mardi 29 novembre 2022

Les WC étaient occupés Ch. 14

Texte de gkcdqho

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Toujours plus de piercings.

Satisfait de son travail expert sur l'oreille, Paulo retourne admirer ses perçages sur les mamelons de sa cliente. Il est étonné de voir que les tétons sont encore érigés après dix minutes. L'insertion des deux petites barres d'or ont eu l'effet escompté de garder en érection permanente les mamelons. il pense que Marcel demandera à sa soumise de porter des hauts transparents avec des soutien-gorges laissant apparaître les mamelons ou tout simplement sans soutien-gorge.

Le regard de Paulo se porte ensuite sur le mont de venus complètement rasé et à la moule qui réagit sous l’effet de l’œuf vibrant. Il a délibérément laissé le temps à Lara de jouer avec les différents niveaux de puissance de l’objet. L’homme regarde le petit mouvement de hanche de sa cliente qui révèle que l’œuf a sur elle les effets escomptés. Il demande à son assistante :

- A quel niveau de puissance es-tu ?

Sa réponse le surprend :

- Je ne suis qu’au cinquième niveau. Je voulais aller doucement pendant que vous perciez l’oreille. Et je me disais que vous vouliez peut-être la stimuler en tordant ses mamelons.

Paulo regarde Lara et lui dit :

- Je ne suis pas sûr que ses mamelons puissent subir des torsions. Je ne veux pas que les piercings aient trop de jeu. Je pense que Marcel s’amusera à les tordre alors qu’elle sera assise sur sa queue. Mais je peux peut-être les stimuler sans les tordre.

Nicole qui écoute la conversation dit alors :

- S’il te plaît Paulo, ne faites rien à mes tétons. Je ne crois pas pouvoir le supporter.

- Ne t’inquiète pas. Je ne vais pas toucher tes mamelons avec mes mains. Mais j’ai un petit instrument électronique que tu vas apprécier je pense.

La Nicole supplie encore :

- Mais pourquoi vouloir stimuler encore plus mes mamelons ? Je suis déjà complètement excitée avec ce truc en moi. Est-ce que ma vulve n’est pas déjà assez engorgée pour que vous puissiez continuer à me dégrader ?

Paulo demande à Lara :

- Est-ce que les lèvres de sa moule sont assez gonflées ?

- Non !! Il faut encore travailler son sexe pour que vous puissiez terminer votre travail en toute sécurité.

L’homme regarde la Nicole et lui dit :

- Tu veux que je sois prudent non ? Tu ne veux pas que j’abîme une aussi belle moule.

Notre Nicole dont les yeux recommencent à s'humidifier s’agite et essaie de sortir ses mains des attaches. Elle lève son torse aussi loin que possible et tire sur les liens qui retiennent ses poignets attachés. Ses mouvements provoquent des lignes rouges autour de ses poignets et les sangles autour de ses chevilles commencent à faire la même chose.

- Détends-toi s’il te plaît. Je ne veux pas que tu te blesses. Je te promets que je ne suis pas loin de pouvoir percer tes petites lèvres. Mais celles-ci doivent être bien prêtes auparavant. Déclare Paulo pour la calmer.

L'assistante, voyant la Nicole se détendre un peu, tourne le commutateur de l’œuf de la puissance cinq à la puissance huit. Ça donne comme un coup de fouet au corps de l'entravée. Elle saute presque de la table sous les vibrations intenses de l’œuf. Elle claque ses hanches contre le vinyle de la table d’examen et appuie sa tête en arrière.

A ce moment, Paulo peut placer une petite électrode ronde sur les deux pointes des mamelons de sa cliente. Il tourne un bouton pour démarrer l’appareil et le courant passe dans les électrodes. Cette machine n’a pas de régulateur de puissance. Les seins de la Nicole reçoivent brusquement un petit choc électrique.

Alors que l’anesthésiant commence à ne plus faire effet, les chocs de l’appareil causent une douleur aux seins de la prisonnière, une douleur qu’elle n’a jamais connue dans sa vie. Elle a l’impression qu’on lui arrache le bout des seins. Ses tétons durcissent comme jamais auparavant. La douleur descend de ses seins dans son sexe et son clitoris accentuant la stimulation de l’œuf vibrant que l'assistante a positionné à la puissance neuf. Elle sait que lorsqu’elle montera à la puissance dix, la Nicole aura un orgasme qui la fera tomber dans les pommes. L’idée est de prolonger l’orgasme de façon qu’après avoir joui, qu'elle soit inconsciente assez longtemps pour que Paulo puisse exercer son art sur les petites lèvres.

Après un clin d’œil complice de son employeur, elle est prête à enclencher la puissance maximale. Mais d’abord elle veut voir si la captive est bien humide. Elle se positionne entre les jambes toujours soutenues par les étriers. Elle se penche pour avoir les yeux au niveau du sexe de la femme. Elle peut voir clairement le jus qui s’échappe lentement du vagin. Elle tire légèrement sur la ficelle de l’œuf vibrant et glisse ses doigts dans l’ouverture. Une fois que son majeur et son index sont bien raides dans la chatte de Nicole, elle masse les parois du vagin, commençant l’étape finale où elle espère que la soumise aura le plus fantastique orgasme de sa vie.

Nicole surmonte la douleur intense dans ses mamelons. Ce n’est pas le genre de douleur qu’elle a pu apercevoir dans les films de guerre et de torture que son mari aime regarder. Surtout qu’elle se masque les yeux pendant que les femmes sont torturées. Là, sa douleur est réelle. Et combinée avec les vibrations de l’œuf et maintenant les doigts de l'assistante, son corps se tord. Elle se tortille sur la table sous l’effet de toutes ces sensations. L’œuf vibrant touche des zones de sa grotte qu’elle n’a jamais atteinte auparavant, même avec le gros gode.

Lara lève les yeux vers son patron. Celui-ci est fasciné par le spectacle. Le regard de l’assistante se porte sur le bas-ventre du corps souple de son employeur. Il est évident que ce qu’elle fait lui plaît. Elle a eu le privilège de pouvoir partager son lit de nombreuses fois. Elle connaît la courbure de sa queue et comment au lieu de plier à droite ou à gauche elle a une courbe ascendante. Cette forme lui permet de pleinement satisfaire les femmes. Elle se demande comment Nicole va l'apprécier.

Au même moment elle est tirée de ses pensées par Paulo qui lui demande de monter l’œuf à la puissance dix. Avec son pouce, elle appuie lentement pour accélérer l’objet vibrant. Il est presque impossible de croire que ce petit dispositif peut infliger une si forte simulation dans le vagin d’une femme. Quand le niveau dix est atteint, les épaules et la tête de la Nicole s’enfonce dans la table d’examen tandis que ses hanches se soulèvent et que son corps se tend aussi loin que le permettent les fixations. Puis ses yeux roulent dans leurs orbites et elle crie sa jouissance. L’orgasme dure près d’une soixantaine de secondes. Lorsque finalement son corps retombe sur la table, elle sombre dans l’inconscience. 

Notre Nicole est réveillée par le doux baisé et le son de la voix de Lara :

- Réveillez-vous. Vos piercings sont très jolis et je pense que vous en profiterez beaucoup.

Pendant qu’elle sort lentement de son coma orgasmique, elle éprouve comme une sensation étrange de ballonnement dans son ventre. Ses mains ne sont plus liées à la table mais ses pieds sont toujours dans les étriers. Elle pose ses mains sur son ventre et regarde Lara qui sourit :

- Nous vous avons fait un lavement. Nous avons pensé que vous devriez être propre et nous avons profité de l’occasion que vous étiez inconsciente pour administrer un peu de liquide tiède dans votre colon.

En regardant l'assistante dans les yeux, Nicole demande :

- Pourquoi l’avez-vous fait ?

- Eh bien, c’était une des instructions de Marcel.

- Je ne me sens pas bien. Dit la soumise.

Doucement, Lara répond.

- Je vais vous aider à vous lever et je vais vous montrer la salle de bain.

Elle déplace les chevilles de Nicole pour les retirer des étriers. Nicole remarque qu’elle porte encore son soutien-gorge, le porte-jarretelle noir, ses bas assortis et ses talons rouges. Quand elle pose les pieds sur le sol, elle essaie de se lever mais sa tête tourne d’être restée allongée si longtemps.

- Attendez une minute ? Laissez votre tête s’habituer à être debout. Dit l'assistante.

Nicole sent les mains de l’assistante se poser sous son coude droit et dans son dos. Elle sent qu'elle lui masse le dos d’une manière douce et agréable. Assise, elle commence à se demander comment sont les piercings sur les lèvres de sa moule. Elle baisse les yeux et remarquent que ses mamelons sont encore dressés et tenus par les petits bâtons dorés. Elle est surprise de ne pas sentir de la douleur mais seulement une petite gêne.

Quand elle pense que Nicole est prête, Lara tire sur son coude et l’aide à se mettre debout à côté de la table. La Nicole se stabilise avec sa main gauche posée sur la table. Elle s’immobilise et demande :

- Je dois aller aux toilettes. Où est-ce ?

L'assistante répond :

- Tout droit. Je vous accompagne.


Lara va vers la porte et l’ouvre. Une fois dans le couloir, elle guide la Nicole sur la gauche vers les toilettes clairement identifiées. Alors que les deux femmes atteignent la porte des toilettes, celle-ci s’ouvre et une femme de l’âge de Lara en sort. Elle regarde la Nicole et dit :

- Paulo n’est-il pas merveilleux ?

Nicole peut voir plusieurs piercings sur le visage de la jeune femme et elle se demande où elle peut être encore percée.

Laissant ses pensées de côté, elle entre dans la première cabine, juste à temps pour laisser ses entrailles se vider. Elle est étonnée de la quantité de liquide qui sort de ses intestins. Soulagée lorsqu’elle ne sent plus de pression dans son ventre, elle s’attarde quelques minutes. Puis elle entend un coup sur la porte de la cabine. 

- Ça va ? Demande l'assistante.

Nicole se nettoie et sort de la cabine pour se trouver face à face avec Lara pour la première fois. L’assistante mesure la même taille qu’elle mais ses seins sont plus petits. Elle sent un doux parfum et elle espère que ses odeurs corporelles dues au lavement ne dégouttent pas Lara. Mais celle-ci dit :

- Venez par ici, laissez-moi vous aider à vous nettoyer.

Nicole sent les mains de l’assistante l’attraper et commencer à frotter son bas-ventre avec un mélange tiède. Tandis qu’elle parcoure son corps, Nicole ressent encore les effets chauffants de la lotion qui lui avait été appliquée. Quand le lavage atteint ses fesses, elle est poussée vers le bas contre le lavabo par les mains de Lara. Elle est obligée de poser ses mains à plat sur le meuble. Pendant ce temps, l’assistante écarte ses fesses et nettoie avec de l’eau chaude son anus. Alors qu’elle semble s’attarder un peu trop sur son intimité, Nicole tente de se relever. Mais la main ferme de l’assistante sur son dos l’oblige à rester baissée.

- Je veux que vous écartiez les jambes très largement. Je dois mettre un peu de crème lubrifiante sur votre anus. Déclare Sacha.

La Nicole regarde par-dessus son épaule gauche et demande :

- Mais pourquoi ai-je besoin de lubrifiant ?

Lara répond rapidement :

- Si j’étais vous et que l’on m’avait dit d’obéir alors je ne poserai pas de questions. Maintenant penchez-vous et laissez-moi faire mon travail.

Nicole sent la pression exercée par la main de Lara sur son dos. Alors elle obéit et sent le froid du formica contre ses seins. Sa nouvelle boucle d’oreille se pose contre le meuble.

Maintenant que la Nicole ne bouge plus, la face sur le comptoir, Lara écarte ses fesses et étale un lubrifiant spécialement composé par Paulo. Par expérience, l’assistante sait que cette pommade donne une sensation de fraîcheur au début mais que par la suite la femme ressentira une démangeaison qu’elle voudra faire cesser à tout prix.

