Traduction d’un texte de Ludic. (Inédit)
- Taisez-vous, mère ! Crie Donna.
C’est déjà assez pénible d’entendre son fils adolescent se plaindre à l’arrière, mais maintenant sa mère râle aussi. Elle sait qu’elle est perdue, mais ils ne l’aident pas.
- Ce pas une façon de parler à ta mère ! Je t’ai dit que ce n’était pas la bonne direction ! Répond Helen, irritée.
Donna l’ignore. Ils roulent depuis plus de trois heures maintenant et ils n’ont vu aucun signe de vie depuis au moins trois kilomètres. Ils sont censés passer un week-end dans un village de montagne, mais soit elle a pris le mauvais chemin, soit la carte est fausse. Ils roulent sur une route étroite et perdue, avec un gros ravin sur le côté gauche. Donna reste le plus à droite qu’elle le peut. Pour aggraver les choses, le temps est couvert avec un épais brouillard persistant au loin.
- Oh mon Dieu ! Gémit Donna alors que la peur la saisit comme un étau.
Elle avait espéré que ce week-end lui offrirait une pause agréable dans son travail et qu’il lui permettrait de passer du temps avec sa mère et son fils. Sa relation avec ces deux personnes est importante pour Donna.
Après tout Mikey et Helen sont tout sa famille maintenant. Son mari l’a quittée il y a une dizaine d’années pour s’enfuir avec une autre femme, la laissant seule pour élever son fils. Depuis elle a une méfiance naturelle contre les hommes et elle est restée célibataire.
Donc elle n’a pas été baisée depuis dix ans. Ce fut dur et parfois frustrant, mais ces six derniers mois furent insupportables. Elle voudrait qu’un homme la prenne et la baise à fond. Le sexe lui manque tellement. Ses jouets sexuels sont sa seule échappatoire, mais ils perdent de leur attrait. De plus, comme son travail lui prend tout son temps, elle n’a pas le temps de se faire des relations. Aujourd’hui, âgée de trente-huit ans, elle se résigne presque à l’idée de rester célibataire pour toujours.
Helen, la mère de Donna, est veuve et âgée de soixante et un ans. Son mari est décédé il y a huit ans. Mais contrairement à Donna, Helen a un appétit sexuel insatiable si l’on croit les rumeurs. Elle est sortie avec beaucoup d’hommes depuis la disparition prématurée de son mari, surtout avec des amis de son cours de salsa. Donna est le contraire de sa mère. Elles n’ont jamais abordé ce sujet toutes les deux, mais il est évident que Helen est une croqueuse d’hommes.
Et puis il y a Mikey, sa plus grande inquiétude. C’est un garçon pour le moins étrange. Il lui est très difficile de parler aux filles. Aujourd’hui, âgé de dix-huit ans, il n’ a quasiment flirté avec aucune fille et encore moins couché avec une. C’est un puceau de dix-huit ans, mais avec un sérieux appétit sexuel, sa main étant son plus fidèle partenaire. C’est ce qui cause des problèmes à la maison. Depuis peu, il refuse de porter des vêtements à l’intérieur de la maison. Au début Donna était embarrassée, mais elle a fini par s’y habituer. De temps en temps Mikey tourne son attention sur sa mère et il essaie de la regarder discrètement lorsqu’elle se douche ou lorsqu’elle dort nue. C’est un jeune homme vivant, mais étrange parfois. Donna a appris à vivre avec ses caprices. Elle espère juste qu’il va trouver bientôt une petite amie avant de sombrer dans une vie de crime sexuel et de débauche.
Donne jette un coup d’œil dans son rétroviseur. Elle regarde Mikey qui a ses écouteurs sur la tête pour écouter de la musique sortant de son Walkman. Il n’est pas conscient de la situation difficile dans laquelle ils se trouvent tous. Donne jette un coup d’œil à sa mère sur le siège passager. Son visage arbore une expression de surprise heureuse alors qu’elle observe le brouillard s’approcher.
- Wow, regarde ce brouillard ! N’est-il pas beau ? S’exclame la femme âgée en souriant.
- Pas pour moi ! Je dois le traverser ! Répond Donna.
Le brouillard atteint le pare-brise. Puis, comme dans un film d’horreur, la brume les engloutit.
- Il faut que je m’arrête ! Crie Donna.
A travers l’épaisse masse blanche, elle peut à peine distinguer l’avant de la voiture. Elle appuie sur les freins en priant pour qu’aucune voiture ne soit derrière elle. Les roues crissent sur le gravier. Puis l’avant de la voiture s’effondre.
Un instant avant que l’arrêt soudain ne projette Donna contre le volant, elle réussit à couvrir son visage avec ses bras pour amortir le coup. Sa mère se plie en deux et son front heurte le tableau de bord qui lui laisse une marque rouge sur le front. Mikey, à l’arrière, crie frénétiquement :
- Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui se passe ?
- Du calme ! Est-ce que ça va ? Dit Donna d’une voix aussi calme qu’elle le peut.
Helen dit, soulagée :
- Juste un léger coup sur la tête pour moi, rien de grave.
Donna va bien, mais Mikey a une marque rouge sur le ventre, juste là où la ceinture de sécurité l’a irrité. L’air à l’intérieur de la voiture s’est rafraîchi alors Donna allume le chauffage. Tous les trois restent silencieux un moment, choqués et perdus dans leurs pensées. Ils espèrent que quelqu’un va venir à leur secours avant que le chauffage ne s’arrête. Manifestement, ils ont plongé dans un profond fossé, l’arrière de la voiture dépassant et étant visible depuis la route. Toutes les personnes passant par là les verraient et, espèrent-ils, leur viendront en aide. Ils doivent juste attendre un peu. Donna est sur le point de pleurer. Elle espérait que ce week-end serait une bonne expérience pour se rapprocher tous les trois. Mais tout va mal.
Ce n’est qu’au bout de trente minutes que Donna voit l’homme pour la première fois dans le rétroviseur. Il est penché à l’arrière de la voiture et il secoue la tête lentement en la regardant. Ses yeux perçants, son nez tordu, sa bouche édentée, tout semble trop petit, comme s’ils appartenaient à quelqu’un qui aurait fait la moitié de sa taille.
