jeudi 5 septembre 2024

Qui suis-je vraiment - Ch. 03

 Récit de Realbluetit (2013)

*****

Laurence s'enfonce dans la soumission.

Effectivement c'était lui, qu'allait-il vouloir de moi ? 

- Alors cette piscine, cela t'a fait du bien ?

- Oui, mais je me suis sentie abjecte tout de même.

- Soit plus précise ! Qu'est ce que cela fait de montrer à tous les nageurs tes seins, tes fesses... et ta chatte ?

- J'avais chaud, je me sentais avilie, mais je dois avouer que j'ai aimé cela.

- Oui, j'ai pu le constater que tu as adoré, car... en fait, tu es une cochonne qui aime être dirigée et exhibée. Je me trompe ?

- Non... vous me faites apprécier cela, j'ai... honte de le dire... mais oui j'aime cela.

- Alors, dis moi ce que tu es vraiment !!!

- Une allumeuse ?

- Je crois que c'est bien faible au vu de ce que tu oses faire et montrer !!! Sois crue et directe... tu es ??

- Je suis... une petite cochonne... qui s'exhibe quand on lui ordonne.

- Voilà qui est plus juste. Mais je remplacerais le mot petite par vraie, vas-y et avec plus d'enthousiasme !!!

- Je suis une vraie cochonne qui s'exhibe quand on lui ordonne !

- Ce qui est bien avec toi c'est qu'il suffit de te le demander pour que tu fasses n'importe quoi, ma petite soumise. N'est-ce pas ?

Sur ce point il tapait juste, car le chantage initial n'était vraiment plus de mise. J'étais devenue sa soumise, sa « petite » salope en moins de deux semaines.

-Rentre chez toi !!! J'ai une surprise pour toi.

- J'y vais tout de suite.

- Tu as intérêt, car la soirée ne fait que commencer ma petite salope, car tu en es une n'est ce pas ?

- Oui Monsieur.

- Dis-le clairement et de manière à ce qu'on puisse t'entendre.

- Oui, je suis une salope qui aime ce que vous lui demandez !

- Et bien, on va voir si tu fais exactement ce que je te dis. A dans un quart d'heure chez toi !

Je fis le plus vite que je pus. Arrivée chez moi, je trouvai une lettre comme aux premiers jours qui disait : « Douce amie, nous allons voir si, comme tu l'exprimes si facilement, tu te soumets à tous mes désirs. Tout d'abord, comme tu peux le voir, sous cette lettre se trouvent un rasoir et de la mousse à raser. Je te veux désormais lisse. En effet, pour l'instant tu n'as exhibé qu'un sexe poilu. Je veux dorénavant que tu t'exhibe entièrement. Tu vas donc raser immédiatement ton minou et ensuite tu pourras lire la deuxième page. » 

J'étais rouge comme une pivoine, car autant nager et montrer mon intimité m'avait humiliée sur le moment, mais à présent on me demandait quelque chose qui resterait visible au moins plusieurs semaines. L'idée de me retrouver comme quand j'avais douze ans me gênait aussi.

D'un autre côté je ne pouvais pas esquiver cet obstacle, surtout que les autres moments vécus, bien que durs sur le moment, furent tout à fait jouissifs. Et puis, j'aimais décidément cela être commandée, dirigée... en bref être soumise à mon amant.

Je pris donc le rasoir la crème et partis dans la salle de bain. Après m'être déshabillée, j'écartai les jambes devant le miroir. Je commençai au préalable par me couper les poils blonds afin de faciliter le rasage. J'appliquai ensuite la mousse à raser sur mon bas-ventre puis dans mon entrejambe. Je débutai alors le rasage.

Le pubis enfin lisse, je commençai à m'attaquer à mon minou. Doucement je passai les lames sur mes lèvres pour les débarrasser des poils non désirés de mon inconnu. Le feu du rasoir engendra au même moment un autre feu, mais intérieur celui-ci. Pour l'éteindre, mon sexe suinta ce qui favorisa derechef la fin du « nettoyage ».

J'étais imberbe désormais et pour m'en assurer je passai mes doigts sur mon abricot lisse. J'en profitai pour caresser plus en avant mon clitoris gonflé, et... déviai un doigt dans mon vagin. Cette vérification se fît alors de plus en plus forte et rapide. A l'index, j'insérai le majeur afin de doubler les caresses de mon puit. Le plaisir monta et se finalisa par les soubresauts de mon corps associés à des petits cris en provenance de ma bouche.