Nicole sent les doigts de l’assistante qui étale le lubrifiant sur son anus rasé de frais. Ce n’est pas le geste mais la position qu’elle est obligée de prendre qui l’humilie. Au même moment elle sent un doigt de l’assistante glisser à l’intérieur de son anus. Elle sert son sphincter pour essayer d’empêcher l’invasion mais le lubrifiant fait son effet et facilite l’intromission. Bientôt, elle sent un second doigt pénétrer son anus qui n’offre plus de résistance. Lara commence à limer le trou du cul avec ses deux doigts. Nicole n’a pas encore réalisé que le lubrifiant allait la forcer à réclamer une relation sexuelle avec un homme. Quand Lara voit que ses doigts entrent jusqu’à la dernière phalange, elle les immobilise, laissant les trois autres posés contre les fesses de la soumise. Elle veut que les muscles du sphincter se détendent complètement avant d’introduire l’œuf noir qui a déjà poussé sa cliente à l’orgasme. Puis elle écarte ses doigts dans le rectum et quand elle considère qu’il est prêt elle chuchote à l’oreille de la Nicole:

- Détendez-vous. Je vais introduire quelque chose dans votre anus. Ça ne vous feras pas mal sauf si vous vous débattez.

Elle retire ses deux doigts et constate qu’ils sont propres. Le lavement a été efficace. Elle prend l’œuf dans sa poche et positionne l’extrémité sur l’anus de la soumise. Avec une petite poussée, l’objet rentre sans résistance. Nicole essaie quand même de se dégager mais le meuble bloque ses cuisses et elle ne peut éviter l’insertion de l’œuf.

Avec son index, Lara peut pousser un peu plus profond le jouet vibrant. Et il ne reste visible que le cordon qui servira à retirer l’œuf plus tard. Ayant terminé, l’assistante dit alors :

- Vous pouvez vous redresser maintenant. Il faut que l’on regarde vos nouveaux piercings.

Quand Nicole se relève, l’œuf à l’intérieur de son derrière lui cause une petite gêne dans le ventre. Lorsqu’elle se retrouve droite, elle sent les mains de l'assistante sur ses hanches et son corps qui se presse contre son dos. Puis les mains glissent lentement sur ses hanches. Elles descendent jusqu’à sa moule fraîchement rasée et vont directement sur les petites lèvres. Notre Nicole peut sentir les doigts les écarter. Pour la première fois, elle voit alors les deux anneaux d’or qui ornent son sexe. Ils sont assez fins. Mais elle est choquée de les voir si bien se démarquer sur sa moule rasée. Lara tout en maintenant les lèvres écartées lui dit :

- Je veux que vous remplaciez mes mains par les vôtres. Je veux que vous preniez le temps de regarder vos piercings pendant que je vous explique comment les nettoyer et prendre soin d’eux. Vous savez que vous ne pouvez pas les ôter n’est-ce pas ?

Elle regarde le visage de Nicole tandis que celle-ci remplace ses mains par les siennes sur sa moule. Elle se rend compte que la soumise est surprise par la taille des anneaux. Lara sait qu’ils sont plus grands que ceux qui sont dans son propre sexe. Après lui avoir expliqué la procédure à suivre pour entretenir l’hygiène des anneaux elle lui dit :

- Vous devez comprendre que Marcel vous a marqué avec son choix personnel de bijoux. Il a choisi des ornements simples mais permanents.

A suivre...

dimanche 27 novembre 2022

Farid et les autres Ch. 04

Texte de Florence22.

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Rachid, le frère de Farid, profite aussi de la jeune femme mariée.

Lundi 16 juin.

Du temps a passé depuis cette Saint-Valentin où Farid m’a enculé sauvagement. Il me baise toujours au moins 4 fois par semaine dans la buanderie, je prends toujours mon pied mais ça devient routinier.

Avec lui, le dialogue est difficile, il ne me parle pas, me considère vraiment comme sa vide-couille et ses conversations se limitent à : « suce salope », « avale grosse chienne », « écarte les cuisses putain de ta race », « donne ton cul », « t’aime ça hein ? ».

Ça m’excite, mais j’aimerais un minimum de partage. Depuis février qu’a commencé notre histoire je ne compte plus toutes les pipes que je lui ai faites, la quantité de sperme qu’il m’a fait avaler, les sodomies, les orgasmes. Ce qui l’excite c’est que je téléphone à mon mari pendant qu’il me baise, c’est difficile pour moi d’essayer d’être naturelle alors qu’il me bourre comme un sauvage. Il voulait aussi me faire baiser par un de ses potes, j’ai refusé net et il n’a pas insisté.

Mais aujourd’hui dans la buanderie, je me retrouve face à lui et un autre mec.

- Tu vois Rachid, c’est elle que je bourre tous les soirs.

- Elle est pas mal ! Bonjour beauté, je suis Rachid le frère de Farid.

-bonjour, il ne m’avait jamais parlé de vous (ni de rien d’autre d’ailleurs, de Farid je ne connais que sa queue) qu’est ce que vous faites la ?

-Farid et mon père vont partir la semaine prochaine au bled pour l’été et c’est moi qui dois m’occuper de l’appart, et comme il m’a dit que la chatte de la voisine était a disposition je viens l’essayer.

- Dites, vous êtes gonflé, faudrait peu être me demander mon avis, je ne suis pas un objet.

- Je vois pas où est le problème, puisque t’aime la bite d’arabe je suis la pour t’en donner, que ce soit mon frère qui te tire ou moi, le résultat sera le même pour toi. Et moi je me vide les couilles gratuitement, comme ça tout le monde est content.

- Hèèè attendez, doucement. Je ferais ce que je veux si je veux.

- Tu vois frérot pourquoi j’la calcule pas, elle a toujours quelque chose à dire, donc faut pas lui demander son avis, faut la niquer et c’est tout.

- Farid, je veux bien être gentille mais il y a des limites, tu fais le malin parce qu’il y a ton frère.

- Ta gueule, et suce-moi !

Et joignant le geste à la parole, il prend ma main, la met sur son survêt, et me roule une pelle.

- Vas-y, touche-moi l’zob, fais-moi bander !

En même temps je regarde Rachid, finalement ça me change de la routine. Rachid est très grand, 1m85 à peu près, 25ans, baraqué, un peu de ventre, si sa queue est proportionnelle à son corps ça me promet des cris de jouissance. Il est brun, mal rasé, je vois une touffe de poil sortir de sa chemise, il donne l’image d’un mec qui aime la vie, la bouffe, la baise. Il n’est pas très beau mais dégage quelque chose d’excitant, de sensuel.

Farid se frotte contre moi, puis Rachid sans rien demander passe derrière et commence lui aussi à se frotter contre mes fesses, il est tellement grand que sa bite arrive plutôt au niveau de mon dos, ses mains entourent mes seins qu’il est en train de juger, soupeser, malaxer, puis il me pince les tétons à travers le tissu fin de ma nuisette.

- Alors chérie, comme ça on trompe son mari ? On préfère la bite circoncise ? T’as envie de consommer halal bébé ? T’inquiète on va te satisfaire.

Rachid est plus loquace que son frère mais plus menaçant, j’ai envie d’aller plus loin avec lui, mais j’ai peur qu’il m’emmène trop loin dans ses fantasmes, dans la soumission.

- Tu vas te mettre à genoux, nous pomper comme une bonne suceuse que tu es, et bien nous avaler jusqu’à la dernière goutte, ok bébé ?

Un pincement des tétons plus douloureux accompagne ses paroles.

- Non attendez, tout va trop vite, je ne sais pas je… Aaaiiiie !

Il m’attrape violemment par les cheveux, me tire en arrière, m’enfonce son énorme langue dans la bouche, la ressort et me dit :

- Je répète, tu te mets à genoux, tu nous pompes et t’avales tout, des questions ?

Mes bouts de seins sont en charpie, il me maintient la tête par les cheveux.

- Aie, non pas de questions, ok je le ferais !

Pendant que je me mets à genoux je sens ma chatte qui coule, toute mouillée de cette nouvelle phase de mon aventure. Ma main masse la queue de Rachid à travers son jean pendant que je me fais baiser la bouche par Farid. Rachid ajoute :

- C’est bien tu vois, si tu obéis t’auras que du plaisir, vas-y maintenant, fais voir ce que tu sais faire.

Il reste debout, jambes un peu écartées. Je dégrafe son pantalon, le baisse, puis déboutonne son caleçon et la, un énorme truc d’environ 22 cm, très lourd, très gras, soutenu par une énorme paire de couilles qui ne rentre pas dans une seule main, me tombe sur le visage. Il ne bande qu’à moitié et j’enfourne dans ma bouche cette grosse bite qui durcit. Malgré mes efforts elle ne rentre pas toute dans ma bouche, j’aspire le gland et branle le reste, de l’autre main je pars a la découverte de ce nouveau corps.

Je lui caresse les couilles, passe ma main sur ses cuisses, ses fesses, il est très poilu, tout le contraire de son jeune frère. Je sens que Farid est jaloux de me voir heureuse de sucer ce gros membre, m’en régaler. Depuis 3 minutes, il se branle frénétiquement puis me prend par les cheveux et me plante sa bite au fond de la gorge. Rachid en profite pour se frotter sur mon visage, je sens ses couilles sur ma joue. Puis le plus jeune décharge dans ma bouche dans un râle de plaisir. Comme à mon habitude je recrache rapidement ce sperme que je n’aime toujours pas. Là Rachid me dit :

- Je t’avertis que si tu t’amuses à recracher une goutte de ma jute par terre, je te mets une gifle qui va t’apprendre la vie et j’irais me faire sucer par ton mari, compris ?

Impressionnée et intimidée, je lui fais un signe approbateur de la tête. Malgré la crainte qu’il m’inspire, j’ai envie d’être à lui, de lui obéir.

A son tour il enfourne son gland et jouit une quantité de sperme incroyable en me maintenant la tête. Je ne peux pas tout avaler, ça ressort de ma bouche, il en a sur la cuisse et les couilles. J’ai envie de vomir, deux rasades de sperme d’un coup c’est trop.

- Bon, pour une première fois c’est pas trop mal, lèche maintenant !

Et me voila soumise et appliquée à lécher les gouttes de sperme dans les poils de ses couilles, de sa jambe.

- Lèche le gland, nettoie. Lèche-toi les babines maintenant. Humm vas-y, gobe-moi les burnes, lèche sale pute, humm vas-y plus loin, continue !

Il lève une jambe.

- Humm ouii, lèche-moi le cul.

Il se tourne, se penche et me présente son cul. Devant mon hésitation il me pousse la tête contre ses fesses, je m’applique à le lécher, c’est pas désagréable. En tout cas il a l’air d’apprécier, et ça me fait plaisir.

Il s’assoit sur la chaise les jambes écartées, je constate que son érection est revenue.

- T’as bien obéi, vas-y maintenant, fais-toi plaisir ! Empale-toi sur ma bite ! Fais-en ce que tu veux !

Il m’offre sa verge en cadeau, je ne me fais pas prier et je m’embroche sur cette bite majestueuse. Il reste passif, je bouge, la fait coulisser au-dedans de moi, je m’accroche à ses épaules. En moins d’une minute j’ai un orgasme que je n’ai jamais connu, ni avec mon mari ni avec Farid. Il continue de me faire sauter sur sa bite comme une poupée de chiffon. Après de longues minutes de bourrage intensif, je sens un deuxième orgasme venir et on jouit tous les deux en même temps.

- Faut que j’y aille Rachid, mon mari risque de me demander pourquoi je reste si longtemps dans la buanderie.

- Et on t’a jamais appris la politesse ?

- Tu veux que je te dise quoi ?

- Déjà tu me remercies pour le bon coup de bite que je t’ai donné !

- Bon ben merci Rachid !

Il baisse les yeux sur sa queue luisante de sperme. Avant qu’il m’ordonne quoi que ce soit je comprends qu’il faut que je le nettoie. Je m’agenouille, prends son membre mou dans ma bouche et le suce en avalant les restes de foutre qui lui coule du gland.

