jeudi 3 novembre 2022

La déchéance de Juliette Ch. 05

 Traduction d'un texte de TheDarkCloud

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La commissaire se retrouve dans ses propres cellules.

Elle avait l'impression d'étouffer. Les portes et les vitres de la voiture de police semblaient se refermer sur elle. Peut-être que c'était juste les effets secondaires des drogues qu'elle avait pris. Ça ne l'aidait pas, mais elle savait qu'une partie de son esprit conscient fonctionnait encore. Comment cela avait-il pu arriver ? Comment était-elle arrivée ici ? Et plus important encore : Comment diable pouvait-elle se sortir de cette situation ? C'est une question à laquelle elle devait obtenir une réponse rapidement.

Pendant un bref instant, la commissaire de police Juliette PORTIER se permit de repenser aux évènements des dernières 48 heures. Ça ne rendait pas sa réflexion heureuse. Dès le moment où cette enveloppe banale était tombée sur son bureau, elle a eu des problèmes qui l'ont menée là où elle est. Tous les efforts faits pour atteindre un niveau professionnel important et préserver sa carrière sont réduits à néant. Elle était devenue une prostituée qui travaillait dans un bordel miteux et qui marchait le soir sur les trottoirs comme une pute bon marché. Et maintenant elle est arrêtée sur des accusations de prostitution et de trafic de drogue. Sa carrière sera ruinée. Ça devait être un piège, quelle idiote avait-elle été. Elle résista de crier aux deux policiers qui la conduisaient au poste : « Savez-vous qui je suis ? », car ça n'aurait servi à rien. Elle ne pouvait rien y faire, assise sur le siège arrière, ses poignets menottés derrière elle. Elle réfléchit alors à ce qu'elle va dire à son avocat.

Devant, dans la voiture, les deux policiers qui ont procédé à l'arrestation sourirent et jetèrent un coup d'œil sournois à leur prisonnière. Leur commissaire sexy avait tout l'air d'une pute dans sa tenue, le haut déchiré laissant apparaître son sein gauche et ses bas résilles déchirés sous l'ourlet de sa minijupe minuscule.

Alors que Juliette redoutait d'être emmenée au commissariat, il y avait un grand nombre de personnes (y compris les deux flics) qui savouraient cette idée. C'était un coup monté réalisa-t-elle alors qu'elle était conduite dans l'immeuble par la porte principale. Il y avait de nombreux photographes et journalistes qui attendaient de la voir passer. Les flashs explosèrent et les questions fusèrent. On aurait du au moins lui mettre une couverture sur la tête, mais les deux policiers la conduisirent à l'intérieur aussi lentement que possible. Et quand l'un d'entre eux a « accidentellement » trébuché sur elle alors qu'ils montaient les escaliers en pierre, son haut déjà déchiré est tombé et a exposé sa poitrine aux photographes. Tous savaient (y compris Juliette) qu'elle ferait les gros titres le lendemain et qu'elle serait en photo en première page. Elle s'imagina les titres.

Elle baissa la tête de honte et se laissa conduire à l'intérieur où il y avait tous les policiers qui attendaient de la voir entrer. Pourquoi aucun d'entre eux n'a-t-il fait partir la presse ? Pour lui épargner d'avoir honte, pour lui permettre de garder un peu de dignité ?

Mais c'était comme si personne ne voulait reconnaître qui elle était et son statut dans les forces de police. Le sergent de l'accueil lui lit ses droits et il prit son sac. C'est à ce moment qu'ils découvrirent la grande quantité de drogue à l'intérieur. Juliette regarda avec incrédulité alors qu'il appela un enquêteur. Elle entendit le mot « trafiquant » dans la conversation. Elle lutta et tenta de clamer son innocence. Mais comme elle avait toujours été sévère avec ses subordonnées, personne ne devait l'aimer. Alors ils ne l'aideraient certainement pas maintenant.

Elle est emmenée dans les entrailles du commissariat et libérée de ses menottes alors qu'elle est placée à l'intérieur d'une grande cellule. « Au moins est-elle vide, je n'aurai pas à la partager avec des criminels de classe inférieurs »  pensa-t-elle, en ne réalisant pas l'ironie de sa pensée.