Mon esprit retrouvé, j'observai attentivement et sous plusieurs angles ma nouvelle allure. J'étais lisse et assise, les jambes ouvertes. On distinguait clairement mes lèvres roses entrouvertes. Je me sentais déshonorée. A cela s'ajouta une nouvelle sensation, j'étais nue à la vue mais aussi nue au toucher. Le passage de la serviette sur mon pubis me confirma ce fait et jeta encore plus le trouble dans mon esprit. Je me mis à penser : Qu'en serait-il avec les vêtements que j'avais dû acheter ?

Sur ces réflexions mon téléphone sonna. Je répondis prestement :

- Que fais-tu ?

- Je finis de me raser.

- Je suis sûr que tu en as profité pour te masturber ? Dis moi la vérité, soumise !

- Euh... Oui.

- Quel nom donne-t-on aux personnes comme toi ?

- Je suis une salope qui est prête à tout pour vous.

Je n'en revenais pas de pouvoir me qualifier ainsi. Je m'avilissais devant lui et cela ne me choquait pas, non cela m'émoustillait même.

- Tu aimes cela te soumettre à mes ordres ma soumise !!!

- Oui j'aime cela, vous obéir.

- Alors, avec ton téléphone tu vas prendre une photo de ton abricot épilé et tu m'envoie immédiatement la photo afin que je le reconnaisse. Ensuite tu pourras commencer la lecture de la seconde feuille. Au fait, félicitations, tu te balades à poil, « si l'on peut dire », dans ton appartement à la vue de tes voisins.

Je piquai un fard immédiatement.

- Ne change rien et commence tout de suite ta lecture !

C'est donc nue et imberbe, sans avoir pris soin de fermer les volets, que je lus le texte à haute voix.

- Je dois porter une mini-jupe avec un porte-jarretelles, des bas couleur chair, mais sans culotte. Quant au haut, je dois mettre un chemisier blanc avec les deux boutons du haut ouverts et un soutien-gorge noir, afin qu'il soit visible au travers. Pour finaliser mon habillement je dois me munir d'un string, de la vaseline et du plug acheté quelques jours auparavant. Le lieu de rendez-vous est le restaurant Z. dans lequel une table est réservée à mon nom, et que je dois rejoindre par métro. Pour le métro, il m'est interdit de croiser les jambes ou de les serrer complètement. Je dois même les écarter doucement à deux reprises tout en regardant sur le côté. Ainsi, vous pourrez à loisir admirer mon minou rasé. Pour me couvrir, une veste courte présente dans l'entrée de mon appartement suffira.

- Es-tu prête ?

- Oui je le suis.

Je m'habillai comme exigé, et constatai que la mini-jupe couvrait à peine la lisière de mes bas. De plus, si l'on observait attentivement le tissu de la jupe on pouvait constater que les attaches de mon porte-jarretelles soulevaient légèrement le tissu.

Pour rejoindre le métro, je marchai durant cinq minutes. Suffisamment pour que je dévoile le haut de mes bas à plusieurs passants qui se retournèrent. Il y eut même une personne qui me suivit, derrière moi, pendant 500 mètres. Je n'osai pas me retourner ou retoucher ma mini-jupe de peur de lui montrer que je savais ce que je dévoilais à ses yeux, mais j'avais bel et bien honte. Une fois dans le métro, je dus mettre de côté à nouveau mon éducation bourgeoise et écarter mes jambes gainées. En ce mois d'octobre l'air n'était pas froid mais tout de même frais. Cette fraîcheur électrisa tout mon bas-ventre. Mais ce n'était que le début.

Lorsque j'arrivai au dit restaurant, je demandai au maître d'hôtel ma table réservée. Qu'elle ne fût pas ma surprise de constater que la dite table se situait sur une estrade. Heureusement la chaise de devant me protégeait. C'est alors que je reçus le premier SMS d'une longue série.

"Bienvenue dans le restaurant Z. Comme tu peux le voir, je ne suis pas seul. Tu as plein de fans ici."

Effectivement, il y avait du monde dont plusieurs hommes seuls, mais connaissant mon inconnu, il serait capable de se cacher derrière ces couples voire ce groupe d'amis.

