mardi 29 octobre 2024

Faire chanter sa superviseuse.

 Traduction d’un texte de Swimstar82 (inédit)

*****

- Salut Tasha ! Dit Jason en se dirigeant vers l’endroit où la superviseuse au centre aquatique surveille la grande piscine.

- Salut Jason ! Dit la femme, les yeux pétillants.

Tasha est mariée et a trois enfants. Elle est employée au centre aquatique depuis longtemps et elle est devenue la superviseuse du groupe de maître-nageurs. Jason ne peut s’empêcher de poser les yeux sur ses très gros seins.

- Es-tu prêt pour une journée de sauvetage ! S’exclame joyeusement la mère de famille.

Elle ne semble pas remarquer que Jason regarde toujours sa grosse poitrine.

- Ouais ! Avez-vous passé une bonne soirée hier ? Répond-il.

- C’était super ! Dit-elle en souriant de toutes ses dents blanches.

- Oui ça avait l’air ! Dit Jason en lui montrant son téléphone.

- Où as-tu eu ça ? C’était censé être privé ! Dit-elle en regardant l’écran du portable.

Elle vient de voir une photo d’elle dans un club. Elle montre ses seins nus. En vérité elle se souvient à peine de la nuit précédente.

- Je ne savais pas que ton mari était content que tu t’exhibes comme ça ! Dit Jason en sachant très bien que ce n’est pas le cas.

- Il ne le serait pas ! Suis-moi ! Répond-elle en regardant toujours l’écran du téléphone.

Jason suit Tasha dans l’un des vestiaires.

- Jason, il ne faut pas qu’il l’apprenne, s’il te plaît ! Supplie-t-elle.

Son air joyeux a disparu.

- Bien sûr ! Dit Jason.

Il se rapproche d’elle, puis pose sa main sur sa hanche, tâtonnant sur le tissu du maillot de bain une pièce. Il déplace ses doigts sur le devant de sa hanche et il glisse un doigt entre l’ourlet du maillot de bain et l’intérieur de sa cuisse.

- Jason… Dit-elle avant de s’interrompre.

Le garçon peut sentir sa bite devenir dure à l’intérieur de son short. Ça devient de plus en plus évident en quelques secondes

- Peut-être pouvons-nous conclure un accord ? Dit-il.

Il est debout devant Tasha et il place ses mains sur ses fesses pour la rapprocher de lui. Il peut sentir le parfum dans son cou alors qu’il presse son érection contre son maillot de bain.

- Quel accord ? Répond-elle à contrecœur.

Jason enfonce ses doigts dans ses fesses avant de tirer le dos du maillot de bain vers le milieu et de le soulever violemment pour créer u faux string. Tasha pousse un petit cri. Il le soulève à nouveau, mais plus fort cette fois.

- Aie ! S’exclame-t-elle.

Jason recule et détaille le corps féminin devant lui. Le devant du maillot de bain est rentré entre ses jambes, soulignant parfaitement sa chatte.

- Montre-moi tes seins ! Ordonne-t-il.

- Mais Jason… Je suis ta superviseuse… Essaie de plaider Tasha.

Après un silence, avec hésitation, elle retire les bretelles de ses épaules. Elle baisse le haut de son maillot de bain et son énorme paire de nichons rebondit. Jason fixe ses gros mamelons ronds et sombres. Il en attrape un et le titille. Puis il le pince en regardant son visage grimacer.

- Mets-toi à genoux ! Commande-t-il.

Elle obéit et s’agenouille, ses seins ballottant. Jason baisse son short et libère son érection. Tasha le regarde avec des yeux sombres, son visage à quelques centimètres de sa bite. Sans un mot, elle baisse les yeux et enroule ses lèvres charnues autour de la tige de chair.

Tasha le suce et elle s’applique. Elle bouge la tête d’avant en arrière, ses lèvres glissant de haut en bas le longe de la tige veineuse. Jason attrape une poignée de ses longs cheveux noirs et il s’enfonce profondément dans sa bouche. Il enfonce sa queue au fond de sa gorge et elle a des haut-le-cœur ainsi que du mal à respirer. Puis le garçon lui baise la bouche encore et encore.

Finalement il lui tire la tête en arrière. Le visage de Tasha est complètement défait, la salive coulant sur sa grosse poitrine. Le garçon la tire pour qu’elle se relève. Soudain il frappe violemment un sein.

- Aie ! Crie-t-elle une nouvelle fois.

Jason frappe l’autre sein et le regarde rebondir sur le côté. Puis il attrape ses tétons et les tire pour attirer son corps vers lui. Les tétons sont durs comme de la pierre.

Le jeune garçon la lâche alors et se dirige vers le mur où il prend un morceau de corde attaché à une bouée. Il revient vers sa superviseuse et commence à lui lier les mains devant son corps. Il saisit le haut du maillot de bain qui est maintenant sur ses hanches et il le fait descendre à ses pieds, révélant ainsi une chatte rasée et parfaitement lisse.

- Je parie que tu sais t’en servir ! Plaisante Jason en se tapotant les lèvres.

- Penche-toi sur le banc !

Tasha obéit et se penche sur un banc dans les vestiaires. Elle est les fesses nues en l’air tandis que Jason lui attache les mains et les bras au banc. Ensuite il passe derrière elle et lui gifle violemment le cul. Puis il recommence. Tasha gémit, sentant des marques se former sur ses fesses brûlantes et piquantes.

- Ecarte les jambes ! Dit Jason.

Elle obéit et écarte les genoux autant qu’elle le peut. Ses gros seins sont pressés contre le banc. Jason peut voir ses lèvres roses et humides par derrière.

- C’est à ce moment que deux autres maîtres nageurs entrent. Un homme et une femme.

- Jason, c’est quoi ce bordel ? Dit le gars.

- Vous arrivez juste à temps pour le spectacle ! Dit Jason en se mettant à genoux derrière Tasha, sa queue longue et dressée.

Sans un mot, les deux autres maîtres nageurs sortent leur téléphone et commence à filmer. Jason saisit brutalement les fesses de Tasha et avance ses hanches. Le bout de son gland touche les lèvres de sa chatte. Il regarde sa bite pousser et écarter les petites lèvres lisses. Il pousse en avant et sa queue commence à étirer le trou serré. Tasha halète en sentant la grosse bite de Jason la pénétrer. Elle ferme les yeux et se mord la lèvre inférieure. Elle a l’impression qu’il la déchire en deux.

- Tu as une chatte tellement serrée…

Jason sent bien l’ouverture serrer son manche alors qu’il s’enfonce en elle, durement et profondément. Tasha pousse un cri, sa chatte se contractant autour de la bite.

- C’est génial ! Dit la maître-nageuse en zoomant sur le visage de Tasha.

Jason agrippe les hanches de sa superviseuse en enfonçant ses doigts dans sa chair puis il commence à la marteler de plus en plus fort. Ses couilles frappent fort contre son clitoris sensible à chaque coup de rein. Tasha gémit de plus en plus fort, incapable de bouger. Son cœur bat à tout rompre. Elle crie de nouveau alors que la bite de Jason lui ravage la chatte.

Quelques minutes plus tard, le garçon se retire. La superviseuse est trempée, son jus intime coule à l’intérieur de ses cuisses et tombe sur le sol. Jason s’approche de son visage, lui tire les cheveux et enfonce sa bite humide dans sa bouche.

- Est-ce que ta chatte a bon goût ? Demande-t-il en lui baisant la bouche, étalant ainsi son rouge à lèvres sur tout son visage.

A ce moment, d’autres maître-nageurs arrivent. Ils regardent ou enregistre la scène sur leur téléphone. Jason retire alors sa bite de la bouche de la femme et il se replace derrière elle. Il lui gifle violemment le cul.

Puis il utilise ses deux mains pour écarter ses fesses alors qu’il presse son gland contre son cul. Jason grogne et gémit tandis qu’il essaie de faire glisser sa queue dans le cul de sa superviseuse.

- Allez ! Crie-t-il avec frustration.

Il fait glisser sa bite entre les jambes de sa proie pour la lubrifier avec le jus intime avant de réessayer. Ses doigts s’enfoncent dans la peau douce tandis qu’il tente d’écarter encore plus les fesses serrées. Puis il fait bouger ses hanches d’avant en arrière en espérant que sa queue va rentrer à un moment ou un autre. Il s’aperçoit vite que ça nécessite encore une certaine préparation.

Alors Jason enfonce deux doigts dans le cul de Tasha et les remue pour essayer de détendre le petit trou. Il retire se doigts et repositionne son gland contre son cul. Cette fois, le bout de sa bite transperce le cul serré. Un sourire triomphant apparaît sur son visage.

Il saisit fortement ses hanches et, avec un fort gémissement, il s’avance tandis que sa grosse queue glisse dans le cul serré. Sa bite et rouge et les veines ressortent sous la pression. Mais finalement, il est complètement en elle.

- putain ouais ! Crie-t-il en signe de victoire.

Il se retire à moitié et pousse ses hanches en avant, forçant sa bite à pénétrer le trou serré. Tasha halète et gémit bruyamment alors que Jason augmente l’intensité. Il commence à lui marteler le cul violemment, ses ongles s’enfonçant dans la peau douce des fesses pour se maintenir stable. Il grogne et frappe dur son cul. Il dégouline de sueur en l’enculant encore et encore.

Il se penche en avant et attrape une poignée des longs cheveux de Tasha. Il tire dessus, la faisant crier.

- Prends ça comme une bonne pute ! Crie-t-il en la sodomisant tout en lui tirant les cheveux.

Le sol sous Tasha est trempé de son jus. Les deux protagonistes gémissent de façon incontrôlable.

Finalement Jason ressent une accumulation au plus profond de lui. Il accélère son enculage. C’est à ce moment que Tasha sent tout son corps la picoter. Elle ferme les yeux alors qu’elle commence à trembler de façon incontrôlable. Elle se met à crier alors qu’un orgasme intense déchire son corps battu. Elle se tord d’extase alors que sa chatte et son cul se contracte durement autour de la bite de Jason. Celui-ci sort alors de son cul et s’enfonce dans sa chatte dégoulinante. Puis il éjacule, remplissant la grotte humide de longs jets de foutre chaud. Il continue à la baiser jusqu’à la dernière goutte.

Quelques instants plus tard, il sort sa bite ramollie de la chatte ravagée. Il voit qu’un autre maître-nageur a déjà enfoncé sa queue dans la gorge de Tasha.

- Quelqu’un veut prendre la place ? Demande Jason en haletant.

Deux autres gars viennent baiser Tasha, remplissant sa chatte de leur sperme. Un troisième vient l’enculer jusqu’à ce qu’il décharge en elle aussi. La maître-nageuse s’approche aussi, touchant sa chatte remplie de sperme et giflant son cul à plusieurs reprises avant de s’asseoir devant elle pour qu’elle lui lèche la chatte jusqu’à ce qu’elle jouisse sur son visage.

Enfin Jason détache sa superviseuse qui s’allonge sur le dos, les jambes bien écartées pour se reposer. Tout le monde voit le foutre s’écouler de sa chatte et de son cul. Un dernier maître-nageur s’installe sur son torse et met sa bite entre ses deux énormes seins. Il se branle avec ses nichons puis lui éjacule sur la poitrine et le visage pendant que les spectateurs l’acclament.

Ensuite, tout le monde repart pour rependre leur travail.

Tasha se lève, épuisée. Elle a l’impression d’avoir de la gelée dans les jambes. Si c’est ce qu’elle a reçu pour avoir montré sa poitrine lors d’une soirée, elle se dit qu’elle devrait le faire plus souvent.

FIN.

dimanche 27 octobre 2024

Qui suis-je vraiment - Ch. 07

Récit de Realbluetit (2013)

*****

Des actes bien contre nature pour la bourgeoise Laurence.

A nouveau mon amant a disparu de la circulation. Peut-être pour me laisser le temps de souffler, mais j'en doutais. Je conjecturais plus sur son caractère machiavélique à savoir me laisser ressasser ce que j'avais osé faire, et de fait échauffer mon imagination sur ce qui risquait de m'attendre. Situations auxquelles j'allais inévitablement répondre positivement vu la cochonne que j'étais devenue.

Concrètement et en attendant l'appel inévitable de mon homme, j'en profitai pour retourner voir l'esthéticienne qui m'épila mon sexe comme le souhaitait mon amant.

Une fois arrivée, son regard autoritaire et froid me glaça à nouveau le sang. Je n'arrivai pas à la regarder en face plus de cinq secondes. Elle s'en rendît compte, et réagit par un petit sourire en coin malicieux. Elle me fît alors rentrer dans un des salons. La porte fermée, elle m'interpella :

- Comme la dernière fois, Madame veut avoir son minou tout lisse ?

- Oui, s'il vous plaît !

- Alors mettez vous à poil tout de suite !

- Euh... cela ne se fait pas trop de parler comme cela aux clientes... Et euh... je ne vous permets pas d'ailleurs d'être aussi malpolie.

- A bon, alors j'ai du me tromper sur votre compte. Eh bien, vous n'avez qu'à allez voir une autre esthéticienne qui acceptera de vous faire cela avant que votre petit chéri vous revoit.

Je ne m'attendais pas à ce genre de propos, et en réfléchissant quelques instants, je compris qu'elle avait sûrement raison. Mon amant en effet n'apprécierait guère de me voir à nouveau poilue. Je baissai la tête et commençais à me dévêtir. Cette « renonciation » fît sourire l'employée.

- C'est bien ce que je pensais, on aime plus que plaire à son homme, on est totalement sous sa tutelle. N'est ce pas ?

- Euh... et bien je ne sais quoi répondre... Oui, je l'aime éperdument au point de faire ce qu'il me demande.

- En clair Madame la bourgeoise est une bonne salope quand Monsieur lui ordonne !!!

- Vous ne pouvez pas dire cela !

- Je vais me gêner. Ou tu prends la porte ou tu fais ce que je te dis. Bon presse toi, que décidess-tu ?

- Euh... en fait...

- Tu vas répondre ?

- Euh... euh... C'est bon, c'est bon, je reste !

- Non ce n'est pas si bon que cela. Vu ton comportement, on va fixer quelques règles toutes deux.

- Quoi ?

- Eh bien faisons comme s'il m'avait délégué ses pouvoirs. Couche-toi et écartes bien les jambes que je mate ton sexe poilu.

- Mais...

- Allez grouille-toi, je suis sûre que je ne suis pas la première à l'avoir vu ton minou et pas seulement pour une épilation ou une visite médicale. N'est ce pas ?

- Euh... eh bien... en fait...

- Fais pas ta minaude, allez accouche !!!

- Oui je me suis déjà exhibée devant des inconnus.

- Et bien tu vois quand tu veux... Bon pour m'avoir fait attendre, tu vas écarter tes lèvres.

Comme elle l'exigea je m'allongeai sur la table et écartai mes jambes pour lui faire admirer mon sexe. Mais d'un regard ferme et explicite, je n'eus pas le temps de négocier et dus, avec mes doigts, écarter mes lèvres roses afin d'exhiber mon antre. Sans attendre elle passa son pouce entre ces dernières et me fît admirer son état luisant ensuite pour clairement souligner mon état d'excitation. Malgré moi, je piquai un fard ce qui ne passa pas inaperçu.

- T'aime cela qu'on te rabaisse ! Regarde, tu mouilles dès qu'on t'oblige à écarter les jambes. Tu n'es vraiment qu'une petite chienne en chaleur. Bon, vu que tu mouilles abondamment, je ne vais pas t'épiler mais te raser...