- Ook c’est bon comme ça, ton mari part à quelle heure demain au boulot ?

- 7h00 !

- Et toi ?

- 8h00 !

- Ok, ça nous laisse une heure pour te niquer !

- Ben le matin c’est pas prévu, il vaut mieux le soir !

- Hé connasse, c’était pas une question, demain tu laisses ta porte ouverte et dès que le cocu sera dans sa voiture, moi et Farid on sera dans son lit à bourrer sa femme. Tu sauras que j’ai de très gros besoins, faudra que tu me vides les couilles au moins deux fois par jour, et sache que je préfère te niquer dans le lit conjugal plutôt que dans cette buanderie. D’ailleurs ce qui m’exciterait c’est que ton mari apprenne que je te saute dans ton lit… Mais t’inquiète pas, on va s’en occuper.

A suivre...

vendredi 25 novembre 2022

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 02

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

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Les envies de soumission de Jessie s'amplifient.

Cela fait plus d'une semaine que Marcus a exposé sa femme Jessie dans le bar. Et depuis ce soir-là, il donne des tâches de plus en plus embarrassantes à sa femme.

Un jour, il l'appelle alors qu'elle fait des courses.

- Tu as cinq minutes pour m'envoyer une photo de tes seins nus. Dit-il avant de raccrocher.

Jessie est choquée et décontenancée par sa demande vicieuse. Mais il ne faut pas longtemps avec que l'excitation prenne possession de sa chatte. Elle se rappelle des histoires érotiques où les enseignantes sont humiliées par leurs étudiants. Elle regarde autour d'elle pour trouver les toilettes les plus proches et elle y court. Elle se précipite dans la première cabine vide et claque la porte. Sans même réfléchir, elle déboutonne son chemisier et le laisse tomber par terre. Son soutien-gorge suit peu après.

Elle sort son téléphone portable, fait un selfie et l'envoie à Marcus. Puis elle attend dans la cabine, ses vêtements à ses pieds. Elle prie à la fois pour l'avoir envoyé à temps, à la fois pour le contraire.

Son mari lui répond quelques secondes plus tard :

- Tu es en retard salope! Maintenant, tu enlèves le reste de tes vêtements, tu ouvres la porte et tu vas à la poubelle pour y jeter ton soutien-gorge et ta culotte. Ensuite tu te laves les mains et tu les sèches avec le sèche-main. Tu n'as pas le droit de t'habiller tant que tes mains ne sont pas sèches.

Le corps de Jessie tremble d'excitation. Elle est à la fois effrayée et très émoustillée. Elle passe la main dans son dos et dégrafe sa jupe. Bientôt, celle-ci ainsi que ses bas et sa culotte sont rassemblés autour de ses pieds avec son chemisier et son soutien-gorge. Les mains tremblantes elle attrape sa culotte et son soutien-gorge et elle ouvre la porte de la cabine. Elle passe devant les lavabos et s'arrête devant la poubelle où elle jette ses sous-vêtements. Puis elle va se laver les mains. Elle sait très bien, qu'à chaque seconde qui passe, quelqu'un peut entrer dans les toilettes et la surprendre. Son corps vibre d'excitation, elle n'est pas loin de l'orgasme. Elle finit de se laver les mains et elle se tourne vers le sèche-main.

- Mon Dieu, qu'il ne sèche pas vite! Si quelqu'un entre...

Au même moment la porte s'ouvre et deux femmes entrent, une brune et une blonde. Elles sont en train de discuter, mais elles s'arrêtent net quand elles voient Jessie nue devant le sèche-main.

- Oh zut! Pourquoi êtes-vous nue? Demande l'une des deux femmes.

- Ce... C'est... C'est un pari. Bégaie Jessie.

Les femmes remarquent alors les vêtements dans la cabine et les sous-vêtements dans la poubelle.

- Hé regarde ce que j'ai trouvé! Cette salope a laissé ses vêtements par terre! Mon Dieu, c'est dégoûtant. Dit la femme blonde qui a pris le chemisier, la jupe et le sac à main de Jessie dans la cabine.

Jessie respire très vite et est très effrayée. Mais elle peut sentir le jus de sa chatte couler le long de ses jambes. Elle est nue et au bord d'un puissant orgasme. Elle est tellement troublée par son excitation qu'elle ne peut se contenter que d'un murmure pour réclamer ses vêtements. Elle a honte de parler d'une voix qui ressemble à celle d'une petite fille. La femme brune la détaille des pieds à la tête et lui dit :

- Bien sûr que tu peux les avoir. Mais d'abord, la salope que tu es, devra ramper et demander gentiment.

Jessie se met à genoux et rampe lentement vers la femme.

- Hé, elle est enseignante à l'université. Regarde sa carte professionnelle. Dit la blonde qui vient de fouiller le sac à main.

La brune attrape la carte et dit :

- Bonjour Madame GRABAS! Vous êtes plus Madame Salope pour moi.

Puis elle dit à sa copine :

- Hé ma sœur va à l'université cette année. Ça serait drôle qu'elle l'ait pour enseignante.

Jessie sursaute et commence à plaider :

- S'il vous plaît, ne lui dites pas! S'il vous plaît, c'est juste un jeu auquel mon mari et moi jouons! S'il vous plaît, ne dites rien, ne gâchez pas ma vie!

La femme brune sourit à l'enseignante nue et tremblante.

- D'accord Madame GRABAS, si vous voulez que je sois muette, penchez-vous et léchez mes chaussures.

Jessie obéit rapidement. Mais elle ne voit pas que la femme blonde prend des photos de tout ce qu'elle fait. Son esprit oscille entre la colère contre son mari pour l'avoir placée dans cette situation désagréable et l'enthousiasme de faire l'expérience de ses fantasmes.

La femme brune lui fait lécher ses chaussures pendant quelques instants avant de lui ordonner de s'arrêter. Elle craint que quelqu'un entre et ne les voit toutes les trois. Elle se tourne vers sa copine blonde et sourit. Puis elle hoche la tête en direction des toilettes et fait un clin d'œil. La blonde comprend tout de suite et laisse tomber les vêtements dans la cuvette. Avant même que Jessie ne comprenne, les deux femmes sortent, la laissant agenouillée sur le sol sale.

La pauvre enseignante se lève et attrape ses affaires. Le contenu de son sac à main a été vidé et se retrouve éparpillé par terre. Elle réussit à tout rassembler avant d'entrer dans la cabine. Elle voit ses vêtements complètement trempés dans la cuvette des WC. Elle sait très bien qu'elle n'a pas le choix, alors elle tend la main pour récupérer son chemisier. Elle le tord pour l'essorer du mieux qu'elle peut et elle l'enfile, choquée par cette idée. Elle fait de même avec sa jupe. Bientôt elle est vêtue de ses vêtements trempés, fraîchement sortis des toilettes.

 
Elle se dirige vers le lavabo et se regarde dans le miroir. Elle est moche. Son chemisier colle à sa peau et on distingue clairement ses seins. De sa jupe, l'eau goutte et tombe sur le sol. Et sa chevelure donne l'impression qu'elle vient de sortir du lit. Malgré cette déchéance, son corps est sur le point d'exploser.

« Et si je rencontre quelqu'un que je connais sur le chemin vers ma voiture? » cette seule pensée est exaltante.

Elle a plus que besoin de jouir maintenant. Alors au lieu de partir, elle retourne dans la cabine, laisse sa jupe glisser au sol et enfonce ses doigts dans sa chatte pour se libérer des démangeaisons dans son ventre. Il ne faut qu'une minute pour que son corps explose dans un orgasme qui court jusqu'au bout de toutes ses terminaisons nerveuses. Quelques minutes plus tard, elle reprend ses esprits. Elle sort des toilettes les jambes flageolantes mais le corps satisfait. Elle se dirige avec confiance vers sa voiture.

Marcus attend avec impatience que sa femme rentre à la maison. Elle franchit la porte et reprend son souffle. Elle est en désordre, ses vêtements mouillés et le visage rougi. Elle ne dit pas un mot, mais se déshabille après avoir fermé la porte.

Ses yeux se posent sur son mari et elle se dirige vers lui. Sa bouche s'ouvre légèrement et sa langue lèche légèrement ses lèvres comme une lionne guettant son dîner. Marcus recule lentement jusqu'à ce que ses jambes tapent le canapé. Jessie s'approche de lui si près, qu'elle sent son souffle sur sa peau. Elle met ses mains sur sa poitrine et pousse. Il tombe en arrière et voit sa femme se jeter sur lui, arracher ses vêtements pour profiter de son corps.

L'aventure de Jessie au centre commercial a attisé la fièvre dans son corps et l'a transformé en une masse incontrôlable de chair frémissante. Tout son être a soif de soulagement et Marcus est le moyen de se soulager. Elle attrape son membre en érection et le dirige vers sa chatte. Elle s'empale dessus avec une force que son mari n'a jamais vu. Marcus crie presque de douleur alors que sa bite est plongée brutalement au plus profond de sa femme.

Jessie, elle, pousse un cri déchirant, pas de douleur, mais de soulagement. Son corps se met en branle pour satisfaire son envie. Elle chevauche son mari sans se soucier de savoir s'il profite aussi de l'expérience. Elle veut seulement soulager son corps de la pression dans laquelle il est opprimé. Ça ne dure qu'une minute avant que sa chatte ne se resserre sur la queue de Marcus comme un étau et qu'un orgasme, comme elle n'a jamais eu auparavant, explose en elle.

Marcus a l'impression que sa bite va être arrachée à son corps tellement la chatte de sa femme resserre son emprise. Il hurle de douleur au début, mais ses cris se changent en gémissement quand il rejoint la jouissance de sa femme et éjacule dans son ventre.

Jessie s'effondre sur son mari. Ils sont tous les deux à bout de souffle et couverts d'un voile de sueur. Un mélange de sperme et jus féminin s'échappe de la chatte.

Ils restent un bon moment dans cette position. Ils essaient tous les deux de récupérer et de faire face à ce qui vient de se passer. Jessie essaie de comprendre pourquoi elle a été aussi incontrôlable et ce qui l'avait provoqué. Son esprit est encore partagé entre la colère suscitée par Marcus de l'avoir mise dans une position aussi inconfortable et la jouissance en résultant qui la consume. Elle est contente de cet orgasme et elle en désire plus. Mais au fond d'elle-même, elle sait que les jeux de Marcus sont dangereux et irresponsables. Elle se sait pas ce qu'il fait et ça l'effraie.

Marcus, lui aussi, est plongé dans ses pensées. Sa femme, qui était une enseignante assez conservatrice il y aune semaine plus tôt, est désormais une personne avide de sexe. Il ne l'a jamais vu comme ça. Il aime le changement, mais quelque chose à propos des nouveaux désirs sexuels de sa femme le dérange et se coince dans sa tête.

Ils s'assoupissent tous les deux et dorment comme des loirs. Leurs bras et jambes sont enlacés. Chacun a ses propres rêves érotiques sur ce qui vient de se passer et sur ce qui peut arriver.

Le lendemain, ils se réveillent sur le canapé, leurs corps toujours enlacés, Ils ne parlent pas de la veille et Marcus ne saura jamais ce qui s'est passé au centre commercial. Au petit déjeuner, Jessie s'arrête et regarde son mari avant de lui dire :

- Merci Maître.

Quelques jours plus tard, Jessie est à l'université en train de déposer des objets quand elle reçoit un message de Marcus lui demandant d'aller aux toilettes et d'envoyer une photo d'elle nue.

Jessie est effrayée alors qu'elle traverse le couloir principal. Même si les cours n'ont pas encore commencé, plusieurs personnes se promènent. Et Marcus lui a interdit de se servir des toilettes du quartier administratif. Elle est forcée d'utiliser les toilettes des étudiantes.

Son cœur bat à tout rompre. Au moment où elle entre dans les toilettes, son chemisier est déjà ouvert et glisse le long de son bras. Elle cherche si quelqu'un d'autre utilise une cabine. Et lorsqu'elle ne voit personne, elle se déshabille complètement, pénètre dans une cabine et prend la photo.

