Texte de Nanita701
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J'ai aujourd'hui 21 ans, je ne peux pas vous révéler mon nom. Cette histoire fait partie de ma vie et j'ai envie de la partager. Alors je vous demande un peu d'indulgence, il y a probablement des fautes d'orthographe et mon style n'est pas celui d'un grand écrivain, mais ce récit est très intime et je l'ai écrit avec beaucoup de sincérité.
J'avais 18 ans à l'époque, je sortais d'une histoire décevante, comme beaucoup de jeune fille j'avais cru rencontrer l'homme de ma vie mais tout c'était très mal fini... J'avais retrouvé mon homme, de 8 ans mon aîné, la bite enfoncée dans le cul d'une blonde à gros seins, dans le lit même où nous faisions l'amour tous les jours. Peut*être qu'il la désirait, car elle était tout mon contraire, qu'il s'était lassé de moi... Pourtant je suis consciente d'avoir un certain charme, sans pour autant être imbue de ma personne. Je suis brune, les cheveux longs, des fesses bien dessinées, bien fermes, une petite poitrine certes, mais jolie et bien dure. Sans être le cliché méditerranéen. J'ai la peau très claire, des yeux foncés, pas un visage de petite poupée mais un regard profond.
Bref cette rupture m'avait laissé du temps libre et je travaillais dans un restaurant tous les soirs après le lycée pour gagner de l'argent ainsi que pour me changer les idées. C'est là que tout commence. Un soir de travail comme les autres, j'ai vu arriver un client qui ne m'a pas laissé indifférente, grand, noir, une quarantaine d'années. Mon ex tout craché, avec 25 ans de plus, c'est certainement pour cela que j'ai ressenti une pointe d'excitation en le regardant s'installer. Je ne m'occupais pas de sa table malheureusement, c'était un de mes collègues, mais je cherchais souvent son regard et nous nous adressions des coups d’œil complices et des sourires. Pourtant je le vis régler sa note et quitter sa table avec ses amis sans un regard dans ma direction. Je ne terminais que dans une heure, c'est donc déçue que j'ai continué mon travail.
En quittant le restaurant vers 00h30, j'aperçus une voiture noire qui stationnait à l'angle de la rue, elle vint vers moi et je reconnus avec une pointe d'excitation le client qui m'avait plu.
- Montez mademoiselle, vous n'allez pas rentrer seule si tard, je vous ai attendu.
Je m'installai, le remerciant naturellement. Nous ne parlions plus, il roulait, je ne réfléchissais même pas au fait que je ne lui avais donné aucune adresse où me conduire, je me contentais de l'observer. C'était un très bel homme, son visage était parfaitement serein, j'admirai son profil puis son torse sous la veste de son costume.
Nous nous sommes arrêtés sur un parking extérieur, rien de vraiment glauque. Puis nous avons commencé à discuter.
- Quel âge avez-vous mademoiselle?
- 18 ans !
- Vous me semblez un peu jeune pour monter dans la voiture d'un inconnu de 30 ans votre aîné…
Puis ce fut tout. Après il ne dit plus rien, il ne me demanda même pas mon prénom. Mais il déboutonna son pantalon et en sortit son sexe. Il était vraiment énorme, aussi gros que dans les films pornographiques que nous regardions avec mon ex. J'étais dégoûtée, d'un coup, il avait 30 ans de plus que moi, il avait sorti son énorme bite sous mes yeux, pourtant je ne bougeais pas.
Il empoigna doucement mais fermement mes cheveux et abaissa ma tête vers sa bite. Honteuse je sentis une bouffée de chaleur dans mon bas ventre. Il laissa glisser de la salive sur son sexe, entrouvra ma bouche avec deux doigts, me maintenant toujours la tête avec son autre main et il enfouit son énorme bite entre mes lèvres. Je hoquetais, elle m'étouffait, mais il appuyait de plus en plus fort et je ne résistais pas, bientôt il me fallut de l'air, il le comprit, sortit sa queue de ma bouche et m'en tapota les lèvres.
