dimanche 13 novembre 2022

La déchéance de Juliette Ch. 06

Traduction d'un texte de TheDarkCloud

*****

La commissaire est condamnée à une peine de prison.

Après le choc de sa condamnation, l'ancienne commissaire de police Juliette PORTIER fut emmenée du tribunal dans une camionnette de la prison. Elle était complètement hébétée. Cinq ans ! On lui avait promis que si elle plaidait coupable, elle ne serait incarcérée que pour un mois. Comme une idiote, elle avait cru ses maîtres chanteurs. Maintenant il était trop tard, sa réputation était ruinée, elle était la risée de la police et pire, elle était sur le point d'effectuer une période de cinq ans de prison.

La femme rousse était assise sur le banc de la camionnette, la tête entre les mains. Elle ne leva pas les yeux pendant que les gardes armés faisaient monter d'autres criminels dans le véhicule. Le voyage à travers une quinzaine de kilomètres dans le désert fut long et interminable. Pourtant elle avait fait le trajet d'innombrables fois quand elle était policière.

Elle pria silencieusement pour qu'aucune des autres détenus ne sache qui elle était, ou ce qu'elle faisait avant. Mais les sourires sur les visages des gardes lorsqu'elle leur jetait un coup d'œil lui faisaient comprendre qu'ils savaient. Avec sa condamnation alors qu'elle commençait à sombrer complètement, elle réalisa que maintenant elle était dans une situation dangereuse.

La prison où elle était envoyée n'était pas connue pour sa clémence envers ses pensionnaires. Quand elle serait reconnue, elle deviendrait une cible et cette pensée est effrayante. De son expérience elle se souvint que chaque fois qu'un officier de police avait été mis en prison, il se retrouvait dans un établissement tranquille avec toutes les commodités permises. Après tout il avait fait partie de la grande communauté policière. Mais pas pour elle, elle était une paria. Et en considérant toutes les personnes qui avaient manigancé pour sa déchéance, elle supposait qu'il n'était pas surprenant qu'elle soit traitée ainsi. C'était un chaud matin d'été et le ciel bleu semblait l'inviter à la liberté, mais c'était le contraire qui se produisaient. Trop rapidement les hauts murs de la prison se profilèrent et la camionnette ralentit pour pouvoir entrer.

Vraiment, elle n'était en rien différente des autres alors qu'elle était poussée hors de la camionnette par les gardes. Vêtue de son survêtement orange vif, les chevilles et les poignets enchaînés et reliés ensemble, elle se sentait aussi criminelle qu'elle était censée l'être. Elle fut insérée dans la longue file de condamnés et elle avança pendant une centaine de mètres vers un bâtiment gris et sinistre sans fenêtres. Tous les nouveaux arrivants étaient conscients de la foule de détenus écrasés contre le grillage de la clôture pour les voir passer. Juliette garda la tête baissée et avança mécaniquement comme sur un tapis roulant jusqu'au moment où elle se retrouva dans la fraîcheur du bâtiment d'accueil.

Une fois à l'intérieur, tout semblait aller à un rythme effrayant. Ce qu'elle ne savait pas c'est que les gardes et leurs supérieurs étaient prêts et l'attendaient. Les membres du complot qui l'avaient fait tomber n'en avaient pas encore fini avec elle malgré sa condamnation. Et les employés de la prison étaient aussi contents de pouvoir se venger d'elle pour ses actions antérieures. Elle avait été une telle garce sans concessions qu'il était difficile pour le Directeur MASSEAU et ses hommes de ne pas tirer du plaisir de sa déchéance. Bien entendu, le premier nom appelé fut le sien, et elle avança la tête baissée en espérant que l'accueil soit indolore et rapide. Mais ça ne devait pas être aussi simple.

On lui ordonna de tendre les mains et de rester ainsi pendant qu'un garde lui détachait le menottes des chevilles et des poignets. L'homme était grand et mince. Sa bouche et ses lèvres formaient un ricanement permanent et indubitablement, il se sentait supérieur. Il savait bien qui était Juliette et ce que le directeur voulait faire d'elle.

- Déshabillez-vous prisonnière PORTIER ! Ordonna-t-il.

Juliette était dans un état second et ne bougea pas. Elle resta sur place en frottant simplement ses poignets où les menottes avaient laissé une marque rouge et elle secoua la tête. Immédiatement le garde se mit face à elle et lui cria dessus.

- Je vous ai dit de vous déshabiller prisonnière ! Vous pouvez croire que parce vous étiez autrefois commissaire de police, vous êtes intouchable. Mais croyez-moi, ici vous n'êtes plus rien !

La pièce devint silencieuse. Alors qu'auparavant il y avait un brouhaha de discussions entre les prisonniers et les gardiens, maintenant tout le monde se taisait et fixait la belle prisonnière aux cheveux roux. Et bien sûr, maintenant tout le monde était au courant de son ancien métier. Juliette sentit une centaine de regards froids se poser sur elle. Mais elle n'eut pas le temps de réfléchir davantage, le garde devant elle devenait rouge de rage alors elle enleva rapidement sa combinaison orange. Puis elle retira son soutien-gorge et sa culotte blanche pour se retrouver nue devant lui.

