vendredi 27 septembre 2024

Miss Laitière

 Récit de Bimur.

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Candauliste, j’apprécie, provoque et encourage les expériences de mon épouse, Nyssia. C’est ainsi que j’ai été contacté par Paul X. après qu’il ait vu la page racoleuse placée sur un site spécialisé intitulé La Bourgeoise Soumise :
 
"Bourgeoise mûre à gros seins, toujours accompagnée de son mari candauliste, Nyssia exhibe et laisse palper ses mamelles pleines, lourdes et sensibles. Elle aime qu’on les lui tripote et qu’on les lui tète. Elle se fait aussi tirer les bouts maintenant qu’elle assume sa grosse poitrine après en avoir été très complexée pendant fort longtemps.

Ses gros seins de salope sont fermes et sont sa fierté : elle aime se les caresser en regardant vos excitations monter! Complètement docile, elle se laisse "travailler" ses gros pis. Docile, elle est dotée d'un superbe cul avec de magnifiques longues jambes gainées de bas noirs et de hauts talons! Elle est parfaite pour servir d'hôtesse lors de vos soirées! Elle peut faire la soubrette chez de vieux pervers distingués et aime être traitée comme une bonniche par de vieux messieurs autoritaires au langage cru : vous pouvez ainsi passer une soirée entre amis avec une jolie et docile traînée, bien et fortement bustée.

Nyssia cherche donc des admirateurs mûrs, voire très mûrs (plus de 60 ans), raffinés, voyeurs et pervers pour être une vraie pute, excitante et salope. Bien sûr, vous devrez être corrects, avec du savoir-vivre et une hygiène irréprochable, et pouvoir recevoir dans un cadre agréable, si possible inhabituel."

Ce monsieur, manifestement sévère et habitué à l’obéissance sans restriction, vivait seul dans une maison bourgeoise située en dehors de l’agglomération lyonnaise. Il m’avait contacté après la lecture de cette annonce délicate et m’avait dit avoir été séduit par la plastique et le port de ma femme. J’en avais déduit assez sommairement que ce monsieur, au caractère manifestement trempé, souhaitait vérifier que son autorité s’exerçait toujours, y compris à l’égard de bourgeoises mures à lourdes tétasses, libertines à leurs heures…
 
Rendez vous avait donc été pris pour un Mardi soir, à 21 heures, à son domicile.
 
Conformément à ses instructions particulièrement précises, mon épouse ne portait pas de slip, un soutien gorge laissant ses appâts libres, des chaussures à hauts talons ainsi que des bas noirs, et, pour couvrir le tout, une robe chic et simple d’apparence, de couleur noire mais très décolletée avec une fente lacée au niveau de la raie.
 
Pendant le trajet en voiture le silence de Nyssia traduisait son inquiétude et son appréhension. Arrivés à destination, je suis descendu sonner à l’interphone de la grille du jardin. Avant même que j’y parvienne, le mécanisme s’est mis en route et les vantaux se sont ouverts : nous étions à l’évidence attendus et guettés. 

Sitôt la grille passée, celle-ci s’est refermée et les phares de la voiture nous ont fait découvrir au milieu de la nuit noire une maison bourgeoise de la fin du XIXème, sans grand intérêt architectural mais dont la taille et la qualité des matériaux manifestaient le statut social de son occupant. 

J’ai stationné notre voiture au pied du perron, au moment où une accorte jeune fille, habillée en soubrette traditionnelle, est venue nous accueillir. 

- Monsieur vous attend. dit-elle courtoisement. 

Nous précédant, j’en profitai pour la détailler : environ vingt-cinq ans, des nichounets de petite taille recouverts par un chemisier blanc suffisamment fin pour que l’on puisse deviner qu’il ne cachait pas de soutif, des jambes gainées de bas de voile noir, une jupe courte en jersey galbant ses fesses, et des chaussures à talons. 

Je laissais passer Nyssia devant moi pour entrer dans le salon, la soubrette s’effaçant également. Nous étions à l’entrée d’un grand salon meublé classiquement, avec nombre de tableaux et objets aux murs : au centre, trônait une table basse qui séparait deux canapés profonds en velours, placés symétriquement de part et d’autre. Le propriétaire des lieux se leva à notre entrée mais à ma grande surprise ignora mon épouse et se dirigea vers moi pour me saluer. Nyssia resta debout les bras ballants, peu habituée à un tel manque de courtoisie. 

- Agathe, laissez nous pour l’instant. 

- Bien Monsieur. 

Paul me proposa de le suivre et de m’asseoir à côté de lui dans le canapé dont il venait d’émerger. 

- Excusez moi, mais je ne vous ai pas présenté ma… 

- Ne vous excusez pas, m’interrompit-il. Il s’agit d’une pute. 

J’étais prêt à répliquer, mais notre hôte s’adressa alors à ma femme : 

- Va à la cuisine nous chercher du champagne ! 

Médusée, Nyssia sortit de la pièce, restant sans voix et sans réaction devant tant d’impudence. 