- Comme vous le souhaitez !

- Oui, mais pour faire des économies, je ne vais utiliser aucune mousse à raser. Je vais juste t'enduire de ta mouille abondante en guise de crème.

- Non je vous en prie !

- Arrêtes de maugréer, tu n'attends que cela !

Sans attendre et tenir compte de mes plaintes elle commença à titiller mon clitoris, puis à me pénétrer de ses deux doigts précédemment gantés pour me faire lubrifier. Elle fit aller et venir ses doigts rapidement dans mon vagin. Je commençai à haleter tellement cette esthéticienne manipulait avec expertise les moindres parties de mon sexe. Une profonde chaleur commença à envahir tout mon corps, mais la jouissance qui normalement doit suivre n'arriva point. En effet, ma tortionnaire coupa court la masturbation et badigeonna mon bas-ventre. J'étais frustrée, mais elle ne prît pas la mouche pour autant.

- Je ne suis pas payée pour branler les clientes. En tout cas Madame fait moins de convenances maintenant. On dirait même qu'elle en redemande. Je me trompe ?

- Comment osez-vous dire de telles absurdités !

- Comment ? Réponds à ma question honnêtement ou je te vire de ma boutique manu militari dans le plus simple appareil.

- Non !! En fait oui, je vous réponds.

- Exprime-toi !!!

- Euh vous avez raison. J'allais prendre du plaisir et vous vous êtes arrêtée au meilleur moment.

- Tu n'es vraiment qu'une salope. Passons au rasage donc !!!

Elle prit le rasoir, y mît une lame neuve, et démarra le rasage par le haut de mon pubis. A chaque passage je sentais le feu du rasoir relancer mon excitation.

Elle poursuivît en passant la lame le long de mes lèvres. Son expertise lui permît de répéter ces mouvements avec une extrême rapidité sans me blesser. Une fois terminée j'étais au bord de l'extase sans toutefois franchir la frontière invisible me barrant la jouissance.

- Bon on va passer à ton derrière. Tu vas te mettre à quatre pattes par terre et écarter tes fesses pour que je puisse te nettoyer de ce côté aussi.

- Mais pourquoi par terre ?

- Par ce que c'est ta place tout simplement.

- Mais...

- Il n'y a pas de mais qui aille !!!

Elle accompagna ces mots en tirant fortement sur mes lèvres nouvellement lisses. Elle n'eût pas besoin de me répéter le message et je m'agenouillai le plus rapidement possible sur le carrelage glacé.

Sentant que je n'aurais aucune pitié de sa part, je pris immédiatement mes globes fessiers entre mes mains et les écartai afin d'admirer ma raie. La position était fortement inconfortable, et mes abdominaux ne me permettaient pas de garder mon torse parallèle au sol. Epuisée après une minute ainsi, je m'affalai et écrasai mon front sur le sol.

Sans attendre plus longtemps elle étala une fine crème blanche sur cette zone devenue fortement érogène et passa avec autant de dextérité la lame. Le résultat fut une fille totalement imberbe prête à donner ses trous à son amant. Mais en fait, la première personne à en profiter fût l'employée qui m'appliqua une base hydratante. Produit qu'elle utilisa pour me forcer l'œillet à l'aide de son index.

Une fois mon anus acclimaté, elle entama des mouvements vifs. La douleur initiale s'atténua et laissa place au plaisir que je connaissais si bien maintenant. Pour s'assurer de ma capitulation totale, l'esthéticienne prît de son autre main mes lèvres roses entre son pouce et son index. C'est alors qu'elle les frictionna l'une à l'autre.

M'ayant laissée sur ma fin quelques minutes plus tôt, j'eus vite fait de succomber à ce traitement et je me mis à glousser. J'étais vaincue.

- Tout ceci mérite un pourboire. Non ?

- Oui je le pense. Je vais me rhabiller d'abord.

- Pas la peine, je veux un pourboire spécial.

De ces deux mains elle dégrafa les trois boutons du bas de sa blouse et empoigna les deux parties pour les relever illico. Le spectacle était inédit pour moi. Sans aucun dessous, je pus admirer un sexe féminin taillé finement en forme de panneau de signalisation triangulaire indiquant un danger.

Mes dernières résistances s'évanouirent, je m'approchai donc de son pubis et me mis à le caresser doucement avec la paume de ma main. Toutefois, ces délicatesses ne suffirent pas et d'un geste autoritaire elle m'intima l'ordre d'appliquer désormais ma bouche et ma langue sur sa vulve.

De petits bisous en baisers plus langoureux, j'en vins à passer ma langue sur ses lèvres. C'était étrange pour moi de lécher les parties intimes d'une femme. Je connaissais si bien cette anatomie et les endroits à caresser pour faire monter le plaisir, toutefois je me décidai à la faire languir tout comme elle l'avait fait pour mon cas.

Je suçai son clitoris puis j'aspirai ses lèvres pour enfin pénétrer son vagin avec ma langue. Ce traitement appliqué pendant cinq minutes la fît chavirer. Elle m'en gratifia en déversant sur mes lèvres son liquide vaginal que je tétai sans contrainte. La tête froide, elle remît sa blouse en ordre puis m'enjoigna de me rhabiller moi aussi.

- Voici ma carte, tu la donneras à ton homme. Peut être sera-t-il intéressé pour que je te fasse ton éducation homosexuelle.

- Je la lui donnerai !

- Au fait pour le retour, pas besoin de culotte !

- Mais il fait très froid dehors.

- Ca te maintiendra éveillée.

C'est donc cul nul que je rentrai chez moi, prête à m'exhiber intégralement quand mon maître pourrait me l'ordonner.

 *****

Cela se produisit une semaine plus tard.

Un soir, sur les coups de 18H00, Nietzsche m'appela pour passer la soirée ensemble. Ce qui m'intrigua tout particulièrement fût le fait que Nietzsche me laissa libre des vêtements que je devais porter.

J'optais donc pour des bas auto-fixants assortis d'une culotte Tanga en dentelle. Comme cela je respectais le contrat tacite avec mon amant mais je me donnais un peu de liberté par rapport aux règles strictes de mon maître. Par-dessus, je me décidai de porter une robe souple et longue mais ouverte devant jusqu'au genou du fait des boutons laissés défaits. Cette robe allait d'autant plus le charmer qu'au-delà de mes hanches elle épousait particulièrement mon corps et de fait mes seins. Cela soulignait par là même le soutien-gorge noir en dentelle qui les retenait.

Une fois habillée, je descendis donc laissant mon enfant dans les mains de sa nounou favorite.

En attendant dehors sur le trottoir je compris que la liberté donnée par mon maître ne m'avait pas fait choisir pour autant la tenue la plus confortable, mais une tenue bien sexy pour la saison. En effet je sentis l'air glacial s'infiltrer entre mes jambes, me rappelant quelle nouvelle femme j'étais devenue.

Sur ces réflexions il arriva et stationna à quelques mètres de moi. Il prît alors la peine de sortir de la voiture pour m'ouvrir la porte. Il me demanda seulement de remonter ma jupe afin que mes fesses soit à même le siège. Sans rechigner je remontai immédiatement le tissu, lui laissant admirer mes jambes gainées jusqu'à mi-cuisse ainsi que ma fine culotte. Sans un mot et sans me laisser le temps de m'asseoir, il prît le bout de dentelle remontant de mon entrejambe et le tira d'un coup sec afin qu'il s'immisce dans mes fesses et ma vulve. J'eus un sursaut mais ne réprouvai pas le geste. C'est donc le bas-ventre cisaillé que je m'installai dans la voiture.

Remonté à son tour dans l'automobile, il démarra et se dirigea vers Paris.Il m'ordonna :

- Remonte ta jupe pour dévoiler le haut de tes bas aux passants.

Je respectai ses ordres à la lettre et d'un mouvement lent je rehaussai le tissu jusqu'à la lisière des bas. Le noir tranchait d'autant plus avec la blancheur de mes cuisses. Le fait de respecter sans mot dire ses demandes, le satisfit pleinement. Il en profita alors pour entamer la discussion.

- Je ne t'ai pas trop manqué Laurence  ?

- Si, un peu... même beaucoup Nietzsche !

- En attendant que nous arrivions je veux que tu écartes tes jambes et que tu te caresses.

- Mais où allons-nous ?

- Surprise !!!

Ne cherchant pas en savoir plus je commençai à me caresser dévoilant entre çà et là ma culotte aux voyeurs occasionnels ou à deux motards chanceux.

- Mais tu t'es épilée ! Je t'en remercie.

- Oui et l'esthéticienne a tenu à ce que je vous donne sa carte de visite pour que vous la contactiez si vous souhaitez parfaire mon éducation entre femmes.

- Parce que tu as eu une relation lesbienne.

- Euh oui elle m'a forcée.

- Te connaissant elle n'a pas eu grand mal... Et je suis sûr que tu as aimée te faire bouffer la chatte ou l'inverse.

Bien visé comme d'habitude, je baissai donc les yeux avouant ostensiblement ma faiblesse.

Nous arrivâmes après 20 minutes de route devant une petite boutique aux vitres fumées. Il me fît rentrer dans ce magasin dont le propriétaire la cinquantaine aux cheveux grisonnants semblait nous attendre.

- Bonsoir, je vous présente Laurence, ma compagne.

- Bonsoir Monsieur, bonsoir Laurence. Que recherchez-vous ?

- Je cherche une tenue pour révéler ses charmes cachés mais aussi un vêtement qui puisse disparaître d'un seul geste.

- J'ai ce qu'il faut pour vous je crois !

Sur ces entrefaits il partit dans la remise chercher le dit objet. Passé la joie d'entendre Nietzsche me nommer sa compagne, je fus refroidie par l'objet qu'il souhaitait m'acheter. Mais je compris vite que le magasin était spécialisé dans ce domaine. Entre le cuir et la transparence, il y avait peu de place pour le pull col roulé en laine. De retour, il me tendit le vêtement à essayer. Je cherchai vainement la cabine d'essayage quand le vendeur me dît :

- Si vous cherchez une cabine d'essayage, il n'y en a pas ici.

- Tu ne vas pas faire ta mijaurée maintenant. Mets-toi à poil ici ! Dit Nietzsche.

Je me dénudai donc sous leur yeux défaisant un à un les boutons. Je ne devais pas aller suffisamment vite car mon amant écarta vigoureusement les pans de ma robe et tira dessus pour qu'elle tombe à mes pieds. Le vendeur bras croisé se régala de la brusquerie avec laquelle Nietzche m'avait dessapé. Son regard en fût d'autant plus avide à mon encontre.

Un peu déboussolée, je me penchai en avant pour enrouler un à un mes bas. Dans un telle posture, le vendeur prît alors la liberté de passer la main sur mes fesses puis brusquement agrippa mon Tanga pour le descendre au niveau de mes mollets. Je tentai de me relever mais mon mouvement fût immédiatement refreiné par Nietzsche.

- Tu ne bouges surtout pas, laisse-toi faire, sinon tu auras droit à une belle fessée.

- Quel beau cul, cela donne envie de le manger ! Dit le vendeur.

- Ne vous gênez pas. Elle adore cela.

Sans autre mot il se mît alors à écarter mes globes fessiers pour insérer sa langue dans mon intimité. Je ne bougeai plus, sentant la honte me gagner mais aussi l'excitation avec cette langue titillant ma vulve puis mon anus. Cet homme était un expert dans les caresses buccales, mais il devait s'en douter car je sentais mon sexe s'humidifier rapidement. C'est à ce moment qu'il sortit son visage de mes fesses, pour le remplacer immédiatement par son sexe qu'il avait avec dextérité libéré prestement de son pantalon.

Son pénis n'eût dès lors pas de mal à rentrer dans mon vagin. Toujours courbée je sentis très rapidement son ventre frapper mes fesses. Ses mouvements étaient fermes mais délicieux, il emplissait une bonne partie de mon vagin, quant à son bout il frappait à chaque fois mon utérus. Oui c'était exquis et j'espérai que cela dure le plus longtemps possible.

Mais Nietzsche ne l'entendais pas ainsi et m'indiqua qu'il était temps travailler un peu, en d'autres termes de le sucer pendant que le vendeur me pénétrait de plus en plus vigoureusement.

Avec les coups de butoir du vendeur je m'empalai littéralement contre le sexe déjà bien ferme de mon amant. Ce dernier pour affirmer sa position de dominant enserra alors ma tête de ses mains pour imprimer la vitesse à laquelle je devais pratiquer mes caresses buccales.

En fait quand le vendeur se retirait de mon vagin, je m'occupai du bout turgescent de Nietzsche en passant la langue brièvement dessus. Et quand il me pénétrait j'avalai la hampe jusqu'à son pubis. J'étais prise des deux côté tel un poulet au tournebroche. Cette situation qui naguère m'aurait choquée était devenue une position génératrice de plaisir.

La jouissance vint rapidement mais elle n'arrêta point mes acolytes qui me forcèrent à m'agenouiller pour recevoir leur semence sur le visage.

- Merci Laurence. Tu peux te nettoyer en mangeant le savoureux liquide que tu as sur ton visage. Dit Nietzsche.

- Tu as l'air bien gourmande je suis sûr que tu ne laisseras aucune miette. Ajouta le vendeur.

Passant mes mains sur mon visage je recueillis la dite substance et passai la langue pour pouvoir l'avaler. Pour finir ils passèrent un mouchoir afin de faire disparaître les dernières traces de leur éjaculation.

- Laurence. Mets maintenant la robe. M'ordonna Nietzsche.

Sans aucune pause, je me relevai et essayai le vêtement présenté. Le vendeur dit :

- Comme vous le voyez elle est suffisamment transparente pour que l'on devine ses dessous, en particulier à contre-jour.

- Oui je vois çà. Cela me plaît tout à fait.

- Vous voyez cette accroche en haut ?

- Oui je vois.

- Dégoupillez-la !

En un dixième de seconde, la partie avant de la robe s'affaissa dévoilant mon soutien gorge. Un rectangle de 10 cm de haut et de la largeur de mon corps avait disparu rendant cette robe très impudique.

- Alors qu'en dites vous ? Demanda le vendeur.

- J'adore, en plus elle lui va comme un gant.

- Attendez ce n'est pas fini.

- A bon ?

- Regardez cette cordelette.

- Oui.

- Tirez dessus d'un coup sec.

Sans que j'ai eu le temps de réagir la robe se releva tel un rideau de théâtre jusqu'au haut de mes cuisses. Mais comble de l'exhibition en son centre le tissu remontait au dessus de mon sexe.

- Je n'ai qu'un mot... Bravo. Je l'achète.

- Je vous conseille avec cela une guêpière en cuir.

- Pourquoi pas.

Ils me firent par conséquent essayer cette guêpière qu'ils serrèrent au maximum enserrant ma taille et remontant mes seins de sorte qu'ils renforcent la convoitise des mes admirateurs.

Une fois expliqué comment la robe pouvait être remise dans sa position sobre je dus me déshabiller pour remettre mes vêtements précédents. Nietzsche coupa mon geste et m'indiqua que le seul vêtement que je devrais porter pour sortir était son manteau en laine mais non fermé bien sûr afin de faire admirer ma nudité. Son geste fût apprécié à sa juste valeur par le vendeur qui proposa de me faire bénéficier de prix préférentiels si je revenais vêtue ainsi.

Je sortis donc ainsi et d'un pas rapide atteignis la voiture. Au moment de m'ouvrir, Nietzsche demanda de lui redonner son vêtement. Totalement nue, les seins tendus en raison du froid je m'installai dans la voiture toujours honteuse de la tenue dans laquelle j'étais mais aussi apeurée par la suite des évènements qui m'attendaient.

