Texte de Ricki Black (2012)
*****
J'invente une histoire pour ma belle-fille.
Je suis en pleine forme, après une nuit de repos et un sommeil profond et réparateur. Je me prépare et me fais tout beau, car je rencontre Elodie, Ma future belle fille, à midi suite à sa demande d’hier. Je vais lui raconter une belle histoire inventée de toutes pièces sur mon ex, Brigitte. Effectivement cette salope a été raconter des mensonges pour essayer de l’éloigner de moi. 4 ans après notre séparation, elle n’a pas supporté que je refasse ma vie avec une femme 20 ans plus jeune qu’elle. Alors elle a commencé à m’enmerder sérieusement et depuis ça continue.
Mais je ne peux pas laisser Elodie croire que je suis un psychopathe sexuel.
J’ai donc commencé par piéger mon ex avec l’aide de Léa et Virgile pour la discréditer, et ça a marché encore mieux que je ne l’espérais. Elodie s’est maintenant écartée d’elle, mais pour éviter le moindre risque, il faut que je lui démontre que sa future belle-mère est une vraie nymphomane, perverse et vicieuse ce qui m’a amené à la quitter, comme ça en plus aux yeux d’Elodie, j’en sors en victime.
Mais en même temps je veux aussi prêcher pour mon fils et Elodie a l’air un peu coincé sur les aspects sexuels, certainement du à son éducation catho. Je vais en profiter pour essayer de passer des messages.
Il est 11h45 quand je me stationne sur le parking du petit centre commercial où m’a donné rendez-vous Elodie. Je reconnais le quartier, en arrivant je suis passé devant la petite cité ou habite Malika. Le quartier est très sympathique avec des parcs arborés et des airs de jeux pour enfants, en plus il fait encore un temps magnifique.
Je rejoins Elodie qui m’attend déjà. Je l’embrasse et nous nous installons en terrasse, à une table un peu isolée. Nous passons commande de l’apéritif au serveur. Elodie commence à m’expliquer que si je l’ai sentie distante ces derniers mois, c’est que Brigitte, mon ex, lui a raconté des choses sur moi pas très belles. Je l’interromps, en lui expliquant qu’elle n’était pas à son premier coup d’essai. Je commence à lui dire que notre relation s’est dégradée au fur et à mesure du temps, car son tempérament a changé, et je me reprends pour aiguillonner Elodie, je dirai plutôt qu’il a évolué dans le mauvais sens.
J’ai piqué la curiosité d’Elodie qui me demande ce que j’entends par là. Je fais le gars embarrassé, je lui explique que c’est un peu délicat, car ça touche à l’intime. Puis sachant que de cette manière je pourrais lui dire des choses terribles je lui dis :
- Écoute, je veux bien t’expliquer, car il me semble normal que tu saches, mais je te demande de me promettre de ne jamais en parler à mon fils.
Mais je ne peux pas laisser Elodie croire que je suis un psychopathe sexuel.
J’ai donc commencé par piéger mon ex avec l’aide de Léa et Virgile pour la discréditer, et ça a marché encore mieux que je ne l’espérais. Elodie s’est maintenant écartée d’elle, mais pour éviter le moindre risque, il faut que je lui démontre que sa future belle-mère est une vraie nymphomane, perverse et vicieuse ce qui m’a amené à la quitter, comme ça en plus aux yeux d’Elodie, j’en sors en victime.
Mais en même temps je veux aussi prêcher pour mon fils et Elodie a l’air un peu coincé sur les aspects sexuels, certainement du à son éducation catho. Je vais en profiter pour essayer de passer des messages.
Il est 11h45 quand je me stationne sur le parking du petit centre commercial où m’a donné rendez-vous Elodie. Je reconnais le quartier, en arrivant je suis passé devant la petite cité ou habite Malika. Le quartier est très sympathique avec des parcs arborés et des airs de jeux pour enfants, en plus il fait encore un temps magnifique.
Je rejoins Elodie qui m’attend déjà. Je l’embrasse et nous nous installons en terrasse, à une table un peu isolée. Nous passons commande de l’apéritif au serveur. Elodie commence à m’expliquer que si je l’ai sentie distante ces derniers mois, c’est que Brigitte, mon ex, lui a raconté des choses sur moi pas très belles. Je l’interromps, en lui expliquant qu’elle n’était pas à son premier coup d’essai. Je commence à lui dire que notre relation s’est dégradée au fur et à mesure du temps, car son tempérament a changé, et je me reprends pour aiguillonner Elodie, je dirai plutôt qu’il a évolué dans le mauvais sens.
J’ai piqué la curiosité d’Elodie qui me demande ce que j’entends par là. Je fais le gars embarrassé, je lui explique que c’est un peu délicat, car ça touche à l’intime. Puis sachant que de cette manière je pourrais lui dire des choses terribles je lui dis :
- Écoute, je veux bien t’expliquer, car il me semble normal que tu saches, mais je te demande de me promettre de ne jamais en parler à mon fils.
Elle me répond dans un souffle :
- Je vous le promets… Allez Michel, confiez-vous à moi, je vous en prie.
Je ne peux pas espérer plus bel encouragement. Bien sûr, la veille, j’avais pensé à ce que j’allais lui dire, il me fallait être crédible et ne pas trop grossir le trait, mais toutefois j’allais mettre la barre assez haute.
- Voila, lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions assez jeune et sans expérience. Passé les six premiers mois la passion a commencé à s’estomper. Puis, deux ans plus tard, la routine s’était installée, avec la fatigue, la fréquence de nos rapports allaient en diminuant. De plus notre sexualité était banal, beaucoup moins de préliminaires, beaucoup moins de fellations et moi forcement moins de cuni et nous passions direct au missionnaire.
Elodie me regarde un peu embarrassée, je lui demande si je ne la choque pas ? Elle me répond que ça lui fait drôle de parler de "ces choses-là" avec moi, car c’est resté un sujet plus que tabou avec ces parents. Mais elle m’engage à continuer et me demande de ne rien omettre dans mes explications. Je suis un peu surpris par ce dernier vœu. Il y a peu être une coquine qui sommeille en elle, c’est d’ailleurs ce que je souhaite pour mon fils.