Un poing ganté frappe la lunette arrière.
- Maman ? Dit Mikey, surpris.
- C’est bon chéri. Dieu merci il y a quelqu’un qui va nous aider. Soupire Donna.
Helen et Donna réussissent à sortir de la voiture. Avec la voiture piquée dans le fossé, Mikey est plus haut, mais sa mère réussit à l’attraper par les hanches pour l’aider à sortir. Il n’est pas vraiment lourd. Ils sont alors confrontés à la tâche de sortir du fossé. La pente herbeuse est humide, boueuse et glissante.
L’homme étrange saisit alors une corde dans sa dépanneuse à plateau. Il l’attache à l’extrémité de sa boule de remorquage et il jette l’autre extrémité dans le fossé.
- Attrapez la corde et sortez ! Crie-t-il.
Les trois membres de la famille s’agrippent les uns aux autres pour se stabiliser. Ils jurent, perdent pied et tombent. Au moment où ils sortent tous du fossé ils sont couverts de boue de la tête au pied. Respirant lourdement, couverts de terre, tous les trois sont assis sur le bord de la route dans le brouillard. La raison pour laquelle ils sont tombés dans le fossé est maintenant évidente. La route tourne à gauche Et Donna ne l’a pas vu.
L’étranger les laisse à leurs réflexions tandis qu’il détache la corde et la jette dans son camion. Ils sont assis sur le talus et le regardent faire. Il n’est qu’une forme sombre dans le brouillard. Ils remarquent alors qu’il boite. A mesure qu’il s’approche d’eux, la silhouette devient plus distincte. L’homme a la cinquantaine, il est chauve, très laid, avec des cicatrices sur le visage. Il est très grand avec un énorme ventre à bière. Mais il est voûté et il boite comme s’il supportait un poids invisible.
- On dirait que vous n’avez pas eu de chance là ! Dit-il d’une voix bourrue et grave.
Donna remarque qu’i porte une vieille chemise en lambeaux et une combinaison recouverte d’huile moteur et de graisse.
- S’il vous plaît, il faut que nous donnions un coup de fil ! Dit Donna avec un tremblement dans la voix.
Elle est mouillée et couverte de boue de la tête aux pieds. L’air glaciale mord son corps jusqu’aux os. Elle ajoute :
- Pourriez-vous nous emmener jusqu’à la ville la plus proche ?
- Non, je ne vais pas par là. J’habite au bout de la route, en pleine campagne, loin de la ville. Répond le vieil homme, insensible à la situation de la famille.
Un mollard remonte de sa gorge et il le crache par terre.
- Peut-être que l’on peut utiliser le téléphone chez vous ? Plaide Donna.
- Il n’y a pas de téléphone chez moi, chérie. Je m’en fiche de ces foutues choses. C’est l’œuvre du Diable si tu veux savoir…
Furieuse, Donna le regarde et dit :
- Vous devez nous aider. Sinon nous allons mourir de faim ou de froid ici.
L’homme réfléchit un moment en se mordant la lèvre inférieure.
- Ouais, je suppose que tu as raison. Cela pourrait prendre des jours voire des semaines avant qu’une autre voiture passe par ici. De plus, la ville la plus proche est à vingt kilomètres. Avec cette température et ces vêtements mouillés, vous allez mourir d’hypothermie avant que quelqu’un vous trouve.
- Oh merci mon Dieu ! Tenez, prenez cet argent pour le dédommagement. Crie Donna avec soulagement.
Elle fouille dans sa poche pour sortir son porte-monnaie. Mais juste au moment où elle lui tend l’argent il dit :
- Toi et la vieille dame allez devoir vous déshabiller avant de monter dans mon camion. Complètement !
- Qu’est-ce que vous dites ? Questionne Donna, furieuse.
- Ecoute chérie ! Vous êtes mouillées et couvertes de boue. Vous n’allez pas salir ma banquette arrière.
Il se tourne vers Mikey :
- Comment t’appelles-tu, fils ?
- M… Mikey… Bégaie le jeune homme.
Le vieil homme passe un bars autour de l’épaule de l’adolescent et dit :
- Mikey peut garder ses vêtements. Il va monter devant avec moi, comme un vrai homme. Mon siège passager est déjà sale, parce que mon chien, Brutas, adore se rouler dans la boue. Mais, vous, mes petites dames, vous devez vous asseoir à l’arrière, aussi nues que le jour de votre naissance.
Donna n’arrive pas à croire ce que ce vieux salaud a dit.
- Va te faire foutre, vieux pervers ! Dit-elle sèchement.
- Comme vous le voulez. Ravi de vous avoir rencontré. Bonne chance m’sieur dames ! Répond l’homme avant de se retourner et marcher vers son camion.
- Attendez ! Attendez ! Crie Helen.
Donna ne comprend pas pourquoi sa mère rappelle ce vieux salaud.
- Qu’est-ce que…
- Tais-toi Donna ! Je n’ai pas l’intention de marcher 20 kilomètres à mon âge. S’il veut me voir nue, alors tant pis. Je doute qu’il puisse me faire du mal à son âge. Tu peux rester si tu veux. Dit Helen.
Le vieil homme a un sourire sournois alors qu’il regarde avec Donna Helen se déshabiller. Il dit de laisser les vêtements au bord de la route pour les récupérer plus tard. Mikey regarde avec insistance sa grand-mère dégrafer enfin son soutien-gorge et laisser ses gros seins tomber devant lui. Ses yeux s’écarquillent et brillent alors qu’elle baisse sa culotte et laisse tous ses vêtements au bord de la route. Il sourit en posant ses yeux sur la touffe de poils denses entre les jambes d’Helen.
- Et toi chérie ? Demande le vieil homme à Donna.
Celle-ci est abasourdie. Elle n’arrive pas à croire que sa propre mère est maintenant totalement nue avec un avant-bras couvrant ses seins et une main entre les jambes pour cacher ses parties intimes. Elle frissonne de partout alors qu’elle commence à se lever sur la pointe des pieds pour monter à l’arrière du camion.
- Bon, je suppose que la promenade te fera du bien… Dit le vieil homme avant de s’éloigner.
- Non, attendez ! C’est bon ! Dit Donna en colère et effrayée.