- C'est bien, soit docile bébé, soit sage c'est bien ! Me dit il.
Étrangement ces simples paroles m'excitèrent, et de moi même je repris son sexe dans ma bouche. Mais je ne savais pas comment m'y prendre, il était bien trop gros, j'avais peur de lui faire mal avec mes dents. Je me contentais donc de lui lécher et de bien lui sucer le gland. Je commençai à sentir une chaleur agréable entre mes cuisses et me demandais si j'allais pouvoir profiter de l'expérience de cet homme plus âgé ce soir même.
Je le suçai tranquillement en me livrant à des pensées plaisantes quand il me surprit désagréablement. Il saisit brutalement ma tête de ses deux mains et tenta de m'enfoncer sa bite au fond de la gorge avec de violents coups de rein en m'intimant de me laisser faire. J'aurais voulu hurler mais son sexe obstruait ma bouche, une violente envie de vomir me prenait chaque fois que je sentais sa queue s'enfoncer très profondément. J'étais déjà au supplice quand je sentis un liquide chaud au fond de ma gorge, je vomissais, réalisais-je humiliée, je vomissais sur sa bite ! Mais je l'entendis gémir encore et encore et je compris que non je ne vomissais pas, mais il éjaculait puissamment dans ma gorge.
Quand il eut fini, il libéra ma tête, j'avais des larmes plein les joues à cause de tous mes hauts le cœur. Je n'osais rien dire, cet acte aurait pu être considéré comme un viol, car je n'avais pas été consentante, mais je ne regrettai pas ce qui s'était passé et surtout mon string était trempé, ce qui n'arrivait pas souvent, car d'ordinaire je ne mouillais pas beaucoup. Il essuya les larmes de mes joues, me laissa reprendre mon souffle et me sourit. Puis il souleva avec douceur et assurance ma jupe, et laissa apparaître ma petite chatte épilée et humide, il ne la toucha même pas.
- Ôte ton string, puce, je le ferai bien moi-même, mais les sièges avant d'une auto ne correspondent pas au lieu idéal pour se déshabiller mutuellement.
J'obéis, observant que lui n'enlevait rien.
- Maintenant, enfonce ta chatte sur le levier de vitesse.
- Pardon ??
- Si tu veux que ma bite rentre dans ta chatte étroite de gamine, il faut que tu commences par ça…
Choquée, j'obéis quand même, et me mis a califourchon au-dessus du levier. J'avais honte, je me sentais ridicule, mais l'énorme claque qu'il m'envoya sur le cul m'a convaincu. J'appuyai d'abord tout doucement ma chatte sur le levier, faisant rouler mon clitoris sur le pommeau. Je sentis ma mouille couler sur mes cuisses et sur le levier. Ça en était trop, j'enfonçai d'un coup ma chatte sur le levier, le faisant rentrer jusqu'au bout en poussant un cri de plaisir.
L'homme m'empoigna le cul et lui fit faire des allées venues brusques sur le pommeau. Je gémissais de plus en plus fort, je regardais l'énorme bite de cet homme et me demandais pourquoi est ce que je m'apprêtais a jouir de cette façon alors qu'une queue gigantesque reposait à côté de moi.
Puis je ne m'en occupai plus, mes gémissements devinrent des cris, et je sentis ma mouille inonder le levier de vitesse, l'homme lâcha mon cul, c'était fini. J'ôtai le levier de ma chatte et me rassis sur le siège passager.
- Tu veux dormir chez moi ce soir ?
- Oui…
- Alors préviens tes parents…
Il me tendit son téléphone, j'appelai ma mère, honteuse d'être si dépendante devant cet homme mûr. Elle m'autorisa à dormir chez "une copine".