Marcus attend que la photo arrive. Il aime donner des ordres à sa femme. À chaque fois qu'il lui donne un défi à réaliser, elle se jette sur lui quand elle rentre à la maison et ils baisent comme des fous. Ils ne font pas l'amour, mais ils baisent avec fureur.

Hier encore, Marcus lui avait ordonné de nettoyer la maison en ne portant que des talons hauts. Et pendant qu'elle faisait le ménage, il l'avait traitée de « salope », « putain », « traînée » et « suce-bite ». Après l'avoir taquinée toute la journée, il lui avait demandé de sortir la poubelle dans la rue toute nue. Il avait aimé son regard effaré sur son visage et son corps rougir.

Quand elle était revenue, elle s'était jetée sur lui. Ils ont baisé dans le couloir, juste derrière la porte ouverte.

Mais ce que Marcus et Jessie ne savaient pas, c'est que leurs jeux n'étaient pas passés inaperçus. Leur voisin, M. ASH (ou M. Trouducul, comme aimait l'appeler Jessie) les surveillait. Il avait toujours donné la chair de poule à sa voisine. C'était un homme hargneux, vieux, méchant et sale. Jessie avait des frissons dans le dos à chaque fois qu'il la regardait.


Elle avait raison d'être inquiète. M. ASH était un délinquant sexuel et il pensait qu'elle était une proie parfaite. Il surveillait leur maison depuis qu'il avait emménagé à côté il y a un an. Et maintenant, sa surveillance portait ses fruits.

Jessie ne peut être plus heureuse qu'avec Marcus. Leur vie sexuelle est plus que bonne, mais elle sait que son mari n'était pas l'homme qui peut réaliser ses fantasmes sur le long terme. Elle a besoin d'un vrai dominateur, qui sait ce qu'il fait. Marcus essaie, mais il est négligent.

Par deux fois, il a essayé de réaliser ses fantasmes. Mais la deuxième où elle a été humiliée publiquement, elle était seule. Et maintenant elle ne se sent pas en sécurité quand il l'appelle et lui ordonne de faire quelque chose. Il n'est pas là si quelque chose se passe mal. Jessie décide alors de lui en parler.

Quand Marcus revient du travail ce soir-là, il cherche sa femme mais ne la voit pas tout de suite. Il finit par la trouver assise à l'ordinateur en train d'envoyer un message à quelqu'un.

- Hé chérie! Que fais-tu? Lui demande-t-il.

Jessie le regarde et rougit.

- J'envoie un message à l'auteur de quelques-unes de mes histoires préférées.

- Ah d'accord, pourquoi?

- Je veux savoir comment il a ses idées pour les histoires. Répond-elle en tapant encore.

- Envisages-tu d'écrire une histoire?

- Non, mais j'ai un peu peur. Je sais que tu essaies de bien faire, mais tu ne sais pas vraiment ce que tu fais. Par deux fois, tu as inclus des étrangers et c'est dangereux pour moi. Je dois pouvoir te faire confiance. Nous avons besoin de plus d'informations sur la façon de faire, ou alors je risque d'être blessée, ou pire encore, de perdre mon emploi. Alors j'écris pour savoir s'il y a quelqu'un avec qui nous pourrions parler et obtenir plus d'informations. Dit-elle en levant les yeux.

Marcus baisse les yeux sur sa femme presque nue et sourit.

- J'ai essayé mon cœur. Mais c'est vrai que je ne connais pas grand-chose en domination. Je veux simplement te faire plaisir. Dis-moi s'il te répond. Dit-il avant de se retourner et quitter le bureau.

Jessie appuie sur le bouton d'envoi. Elle est surprise de recevoir une réponse après quelques minutes seulement. Elle ouvre le message et lit :

« Chère LèvresChaudes, je suis heureux que mes récits vous plaisent et que vous me contactiez. J'espère que vous lirez ma nouvelle série que je suis sur le point de publier. Vous m'avez demandé dans votre message quelqu'un pour vous dominer. Que cherchez-vous exactement? Vous cherchez un dominateur enligne qui jouerait avec vous quand vous le désireriez. Ou quelque chose de plus réel? Je ne suis pas dominateur. Toutefois j'en connais un qui m'aide à rédiger mes histoires. Je dois vous avertir qu'il n'est pas trop intéressé par les jeux virtuels. S'il s'agit de ce que vous cherchez, il n'est pas la personne qui convient. Mais il connaît peut-être quelqu'un pour cela. Mais si vous recherchez un vrai dominateur pour une relation réelle de soumission, il est probablement le meilleur pour ça. Si vous désirez le connaître, répondez-moi en joignant une photo et je lui transmettrai avec votre message. S'il est intéressé, il vous contactera. Eros-nouvelles. »

Jessie lit le message encore et encore. Elle ne sait pas exactement ce qu'elle veut, mais elle sait que Marcus, malgré tous ses efforts, n'est pas l'homme qu'il faut. Alors elle joint la photo où elle est seins nus dans les toilettes et clique sur « Envoyer ».

Jesse rejoint son mari et lui explique ce qu'elle vient de faire. Il lui dit :

- J'espère que ça va aller. Parce que tu ne sais pas ce qui peut arriver. C'est peut-être un tueur en série.

Marcus regarde dans les yeux de sa femme et voit, pour la première fois, un feu passionné brûler en eux. Il se demande si ça peut la détruire si elle ne fait pas attention.

Jessie se détend quand elle entend l'approbation de son époux. Elle s'assoit sur ses genoux et dit :

- Ne t'inquiète pas mon chéri, tu seras toujours mon vrai maître.

Elle l'embrasse profondément et dit :

- Nous pourrions aller au bar et nous amuser. Qu'en penses-tu?

- C'est la première bonne idée que j'entends aujourd'hui. Pourquoi ne montes-tu pas mettre des sous-vêtements sexy et ta tenue de tennis jaune, celle avec des oiseaux. Elle te va à ravir.

- Mais Marcus, je ne peux pas porter ça sans le short qui va avec. Je vais montrer ma culotte à tout le monde.

- Je sais et je suis impatient que tu joues au billard et que tu montres ton cul aux clients. Rigole-t-il.

Jessie rougit, mais se lève d'un bond et monte à l'étage pour se changer. Marcus quitte aussi son costume pour une chemise avec un jean. Bientôt il se dirige vers leur bar préféré.

Comme d'habitude, l'établissement est bondé et ils doivent attendre pour trouver une place. Une fois installés, Marcus et Jessie commandent à boire et à manger. Ils regardent tout autour d'eux en attendant. Un couple près des billards attire l'attention de Marcus. Ils ont à peu près le même âge qu'eux. Marcus se rend compte qu'il les a déjà vu dans le quartier et il pense qu'ils ont peut-être des enfants du même âge que les leurs.

L'homme fait environ 1m78. Sa femme est un peu plus grande que lui, mais c'est à cause de ses talons de douze centimètres. Elle a de longs cheveux noirs striés de rouge. Elle est asiatique et porte une courte jupe écossaise qui couvre à peine ses fesses avec un haut en dentelle. Son visage est fin et ses yeux en amande sont très jolis.

Marcus donne un coup de coude à Jessie et lui dit :

- Tu veux jouer au billard? J'aimerais te voir jouer avec la femme là-bas.

Marcus sait que sa femme est une très bonne joueuse de billard et qu'elle arrive à battre souvent les hommes avec qui elle joue.

Jessie se retourne pour voir de qui il parle. Elle sourit et dit :

- Je sais ce que tu veux, tu es un malin. À chaque coup l'un de nos deux culs sera bien en évidence.

- Je songe à rendre le jeu plus intéressant. Je sais que tu sais jouer. Et je pense qu'elle aussi. Mais je suis sûr qu'elle n'est pas aussi forte que toi. Que dirais-tu de faire un pari avec elle? Suggère Marcus.

- Quel genre de pari? Demande Jessie intriguée.

- Hé bien, j'ai vu que jusqu'à présent ils gagnent leurs matchs. Nous allons voir et demanderons à jouer, et avant de commencer nous ferons un pari. Je vais voir si son mari veut miser sur les vêtements. Ce sera un pari de strip-tease. Le perdant de chaque match enlèvera une pièce de vêtement. Tu perdras le premier, voire le second, jusqu'à ce qu'elle soit confiante, puis nous pousserons le pari pour que le perdant enlève tout. Ça ne te semble pas intéressant? Demande Marcus en regardant de près son épouse.

Il observe ses réactions alors qu'il lui explique. Il voit son visage rougir et ses mamelons durcissent et commencent à pointer sous son soutien-gorge et son haut moulant. Il comprit qu'elle allait être d'accord.

Marcus sourit et se dirige vers les tables de billard. Il laisse passer deux matchs. Il sourit au couple et revient à sa table. Il ne faut pas longtemps avant que le couple termine la partie. Ils ont encore gagné.

Marcus s'approche alors de l'homme et lui dit :

- Je suis Marcus et voici ma femme Jessie. Je crois que je vous connais.

- Bonjour, je suis Jean et voici Jennifer. Oui nous nous sommes déjà vu. Je pense que nos enfants sont allés à la même école. Répond l'homme.

- Eh bien je ne joue pas, mais Jessie adore jouer. Ça vous dérange si nos dames jouent l'une contre l'autre? Demande Marcus.

Jean regarde les tenues des deux femmes et sourit :

- Je pense que je vais apprécier. Je vais nous chercher à boire.

Il se dirige vers le bar, mais Marcus le retient :

- Hé, attends une seconde! Ma femme adore montrer son corps et j'adore l'exhiber. Elle fait sensation à la piscine. Alors que penses-tu si nous faisions un pari?

Jean regarde Marcus. Il ne sait pas trop que penser. Il appelle sa femme et demande quand Jennifer et Jessie se joignent à eux :

- Quel genre de pari proposez-vous?

- Oh je ne sais pas trop. Ah si, par exemple, celle qui perd la partie enlève un vêtement! Suggère Marcus.

Jennifer a le souffle coupé et dit rapidement :

- Je ne suis pas sûre Jean. Je ne veux pas me retrouver toute nue dans ce bar.

Mais Marcus répond vite :

- Et si vous faisiez un match pour 5 euros, vous pourriez voir si c'est équilibré?

- D'accord, on peut faire ça. Répond Jennifer.

Jessie n'a rien dit pour le moment, mais elle parle rapidement dans un murmure :

- Ne fais pas ça Marcus, tu sais que je ne joue pas très bien. Ne me force pas à me déshabiller.

Jennifer et Jean l'entendent et sourient. Jennifer semble très compétitive et fière d'elle. Elle pense déjà qu'elle va gagner avant le premier match.

Elle met en place les boules et Jessie se penche pour casser. Son cul ressort et on voit très bien sa culotte qui commence à s'humidifier.

La première partie se déroule exactement comme Jessie le veut. Elle sait que Jennifer l'a laissée gagner, mais elle s'est assurée de ne pas jouer trop bien. Quand elles finissent, les deux femmes acceptent le pari et de jouer pour les vêtements. Elles acceptent de faire cinq parties. Si l'une d'elle perd les cinq, elle sera obligée d'être complètement nue.

Cette fois, Jennifer commence à rentrer presque la moitié des boules. Jessie loupe son coup et Jennifer gagne.

Jessie rougit quand son adversaire rentre la dernière boule. Elle regarde tout autour d'elle dans le bar et se rend compte que presque tout le monde les regarde. Elle se tourne vers Marcus et fait la moue.

Marcus fait un signe de tête et sa femme détache sa jupe et la fait glisser le long de ses jambes. Sa culotte sexy est visible de tous. Jessie rougit à nouveau quand elle entend quelqu'un dire :

- Hé regarde! Elle est excitée, sa culotte est mouillée.

Pour la prochaine partie, Jessie casse le jeu mais ne rentre pas de boules. Jennifer rentre plusieurs boules avant de louper. Jessie rate à nouveau et Jennifer rentre rapidement les boules restantes pour gagner.