A suivre...

vendredi 25 octobre 2024

Droit de cuissage.

Texte de IcedSugar (2010)

*****

Je m’appelle Marine. Je suis mariée, mère d’une ravissante petite fille de sept ans. On me dit plutôt jolie et mon mari, Patrick, ne tarit pas d’éloges sur ma chute de reins à damner un saint. Lui est plutôt bel homme. Sexuellement, ça marche bien entre nous et je n’ai jamais cherché à voir ce qui se passait ailleurs bien que je soupçonne mon homme d’avoir à plusieurs reprises, donné quelques coups de canif dans notre contrat de mariage.

Je n’avais jusqu’à présent jamais parlé à quiconque de ce que je me propose de vous raconter maintenant. Même mon mari n’est pas au courant, même si, à plusieurs reprises, à mots couverts, j’ai essayé de le lui faire comprendre la situation.

Je travaille dans une grande administration où j’occupe un poste à responsabilité. Dernièrement, un nouveau directeur, genre premier de la classe, a débarqué dans nos murs. Il avait l’air de m’avoir à la bonne et du coup, je ne manquais jamais de lui rendre ses sourires.

Ce soir-là, je m’apprête à quitter mon bureau comme d’habitude très tardivement lorsque mon téléphone sonne. C’est le nouveau directeur qui me demande de passer à son bureau aussi rapidement que possible.

Pour moi, la hiérarchie ça veut dire quelque chose, aussi, sans réfléchir à l’heure on ne peut plus tardive, je me présente aussitôt devant sa porte. Il me fait entrer, puis me demande ou plutôt m’ordonne de relire un document de travail que je lui ai fait parvenir dans la journée.

Le ton de sa voix est sans appel aussi je lui obéis sans même réfléchir. Je me dirige vers la table de travail pour commencer ma lecture et chercher ce qui cloche, ne faisant pas attention à ce qui se passe derrière moi.

Tout à coup, je le sens tout près, derrière moi. Avant même que je n’ai le temps d’esquisser le moindre geste, il me plaque contre la table et d’une main, me force à me pencher en avant, torse à même la table.

Je sens immédiatement à sa poigne qu’il est beaucoup plus fort que moi et qu’il est inutile de tenter une épreuve de force avec lui. Je le laisse me plaquer sur la table comme il en a envie puis, tandis qu’une de ses mains, me parcourt les reins, je lui demande :

— Qu’est-ce que vous faites ? vous n’allez quand même pas me violer ?

Il ne répond pas mais sa main passe sous ma jupe pour parcourir lentement le galbe de mes fesses, ce qui me fait frissonner malgré moi. La rapidité, mais surtout l’inconcevabilité de cette situation, me font perdre mes moyens. D’un geste, il soulève ma jupe sur mes reins pour découvrir mes fesses au milieu desquelles doit disparaître la minuscule ficelle de mon string.

Tout de suite, ses cuisses se plaquent contre mes fesses, me faisant réaliser qu’il s’est débarrassé de son pantalon, mais peut-être l’avait-il déjà enlevé alors qu’il me téléphonait. Cette constatation m’envoie illico une décharge d’adrénaline à la base de mon cerveau. Un nouveau grand frisson me parcourt la colonne vertébrale pour finir dans mon bas-ventre.

Je sens maintenant la puissance de son désir de me posséder appuyé contre mes fesses. J’essaie de le raisonner, car dans quelques secondes, je sais que je vais sentir son gland se frayer un chemin entre mes lèvres intimes.

Bizarrement, au lieu de paniquer, de crier, hurler, pleurer, me débattre, je sens l’excitation me gagner, me remuer les tripes jusqu’à me faire mouiller contre ma volonté.

Sans un mot, il écarte la ficelle de mon string, puis, à petits coups de reins, il cherche nerveusement l’entrée de ma chatte que je sais déjà mouillée à souhait. Je me tortille pour l’empêcher de me pénétrer, mais sa queue est déjà bien calée entre mes fesses.

Je passe mes mains derrière mon dos pour essayer de le repousser, mais il réussit à les attraper puis les bloquer avec une seule main sur mes reins. Dès lors de sa main libre, il cherche l’entrée de ma vulve pour mieux y glisser sa queue que je sens en pleine érection. S’apercevant de mon excitation il me souffle :

— Arrête de faire la mijaurée, ta chatte parle pour toi, t’es trempée !

Ses paroles me brisent net dans mon dernier élan de résistance. C’est vrai, je sens que ma chatte est inondée et le doigt qu’il a plongé dans mon intimité s’en est vite rendu compte.

Vaincue, je me laisse retomber sur la table ce qui lui permet de m’ajuster tranquillement. En deux secondes, son gland posé dans l’entrée de ma vulve me pénètre lentement mais sûrement. Son ventre bute déjà contre mes fesses. Il pousse un soupir de satisfaction :

— T’es trop bonne. Je crevais d’envie de te la mettre dès la première fois que tu es entrée dans mon bureau !

J’avais cessé toute résistance devenue inutile. Il était planté dans ma chatte jusqu’à la garde et commençait à coulisser nerveusement entre mes fesses.

— T’as un cul magnifique !

Ses mains, qui jusqu’à présent n’avaient servi qu’à m’immobiliser, parcourent maintenant mon corps, allant de mes fesses à mes reins en flattant mes flancs. Ses va-et-vient dans mon intimité trempée émettent des bruits insupportables de lubricité, me rappelant que je suis en train de me faire mettre par un homme qui n’est pas mon mari.

Lui n’en a que faire de mes états d’âme. Il me ramone en profondeur, m’arrachant des soupirs bien malgré moi. Ses mains posées sur mes fesses les écartent sans retenue. Il se rince l’œil le salaud. Peut-être a-t-il envie de me sodomiser comme la plupart des hommes qui m’ont possédée. Je le laisse faire, docile.

Au point où nous en sommes, mon image de femme respectable en a pris un sérieux coup. Un de ses doigts me flatte maintenant l’anus. Il entre, ressort, rentre encore, ressort pour tout à coup plonger jusqu’à la garde en tournant sur lui-même pour m’ouvrir un peu plus. Je pousse immédiatement ce qui le fait plonger encore plus profond dans mon intimité.

— Tu aimes ça, on dirait.

Je ne réponds pas. Mon cul parle de lui-même, lui aussi. Je sens qu’il s’ouvre au rythme des contractions de plaisir que je ne manque pas de ressentir. Un deuxième doigt rejoint le premier pour une joyeuse sarabande dans mon fourreau culier. Je l’accueille avec les mêmes égards. Mon violeur en est « baba ». Il sent que je suis prête à recevoir sa bite entre mes fesses.

— Je peux ?

Sans attendre ma réponse, le voici déjà en train de se retirer de ma chatte pour pointer devant ma petite porte, sa queue raide d’excitation. Avant même que je n’ai le temps de sentir sa poussée sur ma pastille, il s’enfonce sans hésiter, en terrain conquis.

C’est seulement à ce moment que je laisse échapper un râle de plaisir. Mon enculeur n’est pas dupe. Il sait que c’est ce que je préfère. Mon mari, à mon grand désespoir, ne m’encule pas souvent pourtant, ce n’est pas faute de le lui avoir demandé.

— Bourre-moi. Casse-moi le cul. Je vais jouir si tu t’y prends bien.

— Tes désirs sont des ordres, ma chérie.

Joignant le geste à la parole, mon violeur s’agrippant à mes hanches, s’enfonce inexorablement entre mes fesses. Je le sens progresser en moi. Ça m’excite un max de me sentir prise par-derrière. Je me sens chienne, soumise, à la merci du dard qui me pourfend. L’humiliation suprême. Le plaisir est dément, pile au rendez-vous. Je l’agresse maintenant verbalement.

— Plus fort, plus vite. Fais-moi sentir ta bite dans mon cul. Domine-moi !

Mes paroles semblent le désarçonner quelque peu, mais il continue à plonger en moi sans ménagement, m’amenant inexorablement vers un orgasme dévastateur. Je glisse ma main sous mon ventre pour débusquer mon clito en pleine effervescence. A peine deux ou trois frottements appuyés et me voilà partie pour le grand voyage. J’explose en silence mais mon baiseur ne se laisse pas surprendre. Il redouble d’effort en me soufflant :

— Oui, vas-y ! jouis, laisse-toi aller, jouis ma belle !

La jouissance a été longue et puissante. Épuisée, je me laisse à nouveau retomber à plate poitrine sur la table de baisage du grand patron. Lui accélère ses mouvements pour exploser à son tour dans mon postérieur. Il se bloque tout au fond, pour déverser en moi sa semence.

Je préfère ça plutôt qu’il m’éjacule sur les fesses ou le dos comme certains hommes adorent le faire en dégueulassant nos vêtements. Ses spasmes sont puissants, il me met la dose, c’est sûr. Il prend son pied dans mon cul le salaud.

— Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C’est trop bon !

La fête est finie. On reste un moment accouplé, lui figé dans mon cul, moi dans une position de femme soumise, les bras en croix sur la table des sacrifices. J’ai envie qu’il me libère rapidement, mais il semble apprécier les lieux et l’emprise qu’il a sur moi. Enfin, il se penche en avant pour m’embrasser tendrement le haut de l’épaule puis, il se dégage avec un bruit qui m’exaspérera toujours.

L’homme se rajuste, passe derrière son bureau pour enfiler son pantalon laissé au pied de son fauteuil puis revient vers moi, souriant, charmeur.

— J’ai adoré te faire l’amour. Merci Marine c’était vraiment trop bon.

— Au risque de vous déplaire Monsieur, ce que vous venez de faire c’est tout bonnement un viol, un simple viol, mais je reconnais avoir pris mon pied comme cela m’arrive peu souvent la première fois avec un inconnu.

— J’ose espérer que tout cela restera notre petit secret ?

— Je ne sais pas encore. J’y réfléchirais !

Le lendemain de cette soirée, je reçus un disque vidéo sur lequel on voyait une séquence de nos ébats soigneusement sélectionnée. J’y apparaissais à plat ventre sur la table de travail en train de me faire sodomiser par mon patron tandis que je l’encourageais d’une voix déformée par le plaisir.

Depuis, consciente de l’emprise qu’il a sur moi, il me fait venir dans son bureau presque tous les jours que Dieu fait, pour me baiser et surtout s’occuper de cette partie de mon anatomie que j’aurais tant aimé qu’elle intéresse un peu plus souvent mon mari. Peut-être est-ce d’ailleurs la véritable raison qui me font accepter ce droit de cuissage que d’aucun pense qu’il n’existe plus.

FIN

mercredi 23 octobre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 10

Texte de Ricki Black (2012)
*****

Confessions de Pierre, le futur beau-père.

J’arrive devant la maison des futurs beaux parents de mon fils, il est 19 heures et j’ai rendez-vous avec Pierre le père. Il est comptable dans une petite PME et d’une nature effacée face à sa femme et aux personnes en général.

Alors que j’avais abusé de Martine, Pierre avait fait une réflexion tout à fait justifiée, j’avais intentionnellement provoqué Pierre en lui imposant une rencontre avec lui et Martine chez eux pour en discuter.

Je sais qu’il est seul et j’ai demandé hier à Martine d’arriver vers 20H00. Ça tombe bien, car elle est au cheval ce soir.

Mon objectif est d’amener Pierre à être dominé par sa femme. J’ai réparti les rôles avec Martine, elle restera la femme dominatrice et exigeante et moi je vais jouer le mec à l’écoute, compréhensif et de bons conseils.

Je sonne, Pierre vient m’ouvrir et m’invite à entrer, il m’informe que Martine arrivera plus tard. Nous entrons dans le salon et il m’invite à m’asseoir dans le canapé. Il y a deux verres sur la table basse et Pierre me demande si je souhaite boire un verre. Je le sens très stressé et il a besoin de s’occuper pour ne pas le laisser paraître. Il me sert un whisky avant de s’installer face à moi dans un fauteuil.

- Michel, je tenais avant tout à m’excuser pour mon comportement de dimanche, j’avoue que lorsque je vous ai vu arriver ensemble, Martine avait l’air tellement épanouie à vos côtés que j’ai vu rouge. En fait Michel ce n’était pas contre vous, mais je suis très attaché à ma femme et je ne supporterais pas de la perdre

Je m’installe confortablement dans le canapé et prend mon temps pour répondre à Pierre. Je trouve que ça débute bien puisqu’il commence par s’excuser.

- Mon cher Pierre, j’accepte vos excuses, mais si je peux me permettre, je pense que c’est plus votre comportement très en retrait voire soumis, qui peut être dangereux pour votre couple, non ?

Pierre baisse les yeux avant de me répondre.

- Oui vous avez raison, je la sens d’ailleurs se détourner de moi depuis quelques mois, mais je n’y peux rien, je suis comme ça et j’aime son tempérament supérieur et je dois vous l’avouer, j’aime lorsqu’elle m’humilie.

Je suis étonné par la réponse de Pierre qui me livre aussi franchement un tel secret.

- J’imagine que ce doit être difficile de parler de cela et j’apprécie que vous me fassiez suffisamment confiance pour me l’avouer, Ce doit être un vrai problème dans vos relations intimes ?

Pierre est un peu plus en confiance et me répond :

- Oui, nous n’avons presque plus de relation ensemble et ça accroît mes peurs de la voir m’échapper.

- Mais pourquoi cette attitude soumise, comment pouvez-vous expliquer un tel comportement ?

Pierre boit d’un seul trait son verre et se positionne au fond de son fauteuil.

- Oui je peux, vous me semblez un homme sincère ,puis-je vous faire confiance ?

Je lui réponds qu’il n’a aucune crainte à avoir.

*****

Très bien… Mon histoire commence dès mon plus jeune âge. Mes parents étaient catholiques très pratiquants. Mon père nous a abandonné. Il a quitté ma mère pour une jeune femme. Ma mère ne s’en est jamais relevée, elle est tombée en dépression et est devenue plus dure. Elle continuait à fréquenter l’église régulièrement. Alors que j’étais ado, j’ai découvert la masturbation par le plus grand des hasards sous la douche. Voir ce liquide blanc gicler de mon gland fut une très grande surprise et une découverte très agréable. J’ai commencé alors à me caresser régulièrement, le soir lorsque j’étais couché. Un jour allongé nu sur le lit, les draps retroussés, je m’astiquais et j’étais au bord de l’orgasme, quand ma mère surgit dans la chambre. La honte me monta aux joues alors qu’elle me hurlait dessus :

- Lève-toi petit vicieux !

Je me suis levé, nu face à elle qui me toisait de son regard furibond. Elle saisit ma verge qui ramollissait dans sa main. Le contact de sa main chaude fit repartir mon érection. Voyant ça, ma mère m’envoya une gifle énorme. Et soudain sans pouvoir le contrôler, la conjonction de la douleur et de la main de ma mère, me fit éjaculer sur son poignet.

- Petit salaud tu m’a giclé dessus !!! Je suis ta mère et tu m’as giclé dessus comme si j’étais une de ces nanas qui se montrent nues pour les petits branleurs dans ton genre.

Elle enserrait ma bite tendue avec force et j’aimais cette douleur, ce qui avait pour effet de maintenir mon érection.

- Je t’interdis de bander devant moi et de te branler, c’est péché de faire ça !