Le gardien CARTIER était un homme sadique et il aimait le regard de peur dans les yeux de Juliette alors qu'il l'engueulait et lui criait dessus pour ne pas avoir fait immédiatement ce qu'il avait ordonné. Visiblement, il était excité de pouvoir rabaisser l'ancienne commissaire de police devant un auditoire attentif. Juliette rougit alors qu'elle était figée nue devant lui. Elle essaya de rester stoïque devant l'homme, mais elle échoua à garder une apparence solide et ferme. CARTIER ricana et lui ordonna de s'approcher de la table contre le mur du fond et d'écarter les jambes pour vérifier qu'elle ne cachait rien avant d'entrer dans la prison.

Ce n'était pas bon. Ce fut vraiment à ce moment que Juliette réalisa que son existence précédente et confortable était terminée et qu'elle ne la récupérerait sûrement jamais. Elle se dirigea vers la table, suivie de tous les regards dans la pièce. Elle posa ses mains dessus et écarta lentement et nerveusement les jambes pour prendre la position ordonnée. Le gardien s'approcha derrière elle en s'assurant d'être assez proche pour pouvoir frotter la bosse dure de sa bite à travers son pantalon sur le cul exposé. Juliette se mordit la lèvre inférieure, consciente qu'il cherchait une réaction pour pouvoir l'embarrasser encore plus.

Délibérément, ce salaud enfila une paire de gants en latex très serrés et il la laissa voir alors qu'il tirait sur les longs doigts. Il apprécia ses tressaillements alors que le latex claquait sur sa peau. Il pencha sa tête près de son oreille pour lui murmurer de façon menaçante :

- Je vais effectuer une fouille corporelle ici, salope. Je vais te montrer que tu n'obtiendras aucun privilège à cause de ce que tu es, ou plutôt de ce que tu étais.Et si tu ne veux pas me faire chier, et crois-moi, tu n'en as pas envie, alors tu ferais mieux de ne pas te plaindre de ce que je vais faire. Compris ?

Juliette déglutit, regarda le plafond avec désespoir et hocha la tête. Elle sentit plus qu'elle ne vit le sourire vicieux de l'homme à sa réponse et elle se prépara à l'invasion de son intimité.

Les mains de l'homme passèrent devant elle pour s'arrêter sur ses seins lourds afin de les serrer et les tripoter. Puis sa main gauche monta à sa bouche et il y enfonça quatre doigts, la faisant étouffer pendant que sa main droite descendait sur sa chatte pour frotter ses grosses lèvres. La salle entière était silencieuse devant cette fouille honteuse. Les autres gardes et les nouveaux prisonniers étaient captivés par ce traitement. Juliette grimaça et tressaillit alors que les doigts se frayaient un chemin à l'intérieur sec de sa chatte. Involontairement elle sursauta à cette pénétration. L'homme garda un doigt à l'intérieur alors qu'il frottait le clitoris avec son pouce.

Il s'activa rapidement et sourit en sentant que la chatte commençait involontairement à mouiller. Quelle humiliation pour cette femme autrefois hautaine, froide et dure professionnellement. Il serra un mamelon alors que ses doigts travaillaient plus vigoureusement jusqu'à ce qu'elle laisse échapper un petit gémissement, son corps la trahissant et l'humiliant. Le gardien retira ses doigts immédiatement après avoir entendu le gémissement, content d'avoir atteint son but. Il tourna la tête rousse et lui aboya dessus pour qu'elle se remette en ligne.

Elle revint en place avec l'entrejambe scintillant, rougissant encore plus qu'auparavant et consciente des yeux sur elle. Alors qu'elle est à mi-chemin, la voix grave de CARTIER retentit :

- Garde JUGNOT, Emmène cette prisonnière directement dans le bureau du directeur !

Juliette s'approcha de la table où se trouve la combinaison, mais si elle pensait pouvoir la mettre, elle se trompait. Le gardien lui remit les menottes en un instant et il la conduisit nue et enchaînée à travers la pièce. Ils suivirent un long couloir et émergèrent dans la lueur brillante des lumières diffuses du hall principal de la prison. Puis ils passèrent deux portes verrouillées et gardées. Juliette sut qu'elle était maintenant dans le corps principal de la prison. Elle se sentit petite et insignifiante face à la grandeur de l'établissement.

- Tu n'es plus chez toi, n'est-ce pas ? Chuchota le garde d'un air moqueur alors qu'il la conduisait, toujours nue, jusqu'à un escalier en colimaçon au centre du bâtiment.