Jessie prend une profonde inspiration, regarde son mari et lui adresse un petit sourire. Elle enlève son haut et se retrouve maintenant en culotte et soutien-gorge sexy.

Avant que la prochaine partie ne commence, Jessie se dirige vers Jennifer qui est sur le point de casser et lui tapote sur l'épaule avec sa queue avant de lui dire :

- Rendons cette partie plus intéressante. Que dirais-tu d'augmenter le gage? Si tu gagnes, je me déshabille complètement et tu choisis dans le bar le mec à qui je taillerai une pipe. Si je gagne, je récupère tous tes habits et tu restes nue pour toute la nuit.

Jennifer rougit et pense : « C'est important, je peux finir complètement nue. Mais je sais comme elle joue, je peux la battre sans problème. Qui vais-je lui dire de sucer? »

Elle réfléchit avant d'acquiescer et de casser le tas de boules. Elle n'en rentre pas et c'est au tour de Jessie de jouer.

- Je crois que je vais aimer de voir ton cul nu toute la soirée. Dit-elle en passant ses mains sur les fesses de Jennifer.

Elle se dirige vers le billard et rentre les boules une à une.

Jennifer est sous le choc. Elle a perdu et elle va se retrouver nue dans le bar. Elle se tourne vers Jean et l'implore du regard pour qu'il trouve un moyen de s'en sortir. Mais il se contente de hausser les épaules. Jennifer se tourne vers Jessie et laisse tomber sa jupe et sa culotte. Elle baisse la tête, ne voulant voir personne.

Ses mains tremblent si fort qu'elle ne peut les lever. Alors Jean se glisse derrière elle et retire son haut, la laissant entièrement nue.

Jessie récupère son haut et sa jupe et les enfile en regardant la femme humiliée regagner sa table. Tous les gars et certaines filles commentent le passage de la salope nue.

Jessie et Marcus retournent à leur table et rigolent tandis que Jennifer se retient de ne pas couvrir son corps avec ses mains. Son mari et elle quittent rapidement le bar. Elle doit se promener nue devant un grand nombre d'hommes excités, plusieurs essayant de la saisir sur le passage.

Jessie regarde son mari et glisse son pied sur son entrejambe. Elle remue les orteils et murmure :

- J'ai besoin d'être baisée. Tu penses pouvoir le faire?

Marcus se lève et attrape sa main. Il la conduit vers la porte. Tous les gars applaudissent leur nouvelle héroïne.

Le retour à la maison est rapide. Jesse caresse la queue de son homme alors qu'il conduit. Lorsqu'ils sont dans leur garage, elle ouvre son pantalon et le chevauche dès que la voiture s'arrête.

- Je ne peux plus attendre, baise-moi!

Marcus recule le siège et s'installe de son mieux tandis que sa femme s'empale sur sa queue, s'efforçant de s'enfoncer le plus possible à chaque fois qu'elle monte et redescend. Il ne faut pas beaucoup de temps avant que tous les deux jouissent et restent dans la voiture à bout de souffle.

Il leur faut quelques minutes avant de finalement rassembler leurs esprits et entrer dans la maison.

- Ne pense pas que j'en aie fini avec toi Monsieur : Je vais aux toilettes. Pourquoi n'ouvrirais-tu pas du vin et ne me retrouverais-tu pas dans la chambre? Dit Jessie avant de courir à l'intérieur.

Marcus se dirige vers la cuisine et Jessie vers la salle de bain. Au moment où elle passe devant le bureau, elle entend le carillon de sa messagerie sur l'ordinateur. Elle s'arrête, se place devant l'écran, bouge la souris et jette un coup d'œil à l'expéditeur du message.

Elle ne reconnaît pas le nom, mais l'objet du message attire son attention. Il est écrit « SOUMISSION ».

Jessie a le souffle coupé. Elle se demande s'il s'agit du dominateur qui la contacte. D'une main tremblante, elle place sa souris sur le message et clique pour l'ouvrir.

« LèvresChaudes,

l'auteur de récits érotiques m'a transmis votre message. Vous recherchez un dominant. J'ai regardé votre photo et je suis prêt à vous écouter et voir si vous remplissez les conditions que j'exige. Je sais que vous êtes mariée et que vous vivez en banlieue. Et je m'en fiche. Tout ce qui m'intéresse c'est ce que vous êtes prêtes à faire pour que je puisse vous former. Je joins à ce message un fichier contenant un questionnaire. Je veux que vous le remplissiez avec votre mari et que vous me le retourniez. Je veux aussi que vous décriviez un fantasme collectif et un fantasme privé que vous ne partagerez jamais avec votre mari. Je vous contacterai si je suis satisfait. Sinon vous n'entendrez plus parler de moi.

Maître X. »

Le corps de Jessie tremble après avoir lu le message. Elle télécharge rapidement le questionnaire et l'imprime. Elle entre dans la salle de bain et s'assoit pour lire les questions. Elle ne peut aller au bout, car elle entend son mari l'appeler. Elle réfléchit quelques secondes, saisit les feuilles imprimées et se dirige vers la chambre à coucher.

Marcus est étendu nu sur le lit, les verres à vin et la bouteille sur la table de nuit. Il regarde sa femme franchir la porte. Elle est toujours nue mais a des papiers à la main.

- Hé bébé, que se passe-t-il? Demande-t-il.

- Nous avons reçu une réponse du dominateur dont m'a parlé l'auteur des histoires. Il nous a envoyé un questionnaire que nous devons remplir et lui renvoyer. Il le veut avant d'aller plus loin. Si nous ne répondons pas à ses critères, il ne nous contactera plus.

- Laisse tomber, on trouvera quelqu'un d'autre. Dit Marcus en essayant de la tirer sur le lit.

- Attends chéri, nous ne savons pas exactement ce que nous voulons. Si nous ne remplissons pas le questionnaire, comment pourra-t-il savoir s'il peut répondre à nos besoins. Dit-elle en retirant son bras de la main de son mari et en s'asseyant sur le lit.

- Laisse-moi voir les questions. Dit Marcus.

Jessie lui donne un double du questionnaire et continue à lire son exemplaire. Il regarde la liste des questions. Elle semble interminable. Les questions vont de leur description physique aux passe-temps, collections et même des informations financières. Finalement il pose la liste et regarde sa femme.

- Tu es sûr de ça? Je veux dire que ça pourrait changer notre vie? Est-ce qu'il y a autre chose qu'il veut? Demande Marcus droit dans les yeux de Jessie.

Sa femme baisse les yeux sur le sol pendant quelques instants, son visage montrant ses pensées. Elle relève les yeux et lui parle clairement :

- Oui j'en suis sûre. Je n'ai jamais été aussi sûre que ça dans toute ma vie. Je sais que tu dois penser que je suis folle. Mais cette dernière semaine, je ne me suis jamais sentie aussi vivante.

Elle fait une pause pour voir quelle est sa réaction, puis elle poursuit :

- Il veut que nous écrivions un fantasme que nous avons en commun et un fantasme de chacun de nous que nous ne partageons pas.

Elle se tait et attend la réponse de Marcus.

- Jessie, tu as beaucoup changé au cours de ces deux dernières semaines. J'aime les changements qui t'excitent, mais j'ai peur que tu précipites les choses. J'ai peur que toi, ou devrais-je dire nous, perdions la tête. Répond Marcus.

Bien qu'il aime jouer à des jeux avec sa belle femme et que leurs séances de sexe soient fantastiques, il ne veut pas vraiment la dominer. Il adore seulement à quel point elle est excitée quand il lui faisait faire des choses.

- Chéri, je t'aime et je ne veux jamais te perdre. Mais quelque chose a changé en moi et j'en ai besoin. Tu as été négligent et je pourrais finir à en payer le prix. J'ai besoin que quelqu'un me soumette, mais qu'il me protège bien. Je veux, à la fin de la journée, rentrer et baiser avec toi.

Marcus regarde Jessie et sourit. Il sait qu'elle a raison. Il ne sait pas trop ce qu'il faisait en la dominant. Il sait qu'il l'a exposée sans prendre de précaution. Il dit alors :

- Si c'est ce que tu veux vraiment, je le ferai avec toi.

Jessie sourit, pousse Marcus sur le lit et saute sur son corps. Elle jette les papiers et se laisse tomber sur sa poitrine, l'étouffant dans ses baisers. Elle enfonce profondément sa langue dans sa bouche. Marcus attrape son cul et la tire sur sa bite dure comme de la pierre. Il plante son sexe sur son clitoris, la sentant trembler d'excitation.

Jessie glisse le long de son corps en donnant des baisers et en léchant légèrement ses mamelons. Elle continue à descendre le long de son ventre, ne s'arrêtant qu'une seconde sur son nombril.

Puis elle l'embrassa près de sa queue. Le corps de Marcus est tendu. Au moment où elle atteint sa bite, du liquide pré éjaculatoire coule le long de sa queue.

Jessie lève les yeux vers lui et observe son visage alors qu'elle lèche juste dessous le gland en forme de champignon. Elle lèche le précieux liquide qui s'échappe de la bite et en savoure le goût. Puis elle ouvre grand la bouche et la fait glisser sur le gland et le long de la grosse tige. Elle prend les premiers centimètres et recule jusqu'à garder seulement le gland dans sa bouche. Sa langue en fait plusieurs fois le tour jusqu'à ce qu'elle l'entende gémir. Là, elle fait glisser sa bouche le long de la queue jusqu'à ce qu'elle touche le fond de sa gorge. Elle a un réflexe nauséeux, donc elle recule un peu avant de baisser à nouveau la tête.

Marcus gémit alors que sa femme lui fait une extraordinaire fellation. Elle a toujours été douée pour sucer, mais cette fois c'est différent. Elle ne l'a jamais pris au fond de la gorge auparavant. Quand il sent sa bite entrer dans la gorge, il éjacule et envoie des flots de sperme directement dans son ventre. Les deux prochaines heures, ils font l'amour avec passion. Puis ils s'endorment dans les bras l'un de l'autre et restent ainsi jusqu'au lendemain.

À suivre...

mercredi 23 novembre 2022

La déchéance de Juliette Ch. 07

 Traduction d'un texte de TheDarkCloud

*****

Fin heureuse ou non de l'histoire de Juliette ?

Les pieds nus de la prisonnière frappèrent lourdement sur le sol froid et carrelé alors qu'elle marchait sous l'arche inférieure et pénétrait dans le couloir qui menait à la salle de douche commune de la prison.

Cette prisonnière est, bien sûr, l'ancienne commissaire Juliette PORTIER.C'est un chemin qu'elle connaît de façon déprimante. Elle est nue, à l'exception d'un vieux collier de chien en cuir autour de son cou et une serviette grise et rugueuse sur son avant-bras droit. Elle essaya de mettre un regard confiant et dur sur son visage, comme si elle était prête à faire face à tout ce qui pouvait l'attendre à l'intérieur. Mais c'était difficile et ça devenait de plus en plus difficile à chaque jour et nuit passé injustement dans cette prison.

L'énorme et musclée gardienne Jeanne LOYALE la regarda disparaître dans le bloc des douches. Elle aurait souhaité désespérément entrer avec elle et empêcher ce qui risquait de se passer. Oui c'était elle qui avait passé le collier au cou de Juliette lors de son arrivée à la prison. Oui c'était elle qui s'était équipée d'un gode-ceinture pour sodomiser et montrer à la prisonnière rousse qui dirige la prison.

Mais au cours des trente jours environ depuis l'arrivée de Juliette, le sentiment d'injustice avait grandi dans l'esprit de la gardienne. Celle-ci méprisait le réseau d'hommes bien placés et corrompus qui avait orchestré la chute et les dégradations de l'ancienne commissaire. Maintenant Jeanne avait de la pitié pour Juliette qui devait partager sa cellule avec deux sœurs, deux prostitués noires, Yasmine et Carla. Celles-ci avaient été mises en prison par Juliette et maintenant elles se vengeaient.