Puis elle lâcha ma queue pour me tendre sa main m’obligeant à la nettoyer avec ma langue. Je dus lécher mon sperme qui souillait la main de ma mère. Puis elle quitta la chambre en me demandant que cela ne se reproduise plus.

Enfoncé dans mes draps alors que j’entendais encore ses pas s’éloigner, je saisis ma queue raide et jouis une nouvelle fois avec une vigueur encore inconnue jusqu’alors.

******

Je regardais Pierre et essayais de ne pas montrer mon étonnement. Pour le tranquilliser et qu’il continue son histoire, je lui confie que moi aussi j’avais été surpris par ma mère en pleine masturbation et que j’avais eu la honte de ma vie. Pierre repris, presque sans faire attention à mon commentaire, il est comme en transe.

*****

Ma mère était une assez belle femme, assez ronde, des beaux seins lourds et tombant, des hanches saillantes et arrondies, des fesses larges et généreuses. Depuis cette aventure, mes envies de me branler étaient encore plus fortes et je profitais de la moindre occasion pour m’adonner à cette pratique.

Lorsque ma mère allait se doucher, j’attendais qu’elle soit entrée dans la douche pour la mater. J’avais auparavant préparé mon coup. J’avais placé le miroir de l’armoire de toilettes de manière à avoir le reflet de la douche sans avoir à passer la tête dans la pièce. De cette manière je pouvais voir ma mère dans toute son intimité et me branler sur cette belle image.

C’est lors d’une de ces séances que j’ai découvert sa chatte noire et poilue. Elle ne s’épilait pas et son tablier de sapeur était bien fourni. Ses aisselles étaient aussi très touffues. Ces poils noirs sur sa peau laiteuse m’exaltaient et l’effet sur ma raideur était immédiat. Lorsque ses doigts, emplies de savon, s’insinuaient et disparaissaient entre les lèvres de sa fente rose, j’imaginais qu’elle savait que je l’observais et qu’elle se caressait pour moi. Je ne tardais jamais à jouir fort.

Autre source d’excitation, je partais à la chasse aux petites culottes portées dans la panière à linge, je choisissais la plus odorante ou la plus tachée, je la respirais tout en me masturbant et finissais toujours par éjaculer dessus. Les collants pareils, surtout ceux qu’elle portait sans culotte, j’adorais. Mais je ne me rendais pas compte que je laissais des traces partout et que ma mère s’apercevait de mes activités.

Inconsciemment je voulais qu’elle le sache, je voulais la faire réagir.

Un jour alors que je me branlais dans ses sous-vêtements elle me surprit. En fait elle attendait tapie que je passe à l’action. Elle avait acheté une sorte de cravache en cuir avec un bout plat. Arrivant derrière moi, elle me donna un grand coup sur les fesses nues. Je criais de surprise et de douleur.

- Je t’avais prévenu, tu crois que je ne vois rien hein ?

Alors que la cravache retombait sur mes fesses. Une douleur vive irradiait dans mon cul et alors je sentis ma queue imperceptiblement se tendre encore plus. Sa punition stimulait mon excitation. Ma mère s’en aperçut et sa colère n’en fut que plus exacerbée. Elle me retourna, ma bite alors lui faisait face, tendue et gonflée. Soudainement elle leva la cravache et fouetta le membre avec. La douleur fut si forte que je faillis trébucher. Je vis un sourire s’esquisser sur son visage et un nouveau coup s’abattre. Mon érection n’avait pas faibli, au contraire l’excitation était au summum et je sentais l’orgasme monter. Les derniers coups eurent raison de celui-ci et le foutre explosa de mon gland meurtri.

- Ce n’est pas possible, tu aimes ça, tu es un vrai pervers mon pauvre garçon, nettoie-moi tes cochonneries tout de suite ! finit-elle en quittant la pièce.

Je savais à cet instant que mon plaisir passait par la conjonction du désir sexuel et la soumission physique et j’aimais ça. Les mois passèrent ainsi, je grandissais et mon corps changeait, ma musculature se dessinait, quelques poils apparaissaient et mon sexe devenait bien plus gros au creux de ma main.

Ma mère, elle, abhorrait la gent masculine et ne fréquentait que ses collègues féminines ou les culs bénis de l’église. Depuis quelques semaines une femme venait régulièrement à la maison. D’abord pour boire un café, elles passaient des heures à discuter, puis le week-end elle venait après dîner et restait tard. Ma mère me demandait d’aller me coucher, car elle avait à discuter entre adultes. Je me retrouvais seul dans ma chambre.

Un samedi soir, alors que je m’étais assoupi dans mon lit, je suis réveillé par des sons. Intrigué je me lève et me dirige vers la porte. Collant mon oreille j’entends effectivement comme des gémissements. J’essaye d’ouvrir ma porte et m’aperçois qu’elle est fermée à clé. Impossible de l’ouvrir. Frustré je retourne dans mon lit et me dis que si ma mère a pris soin de fermer ma porte, c’est qu’elle doit avoir une sacrée bonne raison et il faut impérativement que je la découvre.

Pendant les jours qui suivirent je me mis en quête de trouver la clé, car ma mère l’avait ôté de la porte. Elle commençait à bien me connaître. Je profitais de ses moindres absences pour fouiller sa chambre.

Je découvrais des trésors, des lingeries intimes très sexy, des bas noirs. Je n’imaginais pas qu’elle puisse porter des sous-vêtements aussi sexy alors que l’image qu’elle me renvoyait était plutôt celle d’une femme stricte, psycho-rigide et loin des attraits du sexe. Il faut croire que je me trompais. En continuant ma fouille, je trouvais une culotte féminine cachée sous son oreiller. Plutôt surprenant, pourquoi cacher sa culotte ainsi. Je la portais à mon nez, elle était encore très odorante et fit enfler ma queue de désir. Elle était fort jolie en dentelle noire, mais le plus étonnant est qu’elle portait des traces de rouges à lèvres !!! Et ma mère n’en portait que dans les grandes occasions.

Il fallait que je trouve cette clé. Je furetais maintenant dans les livres qu’elle collectionnait. Les déplaçant un à un pour être certains de ne rien louper. Au bout d’une bonne minute ma persévérance fut récompensée. J’avais trouvé une clé, mais elle ne correspondait en rien à celle de ma chambre. Donc une nouvelle quête commençait, et c’est finalement dans le grenier après de très longues minutes que je trouvais la boite métallique que cette clé ouvrait. Elle n’était pas spécialement cachée, et facilement accessible, je glissais la clé et ouvrais la serrure.

La boite contenait différents objets. D’abord je trouvais enfin la clé de ma porte, j’allais pouvoir en faire confectionner un double. Puis il y avait aussi d’autres objets, une sorte de ficelle à laquelle était attachée deux boules de la taille d’un calot. A l’extrémité un anneau en plastique bleu, du maquillage, ombre à paupière et rouge à lèvre. Un objet aussi insolite, de couleur noire, c’était une sorte de stylo mais arrondie et évasé à un bout. Percé en son centre et relié par un tuyau flexible à une poire en caoutchouc. Étrange attirail et pourquoi ces objets étaient-ils fermés à clé dans une boite au grenier avec ma clé de chambre.

Je commençais à penser que ma mère avait son petit jardin secret, mais tenant compte du comportement qu’elle avait vis-à-vis de moi surtout ce qui touchait au sexe de près comme de loin, j’avoue que je restais ébranlé par ces découvertes ne sachant que penser.

Je pris une empreinte de la clé de porte dans de la pâte à modeler et replaçais tout exactement au même endroit, il ne fallait surtout pas que j’éveille les soupons de ma mère.

Le lendemain j’avais montré l’empreinte au serrurier, il n’avait eu aucun mal à reproduire la clé et c’est avec un double en poche que je rentrais à la maison. Après avoir trouvé une cachette sûre, il ne restait plus qu’à attendre le moment pour essayer de découvrir ce que ma mère ne voulait pas que je découvre.

Je dus attendre une semaine. Ayant prétexté une grosse fatigue après le dîner je partis dans ma chambre. M’allongeant pour faire semblant de dormir, je dus attendre une bonne heure pour entendre ma mère toquer doucement à ma porte. Sans réponse j’entendis la clé glisser dans la serrure et verrouiller la porte. Excité par la situation je fis un bond de mon lit pour écouter à la porte. Quinze minutes plus tard je perçus des bruits. Une personne était entrée dans l’appartement et une discussion, inaudible pour moi, avait suivi.

Je décidais de jouer la prudence et m’imaginais que ma mère avait dû aussi récupérer en même temps que ma clé, les différents objets dans la boite. Ils devaient être tous associés à la même utilisation, mais laquelle ?

Mon excitation était à son comble, et cela faisait plus d’une heure que je patientais avec la clé à la main. J’avais perçu des sortes de gémissements comme la dernière fois. N’y tenant plus je tentais et ouvrais la porte avec la plus grande précaution. Je pénétrais dans le couloir qui, par chance, était dans le noir. Je pouvais entendre plus distinctement les bruits qui venaient du salon.

M’approchant à pas de loup j’étais en sueur et fébrile de découvrir enfin ce qui m’était interdit.

Le spectacle qui s’offrit à moi me stupéfia et me troubla au plus au point. Ma mère était installée dans le fauteuil, ses jambes reposaient sur les accoudoirs. De cette façon elle offrait son intimité à une femme qui était agenouillée devant le fauteuil. Ma mère me faisait face et je ne voyais l’inconnue que de dos, enfin je devrais dire que je ne voyais que son cul vu sa position.

Elles étaient toutes les deux nues, habillées de bas noirs. Les gémissements que j’avais perçus étaient émis par ma mère qui à cet instant se caressait ces deux gros seins tout en essayant de lécher ses tétons.

J’étais comme ensorcelé par cette vision et ma main était déjà à l’œuvre dans mon pyjama.

L’inconnue avait la tête entre les cuisses écartées de ma mère. Je ne voyais pas, mais j’imaginais aisément qu’elle lui bouffait la chatte. C’est dingue, ma mère qui me prenait la tête parce que je me branlais, elle qui allait à l’église tous les dimanches, qui jouait la pudique et la sainte, était en train de se gouiner dans le salon avec une inconnue. Je comprenais mieux toutes ces précautions.

En attendant ma bite palpitait sous mes doigts et je ne boudais pas le plaisir de mater ces deux cochonnes.

Une chose m’intriguait, l’inconnue qui me tendait son cul bien ouvert, avait quelque chose qui pendait de son anus. Je dus me concentrer pour m’apercevoir que c’était l’anneau en plastique bleu. J’en déduis donc qu’elle avait les deux boules enfoncées dans son fondement. Mais je repensais à leurs tailles plutôt grosses pour les enfiler dans un petit trou aussi serré.

La voix de ma mère trahissait une grande excitation alors qu’elle demandait à l’inconnue de lui enfoncer sa langue dans son anus. Ces mots résonnèrent en moi comme une décharge et de longs jets de sperme vinrent s’écraser sur le papier peint du couloir, alors que j’avais eu un mal fou à étouffer un râle de plaisir. J’essuyais comme je pus mes saletés et aussi discrètement qu’à l’aller je retournais dans ma chambre, prenant soin de refermer la porte. Cette nuit fut très agitée, ponctuée de rêves érotiques et de cauchemars ténébreux.

La nuit m’avait porté conseil et j’avais pris conscience que ce n’était pas le sexe que ma mère abhorrait, mais les hommes et leurs bites. Le sexe, elle aimait ça et j’en avais eu la preuve la veille. Mais une question restait pour moi essentielle. Qui était l’amante de ma mère ?

Cette nouvelle situation changea beaucoup ma manière de percevoir ma mère. Les jours qui suivirent, lorsque nous sortions en course, je l’observais, dans ses attitudes et ses manières. Ses regards s’arrêtaient effectivement sur de belles femmes matures et n’hésitant pas lorsqu’elle les sentait réceptives, à les provoquer en prenant des attitudes mutines. Bien sûr je pouvais voir cela, car je savais ce qu’elle était et son attitude loin de me heurter, m’excitait.

Bien sûr j’ai continué à jouer les voyeurs lorsque ma mère recevait. J’ai découvert que son amante était Mme Marie, une fervente et assidue pieuse de l’église, mariée et mère de deux enfants dont l’un était au lycée avec moi. S’il pouvait imaginer ce que sa mère était en réalité, une sacrée salope qui aimait avoir la bouche remplie de la mouille de la mienne et se fourrer le cul d’objets de tout genre.C’était une très belle femme de quarante-cinq ans environ. Toujours très élégante, elle portait des ensembles chics, une vraie bourgeoise catho. 

Pour l’avoir maintenant bien observée, elle possédait une paire d’obus à damner un prophète, ses jambes étaient fines et longues, son cul plutôt mince et petit. Mais sa chatte alors c’était l’enfer. Son pubis méticuleusement épilé était rebondi. Les lèvres étaient saillantes et assez grosses et offraient une vision presque indécente de son intimité, qu’est-ce qu’elle était bandante, surtout lorsque je voyais la langue de ma mère les ouvrir pour en lécher le jus et ensuite s’enfoncer en elle.

******

A ce stade de l’histoire, je suis des plus studieux et écoute avec une grande attention les détails salaces que Pierre me livre sur sa mère et son apprentissage sexuel. Je suis intimement persuadé que je vais pouvoir exploiter ses petits travers, et les utiliser à bon escient pour Martine. Je dis à Pierre que je suis effaré mais également curieux de savoir comment cette histoire va finir… Il sourit en reprenant :

- Oui c’est en effet effarant. Mais la perversité va des fois se cacher chez les personnes qui nous paraissent les plus vertueuses.

******

Toujours voyeur des ébats lesbiens de ma mère, je prenais de plus en plus de plaisir à les observer. Jusqu’au jour où, par inadvertance et manque de vigilance, je me suis fait repérer. J’étais âgé à ce moment de 17 ans, et étais quasiment formé comme un homme. Pratiquant l’équitation, j’étais assez musclé. Mon sexe aussi avait pris de l’ampleur et je pouvais maintenant être plutôt fier de ma virilité. Pour des raisons pratiques, j’étais nu lors de mes excursions voyeuristes, de plus, le risque augmentait mon excitation.

Alors lorsqu’elles ont compris qu’elles étaient épiées, elles se sont littéralement jetées sur moi, me projetant au sol, avant que j’aie pu rejoindre ma chambre. Ma mère cria à Mme Marie de me tenir. Elle me plaquait au sol tout en maintenant mes mains dans le dos. Ma mère revint avec une ceinture en cuir et l’enroula autour de mes poignets très fortement. Alors Madame Marie, accroupie au-dessus de moi, me retourna. Elle vit que la séance n’était pas venue au bout de mon excitation et c’est avec la queue bandée à mort qu’elle me découvrait. Ma mère m’invectivait me traitant de sale petit merdeux, d’obsédé sexuel, de voyeur pervers. Elle était debout à ma tête et nue. Du sol où j’étais maintenu par Madame Marie assise sur mes jambes, je pouvais voir la vulve de ma mère dégoulinante de mouille, certainement due aux traitementx buccaux de son amante. Elle n’avait pas pris conscience que pendant qu’elle brayait je matais son con. J’en bandais plus fort, car en plus de cette vision je sentais les lèvres de celui de Madame Marie caresser et détremper mon genou.

Ma mère était dans tous ses états. Eh oui son fils était le témoin de ses séances de gouinage :

-  Qu’allons-nous faire Marie ? Je t’avais prévenue que ce môme était un pervers, mais comment a-t-il fait pour ouvrir cette porte ? Je suis mal, il nous a vu baiser ensemble et il ne va jamais tenir sa langue. Marie saisit alors ma queue à pleine main, décalotta le gland puis commença à serrer de plus en plus fort. De l’autre main elle enserra mes testicules et en fit de même.

