jeanne les reconnut toutes, elles avaient toutes eu l'accueil spécial de sa part. Et bien que Jeanne soit forte, elle trembla en voyant qu'il y avait près de quatre-vingts prisonnières. Mais il y en avait encore deux à venir. Suivies par quatre gardes supplémentaires, Yasmine et Carla entrèrent.
Elles se dirigèrent lentement vers l'ancienne gardienne et elles s'assurèrent d'établir un contact visuel. Jeanne se demanda si leur démarche, jambes arquées, était le résultat de la nuit qu'elle avait passé avec elle ou si c'était juste une moquerie. En tout cas les deux prostituées portaient elle aussi un gode-ceinture, mais ils étaient encore plus énormes que ceux des autres prisonnières. Silencieusement les deux sœurs s'arrêtèrent à quelques centimètres du visage de Jeanne et elle sourirent en voyant sa situation actuelle, le directeur étant sur le point de jouir en elle.
Les deux femmes portaient des tenues de dominatrice en cuir noir assorties et elles avaient deux grands sacs de toile qu'elles vidèrent sur le sol, juste en dessous du visage de l'ancienne garde.
Tout d'abord, il y eu un rouleau de fil de fer barbelé, puis des menottes, un fouet en cuir, une cravache, un bâillon-boule orange, une paire de câble pour batterie, un rasoir électrique, un aiguillon électrique pour le bétail, une paire de pinces, une batte de baseball, du lubrifiant, un stylo modifié pour faire des tatouages en prison, un allume-cigare, et un entonnoir sentant la pisse. Cette collection d'instruments de torture gela le sang de Jeanne. Dans les mains de ces deux sœurs dégénérées, elle n'osa penser à ce qui allait lui arriver. Mais ses réflexions furent interrompues par les grognements et les efforts du directeur alors qu'il éjaculait dans son cul.
Finalement, il remit son pantalon et informa Jeanne que Carla et Yasmine seraient ses compagnes de cellule et qu'elle devrait leur obéir, qu'elle le veuille ou non. Yasmine prit son menton dans la main pour levre son visage et elle cracha :
- C'est ça, salope ! Tu vas être notre petit animal de compagnie. Tu feras ce que nous te dirons, quand nous te le dirons et comment nous le dirons. Et nous avons une grande envie de vengeance. Crois-nous, salope, sous peu tu seras contente de manger la merde qui nous sort du cul si nous te le demandons.
Et le pire, c'était que Jeanne était là, transpirante et frustrée, presque sur le point de sangloter et qu'elle savait qu'elles allaient le faire. Elle savait qu'avec le temps et les ressources à leur disposition, elles la tortureraient lentement, brisant son esprit et faisant d'elle une chienne obéissante. Elle avait vu cela se produire bien des fois en prison, même si ce n'était pas à ce degré. Elle était vraiment baisée.
Les deux sœurs noires passèrent derrière elle. Elle ne fut plus en mesure de voir ce qu'elles faisaient. Leurs lourdes bottes noires claquèrent sur le sol. Jeanne sentit que son cul était palpé grossièrement et elle entendit ces mots effrayants.
- Mais avant que nous commencions, il y a toutes ces autres dames qui ont aussi une revanche à prendre. Elles veulent leur moment de plaisir. Après tout, c'est un juste retour des choses étant donné que tu leur avais donné à chacune une initiation anale à leur arrivée dans l'établissement. Mesdames ! Si vous voulez bien faire la queue ici et utiliser le lubrifiant ! Vous aurez toute votre tour ce soir ! Qui veut être la première ?
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Juliette PORTIER se réveilla au chant des oiseaux et à la lumière du soleil qui passait à travers la fenêtre de la chambre dans laquelle elle était couchée. Elle sentait le savon et le parfum, ses cheveux étaient lavés et peignés. Elle eut l'impression de sortir d'un long rêve plein de cauchemars. Pendant un bref moment elle oublia ce qui s'était passé ces derniers mois, des horreurs qu'elle avait subies. Elle se sentait propre et revigorée.
Mais alors qu'elle roulait sur le côté et s'asseyait en somnolant sur le bord du lit, profitant des rayons de soleil qui chauffaient à travers la fenêtre à barreaux, sa mémoire revint lentement. Son esprit était embrumé comme si elle avait été droguée. Elle se frotta les yeux pour se réveiller. Elle regarda la pièce où elle se trouvait et elle pensa que ça la changeait agréablement de la cellule grise et terne de la prison. Mais la pensée de sa cellule la focalisa sur les barreaux de la fenêtre et elle commença à se méfier de cet endroit.
Elle glissa du lit et attrapa un peignoir en soie rouge qu'elle enfila et noua étroitement sur son corps avec la ceinture. Puis elle examina la chambre et essaya de tourner la poignée de la porte. Elle fut à moitié surprise quand elle céda facilement et s'ouvrit. Elle se retrouva dans un couloir. Entendant des bruits à sa gauche, elle les suivit pour savoir où elle se trouvait et ce qui se passait.
Son corps et son esprit étaient encore un peu endormis, mais à chaque pas, l'espoir montait en Juliette. Peut-être que finalement elle avait échappé à son sort funeste. Peut-être que tous les salauds qui avaient comploté contre elle s'étaient ravisés. Elle se rappela alors vaguement de la dernière nuit à la prison et de la gardienne costaude quand elle arriva dans la pièce où il y avait des bruits de cuisine.
Elle regarda par la porte et fut immédiatement entraînée par les mains d'un petit homme noir. Il la tira doucement vers la table et il la fit s'asseoir sur un banc en bois. Juliette essaya de parler à l'homme, mais il s'éloigna en débitant des mots dans une langue étrangère. Soudain, elle eut faim et elle remarqua l'assiette de fruits frais placée devant elle.
Quand elle eut fini de manger, elle leva les yeux et elle vit qu'elle était observée par une jeune fille hispanique habillée sexy. Cette jeune fille avait un regard sensuel, des cheveux noirs et bouclés tombant sur ses yeux et ses épaules. Elle mâchait du chewing-gum avec ardeur et elle fixait Juliette.
- Qui êtes-vous ? Où suis-je ? Qu'est-ce que cet endroit ?
La fille sourit, mais d'un sourire bien peu rassurant. Elle se dirigea vers Juliette et saisit sa main. Puis elle la conduisit vers une autre porte. Après l'avoir franchie, elles entrèrent dans une pièce jamais atteinte par le soleil. De la lumière sortaient par des néons et s'enroulaient autour de nombreuses fumées de cigarettes. Tout autour de cette salle, étaient disposés de grands canapés dépareillés et de couleurs criardes. Et sur ces canapés se trouvaient de nombreuses femmes hispanique ou sud-américaines dans divers stades d'habillement. Juliette était assez réveillée pour reconnaître des prostituées. Ces femmes l'étaient sans aucun doute, et dans un bordel à l'étranger.
- Où on est chérie ? Tu es en enfer bébé ! Tu es dans l'enfer des putes !
FIN
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