Nous avons roulé peut-être un quart d'heure, avant de nous arrêter devant un grand bâtiment, assez chic. Je ne me souviens plus trop comment se sont déroulées les choses ensuite, Nous sommes montés, on a bu quelques verres de Vodka, on a plaisanté, je lui ai parlé du lycée.
Il n'était pas loin de 2h00 du matin quand j'ai entendu l'interphone sonner, je commençai à somnoler, abrutie par la fatigue, l'alcool... Je me renfonçai dans le canapé, me demandant qui cela pouvait bien être à cette heure, et qu'allait penser cet inconnu de ma présence ici. Et surtout sa venue contrariait mes plans, l'alcool m'avait excité davantage et je me voyais déjà enfourcher la bite de Christophe. J'avais appris une vingtaine de minutes plus tôt que mon hôte s'appelait ainsi.
Ce dernier alla ouvrir, j'entendis des éclats de rire et il réapparut dans le salon accompagné d'un homme plus jeune que lui, 30 ans environ, le teint plus clair.
- Voici Samuel, il travaille pour moi, je sais qu'il est tard, mais nous avons quelques petites choses à régler lui et moi, alors si tu veux bien patienter quelques instants…
J’acquiesçai et ils s'enfermèrent dans la pièce voisine.
L'alcool, l'heure tardive, tout cela m'invitait à m'endormir, mais je me sentais frustrée... Je pensais au sexe imposant de Christophe, à son torse puissant, à ce qui s'était passé dans la voiture et j'en voulus à ce Samuel de me l'avoir « volé ». Une douce chaleur envahissait mes membres, je me resservis un verre de vodka que je bus cul sec et glissai immédiatement ma main dans mon string. Ma chatte était déjà toute humide, je commençais par la masser doucement, puis je caressai plus vivement mon clitoris. Puis repensant au jus de mon hôte qui m'avait inondé la gorge et à ma chatte s'empalant frénétiquement sur le levier de vitesse je sentis mon excitation grandir et j'introduisis mon majeur dans mon trou, puis deux doigts, trois doigts... Ma main effectuait un va-et-vient rapide et je mouillais tellement que je pouvais entendre ma chatte clapoter. J'étouffai mes gémissements en mordant dans un coussin du canapé, je sentis le plaisir monter, monter quand je fus pris d'un violent haut-le-cœur. J'avais bu bien trop d'alcool, une grande fatigue s'empara de moi et je m'endormis ivre sans avoir atteint l'orgasme.
Je me réveillai doucement, je me sentais barbouillée, je n'avais dû dormir qu'une vingtaine de minutes. Je n'osai pas ouvrir les yeux de peur d'être reprise de nausées, mais je distinguai une lumière allumée et quelqu'un bouger devant mes paupières. Je n'étais plus dans le canapé, mais allongée sur le ventre dans un lit, certainement dans une chambre de l'appartement.
Toujours somnolente je sentis deux mains m'écarter brusquement les cuisses et une bite s'introduire d'un coup dans ma chatte toujours trempée, elle était entrée si vite et si fort que les couilles avaient claquées contre mon clitoris. J'avais hurlé de surprise, de plaisir et d'indignation, mais les deux mains de l'homme avait saisi fermement mon cul et sa bite me labourait la chatte. J'avais maintenant les yeux grands ouverts et découvrant Christophe devant moi je compris rapidement que c'était Samuel qui me baisait.
- Que faites vous ? Je dormais, vous n'avez pas honte ? » leur criai-je tant bien que mal, malmenée par les coups de rein de Samuel.
Christophe me sourit.
- Écoute ma petite, tu dormais dans mon canapé, les mains dans la culotte, je t'ai porté jusqu'au lit et tu mouillais tellement que Samuel a pu te pénétrer d'un seul coup de rein ! Oses me dire que tu ne veux pas que l'on te défonce !