La douleur irradiait dans tous mon bas-ventre et paradoxalement j’étais excité. Mon gland était maintenant violacé et mes couilles très douloureuses ,lorsque Madame Marie me dit :

- Alors petite merde, tu vas nous faire des ennuis ?

Ses deux mains s’étaient rejointes et enserraient maintenant mes couilles et ma queue. Elles remontaient l’ensemble vers le haut occasionnant une douleur bien plus intense.

- Non je vous jure Madame Marie, je ne dirai rien de ce que j’ai vu, je vous jure de vous obéir en tout mais arrêtez !

Ma mère me regardait avec un sourire vicieux au bord des lèvres. Elle jouissait du spectacle de ma souffrance par le sexe. Si elle savait qu’en fait cette douleur me transportait au paroxysme de mon plaisir. D’ailleurs je faillis jouir, mais heureusement Madame Marie cessa avant. Elle se releva et dit :

- Viens, on va le mettre dans sa chambre, cette séance m’a particulièrement excité et j’ai envie que tu me baises, je m’occuperais de ton môme après.

Elles m’installèrent sur mon lit les mains liées et repartir finir leurs affaires dans le salon. Madame Marie avait pris soin de refermer la porte derrière elle, et me glissa avant de sortir :

- Ne bouge pas, je reviens m’occuper de ton cas !

La position était des plus inconfortables et je n’osais bouger de peur que madame Marie arrive au même moment. Je dus attendre une bonne heure pour entendre la serrure claquée.

Madame Marie apparut dans le chambranle. Elle était nue face à moi et me regardait. Les seins tendus et sa fente brillante exhibées ainsi me redonnèrent presque instantanément une nouvelle vigueur à ma queue qui se redressa devant ses yeux, ne laissant ainsi aucun doute sur l’effet qu’elle me faisait. Elle s’approcha de moi et me dit doucement :

- Ta mère m’a confié la tâche de te punir pour tes nombreuses désobéissances, qu’en penses-tu ?

Alors qu’elle faisait le tour du lit je lui répondis :

- Oui Madame, c’est vrai. Je l’observe depuis longtemps, je ne peux pas m’en empêcher, j’aime ça.

- Que fais-tu lorsque tu nous regardes jouer ensemble ?

- Vous voir me fait bander dur, alors je sors mon sexe et je me caresse.

- Tu veux dire que tu sors ta grosse bite et tu te branles en matant ta mère à poil qui baise ?

- Oui Madame c’est exactement ça !

- Et tu finis par juter, comme tout petit puceau qui ne sais que mater ?

Sa voix s’est durcie et j’avoue. Elle détache ensuite mes mains qui me font extrêmement mal. M’ordonnant de m’allonger sur le dos, elle pose un genou à côté de ma tête puis passant son autre jambe au-dessus de mon visage, elle dépose son autre genou. De cette manière j’ai sa chatte au-dessus. Je ne l’ai jamais vu d’aussi près. Elle est trempée de jus et, à cette distance, déjà très odorante. Alors que Madame Marie s’assoit sur ma bouche, elle saisit ma bite et me dit :

- J’ai remarqué tout à l’heure que tu appréciais mes caresses brutales et je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que tu aimes avoir mal… Dis-moi la vérité ?

Sa main est à nouveau à l’action sur mon membre. Sa poigne est vigoureuse.

- Oui c’est vrai madame Marie, j’ai découvert ça avec Maman un jour et depuis ça ne fait qu’empirer.

A ces mots, elle se pose sur moi, j’ai sa fente sur la bouche. Sa chatte sent fort et sa mouille inonde mon visage et ma bouche. Son goût alors envahit mon palais et je déguste alors sa succulente liqueur. Elle m’enivre…

De son côté Marie a commencé à me masturber, mais sans relâcher la pression. Elle force donc sur mon gland et j’ai l’impression qu’il va s’arracher de ma tige à chaque manœuvre. Elle est assez experte, car elle sent que je vais jouir et stoppe net.Je suis vraiment au bord de l’éjaculation. Ma langue a maintenant pris possession du vagin de Marie qui en profite pour remuer et appliquer une pression sur mon visage.

Puis se relevant elle me demande de lui lécher le cul et de faire pénétrer ma langue dedans. Je m’exécute et commence par passer ma langue sur son anneau strié. J’adore. Puis tendant ma langue pour la faire durcir je la pointe dessus et enfonce. Je sens qu’elle s’insinue dedans. Marie gémit doucement et glisse un doigt sur son clito. Je suis maintenant dans son cul, et son goût gagne ma bouche, il est fort et acre, mais j’aime savoir que c’est celui de Madame Marie. Je la sens d’ailleurs prête à jouir.

Tout son corps se tend et frémit. Puis les gémissements laissent place aux cris de jouissances qu’elle libère en même temps que son orgasme la terrasse. Sa mouille coule, abondante et épaisse sur mon visage. Marie continue à frotter sa fente dessus le recouvrant de son jus parfumé.

Maintenant cette position, elle a saisi ma bite par la base et la maintient droite. Je bande terriblement. Alors elle saisit la ceinture, ne laissant que 10 centimètres de libre. Elle commence à fouetter ma tige. Le premier coup me surprend, mais est assené avec douceur.

Les autres vont monter en intensité, pour devenir violent. Je sens ma jouissance monter avec la douleur et c’est lorsqu’elle décalotte mon gland et que le cuir mord dedans que je gicle. Oh que c’était bon de jouir comme ça, c’était une première mais que de sensations nouvelles.

Pour finir Madame Marie est venue frotter sa fente sur mon sexe gluant de foutre puis m’a demandé de lui nettoyer sa fente. Je dus lécher à nouveau son sexe recouvert de mon sperme mélangé à son propre jus.

Avant de quitter la chambre, madame Marie me demanda mon numéro de portable et m’informa qu’elle me mettrait certainement encore à contribution pour son plaisir et qu’il était inutile d’en parler à ma mère.

Inutile de vous dire que j’ai attendu fébrilement son appel. Je dus attendre quinze jours pour avoir de ses nouvelles au travers d’un message déposé dans ma messagerie. Madame Marie me donnait rendez-vous chez elle. Elle était bien renseignée sur mes disponibilités, certainement par ses enfants.

J’étais très fébrile lorsque je sonnais à la porte de la grande maison bourgeoise. Marie m’ouvrit la porte, elle était splendide, habillée d’une robe noire très près du corps, ornée d’un profond décolleté qui laissait presque apparaître les auréoles des seins. Elle portait également des bas-résilles noirs et je pouvais aisément voir la dentelle qui ornait le haut de ceux-ci tellement la robe était courte. Et la touche finale était les bottes à haut talons dont les pointes étaient habillées de fers chromés.

Avant même de pénétrer dans la maison, ma queue était tendue.

Elle m’invita à entrer, le salon était immense, les murs tout blanc augmentait cette impression, l’ameublement était moderne et très classieux. Un grand canapé d’angle blanc me faisait face et Marie y prit place me laissant debout face à elle. Elle avait les jambes légèrement ouvertes et j’avoue que mon regard ne pouvait s’en écarter.

Marie me demanda de me mettre nu et il ne fallut pas longtemps pour la satisfaire. Ma queue battait contre mon ventre et je voyais dans son regard une grande lubricité. Elle m’ordonna alors de me branler doucement pour elle, tout en écartant les jambes pour me montrer sa culotte en tulle transparent qui laissait distinguer les grosses lèvres de son sexe.

J’attrapai mon sexe et commençai à me caresser, le tendant à l’extrême pour l’ériger, la vision de sa chatte voilée m’électrisait. Soudain elle m’ordonna de venir m’agenouiller à ses pieds, puis elle ôta sa botte droite et présenta son pied et le déposa sur ma bouche.

- Ouvre la bouche, sors ta langue et lèche-moi, je veux la sentir entre mes orteils, tu finiras en me les suçant tous. Applique-toi sinon tu seras puni.

Joignant le geste à la parole, elle dépose sa botte gauche sur mon entrejambe. Je sens la pointe froide de son talon sur ma bite, prête à s’y enfoncer. Je jubile, complètement sous le joug de cette Maîtresse femme, j’ouvre la bouche et m’exécute.

Alors que ma bouche s’active, son doigt caresse ses lèvres au travers du tissu transparent. Je vois le tissu s’humidifier et j’ai envie d’y poser ma langue pour retrouver la saveur de cet élixir qui m’avait tant enivré. Mais pour le moment je m’occupe de son pied, ma langue s’insinuant entre les mailles de son bas-résille, je pourlèche. Sentant alors des moments de relâchement, le talon aiguillonne ma bite.
Puis Marie me pria de faire l’autre pied.

Une fois ce travail terminé, elle me demanda de lui ôter sa culotte. Alors qu’elle se soulevait pour que je puisse la faire glisser elle en profita pour dégager ses deux gros seins de son décolleté. Soutenus par le tissu ils tendaient leurs mamelons excités.

- Oui c’est bien, maintenant, nettoie-la car je crains d’avoir mouillé dedans.

Ma langue se remit au travail et se régala avec appétit de la grosse tache blanchâtre qui ornait le fond de la culotte.

Pendant ce temps Marie avait glissé ses fesses sur le bord du canapé et remontant ses jambes en l’air, elle me présentait son sillon fessier. Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir celui-ci enjolivé d’un superbe plug argenté.

Alors que je continuais sa lessive intime assis sur le sol et face à elle, elle attrapa l’objet et sous mes yeux l’ôta tous doucement de l’étroit trou dans lequel il était planté. Il était maintenant dans sa main et je pouvais constater sa taille, un beau plug anal !

Attrapant mes chevilles, elle les souleva, m’obligeant ainsi à me mettre sur le dos. Continuant sa pression vers le haut, je me retrouvai le dos contre le bord du canapé, les jambes ouvertes et ramenées sur le côté de mon torse, j’offrai à Marie mon entrejambe, ma bite, mes couilles et mon trou. Elle caressa d’abord mes couilles d’une main les enserrant fermement. Puis me dit :

- Fourre ma culotte dans ta bouche et branle-toi, mais je t’interdis de jouir sans mon autorisation.

De son côté Marie jouait, triturant mes testicules d’une main, elle fit glisser le plug le long de mon sillon fessier, s’arrêtant sur mon anus et repartant. De temps à autre elle crachait dessus et n’étant pas dupe je savais à quoi m’attendre. J’en avais envie autant que j’en avais peur. Soudain je sentis son index se poser sur ma rondelle et en forcer le passage. La salive aidant il ne tarda pas à être entièrement dedans. Ma première impression était plutôt agréable.

- Tu es prêt maintenant, je vais t’enculer petite salope, je te conseille un truc si tu ne veux pas que je t’explose le cul. Au moment où je vais te fourrer, pousse comme si tu voulais chier et tu verras ça passera tout seul ! finit-elle avec un sourire pervers.

J’ai accéléré mon branlage lorsqu’elle posa le bout du gode sur mon anus. J’ai senti le froid de l’acier. Puis elle a commencé à mettre la pression, je sentais que de peur j’hésitais et ne tenais aucun compte de ce que m’avait conseillé Marie. Une douleur gagnait mon fourreau et d’instinct j’ai poussé. Alors le plug a progressé plus facilement dépassant mon sphincter pour finir par prendre totalement possession de l’espace. Je sentais mon cul ouvert et rempli et j’aimais cette sensation.

Puis tout s’accéléra, Marie saisit ma bite pour me branler à son tour. Son autre main toujours affairée sur les couilles. A ce régime je ne tardais pas à sentir ma sève se lever. Marie me dit alors :

- Ouvre la bouche petite pute, et comme une bonne salope que tu es, tu vas jouir dedans puis avaler tout !

N’y tenant plus, j’ouvrai en grand la bouche alors que Marie orientait les jets. j’explosai. Recevant l’énorme dose de mon foutre dans le fond de ma gorge, elle se remplit pour sa plus grande joie. Puis mon éjaculation terminée, elle observa, intriguée. Alors j’avalai et le foutre disparut dans mon estomac.

Puis Marie, m’arrachant le plug du cul, me congédia sèchement.

Je garde un souvenir ému de cette première, ainsi que plaisir malsain d’avoir été traité de salope et de pute. Je vécus plusieurs séances avec Madame Marie qui finirent de me convaincre que j’aimais être contraint et soumis.

C’est à cette époque que j’ai rencontré Martine au centre équestre. J’avais 18 ans et elle correspondait à mon idéal féminin. Sportive, tenace, obstinée, et surtout très dominatrice avec la gent masculine.

******

Je suis en pleine concentration, j’observe Pierre, qui soit dit en passant, a la braguette plutôt gonflée à cet instant, lorsque je suis surpris par le bruit de la porte qui s’ouvre. C’est Martine qui arrive…

A suivre…

lundi 21 octobre 2024

Le voyeur - 2ème partie

 Bande dessinée de Chris.

*****
A suivre...

samedi 19 octobre 2024

Printemps 89.

 Traduction d’un texte de Ludic. (Inédit)

 ******

- Taisez-vous, mère ! Crie Donna.

C’est déjà assez pénible d’entendre son fils adolescent se plaindre à l’arrière, mais maintenant sa mère râle aussi. Elle sait qu’elle est perdue, mais ils ne l’aident pas.

- Ce pas une façon de parler à ta mère ! Je t’ai dit que ce n’était pas la bonne direction ! Répond Helen, irritée.

Donna l’ignore. Ils roulent depuis plus de trois heures maintenant et ils n’ont vu aucun signe de vie depuis au moins trois kilomètres. Ils sont censés passer un week-end dans un village de montagne, mais soit elle a pris le mauvais chemin, soit la carte est fausse. Ils roulent sur une route étroite et perdue, avec un gros ravin sur le côté gauche. Donna reste le plus à droite qu’elle le peut. Pour aggraver les choses, le temps est couvert avec un épais brouillard persistant au loin.

- Oh mon Dieu ! Gémit Donna alors que la peur la saisit comme un étau.

Elle avait espéré que ce week-end lui offrirait une pause agréable dans son travail et qu’il lui permettrait de passer du temps avec sa mère et son fils. Sa relation avec ces deux personnes est importante pour Donna.

Après tout Mikey et Helen sont tout sa famille maintenant. Son mari l’a quittée il y a une dizaine d’années pour s’enfuir avec une autre femme, la laissant seule pour élever son fils. Depuis elle a une méfiance naturelle contre les hommes et elle est restée célibataire.

Donc elle n’a pas été baisée depuis dix ans. Ce fut dur et parfois frustrant, mais ces six derniers mois furent insupportables. Elle voudrait qu’un homme la prenne et la baise à fond. Le sexe lui manque tellement. Ses jouets sexuels sont sa seule échappatoire, mais ils perdent de leur attrait. De plus, comme son travail lui prend tout son temps, elle n’a pas le temps de se faire des relations. Aujourd’hui, âgée de trente-huit ans, elle se résigne presque à l’idée de rester célibataire pour toujours.

Helen, la mère de Donna, est veuve et âgée de soixante et un ans. Son mari est décédé il y a huit ans. Mais contrairement à Donna, Helen a un appétit sexuel insatiable si l’on croit les rumeurs. Elle est sortie avec beaucoup d’hommes depuis la disparition prématurée de son mari, surtout avec des amis de son cours de salsa. Donna est le contraire de sa mère. Elles n’ont jamais abordé ce sujet toutes les deux, mais il est évident que Helen est une croqueuse d’hommes.