Elle fut ainsi à la vue de certaines cellules et l'objet de cris pas trop agréables. Puis à sa grande horreur, une voix métallique jaillit du système de hauts-parleur de la prison, système que chaque détenu pouvait entendre :

- Mesdames, votre attention s'il vous plaît. La prisonnière qui est conduite actuellement à travers la prison, la femme rousse avec une grosse poitrine, est une nouvelle. Je suis sûr que certaines d'entre vous auront entendu parler de sa carrière. Il s'agit de l'ancienne commissaire de police Juliette PORTIER !

Juliette manqua de trébucher, complètement stupéfaite. Elle paniqua. Elle n'était plus anonyme et tous les détenus connaissaient son ancien métier. Elle réussit pourtant à avancer devant le garde tout en essayant d'ignorer les regards méchants et les menaces qui sortirent des cellules remplies de criminelles endurcies. Elle était en enfer et elle était sur le point de rencontrer la main droite du diable.

Enfin, elle passa la rangée de cellules de ce niveau et se retrouva devant une lourde porte en acier dans une tranquillité bizarre, loin des commentaires qu'elle avait dû endurer. Elle fut introduite dans une grande salle d'attente ronde où deux jeunes secrétaires tapaient activement sur leur machine. Elles ne firent ni commentaire ni grimace à l'apparition d'une femme enchaînée et complètement nue. Le garde chuchota à l'oreille de la secrétaire avec des lunettes. Celle-ci lèva les yeux, détailla Juliette et parla dans un interphone.

Quelques secondes plus tard, elle indiqua au garde qu'il pouvait entrer dans le bureau du directeur. Juliette se retrouva bientôt face à face avec le directeur pour la première fois. William MASSEAU est le type parfait pour cet emploi. Il est debout sur un tapis oriental devant un impressionnant bureau en teck. Il a les cheveux blancs, un air arrogant et il fume un gros cigare. Il tourna son regarde sinistre vers Juliette et parla lentement.

- Alors tu es la célèbre policière qui s'est prostituée et qui s'est droguée. Et je dois m'occuper de toi ?

Sa voix dégoulinait de mépris et de sarcasmes. Juliette, consciente de sa nudité, resta immobile et garda les yeux baissés. Elle ne voulait pas croiser son regard.

- Et j'ai entendu dire que tu as été très occupé depuis ton arrivée ici. Tu t'es faite beaucoup d'ennemis. Je crois que tu es en grande difficulté. Moi et mes hommes ne pourront pas assurer ta sécurité vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Tu es dans un milieu dangereux, certaines des détenues sont de vrais psychopathes.

L'homme jeta un objet sur le bureau devant elle. Elle le regarda avec horreur, il s'agissait d'une lame aiguisée de dix centimètres coincée dans le manche d'une brosse à dents. Le cœur de Juliette s'emballa. Ce fut trop pour elle. Le souvenir de son arrivée dégradante, le ton moqueur du directeur, le fait de savoir qu'elle est la victime injuste d'un complot, des larmes commencèrent à se former dans ses yeux. Comment avait-elle pu tout perdre de sa vie parfaite ? Elle commença alors à implorer, à supplier tout en pleurant l'homme devant elle. Elle fit appel à sa miséricorde et elle essaya de lui expliquer comment une poignée d'hommes importants l'avait réduite à cette situation. Mais le directeur ne connaissait que trop bien l'histoire.

- Maintenant arrête ! Çà ne sert à rien de pleurer ici ! Tu vas devoir t'endurcir pour survivre ici. Mais tu sais que je peux rendre cette expérience beaucoup plus facile pour toi si tu fais ce que je te dis. Je suis le directeur et je commande tout. Si je dis que tu dois être bien soignée et bien surveillée, alors c'est ce qui se passera. Bien sûr, si je ne fais rien, il risque de t'arriver des histoires. Tout ça dépend de toi, à quel point veux-tu ma protection ?

Finalement Juliette leva les yeux et rencontra ceux du directeur. Ils étaient d'un bleu froid et glacial. Elle ne pouvait ne pas comprendre ce qu'il voulait. Elle resta immobile alors qu'il s'approcha et se positionna juste devant elle. Ses mains commencèrent alors à parcourir son corps, s'arrêtant pour presser et soupeser ses seins. L'homme hocha la tête avec approbation avant de descendre ses mains plus bas et d'explorer son entrejambe. Ses doigts rugueux séparèrent les lèvres de sa chatte et sondèrent son sexe. Juliette se sentit violée d'être caressé comme un morceau de viande par un vieil homme effrayant. Savoir qu'elle ne pouvait rien y faire fut la pire chose à laquelle elle pouvait penser.

Le directeur sourit, dévoilant ses dents tachées de tabac, avant de retourner vers son bureau et d'appuyer sur le bouton de l'interphone pour dire :

- Mademoiselle TIBBET, pourriez-vous appeler l'officier en chef LOYALE et la faire venir ici s'il vous plaît. Je pense que je vais avoir besoin de sa contribution.

Il renvoya le garde masculin avec un sourire et il contourna son bureau pour s'asseoir dans le grand fauteuil en cuir. Juliette reste debout en attendant que la secrétaire fasse entrer une énorme garde dans le bureau quelques minutes plus tard.