Il avait raison, je voulais qu'il me défonce, mais lui pas son employé ! Mais Samuel me besognait tellement bien la chatte, s'agrippant à mon cul, ses boules cognant toujours contre mon clitoris, que je n'eus bientôt plus aucun scrupule et je me mis à gémir.
- Tais-toi ! M'intima Christophe en m'administrant une claque sur la joue.
Mais ce fut le moment que choisit Samuel pour m'enfoncer un doigt dans le cul. Je criai de surprise peu habituée à ce genre de traitement.
- Je sais ce qui va te faire taire pute ! Me dit Christophe que mes cris agaçaient visiblement.
Ses paroles brusques décuplaient mon plaisir et Samuel continuait à me fourrer ses doigts dans le cul avec frénésie. Christophe avait ouvert son pantalon et sortit son monstrueux engin, le redécouvrant je mouillai davantage. Il agrippa mes cheveux, cracha sur sa bite et m'enfonça son gland dur dans la bouche. Tout en pompant je le caressai doucement de ma langue.
J'avais beau être toute habillée, il ne me manquait que mon string, j'avais tous les trous bien remplis et cela me rendait folle.
J'essayais de me concentrer sur la bite de Christophe, mais j'entendais Samuel gémir de plus en plus fort et il me défonçait la chatte avec de plus en plus de violence. Il avait abandonné mon trou du cul mais m'administrait de fortes claques sur les fesses depuis plusieurs minutes et j'avais la croupe en feu quand je le sentis se retirer de moi brusquement avant qu'un liquide chaud inonde mes fesses. Il jouissait sur mon cul en poussant de grands cris rauques.
Voyant cela, Christophe m'empoigna la tête plus fort et tenta d'enfoncer profondément sa queue dans ma gorge, mais mes nausées me reprirent de plus belle et j'eus tant peur de vomir que je fis tout mon possible pour dégager ma tête de l'emprise de ses grosses mains sans pour autant lui asséner un coup de dent. Il finit par me lâcher, cria à Samuel de dégager. Celui-ci, soumis à son patron, récupéra ses vêtements et s'en alla sans un regard pour moi.
Nous nous retrouvions tous les deux… Le voyant se déshabiller je fis de même en l'observant à la dérobée. Son corps était athlétique, j'avais rarement vu un homme de cette carrure.
Nos regards se sont croisés par hasard et je lus dans le sien qu'il me désirait, j'y vis même que nos 30 ans d'écart l'attendrissaient et je devinai que s'il me traitait comme une chienne, ce n'était qu'une façade... Je dus avoir un air triomphant, car il me dit:
- Qu'est-ce que c'est que ce regard insolent, gamine ? Tu penses avoir tout vu, tout connu, simplement parce que j'ai laissé un de mes employés lâcher son sperme sur tes fesses ! Attends de voir, cette nuit tu seras ma chienne, je vais te défoncer la chatte, l'anus et tu vas pomper ma bite jusqu'à ce que tu aies des crampes à la nuque, que mes couilles soient vides et que ta bouche et ton cul soient remplis de mon jus.
Je le regardai, bouche bée, ne sachant quoi répondre. Il éclata de rire et se jeta sur moi. Il m'embrassa goulûment, sa bouche dévorait la mienne, beaucoup plus petite. Sa langue m'explorait avec assurance et son sexe, toujours en érection, appuyait contre ma chatte. Je refermai mes cuisses dessus et il entreprit de frotter sa queue contre mon sexe tout en continuant à m'embrasser.
Sa bite était si grande que son gland atteignait presque mon nombril quand il se frottait contre moi.
Il cessa de m'embrasser et me retourna sur le ventre sans ménagement, me saisit les poignets, les ramena dans mon dos et les noua avec sa cravate. Il avait serré bien trop fort, mais je n'osai pas me plaindre, de peur qu'il serre davantage. D'un coup je me sentis vulnérable, j'étais soûle, j'avais sommeil et j'étais immobilisée, le cul relevé vers lui.