Je reprends l’histoire :
Je ne peux pas espérer plus bel encouragement. Bien sûr, la veille, j’avais pensé à ce que j’allais lui dire, il me fallait être crédible et ne pas trop grossir le trait, mais toutefois j’allais mettre la barre assez haute.
- Voila, lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions assez jeune et sans expérience. Passé les six premiers mois la passion a commencé à s’estomper. Puis, deux ans plus tard, la routine s’était installée, avec la fatigue, la fréquence de nos rapports allaient en diminuant. De plus notre sexualité était banal, beaucoup moins de préliminaires, beaucoup moins de fellations et moi forcement moins de cuni et nous passions direct au missionnaire.
Elodie me regarde un peu embarrassée, je lui demande si je ne la choque pas ? Elle me répond que ça lui fait drôle de parler de "ces choses-là" avec moi, car c’est resté un sujet plus que tabou avec ces parents. Mais elle m’engage à continuer et me demande de ne rien omettre dans mes explications. Je suis un peu surpris par ce dernier vœu. Il y a peu être une coquine qui sommeille en elle, c’est d’ailleurs ce que je souhaite pour mon fils.
Je reprends l’histoire :
- Cela s’est encore aggravé à la naissance de notre premier enfant : le retour de couche, le baby blues, puis toutes les attentions sont orientés vers le bébé et c’est bien naturel. Mais les conséquences sur notre sexualité ont été désastreuses. La situation ne pouvant plus durer, je décide d’en discuter un soir avec elle. Je lui explique qu’il faudrait remettre un peu de piment dans notre vie sexuelle sinon nous courrons à la catastrophe. Elle me demande si j’ai des idées...
J’arrête là mon récit pour expliquer à Elodie que je ne peux pas tout lui dire. Qu'il y a des choses ou des situations qu’elle pourrait trouver très inconvenantes, surtout racontées par son futur beau-père. Je joue le mec respectueux alors que je n’ai qu’une envie, c’est de discréditer mon ex aux yeux d’Elodie et il faut que je puisse entrer dans les détails salaces pour ça. De plus, je voudrais bien qu’elle soit consciente que si elle veut devenir la femme de mon fils, il faut qu’elle en soit aussi sa maîtresse, son amante, voir même dans certaines circonstances bien sûr, sa salope, et j’ai prévu dans mon histoire de la sensibiliser sur ce point. Elodie me répond sans même réfléchir :
- Je vous en prie Michel, j’ai besoin de savoir et je vous remercie de m’accorder une telle confiance en me racontant la vérité, aussi sombre soit-elle. Alors je vous le redis, n’omettez rien et n’ayez pas peur de me heurter.
J’arrête là mon récit pour expliquer à Elodie que je ne peux pas tout lui dire. Qu'il y a des choses ou des situations qu’elle pourrait trouver très inconvenantes, surtout racontées par son futur beau-père. Je joue le mec respectueux alors que je n’ai qu’une envie, c’est de discréditer mon ex aux yeux d’Elodie et il faut que je puisse entrer dans les détails salaces pour ça. De plus, je voudrais bien qu’elle soit consciente que si elle veut devenir la femme de mon fils, il faut qu’elle en soit aussi sa maîtresse, son amante, voir même dans certaines circonstances bien sûr, sa salope, et j’ai prévu dans mon histoire de la sensibiliser sur ce point. Elodie me répond sans même réfléchir :
- Je vous en prie Michel, j’ai besoin de savoir et je vous remercie de m’accorder une telle confiance en me racontant la vérité, aussi sombre soit-elle. Alors je vous le redis, n’omettez rien et n’ayez pas peur de me heurter.
Là je suis satisfait, elle vient de me donner carte blanche et je vais l’exploiter. C’est à partir de ce moment que je mets en route mon imagination.
- Très bien, si toutefois vous souhaitez que j’arrête, demandez-le moi.
- Très bien, si toutefois vous souhaitez que j’arrête, demandez-le moi.
Je reprends ce fameux soir et je raconte que j'ai dit à mon ex :
- Oui j’ai des idées, il faut que nous redécouvrions notre envie l’un pour l’autre. Je me suis alors déshabillé devant elle, puis debout tout en la regardant dans les yeux j’ai commencé à me masturber. ses yeux étaient rivés sur mon membre qui grossissait. Je ne te cache pas que la situation m’excitait et il y avait fort longtemps que je n’avais pas eu une telle érection.
- Oui j’ai des idées, il faut que nous redécouvrions notre envie l’un pour l’autre. Je me suis alors déshabillé devant elle, puis debout tout en la regardant dans les yeux j’ai commencé à me masturber. ses yeux étaient rivés sur mon membre qui grossissait. Je ne te cache pas que la situation m’excitait et il y avait fort longtemps que je n’avais pas eu une telle érection.
Elodie me coupa pour me demander, pressée :
- Alors qu’a-t-elle fait ?
- Eh bien, au bout d’un petit moment je lui ai demandé d’en faire autant. Alors sans discuter, elle a ôté sa culotte, ouvert ses cuisses et a commencé également à se masturber… C’était divin, nous étions à nouveau excités l’un par l’autre sans même s’être touché mutuellement et nous avons joui ensemble. Je recommande à n’importe quel couple de pratiquer la masturbation en face à face.
- Eh bien, au bout d’un petit moment je lui ai demandé d’en faire autant. Alors sans discuter, elle a ôté sa culotte, ouvert ses cuisses et a commencé également à se masturber… C’était divin, nous étions à nouveau excités l’un par l’autre sans même s’être touché mutuellement et nous avons joui ensemble. Je recommande à n’importe quel couple de pratiquer la masturbation en face à face.
Premier message subliminal pour son subconscient.