Jeanne LOYALE était gardienne de prison depuis dix ans. Elle avait 33 ans et elle adorait son métier. Et elle était faite pour ce travail.En plus d'être naturellement grande, large et imposante, elle était extrêmement musclée pour une femme. En dehors de son travail et de la prison, elle passait presque tout son temps libre dans les salles de sport. Ça se voyait. Ses biceps étaient gonflés, son ventre était dur comme de l'acier et elle avait des cuisses impressionnantes. En bref, c'était une femme vraiment imposante et impressionnante, bien que bizarre. Elle avait les cheveux courts, raides et foncés, des yeux sombres et froids. Elle était vêtue de l'uniforme masculin des gardiens de prison, mais personne ne disait rien. Elle inspirait le respect et la peur des prisonnières et des autres gardiens (hommes et femmes), non sans raison. Non seulement elle était intimidante avec sa stature, mais elle avait un tempérament sadique. Elle était une intimidatrice dominatrice qui aimait humilier et dominer les autres. Le directeur le savait et il savait qu'elle était la plus dure gardienne de la prison. Par conséquent, afin de lui être agréable, il lui donnait une proie qu'il était sûr qu'elle apprécierait. Elle aimerait sûrement Juliette.

Le directeur MASSEAU l'avait vu travaillé avec des prisonnières toute sa carrière. Il savait qu'elle tirait un plaisir particulier de s'occuper de femmes auparavant aisées et professionnellement bien placées qui avaient quitté le droit chemin, des femmes qui n'auraient jamais imaginé de leur vie terminer dans une prison, des femmes qui, par mauvais choix ou une confiance excessive, s'étaient retrouvé dans ce lieu, des femmes qui avaient désespérément besoin de protection et d'être dirigées. La gardienne LOYALE fournissait cela, même si ça avait un prix.

Le groupe de comploteurs avait demandé que l'ancienne commissaire de police soit mise avec certaines détenues et le directeur savait que celles-ci auraient beaucoup de plaisir à accueillir la femme rousse.

Juliette était toujours debout, enchaînée, regardant le directeur souriant en se doutant que ce sourire ne signifiait rien de bon pour elle. Puis elle tourna son attention sur la grande porte en bois du bureau en attendant l'arrivée de la gardienne. Commissaire, elle était restée aussi loin que possible des établissements pénitentiaires, voyant cette partie de la justice comme inintéressant pour elle (elle se souciait plus de faire avancer sa carrière). Elle ne voulait pas se salir les mains. Son attitude envers les prisons était connue de tout le monde. Elle avait même donné quelques interviews dans des journaux où elle avait mis en doute la valeur du travail de réinsertion du personnel des prisons. A ce moment elle ne pensait pas qu'elle risquait de tomber si bas. Si elle l'avait fait, elle se serait rendu compte que ses mots reviendraient la hanter.

Le téléphone du directeur sonna et, sans quitter Juliette des yeux, il décrocha et dit :

- Faites la entrer !

La porte s'ouvrit vers l'intérieur et la gardienne LOYALE entra. Sa présence imposante remplit la pièce. Elle était géante pour Juliette, un vrai monstre. Elle mesurait près d'1m80 et portait l'uniforme standard avec de grandes bottes. Elle était vraiment intimidante.

Le directeur sourit et parla doucement :

- Ah officier LOYALE, tout va bien dans la prison, je vous fais confiance. Permettez-moi de vous présenter notre dernière invitée spéciale. Vous connaissez bien sûr l'ancienne commissaire de police. Je veux que vous lui accordiez une attention particulière, surtout que son arrivée a été si négligemment annoncée par les hauts-parleurs.

Les deux sourirent à cette blague. Juliette eut l'impression de rétrécir. Elle n'est pas très grande, mais en la présence de cette montagne, elle se sent comme une petite écolière punie. Jeanne LOYALE retira lentement et délibérément ses gants de cuir, un doigt à la fois et détailla la nouvelle arrivée. Elle parcourut les courbes douces et charnues de son corps, les seins gonflés, la chevelure rousse, les yeux nerveux et le frisson clairement discernable qui recouvre sa peau et la chair de poule qu'il laisse sur son passage. La gardienne tourna lentement autour de Juliette qui sursauta lorsque les doigts puissants de la main droite touchèrent son bras et glissèrent sur toute la longueur. Elle était en train de la tester. Le directeur sourit et jeta deux clés sur la table.

- Nous ferions bien de lui enlever les menottes. De toute façon elle ne va nulle part. N'est-ce pas Madame PORTIER ?

Il fallut que la grande gardienne la pousse dans le dos et gronde :

- Réponds au directeur, espèce de salope ! Ici tu fais ce qu'on te dit !

Sa voix saccadée aboya ces mots, et bien que Juliette n'ait pas du tout l'habitude d'obéir aux autres et de recevoir des ordres, quelque chose en elle lui dit qu'il serait sage de ne pas irriter ou désobéir à ce monstre féminin. Elle répondit donc au directeur qu'elle n'allit nulle part et elle le remercia.