Je sentis ses mains masser mes fesses, en fait il étalait le sperme de Samuel sur mes parties intimes pour s'en servir de lubrifiant.
- Petite pute, prépare-toi à recevoir ma bite entière ! me prévint-t-il.
Je me crispai légèrement mon trou était étroit et j'avais peur que Christophe se mette en colère s’il ne rentrait pas tout entier. Agrippant fermement mes cheveux d'une main et tenant sa bite de l'autre, il appuya son gros gland contre mes lèvres et cela fit couler un peu de ma mouille.
Je sentis que j'allais me faire déchirer la chatte pour de bon. Il appuya davantage, faisant rentrer sa queue un peu plus profondément. Je gémis doucement, je sentais les parois de ma chatte s'élargir au passage de sa bonne bite et cela me plongeait dans un état d'extase. Il continuait sa progression avec lenteur et je sentis monter un orgasme, il fut long, silencieux, profond. Je doute que Christophe s'en soit aperçu.
Cela avait dû dilater mon sexe, car je sentis ses boules toucher ma chatte. Il était rentré entièrement, j'en fus la première surprise. Je l'entendis rire et me mis à rire également. Il se retira avec douceur, presque totalement, seul son gland était toujours dans ma chatte, puis il lâcha mes cheveux, agrippa mon cul de ses deux mains et d'un violent coup de rein, il m'enfonça sa bite jusqu'au bout. Je hurlai de plaisir. Il recommença encore et encore, je hurlai de plus belle, je n'avais jamais joui si fort, je ne me contrôlais plus. Il me cria de la fermer, je ne pouvais pas alors il claqua mes fesses, tira sur mes cheveux, mais au lieu de me faire taire, ces traitements m'excitèrent davantage. Alors sans sortir son sexe du mien, il attrapa son caleçon et me le fourra dans la bouche sans cérémonie.
Il recommença alors à me pilonner, accélérant progressivement le rythme en émettant des sons rauques. Il me tuait de plaisir, cet homme-là savait s'y prendre, ce que je ressentais n'avait rien avoir avec tout ce que j'avais connu. La taille de son sexe me rendait folle, m'élargissait les entrailles, je jouis encore une fois, à bout de force.
Ses mouvements se firent plus doux, mais je sentis ses deux pouces s'introduire dans mon cul, le reste de ses mains tenant toujours mes fesses. Il les fourrait avec application. Il s'adressa à moi:
- Ton cul va bouffer ma bite sale chienne !
J'eus peur, j'essayais de me débattre, mais mes poignets étaient liés, je voulus lui crier de ne pas m'enculer mais son caleçon obstruait toujours ma bouche. On ne m'avait jamais sodomisée, je tolérais qu'on enfonce quelques doigts dans mon petit trou mais ça s'arrêtait là. Et je ne voulais pas que la première bite qu'on m'y enfonce soit monstrueusement grande. Mais j'étais épuisée, attachée et bâillonnée... J'abandonnai la partie.
Il ôta sa bite de ma chatte, étala de la mouille sur mon anus et m'y enfonça son majeur tout entier, puis un deuxième doigt. Il les faisait aller et venir, puis tourner dans mon cul. Je sentis un troisième doigt s'y introduire. Je n'en avais jamais eu autant dans le cul. La sensation était très étrange, je ne ressentais ni plaisir ni douleur, mais c'était si spécial, je me sentais sale.
Mon trou s'élargit et Christophe tenta d'y introduire son gland. Je l'entendais souffler fort et mon anus se referma sur sa queue, il gémit et essaya de s'enfoncer plus profondément. Mais j'étais si tendue que je fermais le passage. Je sentis le corps de Christophe se tendre également, je compris qu'il s'énervait. Il me traita de salope et appuya de toutes ses forces. La douleur fut terrible, mais je ne pouvais pas crier, ni le supplier d'arrêter. Sa bite progressait doucement mais sûrement dans mon anus, elle me le déchirait mais s'enfonçait toujours davantage.
Je pleurai mais Christophe ne pouvait le voir, mon visage étant dissimulé par mes cheveux. Il voulait rentrer tout entier, de ce fait il se pencha sur moi et s'appuya de tout son poids sur mon corps, ses mains me caressaient maintenant les seins avec douceur. Il semblait s'être attendri, peut-être avait-il vu mes larmes... Il me détacha même les mains mais laissa son caleçon dans ma bouche. Je n'osai l'enlever.
Son sexe avait beau continuer à remplir mon cul, la situation m'était tout de même plus agréable et je me détendis. Il me caressa le dos et la nuque et se remit à me parler :
- Ne t'inquiètes pas, tu vas aimer grosse chienne, tu vas jouir du cul sale pute, laisse-moi faire.
Étonnée, je constatais qu'il y avait maintenant de la douceur derrière ses paroles obscènes. Cela me détendit encore et sa queue s'enfonça davantage. Je n'avais presque plus mal. Je ressentais quelque chose d'étrange qui n'était pas encore du plaisir mais c'était presque agréable. Pour m'aider un peu, je surélevais mon bassin et m'introduisit le majeur dans la chatte, je soupirai de plaisir mais ça n'était pas suffisant et Christophe était bien trop occupé à emplir mon cul pour se soucier de mon clitoris.
Pourtant il remarqua mon manège et me dit de tendre le bras, qu'il y avait une boîte à côté du lit. J'obéis et attrapais ladite boîte sans que sa queue sorte de mon anus et l'ouvris. J'y trouvais un petit gode noir en silicone, tout à fait ce qu'il me fallait. Mais je n'avais jamais utilisé de sextoy me dis-je, avant de réaliser que je ne m'étais jamais fait enculer non plus... C'était le soir des premières fois : 1er homme mûr, 1ère sodomie, 1er sextoy…
Je le mis facilement en route et le frottai contre mon clitoris et l'entrée de ma chatte. C'était bon! La bite de Christophe était presque entièrement rentrée dans mon cul et je commençai à sentir des ondes de plaisir m'agiter le bassin.
- Enfonce le gode dans ta chatte et fais-toi jouir, ça va te détendre et je pourrais enfin te besogner le cul comme il faut. Me dit-il.
Ensuite il cracha à l'entrée de mon anus pour le lubrifier un peu plus. Cela me convainquit de m'enfoncer le gode dans ma chatte trempée, il vibrait fortement et dès que j'eus du plaisir mon cul se détendit vraiment.
- Enfin ! S'exclama Christophe.
J'effectuai des vas-et-vient très rapides dans ma chatte et je sentis un orgasme monter, monter. Doucement Christophe commença à s'activer dans mon cul, mon orgasme éclata en même temps. Je lâchai le gode inondé de mouille, j'étais épuisée, mais je me doutais que Christophe n'en avait pas fini avec moi.
Je sentais son énorme sexe aller et venir dans mon anus avec force et chaque fois qu'il l'enfonçait jusqu'au bout je hurlais de douleur comme je pouvais avec son caleçon toujours dans la bouche.
Mais rapidement, mes sensations se modifièrent, je commençais à aimer me faire déboîter le cul. Christophe dut le sentir, car il y allait de plus en plus fort, j'étais en sueur, je priai pour que ça continue, pour qu'il n'éjacule pas maintenant ! J'allais atteindre le septième ciel quand j'ai ôté son caleçon de ma bouche pour lui crier :
- Encule-moi plus fort, j'aime que tu m'exploses le cul, défonce-moi l'anus !!
Je n'en revenais pas de parler si crûment, mais c'était tellement bon. Il éclata de rire et changea de position, nous étions en levrette lui à genoux derrière moi depuis qu'il avait commencé à m'enculer, mais il se leva et prit appui sur mes épaules avec ses mains et me déchira le cul avec violence.