- Tu peux aussi t’asseoir sur le plateau, après tous les ennuis que tu me causes, espèce de salope ingrate. Grogne l’homme.
Mikey sourit jusqu’aux oreilles avec un air étonné sur le visage alors que sa mère commence à déboutonner son chemisier. La lèvre inférieure de celle-ci tremble et elle a l’air d’être sur le point de fondre en larmes. Elle est furieuse aussi que son fils semble autant apprécier son humiliation.
« Bon sang, tu souhaiteras ne jamais avoir vu ça quand j’en terminerai avec toi plus tard » pense Donna.
Elle enlève son pantalon, son chemisier, son soutien-gorge et sa culotte. Elle les ramasse et les dépose le long de la route. Couvrant sa nudité du mieux qu’elle le peut, elle grimpe sur la plate-forme du camion et s’assoit sur le côté. Elle peut voir l’arrière de la tête de sa mère, à l’intérieur du camion, dans la chaleur. Elle commence à regretter de s’être disputée avec le vieil homme tandis que la brise froide lui glace les os. Même si c’est un soulagement de voir Mikez disparaître à l’intérieur du camion, elle remarque qu’il sourit et la regarde avant de monter. Le salaud.
Le camion démarre et commence à rouler sur la route à reculons. Donna sent chaque bosse. Elle se doute qu’il doit le faire exprès, mais elle ne peut rien y faire. Elle ne peut même pas couvrir son sexe, car les mouvements du camion sont brusques et elle doit se tenir pour ne pas tomber. Elle a l’impression d’avoir roulé pendant des heures et son corps est ravagé par le froid et la douleur lorsqu’ils quittent finalement la route et empruntent un chemin de terre. C’est encore plus accidenté et Donna manque de s’envoler du plateau une ou deux fois.
Finalement, ils s’arrêtent devant une petite propriété entourée d’une demi-douzaine de vieilles voitures délabrées. Tout a l’air vieux et délabré d’ailleurs. Donna ne s’en soucie pas, du moment qu’elle peut aller en ville et appeler pour avoir de l’aide. Le camion s’arrête près de la porte d’entrée et le vieil homme coupe le moteur et sort.
- Vous, les salopes, vous restez là et je vous emmènerai en ville. Dit-il alors que Mikey descend et marche à ses côtés en regardant en arrière et en souriant par-dessus son épaule.
« Le petit salaud, il le paiera cher plus tard » Pense Donna.
Helen sort du camion pour se dégourdir les jambes.
- Maman, espèce de salope, remets ton gros cul dans le camion avant que Mikey ne revienne. C’est déjà assez grave qu’il t’ait vu complètement nue une fois. Grogne Donna.
- Et alors ? Il t’a déjà beaucoup vue nue d’après ce que j’ai entendu. Ce garçon est un démon du sexe en devenir, si tu veux le savoir. Répond Helen en ignorant les ordres de sa fille.
Donna a envie de se lever et gifler sa mère lorsqu’elle entend des bruits venant de la maison. Elle se retourne, se baisse sur le plateau du camion, et regarde autour d’elle. Le vieil homme sort de la maison avec deux garçons d’une vingtaine d’années qui le suivent avec d’énormes sourires sur leurs visages. Elle voit aussi Helen reculer dans le camion.
- Les voilà, mes petits gars ! Aboie l’homme avec enthousiasme.
- Faites votre choix parmi ces pouliches et amusez-vous ! Ne les fatiguez pas trop ! J’ai envie de ce petit cul intelligent plus tard, je vais lui donner une leçon pour lui apprendre à contrôler ses paroles. Attachez-les bien pour qu’elles ne s’enfuient pas !
Donna regarde avec horreur les garçons prendre de la corde sous le porche. Elle sait qu’ils vont l’agresser. Rapidement elle essaie de sortir du plateau du camion. Elle entend la porte du camion s’ouvrir et Helen sauter du siège arrière. Donna saute et se met à courir aussi vite qu’elle le peut. Mais elle entend des pas derrière elle. Elle jette un coup d’œil au-dessus de son épaule et elle voit un des garçons courir vers elle et la rattraper alors qu’elle se dirige vers la forêt presque à bout de souffle. Elle ne sait pas ce qui devient pour Helen ou Mikey, mais elle s’en fiche pour le moment, en essayant de s’enfuir aussi vite qu’elle le peut.
Soudain, elle sent une main saisir l’arrière de ses cheveux et son corps bascule en arrière et atterrit sur le sol avec un bruit sourd. Elle a le souffle coupé à l’impact. Avant même qu’elle ne puisse réfléchir clairement, le garçon attrape ses bras par-dessus sa tête et enroule la corde autour de ses poignets.
Donna retrouve son calme et essaie de repousser le jeune homme. Mais il est assis à califourchon sur sa poitrine, les fesses face à son visage, portant son poids sur son cou pour la clouer au sol. Lorsqu’elle le voit se pencher et attraper ses jambes pour attacher la corde autour de ses chevilles, elle lui mord les fesses aussi fort qu’elle le peut. Il glapit mais arrive quand même à lui attacher les chevilles avant de se lever. Donna se tortille sur le sol et crie en asseyant de reprendre son souffle.
- Tu m’as mordu le cul, salope ! Crache le garçon.
Il s’approche d’un arbre et casse une branche petite mais rigide. Puis il ajoute :
- Je vais t’apprendre !
Donna a repris son souffle et commence à se relever alors qu’il approche. Effrayée, elle le voit balancer la branche d’arbre dans sa main. Ses poignets et ses chevilles sont liés et reliés par un bout de corde. Elle essaie de bouger, mais elle ne peut faire que de petits pas alors que la branche tombe sur ses fesses. Elle crie de douleur, son corps tremblant.
- Quand j’en aurai fini avec ton petit cul tout blanc, tu ne mordras plus rien ! Crie le garçon en abattant encore et encore la branche jusqu’à ce que des stries violettes marquent les hanches, les cuisses et les fesses de Donna.
Elle jure et crie alors qu’elle essaie de s’éloigner du jeune homme. Si elle se retourne, elle sent la branche sur le haut de ses cuisses et elle se tourne à nouveau en hurlant de douleur. Finalement elle tombe au sol, désespérée, et elle se met à pleurer.
