lundi 7 novembre 2022

Farid et les autres Ch. 02

 Texte de Florence22.

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Florence se fait baiser durement par Farid.

Décidée de garder une trace de ses moments volés de pur sexe je commence mon journal intime qui relate mes ébats, ça me permettra des années plus tard de me remémorer avec délice ces moments de baise.

Mercredi 11.02

Hier soir après ma première aventure avec Farid j’ai évité le regard de Franck, j’avais peur qu’il ne devine quelque chose mais tout s’est bien passé. Il m’a fait l’amour, j’avais pas trop envie, mais je me sentais coupable de lui refuser mon corps alors qu’une heure auparavant, je me laissais assaillir par Farid.

J’attends Farid dans la buanderie, mais il ne vient pas. Quel salaud ! Il a une femme à sa merci, prête à lui laisser faire ce qu’il veut et il ose m’ignorer.

Jeudi 12.02 20h10

Farid entre dans la buanderie.

- Bonjour Farid ! Pourquoi t’es pas venu hier ? Je t’ai attendue.

- Pourquoi ? J’ai des comptes à te rendre ? Mets-toi à genoux !

Le ton est donné, il va falloir que je m’habitue à cette manière de me soumettre à un mâle. C’est humiliant mais dans cette relation je ne cherche pas à être valorisée, aimée. Comme je lui ai fait comprendre je veux juste sa queue et il l’a très bien compris.

Je m’exécute, il baisse son survêt et sort sa queue. De l’autre main il me tire la tête sans ménagement et à peine la bouche ouverte, il m’enfonce sa bite au maximum. Surprise, je manque vomir. Il s’en fout, il continue à me pilonner la bouche. Je voudrais le sucer, le lécher, mais ce n’est pas ce qu’il veut, il veut juste baiser ma bouche. Ma tête est coincée entre sa queue et la machine à laver. A chaque coup de bite violent, ma tête tape contre la tôle de la machine et fait un bruit sourd.

- T’aime ça salope hein ? Regarde-moi dans les yeux quand je te baise la bouche.

De sa main agrippée dans mes cheveux, il me tire la tête en l’arrière. Et de l’autre il se branle à quelques centimètres de mon visage.

- Quand je te le dis, t’ouvre la bouche, ok ?

- Non Farid pas ça, je n’aime pas le goût et l’odeur du sperme !

- Fallait y penser avant, salope, si t’es pas contente, va te plaindre à ton mari !

Je n’ai pas le choix, faut que je me plie à ses caprices. Après tout c’est moi qui l’ai voulu, je peux pas faire marche arrière. Il a le gland dans ma bouche et il continue de se branler frénétiquement, puis, dans un grognement animal, il déverse un flot de sperme dans ma bouche, puis enfonce sa queue, la retire, l’enfonce à nouveau. J’aurais préféré qu’il jouisse au fond de ma gorge, j’aurais avalé sans trop sentir ce goût et cette texture sur mon palais, ma langue. Je suis dégoûté par ce sperme dans ma bouche.

Il se fout de ce que j’aime ou pas, il ne pense qu’à son propre plaisir, me force a déglutir, à lécher sa queue jusqu’à qu’il n’y ait plus de trace de sperme. Il me laisse là à genoux, me tapote la joue et me dit :

- C’est bien salope, à demain !

- Hé mais Farid et moi ? Tu penses pas à moi ? Je voulais qu’on baise ? J’ai pas pris mon pied moi !

- Va te faire niquer par ton cocu, moi ça me suffit pour aujourd’hui !

Et il tourne les talons.

Déçue, vexée et frustrée, je m’essuie avec un tee-shirt trouvé là et je me remets à mon repassage en espérant que demain il me prendra.

Vendredi 13.02

Lorsque j’entre dans la buanderie, je remarque la présence de deux miroirs accrochés au mur, un derrière la machine à laver et l’autre sur le mur de côté. Ces deux morceaux de glace de 50 centimètres sur 1 mètre peuvent paraître inutiles dans une buanderie, mais je comprends que Farid qui est macho, égoïste, est tout a fait le style de personne à se mater dans la glace pendant qu’il baise.