"Après avoir commandé, tu vas défaire un troisième bouton de ton chemisier afin de montrer ta poitrine au serveur. De plus, pour que le dîner ne soit pas monotone, tu vas recevoir des textos auxquels tu devras répondre clairement et de façon détaillée. Mais d'abord tu pousses la chaise et tu croises les jambes afin de montrer tes cuisses gainées."

Je commandai donc le menu tandis que le serveur se délectait de l'entrée, c'est-à-dire une vue profonde dans mon décolleté. Sur ce, je reçus ma première question :

- Qui penses-tu que je suis ?

J'avais essayé de voir qui pouvait bien taper des textos, mais le coup devait être bien prémédité et il lui suffisait d'expédier des SMS pré-rédigés. Je répondis ainsi :

- Un homme de 40 ans, habitant dans le voisinage de chez moi, et ayant découvert mes photos de nu sur internet.

S'en suivirent deux textos d'affilés.

"Mauvaise réponse Laurence. Tu auras un gage pour cela !"

"Tu vas aller aux toilettes avec ton sac. Quand tu te lèveras tu vas lentement décroiser tes jambes afin de faire admirer ta vulve toute lisse."

Je fis comme indiqué et partis aux WC... où un nouveau SMS tomba sur mon portable.

"Laurence, tu vas enlever ton soutif. Ensuite, en tant que salope, tu vas désormais m'offrir ton anus. Tu vas donc t'enfoncer le plug dans ton sphincter et le faire retenir avec la ficelle de ton string. Pour le chemisier, je t'ordonne de ne pas te réajuster, comme cela tout le monde pourra admirer ton changement de démarche, tes seins libres de tout mouvement et peut-être tes dessous"

J'étais au pied du mur encore une fois. Il m'avait certes forcé mon petit œillet, mais là l'objet ressemblait plus à un beau petit sexe. Je respirai profondément pendant une minute puis me décidai à franchir le cap.

Installée dans un des deux cabinets, je remontai le mince tissu qui couvrait mes cuisses. Puis, j'entamai une masturbation de mon clitoris et de mon vagin afin de me détendre. Ayant oublié le pot de vaseline, je profitai du fait que je commençais à mouiller pour badigeonner mon œillet de mon liquide vaginal. Il était temps de passer à l'introduction de l'engin. L'intromission fût au départ un peu douloureuse, mais le sexe plastique par les frottements chauffa ensuite tout mon bassin. Mon excitation, ou l'appréhension que je m'en faisais, avait donc rendu plus aisée ce nouveau défi que mon éducation puritaine avait interdite autrefois.

La gêne néanmoins n'avait pas disparu. Bien au contraire elle s'accrut quand je remontai le string et je m'engageai à retourner à ma table. La ficelle en effet renforçait l'empalement du membre, et chaque pas faisait mouvoir l'instrument titillant ma paroi anale. Je comprenais enfin la signification « d'avoir chaud au cul », sauf que la chaleur à présent remontait jusqu'à ma tête et cela devait se voir de loin.

Lorsque je retournai à ma place ma démarche était tout à fait différente de l'aller. J'essayai de me concentrer pour ne pas faire trop bouger le plug dans mon conduit, mais en contrepartie je me déhanchai nettement plus, faisant ballotter mes seins. J'étais mal à l'aise car les regards dans le restaurant étaient désormais insistants à mon égard.

Sur ce, arriva la deuxième question en même temps que le plat principal.

"Penses tu pouvoir aller au-delà de l'exhibition ?"

Ma réponse fût brève mais digne de la soumise que j'étais :

"Avec vous, je suis prête à dépasser les limites que je m'étais fixées, car je suis vraiment... une salope. Mon corps et mes trous sont à vous."

Le plug m'excitait et arriva même à me faire mouiller. De plus, en m'asseyant, mon cul venait d'avaler la totalité de l'instrument, décuplant l'intensité du contact. Mais cela ne me suffisait plus. J'entrepris alors de balancer mon bassin d'avant en arrière, afin d'entraîner le déplacement du bout de plastique dans mon anus. Mon vagin en profitait aussi car l'écartement de la mince paroi anale écrasait de fait mon vagin. Je continuai cette masturbation originale le temps d'ingurgiter mon poisson. Avant la dernière bouchée, mon téléphone vibra pour m'indiquer la réception d'un autre SMS.

"Pour ton dessert, tu remontes ta jupes au-dessus de la lisère de tes bas, et tu écartes tes jambes afin d'exhiber ton string. Une fois que tu auras fini et payé, tu demanderas de l'eau avec des glaçons. Avec ta serviette tu prendras les glaçons, puis tu iras aux toilettes."