- Arrête, tu me fais mal… Supplie-t-elle.
Finalement le fouet s’arrête. Elle lève les yeux en pleurnichant et voit le garçon en train d’enlever son pantalon et son caleçon. Elle sait ce qui va suivre, mais elle n’a plus la volonté de combattre. Elle essaie bien de ramper sur le sol pour s’enfuir, mais elle sent ses chevilles être saisies puis elle est retournée sur le dos. Elle regarde le gars lever ses jambes en l’air en tenant la corde puis elle sent sa bite à l’entrée de sa chatte.
- Aiee… Non, s’il te plaît… Aaargghhh… Crie-t-elle de douleur alors que la bite s’enfonce dans sa chatte d’un seul coup.
Elle est serrée, très serrée, car ça fait dix ans qu’elle n’a pas été baisée. Immédiatement elle réalise combien le sexe lui a manqué après toutes ces années. La sensation de cette grosse bite envahissant son corps lui envoie un éclair de désir sexuel la traverser. Elle halète alors que la queue entre et sort de sa chatte. Malgré l’horreur d’être violée, sa chatte bouillonne et palpite autour de l’engin. Elle dégouline alors qu’elle se fait baiser comme jamais auparavant.
En manque, rattrapée par l’instant présent, elle ne tarde pas à répondre aux poussées du jeune homme. Elle aime cette sensation d’être violée. C’est ce qui lui a manqué ces dernières années, une personne qui la domine, qui exerce son pouvoir sur elle, qui la contraint. Elle est de nouveau dans son élément. Elle se sent totalement humiliée et dégradée alors que le garçon continue de la pilonner. Mais elle en veut encore plus. Elle est au bord de l’orgasme lorsqu’elle sent qu’il se retire de sa chatte envieuse. Il se moque d’elle alors qu’il la sent serrer les parois de sa chatte pour essayer de le retenir. Le garçon laisse ses jambes tomber au sol et il dit :
- Désolé salope, mais papa sera énervé si je te mets enceinte. Alors je vais trouver un autre endroit pour me vider les couilles.
Il saisit à nouveau ses chevilles et il la retourne sur le ventre avant de s’allonger à plat sur son dos. Elle sait ce qu’il a en tête et elle se débat pour le repousser. Elle ne s’est faite qu’une seule fois sodomiser, et même si ce n’est pas si grave, elle n’aime pas ça. Elle sent la bite à l’entrée de son trou du cul alors qu’elle crie et le supplie de baiser plutôt sa chatte. Sa bite est trop grosse pour son cul. Mais le garçon ne montre aucune pitié.
- Aaarrrghhhhh, putain ! S’il te plaît, nonnnnnnn !!!! crie-t-elle.
La douleur la déchire alors que la queue du jeune homme s’enfonce dans son ouverture étroite. Le feu dans son cul est insupportable alors elle crie encore et encore. Mais la bite continue à s’enfoncer de plus en plus profondément. Elle essaie de se détendre pour soulager la douleur, car la bite est complètement enfoncée dans son cul. Il bouge légèrement. La douleur commence à diminuer est sa chatte dégouline alors qu’il lui attrape les cheveux pour maintenir sa tête pendant qu’il lui viole le cul. Bientôt la douleur disparaît totalement et Donna commence à bouger son cul sur sa bite et à écraser sa chatte sur le sol. Elle sent alors son sperme envahir son cul et elle le supplie de continuer à l’enculer. Lorsqu’il retire sa queue, elle reste allongée sur le sol toujours en train de frotter sa chatte, frustrée de se voir refuser sa libération.
Elle sent des mains autour de son cou puis une corde nouée autour alors qu’elle continue de se tortiller et de se frotter sur le sol. Grognant de frustration, son corps est inondé de sensations indescriptibles. Il lui suffisait d’un coup de rein supplémentaire, d’un contact supplémentaire pour la faire basculer dans le pur bonheur, même si elle aurait détesté satisfaire ses pulsions dans les mains du garçon insensible.
- Lève-toi salope ! Il est temps de te ramener à la maison et de montrer à papa comment j’ai apprivoisé ton petit cul. Tu es une vraie garce, papa va s’amuser avec toi ! Crache le jeune homme.
Donna essaie de rester au sol pendant que le garçon tire sur la corde. Finalement il la remonte sur ses pieds à sa grande consternation et humiliation. Puis il la tire derrière lui. Elle ne peut faire que des petits pas. Pieds nus, elle sent le foutre couler de son trou du cul et le jus de sa chatte couler le long de ses cuisses alors qu’elle essaie de suivre le rythme. Elle n’a jamais été aussi humiliée de toute sa vie. Elle penche la tête de honte, le visage rouge alors qu’ils sortent des bois en direction de la maison. Elle lève les yeux et distingue la forme de sa mère et de l’autre garçon sur le sol près du camion. Il est évident qu’Helen n’a pas été loin.
La vieille femme est à genoux. Elle est penchée et suce la bite du garçon. Celui-ci est nu jusqu’à la taille, allongé sur le dos, étendu sur le sol. Les chevilles et les poignets d’Helen sont attachés de la même manière que ceux de Donna. Le cul de la grand-mère est pointé vers le ciel. Quand ils s’approchent Donna peut voir du sperme couler du trou du cul béant de sa mère. Sa chatte est également grande ouverte, du jus scintillant sur ses lèvres. Le garçon tient fermement ses cheveux et secoue sa tête de haut en bas sur son engin. La mère de Donna est visiblement soumise à la même épreuve qu’elle, mais le garçon semble prendre un grand plaisir à lui faire sucer sa bite.
- Ecoutez cette grosse truie ! groin, tu veux plus de bite, grosse truie ? S’exclame le garçon quand ils approchent.
- groin, groin, groin…
Helen suce vigoureusement la bite du garçon. Il n’est pas aussi gros que son frère qui vient de baiser Donna, mais sa bite reste de bonne taille. Donna peut la voir distinctement alors qu’elle entre et sort de la bouche de sa mère.
- Il faut que j’essaie cette jeune pouliche plus tard. Cette vieille truie est trop facile. Je pense qu’elle apprécie tout ça. N’est-ce pas grosse truie ? Rit le garçon en continuant de secouer de haut en bas la tête d’Helen sur sa queue raide.