Les menottes de ses chevilles et de ses poignets lui furent enlevées. Ce fut pour elle un grand soulagement. Mais la gardienne arrêta son visage à quelques centimètres de sa chatte nue. Elle tendit la main et la toucha. Juliette tressaillit. Jeanne se contenta de rire puis se leva. Elle la regarda dans les yeux et la mit au défi de maintenir son regard.

- Je vois que tu as rencontré le garde CARTIER hein ? Je vais devoir le réprimander pour t'avoir faite mouiller. Je parie qu'il l'a fait devant tout le monde non ? Quel salaud ! Dis-toi que si tu es bien obéissante, nous avons le pouvoir avant la fin de la semaine avec le directeur que tu puisses l'avoir nu et penché sur ce bureau pour le baiser avec un gode ceinture. Tu aimerais ça ? Mais en parlant de gode....

A ce moment-là, le directeur MASSEAU ouvrit un tiroir de son bureau et sortit un gros objet qui fit immédiatement peur à Juliette. C'était un énorme gode ceinture. Tout de suite, et après avoir traversé bien des épreuves, Juliette fut consciente de ce que ça signifiait. En regardant la garde imposante, elle réalisa qu'il serait mieux pour elle d'être de son côté plutôt que contre elle. L'acceptation de son sort apparut dans ses yeux et le directeur se leva pour passer le gode à Jeanne.

- Vous le mettez et je vais positionner mon fauteuil de façon que nous obtenions tous les deux ce que nous voulons.

Pendant que la gardienne musclée enfila le harnais réglable et le remonta sur ses jambes avant d'ajuster le tout, le vieux directeur fit rouler son fauteuil en cuir pour le mettre devant Juliette encore totalement immobile. Il sortit un cigare et l'alluma avant de s'installer sur son siège et descendre son pantalon et son caleçon. Une bite bien raide en sortit, une bite bien fringante pour son âge. Alors que Juliette braquait ses yeux sur le sexe bandé, elle fut grossièrement molestée et mise sur ses genoux. La gardienne aboya :

- Oublie la bite du directeur, salope ! Tu ferais mieux de te concentrer sur celle-ci et faire de ton mieux pour la lubrifier. J'aime donner à toutes mes prisonnières « spéciales » un bon entraînement anal afin de leur montrer qui est le patron ici !

Juliette fut effrayée alors qu'elle ajusta son regard sur la fausse bite en plastique noir. Elle était longue et épaisse. Elle commença à déprimer dans cette position particulière, si humiliante, sur le point de se faire baiser la bouche. Brièvement elle repensa au passé d'il y a quelque mois, à sa vie antérieure en tant que plus jeune commissaire de police, sur la voie de la gloire et du succès. Comment tout cela avait-il pu être détruit si rapidement ? Comment tant de gens avaient-ils pu la détester suffisamment pour la soumettre à toutes ces épreuves ? Et maintenant que son brillant avenir s'était envolé sans espoir de retour, quel choix avait-elle, à part faire ce que voulaient ces pervers et les rendre heureux ?

La grande gardienne s'avança et le bout du gode noir en plastique toucha les lèvres de Juliette qui s'ouvrirent immédiatement pour permettre l'accès.

- on dirait qu'elle sait exactement quoi faire, officier LOYALE. Cria le directeur derrière elle tout en caressant son sexe en préparation pour la suite.

En simple réponse, la garde posa ses mains derrière la tête rousse de la prisonnière et poussa son bassin vers l'avant. La première moitié du gode en plastique de trente centimètres remplit la bouche de Juliette. Celle-ci ne put s'empêcher de se demander combien d'autres prisonnières avaient eu cette chose dans leur bouche et leur cul. Mais elle dut penser à autre chose, elle savait qu'elle devait recouvrir la fausse queue d'autant de salive qu'elle pouvait avant que la gardienne décide qu'elle en a assez. Et à voir le sourire de la femme, elle comprit que ce ne serait pas long.

Après quelques minutes de poussée dans sa bouche, ce qui était sûrement conçu pour montrer à Juliette sa situation actuelle, Jeanne retira le gode avec un « plop » et d'un doigt ferme, montra à la rousse qu'elle devait se retourner pour faire face au directeur. Encore une fois, l'obéissance était la seule option possible.

Quand elle se retourna, elle vit que le directeur l'attendait avec sa bite debout, fière et droite, pointant sur elle. D'un signe il lui indiqua qu'elle devait ramper jusqu'à lui et prendre sa queue dans sa bouche. Il siffla un avertissement :

- Si je sens tes putains de dents, alors tu seras au pain sec et à l'eau tout ton putain de séjour ici. Compris ?