Et puis il y a Mikey, sa plus grande inquiétude. C’est un garçon pour le moins étrange. Il lui est très difficile de parler aux filles. Aujourd’hui, âgé de dix-huit ans, il n’ a quasiment flirté avec aucune fille et encore moins couché avec une. C’est un puceau de dix-huit ans, mais avec un sérieux appétit sexuel, sa main étant son plus fidèle partenaire. C’est ce qui cause des problèmes à la maison. Depuis peu, il refuse de porter des vêtements à l’intérieur de la maison. Au début Donna était embarrassée, mais elle a fini par s’y habituer. De temps en temps Mikey tourne son attention sur sa mère et il essaie de la regarder discrètement lorsqu’elle se douche ou lorsqu’elle dort nue. C’est un jeune homme vivant, mais étrange parfois. Donna a appris à vivre avec ses caprices. Elle espère juste qu’il va trouver bientôt une petite amie avant de sombrer dans une vie de crime sexuel et de débauche.

Donne jette un coup d’œil dans son rétroviseur. Elle regarde Mikey qui a ses écouteurs sur la tête pour écouter de la musique sortant de son Walkman. Il n’est pas conscient de la situation difficile dans laquelle ils se trouvent tous. Donne jette un coup d’œil à sa mère sur le siège passager. Son visage arbore une expression de surprise heureuse alors qu’elle observe le brouillard s’approcher.

- Wow, regarde ce brouillard ! N’est-il pas beau ? S’exclame la femme âgée en souriant.

- Pas pour moi ! Je dois le traverser ! Répond Donna.

Le brouillard atteint le pare-brise. Puis, comme dans un film d’horreur, la brume les engloutit.

- Il faut que je m’arrête ! Crie Donna.

A travers l’épaisse masse blanche, elle peut à peine distinguer l’avant de la voiture. Elle appuie sur les freins en priant pour qu’aucune voiture ne soit derrière elle. Les roues crissent sur le gravier. Puis l’avant de la voiture s’effondre.

Un instant avant que l’arrêt soudain ne projette Donna contre le volant, elle réussit à couvrir son visage avec ses bras pour amortir le coup. Sa mère se plie en deux et son front heurte le tableau de bord qui lui laisse une marque rouge sur le front. Mikey, à l’arrière, crie frénétiquement :

- Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui se passe ?

- Du calme ! Est-ce que ça va ? Dit Donna d’une voix aussi calme qu’elle le peut.

Helen dit, soulagée :

- Juste un léger coup sur la tête pour moi, rien de grave.

Donna va bien, mais Mikey a une marque rouge sur le ventre, juste là où la ceinture de sécurité l’a irrité. L’air à l’intérieur de la voiture s’est rafraîchi alors Donna allume le chauffage. Tous les trois restent silencieux un moment, choqués et perdus dans leurs pensées. Ils espèrent que quelqu’un va venir à leur secours avant que le chauffage ne s’arrête. Manifestement, ils ont plongé dans un profond fossé, l’arrière de la voiture dépassant et étant visible depuis la route. Toutes les personnes passant par là les verraient et, espèrent-ils, leur viendront en aide. Ils doivent juste attendre un peu. Donna est sur le point de pleurer. Elle espérait que ce week-end serait une bonne expérience pour se rapprocher tous les trois. Mais tout va mal.

Ce n’est qu’au bout de trente minutes que Donna voit l’homme pour la première fois dans le rétroviseur. Il est penché à l’arrière de la voiture et il secoue la tête lentement en la regardant. Ses yeux perçants, son nez tordu, sa bouche édentée, tout semble trop petit, comme s’ils appartenaient à quelqu’un qui aurait fait la moitié de sa taille.

Un poing ganté frappe la lunette arrière.

- Maman ? Dit Mikey, surpris.

- C’est bon chéri. Dieu merci il y a quelqu’un qui va nous aider. Soupire Donna.

Helen et Donna réussissent à sortir de la voiture. Avec la voiture piquée dans le fossé, Mikey est plus haut, mais sa mère réussit à l’attraper par les hanches pour l’aider à sortir. Il n’est pas vraiment lourd.  Ils sont alors confrontés à la tâche de sortir du fossé. La pente herbeuse est humide, boueuse et glissante.

L’homme étrange saisit alors une corde dans sa dépanneuse à plateau. Il l’attache à l’extrémité de sa boule de remorquage et il jette l’autre extrémité dans le fossé.

- Attrapez la corde et sortez ! Crie-t-il.

Les trois membres de la famille s’agrippent les uns aux autres pour se stabiliser. Ils jurent, perdent pied et tombent. Au moment où ils sortent tous du fossé ils sont couverts de boue de la tête au pied. Respirant lourdement, couverts de terre, tous les trois sont assis sur le bord de la route dans le brouillard. La raison pour laquelle ils sont tombés dans le fossé est maintenant évidente. La route tourne à gauche Et Donna ne l’a pas vu.

L’étranger les laisse à leurs réflexions tandis qu’il détache la corde et la jette dans son camion. Ils sont assis sur le talus et le regardent faire. Il n’est qu’une forme sombre dans le brouillard. Ils remarquent alors qu’il boite. A mesure qu’il s’approche d’eux, la silhouette devient plus distincte. L’homme a la cinquantaine, il est chauve, très laid, avec des cicatrices sur le visage. Il est très grand avec un énorme ventre à bière. Mais il est voûté et il boite comme s’il supportait un poids invisible.

- On dirait que vous n’avez pas eu de chance là ! Dit-il d’une voix bourrue et grave.

Donna remarque qu’i porte une vieille chemise en lambeaux et une combinaison recouverte d’huile moteur et de graisse.

- S’il vous plaît, il faut que nous donnions un coup de fil ! Dit Donna avec un tremblement dans la voix.

Elle est mouillée et couverte de boue de la tête aux pieds. L’air glaciale mord son corps jusqu’aux os. Elle ajoute :

- Pourriez-vous nous emmener jusqu’à la ville la plus proche ?

- Non, je ne vais pas par là. J’habite au bout de la route, en pleine campagne, loin de la ville. Répond le vieil homme, insensible à la situation de la famille.

Un mollard remonte de sa gorge et il le crache par terre.

- Peut-être que l’on peut utiliser le téléphone chez vous ? Plaide Donna.

- Il n’y a pas de téléphone chez moi, chérie. Je m’en fiche de ces foutues choses. C’est l’œuvre du Diable si tu veux savoir…

Furieuse, Donna le regarde et dit :

- Vous devez nous aider. Sinon nous allons mourir de faim ou de froid ici.

L’homme réfléchit un moment en se mordant la lèvre inférieure.

- Ouais, je suppose que tu as raison. Cela pourrait prendre des jours voire des semaines avant qu’une autre voiture passe par ici. De plus, la ville la plus proche est à vingt kilomètres. Avec cette température et ces vêtements mouillés, vous allez mourir d’hypothermie avant que quelqu’un vous trouve.

- Oh merci mon Dieu ! Tenez, prenez cet argent pour le dédommagement. Crie Donna avec soulagement.

Elle fouille dans sa poche pour sortir son porte-monnaie. Mais juste au moment où elle lui tend l’argent il dit :

- Toi et la vieille dame allez devoir vous déshabiller avant de monter dans mon camion. Complètement !

- Qu’est-ce que vous dites ? Questionne Donna, furieuse.

- Ecoute chérie ! Vous êtes mouillées et couvertes de boue. Vous n’allez pas salir ma banquette arrière.

Il se tourne vers Mikey :

- Comment t’appelles-tu, fils ?

- M… Mikey… Bégaie le jeune homme.

Le vieil homme passe un bars autour de l’épaule de l’adolescent et dit :

- Mikey peut garder ses vêtements. Il va monter devant avec moi, comme un vrai homme. Mon siège passager est déjà sale, parce que mon chien, Brutas, adore se rouler dans la boue. Mais, vous, mes petites dames, vous devez vous asseoir à l’arrière, aussi nues que le jour de votre naissance.

Donna n’arrive pas à croire ce que ce vieux salaud a dit.

- Va te faire foutre, vieux pervers ! Dit-elle sèchement.

- Comme vous le voulez. Ravi de vous avoir rencontré. Bonne chance m’sieur dames ! Répond l’homme avant de se retourner et marcher vers son camion.

- Attendez ! Attendez ! Crie Helen.

Donna ne comprend pas pourquoi sa mère rappelle ce vieux salaud.

- Qu’est-ce que…

- Tais-toi Donna ! Je n’ai pas l’intention de marcher 20 kilomètres à mon âge. S’il veut me voir nue, alors tant pis. Je doute qu’il puisse me faire du mal à son âge. Tu peux rester si tu veux. Dit Helen.

Le vieil homme a un sourire sournois alors qu’il regarde avec Donna Helen se déshabiller.  Il dit de laisser les vêtements au bord de la route pour les récupérer plus tard. Mikey regarde avec insistance sa grand-mère dégrafer enfin son soutien-gorge et laisser ses gros seins tomber devant lui. Ses yeux s’écarquillent et brillent alors qu’elle baisse sa culotte et laisse tous ses vêtements au bord de la route. Il sourit en posant ses yeux sur la touffe de poils denses entre les jambes d’Helen.

- Et toi chérie ? Demande le vieil homme à Donna.

Celle-ci est abasourdie. Elle n’arrive pas à croire que sa propre mère est maintenant totalement nue avec un avant-bras couvrant ses seins et une main entre les jambes pour cacher ses parties intimes. Elle frissonne de partout alors qu’elle commence à se lever sur la pointe des pieds pour monter à l’arrière du camion.

- Bon, je suppose que la promenade te fera du bien… Dit le vieil homme avant de s’éloigner.

- Non, attendez ! C’est bon ! Dit Donna en colère et effrayée.

- Tu peux aussi t’asseoir sur le plateau, après tous les ennuis que tu me causes, espèce de salope ingrate. Grogne l’homme.

Mikey sourit jusqu’aux oreilles avec un air étonné sur le visage alors que sa mère commence à déboutonner son chemisier. La lèvre inférieure de celle-ci tremble et elle a l’air d’être sur le point de fondre en larmes. Elle est furieuse aussi que son fils semble autant apprécier son humiliation.

« Bon sang, tu souhaiteras ne jamais avoir vu ça quand j’en terminerai avec toi plus tard » pense Donna.

Elle enlève son pantalon, son chemisier, son soutien-gorge et sa culotte. Elle les ramasse et les dépose le long de la route. Couvrant sa nudité du mieux qu’elle le peut, elle grimpe sur la plate-forme du camion et s’assoit sur le côté. Elle peut voir l’arrière de la tête de sa mère, à l’intérieur du camion, dans la chaleur. Elle commence à regretter de s’être disputée avec le vieil homme tandis que la brise froide lui glace les os. Même si c’est un soulagement de voir Mikez disparaître à l’intérieur du camion, elle remarque qu’il sourit et la regarde avant de monter. Le salaud.

Le camion démarre et commence à rouler sur la route à reculons. Donna sent chaque bosse. Elle se doute qu’il doit le faire exprès, mais elle ne peut rien y faire. Elle ne peut même pas couvrir son sexe, car les mouvements du camion sont brusques et elle doit se tenir pour ne pas tomber. Elle a l’impression d’avoir roulé pendant des heures et son corps est ravagé par le froid et la douleur lorsqu’ils quittent finalement la route et empruntent un chemin de terre. C’est encore plus accidenté et Donna manque de s’envoler du plateau une ou deux fois.

Finalement, ils s’arrêtent devant une petite propriété entourée d’une demi-douzaine de vieilles voitures délabrées. Tout a l’air vieux et délabré d’ailleurs. Donna ne s’en soucie pas, du moment qu’elle peut aller en ville et appeler pour avoir de l’aide. Le camion s’arrête près de la porte d’entrée et le vieil homme coupe le moteur et sort.

- Vous, les salopes, vous restez là et je vous emmènerai en ville. Dit-il alors que Mikey descend et marche à ses côtés en regardant en arrière et en souriant par-dessus son épaule.

« Le petit salaud, il le paiera cher plus tard » Pense Donna.

Helen sort du camion pour se dégourdir les jambes.

- Maman, espèce de salope, remets ton gros cul dans le camion avant que Mikey ne revienne. C’est déjà assez grave qu’il t’ait vu complètement nue une fois. Grogne Donna.

- Et alors ? Il t’a déjà beaucoup vue nue d’après ce que j’ai entendu. Ce garçon est un démon du sexe en devenir, si tu veux le savoir. Répond Helen en ignorant les ordres de sa fille.

Donna a envie de se lever et gifler sa mère lorsqu’elle entend des bruits venant de la maison. Elle se retourne, se baisse sur le plateau du camion, et regarde autour d’elle. Le vieil homme sort de la maison avec deux garçons d’une vingtaine d’années qui le suivent avec d’énormes sourires sur leurs visages. Elle voit aussi Helen reculer dans le camion.

- Les voilà, mes petits gars ! Aboie l’homme avec enthousiasme.

- Faites votre choix parmi ces pouliches et amusez-vous ! Ne les fatiguez pas trop ! J’ai envie de ce petit cul intelligent plus tard, je vais lui donner une leçon pour lui apprendre à contrôler ses paroles. Attachez-les bien pour qu’elles ne s’enfuient pas !

Donna regarde avec horreur les garçons prendre de la corde sous le porche. Elle sait qu’ils vont l’agresser. Rapidement elle essaie de sortir du plateau du camion. Elle entend la porte du camion s’ouvrir et Helen sauter du siège arrière. Donna saute et se met à courir aussi vite qu’elle le peut. Mais elle entend des pas derrière elle. Elle jette un coup d’œil au-dessus de son épaule et elle voit un des garçons courir vers elle et la rattraper alors qu’elle se dirige vers la forêt presque à bout de souffle. Elle ne sait pas ce qui devient pour Helen ou Mikey, mais elle s’en fiche pour le moment, en essayant de s’enfuir aussi vite qu’elle le peut.

Soudain, elle sent une main saisir l’arrière de ses cheveux et son corps bascule en arrière et atterrit sur le sol avec un bruit sourd. Elle a le souffle coupé à l’impact. Avant même qu’elle ne puisse réfléchir clairement, le garçon attrape ses bras par-dessus sa tête et enroule la corde autour de ses poignets.

Donna retrouve son calme et essaie de repousser le jeune homme. Mais il est assis à califourchon sur sa poitrine, les fesses face à son visage, portant son poids sur son cou pour la clouer au sol. Lorsqu’elle le voit se pencher et attraper ses jambes pour attacher la corde autour de ses chevilles, elle lui mord les fesses aussi fort qu’elle le peut. Il glapit mais arrive quand même à lui attacher les chevilles avant de se lever. Donna se tortille sur le sol et crie en asseyant de reprendre son souffle.

- Tu m’as mordu le cul, salope ! Crache le garçon.

Il s’approche d’un arbre et casse une branche petite mais rigide. Puis il ajoute :

- Je vais t’apprendre !

Donna a repris son souffle et commence à se relever alors qu’il approche. Effrayée, elle le voit balancer la branche d’arbre dans sa main. Ses poignets et ses chevilles sont liés et reliés par un bout de corde. Elle essaie de bouger, mais elle ne peut faire que de petits pas alors que la branche tombe sur ses fesses. Elle crie de douleur, son corps tremblant.