Je remontai ma mini-jupe, quand mon serveur apparut avec mon dessert. Lorsqu'il me servit, je perçus qu'il voyais mon sein en raison de l'ouverture béante de ma chemise et qu'il ne se gênait pas pour le scruter attentivement. Ce à quoi je ne m'attendais pas c'est qu'il fît tomber sa serviette par terre. Il se pencha alors lentement les yeux rivés sur mes cuisses. Par défi et pour satisfaire mon amant, je décidai de ne pas descendre ma jupe. On m'avait fait venir pour m'exposer, c'est donc ce que je faisais au plus grand plaisir de plusieurs clients qui ne se cachaient plus pour me mater, mais aussi pour mon serveur. Lorsqu'il remonta, il laissa traîner sa main sur le haut de la cuisse. Cela me fît sursauter et rougir. J'étais honteuse de mon comportement et pourtant je n'attendais qu'une chose, avoir ces glaçons pour poursuivre l'aventure. Il n'alla pas plus loin heureusement car je ne sais pas comment j'aurais réagi s'il avait été plus entreprenant.

Comme demandé, je me retrouvai à nouveau dans les cabinets pour recevoir deux SMS.

"Bravo pour le spectacle et merci pour le serveur. Tu vas enlever tous tes vêtements sauf tes dessous. Le reste tu le mets dans ton sac. Quanq aux glaçons tu vas immédiatement les introduire dans ton vagin."

"Dernière question : je suis altruiste et dominateur alors es-tu décidée à m'appartenir entièrement, ainsi qu'à tous ceux à qui je désirerais te partager ?"

Le dernier SMS me troubla fortement. Etais-je vraiment prête à cela ? J'étais devenue certes une petite salope mais j'avais encore l'impression de maîtriser les évènements. Or là, je pressentai que je ne pourrai plus jamais faire marche arrière. Et dire que mon enfant allait revenir de chez son père dans 3 jours.

Avec le vin bu, le plug immiscé dans mon cul, je ne savais pas quoi répondre. Ma décision nécessita encore cinq minutes de pensées plus ou moins claires. Enfin je répondis :

"J'aime quand tu me guides, et finalement j'aime être ta salope, car j'y prends du plaisir alors je suis d'accord pour que tu me prêtes."

La réponse ne se fît pas attendre :

"Dans ces conditions tu pourras bientôt découvrir mon visage. Tu ne seras pas que prêtée ma soumise, tu seras prise à plusieurs. Il est temps que tu rentres maintenant."

J'enlevai mon chemisier, ma courte jupe, avant d'écarter mon string. J'enfilai alors les quatre morceaux de glaces qui, au lieu de refroidir mon sexe, l'enflammèrent. Mon inconnu était décidément le diable en personne, il me rabaissait à me promener nue avec les trous encombrés d'objets divers et j'adorais cela.

Je mis enfin le manteau qui couvrait encore moins mes cuisses. Il fallait être aveugle pour ne pas voir les bas et le col en V exposée une bonne partie de mes seins. J'aurais pu rivaliser avec certaines call-girls de l'avenue Foch. Je sortis rapidement du restaurant épiée par les derniers clients. Le serveur quant à lui m'attendait à la sortie du restaurant pour m'ouvrir la porte. Ce geste galant cachait derrière une pensée moins honnête puisqu'au moment de passer il plaqua une de ses mains sur mes fesses et remonta brièvement mon caban dévoilant mon porte-jarretelles et le bas de mes fesses.

Je rabaissai rapidement le pan ainsi soulevé et partis sans même me retourner. J'étais cramoisie et effrayée de revoir cet homme. Le retour fût difficile car je sentais les glaçons fondre dans mon vagin et l'eau couler le long de mes cuisses. Néanmoins personne m'importuna dans le métro, me permettant de fantasmer sur tout ce que je « devrais faire » pour mon amant.

Arrivée dans mon appartement, j'ôtai mon manteau et me regardai dans le miroir. J'étais vraiment devenue une belle chienne. Oser me balader ainsi avec un plug dans l'anus et l'abricot tout lisse, seule une salope pouvait faire cela. Je sursautai tout à coup lorsque mon inconnu m'indiqua qu'il était présent chez moi. Il avait toujours sur lui une cagoule et des lunettes solaires masquant son visage.