- groin, groin… répond Helen.
Donna aurait ri de l’épreuve humiliante que sa mère subit, si elle n’avait pas été elle-même aussi humiliée et frustrée sexuellement. Malgré son épreuve, sa chatte est mouillée. Elle se demande si le garçon a permis à sa mère d’avoir un orgasme ou si elle était aussi frustrée qu’elle.
- Comment vont les autres à l’intérieur ? Demande le garçon tenant Donna en laisse à son frère.
- Papa a dit que maman aimait vraiment sucer la bite du garçon et qu’elle l’a fait déjà jouir deux fois. Notre grande sœur demande sa part aussi. D’ailleurs il se demande pourquoi ça t’a pris si longtemps. Répond le garçon en poussant de plus en plus vite le visage d’Helen sur sa queue.
- Cette salope m’a presque fait courir un kilomètre dans les bois. Et puis elle a eu la stupidité de me mordre le cul. Donc je lui ai appris une chose ou deux. Attends de mettre ta bite dans cette chatte serrée, tellement serrée que j’ai failli jouir trop tôt. Je ne suis pas habitué à ça avec les chattes de maman et notre sœur.
Donna est abasourdie que les garçons parlent ainsi. Ils baisent leur propre mère et leur sœur ? Et maintenant son fils Mikey participe à leur folie. Son esprit bouillonne de pensées perverses alors qu’elle essaie de les combattre. Mais sa chatte devient de plus en plus mouillée à cause des images folles qui inondent son esprit. Sa chatte convulse en imaginant son fils se faire sucer par la maîtresse de maison. Il était puceau. Eh bien plus maintenant…
Elle sent la corde être tirée vers l’avant alors qu’elle se débat sans enthousiasme pour ne pas le suivre.
- Tu ferais mieux de rentrer, papa attend depuis assez longtemps. Rit le garçon en entraînant Donna derrière lui.
Puis il ajoute à l’attention de son frère :
- Je reviens dans un instant pour essayer cette grosse truie.
Donna peut entendre sa mère essayer de dire quelque chose, mais tout ce qui sortit de sa bouche fut un « groin, groin », suivi d’une toux, de haut-le-cœur et d’étouffement. Plus ils se rapprochent de la porte, plus elle se débat pour se libérer. Mais la corde se resserre plus fort autour de son cou alors qu’elle est traînée à l’intérieur. L’idée que son fils la voie de cette façon est trop difficile à supporter alors elle supplie le jeune garçon de la laisser dehors, hors de la vue de Mikey. Elle lui propose même de lui sucer la bite si il la laisse sous le porche. Mais le jeune homme ignore simplement ses supplications et la traîne par la porte ouverte dans la maison.
Tout est sombre lorsqu’ils entrent. Ça sent l’humidité et le renfermé, l’air est oppressant. Les yeux de Donna essaient de s’habituer à la pénombre. Elle entend des gémissements et elle reconnaît Mikey. Ses yeux s’adaptent au changement de lumière et se tournent vers la source du bruit. Donna voit une femme plus âgée d’une cinquantaine d’années environ, à genoux, le visage contre le sol. Mikey est agenouillé derrière elle et il baise sa chatte. Il se balance frénétiquement d’avant en arrière tandis que la femme recule sur sa queue en appréciant les coups de rein du jeune homme. Mikey lui frappe avec enthousiasme son gros cul blanc tout en la traitant de grosse pute et de salope. Il lève les yeux vers sa mère et sourit.
Donna est complètement dégoûtée par ce que fait son fils. De plus elle est contrariée qu’il s’amuse autant alors qu’elle a été soumise à une épreuve aussi humiliante. Elle n’est même pas consciente de ce à quoi elle doit ressembler, debout, nue et attachée avec du sperme coulant le long de sa jambe , jusqu’à ce qu’elle entende une voix derrière elle :
- Viens ici salope, et suce la bite d’un vrai homme !
Surprise, Donna se retourne et voit le vieil homme assis complètement nu sur un rocking-chair. Sa chemise en lambeaux, sa salopette sale, ses sous-vêtements et ses chaussettes sont éparpillés sur le sol à côté de la chaise. Ses membres sont maigres , mais son ventre est gonflé et rond. Un tapis de poils recouvre son torse et ses ongles de pieds sont longs et sales. Une jeune fille d’une vingtaine d’années est agenouillée devant lui, aspirant et suçant ses grosses couilles qui pendent sur le bord avant du rocking-chair.
- J’ai gardé une énorme quantité de foutre pour ta bouche d’intellectuelle, salope ! Viens ici et laisse-moi te combler ! Râle l’homme.
- Certainement pas ! Vous avez promis de nous emmener en ville. Et ton garçon vient de me violer. Attendez que j’appelle les flics… Crie Donna.
Elle sent alors sa tête être tirée avec force par la corde attachée à son cou. C’est si serré qu’elle ne peut pas résister. Elle ne peut même plus parler.
- Salope, tu fais ce que papa demande, ou je vais chercher une autre branche d’arbre pour l’utiliser sur ton cul. Tu comprends, salope ? Gronde le garçon.
Donna veut parler, mais la corde est trop serrée, lui coupant les cordes vocales. Elle étouffe.
- Secoue ton pied si tu comprends, salope ! Crie le garçon.
Donna commence à secouer frénétiquement son pied, paniquée alors que sa respiration est maintenant coupée. Elle est à bout de souffle et cherche de l’air quand le garçon détache la corde de son cou.
- Désobéis encore, ou parle sans permission et je te jetterai dans la porcherie ! Prévient le garçon.
Les yeux de Donna sont exorbités, elle est choquée et elle a peur. Elle sait qu’il fera ce qu’il dit. Elle hoche la tête en signe d’accord, se sentant embarrassée, honteuse et complètement vaincue.
Le garçon la conduit vers le vieil homme tandis que la jeune fille arrête de lui lécher les couilles. Elle sourit à Donna alors que celle-ci se met à genoux pour être confrontée au sexe du vieil homme. Le jeune homme passe le bout de la corde à son père pour qu’il puisse contrôler Donna.