- Quand j’en aurai fini avec ton petit cul tout blanc, tu ne mordras plus rien ! Crie le garçon en abattant encore et encore la branche jusqu’à ce que des stries violettes marquent les hanches, les cuisses et les fesses de Donna.

Elle jure et crie alors qu’elle essaie de s’éloigner du jeune homme. Si elle se retourne, elle sent la branche sur le haut de ses cuisses et elle se tourne à nouveau en hurlant de douleur. Finalement elle tombe au sol, désespérée, et elle se met à pleurer.

- Arrête, tu me fais mal… Supplie-t-elle.

Finalement le fouet s’arrête. Elle lève les yeux en pleurnichant et voit le garçon en train d’enlever son pantalon et son caleçon. Elle sait ce qui va suivre, mais elle n’a plus la volonté de combattre. Elle essaie bien de ramper sur le sol pour s’enfuir, mais elle sent ses chevilles être saisies puis elle est retournée sur le dos. Elle regarde le gars lever ses jambes en l’air en tenant la corde puis elle sent sa bite à l’entrée de sa chatte.

- Aiee… Non, s’il te plaît… Aaargghhh… Crie-t-elle de douleur alors que la bite s’enfonce dans sa chatte d’un seul coup.

Elle est serrée, très serrée, car ça fait dix ans qu’elle n’a pas été baisée. Immédiatement elle réalise combien le sexe lui a manqué après toutes ces années. La sensation de cette grosse bite envahissant son corps lui envoie un éclair de désir sexuel la traverser. Elle halète alors que la queue entre et sort de sa chatte. Malgré l’horreur d’être violée, sa chatte bouillonne et palpite autour de l’engin. Elle dégouline alors qu’elle se fait baiser comme jamais auparavant.

En manque, rattrapée par l’instant présent, elle ne tarde pas à répondre aux poussées du jeune homme. Elle aime cette sensation d’être violée. C’est ce qui lui a manqué ces dernières années, une personne qui la domine, qui exerce son pouvoir sur elle, qui la contraint. Elle est de nouveau dans son élément. Elle se sent totalement humiliée et dégradée alors que le garçon continue de la pilonner. Mais elle en veut encore plus. Elle est au bord de l’orgasme lorsqu’elle sent qu’il se retire de sa chatte envieuse. Il se moque d’elle alors qu’il la sent serrer les parois de sa chatte pour essayer de le retenir. Le garçon laisse ses jambes tomber au sol et il dit :

- Désolé salope, mais papa sera énervé si je te mets enceinte. Alors je vais trouver un autre endroit pour me vider les couilles.

Il saisit à nouveau ses chevilles et il la retourne sur le ventre avant de s’allonger à plat sur son dos. Elle sait ce qu’il a en tête et elle se débat pour le repousser. Elle ne s’est faite qu’une seule fois sodomiser, et même si ce n’est pas si grave, elle n’aime pas ça.  Elle sent la bite à l’entrée de son trou du cul alors qu’elle crie et le supplie de baiser plutôt sa chatte. Sa bite est trop grosse pour son cul. Mais le garçon ne montre aucune pitié.

- Aaarrrghhhhh, putain ! S’il te plaît, nonnnnnnn !!!! crie-t-elle.

La douleur la déchire alors que la queue du jeune homme s’enfonce dans son ouverture étroite. Le feu dans son cul est insupportable alors elle crie encore et encore. Mais la bite continue à s’enfoncer de plus en plus profondément. Elle essaie de se détendre pour soulager la douleur, car la bite est complètement enfoncée dans son cul. Il bouge légèrement. La douleur commence à diminuer est sa chatte dégouline alors qu’il lui attrape les cheveux pour maintenir sa tête pendant qu’il lui viole le cul. Bientôt la douleur disparaît totalement et Donna commence à bouger son cul sur sa bite et à écraser sa chatte sur le sol. Elle sent alors son sperme envahir son cul et elle le supplie de continuer à l’enculer. Lorsqu’il retire sa queue, elle reste allongée sur le sol toujours en train de frotter sa chatte, frustrée de se voir refuser sa libération.

Elle sent des mains autour de son cou puis une corde nouée autour alors qu’elle continue de se tortiller et de se frotter sur le sol. Grognant de frustration, son corps est inondé de sensations indescriptibles. Il lui suffisait d’un coup de rein supplémentaire, d’un contact supplémentaire pour la faire basculer dans le pur bonheur, même si elle aurait détesté satisfaire ses pulsions dans les mains du garçon insensible.

- Lève-toi salope !  Il est temps de te ramener à la maison et de montrer à papa comment j’ai apprivoisé ton petit cul. Tu es une vraie garce, papa va s’amuser avec toi ! Crache le jeune homme.

Donna essaie de rester au sol pendant que le garçon tire sur la corde. Finalement il la remonte sur ses pieds à sa grande consternation et humiliation. Puis il la tire derrière lui. Elle ne peut faire que des petits pas. Pieds nus, elle sent le foutre couler de son trou du cul et le jus de sa chatte couler le long de ses cuisses alors qu’elle essaie de suivre le rythme. Elle n’a jamais été aussi humiliée de toute sa vie. Elle penche la tête de honte, le visage rouge alors qu’ils sortent des bois en direction de la maison. Elle lève les yeux et distingue la forme de sa mère et de l’autre garçon sur le sol près du camion. Il est évident qu’Helen n’a pas été loin.

La vieille femme est à genoux. Elle est penchée et suce la bite du garçon. Celui-ci est nu jusqu’à la taille, allongé sur le dos, étendu sur le sol. Les chevilles et les poignets d’Helen sont attachés de la même manière que ceux de Donna. Le cul de la grand-mère est pointé vers le ciel. Quand ils s’approchent Donna peut voir du sperme couler du trou du cul béant de sa mère. Sa chatte est également grande ouverte, du jus scintillant sur ses lèvres. Le garçon tient fermement ses cheveux et secoue sa tête de haut en bas sur son engin. La mère de Donna est visiblement soumise à la même épreuve qu’elle, mais le garçon semble prendre un grand plaisir à lui faire sucer sa bite.

- Ecoutez cette grosse truie ! groin, tu veux plus de bite, grosse truie ? S’exclame le garçon quand ils approchent.

- groin, groin, groin…

Helen suce vigoureusement la bite du garçon. Il n’est pas aussi gros que son frère qui vient de baiser Donna, mais sa bite reste de bonne taille. Donna peut la voir distinctement alors qu’elle entre et sort de la bouche de sa mère.

- Il faut que j’essaie cette jeune pouliche plus tard. Cette vieille truie est trop facile. Je pense qu’elle apprécie tout ça. N’est-ce pas grosse truie ? Rit le garçon en continuant de secouer de haut en bas la tête d’Helen sur sa queue raide.

- groin, groin… répond Helen.

Donna aurait ri de l’épreuve humiliante que sa mère subit, si elle n’avait pas été elle-même aussi humiliée et frustrée sexuellement. Malgré son épreuve, sa chatte est mouillée. Elle se demande si le garçon a permis à sa mère d’avoir un orgasme ou si elle était aussi frustrée qu’elle.

- Comment vont les autres à l’intérieur ? Demande le garçon tenant Donna en laisse à son frère.

- Papa a dit que maman aimait vraiment sucer la bite du garçon et qu’elle l’a fait déjà jouir deux fois. Notre grande sœur demande sa part aussi. D’ailleurs il se demande pourquoi ça t’a pris si longtemps. Répond le garçon en poussant de plus en plus vite le visage d’Helen sur sa queue.

- Cette salope m’a presque fait courir un kilomètre dans les bois. Et puis elle a eu la stupidité de me mordre le cul. Donc je lui ai appris une chose ou deux. Attends de mettre ta bite dans cette chatte serrée, tellement serrée que j’ai failli jouir trop tôt. Je ne suis pas habitué à ça avec les chattes de maman et notre sœur.

Donna est abasourdie que les garçons parlent ainsi. Ils baisent leur propre mère et leur sœur ? Et maintenant son fils Mikey participe à leur folie. Son esprit bouillonne de pensées perverses alors qu’elle essaie de les combattre. Mais sa chatte devient de plus en plus mouillée à cause des images folles qui inondent son esprit. Sa chatte convulse en imaginant son fils se faire sucer par la maîtresse de maison. Il était puceau. Eh bien plus maintenant…

Elle sent la corde être tirée vers l’avant alors qu’elle se débat sans enthousiasme pour ne pas le suivre.

- Tu ferais mieux de rentrer, papa attend depuis assez longtemps. Rit le garçon en entraînant Donna derrière lui.

Puis il ajoute à l’attention de son frère :

- Je reviens dans un instant pour essayer cette grosse truie.

Donna peut entendre sa mère essayer de dire quelque chose, mais tout ce qui sortit de sa bouche fut un « groin, groin », suivi d’une toux, de haut-le-cœur et d’étouffement.  Plus ils se rapprochent de la porte, plus elle se débat pour se libérer. Mais la corde se resserre plus fort autour de son cou alors qu’elle est traînée à l’intérieur. L’idée que son fils la voie de cette façon est trop difficile à supporter alors elle supplie le jeune garçon de la laisser dehors, hors de la vue de Mikey. Elle lui propose même de lui sucer la bite si il la laisse sous le porche. Mais le jeune homme ignore simplement ses supplications et la traîne par la porte ouverte dans la maison.

Tout est sombre lorsqu’ils entrent. Ça sent l’humidité et le renfermé, l’air est oppressant. Les yeux de Donna essaient de s’habituer à la pénombre. Elle entend des gémissements et elle reconnaît Mikey. Ses yeux s’adaptent au changement de lumière et se tournent vers la source du bruit. Donna voit une femme plus âgée d’une cinquantaine d’années environ, à genoux, le  visage contre le sol. Mikey est agenouillé derrière elle et il baise sa chatte. Il se balance frénétiquement d’avant en arrière tandis que la femme recule sur sa queue en appréciant les coups de rein du jeune homme. Mikey lui frappe avec enthousiasme son gros cul blanc tout en la traitant de grosse pute et de salope. Il lève les yeux vers sa mère et sourit.

Donna est complètement dégoûtée par ce que fait son fils. De plus elle est contrariée qu’il s’amuse autant alors qu’elle a été soumise à une épreuve aussi humiliante. Elle n’est même pas consciente de ce à quoi elle doit ressembler, debout, nue et attachée avec du sperme coulant le long de sa jambe , jusqu’à ce qu’elle entende une voix derrière elle :

- Viens ici salope, et suce la bite d’un vrai homme !

Surprise, Donna se retourne et voit le vieil homme assis complètement nu sur un rocking-chair. Sa chemise en lambeaux, sa salopette sale, ses sous-vêtements et ses chaussettes sont éparpillés sur le sol à côté de la chaise.  Ses membres sont maigres , mais son ventre est gonflé et rond. Un tapis de poils recouvre son torse et ses ongles de pieds sont longs et sales. Une jeune fille d’une vingtaine d’années est agenouillée devant lui, aspirant et suçant ses grosses couilles qui pendent sur le bord avant du rocking-chair.

- J’ai gardé une énorme quantité de foutre pour ta bouche d’intellectuelle, salope ! Viens ici et laisse-moi te combler ! Râle l’homme.

- Certainement pas ! Vous avez promis de nous emmener en ville. Et ton garçon vient de me violer. Attendez que j’appelle les flics… Crie Donna.

Elle sent alors sa tête être tirée avec force par la corde attachée à son cou. C’est si serré qu’elle ne peut pas résister. Elle ne peut même plus parler.

- Salope, tu fais ce que papa demande, ou je vais chercher une autre branche d’arbre pour l’utiliser sur ton cul. Tu comprends, salope ? Gronde le garçon.

Donna veut parler, mais la corde est trop serrée, lui coupant les cordes vocales. Elle étouffe.

- Secoue ton pied si tu comprends, salope ! Crie le garçon.

Donna commence à secouer frénétiquement son pied, paniquée alors que sa respiration est maintenant coupée. Elle est à bout de souffle et cherche de l’air quand le garçon détache la corde de son cou.

- Désobéis encore, ou parle sans permission et je te jetterai dans la porcherie ! Prévient le garçon.

Les yeux de Donna sont exorbités, elle est choquée et elle a peur. Elle sait qu’il fera ce qu’il dit. Elle hoche la tête en signe d’accord, se sentant embarrassée, honteuse et complètement vaincue.

Le garçon la conduit vers le vieil homme tandis que la jeune fille arrête de lui lécher  les couilles. Elle sourit à Donna alors que celle-ci se met à genoux pour être confrontée au sexe du vieil homme. Le jeune homme passe le bout de la corde à son père pour qu’il puisse contrôler Donna.

Celle-ci baisse les yeux sur les grosses couilles et elle sent la bile monter de son estomac. C’est horrible. Les couilles de l’homme ressemblent à deux boules de billard dans une chaussette, elles sont toutes luisantes et mouillées de la salive de sa fille. Sa queue est affreuse, c’est un monstre aux veines bleutées avec un prépuce accroché au bord du gland. La tête bulbeuse est deux fois plus épaisse que la tige, un peu de liquide suinte de la fente. Le sexe mesure 15 centimètres de long, il point droit vers le plafond et touche le bas du ventre à bière.

- Demande-moi de mettre ma grosse bite dans ta bouche d’intellectuel, salope ! Demande le vieil homme en la regardant et en souriant méchamment.

Donna entend Mikey rire de l’autre côté de la pièce alors que les larmes lui montent aux yeux. Elle n’a jamais été aussi humiliée de toute sa vie. Elle est morte de honte, résignée au fait qu’elle est impuissante à refuser.

- S’il vous plaît, mettez votre grosse bite dans ma bouche d’intellectuelle. Dit-elle en rougissant et en pleurnichant.

Le vieil homme lui attrape l’arrière de la tête alors qu’elle ouvre la bouche pour crier. Il enfonce sa queue au fond de sa gorge. La bite est dure et grosse, mais pas aussi grosse que celle de son fils. Elle a des haut-le-cœur alors que le membre remplit sa bouche et se loge dans sa gorge. D’un mouvement rapide, il attrape ses cheveux et pompe sa tête d’avant en arrière, forçant sa bouche de haut en bas sur le sexe sale.

- Je savais bien que cette bouche allait servir à quelque chose ! Comment sont son cul et sa chatte ? Demande l’homme à son fils.

- Bien serré, papa ! J’ai presque joui tout de suite si bien que j’ai dû sortir de sa chatte et m’enfoncer dans son cul à la place. Cette pute était tellement excitée qu’elle écrasait sa chatte contre le sol pour essayer de jouir. Bon, j’ai dit à Jake que je voulais essayer la grosse truie. Donc je reviens dans un moment.

Donna veut protester, dire au garçon de ne pas la laisser seule avec le vieil homme, mais sa bouche est complètement pleine et se fait baiser sans relâche par sa bite. Malgré l’humiliation, elle recommence à mouiller. Elle se sent totalement dégoûtée par elle-même.

- Sissy, prends ma ceinture et caresse-lui le cul plusieurs fois. Cette garce est paresseuse, elle ne fait pas d’efforts. Fais rougir son cul, ça devrait lui donner de l’entrain.

Donna commence à bouger frénétiquement la tête sur l’engin bien dure alors qu’elle entend la jeune fille se déplacer en arrière-plan. On peut entendre dans la pièce des « gloup, gloup, gloup » alors que la queue plonge encore et encore dans sa gorge.

SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC !

Donna crie de douleur, le son étouffé par la grosse bite qui lui remplit la bouche. Le vieil homme sursaute et gémit à la douce sensation tandis que le crie de Donna envoie des vibrations à travers sa queue.