- C’est la règle du jeu, me dit mon hôte. J‘ai demandé une pute soumise d’excellente éducation : vous me l’avez amenée. Elle gardera ce statut toute la soirée. 

De fait, je n’avais pas prêté attention, lorsque nous nous étions parlé au téléphone, à cette demande : j’en avais maintenant la traduction concrète. Nyssia apparut alors sur le seuil du salon, portant un plateau avec une bouteille de champagne et trois coupes. Je tentai de lui faire un signe pour la rassurer et lui faire comprendre que tout se passait comme convenu : je m’en suis alors voulu de ne pas l’avoir suffisamment affranchie des termes de notre accord, mais, après tout, c’est elle qui ne veut pas savoir ce qui l’attend pour ne pas être trop inquiète avant nos petites séances. 

- Pose-le sur la table. 

La pute s’approchait. Elle allait s’accroupir pour poser le plateau sur la table basse. 

- Mais non, reste les jambes tendues ! 

Elle ne comprit pas sur l’instant. Mais s’exécuta. L’emprise de notre hôte commençait à se faire sentir. Jambes tendues, elle dut se pencher en avant et ainsi donner à la vue le haut de ses loches que découvrait largement le décolleté de sa robe. Les mamelons tendaient le tissu. Paul appréciait manifestement : il aimait le lourd… 

Alors qu’elle était penchée et avant qu’elle ne se relève, il lui intima l’ordre de rester dans cette position, les mains appuyées sur la table. Ce qu’elle fit. Il sortit alors, de la profondeur des coussins garnissant le canapé où nous étions assis, une longue badine avec laquelle il s’amusa à explorer les contours des pis de Nyssia au travers de son chemisier. Exercice humiliant. Puis, du bout de la badine, il écarta le chemisier au niveau des deux gros globes pour en avoir une meilleure vision. 

- Belle paire, dit-il élégamment. Redresse-toi. 

Du bout de la badine, il commença à remonter lentement le bas de sa courte jupe, manifestement pour s’assurer que ses ordres vestimentaires avaient bien été suivis. 

- Ecarte les cuisses, tiens-toi droite, les mains dans le dos ! 

Cette position était particulièrement avantageuse, compte tenu de l’anatomie de Nyssia : ses tétines dardaient et tendaient sa robe à l’en faire exploser. Sa jupe remontait doucement, sa respiration s’accélérait : il ne la quittait pas de yeux, observant ses réactions au fur et à mesure de la montée du tissu. Arrivé à la lisière des bas, il l’interpella : 

- Ecarte bien. Je dois m’assurer que tu ne portes pas de slip. Et je serais intéressé de savoir dans quel état tu es déjà. Es-tu encore une femme du monde ou es-tu déjà une salope, la chatte trempée ? 

Ma femme rosit immédiatement. Si elle n’avait pas de slip, par contre elle était forcément déjà très mouillée. Je n’avais pas de doute : c’est une femme-fontaine qui pisse sa mouille… 

- Bien. Je pense avoir la réponse donc… Une petite salope qui se cache sous des airs de sainte-nitouche.

La badine poursuivait son chemin : la fente aux limaces bien gonflées apparaissait, libre de tout tissu mais manifestement bien humide. Ayant vérifié ce qu’il souhaitait, Paul laissa brusquement retomber la courte jupe, déstabilisant ainsi encore un peu plus mon épouse. Du bas, il repassa au haut en recommençant à lui caresser le tour et le bout des nibards de sa badine : les doudounes étaient gonflées comme jamais et les bourgeons, naturellement très érectiles, durs. Il s’en amusait. 

- Tu aimes cela, salope. Tourne-toi et présente-moi ton cul. 

Nyssia fit demi-tour sur place et attendit. La badine cingla sa fesse droite. Elle sursauta en retournant le haut du corps vers nous. 

- Je t’ai dit de me présenter ton cul : tu te penches en avant, tu relèves ta jupe pour dégager tes globes et tu t’écartes la raie avec tes deux mains. Tu ne bouges pas jusqu’à ce que je t’y autorise. 

L’exécution ne tarda pas, de crainte que la fesse gauche ne reçoive la même punition. 

- Agathe ! 

Ma femme n’osa pas manifester sa gêne de se voir ainsi exposée devant la petite soubrette qui apparut dans l’encadrement de la porte. 

- Sers nous à boire, veux-tu ! 

- Bien Monsieur. 

Nullement impressionnée par le spectacle qu’offrait Nyssia, nichons pendants, raie exposée par des globes fessiers bien écartés, Agathe se pencha sur la table basse, face à nous pour verser le champagne dans deux coupes : elle exposait ainsi généreusement ses deux petits mamelons aux tétons bien dressées, d’un brun sombre et percés chacun d’un anneau lourd que je n’avais pas eu l’occasion de remarquer jusque là. 

- A genoux ! Et suce lui la raie ! 

- Merci Monsieur ! 