Celle-ci baisse les yeux sur les grosses couilles et elle sent la bile monter de son estomac. C’est horrible. Les couilles de l’homme ressemblent à deux boules de billard dans une chaussette, elles sont toutes luisantes et mouillées de la salive de sa fille. Sa queue est affreuse, c’est un monstre aux veines bleutées avec un prépuce accroché au bord du gland. La tête bulbeuse est deux fois plus épaisse que la tige, un peu de liquide suinte de la fente. Le sexe mesure 15 centimètres de long, il point droit vers le plafond et touche le bas du ventre à bière.
- Demande-moi de mettre ma grosse bite dans ta bouche d’intellectuel, salope ! Demande le vieil homme en la regardant et en souriant méchamment.
Donna entend Mikey rire de l’autre côté de la pièce alors que les larmes lui montent aux yeux. Elle n’a jamais été aussi humiliée de toute sa vie. Elle est morte de honte, résignée au fait qu’elle est impuissante à refuser.
- S’il vous plaît, mettez votre grosse bite dans ma bouche d’intellectuelle. Dit-elle en rougissant et en pleurnichant.
Le vieil homme lui attrape l’arrière de la tête alors qu’elle ouvre la bouche pour crier. Il enfonce sa queue au fond de sa gorge. La bite est dure et grosse, mais pas aussi grosse que celle de son fils. Elle a des haut-le-cœur alors que le membre remplit sa bouche et se loge dans sa gorge. D’un mouvement rapide, il attrape ses cheveux et pompe sa tête d’avant en arrière, forçant sa bouche de haut en bas sur le sexe sale.
- Je savais bien que cette bouche allait servir à quelque chose ! Comment sont son cul et sa chatte ? Demande l’homme à son fils.
- Bien serré, papa ! J’ai presque joui tout de suite si bien que j’ai dû sortir de sa chatte et m’enfoncer dans son cul à la place. Cette pute était tellement excitée qu’elle écrasait sa chatte contre le sol pour essayer de jouir. Bon, j’ai dit à Jake que je voulais essayer la grosse truie. Donc je reviens dans un moment.
Donna veut protester, dire au garçon de ne pas la laisser seule avec le vieil homme, mais sa bouche est complètement pleine et se fait baiser sans relâche par sa bite. Malgré l’humiliation, elle recommence à mouiller. Elle se sent totalement dégoûtée par elle-même.
- Sissy, prends ma ceinture et caresse-lui le cul plusieurs fois. Cette garce est paresseuse, elle ne fait pas d’efforts. Fais rougir son cul, ça devrait lui donner de l’entrain.
Donna commence à bouger frénétiquement la tête sur l’engin bien dure alors qu’elle entend la jeune fille se déplacer en arrière-plan. On peut entendre dans la pièce des « gloup, gloup, gloup » alors que la queue plonge encore et encore dans sa gorge.
SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC !
Donna crie de douleur, le son étouffé par la grosse bite qui lui remplit la bouche. Le vieil homme sursaute et gémit à la douce sensation tandis que le crie de Donna envoie des vibrations à travers sa queue.
La jeune fille frappe le cul de Donna avec la ceinture et ça fait un mal d’enfer.
SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC ! SCHLAC !
Donna pompe et aspire maintenant aussi vite qu’elle le peut le gros membre dans sa bouche.
- Ça suffit pour maintenant Sissy ! Je savais bien que cette salope se retenait. Bon Dieu, je vais exploser ! Dit le vieil homme sentant ses couilles bouillonner.
Donna ne veut plus de la ceinture. Mais elle n’a plus besoin de s’inquiéter. Après quelques secondes, la bite se tend et elle avale du foutre aussi vite qu’elle le peut. Elle sent une grande quantité de sperme couler dans sa gorge, elle s’étouffe et a des haut-le-cœur avec le liquide piquant. Le vieil homme garde sa tête fermement appuyée sur son manche pour l’obliger à avaler chaque goutte. Un filet de foutre lui sort du nez la première fois qu’elle tousse, mais l’homme s’assure qu’elle ne gaspille plus de goutte par la suite.
- C’est ça , salope ! Dit le vieil homme en lui tapotant la tête et en respirant lourdement.
- Par ici, nous ne gaspillons pas du bon sperme, n’est-ce pas, Sissy ? Ajoute-t-il.
- Non papa, nous l’avalons quel que soit le trou dans lequel vous le giclez. C’est à ça que nous servons, nous les femmes. C’est ce que nous faisons de mieux.
- Dommage que je viens d’éjaculer dans ta bouche, salope. J’aurais bien essayé ta chatte et ton cul, mais je pense que ça va attendre un peu. Martha, tu as fini avec le jeune homme ?
- Oui pour l’instant. Il a une très belle bite. Il faut que j’en profite encore un peu plus tard. Pour le moment ma chatte est pleine de son sperme.
- Bien, alors viens ici, ma chienne va nettoyer ta chatte. Et laisse Sissy s’occuper du jeune homme ! Dit Le vieil homme.
- Merci papa ! Dit la jeune fille avec enthousiasme avant de partir retrouver Mikey.
Donna est éberluée et n’arrive pas à réaliser. Elle doit nettoyer la chatte de la vieille mère du sperme de son fils ? C’est quoi ce bordel ? Ces gens sont malades ou quoi ? Elle essaie de s’éloigner en rampant pour se cacher quelque part alors que la vieille femme approche. Mais la corde se resserre autour de son cou et lui coupe la respiration.
- Regardez ! Cette salope est tellement excitée qu’elle s’est presque étouffée. Je suis sûr qu’elle meurt d’envie de lécher ta chatte et nettoyer ce foutre. N’est-ce pas, salope ?
Les yeux de Donna sont exorbités de douleur, de peur et de dégoût. Elle peut à peine respirer. Elle commence à battre des pieds pour indiquer qu’elle accepte.
- Tu vois, chérie, je t’avais dit que sa bouche allait être bonne pour beaucoup de choses. Maintenant, écarte tes belles grosses lèvres de chatte et donne à manger à cette chienne. Rit le vieil homme.
Donna sent la corde être tirée pour qu’elle se retourne face à la femme âgée. Elle voit sa grosse chatte poilue grande ouverte, avec le sperme de son fils qui en coule. Elle aurait des haut-le-cœur si la corde ne lui coupait pas le souffle.