Jeanne regarda avec convoitise la peau blanche crème de la prisonnière nue. Elle admira sa silhouette qu'elle avait gardée athlétique et sexy malgré les tourments que ses compagnes de cellule lui infligeaient. Sachant qu'elle se dirigeait très probablement dans un autre piège, Jeanne gifla sa main avec sa matraque et commença à suivre Juliette. Elle en avait assez, il fallait arrêter tout ça.

Mais elle ne fit même pas un pas en avant qu'une main se posa sur son épaule et l'arrêta. Elle se retourna avec colère pour maudire celui qui avait osé, mais elle s'arrêta net en reconnaissant le directeur de la prison MASSEAU.

- Attendez officier LOYALE ! Je sais que ça vous irrite, mais suivez mes conseils, ne vous impliquez pas dans cette affaire.

- Mais comment pouvez-vous laisser ces salauds vous dire quoi faire ? Je...

- Tout doux Jeanne. Parce qu'ils sont trop nombreux et trop puissants pour se les mettre à dos vous et moi. En plus, la commissaire PORTIER ne nous a jamais vraiment aidé lorsqu'elle était au faîte de son pouvoir, n'est-ce pas ? Et disons que ça ne nous regarde pas ce que font ces putes avec elle. Alors laissez tomber et suivez mes conseils, ne vous impliquez pas dans cette affaire, d'accord ?

Le directeur la conduisit loin de l'entrée du bloc des douches. Il sentit que ce n'était pas ce qu'elle voulait et qu'elle ne continuerait pas à laisser faire.

A l'intérieur du bloc sanitaire chaud et humide, Juliette découvrit qu'elle allait avoir du public pour sa douche matinale. En entrant dans la grande pièce carrée et carrelée, elle découvrit une trentaine de détenues nues qui attendaient. Tous les yeux étaient braqués sur elle. Juliette déglutit et avança pour se placer sous un pommeau de douche en attendant que l'eau tiède coule. C'est alors qu'elle vit Yasmine et Carla, leur peau d'ébène brillante d'humidité. Chacune des deux sœurs portait un gros gode ceinture noir attaché autour de leurs hanches.

- Eh bien, voilà notre salope personnelle ! Se moqua Yasmine.

Les deux sœurs s'approchèrent de Juliette.

- Tu es venue pour une douche hein ? Eh bien, nous allons nous assurer que tu transpires d'abord pour pouvoir te laver.

Les deux femmes noires étaient vraiment intimidantes en s'approchant de leur « salope ». Elles n'étaient pas très grandes, mais leurs muscles ondulaient sous la peau. Les deux avaient d'énormes seins avec de gros mamelons qui ressortaient. Yasmine avait des dreadlocks courts tandis que Carla avait une queue de cheval qui la rendait plus féminine. C'était sûrement une fausse queue qu'elle avait ajouté.

Juliette fut bien consciente de ce que l'on attendait d'elle lorsque ses deux maîtresses approchèrent. La commissaire autrefois très sévère ne pensa à rien d'autre que s'agenouiller et baisser le regard.

Quel changement par rapport à toutes ces années où elle travaillait dans la rue et prenait du plaisir à houspiller et arrêter sans ménagement les prostituées qui marchaient sur les trottoirs. Elle avait pris un plaisir particulier à arrêter ces deux sœurs noirs. Qui aurait pu penser que les circonstances feraient qu'elle deviendrait leur esclave ?

Mais le chemin qu'elle avait été forcée et contrainte de prendre, sans parler des trente jours qu'elle venait d'endurer avec les deux prostituées noires, lui avait appris et l'avait conditionné à ne pas bouleverser les choses plus qu'elles ne l'étaient déjà.

Les doigts musclés, terminés par des ongles longs de Yasmine crochetèrent l'anneau métallique à l'avant du collier portés par Juliette et hissèrent la femme blanche sur ses pieds. L'ancienne commissaire resta immobile en essayant de ne pas trembler tandis que les mains des deux sœurs tripotaient et sondaient son corps, les yeux sur le public de codétenues qui regardaient attentivement. Carla se plaça derrière Juliette et lui caressa le cul avec une tendresse que Juliette n'avait pas encore connue de leur part. Yasmine se mit face à elle et attrape sa chevelure rouge pour lui parler :

- Es-tu prête à transpirer, salope ?

Les autres prisonnières présentes étaient un groupe soigneusement sélectionné. L'une des raisons devait devenir claire un peu plus tard dans la matinée, mais l'autre était qu'elles avaient toutes d'une manière ou l'autre étaient confrontées un jour ou l'autre à l'ancienne commissaire. Peu avaient été arrêtées directement par elle, mais la plupart avaient subi la répression et la politique qu'elle avait mené au sein des forces de police. Juliette était devenue pour elles une ennemie détestée. Elles tendirent toutes le cou pour mieux voir l'action dans les douches.

Ce qui se passa, c'est que lorsque Yasmine avait attrapé les cheveux de Juliette, elle l'avait positionnée sur son gode et lorsque qu'elle avait posé sa question, elle avait enfoncé la queue en plastique dans sa chatte imberbe. Involontairement Juliette cria une première fois à cette pénétration, puis poussa un nouveau cri alors que Carla derrière elle pénétra son petit trou du cul.

Le corps de Juliette fut empalé et soulevé avec facilité alors que les deux sœurs noires la pilonnaient. La femme blanche se rendit rapidement compte qu'elle était impuissante et était devenue une simple marionnette entre ses deux compagnes de cellule.

Elle eut l'impression d'être une simple poupée de chiffon entre deux chiens enragés. Yasmine et Carla martelèrent son corps en grognant sous l'effort. Quand elles purent retrouver leur souffle, elles insultèrent leur victime de tous les noms qu'elles avaient pu trouver depuis que celle-ci était devenue leur troisième membre de cellule.

- Sale pute policière !

- Enculée de salope !

- Prends ça, grosse pute rousse !

Dans ce féroce déchaînement, Carla se pencha doucement en arrière jusqu'à ce qu'elle soit assise sur le carrelage mouillé et que Juliette soit assise sur son gode qu'elle continuait à faire entrer et sortir du cul douloureux. Les deux godes jumeaux étaient de gros morceau de plastique noir moulé, de trente centimètres de longueur, veinés et épais pour ressembler à des bites. Ils étiraient les trous de l'ancienne policière au maximum. La nouvelle position trouvée permit à Carla et Yasmine de pousser plus profondément dans Juliette qui commença à transpirer sous la douleur.

Pour sa part, celle-ci n'offrit aucune résistance et aucune plainte. Elle avait depuis longtemps compris et accepté à contrecœur sa place dans la vie maintenant. D'une femme puissante, elle était aujourd'hui encore moins importante que de la terre sur des chaussures de jardinier, rien de plus important qu'un jouet pour ceux et celle qui s'étaient ligués contre elle.

Les deux sœurs continuèrent à la baiser sur le plancher des douches pendant quelques minutes sous les cris et les hués des autres prisonnières qui les entouraient. Puis, sur un signe de tête de Yasmine, elles retirèrent simultanément leurs godes en les laissant enterrés dans les trous de Juliette et elles lui présentèrent leurs chattes humides devant sa bouche.

- Mange-nous salope ! Lèche salope ! Lèche le jus de nos chattes ! C'est tout ce que tu es maintenant, une pute pour nous.

Ces mots étaient vicieux, mais ils ne dissuadèrent pas Juliette d'obéir. Elle savait ce qu'elles voulaient et elle savait que de ne pas le faire serait pire que cette humiliation. Alors elle rampa et se mit au travail sur les deux sexes. Et elles mouillaient ! Les deux sœurs noires étaient vindicatives et elles étaient prêtes à jouir de ce sentiment de pouvoir. Jouir sur le visage de Juliette ne serait que la cerise sur le gâteau.

Contrairement à celle de Juliette, leurs chattes n'étaient pas bien entretenues ? En fait c'était deux buissons velus et sombres. La langue de Juliette devait traverser les poils raides pour atteindre la chatte trempée et aigre de Yasmine et la laper comme une chienne obéissante. Pour sa part, la prostituée noire prit la tête de sa victime et la tint contre son entrejambe. Elle frotta grossièrement sa chatte de haut en bas sur la langue et le visage de Juliette jusqu'à ce qu'elle, quelques secondes plus tard, eut un orgasme et qu'un liquide chaud coula sur le visage surpris de la femme blanche.

Carla fit de même. Quelques instants plus tard, alors que Juliette se laissait tomber sur le dos, la figure recouverte du jus des deux femmes, Yasmine lui expliqua la dernière partie de son humiliation de ce matin.

- Reste allongée, salope ! Et ne bouge pas, tu es très bien comme ça. On dirait que tu as bien transpiré. Je crois que tu a besoin de ta douche. Les filles, venez ici !

Quatre prisonnières sélectionnées dans les spectateurs s'avancèrent.

- Voilà, ces femmes n'ont pas été choisies seulement pour assister au spectacle ou pour participer à cause de leur haine pour toi ou les forces de police que tu représentes, mais aussi parce qu'elles ont de belles vessies bien pleines.

Juliette écouta et digéra ces mots en comprenant pourquoi les quatre femmes l'entouraient. Elle se prépara, ferma les yeux et pinça ses lèvres. Mais ça devait se passer autrement.

- Non ! Tes maîtresses veulent que tu sois une chienne ! Alors obéis et garde bien les yeux et la bouche ouverte !

Son conditionnement prit le dessus et Juliette obéit aux deux femmes immédiatement au moment où les quatre autres prisonnières commencèrent à perdre le contrôle de leur vessie. Les jets d'urine fusèrent. Carla et Yasmine reculèrent alors que la douche « dorée » que Juliette devait recevoir commença. Elles encouragèrent leurs amies.

- C'est ça les filles, lavez toute sa sueur ! Et ne t'inquiète pas chienne, si elles n'y arrivent pas, il y a une quarantaine de femmes ici prêtes à te doucher !

***

Bien que le directeur l'eut distraite un peu plus tôt, Jeanne s'assura d'être là pour assister à la sortie honteuse de Juliette du bloc de douches. A la puanteur et à la vision de l'humidité jaune la recouvrant, elle comprit que ces salopes ne lui avaient pas permis de se doucher correctement.Elle grogna et fulmina. Elle essaya de se convaincre qu'elle était en colère parce que ça se passait dans sa prison, mais elle n'y arriva pas. Si cela arrivait à d'autres prisonnières, elle ne serait pas autant gênée.

Jusque-là, elle avait autorisé Yasmine et Carla à se venger. Jeanne, malgré sa force physique et la position qu'elle occupe au sein de l'établissement, n'était pas la plus intelligente des employés. Sinon elle aurait pu être plus maline dans ses pensées et élaborer un plan beaucoup plus rusé que celui qu'elle décida. Pour sa défense, elle voulait envoyer un message direct aux deux sœurs afin de leur montrer qu'elles n'étaient pas les seules à pourvoir imposer une domination sexuelle. Jeanne, n'étant pas du genre à tout laisser faire décida d'agir le soir-même après le verrouillage de toutes les cellules. Et c'est ce qu'elle fit.

Elle recruta deux des gardes masculins les moins soucieux de la loi. Elle les choisit pour son plan de cette nuit, car ils étaient deux salauds misogynes, sadique et méchants. Comme on peut l'imaginer à partir des descriptions précédentes, Jeanne n'était pas non plus un ange. Elle avait l'habitude de traiter les nouvelles arrivantes en les sodomisant comme elle l'avait fait avec Juliette dans le bureau du directeur. De toute façon, toute détenue qui défiait ses règles de fer était remise à sa place de façon brusque.

Cette nuit-là, immédiatement après la fermeture des cellules, Jeanne et ses deux collègues se sont présentés devant la cellule des trois femmes et ont sorti Juliette, ceci au grand dépit des deux sœurs noires qui avaient prévu une autre soirée d'abus et d'humiliations. Jeanne ne dit rien et se contenta d'emmener l'ancienne policière confuse. Elle la laissa enfermée dans une cellule vide avant de retourner retrouver les deux prostituées. En voyant le trio de garde qui tapotait leurs matraques, Yasmine et Carla changèrent de comportement. Elles n'étaient plus les putes arrogantes et confiantes qu'elles avaient été durant tout le mois. Elles avaient pu avoir de puissants appuis pour être transférées dans cette prison, mais pour l'instant ils leur étaient peu utile.