- Cette soirée a marqué le renouveau de notre désir. Nous avons acheté par la suite des sextoys. Brigitte commençait à apprécier de plus en plus nos jeux sexuels. Il y a une chose de très accessible pour n’importe quel couple et de très excitant, en tout cas ça excitait au plus au point Brigitte, c’était d’aller en soirée, au restaurant ou au ciné sans culotte (Deuxième message subliminal). Nous étions tellement excités qu’ils nous arrivaient de nous arrêter sur le chemin du retour pour faire l’amour comme au premier jour. Tout allait pour le mieux lorsqu’un jour, de retour d’une de ces soirées, alors que nous étions arrêtés sur un parking, je prenais Brigitte en levrette sur la banquette arrière, un voyeur s’est approché de la voiture. Cela nous était déjà arrivé auparavant, et nous le laissions regarder discrètement alors qu’il se masturbait, mais cette fois fut différente car le mec, un black, était devant la vitre, il avait sorti sa grosse verge et se masturbait, et Brigitte fit descendre la vitre et demanda au mec s'il voulait qu’elle le suce.
- Cette soirée a marqué le renouveau de notre désir. Nous avons acheté par la suite des sextoys. Brigitte commençait à apprécier de plus en plus nos jeux sexuels. Il y a une chose de très accessible pour n’importe quel couple et de très excitant, en tout cas ça excitait au plus au point Brigitte, c’était d’aller en soirée, au restaurant ou au ciné sans culotte (Deuxième message subliminal). Nous étions tellement excités qu’ils nous arrivaient de nous arrêter sur le chemin du retour pour faire l’amour comme au premier jour. Tout allait pour le mieux lorsqu’un jour, de retour d’une de ces soirées, alors que nous étions arrêtés sur un parking, je prenais Brigitte en levrette sur la banquette arrière, un voyeur s’est approché de la voiture. Cela nous était déjà arrivé auparavant, et nous le laissions regarder discrètement alors qu’il se masturbait, mais cette fois fut différente car le mec, un black, était devant la vitre, il avait sorti sa grosse verge et se masturbait, et Brigitte fit descendre la vitre et demanda au mec s'il voulait qu’elle le suce.
Je m’excuse auprès d’Elodie pour ce mot cru, mais je lui explique que c’était justement ce mot qui m’avait choqué et qu’elle lui propose une fellation sans même m’avoir demandé mon avis. Elodie est rouge, je lui propose un petit verre de vin qu’elle accepte et me presse de continuer l’histoire.
- Le black s’est alors approché de la voiture, il a saisi Brigitte par les cheveux et lui a fourré sa verge dans la bouche, alors que j’étais dans son sexe. Je sentis immédiatement l’excitation de Brigitte, car son sexe est devenue trempée et de mon coté voir ma femme prendre une aussi grosse verge dans la bouche m’excitait aussi, même si j’étais blessé dans mon amour propre de mari. Le gars m’a demandé si c’était ma femme, puis…
- Le black s’est alors approché de la voiture, il a saisi Brigitte par les cheveux et lui a fourré sa verge dans la bouche, alors que j’étais dans son sexe. Je sentis immédiatement l’excitation de Brigitte, car son sexe est devenue trempée et de mon coté voir ma femme prendre une aussi grosse verge dans la bouche m’excitait aussi, même si j’étais blessé dans mon amour propre de mari. Le gars m’a demandé si c’était ma femme, puis…
Je stoppe le récit faisant mine de remonter à la surface des souvenirs douloureux en expliquant à Elodie que je ne pouvais pas lui répéter ce qu’avait dit le black. Je sais que ma réaction va susciter chez elle le besoin de savoir. Elle me dit que ça me fera du bien de me confier, qu’il faut que je sorte ça de mon esprit et elle me pousse à continuer. Ne me faisant pas prier trop longtemps, je cède et reprends :
- Puis il m’a dit que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi bonne suceuse de bite à la maison. Ensuite il m’a demandé si son cul était aussi bon que sa bouche. Cette vulgarité avait fini de m’exciter et je jouis en même temps que l’inconnu qui éjacula sur son visage. Lorsque je l’ai vu se réasseoir auprès de moi le visage dégoulinant du sperme de cet inconnu, j’ai pris conscience que notre relation prenait un tournant et que je ne la verrai plus comme avant. Et effectivement, son comportement commença à changer. Elle s’habillait de manière plus provocante et ne portait plus de culotte. Elle profitait de la moindre occasion pour s’exhiber discrètement. En ballade, dans les magasins, au restaurant, bref à chaque fois qu’elle le pouvait, qu’il y avait un gars qui l’observait, elle s’arrangeait pour écarter les jambes subtilement et lui montrer son entrejambe nue. L’effet était garantie et plus les mecs se rendaient compte qu’elle désirait les exciter et plus ils la mataient, plus cela l’incitait à s’exhiber. Je n’aimais pas la tournure que prenaient les événements. Plus le temps passait, plus elle prenait de risques. Un jour, au concert d’un célèbre groupe de rock, nous étions dans la fosse. Il y avait une foule immense et nous étions tous très serrés. Je sentis la main de Brigitte sur ma braguette, elle l’ouvrit, puis en extraya mon sexe. Elle commença à le masturber. Je m’aperçus qu’elle se caressait en même temps, se foutant des gens qui nous entouraient. Mon sexe sous la caresse avait grossi. Alors elle s’accroupit devant moi en se frayant une place dans la foule et avala mon sexe. Les gens qui nous entouraient la regardaient faire. Elle s’activait et j’étais entre deux états d’âme, excité par la situation et embarrassé par l’indécence de la dite situation. Un couple qui était à côté s’est rapproché de nous, la femme regardait Brigitte. Je l’observais en espérant qu’elle ne crie pas au scandale. Mais pas du tout en fait, elle ouvrit la braguette de son mari, en sortit sa verge déjà bien raide, et en saisissant les cheveux de Brigitte elle l’obligea à lâcher mon sexe pour lui fourrer celui de son mec dans la bouche. Brigitte se prêta avec beaucoup de mansuétude à cette obligation alors qu’elle continuait à me masturber.
Elodie n’en revient pas de ce que je lui confie. Elle a la bouche entreouverte et est comme figée à l’écoute de mes confessions. Elle me dit que jamais elle n’aurait pu imaginer, à la voir, que sa future belle-mère, fusse aussi perverse. Je lui dis que je vais arrêter ma confession car je la sens profondément dérangée par cette vérité qui lui est révélée. Si elle savait que tout est inventé et que j’aurais bien aimé que mon ex fut un peu cette femme immorale que je décris...
- Non ! Me répond-elle, je veux savoir toute la vérité, maintenant j’ai besoin de savoir jusqu’où elle vous a emmené.
- Puis il m’a dit que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi bonne suceuse de bite à la maison. Ensuite il m’a demandé si son cul était aussi bon que sa bouche. Cette vulgarité avait fini de m’exciter et je jouis en même temps que l’inconnu qui éjacula sur son visage. Lorsque je l’ai vu se réasseoir auprès de moi le visage dégoulinant du sperme de cet inconnu, j’ai pris conscience que notre relation prenait un tournant et que je ne la verrai plus comme avant. Et effectivement, son comportement commença à changer. Elle s’habillait de manière plus provocante et ne portait plus de culotte. Elle profitait de la moindre occasion pour s’exhiber discrètement. En ballade, dans les magasins, au restaurant, bref à chaque fois qu’elle le pouvait, qu’il y avait un gars qui l’observait, elle s’arrangeait pour écarter les jambes subtilement et lui montrer son entrejambe nue. L’effet était garantie et plus les mecs se rendaient compte qu’elle désirait les exciter et plus ils la mataient, plus cela l’incitait à s’exhiber. Je n’aimais pas la tournure que prenaient les événements. Plus le temps passait, plus elle prenait de risques. Un jour, au concert d’un célèbre groupe de rock, nous étions dans la fosse. Il y avait une foule immense et nous étions tous très serrés. Je sentis la main de Brigitte sur ma braguette, elle l’ouvrit, puis en extraya mon sexe. Elle commença à le masturber. Je m’aperçus qu’elle se caressait en même temps, se foutant des gens qui nous entouraient. Mon sexe sous la caresse avait grossi. Alors elle s’accroupit devant moi en se frayant une place dans la foule et avala mon sexe. Les gens qui nous entouraient la regardaient faire. Elle s’activait et j’étais entre deux états d’âme, excité par la situation et embarrassé par l’indécence de la dite situation. Un couple qui était à côté s’est rapproché de nous, la femme regardait Brigitte. Je l’observais en espérant qu’elle ne crie pas au scandale. Mais pas du tout en fait, elle ouvrit la braguette de son mari, en sortit sa verge déjà bien raide, et en saisissant les cheveux de Brigitte elle l’obligea à lâcher mon sexe pour lui fourrer celui de son mec dans la bouche. Brigitte se prêta avec beaucoup de mansuétude à cette obligation alors qu’elle continuait à me masturber.
Elodie n’en revient pas de ce que je lui confie. Elle a la bouche entreouverte et est comme figée à l’écoute de mes confessions. Elle me dit que jamais elle n’aurait pu imaginer, à la voir, que sa future belle-mère, fusse aussi perverse. Je lui dis que je vais arrêter ma confession car je la sens profondément dérangée par cette vérité qui lui est révélée. Si elle savait que tout est inventé et que j’aurais bien aimé que mon ex fut un peu cette femme immorale que je décris...
- Non ! Me répond-elle, je veux savoir toute la vérité, maintenant j’ai besoin de savoir jusqu’où elle vous a emmené.
Je me permets de lui resservir un petit verre de vin histoire de la détendre un peu et je reprends mon histoire.
*****
Brigitte suçait l’homme devant sa femme qui à priori appréciait particulièrement la scène. Elle avait glissé la main de son mari sous sa jupe et j’imaginais bien qu’il la masturbait pendant qu’elle se rinçait l’œil.
Au bout de quelques minutes, le mec gicla dans la bouche de Brigitte et je vis le sperme couler aux commissures de ses lèvres, ne pouvant contenir la pression de l’éjaculation. Une fois fini, ma femme revint sur ma verge pour, à mon tour, jouir dans sa bouche et cette fois elle avala tout mon sperme.
Cette situation m’inquiétait car je perdais le contrôle et surtout je ne reconnaissais plus la femme que j’avais épousée.
Quelques temps après, nous devions fêter mon anniversaire, et Brigitte m’avait organisé un petit diner en amoureux le soir à la maison. Elle m’avait dit de me préparer, qu’elle arriverait le soir avec tous les préparatifs, je n’avais qu’à l’attendre, installé dans le canapé. Pour l’occasion je m’étais fais beau et attendais comme convenu lorsque j’entendis la clé dans la serrure.
Je vis alors entrer Brigitte accompagnée de sa collègue et très bonne copine Sandrine. Je la connaissais pour avoir fait des sorties avec elle et son mari. Brigitte m’avait dit d’ailleurs qu’elle était en instance de divorce. Sandrine était une belle femme de 35 ans environ. Son visage était raffiné et fin sur des cheveux assez longs châtains. Apparemment une généreuse poitrine, une taille fine et des hanches plus larges. Je pense qu’elle devait avoir un cul large. Elle était habillée, d’une jupe rouge, d’un chemisier noir, ses jambes étaient gainées d’un voile noir sur des hauts talons rouges.
Les deux filles s’arrêtèrent au milieu du salon, face à moi. Brigitte alors passa derrière Sandrine, puis passant ces mains autour des épaules de Sandrine commença à dégrafer son chemisier, tout en me disant:
- Bonsoir Chéri, et bon anniversaire… Cette année c’est un cadeau particulier que je veux t’offrir. Je vais réaliser un de tes fantasmes. Je t’offre Sandrine et en même temps je t’offre un spectacle en deux actes. Premier acte, tu es spectateur, plutôt voyeur du plaisir que nous allons nous donner toutes les deux, puis deuxième acte tu deviens acteur et nous allons toutes les deux te baiser ensemble, ça te plaît comme cadeau ? finit-elle en ouvrant le corsage de Sandrine et laissant apparaître un soutien-gorge seins nus.
- Bonsoir Chéri, et bon anniversaire… Cette année c’est un cadeau particulier que je veux t’offrir. Je vais réaliser un de tes fantasmes. Je t’offre Sandrine et en même temps je t’offre un spectacle en deux actes. Premier acte, tu es spectateur, plutôt voyeur du plaisir que nous allons nous donner toutes les deux, puis deuxième acte tu deviens acteur et nous allons toutes les deux te baiser ensemble, ça te plaît comme cadeau ? finit-elle en ouvrant le corsage de Sandrine et laissant apparaître un soutien-gorge seins nus.
Elle avait une splendide poitrine grosse et lourde mais bien mise en valeur par le soutien. Brigitte les attrapa à deux mains et commença à les malaxer, titillant les tétons, les soupesant. Le spectacle était très excitant et ma verge commençait à durcir. Le chemisier tomba à terre lorsque Brigitte s’attaqua à la jupe rouge qui finit par rejoindre le chemisier.
Sandrine était face à moi, je vis distinctement son triangle noir qui ornait son entrecuisse. C’était aussi une adepte du sans-culotte. Elle portait des bas noirs. Et lorsque Brigitte détacha le soutien-gorge à Sandrine, je ne pus pas ne pas penser à la fameuse photo de Man Ray, ou l’on voit le corps d’une femme comme un violoncelle. Eh bien, elle était de ces femmes aux seins tombants, à la taille fine et aux hanches larges et aux formes arrondies de l’instrument. Je la trouvais tellement sensuelle, tellement femme, que je la désirais déjà terriblement.
Sandrine était face à moi, je vis distinctement son triangle noir qui ornait son entrecuisse. C’était aussi une adepte du sans-culotte. Elle portait des bas noirs. Et lorsque Brigitte détacha le soutien-gorge à Sandrine, je ne pus pas ne pas penser à la fameuse photo de Man Ray, ou l’on voit le corps d’une femme comme un violoncelle. Eh bien, elle était de ces femmes aux seins tombants, à la taille fine et aux hanches larges et aux formes arrondies de l’instrument. Je la trouvais tellement sensuelle, tellement femme, que je la désirais déjà terriblement.
Brigitte étant toujours derrière plaça sa main entre ses deux cuisses, qu’elle avait maintenant écartées. Je pus voir ses doigts jouer dans la fente juteuse. Puis brusquement elle les enfonça au plus profond. Sandrine ne put contenir un long gémissement alors qu’elle tournait la tête vers Brigitte qui lui plaqua ses lèvres sur la bouche pour l’embrasser fiévreusement. Je vis leurs langues se mélanger dans une ardeur presque indécente.
Puis tout s’accélèra et Sandrine se retrouva allongée sur le sol, son visage à mes pieds. Brigitte se déshabilla très rapidement et vint se placer face à moi. Elle se plaça au-dessus de son visage. Puis, me regardant droit dans les yeux elle se baissa lentement en s’accroupissant sur Sandrine qui ouvrit la bouche en tendant une langue, avide de mouille.
Le spectacle qui s’offrait à moi maintenant était la langue de Sandrine fouillant, léchant, aspirant et pénétrant. Je vis son visage se couvrir du jus de Brigitte qui gémit de plaisir. Dans un souffle elle me demanda si ça me faisait bien bander tout en posant sa main sur ma queue raide déformant mon pantalon. Elle en profita pour la sortir et commença à la branler.
Elle ajouta, qu’en effet ma queue est énorme et que ça a l’air de me faire beaucoup d’effet de voir deux belles femmes se gouiner pour moi.
Puis les deux filles décidèrent d’inverser leur place et Sandrine se retrouva face à ma queue raide. Je décidai de me déshabiller et repris place. Brigitte fourragea entre les cuisses ouvertes de Sandrine qui saisit ma bite en main. Elle me branla et me caressa les couilles en même temps. Je durcis encore. Je pris conscience que cette jolie femme était en train de me masturber vigoureusement. Je vis ses superbes gros seins se balancer au rythme de ses caresses. Etant au summum de mon excitation je lui saisis les cheveux, l’obligeant ainsi à s’approcher de mon sexe. Elle comprit vite et ouvrant la bouche, l’enfonça au fond de sa gorge chaude et humide. Elle avala toute ma queue et son nez vint taper mon pubis. C’était une sacrée bonne pipeuse.
J’entendis Brigitte crier "surtout ne le fais pas gicler tout de suite". Un petit moment après d’ailleurs elle vint rejoindre sa copine et commença alors une divine séance. Les deux bouches féminines s’activèrent sur ma bite, leurs langues se mélangeant autour de mon gland gonflé. Je sentais qu’elles s’excitaient en retour à me sucer la queue et une compétition s’engagea sur celle qui me ferait le plus gémir. Pendant cette séance je pus voir qu’elles se branlaient mutuellement. Alors que Brigitte gobait ma tige, Sandrine glissa son index sous mes couilles et le plaçant sur mon anus elle l’enfonça délicatement au fond. J’adorai cette initiative qui me fit encore grossir.
Brigitte, alors, cessa sa caresse et dit à Sandrine que ma queue était assez dure !!
Sandrine se leva et se retourna, me présentant son superbe cul. Brigitte, elle, maintint ma queue à sa base et la dirigea. Sandrine alors vint poser son anus sur mon gland. Puis, aidé du poids de son corps elle s’assis dessus en criant. Brigitte lui dit de s’empaler dessus jusqu’à la garde. Ma queue était énorme et je sentis le fourreau l’étrangler sur toute sa longueur jusqu’à ce que mes couilles l’arrêtent. Sandrine me complimenta sur ma taille et qu’elle n’avait jamais eu une aussi grosse queue dans le cul. Pendant ce temps Brigitte se plaça entre les cuisses de Sandrine pour lui lécher la chatte. Par moment elle en profita pour me lécher les couilles et me fourrer un doigt dans le cul. Sandrine, elle, s’était mise en action. S’empalant sur mon pieu, ressortant presque intégralement de son anus, elle se planta brutalement dessus à nouveau. Quelques minutes à ce régime et je cèdai, éjaculant d’abondante quantité de sperme dans le fondement de Sandrine qui elle aussi jouit plusieurs fois dans la bouche de sa copine.
Sandrine extraya ma bite de son cul, et là se passa une séance folle. Brigitte fut allongée sur le sol, Sandrine vint placer son cul au dessus de son visage. Puis poussant, elle fit couler le sperme de son fourreau anal dans la bouche grande ouverte de Brigitte qui l’avala. Incroyable, jamais je n’aurai imaginé qu’elle puisse faire se genre de chose.
Mais c’était un super cadeau d’anniversaire je l’avoue.
Toutefois il se passa, quelques semaines plus tard, un événement bien plus grave.
Le CE de mon boulot nous avait proposé une journée au zoo. Nous nous étions inscrits pour cette journée avec les enfants. L’ensemble des participants devait se retrouver devant la boite, pour prendre le car. Nous nous retrouvions tous le matin de bonne heure et partions pour le zoo. Les enfants, très heureux, étaient turbulents et joyeux. Brigitte, elle, dormit à moitié pendant tout le trajet.
Puis tout s’accélèra et Sandrine se retrouva allongée sur le sol, son visage à mes pieds. Brigitte se déshabilla très rapidement et vint se placer face à moi. Elle se plaça au-dessus de son visage. Puis, me regardant droit dans les yeux elle se baissa lentement en s’accroupissant sur Sandrine qui ouvrit la bouche en tendant une langue, avide de mouille.
Le spectacle qui s’offrait à moi maintenant était la langue de Sandrine fouillant, léchant, aspirant et pénétrant. Je vis son visage se couvrir du jus de Brigitte qui gémit de plaisir. Dans un souffle elle me demanda si ça me faisait bien bander tout en posant sa main sur ma queue raide déformant mon pantalon. Elle en profita pour la sortir et commença à la branler.
Elle ajouta, qu’en effet ma queue est énorme et que ça a l’air de me faire beaucoup d’effet de voir deux belles femmes se gouiner pour moi.
Puis les deux filles décidèrent d’inverser leur place et Sandrine se retrouva face à ma queue raide. Je décidai de me déshabiller et repris place. Brigitte fourragea entre les cuisses ouvertes de Sandrine qui saisit ma bite en main. Elle me branla et me caressa les couilles en même temps. Je durcis encore. Je pris conscience que cette jolie femme était en train de me masturber vigoureusement. Je vis ses superbes gros seins se balancer au rythme de ses caresses. Etant au summum de mon excitation je lui saisis les cheveux, l’obligeant ainsi à s’approcher de mon sexe. Elle comprit vite et ouvrant la bouche, l’enfonça au fond de sa gorge chaude et humide. Elle avala toute ma queue et son nez vint taper mon pubis. C’était une sacrée bonne pipeuse.
J’entendis Brigitte crier "surtout ne le fais pas gicler tout de suite". Un petit moment après d’ailleurs elle vint rejoindre sa copine et commença alors une divine séance. Les deux bouches féminines s’activèrent sur ma bite, leurs langues se mélangeant autour de mon gland gonflé. Je sentais qu’elles s’excitaient en retour à me sucer la queue et une compétition s’engagea sur celle qui me ferait le plus gémir. Pendant cette séance je pus voir qu’elles se branlaient mutuellement. Alors que Brigitte gobait ma tige, Sandrine glissa son index sous mes couilles et le plaçant sur mon anus elle l’enfonça délicatement au fond. J’adorai cette initiative qui me fit encore grossir.
Brigitte, alors, cessa sa caresse et dit à Sandrine que ma queue était assez dure !!
Sandrine se leva et se retourna, me présentant son superbe cul. Brigitte, elle, maintint ma queue à sa base et la dirigea. Sandrine alors vint poser son anus sur mon gland. Puis, aidé du poids de son corps elle s’assis dessus en criant. Brigitte lui dit de s’empaler dessus jusqu’à la garde. Ma queue était énorme et je sentis le fourreau l’étrangler sur toute sa longueur jusqu’à ce que mes couilles l’arrêtent. Sandrine me complimenta sur ma taille et qu’elle n’avait jamais eu une aussi grosse queue dans le cul. Pendant ce temps Brigitte se plaça entre les cuisses de Sandrine pour lui lécher la chatte. Par moment elle en profita pour me lécher les couilles et me fourrer un doigt dans le cul. Sandrine, elle, s’était mise en action. S’empalant sur mon pieu, ressortant presque intégralement de son anus, elle se planta brutalement dessus à nouveau. Quelques minutes à ce régime et je cèdai, éjaculant d’abondante quantité de sperme dans le fondement de Sandrine qui elle aussi jouit plusieurs fois dans la bouche de sa copine.
Sandrine extraya ma bite de son cul, et là se passa une séance folle. Brigitte fut allongée sur le sol, Sandrine vint placer son cul au dessus de son visage. Puis poussant, elle fit couler le sperme de son fourreau anal dans la bouche grande ouverte de Brigitte qui l’avala. Incroyable, jamais je n’aurai imaginé qu’elle puisse faire se genre de chose.
Mais c’était un super cadeau d’anniversaire je l’avoue.
Toutefois il se passa, quelques semaines plus tard, un événement bien plus grave.
Le CE de mon boulot nous avait proposé une journée au zoo. Nous nous étions inscrits pour cette journée avec les enfants. L’ensemble des participants devait se retrouver devant la boite, pour prendre le car. Nous nous retrouvions tous le matin de bonne heure et partions pour le zoo. Les enfants, très heureux, étaient turbulents et joyeux. Brigitte, elle, dormit à moitié pendant tout le trajet.
Une fois arrivée, elle me dit qu’elle n’était pas bien et qu'elle préfèrait rester dormir dans le car, elle viendrait nous rejoindre dès qu’elle se sentirait mieux. Nous sortîmes tous et nous entrâmes dans le zoo. J'étais avec mes collègues et leurs enfants. Une fois passé le guichet, nous nous dirigeâmes vers les différents enclos.
Trois quart d’heure passèrent et nous arrivâmes au vivarium. J’appréciai particulièrement les serpents et là je m’aperçus que je n’avais pas pris l’objectif macro de l’appareil. Sans cet objectif, je ne ferais pas de belles photos. Je confiai les enfants à mon collègue et décidai d’aller au car récupérer l’objectif et en même temps prendre des nouvelles de Brigitte.
J’arrivai devant le car, et remarquai que la porte n’était pas bien fermée. Ne voyant pas le chauffeur à son poste et imaginant que Brigitte pouvait encore dormir j’ouvris doucement la porte et entrai. Je m’arrêtai en entendant des bruits venant du fond du car. J’avançai en me cachant, car je crus comprendre ce qui se passait.
En effet, une fois assez près, je vis le chauffeur du car, un jeune black, en train de besogner ma femme. Il la pénètrait avec force et presque avec brutalité. Il lui dit que c’est une bonne salope de bourgeoise et qu’elle avait l’air d’aimer les bites de black. J’entendis Brigitte lui répondre qu’elle adorait se faire fourrer par des grosses queues blacks et qu’elle aimerait bien qu’il l’encule maintenant.
Je ne fus qu’à moitié étonné, depuis un certain temps maintenant je savais qu’elle profitait de la moindre occasion, mais se qui me troubla le plus c’est qu’elle le fasse en cachette et en plus au sein d’une activité organisée par mon travail et avec mes collègues. N’importe qui pourrait les surprendre comme moi je l’avais fait. Les conséquences pourraient être très graves, il y avait des enfants et heureusement que je n’avais pas demandé à un des mes enfants d’aller chercher cet objectif. Et tout ça pour un coup de bite.
Je décidai de laisser Brigitte se faire enculer et de rejoindre les autres sans me manifester. J’attendais en fait de savoir si elle allait me dire la vérité.
Brigitte nous rejoignit, et elle resta silencieuse sur les événements.
Elle m’avait trompé et je ne supportais plus ce manque de respect et de confiance. Je décidai de la piéger pour en être certain...
Je décidai de laisser Brigitte se faire enculer et de rejoindre les autres sans me manifester. J’attendais en fait de savoir si elle allait me dire la vérité.
Brigitte nous rejoignit, et elle resta silencieuse sur les événements.
Elle m’avait trompé et je ne supportais plus ce manque de respect et de confiance. Je décidai de la piéger pour en être certain...
****
Elodie est abasourdie et me dit que cette femme est le mal personnifié. Qu’elle ne peut même pas imaginer que de tels comportements existent. Je ne me suis pas rendu compte, mais au fur et à mesure que je lui racontais ce conte, mon excitation grandissante, j’utilisais des mots de plus en plus triviaux et crus. Je m’en excuse auprès d’elle, lui expliquant que je revivais les situations telles qu’elles s’étaient déroulées. Malgré tout cela, je sens Elodie troublée par ce récit que je pourrais qualifier de pornographique. Je suis étonné qu’elle n’ait pas mis un terme à notre entretien, ne pouvant en entendre plus. Et bien non c’est le contraire, elle est toujours aussi avide de connaitre la suite et me prie de continuer.
Elodie est abasourdie et me dit que cette femme est le mal personnifié. Qu’elle ne peut même pas imaginer que de tels comportements existent. Je ne me suis pas rendu compte, mais au fur et à mesure que je lui racontais ce conte, mon excitation grandissante, j’utilisais des mots de plus en plus triviaux et crus. Je m’en excuse auprès d’elle, lui expliquant que je revivais les situations telles qu’elles s’étaient déroulées. Malgré tout cela, je sens Elodie troublée par ce récit que je pourrais qualifier de pornographique. Je suis étonné qu’elle n’ait pas mis un terme à notre entretien, ne pouvant en entendre plus. Et bien non c’est le contraire, elle est toujours aussi avide de connaitre la suite et me prie de continuer.
****
Donc la situation n’était plus tenable et j’étais prêt à me séparer d’elle, ne pouvant plus lui faire confiance. J’imaginais qu’au bureau cela devait y aller, elle devait se faire tous les mecs et les nanas qu’elle voulait. Je ne contrôlais plus ma femme et du fait nous nous étions éloignés l’un de l’autre. Je voulais en avoir le cœur net.
Donc la situation n’était plus tenable et j’étais prêt à me séparer d’elle, ne pouvant plus lui faire confiance. J’imaginais qu’au bureau cela devait y aller, elle devait se faire tous les mecs et les nanas qu’elle voulait. Je ne contrôlais plus ma femme et du fait nous nous étions éloignés l’un de l’autre. Je voulais en avoir le cœur net.
Je décidai de la tester une dernière fois. Nous avions des amis qui habitaient en Bretagne, et qui étaient en train de faire construire pas très loin de chez nous. Ne pouvant se déplacer régulièrement sur place, ils m’avaient demandé si je pouvais allez sur le chantier de temps en temps, pour vérifier que les ouvriers étaient bien là et que les travaux avançaient bien. Une présence régulière incitait les ouvriers à ne pas se relâcher de trop. J’avais déjà fais quelques visites surprises. Tout était correct, les ouvriers travaillaient et la construction avançait. A cette occasion, j’avais vu que sur les six ouvriers du chantier, il y avait quatre blacks, des costauds très sympas.
Connaissant le goût de Brigitte pour les blacks, il ne me restait plus qu’à mettre en place mon scénario et observer comment elle allait se comporter.
Inventant un déplacement, je demandai à Brigitte si elle pouvait passer le lendemain sur le chantier de nos amis afin de vérifier que tout se passait bien. Elle n’était pas très motivée, et me dit que ça l’embêtait, qu’elle avait des choses de prévu. J’insistai en lui signalant que c’était toujours moi qui devait y allez, mais je la rassurai en lui disant qu’il lui suffisait simplement de vérifier que les ouvriers étaient bien là, que c'était des blacks super sympas. Elle finit par accepter.
Le lendemain matin, après avoir embrassé ma petite femme, je partis pour mon soi-disant rendez-vous professionnel. En fait je me rendis directement au plus près du chantier, dans une rue adjacente, histoire qu’elle ne voit pas la voiture en arrivant. Puis je me dirigeai très discrètement sur le chantier en passant par l’arrière du grand terrain. J’avais de la chance, car il n’était pas clos de murs et il offrait une végétation un peu sauvage du fait du manque d’entretien. C’était la situation idéale pour voir ce qui se passait.
Connaissant le goût de Brigitte pour les blacks, il ne me restait plus qu’à mettre en place mon scénario et observer comment elle allait se comporter.
Inventant un déplacement, je demandai à Brigitte si elle pouvait passer le lendemain sur le chantier de nos amis afin de vérifier que tout se passait bien. Elle n’était pas très motivée, et me dit que ça l’embêtait, qu’elle avait des choses de prévu. J’insistai en lui signalant que c’était toujours moi qui devait y allez, mais je la rassurai en lui disant qu’il lui suffisait simplement de vérifier que les ouvriers étaient bien là, que c'était des blacks super sympas. Elle finit par accepter.
Le lendemain matin, après avoir embrassé ma petite femme, je partis pour mon soi-disant rendez-vous professionnel. En fait je me rendis directement au plus près du chantier, dans une rue adjacente, histoire qu’elle ne voit pas la voiture en arrivant. Puis je me dirigeai très discrètement sur le chantier en passant par l’arrière du grand terrain. J’avais de la chance, car il n’était pas clos de murs et il offrait une végétation un peu sauvage du fait du manque d’entretien. C’était la situation idéale pour voir ce qui se passait.
Les gars étaient au casse croute du matin, pâté, saucisson et vin rouge. Ils s'étaient tous réunis dans ce qui sera plus tard le futur salon. Pour le moment il y avait une table faite de planches de palettes et des cartons en guise de siège. Il était 10h00 et le temps était au beau fixe, lorsque j’entendis une voiture stationner de l’autre coté de la maison.
Un des ouvriers se lèvà pour allez à sa rencontre. Je reconnus la voix de Brigitte qui salua gentiment tout le monde. Elle leur expliqua qu’elle venait voir si tout se passait bien et s’ils n’avaient besoin de rien. Je trouvai son entrée en matière plutôt dangereuse. Les gars l’observèrent. Je pouvais maintenant la voir. Je fus scotché en voyant comment elle s’était habillée pour la circonstance. Elle était en tailleur noir, jupe très courte, laissant apparaitre le haut de ses bas noirs, La veste était très cintrée et s’ouvrait sur un décolleté et des bottes noires talons hauts.
Elle s’installa sur un carton en ouvrant légèrement les jambes. Je savais qu’ils pouvaient maintenant voir son sexe nu. D’ailleurs, un des blacks commença à se toucher au travers de son bleu de travail. On pouvait distinctement voir la forme de sa bite gonflée au travers. Brigitte leur demanda alors si elle pouvait goûter leur gros saucisson, puis elle saisit le jésus sur la table et le fourra entre ses jambes. Les gars voyant cela ouvrirent un a un leur braguette et sortirent leurs queues.
J’aperçus alors ma femme se mettre à genoux devant toutes ses queues déjà tendues et les sucer les unes après les autres.
J'étais au désespoir et mes doutes se révèlaient être vrais, ma femme était une vraie salope et je ne pouvais plus espérer retrouver la jeune femme que j’avais épousée. Après la séance de pipes, je la vis se faire prendre sur la table. Pendant que deux gars la besognaient, j’imagine un devant et l’autre derrière, elle suçait deux gars en même temps et en branlait deux autres. C’est plus que je ne pouvais en supporter et je décidai de m’en aller pour ne pas la voir se faire couvrir de sperme...
Elle s’installa sur un carton en ouvrant légèrement les jambes. Je savais qu’ils pouvaient maintenant voir son sexe nu. D’ailleurs, un des blacks commença à se toucher au travers de son bleu de travail. On pouvait distinctement voir la forme de sa bite gonflée au travers. Brigitte leur demanda alors si elle pouvait goûter leur gros saucisson, puis elle saisit le jésus sur la table et le fourra entre ses jambes. Les gars voyant cela ouvrirent un a un leur braguette et sortirent leurs queues.
J’aperçus alors ma femme se mettre à genoux devant toutes ses queues déjà tendues et les sucer les unes après les autres.
J'étais au désespoir et mes doutes se révèlaient être vrais, ma femme était une vraie salope et je ne pouvais plus espérer retrouver la jeune femme que j’avais épousée. Après la séance de pipes, je la vis se faire prendre sur la table. Pendant que deux gars la besognaient, j’imagine un devant et l’autre derrière, elle suçait deux gars en même temps et en branlait deux autres. C’est plus que je ne pouvais en supporter et je décidai de m’en aller pour ne pas la voir se faire couvrir de sperme...
****
- Et voila l’histoire, Elodie, un mois après, nous nous séparions définitivement. J’espère que tout cela ne t’a pas trop choqué. Tu sais, tu es la première personne à qui je raconte cet enfer. Excuse-moi pour tout ça… Mais tu saisn c’est du passé maintenant. Aujourd’hui je suis très heureux et loin de tout ce stupre…
- Et voila l’histoire, Elodie, un mois après, nous nous séparions définitivement. J’espère que tout cela ne t’a pas trop choqué. Tu sais, tu es la première personne à qui je raconte cet enfer. Excuse-moi pour tout ça… Mais tu saisn c’est du passé maintenant. Aujourd’hui je suis très heureux et loin de tout ce stupre…
Je lui confie que, bien sûr, elle n’est pas obligée de croire à cette histoire, mais elle m’avoue en retour qu’elle me croit, car elle a eu la preuve visuelle que, ce que je lui ai confié est vrai.
Elle me remercie encore pour cette confiance, et je lui fais promettre de ne jamais dévoiler cette histoire à personne, que ce doit rester notre secret.
Puis nous nous quittons et je retourne à ma voiture. Cette petite histoire m’a bien excité et il va falloir que je prépare le diner de demain chez Martine avec Pierre. Il faut que je médite à la stratégie que je vais employer pour soumettre Pierre.
Elle me remercie encore pour cette confiance, et je lui fais promettre de ne jamais dévoiler cette histoire à personne, que ce doit rester notre secret.
Puis nous nous quittons et je retourne à ma voiture. Cette petite histoire m’a bien excité et il va falloir que je prépare le diner de demain chez Martine avec Pierre. Il faut que je médite à la stratégie que je vais employer pour soumettre Pierre.
A suivre....
Trop de fautes d'orthographe
RépondreSupprimeret pourtant j'en ai enlevé beaucoup
Supprimer