- Commence à lécher, salope, et je desserrerai la corde. Rit le vieil homme.
Donna enfouit son visage dans la chatte humide et elle commence à lécher la vieille femme. Elle sent le goût du sperme de Mikey alors que la corde est desserrée et qu’elle peut respirer mieux. Ce n’est pas aussi horrible qu’elle l’avait imaginé. Elle enfonce sa langue plus profondément dans la chatte de la femme et elle aspire et lape le sperme de son fils comme si sa vie en dépend.
- C’est ça salope ! Nettoie bien ! Encourage la vieille femme alors que la langue sort et entre de sa chatte.
- Peut-être que je pourrai nettoyer ta chatte quand Mikey t’aura baisée. Ajoute-t-elle en riant.
L’idée de se faire baiser par son propre fils est déconcertant pour Donna, mais ça l’excite malgré elle. Depuis peu, depuis que Mikey se promène nu dans la maison, Donna rêve de sa belle bite. Elle sait que c’est dû à son manque de relations sexuelles ces dernières années. Mais il lui est impossible de quitter des yeux la bite de son fils quand il est nu. Son sexe est un très beau spécimen, si lisse, si doux qui donne envie de le sucer.
Donna continue de nettoyer la chatte gluante de la vieille femme jusqu’à ce qu’elle soit vraiment propre. Pendant ce temps, la femme gémit de plaisir. Et la chatte de Donna mouille encore plus. La mère de famille désespère d’avoir une bite en elle. Elle aimerait que le vieil homme lui enfonce sa grosse bite dans sa chatte et la baise jusqu’à l’orgasme. Elle a vraiment besoin d’une libération.
Elle peut entendre un martèlement bruyant de l’autre côté de la pièce. Elle sait que son fils, Mikey, baisse la plus jeune fille. Elle peut également entendre les grognements et les cris de joie de son fils alors qu’il claque les fesses de la fille pour la soumettre. Son fils semble être un vrai homme, un homme qui sait utiliser sa bite avec les femmes. La chatte de Donna dégouline à cette pensée. Elle a vraiment besoin d’une bite habile.
- Pourquoi n’emmènerais-tu pas cette chienne dehors pour laisser les garçons jouer avec elle pendant un moment. Moi j’ai besoin d’un bain chaud. Dit le vieil homme.
- Regarde sa chatte qui dégouline partout sur le sol. Elle a besoin d’une bonne bite. Ajoute-t-il.
La vieille femme saisit la corde de Donna et commence à la traîner dehors à quatre pattes. La mère de famille se laisse faire et ne résiste pas tellement elle a besoin d’être baisée. L’idée que l’un des deux garçons enfonce sa queue dans sa chatte excitée est exactement ce qu’elle a besoin à ce moment-là. Alors qu’elles sortent, elles peuvent entendre Helen crier comme une truie. Levant les yeux Donna voit sa mère lécher l’un après l’autre les trous du cul des garçons en grognant comme un cochon.
- Y’a Pa qui dit que vous pouvez profiter de cette salope pendant un moment, il prend un bain. Je veux aussi profiter de cette truie ! Crie la vieille dame.
- Bien sûr maman, elle est déjà dressée. Elle adore nos bites et nos culs. Et puis il est temps que nous dressions la pouliche. Crie le jeune garçon.
Il s’approche et Donna regarde sa bite dure qui frappe ses cuisses et se balance pendant qu’il marche. Sa bite n’est pas aussi grosse que celle de son frère aîné, mais elle l’est plus que celle de son père. Donna salive à l’idée de l’endroit où il pourrait la mettre. La vieille femme a lâché la corde, mais Donna ne pense même pas à s’enfuir à l’approche de ce sexe. Elle en a tellement besoin.
- Allez vieille truie, ne sois pas timide ! Viens voir maman et goûte un peu à cette chatte ! Appelle la vieille dame.
Donna regarde et voit sa mère Helen ramper sur le sol sale. Ses genoux, ses mains et ses coudes sont souillés de boue. Elle a des traces rouges partout sur les fesses, là où elle a été fouettée. Elle a des résidus blancs sur tous le visage et ça pend même à son menton. Elle a dû prendre une grosse éjaculation sur la figure. Ses cheveux sont totalement ébouriffés. Mais curieusement il est évident qu’elle semble apprécier ces épreuves humiliantes et dégradantes.
- Groin, groin, groin… Grogne-t-elle en rampant vers la vieille femme.
Donna peut dire que sa mère a apprécié ces épreuves et qu’elle a eu la baise de sa vie avec les garçons. Comme elle est penchée, elle peut voir la chatte et le cul de sa mère qui a sûrement été prise en sandwich. Son trou du cul est grand ouvert et ses lèvres de chatte dégoulinent d’excitation. Il semble qu’elle ait eu un moment inoubliable. De plus, elle ne montre aucune honte en rampant, couinant, et grognant pour enfouir son visage dans la chatte poilue de la vieille femme, la léchant et la suçant partout en secouant la tête d’un côté à l’autre.
L’attention de Donna revient au jeune homme alors qu’il attrape la corde attachée à son cou.
- C’est l’heure de ma balade en cochon ! Sois une bonne petite truie et porte-moi, salope ! Sourit le garçon.
Donna sent le jeune homme sauter sur son dos pour qu’elle le promène. Elle n’arrive pas à croire qu’il va la chevaucher alors que son poids pèse sur son dos. Mais la sensation de son cul nul et de ses couilles molles sur sa peau la pousse à obéir.
Le garçon se tourne légèrement et lui donne une claque violente sur ses fesses nues.
Clac ! Clac !
-Owwww ! Gémit Donna.
- Avance petite truie ! Crie-t-il en frappant plusieurs fois son cul avec la paume de sa main.
Donna commence à avancer mais ses fesses la piquent beaucoup et ses genoux lui font mal. Elle gémit d’inconfort et de douleur.
Puis elle sent le majeur du jeune garçon s’enfoncer dans son trou du cul. Le corps tout entier de Donna se contracte de plaisir, répondant à chaque poussée du doigt du garçon alors qu’il entre et sort de son cul. Elle remue comme une maniaque.
- Waouhhh ! J’ai trouvé ce qui te fait fonctionner ! Crie le garçon.