- Laurence, tu t'es bien comportée ce soir. Mais je veux vraiment voir si tu es mûre pour être ma soumise. Voici dans ce sac toutes tes culottes, je te demande de les trier. Tu as trois tas à faire : un pour les détruire, un pour pouvoir les remettre et un enfin pour les transformer en sous-vêtement sexy.

J'entrepris la sélection uniquement vêtue de mes bas et de mon string. En voyant les culottes, je m'étonnai de pouvoir porter auparavant des culottes aussi peu sexy. Le premier tas grandissait, c'est alors que mon amant me tendit une paire de ciseaux et m'ordonna de les découper afin de ne plus jamais les porter.

Je décidai de conserver 8 dessous de type Tanga en dentelle. Il récupéra quant à lui deux culottes blanches qu'il découpa, les transformant en objets, qui souligneront plus qu'ils ne cacheront désormais ma chatte et mes fesses.

Son sourire me fît comprendre que mon choix était judicieux. Ce jeu fût renouvelé pour mes soutien-gorges. Là aussi il transforma deux de mes dessous afin que mes seins passent au travers, ce qui était pire que de ne pas en avoir du tout. En fait il me pressait de porter ces soutiens-gorge atypiques.

C'est alors que mon amant se plaça devant moi le sexe tendu et m'intima l'ordre de le prendre en bouche. Sans hésitation je m'approchai et commençai la fellation. Ses deux mains entourèrent alors ma tête et il commença à donner une cadence rapide à ma fellation.

Il interrompit ces mouvements pour faire ressortir son pénis de ma bouche et le promener sur mon visage, laissant au passage un peu de ma salive sur mes joues.

- Mets toi à quatre patte salope ! Tu es d'accord que je t'appelle comme cela ?

- Oui...

- On dit Monsieur !

- Oui Monsieur !

- Et pourquoi es-tu d'accord que je te nomme ainsi ???

Pendant ce temps là, il plaça son sexe à l'entrée de mon vagin et entama la pénétration de sa verge. Je ne pensais même plus que mon rectum était toujours empli du plug, car je n'attendais qu'une chose... que son sexe s'introduise dans mon vagin. Aussi répondis-je sans réfléchir :

- Parce que je le mérite, je suis vraiment une salope.

- Et tu sais ce que je fais aux salopes ?

- Vous les baisez ?

- En partie !Je les sodomise aussi et elles me sucent dès je leur demande.

Désormais son sexe allait et venait dans mon vagin. Je me mis à haleter et crier ma jouissance, tellement sa pénétration était délicieuse. J'avais pris plaisir ce qui ne l'empêcha nullement de continuer à me faire l'amour. Avec succès puisqu'il réactiva ma libido, ce que je crois n'avoir jamais vécu en si peu de temps.

C'est alors qu'il sortit son sexe totalement pour mieux le rentrer jusqu'au fond. Il alterna ensuite avec des mouvements circulaires afin d'exciter ma vulve un peu plus. Quelques minutes plus tard, je sentis mon anus enfin libéré de l'instrument qui l'obstruait, mais ce ne fût que pour mieux être rempli à nouveau avec la tige de mon amant. Il me susurra alors à l'oreille de nouvelles paroles très crues qui eurent pour effet de décupler mon excitation.

- Tu vois que tu aimes cela, te faire enculer !!! T'aime ça ???

- Ouuui... Ouuui c'est boonn.

- Dis moi distinctement cela sinon je ne comprends pas !!!

- J'aime quand tu m'encules, que c'est bon !

- Tu sais où je vais éjaculer ???

- Ouiiiii !!!

- Où ?

- Hum, Hum... dans ma bouche !

- Alors au travail !!!

Il sortit alors son sexe de mon petit trou. Et c'est sans réfléchir ni aucune répulsion que j'embouchai son membre. Certes, je pris sur moi pour nettoyer son pénis au début mais ensuite je retrouvai ce sexe que j'avais tant aimé et sur lequel je fantasmais depuis quelques jours déjà.

Après avoir pratiquée mes caresses buccales sur son bout, puis le long de cette tige bien raide, j'avalai à nouveau son membre qui emplit ma gorge de sa gelée « royale ».

A suivre...

1 commentaire:

  1. Je crois que je vais prendre énormément de plaisir à suivre cette histoire et découvrir jusqu’à quel point on peut pervertir une femme pour en faire une salope soumise au moindre de ses désirs…

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