La jeune fille frappe le cul de Donna avec la ceinture et ça fait un mal d’enfer.

SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC !

Donna pompe et aspire maintenant aussi vite qu’elle le peut le gros membre dans sa bouche.

- Ça suffit pour maintenant Sissy ! Je savais bien que cette salope se retenait. Bon Dieu, je vais exploser ! Dit le vieil homme sentant ses couilles bouillonner.

Donna ne veut plus de la ceinture. Mais elle n’a plus besoin de s’inquiéter. Après quelques secondes, la bite se tend et elle avale du foutre aussi vite qu’elle le peut. Elle sent une grande quantité de sperme couler dans sa gorge, elle s’étouffe et a des haut-le-cœur avec le liquide piquant. Le vieil homme garde sa tête fermement appuyée sur son manche pour l’obliger à avaler chaque goutte. Un filet de foutre lui sort du nez la première fois qu’elle tousse, mais l’homme s’assure qu’elle ne gaspille plus de goutte par la suite.

- C’est ça , salope ! Dit le vieil homme en lui tapotant la tête et en respirant lourdement.

- Par ici, nous ne gaspillons pas du bon sperme, n’est-ce pas, Sissy ? Ajoute-t-il.

- Non papa, nous l’avalons quel que soit le trou dans lequel vous le giclez. C’est à ça que nous servons, nous les femmes. C’est ce que nous faisons de mieux.

- Dommage que je viens d’éjaculer dans ta bouche, salope. J’aurais bien essayé ta chatte et ton cul, mais je pense que ça va attendre un peu. Martha, tu as fini avec le jeune homme ?

- Oui pour l’instant. Il a une très belle bite. Il faut que j’en profite encore un peu plus tard. Pour le moment ma chatte est pleine  de son sperme.

- Bien, alors viens ici, ma chienne va nettoyer ta chatte. Et laisse Sissy s’occuper du jeune homme ! Dit Le vieil homme.

- Merci papa ! Dit la jeune fille avec enthousiasme avant de partir retrouver Mikey.

Donna est éberluée et n’arrive pas à réaliser. Elle doit nettoyer la chatte de la vieille mère du sperme de son fils ? C’est quoi ce bordel ? Ces gens sont malades ou quoi ? Elle essaie de s’éloigner en rampant pour se cacher quelque part alors que la vieille femme approche. Mais la corde se resserre autour de son cou et lui coupe la respiration.

- Regardez ! Cette salope est tellement excitée qu’elle s’est presque étouffée. Je suis sûr qu’elle meurt d’envie de lécher ta chatte et nettoyer ce foutre. N’est-ce pas, salope ?

Les yeux de Donna sont exorbités de douleur, de peur et de dégoût. Elle peut à peine respirer. Elle commence à battre des pieds pour indiquer qu’elle accepte.

- Tu vois, chérie, je t’avais dit que sa bouche allait être bonne pour beaucoup de choses. Maintenant, écarte tes belles grosses lèvres de chatte et donne à manger à cette chienne. Rit le vieil homme.

Donna sent la corde être tirée pour qu’elle se retourne face à la femme âgée. Elle voit sa grosse chatte poilue grande ouverte, avec le sperme de son fils qui en coule. Elle aurait des haut-le-cœur si la corde ne lui coupait pas le souffle.

- Commence à lécher, salope, et je desserrerai la corde. Rit le vieil homme.

Donna enfouit son visage dans la chatte humide et elle commence à lécher la vieille femme. Elle sent le goût du sperme de Mikey alors que la corde est desserrée et qu’elle peut respirer mieux. Ce n’est pas aussi horrible qu’elle l’avait imaginé. Elle enfonce sa langue plus profondément dans la chatte de la femme et elle aspire et lape le sperme de son fils comme si sa vie en dépend.

- C’est ça salope ! Nettoie bien ! Encourage la vieille femme alors que la langue sort et entre de sa chatte.

- Peut-être que je pourrai nettoyer ta chatte quand Mikey t’aura baisée. Ajoute-t-elle en riant.

L’idée de se faire baiser par son propre fils est déconcertant pour Donna, mais ça l’excite malgré elle. Depuis peu, depuis que Mikey se promène nu dans la maison, Donna rêve de sa belle bite. Elle sait que c’est dû à son manque de relations sexuelles ces dernières années. Mais il lui est impossible de quitter des yeux la bite de son fils quand il est nu. Son sexe est un très beau spécimen, si lisse, si doux qui donne envie de le sucer.

Donna continue de nettoyer la chatte gluante de la vieille femme jusqu’à ce qu’elle soit vraiment propre. Pendant ce temps, la femme gémit de plaisir. Et la chatte de Donna mouille encore plus. La mère de famille désespère d’avoir une bite en elle. Elle aimerait que le vieil homme lui enfonce sa grosse bite dans sa chatte et la baise jusqu’à l’orgasme. Elle a vraiment besoin d’une libération.

Elle peut entendre un martèlement bruyant de l’autre côté de la pièce. Elle sait que son fils, Mikey, baisse la plus jeune fille. Elle peut également entendre les grognements et les cris de joie de son fils alors qu’il claque les fesses de la fille pour la soumettre. Son fils semble être un vrai homme, un homme qui sait utiliser sa bite avec les femmes. La chatte de Donna dégouline à cette pensée. Elle a vraiment besoin d’une bite habile.

- Pourquoi n’emmènerais-tu pas cette chienne dehors pour laisser les garçons jouer avec elle pendant un moment. Moi j’ai besoin d’un bain chaud. Dit le vieil homme.

- Regarde sa chatte qui dégouline partout sur le sol. Elle a besoin d’une bonne bite. Ajoute-t-il.

La vieille femme saisit la corde de Donna et commence à la traîner dehors à quatre pattes. La mère de famille se laisse faire et ne résiste pas tellement elle a besoin d’être baisée. L’idée que l’un des deux garçons enfonce sa queue dans sa chatte excitée est exactement ce qu’elle a besoin à ce moment-là. Alors qu’elles sortent, elles peuvent entendre Helen crier comme une truie. Levant les yeux Donna voit sa mère lécher l’un après l’autre les trous du cul des garçons en grognant comme un cochon.

- Y’a Pa qui dit que vous pouvez profiter de cette salope pendant un moment, il prend un bain. Je veux aussi profiter de cette truie ! Crie la vieille dame.

- Bien sûr maman, elle est déjà dressée. Elle adore nos bites et nos culs. Et puis il est temps que nous dressions la pouliche. Crie le jeune garçon.

Il s’approche et Donna regarde sa bite dure qui frappe ses cuisses et se balance pendant qu’il marche. Sa bite n’est pas aussi grosse que celle de son frère aîné, mais elle l’est plus que celle de son père. Donna salive à l’idée de l’endroit où il pourrait la mettre. La vieille femme a lâché la corde, mais Donna ne pense même pas à s’enfuir à l’approche de ce sexe. Elle en a tellement besoin.

- Allez vieille truie, ne sois pas timide ! Viens voir maman et goûte un peu à cette chatte ! Appelle la vieille dame.

Donna regarde et voit sa mère Helen ramper sur le sol sale. Ses genoux, ses mains et ses coudes sont souillés de boue. Elle a des traces rouges partout sur les fesses, là où elle a été fouettée. Elle a des résidus blancs sur tous le visage et ça pend même à son menton. Elle a dû prendre une grosse éjaculation sur la figure. Ses cheveux sont totalement ébouriffés. Mais curieusement il est évident qu’elle semble apprécier ces épreuves humiliantes et dégradantes.

- Groin, groin, groin… Grogne-t-elle en rampant vers la vieille femme.

Donna peut dire que sa mère a apprécié ces épreuves et qu’elle a eu la baise de sa vie avec les garçons. Comme elle est penchée, elle peut voir la chatte et le cul de sa mère qui a sûrement été prise en sandwich. Son trou du cul est grand ouvert et ses lèvres de chatte dégoulinent d’excitation. Il semble qu’elle ait eu un moment inoubliable. De plus, elle ne montre aucune honte en rampant, couinant, et grognant pour enfouir son visage dans la chatte poilue de la vieille femme, la léchant et la suçant partout en secouant la tête d’un côté à l’autre.

L’attention de Donna revient au jeune homme alors qu’il attrape la corde attachée à son cou.

- C’est l’heure de ma balade en cochon ! Sois une bonne petite truie et porte-moi, salope ! Sourit le garçon.

Donna sent le jeune homme sauter sur son dos pour qu’elle le promène. Elle n’arrive pas à croire qu’il va la chevaucher alors que son poids pèse sur son dos. Mais la sensation de son cul nul et de ses couilles molles sur sa peau la pousse à obéir.

Le garçon se tourne légèrement et lui donne une claque violente sur ses fesses nues.

Clac ! Clac !

-Owwww ! Gémit Donna.

- Avance petite truie ! Crie-t-il en frappant plusieurs fois son cul avec la paume de sa main.

Donna commence à avancer mais ses fesses la piquent beaucoup et ses genoux lui font mal. Elle gémit d’inconfort et de douleur.

Puis elle sent le majeur du jeune garçon s’enfoncer dans son trou du cul. Le corps tout entier de Donna se contracte de plaisir, répondant à chaque poussée du doigt du garçon alors qu’il entre et sort de son cul. Elle remue comme une maniaque.

- Waouhhh ! J’ai trouvé ce qui te fait fonctionner ! Crie le garçon.

- Maintenant grogne, petite truie, si tu veux ma grosse bite dans ta chatte ! Continue le garçon en continuant de l’enculer avec son doigt de plus en plus vite.

- Groin, groin, groin ! Crie Donna frénétiquement.

Elle n’arrive pas à croire qu’elle imite un cochon alors qu’elle continue de marcher à quatre pattes. Son cul est affreusement douloureux. Ses genoux et ses paumes sont brûlants et douloureux aussi.  Mais sa chatte dégouline à l’idée d’une bite plongeant dans son sexe.

Alors qu’elle rampe dans la cours, à un moment elle aperçoit Mikey sous le porche de la maison. Il est assis sur l’un des transats et la fille de la maison est entre ses jambes en train de lui sucer la bite. Visiblement il aime vois sa mère se faire humilier tout en se faisant tailler une pipe.

Mais Donna s’en fiche. Elle continue à marcher à quatre pattes et à grogner jusqu’à ce que le garçon se lasse finalement de ce jeu et descende de son dos. Il pousse son visage vers le sol, lui écarte les jambes et enfonce profondément sa bite dans sa chatte par-derrière. Son sexe est tellement lubrifié par son jus intime qu’il n’a aucun mal à s’enfoncer jusqu’au bout. Elle n’arrête pas de crier et d se trémousser pour en avoir encore plus.

Son corps tout entier tremble et convulse d’excitation et d’envie alors que le jeune garçon la pilonne violemment. Son premier orgasme la frappe presque immédiatement, la faisant gémir d’extase. Le second vient un peu plus tard, quand le garçon la frappe où il faut. Cet orgasme déchire son corps et elle s’effondre en avant sur le sol, tremblante et babillant de manière incohérente. La bite sort de sa chatte. Mais comme le garçon est aussi au bord du gouffre, il plonge sur elle et lui poignarde le cul avant de se vider les couilles et déposer une grande quantité de foutre dans ses intestins.

Elle ne bouge plus, toujours excitée, mais appréciant ce sentiment d’être enfin libérée. Elle jette un coup d’œil autour d’elle et elle voit sa mère à genoux à côté d’elle en train d’être baisée par Mikey. Cette scène incestueuse lui envoie de petites décharges électriques dans la chatte. Elle vient d’avoir le meilleur orgasme de sa vie et elle sait qu’elle ne sera plus jamais la même. Elle est corrompue pour toujours.

Donna sent à nouveau sa chatte s’ouvrir pour une grosse bite. Son corps n’offre aucune résistance. Elle comprend à la taille de l’engin que ce doit être la queue du frère aîné. Elle commence alors à l’encourager. Elle jouit à nouveau pendant que le gars lui pistonne la chatte. Mais bientôt, lui aussi au bord du gouffre, il sort sa bite s’agenouille devant elle et fourre son sexe dans sa bouche. Ses joues se creusent et elle suce pour extraire jusqu’à la dernière goutte de foutre de la bite qui éjacule. Elle avale le tout sans en perdre une seule goutte. Donna ne peut plus se contrôler, tout ce qu’elle veut pour le moment c’est plus de bite et de sperme.

Elle ne bouge plus en reprenant son souffle, elle a peur de perdre cette sensation de bien-être. C’est la sensation la plus paisible qu’elle n’a jamais connue. Soudain elle sent une autre queue au niveau de sa chatte. La bite s’enfonce totalement.

- Prends ça maman, ! Espèce de salope au gros cul ! Prends ma bite, salope !

Donna comprend qu’il s’agit de son fils. Elle pousse ses hanches sur lui pour qu’il la pénètre jusqu’au bout.

- Groin, Groin ! Grogne-t-elle avec envie alors qu’il martèle sa chatte humide et bien ouverte.

- C’est ça mon garçon ! Fais-la couiner comme la truie qu’elle est !

Donna entend la voix du vieil homme derrière elle :

- Maintenant que nous les avons formées correctement, nous allons pouvoir les emmener plus tard à la ferme du vieux Peabody. Je pense qu’il nous donnera 50 000 pour ces trois-là.

Donna ne fait pas vraiment attention à ce que dit le vieil homme, elle est trop occupée par son fils qui la baise avec vigueur. Le vieil homme continue :

- Ça va Mikey ? Tu as envie de vivre dans une grande ferme et baiser ta mère et ta grand-mère tous les jours ?

- Oh ouais ! Crie le garçon en déchargeant son foutre dans la chatte de sa mère.

- Une ferme ? Demande Helen, toujours à quatre pattes.

- Oui c’est ça… Commence le vieil homme.

Il montre les épaves de voiture qui entourent sa propriété et dit :

- Regardez toutes ces voitures. Elles appartiennent à tous les visiteurs que nous avons reçus ici avant vous.

Helen regarde tout autour avec un air confus sur le visage.

- La route sur laquelle vous êtes tombées en panne ce matin est un endroit où il y a souvent des accidents. Il y a toujours beaucoup de brouillard et elle devient une vraie patinoire l’hiver. J’y vais quasiment tous les jours. Et à peu près tous les trois mois, je tombe sur une voiture en panne ou accidentée comme vous. Si je trouve les passagers alors je les ramène ici et je laisse ma famille les dresser. Une fois le dressage terminé, vous êtes prêts pour la ferme du vieux Peabody.

- Hein ? Qu’est-ce qu’il y a dans cette ferme ? Demande Helen.

- Des hectares et des hectares de champs de fraises. Vous passerez douze heures par jour à cueillir des fraises en été. De plus il y a beaucoup de demande par ici pour des gens comme vous, en particulier de familles formées pour devenir des esclaves sexuelles complètement soumises.

Helen réfléchit avant de comprendre :

- Vous nous vendez comme esclave ? Des esclaves sexuelles et des cueilleurs de fraises ?

- Ouais, entre autres choses. Il y a toujours quelque chose à faire à la ferme Peabody.

Il rit et se dirige vers son camion.

- Je vais laisser ma femme, ma fille et mes deux fils vous nettoyer et vous nourrir pendant que je vis chercher votre voiture. Je ne voudrais pas que quelqu’un tombe dessus et vous cherche. Ce soir, après le coucher du soleil, nous irons vers la ferme Peabody pour que vous commenciez une nouvelle vie.

FIN.