Juliette comprit facilement qu'il ne plaisantait pas. Elle s'avança et se positionna afin de faire au mieux, mais juste au moment où elle fut bien installée et qu'elle mouilla ses lèvres pour préparer sa fellation, elle sentit qu'on lui claquait le cul et le bout du gode enduit de salive appuya sur son cul. Qu'elle ouvrit la bouche pour se plaindre ou pour autre chose n'était pas important, car le directeur en profita pour enfourner sa bite vieillissante, mais bien raide, dans sa bouche. Juliette leva les yeux pour rencontrer les siens. Pendant ce temps elle sentit le gode de la gardienne pousser contre son cul serré et se frayer un chemin. Et alors qu'elle faisait rouler sa langue le long de la bite dégoûtante et en sueur dans sa bouche, elle grogna et son corps se précipita en avant avec force quand le gode fut enfoncé dans son cul.

L'ironie était, qu'avant ce cauchemar, Juliette avait la vie sexuelle d'une religieuse. Son travail passait en premier, toujours. Les hommes, ou ses partenaires sexuels n'étaient rien comparé à son avancement ou sa promotion. Mais lors de cette descente dans des profondeurs inimaginables de dégradation, le sexe fut l'élément moteur et son corps qui jusque-là n'avait accueilli que quelques hommes auparavant fut soumis à toutes sortes de perversions de la part d'hommes ou de femmes qu'elle aurait considérés bien en dessous de sa classe sociale.

Peut-être était-ce le stress et la tension de la journée (mais elle ne le croyait pas vraiment), peut-être était-ce le pouvoir de la femme qui martelait le gros gode en plastique dans son trou du cul, mais il y avait quelque chose de différent dans le ressenti qu'a Juliette en restant à quatre pattes et en étant baisée au deux bouts. Au cours des derniers mois, elle a été baisée par toutes sortes de dégénérés, de toutes sortes de façon et dans différentes positions, mais ici et maintenant, elle est dépassée par la force de la personnalité de la gardienne, alors elle essaya de détendre son cul pour mieux accepter les poussées de Jeanne. Elle oublia presque la bite qui entrait et sortait entre ses lèvres. Cela ne passa pas inaperçu auprès du directeur. Il sortit son membre de la bouche inattentive et il commença à la gifler sur les joues et sur le nez pour attirer son attention.

- Ne m'oublie pas, grosse pute rousse !

Obéissante, Juliette baissa la tête en avant pour reprendre sa bite baveuse et essaya une nouvelle fois de s'appliquer du mieux qu'elle le peut avec sa langue et ses lèvres. Cependant, ce n'était pas facile. A chaque seconde la gardienne lui baisait le cul si violemment que son corps tremblait en avant. Elle était traitée comme un simple morceau de viande. Jeanne l'enculait sans relâche avec une volée d'invectives et d'insultes vulgaires s'échappant de sa bouche. La gardienne aimait baiser la première fois avec une nouvelle afin de lui montrer où se trouvait maintenant sa place dans les rangs de la prison.

Son sadisme pris le dessus et elle adora se défouler sur une chienne coincée comme Juliette. Elle saisit ses cheveux roux dans une main et la tire en arrière pour enfoncer la grosse queue en plastique encore plus loin, atteignant une profondeur du cul de Juliette jamais sondé auparavant.

- Voilà salope ce que tu es maintenant ! Notre putain de jouet personnel ! Et tu ferais mieux de t'en souvenir ! Tu viens quand je te dis, tu chies quand je te dis, tu rampes quand je te dis, et tu suces quand je te dis ! Tu comprends, salope ?

C'était juste une question rhétorique, car avec sa bouche qui luttait pour contenir la queue du directeur alors que celui-ci étirait ses joues et la prise serrée de la gardienne sur sa tête, elle ne pouvait répondre même si elle le voulait. De toute façon ça n'eut aucune conséquence, car la seconde suivante, le directeur grogna comme un porc et la bouche de Juliette commença à se remplir du goût aigre et collant de son sperme. La belle ex-commissaire recula son visage et la bite glissa hors de ses lèvres, éclaboussant de haut en bas son visage.

- Putain de merde ! Espèce de stupide salope : Tu es censé tout avaler ! Grosse pute idiote !

Le directeur était furieux et il a presque giflé Juliette, mais il se retint suffisamment pour cracher sur elle et l'engueuler à nouveau.

- Tant pis, tu peux le laisser sur ta figure de grosse salope ! Oui c'est bien, laisse-le ! Mais si tu le touches alors tu le regretteras.

En sympathie avec son patron, Jeanne donna une violente dernière poussée et sortit le gode du cul de Juliette avec un gros bruit de succion. Puis, elle marcha pour se placer à côté du directeur et présenté la fausse bite souillée aux lèvres de la prisonnière.

- Laissez-moi la punir, directeur ! Bien, pour avoir mis en colère mon patron, tu peux nettoyer cette chose. Après tout tu n'es qu'une salope idiote.