- Bien, vous, les deux salopes noires, à plat ventre sur votre lit, les mains dans le dos !

Ce n'était pas le type de ton qui invitait à questionner. Surtout que les gardes masculins souriaient pour les inviter presque à se plaindre. Yasmine et Carla obéirent immédiatement à l'injonction. Elles avaient peur de ce qu'ils pouvaient leur faire si elles désobéissaient. Bientôt les deux gardes furent à l'intérieur et leur attachaient des menottes dans le dos sans que les deux sœurs ne puissent dire quelque chose. Bien sûr, il était trop tard.

Jeanne demanda alors aux deux hommes de sortir de la cellule, à la déception évidente de ceux-ci qui voulaient s'amuser avec les deux salopes. Mais leur envie fut réfrénée par la réputation intimidante de la grande gardienne. Ils savaient qu'il valait mieux ne pas se mettre dans son chemin.

Jeanne avança entre les deux lits (Juliette était obligée de dormir en général sur le sol en pierre froid). Elle était impressionnante. Vêtue de son manteau en cuir brillant, des bottes et des gants en cuir réglementaires, les cheveux noirs et raides, elle représentait le pire cauchemar des sœurs à ce moment-là. Jeanne s'accroupit entre elle et saisit leurs deux têtes pour les forcer à tourner et à la regarder. Bien que ses lèvres rouge foncé se mettent à sourire, il s'agissait d'un sourire froid, sans cœur, qui n'indiquait rien de bon du tout.

- Je crois que vous, les deux salope, avez raté mon initiation spéciale pour les nouveaux prisonniers, alors j'ai pensé que je ferais mieux de vous initier correctement à la vie d'ici.

- Non ! Attends espèce d'idiote ! Ce n'est pas bien, nous sommes là parce que...

Yasmine ne put continuer à parler, car une paire de culotte rose à volants de Jeanne (malgré sa rudesse extérieure elle adorait les culottes à froufrous) fut poussée dans sa bouche pour étouffer ses protestations.

- Maintenant, vous allez apprendre les règles de la prison ! Je vais vous dire comment ça se passe, salopes. Vous faites ce que nous vous disons et vous vous taisez, d'accord ? On va un peu s'amuser à vos dépens afin de vous montrer comment souffre votre petite salope blanche.

Les deux sœurs froncèrent les sourcils aux mots de la grande gardienne. Elles ne pouvaient pas discuter, elles étaient menottées et impuissantes. Il ne leur restait plus qu'à hocher la tête et à se préparer à découvrir ce que c'était d'être du côté de la victime pour une fois.

- Bien les gars ! Pourquoi ne reviendriez-vous pas ici pour faire connaître aux deux sœurs la joie de la bite. Je parie que depuis qu'elles sont enfermées elles ont oublié ce que c'est d'avoir une grosse bite blanche dans le cul.

Les deux gardes étaient plus que prêts. Alors que Jeanne reculait vers la porte coulissante à barreaux de la cellule pour diriger et regarder l'action, ils grimpèrent sur les lit, à cheval sur l'arrière des cuisses des deux putes. Alors que Jeanne expliquait les règles de la vie dans la prison, ils avaient développé déjà des érections majeurs. C'était le genre de scénario qui leur plaisait.

Deux mouvements rapides sur la fermeture de leur braguette et deux queues épaisse et bien dures furent à l'air libre et avancèrent vers leur cible. Les pantalons des prisonnières ne furent pas bien durs à baisser sur leurs chevilles avant d'être complètement enlevés. Les deux sœurs savaient qu'elles étaient baisées (ou sur le point de l'être!). Avec leurs mains attachées dans le dos, elles ne pouvaient que rester allongées et attendre la pénétration.

Bien sûr Yasmine et Carla étaient en colère. C'était des putes à l'extérieur, mais elles étaient habituées à tout contrôler, à commander. En plus on leur avait promis une protection pour punir cette garce d'ancienne commissaire. Où était cette protection maintenant ?

Cela n'avait plus d'importance. Les deux hommes écartèrent leurs fesses et insérèrent violemment et profondément leurs bites dans leurs trous du cul. Alors que les hommes les enculaient brutalement, les deux femmes noires fermèrent les yeux pour essayer d'oublier ce qui se passait. Elles ne virent pas Jeanne passer entre les lits avec juste le gode en plastique le plus gros, le plus long et le plus épais entre ses jambes. Oui, elle allait profiter de cette nuit et ces chiennes allaient le sentir passer.

Seule dans sa cellule, Juliette profita au maximum de cette solitude. Elle n'en avait jamais eu beaucoup depuis son arrivée en prison. Elle ne se demanda même pas pourquoi l'imposante gardienne l'avait retiré de sa cellule où elle était tourmentée. Elle s'en fichait du moment que ça lui donnait le repos dont elle avait besoin. Et plutôt que de cogiter, elle s'allongea sur une couchette et elle se reposa. Elle était sûre que jusqu'à la réouverture de la porte, personne n'abuserait de son corps épuisé. Depuis qu'elle avait pénétré la cellule où se trouvaient les deux sœurs son existence était tout simplement misérable. Les hommes du complot contre elle avaient donné presque carte blanche aux deux prostituées pour briser l'ancienne policière.

Et peut-être qu'elles y étaient arrivées, car elle n'était plus qu'une esclave obéissante maintenant. Il y a seulement quelques mois, Juliette était une femme ambitieuse (peut-être trop), concentrée sur sa réussite et sur le chemin du sommet. Et maintenant ?

Maintenant, dans les bons jours, elle n'est guère plus qu'une chienne blanche soumise à ses deux maîtresses noires sadiques.

Juliette fut réveillée dans son demi-sommeil par la porte de la cellule qui s'ouvrit. Instantanément elle fut éveillée et alerte, fixant l'entrée sombre et se préparant à quoi que ce soit ou à qui pouvait venir. Elle avait pu se reposer, mais elle savait que ça ne durerait pas. Quand elle leva ses grands yeux tristes, ce fut pour voit la grande et imposante silhouette de la gardienne LOYALE. Elle entra dans la cellule, habillée de la tête aux pieds dans sa sinistre tenue noire avec toujours un énorme gode-ceinture attaché autour de la taille. Juliette frissonna à cette vue.

Mais Jeanne ferma la porte et se dirigea vers Juliette en détachant le gode et en le laissant tomber par terre. Juliette la regarda interrogative.

- Ne t'inquiète pas, prisonnière ! Je ne l'ai apporté que pour te montrer à quoi tes deux « bienfaitrices « noires ont dû faire face ce soir.

Quelle que soit la réaction à laquelle elle s'attendait, ce n'était pas celle de Juliette enroulant ses bras autour de ses jambes et se recroquevillant pour s'éloigner de l'objet. Jeanne se pencha et le reprit en main pour montrer le scintillement à l'ancienne policière. Sa main a du mal a faire le tour de la circonférence. Avec des yeux effrayés comme ceux d'un enfant, contrastant avec ses traits durs, Juliette la regarda dans les yeux et chuchota lentement :

- Pourquoi ?

- Parce que je ne les aime pas ! Parce que je n'aimais pas ce qu'elle faisait dans ma prison ! Et parce que je n'aimais pas ce qu'elle te faisait...

A ce moment, leurs yeux se rencontrèrenet et s'attardèrent plus longtemps qu'ils ne l'auraient dû. Jeanne laissa tomber le gode en plastique sur le sol en pierre et elle tendit la main vers la joue douce et blanche de Juliette, la caressant doucement. Sans réfléchir, elle se pencha et embrassa doucement l'ancienne commissaire sur ses lèvres douces. Elle n'avait jamais fait ça avec une autre prisonnière et elle ne savait pas pourquoi elle le faisait maintenant. C'était peut-être la pitié qui avait été le déclencheur, mais elle voulait juste protéger Juliette de ses ennuis et la rendre saine et sauve.

Juliette réagit au baiser naturel et elle le rendit doucement. Après toutes les horreurs qu'elle avait endurées, un morceau de gentillesse était comme un soulagement pour elle et elle n'allait pas le nier.

Ne pas être forcée de le faire était comme un tonique pour Juliette et elle permit à la gardienne d'explorer son corps avec ses grandes mains, de caresser ses gros seins, de tripoter son cul rond et d'effleurer son monticule pubien. Les deux femmes étaient loin de cet endroit sinistre, de cette cellule dans une prison dure. Elles étaient seules dans les bras l'une de l'autre.

Jeanne retira bientôt son uniforme et permit à Juliette d'explorer son corps musclé avant que les deux femmes ne s'enveloppent dans leurs bras et que leurs langues explorent tous leurs orifices. Elles s'embrassèrent longtemps avant que Juliette ne tombe à genoux et fasse courir sa langue sur les seins et l'estomac de la garde. Puis elles se livrèrent à une séance de sexe oral orgasmique qui fut à la fois gémissant et haletant jusqu'au point culminant. Ensuite, les deux s'effondrèrent pour récupérer, enlacées dans leurs bras tendres. Elle s'endormirent dans un sommeil heureux.

Elles dormaient toujours profondément dans les bras l'une de l'autre, complètement nues lorsqu'un groupe d'hommes dirigé par le directeur entra silencieusement dans la cellule. Ils se tinrent juste hors de portée de Jeanne avec les bras dans le dos en attendant que les deux femmes reprennent conscience. Ce qu'elles ont fait quand l'un des six gardes toussa.

Jeanne se réveilla la première, l'esprit tout d'abord embrumé en essayant de savoir où elle était. Puis, instantanément elle vit et elle s'assit brusquement en essayant désespérément de couvrir ses seins et sa chatte exposée. Le directeur lui fit un sourire triste.

- Ne vous inquiétez pas officier LOYALE, j'ai tout vu maintenant.

Juliette se réveilla elle aussi et à travers ses yeux mi-ouverts, elle se demanda ce que pouvait avoir Jeanne.

- Qu'... Qu'est-ce qui se passe ?

- C'est simple prisonnière PORTIER, nous sommes venus ici pour arrêter la gardienne LOYALE.

- Hein ? L'arrêter pourquoi ?

Juliette posa la question alors que Jeanne se raidit et attendit attentivement la réponse.

- Pour le viol et le meurtre de la prisonnière matricule 546731 nommée Juliette PORTIER, Vous !

Jeanne sauta sur le directeur. Elle ne savait pas que les instigateurs du complot contre Juliette l'avait acheté. Mais l'homme se tenait prêt, et alors que l'imposante gardienne musclée lui sautait dessus, il sortit un pistolet tazer de derrière son dos et il tira dans le sein droit envoyant des volts dans le corps musclé.

Le choc fit tomber Jeanne par terre, et bien qu'elle soit toujours consciente, elle ne pouvait même pas parler alors que les gardes se pressaient autour d'elle. Ils menottèrent aussi Juliette et ils l'emmenèrent. Le directeur se plaça devant son ancien bras droit et il secoua la tête.

- Vous n'auriez pas dû baiser ces putes noires, vous n'auriez vraiment pas dû.

Sur ces mots, il presse de nouveau la gâchette du tazer et lui envoie de l'électricité jusqu'à ce que la femme dangereuse soit inconsciente et aussi impuissante qu'un chaton.

***

Il était temps de mettre un terme à cette histoire. Joseph DUPRE et tous ses collègues de la coalition qui avait été formée pour donner à Juliette PORTIER une bonne leçon de vie s'étaient bien amusés, mais étaient tous fatigués. l'ancienne commissaire devait disparaître et tous les liens qu'elle pouvait avoir devait être sectionnés. Ce fut exactement ce qui se passa les semaines suivantes. Avec le pouvoir réuni de tous ces hommes qui faisaient la justice, ce fut facile.