20h05, Farid entre. Avant que je dise quoi que ce soit il me dit :

- Aujourd’hui c’est vendredi 13, ton jour de chance, tu vas avoir le gros lot bébé, je t’offre deux miroirs. Penche-toi sur la machine, tu pourras te regarder te faire mettre par ton beur préféré pendant que ton homme regarde les infos juste à côté.

Quel goujat, il sait qu’il me met mal à l’aise en parlant de mon mari comme ça, je me sens suffisamment coupable pour qu’il n’ait pas besoin d’en rajouter. Une fois penchée il relève la robe de chambre sur mon dos, il tire un tabouret et se place derrière moi, puis je sens sa langue me lécher le minou, puis s’enfoncer facilement dans ma chatte et il me broute sans ménagement, me mordille les lèvres, aspire mon clito. Ses mains malmènent mes seins, il tire dessus comme s’il espérait en tirer du lait. En tournant ma tête, je vois son reflet dans le miroir, sa tête qui voudrait rentrer au-dedans de moi. Le miroir me renvoie l’image d’une tête dont le visage a disparu entre mes fesses. Au comble de l’excitation je jouis en me mordant le bras. Si je crie comme j’en ai envie, mon mari risque d’accourir en pensant que je me fais agresser.

Farid se relève et d’un violent coup de bite il s’enfonce en moi. je suis tellement mouillée que je ne sens plus trop sa queue. Il s’en aperçoit et pour que je le sente mieux en moi, il me relève la jambe gauche qu’il met sur la machine à laver puis il entreprend de me lever aussi la jambe droite. Je suis dans une position des plus inconfortables, mais je me retrouve empalée sur son sexe. s’il s’enlève, je tombe par terre. Je ne sais pas où m’accrocher et suis dépendante de sa bite, ses deux mains sous mes fesses aident sa queue à soutenir mon poids.

- Hé la salope, tu la sens ? regarde-toi dans le miroir, vois comme t’es en train de te faire démonter la chatte, grosse pute !

Il me pilonne maladroitement, la position n’est pas confortable pour lui aussi mais au moins il sent sa bite aller loin au fond de moi, me heurter, me blesser et ça l’excite.

Je sens qu’il est en train de prendre son pied, il s’énerve, s’excite sur moi, m’insulte, sa bite maintenant me fait mal, mais malgré la douleur je jouis une deuxième fois. Puis il me suit dans la jouissance, il se contracte et m’insulte de plus belle, je vois dans le miroir son visage qui se crispe, ses lèvres se pincent. Ses muscles bandés, ses abdominaux contractés, il transpire. Sa sueur tombe de son front sur le bas de mon dos.

- Tiens prend ça, salope ! T’aime te faire niquer ta race chiennasse, dis-le que t’aime la bite de beur.

- Oui Farid j’aime, vas-y continue, j’aime trop ce que tu me fais !

Son plaisir fini il ressort, me remet debout sans ménagement. J’ai une crampe, je reste nue devant le miroir, appuyée contre cette machine à laver témoin de nos ébats avec des douleurs dans mon corps meurtri. Il s’approche tout près de moi, je crois qu’il veut m’embrasser et je tends mes lèvres, mais, comble d’humiliation, c’est juste pour s’essuyer la bite contre mes hanches, j’ai vraiment l’impression d’être une serpillière .

C’est vraiment le pied. Avec mon mari je jouis de ses caresses, de son sexe, de sa tendresse, de son amour. Avec Farid c’est totalement différent, c’est plus cérébral, je jouis d’une situation, d’un endroit inapproprié, de ses insultes, de sa brutalité, de sa mentalité, je jouis de cette image que me renvoie le miroir d’une femme infidèle qui se fait prendre bestialement par le jeune voisin.

Il y a en moi deux femmes, deux opposés qui se complètent, je suis partagée par la honte, l’envie de tout arrêter et d’oublier et l’envie d’aller plus loin, d’essayer des trucs nouveaux, de me faire baiser par des inconnus...

Laquelle des deux va gagner ??

A suivre...

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