Juliette ne voulait pas le faire, c'était la plus grosse de toutes les dégradations et humiliations qu'elle avait subi jusque-là, mais ces deux-là l'effrayait vraiment. La situation, le lieu et l'incertitude de son avenir la poussèrent à ouvrir docilement la bouche. Avec le sperme de l'homme coulant lentement sur ses deux joues, elle laissa l'objet ignoble entrer et elle se mit à le sucer et à le lécher, en essayant de faire abstractions de son dégoût et d'apaiser ses nouveaux tourmenteurs.

Enfin, quand sa tache dégoûtante fut enfin terminée, La garde LOYALE sortit un collier de chien en cuir marron ayant déjà bien servi, et sans rien dire, elle le glissa autour du joli cou de Juliette. Elle le serra grossièrement et ajusta la boucle en argent.

Ce n'était pas la première fois que la commissaire était obligée de porter un collier au cours de son cauchemar. Elle se rappela de son expérience au bordel et au gros proxénète qui lui en avait mis un pour la sortir comme un chien. Mais là c'était différent. Pour Juliette ça lui sembla en quelque sorte permanent, comme si on ne lui enlèverait jamais celui-ci. C'était un vrai symbole de sa déchéance. Jeanne tira sur ses cheveux roux pour qu'elle lève le visage avec le sperme séchant dessus. La gardienne avait un regard dur :

- Pour ta punition, tu porteras ça jusqu'à ce que nous en décidions autrement. Mais tu devrais être heureuse, c'est une marque dans la prison qui indique aux autres détenues que tu es ma chienne. Ça te gardera à l'abri de toute attaque. Bien sûr, si tu veux l'enlever, tu peux le faire, mais alors tu seras seule. Compris ?

Juliette hocha la tête tristement et baissa les yeux tandis que la gardienne tirait sur le collier et le resserrait jusqu'au trou suivant dans le cuir.

- Maintenant, je vais l'enlever de votre vue, directeur. Je vais la conduire dans sa cellule et la présenter à ses nouveaux compagnons de détention. Son « parrain » est-il toujours là ?

Il y avait une contrariété mal déguisée derrière cette dernière question.

- Je crois que oui. Il n'est certainement pas reparti. Ça m'irrite vous savez. C'est ma prison et je déteste que quelqu'un ait son mot à dire sur ce qui se passe, mais...

Il s'arrêta net de parler quand il vit que Juliette s'intéressait à ses mots.

- Mais ne gâchons pas la surprise, hein ! Allez officier Loyale, enlevez ça de ma vue ! Et salope, souviens-toi la prochaine fois que tu pourras me sucer, que tu ferais bien d'avaler tout mon foutre.

Sans tarder, la grande gardienne sortit une chaîne terne et rouillée de la poche de sa veste et l'attacha au collier. Elle expliqua à l'ancienne commissaire exactement comment elles allaient se rendre dans sa cellule.

- Tu vas ramper comme la chienne que tu es jusqu'à ta cellule. Et si tu essaies de nettoyer ton visage, tu le regretteras. Allez, bouge maintenant !

Les derniers mots furent suivis d'une brusque tension de la laisse qui tira Juliette à quatre pattes. La gardienne marcha sur un rythme effréné qui força la prisonnière à se faufiler derrière elle aussi rapidement qu'elle pouvait le faire. Elles passèrent la porte en bois du directeur et la réception. Juliette rampa humblement devant les bureaux des secrétaires. Elle les laissa se moquer d'elle alors qu'elle passait. Puis elle suivit Jeanne le long du couloir gris, devant un certain nombre de gardes en uniforme qui ricanèrent, mais qui se retinrent de dire quoi que ce soit en voyant le regard féroce sur le visage de l'officier LOYALE (quelques-uns avaient eu le malheur de payer physiquement quelques commentaires sur elle). Ils se contentèrent de déverrouiller différentes porte pour les laisser pénétrer dans la zone principale de la prison.

Les cris et les sifflets recommencèrent alors qu'elles émergeaient dans cette zone. Ils s'éteignirent peu à peu en voyant qui promenait la « chienne ». Jeanne inspirait la peur et le respect à tout le monde dans la prison. La plupart des détenues ayant croisé son chemin auparavant n'étaient plus pressées de le faire à nouveau.

La gardienne ne ralentit pas le rythme brutal et Juliette peinait maintenant, surtout quand elles atteignirent les escaliers raides en métal et que Jeanne tira plus fort sur la laisse.

- Allez salope, avance ! Je ne vais pas m'arrêter. Je vais traîner ta misérable carcasse jusqu'à ta cellule. Et c'est au troisième étage !

Le voyage sembla ne jamais s'arrêter. Il continua le long des passerelles en mailles de fer et en haut des escaliers froids. Il ne fallut pas longtemps avant que les paumes et les genoux de Juliette lui fassent mal. Elle put sentir le maillage métallique s'imprimer dans sa peau à chaque centimètre qu'elle avançait. Bien sûr, le collier la démangeait et irritait son cou à chaque pas que la gardienne faisait sans laisser aucun répit à sa prisonnière.