Enfin seule dans la cellule sombre, assise sur le bord de la couchette inconfortable, elle réfléchit sur son avenir. Comment s'était-elle mise dans ce pétrin et comment en sortir ? La commissaire de police, normalement froide et dure, se permit de lâcher un sanglot et de commencer à pleurer sur son sort. Elle savait que personne n'est désolé de son sort. Si seulement elle s'était faite des amis plutôt que de monter en grade en écrasant et s'aliénant tous ceux qu'elle avait croisés dans son ascension.

Soudain, une voix sortit de l'ombre à l'extérieur de la cellule. Elle se leva et se rapprocha des barreaux pour mieux entendre.

- Je vous avais dit Commissaire que si vous faisiez tout ce que je vous demande, vous me verriez derrière des barreaux avant la fin de la nuit, n'est-ce pas ? Eh bien je suis là.

Au même moment, la porte de la cellule s'ouvrit et une grande silhouette masculine apparut et entra dans la lumière diffuse de la pièce. Juliette eut le souffle coupé quand son ancien partenaire Joseph DUPRE entra calmement dans la cellule en lui souriant. Il avait également progressé dans la police, mais beaucoup moins que Juliette qui s'était frayée un chemin jusqu'au sommet. Il n'était que sergent.

La porte se referma derrière lui et il s'y adossa en la regardant avec un mélange de satisfaction et de triomphe sur son visage.

- Espèce de salaud ! Cracha Juliette en se levant, instable sur ses talons.

Elle se dirigea vers lui, mais les évènements de la nuit l'ont affaiblie et l'homme attrapa facilement ses poignets pour la repousser sur la couchette.

- Voyons Commissaire, vous avez suffisamment d'ennuis, vous ne voudriez pas être accusée en plus d'agression contre un officier de police, n'est-ce pas ?

Debout devant elle de toute sa stature, il lui jeta un regard moqueur alors qu'elle tenta à nouveau de couvrir son sein gauche qui s'était de nouveau dévoilé avec ses gestes brusques.

- Ne t'inquiète pas pour ça ! Je les ai vus et bien plus encore cet après-midi. Tu te souviens quand tu avais le masque ?

Mon Dieu, il lui semblait que c'était si loin. Mais oui elle se souvenait que ce salaud l'avait baisée dans le bordel alors qu'elle portait un masque. Elle frissonna à ce souvenir. Au moins maintenant, elle connaissait son maître chanteur et bourreau. Et une fois qu'elle aurait expliqué toute cette affaire, elle se vengerait et ferait de sa vie un enfer.

- Tu ne t'en sortiras pas salaud ! Je prouverai que tu es l'auteur de toute cette machination et ensuite je t'arrêterai. Tu souhaiteras de ne jamais m'avoir croisée.

L'homme sourit malicieusement.

- Mon Dieu, que tu as l'air sexy quand tu es en colère Juliette ! Ça doit être tes cheveux roux, ça m'excite ! Mais je suis désolé de te décevoir, tu vas devoir attendre pour te venger. Je vais t'expliquer. Il n'y a pas juste moi qui désire que tu reçoives une leçon que tu n'oublieras jamais. Nous sommes nombreux à avoir discuté pour monter cette histoire. Je suis juste l'homme qui a arrangé le tout. Mais tu as agacé beaucoup de gens pendant ton ascension dans la police.

Juliette vit des ombres bouger et une ligne de visages reconnaissables entra dans la cellule et se mit face à elle. Alors qu'elle les regardait défiler, elle commença à envisager son avenir avec crainte. Elle reconnut chacun des hommes : l'honorable juge MACKIE, Kévin PERRY, propriétaire du plus gros réseau d'information de la ville (télévision et journal), Michel BISQUE le procureur, le maire Georges NOIRET, et une poignée de gros industriels. Puis arriva le pire, le chef de police Franck SIMPLON, son patron immédiat. Joseph attendit qu'ils soient tous debout autour d'elle alors qu'elle était assise sur le bord de la couchette à un mètre d'eux. Puis il attendit qu'elle ait bien reconnu tous les visages avant de parler :

- Un rassemblement de gens puissants, n'est-ce pas Commissaire ? Et il n'y a pas qu'eux. Leurs amis et collègues connaissent également ce complot et ils étaient plus que contents d'offrir leur soutien et leur aide comme ils le pouvaient. Beaucoup de personnes veulent t'enseigner une bonne leçon.

Juliette est surprise par le défilé de notables. Toutes ses pensées sur le moyen de réhabiliter son nom furent balayées d'un seul coup.