- Maintenant grogne, petite truie, si tu veux ma grosse bite dans ta chatte ! Continue le garçon en continuant de l’enculer avec son doigt de plus en plus vite.
- Groin, groin, groin ! Crie Donna frénétiquement.
Elle n’arrive pas à croire qu’elle imite un cochon alors qu’elle continue de marcher à quatre pattes. Son cul est affreusement douloureux. Ses genoux et ses paumes sont brûlants et douloureux aussi. Mais sa chatte dégouline à l’idée d’une bite plongeant dans son sexe.
Alors qu’elle rampe dans la cours, à un moment elle aperçoit Mikey sous le porche de la maison. Il est assis sur l’un des transats et la fille de la maison est entre ses jambes en train de lui sucer la bite. Visiblement il aime vois sa mère se faire humilier tout en se faisant tailler une pipe.
Mais Donna s’en fiche. Elle continue à marcher à quatre pattes et à grogner jusqu’à ce que le garçon se lasse finalement de ce jeu et descende de son dos. Il pousse son visage vers le sol, lui écarte les jambes et enfonce profondément sa bite dans sa chatte par-derrière. Son sexe est tellement lubrifié par son jus intime qu’il n’a aucun mal à s’enfoncer jusqu’au bout. Elle n’arrête pas de crier et d se trémousser pour en avoir encore plus.
Son corps tout entier tremble et convulse d’excitation et d’envie alors que le jeune garçon la pilonne violemment. Son premier orgasme la frappe presque immédiatement, la faisant gémir d’extase. Le second vient un peu plus tard, quand le garçon la frappe où il faut. Cet orgasme déchire son corps et elle s’effondre en avant sur le sol, tremblante et babillant de manière incohérente. La bite sort de sa chatte. Mais comme le garçon est aussi au bord du gouffre, il plonge sur elle et lui poignarde le cul avant de se vider les couilles et déposer une grande quantité de foutre dans ses intestins.
Elle ne bouge plus, toujours excitée, mais appréciant ce sentiment d’être enfin libérée. Elle jette un coup d’œil autour d’elle et elle voit sa mère à genoux à côté d’elle en train d’être baisée par Mikey. Cette scène incestueuse lui envoie de petites décharges électriques dans la chatte. Elle vient d’avoir le meilleur orgasme de sa vie et elle sait qu’elle ne sera plus jamais la même. Elle est corrompue pour toujours.
Donna sent à nouveau sa chatte s’ouvrir pour une grosse bite. Son corps n’offre aucune résistance. Elle comprend à la taille de l’engin que ce doit être la queue du frère aîné. Elle commence alors à l’encourager. Elle jouit à nouveau pendant que le gars lui pistonne la chatte. Mais bientôt, lui aussi au bord du gouffre, il sort sa bite s’agenouille devant elle et fourre son sexe dans sa bouche. Ses joues se creusent et elle suce pour extraire jusqu’à la dernière goutte de foutre de la bite qui éjacule. Elle avale le tout sans en perdre une seule goutte. Donna ne peut plus se contrôler, tout ce qu’elle veut pour le moment c’est plus de bite et de sperme.
Elle ne bouge plus en reprenant son souffle, elle a peur de perdre cette sensation de bien-être. C’est la sensation la plus paisible qu’elle n’a jamais connue. Soudain elle sent une autre queue au niveau de sa chatte. La bite s’enfonce totalement.
- Prends ça maman, ! Espèce de salope au gros cul ! Prends ma bite, salope !
Donna comprend qu’il s’agit de son fils. Elle pousse ses hanches sur lui pour qu’il la pénètre jusqu’au bout.
- Groin, Groin ! Grogne-t-elle avec envie alors qu’il martèle sa chatte humide et bien ouverte.
- C’est ça mon garçon ! Fais-la couiner comme la truie qu’elle est !
Donna entend la voix du vieil homme derrière elle :
- Maintenant que nous les avons formées correctement, nous allons pouvoir les emmener plus tard à la ferme du vieux Peabody. Je pense qu’il nous donnera 50 000 pour ces trois-là.
Donna ne fait pas vraiment attention à ce que dit le vieil homme, elle est trop occupée par son fils qui la baise avec vigueur. Le vieil homme continue :
- Ça va Mikey ? Tu as envie de vivre dans une grande ferme et baiser ta mère et ta grand-mère tous les jours ?
- Oh ouais ! Crie le garçon en déchargeant son foutre dans la chatte de sa mère.
- Une ferme ? Demande Helen, toujours à quatre pattes.
- Oui c’est ça… Commence le vieil homme.
Il montre les épaves de voiture qui entourent sa propriété et dit :
- Regardez toutes ces voitures. Elles appartiennent à tous les visiteurs que nous avons reçus ici avant vous.
Helen regarde tout autour avec un air confus sur le visage.
- La route sur laquelle vous êtes tombées en panne ce matin est un endroit où il y a souvent des accidents. Il y a toujours beaucoup de brouillard et elle devient une vraie patinoire l’hiver. J’y vais quasiment tous les jours. Et à peu près tous les trois mois, je tombe sur une voiture en panne ou accidentée comme vous. Si je trouve les passagers alors je les ramène ici et je laisse ma famille les dresser. Une fois le dressage terminé, vous êtes prêts pour la ferme du vieux Peabody.
- Hein ? Qu’est-ce qu’il y a dans cette ferme ? Demande Helen.
- Des hectares et des hectares de champs de fraises. Vous passerez douze heures par jour à cueillir des fraises en été. De plus il y a beaucoup de demande par ici pour des gens comme vous, en particulier de familles formées pour devenir des esclaves sexuelles complètement soumises.
Helen réfléchit avant de comprendre :
- Vous nous vendez comme esclave ? Des esclaves sexuelles et des cueilleurs de fraises ?
- Ouais, entre autres choses. Il y a toujours quelque chose à faire à la ferme Peabody.
Il rit et se dirige vers son camion.
- Je vais laisser ma femme, ma fille et mes deux fils vous nettoyer et vous nourrir pendant que je vis chercher votre voiture. Je ne voudrais pas que quelqu’un tombe dessus et vous cherche. Ce soir, après le coucher du soleil, nous irons vers la ferme Peabody pour que vous commenciez une nouvelle vie.
FIN.