Texte de Florence22.
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La Saint Valentin avec Farid.
Samedi 14.02
Aujourd’hui c’est la Saint-Valentin, je veux être fidèle à mon mari, alors je ne me rends pas dans la buanderie. Je suppose que Farid doit m’attendre mais tant pis pour lui. Après tout je ne suis pas à son entière disposition. Je me prépare, ce soir Franck m’emmène au restaurant pour fêter dignement la fête des amoureux. Je m’habille d’une jupe noire très sexy et d’un chemisier en satin bleu. Il est 20h25, on est fin prêt quand quelqu’un sonne.
- Franck, va ouvrir s’il te plaît, je finis de me maquiller.
Il revient 3 minutes plus tard et me dit :
- C’était Farid ! Il était gêné, mais il demande si tu ne pourrais pas lui repasser sa chemise, ce soir il sort avec sa copine.
Je sais très bien que ce n’était qu’un prétexte pour m’attirer dans la buanderie et pour me baiser. Il a vraiment de l’imagination.
- Ecoute Franck, t’avais qu’à lui dire non, on sort ce soir !
- Ça va chérie, on peut attendre c’est pas grave et puis il est sympa, chaque fois que je lui demande un service il me le rend.
Mon pauvre chéri ne se doute pas qu’il vient de jeter sa femme dans la gueule du loup, qu’en fait de repasser une chemise je vais devoir m’agenouiller et faire une pipe au voisin.
-Va lui repasser sa chemise et pendant ce temps je vais sortir la voiture du parking. Je t’attends en bas dans 15 minutes ! Ok chérie ?
Si je refuse il risque de se douter de quelque chose. J’expliquerai à Farid que pour ce soir il faudra qu’il se contente d’une branlette.
Je rentre dans la buanderie et Farid, les bras croisés, debout contre la machine à laver, m’attend, et ne cache pas son énervement.
-Salope, tu te fous ma gueule ? Depuis une demi-heure je t’attends pour te la mettre !
- Farid, aujourd’hui c’est la Saint-Valentin, je sors avec Franck, je peux rien faire avec toi.
- Ah oui, aujourd’hui tu veux être fidèle ? Hé bien sois fidèle à ma bite et suce-moi ! En plus t’es super bandante, j’ai envie de te faire ta fête pendant des heures.
- Arrête ! Tu sais bien que c’est pas possible, Franck m’attend dans dix minutes en bas.
- Hé bien qu’est-ce que t’attends, perds pas de temps et suce-moi !
- Bon ok, juste une pipe, mais tu ne me décoiffes pas.
Comme un enfant à qui l’on vient de passer son caprice, il a l’air satisfait, et sans perdre de temps sort sa bite et me la présente devant la bouche. Je prends son gland en bouche, le lèche l’aspire, je le branle de ma main droite, caresse ses couilles de ma main gauche, je veux en finir vite.
- Lève-toi et penche-toi sur la machine !
- Non Farid, c’était pas le deal, je te suce seulement.
Il me relève violemment par le bras et me pousse vers la machine.
- Putain, mais ferme ta gueule ! C’est pas possible ça, t’es toujours en train de la ramener, t’es la pour me vider tu fais ce je dis, ok ?
C’est pas la peine que j’insiste, plus vite il aura fini plus vite je m’en irais. je me mets en position, relève ma jupe et baisse ma culotte. Il me fouille la chatte sans ménagement puis s’aventure vers mon anus encore vierge.
- Non Farid pas ça, c’est hors de question !
Pour toute réponse il m’enfonce au plus profond son doigt.
-Attends, je vais te mettre du gel, tu sentiras rien !
- Non je te dis, je ne veux pas, pas comme ça, pas aujourd’hui, pas avec toi !
- Vas-y ferme ta gueule et laisse-toi faire !
De sa main gauche il me tient les deux bras dans le dos, pliée sur la machine à laver, et de l’autre main enduite de gel il entreprend de me doigter le cul en tournant à l’intérieur. Puis je sens qu’il se met en position, il va rentrer.