- Donc laisse-moi t'indiquer toutes tes options chienne !

Le ton qu'il vint de prendre la fit grimacer, il avait été si calme jusqu'à maintenant.

- Tu peux plaider coupable aux accusations que nous présenterons et accepter la sentence que nous avons décidée c'est-à-dire un an d'incarcération. Ou tu peux tenter ta chance et espérer que la personne que tu embaucheras pour ta défense ne sera pas de notre complot, ou que le jury ne sera pas de notre côté. Tu risques de passer dix ans dans la prison la plus difficile où les détenus connaîtront ta profession précédente.

Le visage de Juliette montra qu'elle était effarée alors que les options lui étaient présentées de façon neutre. Elle fut choquée, bouleversée, son monde s'effondrait devant ses yeux et les hommes réunis devant elle appréciaient énormément en repensant à tous les coups vaches et les raccourcis qu'elle avait pris pour monter professionnellement. Elle balbutia et bégaya, incapable de former une réponse cohérente. Toute sa vie avait été si confortable et au-dessus des autres et maintenant elle était réduite à rien. C'était désespérant. Son cerveau analytique et calculateur pouvait voir dans les yeux de tous ces hommes. Elle avait de gros ennuis.

- S'il vous plaît non, je n'ai rien fait de mal. Il doit bien y avoir une chose que je peux faire pour me racheter.

DUPRE sourit comme une hyène.

- Eh bien en fait Commissaire PORTIER, nous espérions que tu nous proposerais cela. Nous sommes onze ici comme tu peux compter. Ce que nous voulons c'est que tu laisses chacun d'entre nous te baiser comme il le veut. Et à chaque fois tu réduiras ta peine d'un mois. De cette façon tu peux réduire ton temps d'incarcération à seulement un mois. Je pense que tu arriveras à gérer ça, n'est-ce pas ? Et je crois que le bordel t'a montré qu'il y a une autre carrière qui te convient mieux que la police. C'est donc l'heure de la décision salope. Qu'est-ce que tu veux ? Nous combattre et risquer un long moment de ta vie en prison ? Ou alors mettre ton corps de salope à notre disposition et réduire ta peine ? Je t'écoute.

Sous la menace Juliette n'eut pas d'autre choix que de céder. Vaincue, elle chuchota :

- D'accord je vais le faire.

Elle baissa les yeux sur le sol de pierre alors qu'elle signifiait sa soumission.

DUPRE applaudit et dit :

- Nous savions que tu étais une garce sensée. Pourquoi ne nous ferais-tu pas bander en enlevant tes fringues. Danse pour nous d'accord ?

Juliette commença à se lever. Ce faisant, elle pris conscience de mouvements à l'extérieur de la cellule. Et elle vit, avec une horreur croissante, de nombreux policiers subalternes se précipiter pour pouvoir voir ce qu'elle allait faire. DUPRE vit l'expression de son visage.

- Tout le monde sait ce qui se passe Commissaire. Comme je t'ai dit, tu n'as pas beaucoup d'amis ici. Et tout le monde veut voir ce que tu as été réduite à faire. La rumeur de tes ébats dans la rue ce soir semble s'être répandue.

La rousse ne put vraiment croire à l'ampleur du complot contre elle. Comment tous ces gens pouvaient-ils la maîtriser autant ? Elle ne comprenait pas, il y avait de simples policiers, des civils et des dactylos.

- Allez Commissaire, tu dois vraiment apprendre à être obéissante. Je t'ai dis de commencer à danser. Peut-être que certains de onze vont se fatiguer d'attendre et s'en iront. Du coup tu ne pourras pas réduire ta peine autant que possible.

Mentalement Juliette était vaincue. Peut-être qu'il y avait un moyen de refuser et de combattre pour s'en sortir. Mais en regardant tous ces hommes puissants autour d'elle et ses collègues qui regardent à l'extérieur de la cellule, elle comprit que sa seule issue était de faire comme indiqué. Elle se leva avec lassitude et commença à balancer ses hanches sur ses talons, en essayant de s'imaginer comme une strip-teaseuse.

La foule qui la regarde applaudit et siffla pour ses efforts. Elle entendit des encouragement grossiers :

- Allez Commissaire, secoue tes nichons salope :

- C'est ça grosse pute, montre ton cul !

Juliette avait dépassé le point où elle était gênée par ce qu'elle faisait, où elle était humiliée. Elle était condamnée à son sort. Son haut déchiré s'enleva facilement et un énorme cri de joie retentit à travers les murs de pierre alors que ses seins lourds et charnus rebondirent à la vue de tous, ses gros mamelons se détachant sur sa peau crémeuse. Elle enleva ses bottes et baissa sa jupe, souhaitant que la drogue de cette nuit fasse encore effet pour ne pas être consciente de ce qu'elle faisait. Elle baissa ses bas et les roula, les jetant sur son bourreau en chef avec un air de dégoût. Il se contenta de lui sourire, indiquant avec son doigt qu'elle devait continuer à danser pour son public.

Une fois qu'elle a suffisamment remué son cul pour tous les hommes et femmes regardant, DUPRE s'approcha d'elle et la tira vers les barreaux de la cellule. Il passa se bars à travers et demanda à l'un des flics debout à l'extérieur de la menotter. La recrue au visage juvénile ria nerveusement et passa ses menottes aux poignets de Juliette.

- Tiens, passe-moi ta matraque garçon ! Ordonna DUPRE.

Il prit un grand plaisir à la faire passer sous la bouche de la femme dans un geste menaçant.

- Je ne sais pas si tu as compris Commissaire PORTIER, mais tu n'es pas du tout appréciée. Je fais tout ça pour toutes les personnes sur lesquelles tu as marché pour atteindre le sommet. C'est pour toutes les personnes que tu as encadrées soudoyées ou escroquées. Crache donc sur ça, je vais te la fourrer dans le cul. Tu ferais mieux de bien la lubrifier.

Grimaçante sur ses mots et sa situation, Juliette cracha sur le bout de la matraque. Elle sentit qu'on écartait ses fesses. Le bout de bois descendit le long de sa colonne vertébrale et s'arrêta entre ses fesses, puis força son petit trou. Elle se mordit la lèvre alors que l'objet s'aventurait à l'intérieur de son cul. DUPRE continua à lui parler alors qu'il poussait dans et hors de son cul la grosse matraque.

- Tu as pris tellement de raccourcis sans te soucier si tu blessais quelqu'un. Et tu as fait tout ce qui fallait pour avoir de l'avancement. N'est-ce pas ironique que ce soir tu sois la criminelle. Je ne peux pas attendre que tu passes devant le tribunal pour avouer ta culpabilité. Crois-moi, tu plaideras coupable, sinon nous veillerons à ce que tu sois envoyée en enfer pour beaucoup plus qu'un mois.

Certaines personnes à l'extérieur de la cellule retournèrent à l'étage supérieure sûrement pour travailler ou rentrer chez eux. Mais il en resta bien encore une vingtaine derrière les barreaux qui regardèrent DUPRE sodomiser de plus en plus profondément Juliette avec la matraque. Il maniait l'objet avec expérience, comme si ce n'était pas la première fois qu'il le faisait. Juliette ne put s'empêcher de repenser avec honte à ce qu'il avait fait avec elle cet après-midi au bordel.

Il retira la matraque avec un « plop » bien audible qui suscite des murmures dans le public, à l'intérieur et à l'extérieur de la cellule. Il présente l'extrémité du bâton au visage de la commissaire et il dit avec autorité :

- Lèche salope ! Goûte à ton cul !

Il n'y eut pas d'hésitation. La tête rousse se baissa vers la matraque qui venait de sortir de son cul et elle commença docilement à la nettoyer au grand amusement de tous les spectateurs. Juliette ferma les yeux et essaya de ne pas réfléchir à ce qu'elle faisait. Mais elle les rouvrit rapidement lorsqu'elle entendit le bruit de la braguette que DUPRE descendait derrière elle. Tout en continuant de lui présenter la matraque il lui chuchota à l'oreille :

- Je vais être le premier, et je choisis de t'enculer. ET si tu veux qu'un mois soit supprimé de ta peine, tu ferais mieux de faire comme si tu appréciais, comme si tu aimais. D'accord ?

Juliette referma les yeux et hocha la tête avant que son corps ne soit bousculé par son bourreau qui venait de pénétrer son cul tout en attrapant ses gros seins qui pendaient. Il les serra et tripota pendant qu'il la pilonnait. Les poignets menottés à travers les barreaux, elle ne pouvait rien faire, à part subir son rythme dur et rapide.

Juliette joua la comédie. Elle savait ce qu'il voulait qu'elle fasse. Ignorant l'humiliation et la dégradation de la situation, elle joua son rôle. Elle savait maintenant que sa lutte acharnée pour grimper les échelons avait pris fin et qu'il ne lui restait plus qu'à essayer de faire réduire la peine que ses maîtres-chanteurs lui avait imposée. Alors que l'homme derrière elle l'enculait violemment, elle réagit comme elle pensait qu'il voulait, gémissant et criant, sa voix empreint d'air de désespoir. Le public observateur était excité de voir cette chienne coincée comme ça.

Alors que ses grosses couilles giflaient bruyamment les fesses de Juliette, l'homme serra ses seins et cria :

- Ouais ! Prends ça salope ! Prends ça dans ton cul ! Il va être douloureux pendant un mois quand j'en aurai fini avec toi.

Juliette grimaça et continua à faire croire qu'elle aimait se faire enculer. Elle fut finalement soulagée lorsque son tourmenteur se raidit et gicle tout son sperme au fond de ses entrailles. Quand il se retira, elle put sentir un mince filet de son foutre descendre de son cul et couler lentement le long de sa cuisse. Il s'en fichait et il lui donna une grande claque sur le cul avant d'appeler ses co-conspirateurs.

- Allez Messieurs ! Qui est le prochain ? Cette salope a encore plein de trous à remplir. Et elle fera n'importe quoi pour une bite.

Ce n'était pas vrai bien sûr, elle aurait aimer s'arrêter là. DUPRE dit au jeune flic de déverrouiller les menottes. Puis il la poussa devant le chef de la police qui baissa sa braguette à son approche.

Franck SIMPLON était un gros homme. Il ne faisait aucun doute qu'il échouerait à la visite médicale pour entrer dans la police, s'il la passait maintenant. Il ne pourrait plus patrouiller dans les rues comme il l'a fait pendant vingt longues années avant de passer des concours et faire sa route vers la plus haute marche de la police juste quelques années avant sa retraite. Il n'avait jamais beaucoup aimé Juliette. La façon dont elle avait gravi les échelons lui était resté dans la gorge compte tenu de tout ce qu'il avait du faire pour atteindre sa position.

Elle ne lui avait rien caché de son ambition impitoyable et elle lui avait même dit qu'elle envisageait de prendre sa place dans l'avenir. Bien sûr, elle pensait alors qu'elle était intouchable, qu'elle avait assez de pouvoir et influence pour agir en toute impunité. Pour le moment, elle frotta ses poignets endoloris tout en sentant le sperme glisser le long de ses cuisses nus. Et elle reconnut qu'elle n'était plus intouchable.

- A genoux, putain de salope ! Il est temps que tu apprennes où est ta place. Tu pensais être au-dessus de tout le monde n'est-ce pas ? Eh bien, vois où ça t'a menée !

Juliette est gênée et effrayée par son ton. Il avait toujours été cool et professionnel avec elle (même si secrètement elle avait essayé de lui faire perdre son sang-froid pour pouvoir prendre sa place). Mais alors que sa grosse silhouette avança vers elle, elle tomba docilement à genoux et leva les yeux sur son regard sombre et implacable. L'homme lui sourit comme un prédateur.

L'uniforme du chef de police était trop petit, son ventre ressortait. Elle l'avait toujours trouvé beaucoup trop gros, mais maintenant qu'il s'approchait d'elle, elle vit à quel point il était horrible. Elle avait du mal à le regarder. Elle baissa les yeux sur le sol en pierre, fixant une petite goutte de sperme qui était tombée de son cul bien utilisé. Bientôt sa vue fut obscurcie par les chaussures noirs bien vernis du chef de police. L'homme posa ses doigts boudinés dans les cheveux roux habituellement bien coiffés mais maintenant ébouriffés de Juliette. Il lui releva la tête pour qu'elle le regarde bien droit dans les yeux. Dieu, qu'il aimait ça !

- Je vais te baiser le visage ! Je m'en fous si tu va apprécier ou non. En vérité j'espère que non. Mais une chose est sûre, si tu veux gagner encore un mois en moins de prison, tu ferais bien de ne pas te plaindre ou de refuser ou de faire n'importe quoi qui va me mettre en colère. Compris ?

Juliette essaie de hocher la tête, mais c'est difficile avec la main qui serre ses cheveux. Elle soupira et ouvrit la bouche pour montrer son acceptation. Il y eut un murmure audible de la foule qui regardait alors que le chef SIMPLON sortait enfin sa bite. Pour un homme de plus de cinquante ans et presque obèse, il était monté comme un cheval. Sa bite était raide d'excitation et luisante de liquide pré-éjaculatoire. Il ne perdit pas de temps et la plongea profondément dans la bouche de Juliette. Même si elle s'était préparée, elle ne put s'empêcher d'étouffer tandis que la queue gluante s'enfonçait au plus profond de sa bouche et de sa gorge. Mais alors qu'elle ne pouvait pas respirer, le chef tenait sa tête fortement en place et poussait son bassin pour mieux s'enfoncer en elle.

Alors que Juliette craignait que l'homme ne retire pas son sexe et qu'elle s'évanouisse ou vomisse, il le sortit et lui laissa un millième de seconde pour reprendre son souffle. Puis il enfourna de nouveau sa queue. Après une série similaire à celle-ci, elle ne put retenir son réflexe nauséeux et quand le chef retira sa bite après l'avoir enfoncée vraiment profondément, elle cracha un mélange de bile et de salive. Mais ça ne lui apporta aucun répit alors qu'il lui redressa le visage en tirant sur ses cheveux et recommença à baiser sa bouche. Puis il en eut marre de cette gorge profonde et il trouva une nouvelle humiliation.

- Garde ma bite dans ta bouche de pute, et tu ferais bien de ne pas la lâcher. Ordonne-t-il.

Il fit lentement glisser sa bite dressée hors de la bouche jusqu'à ce que seulement le gland et trois centimètres restent dedans. Il la regarda et commença à gifler moqueusement chacune des joues de Juliette, pas trop fort, mais assez pour faire rebondir la bite entre les deux joues. Il continua pendant environ une minute Jusqu'à ce que la bouche ne soit plus en mesure de garder la queue à l'intérieur et qu'elle sorte. Mais ça n'avait pas vraiment d'importance, car l'homme était sur le point de jouir. Et alors que sa bite sortit de la bouche, un arc de sperme blanc gicla et plâtra le visage de Juliette. Il fut suivi de trois autres jets recouvrant de lignes blanches la face de la commissaire.

Le chef eut un sourire narquois et secoua sa bite sur les seins de la femme avant de reculer.

- Juste comme j'ai toujours voulu te voir ! C'est vraiment ta meilleure position.

Alors que le chef de police remontait sa braguette, le juge Daniel MACKIE, le premier juge de couleur de la ville s'approcha. Il était juge depuis de nombreuses années déjà et il était un membre extrêmement respecté de la communauté juridique.

A travers ses yeux couverts de sperme, Juliette le regarda approcher, et son esprit s'enfonça encore plus profondément. Tous les deux s'étaient souvent affrontés au tribunal, presque depuis sa première affaire. Le juge s'était rapidement rendu compte qu'elle semblait mener ses enquêtes contre des personnes d'autres races avec une vigueur excessive. Il avait immédiatement reconnu l'aversion qu'elle avait pour lui dans ses yeux et ils avaient entretenu une relation professionnelle très tendu quand ils se rencontraient au tribunal. Ils savaient tous les deux que chaque fois qu'ils se heurtaient, il s'agissait de marquer des points l'un sur l'autre, et surtout pour Juliette qui était sournoise.

Et la voilà maintenant ! Quelle image pathétique ! Elle était nue, à genoux et prête à faire tout ce qu'il fallait pour limiter sa peine de prison. Le juge sourit en s'approchant d'elle.

Ce fut tout à fait inhabituel pour le juge de se tenir devant elle et de voir la défaite et l'obéissance dans ses yeux plutôt que le dédain habituel et le racisme mal dissimulé. Juliette leva la main pour essuyer un fil épais de sperme du chef de son œil droit. Mais le juge lui ordonna avec son autorité naturelle :

- Ne fais pas ça ! Ne touche pas à ça salope ! J'aime te voir comme ça. Ça me donne des frissons de te voir réduite à une chienne à bites. Ce n'est que justice après toutes les choses que tu as faites et toutes tes manigances pour t'assurer d'obtenir une bonne condamnation n pour les personnes que tu arrêtais. Maintenant la question est de savoir quel genre de « justice » je vais rendre.