Jeanne LOYALE, ancienne garde modèle de la prison fut déconcertée par la vitesse de son arrestation, de son jugement et de sa condamnation. Bien sûr, tout le monde fut de mèche : le coroner, les policiers, les juges. Elle ne sut jamais ce qui était vraiment arrivé à Juliette après que le directeur l'ait rendu inconsciente., mais elle savait que les accusations et les descriptions faites lors de son procès étaient fausses. Elle fulmina et se tendit dans les chaînes solides qui la menottaient et la retenaient alors que l'accusation la décrivit comme une sadique brutale qui se réjouissait de tourmenter les nouveaux prisonniers, comment elle avait prêté une attention particulière à l'ancienne commissaire de police Juliette PORTIER. D'autres prisonnières, dont Yasmine et Carla, décrivirent comment Jeanne humiliait et avilissait quotidiennement Juliette, et comment la violence s'intensifiait jusqu'à cette nuit fatidique dans une cellule.

- Cette énorme et puissante gardienne, Mme LOYALE a sorti la victime de sa cellule et l'a conduite dans la cellule où elle l'a tuée. Expliqua solennellement le procureur.

- A partir de là, nous ne pouvons qu'utiliser les preuves médico-légales et les indices trouvés dans la cellule pour reconstituer exactement ce qui s'est passé cette nuit-là. Il existe des preuves physiques clairs que l'officier LOYALE a abusé de sa position et a utilisé sa matraque pour battre la prisonnière PORTIER. Puis, après s'être lassée de la frapper, elle lui a menotté les poignets dans le dos et elle a ensuite utilisé cet instrument (il montre le gros gode qu'elle avait utilisé sur Yasmine et Carla) pour violer sa victime sans défense. La prisonnière menottée et impuissante se tenait alors sur un tabouret avec un nœud coulant autour du coup et attaché au plafond de la cellule. En la violant, l'officier LOYALE a donné des coups de pieds dans le tabouret pour pendre sa victime. Cette gardienne a agi à la fois en tant que juge, jury et bourreau.

L'histoire était bien ficelée et il ne fallut que quelques minutes pour que Jeanne soit reconnue coupable et condamnée à la réclusion à perpétuité. Il ne fut pas surprenant de découvrir qu'elle fut envoyée au milieu des femmes qu'elle avait surveillées dans l'établissement où elle travaillait comme gardienne. Costaude et musclée ou pas, alors qu'elle traverse le désert en direction de son destin, elle sut au fond d'elle-même que ce serait vraiment mauvais pour elle.

A son retour à la prison, cette fois en tant que criminelle, Jeanne fut enchaînée et traînée à travers les couloirs complètement nue. Puis elle arrive dans le gymnase. Là, au centre de la pièce, se trouvait un cheval d'arçon. Sept des gardes masculins qu'elle avait terrorisés auparavant prirent grand plaisir à la monter sur ce cheval et lui attacher les bras et les chevilles aux pieds. De cette façon, sa bouche, son cul et sa chatte furent bien exposés. Puis ils la laissèrent seule après avoir pris le temps de lui décrire en détail ce que chacun d'eux lui fera pendant son séjour en tant que prisonnière.

Alors que Jeanne digérait sa situation et essayait en vain de tirer sur ses liens, le silence dans le gymnase fut rompu par l'arrivée du directeur. Il marcha lentement vers elle et s'accroupit pour la regarder dans les yeux pendant qu'il lui parlait.

- Vous savez que c'est dommage ? Vraiment dommage ! Vous étiez une bonne garde et si vous aviez pu garder votre nez hors de certaines affaires, vous le seriez encore. Mais il faut dire que je me suis toujours demandé ce que ça serait de vous baiser, vous si forte et si puissante, de vous voir comme un simple jouet à ma disposition. Je me suis toujours demandé si vous aviez déjà pris une bite dans le cul !

Sur ces mots, il décida de ne plus se poser la question alors qu'il enfonçait sa longue et fine bite profondément dans le trou du cul de Jeanne. Il saisit les cheveux noirs de la femme dans ses mains et il la besogna violemment.

- Hmmmm, que c'est bon ! j'ai l'impression de briser un étalon sauvage !

Jeanne ne dit rien et serra les dents. Elle avait décidé de ne pas donner à ce vieux salaud le plaisir de l'atteindre. Elle resta impassible. Après tout elle était forte, élevée dans une famille dur et habituée à subir des coups durs. Toutefois, dans un coin de son cerveau, elle savait que c'était un combat perdu d'avance alors que le directeur continuait à l'enculer brutalement.

Couchée sur le cheval, elle leva les yeux autant que lui permettait sa position. Elle vit qu'elle avait été positionnée de façon à être face à la porte du gymnase. Tandis que le directeur continuait à la sodomiser, la porte s'ouvrit et deux gardes entrèrent. Ce qui les suivit fit frissonner Jeanne. Dans une ligne presque parfaite, toute une série de prisonnières, nues à l'exception d'un gode-ceinture attaché à leurs hanches entrèrent dans la salle. Chacune de ces prisonnières prit le temps d'avoir un grand sourire méchant avant de s'aligner contre les murs. Jeanne les reconnut toutes, elles avaient toutes eu l'accueil spécial de sa part. Et bien que Jeanne soit forte, elle trembla en voyant qu'il y avait près de quatre-vingts prisonnières. Mais il y en avait encore deux à venir. Suivies par quatre gardes supplémentaires, Yasmine et Carla entrèrent.

Elles se dirigèrent lentement vers l'ancienne gardienne et elles s'assurèrent d'établir un contact visuel. Jeanne se demanda si leur démarche, jambes arquées, était le résultat de la nuit qu'elle avait passé avec elle ou si c'était juste une moquerie. En tout cas les deux prostituées portaient elle aussi un gode-ceinture, mais ils étaient encore plus énormes que ceux des autres prisonnières. Silencieusement les deux sœurs s'arrêtèrent à quelques centimètres du visage de Jeanne et elle sourirent en voyant sa situation actuelle, le directeur étant sur le point de jouir en elle.

Les deux femmes portaient des tenues de dominatrice en cuir noir assorties et elles avaient deux grands sacs de toile qu'elles vidèrent sur le sol, juste en dessous du visage de l'ancienne garde.

Tout d'abord, il y eu un rouleau de fil de fer barbelé, puis des menottes, un fouet en cuir, une cravache, un bâillon-boule orange, une paire de câble pour batterie, un rasoir électrique, un aiguillon électrique pour le bétail, une paire de pinces, une batte de baseball, du lubrifiant, un stylo modifié pour faire des tatouages en prison, un allume-cigare, et un entonnoir sentant la pisse. Cette collection d'instruments de torture gela le sang de Jeanne. Dans les mains de ces deux sœurs dégénérées, elle n'osa penser à ce qui allait lui arriver. Mais ses réflexions furent interrompues par les grognements et les efforts du directeur alors qu'il éjaculait dans son cul.

Finalement, il remit son pantalon et informa Jeanne que Carla et Yasmine seraient ses compagnes de cellule et qu'elle devrait leur obéir, qu'elle le veuille ou non. Yasmine prit son menton dans la main pour levre son visage et elle cracha :

- C'est ça, salope ! Tu vas être notre petit animal de compagnie. Tu feras ce que nous te dirons, quand nous te le dirons et comment nous le dirons. Et nous avons une grande envie de vengeance. Crois-nous, salope, sous peu tu seras contente de manger la merde qui nous sort du cul si nous te le demandons.

Et le pire, c'était que Jeanne était là, transpirante et frustrée, presque sur le point de sangloter et qu'elle savait qu'elles allaient le faire. Elle savait qu'avec le temps et les ressources à leur disposition, elles la tortureraient lentement, brisant son esprit et faisant d'elle une chienne obéissante. Elle avait vu cela se produire bien des fois en prison, même si ce n'était pas à ce degré. Elle était vraiment baisée.

Les deux sœurs noires passèrent derrière elle. Elle ne fut plus en mesure de voir ce qu'elles faisaient. Leurs lourdes bottes noires claquèrent sur le sol. Jeanne sentit que son cul était palpé grossièrement et elle entendit ces mots effrayants.

- Mais avant que nous commencions, il y a toutes ces autres dames qui ont aussi une revanche à prendre. Elles veulent leur moment de plaisir. Après tout, c'est un juste retour des choses étant donné que tu leur avais donné à chacune une initiation anale à leur arrivée dans l'établissement. Mesdames ! Si vous voulez bien faire la queue ici et utiliser le lubrifiant ! Vous aurez toute votre tour ce soir ! Qui veut être la première ?

****

Juliette PORTIER se réveilla au chant des oiseaux et à la lumière du soleil qui passait à travers la fenêtre de la chambre dans laquelle elle était couchée. Elle sentait le savon et le parfum, ses cheveux étaient lavés et peignés. Elle eut l'impression de sortir d'un long rêve plein de cauchemars. Pendant un bref moment elle oublia ce qui s'était passé ces derniers mois, des horreurs qu'elle avait subies. Elle se sentait propre et revigorée.

Mais alors qu'elle roulait sur le côté et s'asseyait en somnolant sur le bord du lit, profitant des rayons de soleil qui chauffaient à travers la fenêtre à barreaux, sa mémoire revint lentement. Son esprit était embrumé comme si elle avait été droguée. Elle se frotta les yeux pour se réveiller. Elle regarda la pièce où elle se trouvait et elle pensa que ça la changeait agréablement de la cellule grise et terne de la prison. Mais la pensée de sa cellule la focalisa sur les barreaux de la fenêtre et elle commença à se méfier de cet endroit.

Elle glissa du lit et attrapa un peignoir en soie rouge qu'elle enfila et noua étroitement sur son corps avec la ceinture. Puis elle examina la chambre et essaya de tourner la poignée de la porte. Elle fut à moitié surprise quand elle céda facilement et s'ouvrit. Elle se retrouva dans un couloir. Entendant des bruits à sa gauche, elle les suivit pour savoir où elle se trouvait et ce qui se passait.

Son corps et son esprit étaient encore un peu endormis, mais à chaque pas, l'espoir montait en Juliette. Peut-être que finalement elle avait échappé à son sort funeste. Peut-être que tous les salauds qui avaient comploté contre elle s'étaient ravisés. Elle se rappela alors vaguement de la dernière nuit à la prison et de la gardienne costaude quand elle arriva dans la pièce où il y avait des bruits de cuisine.

Elle regarda par la porte et fut immédiatement entraînée par les mains d'un petit homme noir. Il la tira doucement vers la table et il la fit s'asseoir sur un banc en bois. Juliette essaya de parler à l'homme, mais il s'éloigna en débitant des mots dans une langue étrangère. Soudain, elle eut faim et elle remarqua l'assiette de fruits frais placée devant elle.

Quand elle eut fini de manger, elle leva les yeux et elle vit qu'elle était observée par une jeune fille hispanique habillée sexy. Cette jeune fille avait un regard sensuel, des cheveux noirs et bouclés tombant sur ses yeux et ses épaules. Elle mâchait du chewing-gum avec ardeur et elle fixait Juliette.

- Qui êtes-vous ? Où suis-je ? Qu'est-ce que cet endroit ?

La fille sourit, mais d'un sourire bien peu rassurant. Elle se dirigea vers Juliette et saisit sa main. Puis elle la conduisit vers une autre porte. Après l'avoir franchie, elles entrèrent dans une pièce jamais atteinte par le soleil. De la lumière sortaient par des néons et s'enroulaient autour de nombreuses fumées de cigarettes. Tout autour de cette salle, étaient disposés de grands canapés dépareillés et de couleurs criardes. Et sur ces canapés se trouvaient de nombreuses femmes hispanique ou sud-américaines dans divers stades d'habillement. Juliette était assez réveillée pour reconnaître des prostituées. Ces femmes l'étaient sans aucun doute, et dans un bordel à l'étranger.

- Où on est chérie ? Tu es en enfer bébé ! Tu es dans l'enfer des putes !

FIN