Finalement, elles s'arrêtèrent et firent face à une cellule de gauche dont la porte glissa pour inviter à y entrer. La cellule était exiguë et brillamment éclairée. Il y avait deux lits de chaque côté. Quand Juliette leva la tête, haletante et transpirante sous les efforts physiques, elle vit trois visages à l'intérieur. Deux sur chacun des lits et un autre tout au fond, appuyé nonchalamment contre le mur du fond. Elles arrêtèrent de parler quand elles virent les deux personnes à l'extérieur de la cellule.

L'homme au fond de la cellule s'avança alors pour les saluer. Juliette essaya de rassembler autant de haine qu'elle le pouvait dans le regard noir qu'elle jeta sur le sergent Joseph DUPRE, le meneur de tous les hommes qui lui avaient causé sa déchéance. Il lui parut suffisant et hautain, mais elle distingua une trace de méfiance à l'encontre de la gardienne massive qui affichait un mépris mal dissimulé.

Toutefois, même si Jeanne connaissait le genre d'individus qu'il représentait, elle savait qu'il ne valait mieux pas le contrarier. Elle lui remit la laisse et elle lui dit qu'elle serait au bout du couloir, prête à verrouiller la cellule quand il en aurait terminé.

Une fois qu'elle se fut éloignée à contrecœur de la cellule, DUPRE tira sur la laisse pour faire pénétrer Juliette à l'intérieur. Celle-ci ne mit pas longtemps à reconnaître les deux autres détenues sur les couchettes. Il s'agissait de Yasmine « Jazz » TOURE et de sa sœur Carla, deux prostituées noires contre lesquelles elle avait mené une vendetta vicieuse quand elle était jeune policière. Son racisme flagrant l'avait conduite à obtenir autant d'accusations et de condamnations contre ces deux sœurs et leurs amis ou collègues de trottoir. Elle avait eu un énorme succès dans cette croisade, s'assurant qu'elles savent toutes qu'elle le faisait plus parce qu'elle les méprisait que parce qu'elle faisait son travail. En les voyant, Juliette frissonna. Joseph DUPRE tendit la main vers son menton et la força à le regarder.

- Eh bien commissaire, regarde-toi ! Je peux voir que tu t'adaptes bien à la vie en prison. C'est quoi ces saletés sur ton visage ? Du sperme ? J'aurais dû parier une grosse somme que tu ne perdrais pas de temps avant de te mettre au travail et sucer une bite. Imagine donc ce que les autres détenues pensent de toi, une ancienne commissaire, la « Dame de fer », réduite à ramper dans cet endroit comme une chienne, complètement nue, avec du sperme sur la figure. Mais j'ai encore de bonnes nouvelles pour toi. Tu ne seras pas seule en prison. Je peux voir d'après ton regard que tu te souviens de Yasmine et Carla. Mes amis ont réussi à les faire transférer ici pour la dernière année de leur peine. Je crois qu'elles ont été extrêmement ravies d'apprendre que tu seras leur troisième compagne de cellule. N'est-ce pas les filles ?

Juliette ne vit que deux têtes se balancer de haut en bas avec de larges sourires éclatants.

- Maintenant je connais un peu cette gardienne. Je pense qu'elle va te protéger des détenues. Mais dans les cellules, les gardes n'ont pas vraiment leur mot à dire. Tu peux essayer de te battre et de réclamer, mais je ne suis pas sûr qu'ils t'écouteront. Maintenant mesdames, je dois vous laisser. Profitez et amusez-vous !

Avec un grand sourire radieux, il sortit de la cellule et indiqua à la gardienne LOYALE de venir fermer la porte et de s'assurer qu'elle est bien verrouillée. Il ne loupa pas le regard méchant de Jeanne pendant qu'elle obéit. Il sentit la colère monter en elle alors que les deux femmes noires descendaient de leur couchette dans la cellule pour se diriger vers Juliette toujours genouillée. Mais Joseph DUPRE s'en fichait.

Jeanne réfléchit et se dit que ce n'est pas une histoire qu'elle laissera continuer indéfiniment. Pour l'instant, étant donné qu'elle n'a pas le choix, elle tourna le dos à contrecœur et escorta le policier hors de la prison.

Dans la cellule, Yasmine sortit un seau métallique de dessous le lit sur lequel elle était allongée. Il était rempli presque à ras bord d'un liquide jaunâtre à l'odeur incomparable.

- Je pense que nous ferions mieux de nettoyer ton visage de salope. Ce sera vraiment mieux si nous enlevons tout ce sperme.

Carla se positionna derrière Juliette et attrapa sa tête. Elle la poussa vers le seau. L'ancienne commissaire ouvrit la bouche pour protester juste au moment où sa figure rencontra la surface du liquide, lui faisant ainsi avaler du liquide dégoûtant. Tout en tenant la tête de sa victime dans le seau, Carla regarda sa sœur et sourit.

- Je crois qu'on va bien s'amuser, ma sœur !

A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours