Une drôle de belle-famille Ch. 05

 Texte de Ricki Black (2012)

*****

L'ex-femme.

Je suis dans l’incertitude, j’ai à ma merci la future belle-mère de mon fils et sa plus jeune fille Léa, c’est une excellente chose, mais il me faut savoir ce que mon ex-femme, une salope de première, manigance dans mon dos auprès de ma future belle-fille Emilie. Je commence par ce problème et après je réfléchirais à la manière de m’attaquer à Pierre, le père d’Emilie que je sens très influençable faible et donc manipulable.

Je vérifie sur mon portable, les SMS, MMS et textos reçus par Léa, la benjamine de la belle-famille que j’ai soumise sexuellement. Des échanges anodins avec son petit copain Mathieu. Je remarque plusieurs textos de Béa la copine de Léa à qui elle a avoué qu’elle était ma soumise. Béa a l’air très curieuse de savoir comment ça se passe. J’envoie à Léa en MMS une des photos que j’ai prise lorsqu’elle me suce à genoux et l’accompagne d’un petit mot : "Puisque ta copine a l’air intéressé, tu vas lui passer cette photo de toi où tu as ma bite dans la bouche et l’informant que c’est moi qui t’en ai donné l’ordre, mais en échange je veux que tu obtiennes d’elle qu’elle quelque chose. C’est toi qui décide ce qu’elle va te donner en échange, mais si j’ai un conseil à te donner… Soit ferme avec elle. Tu me tiens au courant de sa réaction". Je reçois en retour un MMS accompagné d’un texte. J’ouvre la photo et vois la chatte de Léa, sa vulve est offerte alors que deux de ses doigts maintiennent ses lèvres écartées, le texte dit : "Je m’en occupe et merci Maitre pour votre confiance".

C’est vraiment super, car Léa joue le jeu à fond et je suis certain que je vais pouvoir exploiter encore plus sa débordante envie de sexe.

Mais ma priorité maintenant c’est mon ex. Il faut absolument que j’apprenne ce qu’elle prépare dans mon dos. J’appelle mon fils pour me renseigner, il me confirme qu’effectivement Elodie et Brigitte (mon ex) sont assez proches et que justement il voulait me contacter, car hier alors que sa mère  dinait chez eux, il a surpris une conversation entre elles deux. Brigitte lui disait que nous nous étions séparés parce qu’elle n’acceptait plus ma perversité, que j’étais vicieux et qu’elle ne supportait plus que je la touche. Quelle salope ! je rongeais mon frein en écoutant mon fils. Il me rassure en me confiant qu’il connaissait bien sa mère et qu’il connaissait la vérité sur notre séparation, mais qu’il fallait que j’intervienne avant qu’elle ait retourné définitivement Elodie contre moi. Heureusement que j’ai des enfants intelligents, car ce n’était pas la première tentative de Brigitte pour me salir auprès de mes proches. Mais cette fois-ci, elle va payer cher cette saloperie.

Je dois réfléchir et mettre au point un piège, dans lequel Elodie pourra constater que c’est elle la vicieuse et ainsi Elodie comprendra qu’elle a été manipulée, je pourrais ensuite enfoncer Brigitte auprès d’Elodie en lui racontant les pires choses sur elle et inverser la situation actuelle. Il me faut des acteurs qui me sont dévoués, et un scénario qui tient la route. Après un bon moment de réflexion je tiens mon idée. J’appelle Léa en lui demandant de m’organiser un après-midi shopping avec elle, sa sœur Elodie et Brigitte dans le but d’aller faire des repérages pour le mariage. Je lui dis qu’elle devra m’être dévouée, car je vais avoir besoin d’elle pour piéger mon ex. J’entends presque le sourire de Léa au téléphone. Ne l’aimant guère, elle me répond que ce sera avec grand plaisir.

Puis je contacte Virgile, le vigile du centre commercial. Il est très heureux de m’avoir au fil et me demande si j’ai un nouveau plan baise. Je lui explique qu’effectivement j’ai besoin de ses services samedi après-midi. Il faut qu’il piège mon ex. Je lui explique la situation et finis de le convaincre. Tout est prêt pour que ma vengeance s’accomplisse. Léa me confirme le soir même que les filles sont d’accord et qu’elles seront au centre commercial vers 14H00.

Nous voila samedi. Une très belle journée ensoleillée, je suis arrivé vers 11H30 au centre commercial, j’ai vu Virgile pour lui donner les derniers détails. Il est réticent sur la dernière partie et me demande si je suis sûr de la réaction de mon ex. Je lui explique que je la connais suffisamment pour ne pas passer à coté d’une telle occasion et que même si elle joue les effarouchées, elle cédera.  J’ai convenu avec Léa que je lui communiquerais mes ordres par texto. 

Il est 14H00, je me tiens à distance pour pouvoir observer sans être vu, Léa entre par l’entrée convenue, elle est très sexy, habillée d’une jupe noire plissée soleil assez courte, les chaussures hauts talons offerts et un tee shirt blanc, sans soutien-gorge qui laisse deviner ses tétons. Elle n’est pas habituée à marcher avec d’aussi haut talons, sa démarche est un peu heurtée, ce qui a pour effet de faire onduler ses gros seins, de plus sa jupe courte ondule également, et lorsque je l’observe, je sais qu’elle ne porte rien dessous, j’adore. Elodie, elle, est très classique, jeans et chemisier, c’est une très belle fille et je suis fièr que mon fils l’épouse, intelligente et vive, elle est élégante. Son caractère est à l’opposé de celui de sa mère, elle est altruiste et à l’écoute, mais je pense d’un tempérament un peu coincé du certainement à son éducation catholique studieuse. Reste mon ex, cette salope qui essaye de me bouffer la vie dès qu’elle en a l’occasion. Elle est habillée d’une robe printanière  légère et vaporeuse avec un gilet blanc, des chaussures ouvertes blanches hauts talons. J’ai également l’impression que ses jambes sont gainées de blancs. 

Elles commencent à lécher les vitrines de fringues, j’en profite pour passer un texto à Virgile pour lui désigner la cible, et cela tombe bien puisqu’elles sont habillées vraiment différemment. Je m’amuse à les épier, Léa cherche du regard si elle m’aperçoit, mais je ne veux pas tout faire rater, si près de ma vengeance. Elle s’approche peu à peu du magasin que j’ai ciblé pour mon action, une grande enseigne Parisienne qui vend des vêtements de luxe. Léa sait qu’il faut les emmener là, Virgile est aussi à son poste et surveille. 

Les trois filles pénètrent alors dans le magasin, Léa s’oriente vers les rayons des vêtements. Les trois filles sont sous le charme des modèles. J’envoie un texto à Léa lui demandant de glisser doucement un des foulards de marques exposés devant elle dans la poche du gilet de Brigitte, je lui précise d’en prendre un très cher. D’où je suis, je peux aisément voir la manipe de Léa. Ayant choisi l’article, elle le met en boule dans sa main, puis tout en bousculant Brigitte elle le glisse dans la poche. Et Hop le tour est joué. Il ne reste plus qu’à attendre qu’elles sortent. 

Après 20 bonnes minutes d’attente, je vois les filles ressortir, suivi de près par Virgile. Léa et Emilie sortent suivi de Brigitte qui, bien sûr, fait sonner le portillon de sécurité. Surprise, Brigitte continue pensant que c’est une autre personne. C’est alors que Virgile l’attrape par le bras. 

-  Bonjour Madame, pourriez-vous, s’il vous plaît, repasser dans le portillon. 

Elodie est sur le point d'intervenir quand Léa la retient  :

- Attends, il vérifie ! Dis-donc, il est costaud le vigile, tu crois que c’est vrai ce qu’on dit sur leur…

Elodie, rougissante, toise Léa en lui disant qu’elle est vraiment obsédée sexuelle. Brigitte repasse et sonne à nouveau. Virgile alors lui demande de bien vouloir le suivre. Les voila partis, Brigitte tenue fermement par le vigile et les filles qui suivent. Moi, connaissant le scénario, je me suis glissé dans le magasin en catimini et j'ai pris possession de la cabine d’essayage à coté de celle réservée aux handicapés. Heureusement en ce début d’après-midi printanier il n’y a pas encore beaucoup de monde. 

Dans la cabine, il y a un banc d’angle en bois qui va me permettre de voir un peu ce qui se passe. Ma queue d’ailleurs en est toute dure. J’entends Virgile demander aux deux filles de bien vouloir l’attendre à l’entrée, puis il entraîne Brigitte dans la grande cabine. En refermant le rideau, Virgile lui explique que son bureau est en travaux et afin de respecter son intimité vis-à-vis des autres clients du magasin il va procéder à la fouille de son sac dans cette cabine. Il lui demande si elle est d’accord. Elle tend son sac. N’ayant rien trouvé dans le sac,  il lui demande d’ôter son gilet. Après l’avoir fouillé, bien sûr il trouve l’article. En panique, Brigitte lui dit qu’elle ne comprend pas, que ce n’est pas elle qui a mis ce foulard dans sa poche. Virgile alors prend sa main et lui dit plus fermement :

- Tais toi, tu sais combien ça vaut ça ? 3250€ ! Tu as de quoi le payer ?

Brigitte apeurée lui répond par la négative.

- Tu as volé quoi d’autre ? Allez dis-le moi !

Désespérée, elle nie tout vol. 

- Ok ! Hé bien on va vérifier tout ça… Déshabille-toi ! 

Cette salope réagit en lui disant qu’il n’a pas le droit de faire ça, qu’elle va se plaindre au directeur, Etc... Alors Virgile s’approche d’elle et lui dit :

- Tu choisis, moi maintenant ou chez les flics devant la brigade… Mais j’ai déjà la preuve de ta culpabilité alors réfléchis !

C’est le moment que je choisis pour commencer à mater. Etant plutôt grand, et la cabine spacieuse, je peux à peu près voir ce qui s’y passe. Je vois mon ex face à cette masse black, détachant un à un les boutons da sa robe. Virgile lui demande de s’affoler car il n’a pas que ça à faire. Il est vraiment excellent ce mec, il a loupé sa vocation d’acteur… Mais dans le porno vu la bite qu’il a. Ma queue est tendue, je décide de la sortir pour me branler, je sais que la séance va être des plus excitante. 

Brigitte ôte sa robe par le haut, dévoilant à Virgile sa nudité pour sa plus grande joie. Cette salope ne porte qu’un porte jarretelle et des bas blancs et c’est tout, Pas de culotte ni sous-tif. Je vois son cul beau mais tombant. Dans le miroir, j’aperçois sa chatte entièrement épilée qui laisse voir son abricot. Ses seins ont un peu grossi. 

- Dis donc, ça t’arrive souvent de sortir à poil sous ta robe ? Lui lance-t-il en riant. 

Brigitte balbutie en lui expliquant que c’est plus pratique pour les essayages.

- Je m’en fous, des chaudasses comme toi j’en vois tous les jours, je vois que tu ne peux pas planquer grand-chose, mais il me reste deux endroits à fouiller. 

Je vois Virgile très excité, son sexe énorme a gonflé exagérément son pantalon. Brigitte, ayant vu la bosse, reprend de l’assurance et lui demande de lui préciser quels endroits et comment il compte s'y prendre pour les fouiller. Ca y est, il vient de réveiller la pute qui sommeillait en elle. Virgile lui explique qu’il a deux manières : Soit avec ses doigts, mais il y a un risque de ne pas allez assez profond, soit avec sa queue. Et joignant le geste à la parole, il sort son braquemard tendu sous le regard captivé de sa proie. Soudain, saisissant Brigitte par la taille, il la retourne, la penche en avant et lui dit :

- J’ai décidé, je vais te fourrer avec ma grosse bite ! Quand dis-tu salope ?

Brigitte, sentant déjà le barreau de chair prendre possession de son vagin, n’a que le temps de dire :

- Oui vas-y  ! Fourre-mo beau black avec ton obusier !

Je suis aux anges en voyant la queue de Virgile s’enfoncer jusqu’à la garde dans sa chatte. Je me branle en regardant ce divin spectacle. J’aimerai bien que Léa me rejoigne pour qu’elle me suce en même temps, mais le scénario avant tout.

Virgile besogne la chatte de Brigitte depuis trois bonnes minutes lorsqu’elle lui demande de l’enculer. Je suis étonné, car avec moi elle n’était pas très fan de la sodomie et encore plus quand on voit la taille de Virgile. J’en déduis qu’elle a dû s’entraîner sérieusement pour vouloir recevoir une telle bite dans le cul, mais surtout qu’elle est devenue une vraie chienne. Mais je sens Virgile au bord de l’éjaculation. D’ailleurs, il me fait comprendre qu’il ne va pas tenir bien longtemps. Il sort de Brigitte qui, ravie, pense qu’il va lui fourrer le cul, mais non, il lui ordonne de prendre sa queue en bouche. Elle s’agenouille et ouvre grand la bouche pour gober l’énorme sexe. J’envoie alors un texto à Léa pour qu’elle commence à se tenir prête. Elles sont, elle et sa sœur, devant l’entrée de la salle et j’entends Léa dire à Elodie :

-  Dis donc, c’est bien long cette histoire, viens on va voir ce qui se passe !

Je les entends entrer, Léa étant dans la confidence se place devant la cabine handicapée et dis à sa sœur :

- Je les ai vu entrer là !

Moi, observant Virgile, je vois qu’il lâche et qu’il va cracher maintenant. C’est le signal, je toque sur la paroi de la cabine, Léa ouvre le rideau de la grande cabine au moment ou Virgile gicle dans la bouche et sur le visage de Brigitte. Elle en a partout, alors qu’elle lui dit :

- Vas-y ! crache-moi dessus !

Léa et Elodie regardent éberluées le spectacle porno que lui offre la future belle-mère, la face dégoulinante de foutre épais, nue, assise la chatte défoncée et les cuisses inondées de cyprine. Houaaaa je n’avais pas imaginé que ce serait aussi bien, j’exulte la queue à la main avec encore une furieuse envie de la punir.

Elodie crie en pleurs que ce n’est pas possible, que c’est une grosse salope de se fait troncher dans une cabine d’essayage pendant qu’elles sont là, à l’attendre. Léa, elle, ayant discrètement sorti son GSM et sur ma demande, phtographie l’affligeant  spectacle. Puis Elodie saisit Léa par la main et s’enfuit du magasin en s’excusant auprès d’elle pour ce spectacle écœurant dont elle vient d’être témoin. Si elle savait… 

Pour ma part, je fais signe à Virgile de maintenir Brigitte et d’attendre. Il s’exécute et lui fourre sa bite dans la bouche à nouveau, elle conteste mais le rapport de force n’est pas équitable. Je quitte mon repère et me glisse discrètement dans la grande cabine. Je suis derrière elle, ma queue bat contre mon ventre. Virgile a compris. Il dégage la bouche de Brigitte puis place sa tête entre ses deux cuisses en lui disant :

- J’ai trouvé un pote à moi pour satisfaire ton désir d’être enculée. 

Je place alors mon gland sur l’anus de mon ex, et d’un grand coup bien sec je lui fourre ma queue jusqu’à la garde dans le fondement. Les cris de douleurs s’étouffent entre les cuisses de Virgile. Commence alors un enculage d’anthologie. Je lui mets dans le fion tout ce qu’elle n’a pas pris pendant nos années de mariage. Ma bite me fait mal. Brigitte a un orgasme violent et étouffé, son cul suinte et recouvre peu à peu ma bite d’un jus blanchâtre. Après une longue séance, je jouis dans son ventre. Je me retire, laissant un gouffre béant entre ses deux fesses molles, et je reprends ma place dans la cabine d’à coté. Je reprends mon poste d’observation. 

Brigitte est assise sur le banc de bois. Elle a le visage suintant de sperme. Ses seins en sont recouverts aussi. Je peux facilement distinguer entre ses cuisses écartées mon foutre qui coule sur le banc en bois en s’échappant de son cul. Virgile lui gueule dessus en lui disant qu’elle salope le banc. Il lui demande de serrer le cul. Il saisi sa robe, lui demandant de se lever, et essuie le banc avec. 

- Tiens ! Allez salope, rhabille-toi !

Brigitte s’exécute. Alors qu’elle va pour s’essuyer le visage, Virgile lui interdit :

- Non non... tu vas sortir comme ça avec du foutre partout et le cul qui coule. Allez, enfile ta robe, grouille  !

J’en profite pour quitter la cabine et me planque dans le magasin, je ne souhaite pas louper son humiliation. Je la vois alors sortir de la salle des cabines, la démarche mal assurée, elle doit avoir mal au cul. Elle croise les première clientes qui s’écartent d’elle en voyant le sperme qui continue à couler sur sa robe. Je vois également un filet couler le long de sa jambe. Brigitte baisse la tête et accélère le pas pour sortir du magasin, je la suis du regard et la vois s’engouffrer dans les toilettes du centre. 

Je reviens voir Virgile pour le remercier, le congratule pour sa prestation. Il me dit qu’il a adoré se faire mon ex et qu’à priori c’est une nana très facile.

- Tu avais raison, elle n’a pas beaucoup résisté, en voila une autre qui aime la bite !

Je quitte Virgile en lui promettant que je saurai être reconnaissant avec lui. Une fois arrivé dans ma voiture, j’appelle Léa pour savoir comment s’est passé le retour avec Elodie. Elle m’explique qu’Elodie ne veut plus entendre parler de sa future belle-mère, mais elle m’a demandé de garder secret ce qu’elles venaient de voir, elle ne souhaite pas que son futur mari et sa belle-famille soit au courant de cette ignominie. Elle est consciente que Brigitte l'a manipulée à mon égard et qu’elle va en discuter avec moi prochainement. Je félicite Léa et lui dit que je souhaite la récompenser pour son attitude, et veux la voir demain matin. Je lui demande de bien vouloir me transmettre les photos qu’elle a prises.  Léa me répond qu’elle ne pourra pas demain matin, car sa mère lui a demandé de l’accompagner à l’église, elle m’a dit qu’elle avait besoin de se confesser.

 
Je réponds à Léa qu’on se verra demain à l’église ! Et je raccroche alors que mon iphone bippe. J’imagine que ce sont les photos. J’ouvre le fichier et quelle est ma surprise quand je vois que Léa a filmé toute la scène avec son portable où l’on peut voir et entendre mon ex à genoux en train de prier devant l’énorme bite d’un black de lui cracher dessus. Décidément cette Léa n’a pas fini de me surprendre.

A suivre...