Involontairement elle frissonna et le juge rit :

- Oh ne t'inquiète pas jolie commissaire, je ne voudrais même pas te toucher avec un bâton. Je ne collerai pas ma bite n'importe où, je ne sais pas ce que tu as fait. Mais ne te réjouis pas, j'ai une idée de ce que tu peux faire pour obtenir ma réduction d'un mois.

Il se tourna vers les personnes à l'extérieur de la cellule et cliqua des doigts. A ce signal un long objet fut glissé entre les barreaux jusqu'à sa grande main noire. Juliette grimaça en voyant ce que c'était. Elle le regarda frapper dédaigneusement la paume de sa main avec la batte de baseball. Après l'avoir fait plusieurs fois il la laissa tomber bruyamment sur le sol en pierre devant Juliette.

-Tu veux un mois de prison en moins ? Et bien tu vas devoir t'occuper de ça. Je veux voir autant de batte à l'intérieur de ta chatte que tu peux en mettre, et même plus. Allez salope, c'est à toi de décider, tu veux gagner un mois ou non. Allez !

Bien qu'elle eut essayé de masquer son horreur face à ce qu'il lui demandait (non, ordonnait) de faire, ses yeux la trahirent. Elle ne fut que vaguement consciente de quelques rires étouffés alors qu'elle tendait la main pour saisir la batte et la soulever.

- Allez la sportive, montre-nous comment l'utiliser ! Cria une voix moqueuse dans l'ombre.

Juliette tourna la batte dans tous les sens. La taille de l'extrémité de l'objet la plus grosse était sûrement trop importante pour elle. Ses mains tenaient la batte comme si c'était une bombe et elle ne pouvait en détacher ses yeux effrayés. Mais elle fut consciente que le juge se tenait devant elle et commençait à s'impatienter.

Malgré ses réticences à faire ça, elle sut qu'elle allait le faire. C'était incroyable comme une femme carriériste, puissante, volontaire et résolue avait été réduite à une salope presque irréfléchie, obéissante et soumise en si peu de temps. Elle ramassa la batte, la prit dans ses deux mains et sans réfléchir, cracha sur le gros bout pour essayer de le mouiller le plus possible. Bien sûr, un peu du sperme éclaboussé sur son visage se mélangea à sa salive sur le bâton qui fut bientôt recouvert d'un mélange poisseux.

- Colle-la dans ta chatte salope ! Je veux te voir l'enterrer en toi ! Exigea le juge.

Elle écarta ses cuisses sexy permettant ainsi à tout le monde d'avoir une vue directe de sa chatte. Pour se préparer, elle se doigta, essayant désespérément d'atteindre un certain degré d'humidité. Elle ferma les yeux et se concentra en poussant le gros bout de la batte contre ses petites lèvres. Elle la frotta avec le mélange qu'elle avait mis dessus. Dans ses pensées c'était horrible d'enfoncer cette extrémité là, un vrai viol. Néanmoins elle continua à frotter l'engin de haut en bas jusqu'à ce qu'il commence à s'enfoncer en elle.

Immédiatement la batte poussa les parois de sa chatte serrée. Elle savait qu'elle devait bouger pour rendre cette intromission plus confortable. Mais cela allait la forcer à se repositionner et à s'asseoir sur son cul sur le sol en pierre et bien ouvrir ses jambes, permettant à tous ces salauds une vue encore plus dégagée sur son sexe. Alors elle bougea et un murmure d'approbation inonda la cellule. Elle cligna des yeux pour essayer d'éliminer le sperme de ses cils, puis elle reprit sa tâche, poussant la batte un peu plus jusqu'à ce que les cinq premiers centimètres soient en elle.

- Je vais t'aider salope ! Déclara le juge.

Il s'avança pour prendre la poignée de la batte dans sa main et la poussa plus profondément tout en la tordant. Juliette sentit le bâton s'enfoncer en elle et elle grogna alors que sa chatte était remplie comme jamais auparavant dans sa vie. L'homme vissa la batte plus loin puis lui dit de placer ses mains dessus et de la faire elle-même. Malgré sa volonté elle le fit et elle put sentir son corps s'éveiller à cette intrusion alors que des parties de son anatomie étaient touchées pour la première fois. Elle ferma les yeux et s'imagina ailleurs, n'importe où alors que la batte glissait un peu plus en elle, jusqu'au moment où elle sut que si elle se levait, le gourdin resterait en place à l'intérieur de sa chatte.

Elle était vraiment mouillée maintenant, même si elle ne voulait pas l'être. Elle l'était sans aucun doute et elle se sentait de plus en plus excitée. Elle haleta, gémit et grogna sur l'objet dans son sexe.

Sa tête bascula en avant. Elle ouvrit les yeux, consciente que le sperme séchait sur son visage. Elle respira difficilement. Puis elle leva les yeux sur le regard souriant du juge qui reprit le contrôle :

- Sors la batte chienne et lèche-la. Nettoie ce gâchis que tu viens de faire. Et ça sera tout pour moi.

Juliette sortit la batte de sa chatte humide et la présenta à sa bouche. Elle lèche timidement son jus sur la surface au son des gloussements et rires autour d'elle.

Voilà trois de fait, il en restait encore onze. Ce fut littéralement la nuit la plus longue pour Juliette. Elle dut prendre les hommes les plus importants de la ville dans tous ses orifices. Ils firent ce qu'ils avaient prévu de faire, elle n'était plus qu'un jouet de baise pour leur satisfaction. Sa vie antérieure et son autorité n'étaient plus qu'un souvenir qui s'effaçait rapidement.

Quand ils ont tous fini de s'amuser avec elle, elle est agenouillée, épuisé sur le sole en pierre, une flaque épaisse de sperme à quelques centimètres de ses genoux. Joseph DUPRE savait ce qu'il voulait voir. Il provoqua le rire de ses camarades comploteurs en ordonnant à Juliette de ramper et de lécher la flaque de foutre.

Quelle humiliation pour la commissaire de police, prisonnière dans les cellules de son commissariat, rampant sur le sol froid, épuisée par ces derniers jours où elle n'a été qu'un jouet sexuel. Elle se pencha docilement pour lécher le mélange aigre sur le sol. Les hommes ne la laissent pas tranquille tant qu'elle n'a pas léché toute la flaque. Puis ils la quittent et la laissent passer sa première nuit seule derrière les barreaux.

A partir de ce moment tout est allé très vite. Son sort était décidé. Juliette se rendit compte de la futilité de combattre pour sa cause. Elle accepta donc de plaider coupable aux accusations portées contre elle en échange d'un seul mois de prison. Elle n'avait pas le choix, elle n'avait pas d'amis pour l'aider et elle ne pouvait être sûre de toute personne qui travaillerait pour l'aider. Dans sa tête, elle se disait qu'elle allait faire un mois de prison, puis elle quitterait cet endroit et déciderait ensuite si elle se vengerait de tous ces hommes qui l'avaient réduite à rien. C'était toujours mieux que l'année de prison dont ils l'avaient menacée.

C'est ainsi que deux mois après son arrestation, Juliette, enchaînée et en combinaison, se tenait sur le banc des accusés devant l'honorable juge MACKIE (oui, celui qui avait tant apprécié sa compagnie dans la cellule) pour recevoir sa condamnation.

- Commissaire PORTIER, j'ai beaucoup de peine de voir qu'une carrière aussi prometteuse que la votre ait été jetée aux orties comme vous l'avez fait. Vous avez utilisé votre position pour entreprendre les mêmes activités que vous aviez prétendu vouloir proscrire. Ce faisant, vous avez indubitablement nui à la réputation des forces de police que vous auriez dû défendre. Par conséquent, il m'incombe de faire en sorte que votre peine reflète ces manquements. Donc je n'ai pas d'autres choix que de vous condamner à cinq ans de prison dans un centre de haute sécurité. Emmenez la détenue !

Juliette était complètement hébétée alors que deux policiers en uniforme tentent de l'emmener. Cinq ans ? Comment est-ce possible ? On lui avait dit que si elle obéissait elle ne ferait qu'un mois. Si elle plaidait coupable, ce ne serait qu'un mois ! Elle vit le visage souriant de Joseph DUPRE sur la première rangée de siège de la salle d'audience et elle se rendit compte à quel point elle a été dupée à nouveau. Lorsqu'elle fut emmenée dans les entrailles de l'immeuble, elle pensa qu'elle ne pouvait tomber plus bas, sa déchéance étant totale. Mais elle avait tort, car elle devait découvrir ce qui, ou plutôt qui, l'attendait à la prison.

A suivre...


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