J’ai réalisé à ce moment là que la petite soubrette n’avait rien perdu du début de notre visite et était manifestement habituée à servir Paul en toutes circonstances… Elle contourna la table basse, se mit à genoux, empauma les deux miches et plongea le nez et la langue avec délectation dans la raie de Nyssia qui n’osait ni bouger ni protester de peur de raviver les ardeurs fouetteuses de Paul… Agathe, en bonne salope habituée aux exigences de son patron, se donnait du mal… et du plaisir : sa langue dardait et la pointe s’enfonçait dans le cul de ma femme arrachant des gémissements non équivoques à cette dernière. Manifestement cette opération ne laissait pas la petite bonne insensible : sa courte jupe ne laissait rien ignorer de son cul qu’elle moulait parfaitement. 

- Regardez moi ces deux putes : deux chiennes en chaleur ! 

- Agathe, continue à lui bouffer le cul ! Je veux voir ses grosses mamelles s’agiter. 

Agathe avait la bouche pleine... Elle ne répondit pas mais redoubla d’ardeur et de fait, Nyssia se tortillait de plus en plus sous les assauts de la langue dans son fion : le résultat souhaité fut ainsi obtenu. Les gros airbags débordaient de son piège à nichons qui en laissait les trois-quarts libres et se balançaient provoquant la satisfaction manifeste de notre hôte : les tétines érigées et durcies, les flotteurs pleins, ronds et lourds d’excitation, tout dans les somptueux obus de ma femme traduisaient l’envie et le besoin de se faire mettre. 

Paul se pencha en avant depuis le fond du canapé où nous nous trouvions et, utilisant le majeur de sa main droite, fouilla la fente d’Agathe sous sa petite jupe en l’enfonçant jusqu’à l’y faire entièrement disparaître et provoquant ainsi le trémoussement des meules de la bonne qui ne cessait pas d’enfouir sa langue dans celles de ma femme. 

- Petite salope ! Tu es trempée, comme d’habitude ! Elle te plait cette pute bourge à gros lolos ! 

Tout en disant cela, après avoir porté son doigt à se narines pour humer le fumet du con de la bonne, il l’introduisit d’un coup sec jusqu’au fond dans le trou du cul de cette dernière qui sursauta et cria aussitôt. 

- Tais toi ! Tu aimes cela, en plus ! Ton inconduite se paiera plus tard ! A la cuisine ! 

Agathe se releva et sortit de la pièce, contrite, les yeux vers le sol et les mains dans le dos. 

- A nous maintenant ! dit notre hôte en s’adressant à ma femme. Relève-toi, les mains sur la tête, face à nous, cuisses écartées. 

Le ton de Paul ne laissait guère le choix… Nyssia s’exécuta. 

- A poil ! 

L’ordre cingla. Ma femme rougit, hésita. 

- J’ai dit : à poil ! Vite ! Montre ce que tu proposes ! Déballe la marchandise ! 

La robe tomba sur le sol. Les bouées apparurent encadrées par le kestos qui en laissait toute la partie antérieure bien exposée. 

- Ta taille ? 

- Pardon ? 

- Ta taille de bonnets ? 

- 90F 

- Les mains sur la tête. 

Cette position rendait ses montgolfières encore plus arrogantes. Reprenant sa badine, Paul commença à les lui effleurer en tournant autour des mamelons. 

- Vous devriez la faire anneler. Compte tenu du volume de ses boîtes à lait, ce serait agréable de pouvoir l’attacher par les bouts. Vous la faites traire ? 

Les propos avaient un côté irréel. Paul détaillait le bestiau, évaluait la marchandise pour voir ce que l’on pouvait en tirer de mieux. Un maquignon. On tâte la bête, on apprécie les différents morceaux. Il était trop tard pour reculer, mais j’appréhendais le retour avec mon épouse, dont l’existence à l’instant présent ne valait que par les formes avantageuses de sa plastique… 

- Elle reçoit un tire-lait quelquefois. 

- Intéressant. Ça doit lui tirer les bouts qu’elle a déjà bien durs et développés. 

En même temps que ce commentaire flatteur, il abattit le bout de la badine sur le téton gauche de Nyssia qui gémit. 

- Et sensibles. Je confirme : faites la anneler. Ou plutôt, non. Faites la traire. Elle a tout ce qu’il faut. Elle rapportera bien. Une vraie laitière. Nommez la donc ainsi : c’est suffisamment évocateur… 

La badine poursuivit son chemin et descendit vers le ventre avant de toucher la fente lisse, aux lèvres gonflées. Nyssia, devenue la Laitière, sursauta. 

- Ramenez la moi pour une séance de traite. Avec une trayeuse, une pompe à vide. Compte tenu de la taille de ses pis et de leur forme, vous devriez trouver sans problème des embouts qui conviendront chez un marchand de matériel agricole… 

FIN

1 commentaire:

  1. Parmi les meilleurs textes du site!

    La suite de l'éducation –ou du dressage– de cette vachue est attendue avec impatience.

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