Dans cette position sa bite rentrait vraiment très profondément dans mon cul et Christophe n'y allait pas de main morte... Il me pilonnait plus fort qu'il ne l'avait jamais fait en haletant. Je ne pouvais plus me retenir de crier de plaisir, tant pis si mes hurlements l'agaçaient. Je m'abandonnais complètement et hurlais, hurlais... Cela dut l'exciter, car il me cracha plusieurs fois dessus en me traitant de bonne petite pute.
Puis tout bascula, soudain ce fut terrible, il me pénétrait trop profondément, sa bite était trop grosse... Je ne sais pas pour quelles raisons exactement, mais j'eus soudain envie de déféquer, c'était intenable. Je le suppliai d'un coup de cesser de m'enculer, rouge de honte, impuissante, j'étais terrifiée à l'idée qu'il puisse entrer en contact avec mes excréments. Il ne comprenait ce changement brutal de comportement de ma part...
- Écoutes tu m'as supplié de te défoncer le cul, je le fais, ne joue pas à la gamine, tu vas m'énerver !
Je tentai de me calmer, ne sachant que faire, mais d'un grand coup de rein il enfonça sa queue jusqu'au fond de mon cul et appuya de toutes ses forces. Je ne tiens plus et lui criai :
- Arrête, par pitié arrête je vais te chier dessus !!
Il s'ôta d'un coup sec, m'attrapa par les cheveux me tira jusqu'à une porte, l'ouvrit et me jeta à l'intérieur. C'était une salle de bain. En larmes je m'assis sur les toilettes et je chiai et oui je chiai tout ce que je pouvais, le cul élargi par le passage de sa bite.
- Tu dois me terminer ! Cria t-il.
Et il entra brusquement dans la salle de bain. J'étais toujours sur le trône, je n'avais même pas fini de chier mais d'un geste il m'attrapa la tête et empala ma bouche sur sa bite. Et cette bite qui un instant plus tôt remuait dans mon cul allait et venait maintenant entre mes lèvres…
Je continuai à chier, incapable de m'arrêter après tout ce qu'il m'avait mis dans l'anus et je le suçai, le suçai…
Jusqu'à ce qu'il sorte sa queue de ma bouche et se branle en face de moi. Je ne bougeai pas, prisonnière de ces toilettes et le regardai. Son corps dégageait une puissance incomparable. Sa grande main s'agitait avec force et dignité sur son membre malgré la situation. Ses yeux étaient fermés et sa lèvre inférieure tremblotait, je sentais qu'il allait jouir.
Il a gémi très fort et tout son sperme me gicla en pleine figure avec violence, en plusieurs jets. J'étais trempée, lui essoufflé. Il s'est essuyé le sexe avec une serviette, m'a regardé : le visage inondé de sperme, assise sur le trône, la chasse d'eau non tirée...Il a souri puis est sorti en refermant la porte derrière lui.
J'étais anéantie, j'ai tiré la chasse d'eau et me suis glissée sous la douche. Je suis restée au moins une demi-heure sous l'eau brûlante, à me savonner et à ré-apprivoiser mon corps. J'ai enroulé une serviette autour de moi et tremblante comme une feuille j'ai regagné la chambre.
Christophe m'a montré le lit et je me suis glissée à l'intérieur. Il m'a rejointe et prit dans ses bras. Je me suis endormie sous ses caresses.
Cela peut paraître étrange, mais nous nous sommes vus pendant deux ans. Et pas seulement pour faire l'amour, nous partions en week-end régulièrement, nous allions au cinéma, au restaurant. Il me gâtait beaucoup.
Le regard des autres vis-à-vis de notre différence d'âge a eu raison de notre couple. Mais je pense que c'est mieux ainsi, aujourd'hui j'ai 21 ans et la relation que j'entretiens avec mon homme me correspond bien plus, mais jamais je n'oublierai Christophe et tout ce qu'il m'a apporté.
FIN
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