- Arrête Farid ! Arrête tout de suite ! Argggghh nooonn, j’ai mal ! Arrête !
Il sent que ça ne rentre pas, mais il force, il me fait mal. Il se couche sur moi et me dit :
- Écoute salope ! De deux choses l’une, soit tu résiste, tu te crispes et tu vas souffrir, car je vais quand même te casser le cul de gré ou de force. Soit tu te relaxes, tu t’ouvres et tu te laisses faire gentiment et là je te promets que ta douleur va se transformer en plaisir et je prendrais soin de toi.
- Bon d’accord, mais fait doucement, tu me fais trop mal.
Il ressort sa bite, remet du gel et me doigte, me visite l’anus en profondeur avec ses doigts puis remet son sexe. Il rentre doucement, j’ai mal mais moins que tout à l’heure. Je fais comme il me dit, je me détends, essaie de m’ouvrir et le laisse rentrer, sortir, rentrer plus profond. Sa cadence s’accélère mais mon anus endolori ne souffre plus. Je ne ressens pas de plaisir sinon celui de satisfaire son instinct bestial.
- Tu vois salope, ça le fait bien si tu te soumets comme il faut. Vas-y, lève ton cul, donne le bien, je vais te le démonter !
Ses coups de boutoirs me soulèvent, il va jusqu’au fond, ses couilles tapent sur ma chatte. Maintenant la douleur est complètement partie, juste un engourdissement, comme une anesthésie, j’ai toujours pas de plaisir, mais je ne pensais pas que mon anus puisse s’ouvrir et se donner aussi facilement.
Aujourd’hui, jour de Saint-Valentin, je me fais enculer sur la machine à laver par un arabe alors que mon mari m’attend dans la voiture. D’ailleurs en parlant de mon mari, mon portable sonne, c’est bien lui.
- Arrête-toi Farid, Franck appelle, il doit s’impatienter !
- Et alors t’as qu’à répondre, il nous voit pas. Ça m’excite de te bourrer pendant que tu parles a ton cocu de mari.
- Florence ? Et alors, je t’attends en bas, dépêche-toi !
- Oui heuu… C’est parce que ma sœur vient d’appeler, j’ai perdu du temps au téléphone.
- T’as l’air essoufflée chérie, tout va bien ?
Évidemment, c’est pas facile d’avoir une conversation téléphonique avec son mari pendant que le jeune voisin vous encule comme un sauvage. En plus il profite de ma situation pour y aller encore plus fort, plus rapidement.
- Ça va, ça va, c’est juste que je me dépêche, j’arrive dans 5 minutes, chéri, ne monte pas, j’arrive !
L’appel de Franck a été comme un simulateur pour Farid, enculer sa voisine le jour de la Saint-Valentin alors que le mari est au téléphone et attend en bas, ça a accéléré et décuplé sa jouissance, j’ai bien cru qu’il allait m’incruster dans la machine à laver tellement il voulait rentrer en moi.
- Haaa putain, sale chienne, je te démonte ta race, haaaaaaaaa ouiiiiiii !!
Il se laisse tomber sur la chaise, essoufflé, heureux, victorieux.
- C’était trop kiffant de te niquer comme ça avec ton cocu au téléphone, faudra qu’on le refasse !
- Farid, j’ai le cul en compote, tu me parleras de tes kifs une autre fois, en tout cas si toi t’as pris ton pied, c’est pas mon cas.
Franck ne m’a pas trouvé très en forme ce soir au restaurant. Je me suis levée plusieurs fois pour aller aux toilettes, mon cul n’arrêtait pas de couler de gel et de sperme. Ce soir je m’en veux d’être aussi soumise à ce rebeu. Arrivés a la maison, on a fait l’amour tendrement, c’est tellement bon de se sentir aimée. La brutalité de Farid me fait aimer la tendresse de Franck (et vice versa), j’ai pris un pied énorme. Et je me suis endormie dans les bras de Franck en pensant à ce que Farid va me faire demain. Hummmmm…
A suivre...
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